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Pauline Tarnowsky

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Histoire de France

Les Dames de Trianon

Outre les reines Marie-Thérèse d’Autriche, Marie-Leszscinka et Marie-Antoinette, principale résidante du Petit Trianon, ce sont également les impératrices, épouses de Napoléon, Joséphine puis Marie-Louise, les filles de Louis XIV et de Madame de Montespan, sa petite-fille, la duchesse de Bourgogne, mère de Louis XV, mais aussi les filles de ce dernier, Henriette et Adélaïde, ainsi que les favorites royales, Mesdames de Pompadour et Du Barry, et les filles de Louis-Philippe, Clémentine et Marie, ainsi que leur belle-sœur, la duchesse d’Orléans, qui sont évoquées ici dans leur occupation des deux petits châteaux de campagne que sont les Trianons. À ces femmes célèbres s’ajoutent aussi des figures moins connues, dames de la cour, suivantes de la reine Marie-Antoinette comme Madame de Lamballe, ou sa femme de chambre, Madame Campan, des princesses telles que la Palatine, incroyable belle-soeur de Louis XIV, la sœur de Napoléon Pauline Borghèse, ou encore Madame Adélaïde, sœur de Louis-Philippe. Grâce au catalogue de l’exposition, ponctué de citations, toutes ces dames renaissent durant les fêtes, les mariages et les divers événements qui eurent pour cadre Trianon. L’exposition se clôt sur la figure de l’impératrice Eugénie qui ouvrit le musée du Petit Trianon sous le signe de Marie-Antoinette, lançant ainsi le « mythe de la Reine ». Ce sont ainsi trois siècles d’histoire de France par les femmes qui défilent sous les yeux du visiteur, permettant d’apprécier à la fois l’évolution des modes et celle du portrait, grâce à des œuvres célèbres signées de Gobert, Rigaud, Nattier, Gérard, Gros et Winterhalter.

06/2012

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Communication - Médias

Journalisme et post-vérité

Et si, finalement, l'information des journalistes paraissait ne plus être nécessaire ? Et si, finalement, le règne de la " com " l'avait emporté au profit de tous les bonimenteurs ? Cet Essentiel aborde cet enjeu à partir d'une entrée : le lien entre journalisme et " post-vérité "... Et si, finalement, l'information des journalistes paraissait ne plus être nécessaire ? Et si, finalement, le règne de la " com " l'avait emporté au profit de tous les bonimenteurs ? Cet Essentiel aborde cet enjeu à partir d'une entrée : le lien entre journalisme et " post-vérité ". Après Trump, après " l'opération spéciale " en Ukraine, avec le retour des propagandes militaires et la guerre informationnelle, comment comprendre et analyser le rapport du journalisme à la vérité ? Un événement est-il un fait ? Quels sont les nouveaux enjeux pour l'information et le traitement de l'actualité quand les publics alimentent, s'informent et parfois même manipulent les réseaux sociaux qu'utilisent aussi comme ressources les journalistes ? Pour répondre à ces questions, une série de textes inédits revient ici sur les mutations du journalisme et la question de son objectivité. Les événements du Capitole, le phénomène Raoult pendant la crise sanitaire, la puissance des GAFA, Fox News et le recours au fact checking et au debunking en témoignent. Comprendre le nouveau désordre informationnel et la place essentielle du journalisme dans nos sociétés constitue la colonne vertébrale de cet Essentiel. Auteurs : Pauline Amiel, Marc Bassoni, Camelia Beciu, Vincent Carlino, Elsa Fornero, Lucas Graves, Benoît Grevisse, Alexandre Joux, Stéphanie Lukasik, Nicolas Kaciaf, Jérémie Nicey, Karen Nuvoli, Michaël Oustinoff, Nathalie Pignard-Cheynel, Jacques Trenteseaux, Eric Valmir, Dominique Wolton.

09/2023

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Théâtre - Essais

La Récolte - Revue des comités de lecture de théâtre N° 4, 2022

Présentation de la revue La récolte La Récolte est une revue annuelle née en 2019, de l'envie de comités de lecture permanents de créer un outil collectif au service de la promotion et de la diffusion des écritures théâtrales d'aujourd'hui. Chaque année, La Récolte présente huit oeuvres récentes, inédites à l'édition, en larges extraits. Ces pièces sont intégrées dans un cahier critique et iconographique qui permet d'entrer plus intensément dans la démarche des auteurs et des autrices. Chaque numéro est également l'occasion d'une réflexion sur l'écriture théâtrale, portée par des auteurs et des autrices à l'écriture reconnue plus largement. Elles'adresse à un public curieux de découvrir les écritures d'aujourd'hui, par-delà les cercles de connaissance et d'expertise. Sommaire de La récolte n° 4 Ouverture : Confiée à Jean d'Amérique, jeune poète, dramaturge et performeur haïtien (Théâtrales, Actes-Sud, Cheyne éditeur) à la langue baroque et métaphorique qui traverse les genres littéraires. Ecriture / Enjeux : Réflexion sur l'écriture théâtrale par des auteurs et des autrices, confiée à Marion Aubert et Samuel Gallet. Marion Aubert est autrice d'une oeuvre théâtrale prolifique (Actes Sud) et nouvellement coresponsable du département écritures de l'ENSATT. Samuel Gallet est auteur (Espaces 34), metteur en scène et performeur. Il est aussi ancien coresponsable du département écritures de l'ENSATT. Les textes : Les Revenants de l'impossible amour - Faubert Bolivar L'Age tendre - George Brant (traduit de l'anglais par Dominique Hollier) La Viande - Anaïs de Clercq Déesses, je me maquille pour ne pas pleurer - Héloïse Des Rivières Sirène - Adèle Gascuel Les Loyautés (3la Slam) - Marwane Lakhal Ornithorynques - Johanne Parent Ayrton - Pauline Picot

07/2022

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Musique, danse

Critique musicale. Volume 9 (1856-1859)

En ces années 1856-1859, Paris retentit de concerts en tous genres. « C’est un temps de musique acharnée », s’exclame Berlioz qui, bien qu’au faîte de sa carrière de musicien avec son élection à l’Institut, le grand succès de L’Enfance du Christ et la composition des Troyens, continue d’honorer ses obligations au Journal des débats. L’orgue-Alexandre est l’instrument du jour et l’on s’arrache les billets pour entendre l’étonnant corniste Vivier, très apprécié à la cour. D’autres instrumentistes exceptionnels comme Bülow, Litolff ou le jeune Wienawski se distinguent parmi les centaines d’artistes qui se produisent. Berlioz ne fréquente plus la Société des concerts du Conservatoire, trop « endormie », mais salue le dynamisme de la Société des jeunes artistes dirigée par Jules Pasdeloup et la création de nouvelles formations de musique de chambre. Si l’Opéra se contente de créer des ouvrages de compositeurs « installés », avec La Magicienne d’Halévy et Herculanum de David, ou de reprendre des valeurs sûres comme Le Prophète, La Reine de Chypre et Guillaume Tell, l’Opéra-Comique affiche Le Pardon de Ploërmel de Meyerbeer, à la réussite éclatante. Quant au Théâtre-Lyrique, il vit ses plus belles heures, avec la création du Faust de Gounod, la mise à l’honneur d’opéras de Mozart et Weber, et la reprise de l’Orphée de Gluck dans une version de Berlioz, avec l’inoubliable Pauline Viardot. Malgré une gastralgie qui le mine, Berlioz garde, comme toujours, son humour incisif qu’il distille à travers ses articles et dont il tire un recueil d’anecdotes, Les Grotesques de la musique.

01/2019

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Autres collections (6 à 9 ans)

Les Mémoires d'un âne

Délaissant pour une fois les héros enfantins qu'elle a su nous rendre familiers, la Comtesse de Ségur, dans ce petit livre divertissant, se fait la mémorialiste du brave Cadichon. Elle nous y enseigne avec infiniment d'esprit que les animaux peuvent porter sur l'homme des jugements pleins de logique, et que l'âne en particulier n'est pas si bête qu'on le croit communément. Il est vrai, on le verra, que Cadichon est un âne exceptionnel. Têtu comme ceux de son espèce, indépendant, fantasque, espiègle même, à ses heures, capable toutefois de dévouement et d'affection, Cadichon souffre, beaucoup de l'incompréhension, du mépris ou de l'indifférence de ses maîtres successifs, et toutes ses mésaventures ne sont que le résultat de leur propre aveuglement. Mais si les coups de trique et les humiliations ne lui sont pas mesurées par les gens du village et les enfants du château, il trouvera en revanche, beaucoup de douceur et de compassion chez la gentille Pauline, qu'il sauvera d'un incendie, chez ses petits amis Jacques et Jeanne, à qui il prouvera sa gratitude en dépistant les dangereux bandits qui menacent leur foyer. Ainsi, forçant l'estime de ceux qu'il sert, il arrivera peu à peu à trouver les bons maîtres qui lui assureront une heureuse vieillesse. Garçons et filles apprécieront également cette évocation tour à tour souriante et mélancolique d'une existence de bête. Ils aimeront le pauvre Cadichon, et la lecture attachante de ses Mémoires leur démontrera qu'il faut toujours se montrer doux et compatissant pour les plus humbles serviteurs de l'homme.

05/2021

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Policiers

Cartel

On l'appelle El Turco depuis qu'il a tenté d'établir une filière avec les trafiquants d'Istanbul, six ans plus tôt. Pour des raisons inconnues, le projet n'a pas vu le jour, mais le nom est resté. Même si le sobriquet ne l'incommode pas, on s'adresse à lui avec son vrai prénom : don Alfonso... Autour du célèbre narco-trafiquant mexicain, une faune hétéroclite s'active à faire régner sa loi, celle du cartel, guère difficile à retenir : "Tu travailles pour moi ou tu es mort ! " Or, à Ciudad Juárez, tous ne sont pas d'accord avec cette règle et, depuis, la ville est devenue l'une des plus violentes de la planète. Entouré de ses tueurs sanguinaires, tel Alejandro le taciturne, de ses hommes de confiance, tel le vieux don Juan, El Turco se sait en sécurité. Ce qui ne l'empêche pas de craindre pour sa famille — son talon d'Achille —, car pour don Alfonso, il n'y a rien de plus précieux que les enfants, dont ses trois filles, Paulina, Soledad et Maritere. Cartel : une plongée apocalyptique dans l'univers déjanté des narco-trafiquants, à la recherche de ces pathétiques parcelles d'amour et d'humanité qui résistent à la folie des hommes.

11/2018

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Littérature russe

Le Paon

Le Paon, c'est Pavline, un ancien serf qui a racheté au prix fort sa liberté. Devenu majordome au service de la propriétaire d'un immeuble divisé en appartements dans le Moscou de la fin du xixe, il fait régner un ordre impeccable. Pourtant, sa vie sera boule­versée quand il adopte puis élève une jeune aristocrate ­ruinée. Il finira par l'épouser pour qu'elle ne reste pas sans statut. Et surtout, il continuera à la servir et à la vénérer quand peu à peu elle reviendra vers sa classe d'origine, cette fois comme maîtresse d'un bel officier, un jour condamné à quitter Moscou pour la lointaine Sibérie... "? Un roman très russe ? : à la fois violent, rude et ­romantique. ? " Le Figaro Madame "? Leskov, avec son impitoyable lucidité, voit tout et ne cèle rien. Vilipendé en son temps pour son indépendance même, Leskov est décidément l'un des grands Russes les plus actuels, tant son regard cru reste ­nécessaire. ? " Le Monde Nikolaï Semionovitch Leskov né en 1831, sera honni par le camp progressiste et rejeté par les conservateurs. Il est mort en 1885. Tolstoï dira alors ? : "? Le temps de Leskov n'est pas encore venu. Leskov est un écrivain de l'avenir".

04/2024

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BD tout public

Alexandre le Grand

" La Terre ne peut tolérer deux soleils. " 300 av J. -C. , Memphis. A l'ombre de la statue majestueuse d'Alexandre le Grand, un hoplite et un scribe, deux amis de longue date, se remémorent leurs glorieuses campagnes menées auprès de l'empereur. Conquérant né, stratège génial, roi divin... les superlatifs ne manquent pas pour désigner celui qui fit du petit royaume de Macédoine le plus grand empire que le monde ait connu. Une ambition démesurée, marquée par une volonté d'unifier le monde grec et la civilisation perse. Mais une aspiration illusoire, car comme tous les hommes exceptionnels, Alexandre le Grand était admiré... mais aussi détesté.

06/2018

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CM2

Je rentre en 6e

Je joue, je révise ! - Je rentre en 6e : un cahier ludique et rassurant pour revoir le programme de CM2 en français, maths, anglais, Histoire-Géo-EMC et questionner le monde. Mots croisés, coloriages codés, labyrinthes... votre enfant va s'amuser en révisant pour préparer sa rentrée en 6ème ! Toutes les matières sont abordées par le jeu dans ce cahier via 120 activités ludiques et bienveillantes conçues par des enseignants. Toutes les notions en français, maths, anglais, Histoire-Géo-EMC et questionner le monde 2 jeux par page Des activités ludiques et accessibles pour que l'enfant réussisse et ait envie de finir son cahier de vacances Un contenu pensé avec bienveillance pour lui donner confiance en lui ! Ce cahier de vacances propose une notion à réviser par page avec : Une rubrique " Echauffe-toi ! " sous forme de jeu pour introduire la notion et remobiliser les connaissances acquises Un jeu d'entraînement sur chaque page joliment illustré pour réviser le programme de CM2 en s'amusant ! Un jeu " Cherche et Trouve" tout au long du cahier avec une mascotte à trouver dans les pages Les + : Des consignes simples pour apprendre en toute autonomie Des jeux joliment illustrés Les mémos des leçons regroupés en fin de cahier et organisés par discipline Des solutions détachables Imprimé en France

04/2023

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CP

Je rentre en CE1

Je joue, je révise ! - Je rentre en CE1 : un cahier ludique et rassurant pour revoir le programme de CP en français, maths, anglais, EMC et questionner le monde. Mots croisés, coloriages codés, labyrinthes... votre enfant va s'amuser en révisant pour préparer sa rentrée en CE1 ! Toutes les matières sont abordées par le jeu dans ce cahier via 120 activités ludiques et bienveillantes conçues par des enseignants. Toutes les notions en français, maths, anglais, et questionner le monde 2 jeux par page Des activités ludiques et accessibles pour que l'enfant réussisse et ait envie de finir son cahier de vacances Un contenu pensé avec bienveillance pour lui donner confiance en lui ! Ce cahier de vacances propose une notion à réviser par page avec : Une rubrique " Echauffe-toi ! " sous forme de jeu pour introduire la notion et remobiliser les connaissances acquises Un jeu d'entraînement sur chaque page joliment illustré pour réviser le programme de CP en s'amusant Un jeu " Cherche et Trouve" tout au long du cahier avec une mascotte à trouver dans les pages Les + : Des consignes simples pour apprendre en toute autonomie Des jeux joliment illustrés Les mémos des leçons regroupés en fin de cahier et organisés par discipline Des solutions détachables Imprimé en France

04/2023

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CM2

Je joue, je révise ! Je rentre en 6e

Je joue, je révise ! - Je rentre en 6e : un cahier ludique et rassurant pour revoir le programme de CM2 en français, maths, anglais, Histoire-Géo-EMC et questionner le monde. Mots croisés, coloriages codés, labyrinthes... votre enfant va s'amuser en révisant pour préparer sa rentrée en 6e ! Toutes les matières sont abordées par le jeu dans ce cahier via 120 activités ludiques et bienveillantes conçues par des enseignants. Toutes les notions en français, maths, anglais, Histoire-Géo-EMC et questionner le monde 2 jeux/page Des activités ludiques, accessibles pour que l'enfant réussisse et ait envie de finir son cahier de vacances Un contenu pensé avec bienveillance pour lui donner confiance en lui ! Ce cahier de vacances propose une notion à réviser par page avec : Une rubrique " Echauffe-toi " sous forme de jeu pour introduire la notion et remobiliser les connaissances acquises Un jeu d'entraînement sur chaque page joliment illustré pour réviser le programme de CM2 en s'amusant ! Un jeu Cherche et Trouve tout au long du cahier avec une petite mascotte à trouver dans les pages Les + : Des consignes simples pour apprendre en toute autonomie Des jeux joliment illustrés Les mémos des leçons regroupées en fin de cahier et organisés par discipline Des solutions détachables

04/2022

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Collège

Le Roman de Renart

Renart, rusé, habile et surtout beau parleur, a plus d'un tour dans son sac lorsqu'il s'amuse à piéger Ysengrin, le loup sot et glouton, Tiécelin le corbeau, Chantecler le coq, Dame Pinte la poule. . . Mais, las d'être dupés par ce goupil malicieux, les animaux lui préparent à leur façon une drôle de surprise ! Rira bien qui rira le dernier ! Toutes les clés pour comprendre l'oeuvre et le thème associé Avant de lire l'oeuvreL'essentiel sur l'auteurLe contexte d'écriture de l'oeuvre Au fil de l'oeuvreDes questionnaires sur les passages clés : compréhension et étude de la langueL'enregistrement audio d'extraits lus par une comédienne Le dossier BIBLIOCOLLÈGEL'essentiel sur l'oeuvreLa structure de l'oeuvreLes personnages de l'oeuvreLe genre de l'oeuvreL'oeuvre dans l'histoire des artsDes films, des documents et des livres associés à l'oeuvre Le GROUPEMENT DE TEXTES Thème  : Ruses, mensonges et masques -  Résister au plus fort

06/2022

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Critique littéraire

Correspondance. tome 6 : lettres 110-120

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

01/2003

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Littérature étrangère

Pour rien au monde

Une crise internationale va-t-elle déclencher une troisième guerre mondiale ? De nos jours, dans le désert du Sahara, deux agents secrets sont sur la piste d'un groupe de terroristes trafiquants de drogue et risquent leur vie à chaque instant. Non loin, une jeune veuve se bat contre des passeurs tout en voyageant illégalement pour rejoindre l'Europe. Elle est aidée par un homme mystérieux qui cache sa véritable identité. En Chine, un membre du gouvernement à l'ambition démesurée pour lui et son pays lutte contre les vieux faucons communistes de l'administration qui poussent leur pays - et la Corée du Nord, son alliée militaire - vers un point de non-retour. Aux Etats-Unis, Pauline Green, la première femme présidente, tente de gouverner avec adresse et diplomatie entre attaques terroristes, commerce d'armes illégales et les bassesses de son opposant politique. Elle fera tout ce qui est en son pouvoir pour éviter une guerre inutile. Mais lorsque des actes d'agression se succèdent, les grandes puissances sont prises dans un réseau complexe d'alliances dont elles ne peuvent s'échapper. Une fois que les pièces du sinistre puzzle sont en place, pourront-elles - même avec les meilleures intentions, des diplomates hors pair et des agents d'élite - empêcher l'inévitable ? En espérant que ce qu'a imaginé Ken Follett n'arrive pour rien au monde... Lorsque l'auteur de la saga Kingsbridge faisait des recherches pour La Chute des géants, il a appris avec surprise que personne n'avait voulu la Première Guerre mondiale. Il en est venu à croire que tout cela était un tragique imprévu. Et il s'est demandé : " Cela pourrait-il de nouveau arriver ? " Bien plus qu'un thriller, le nouveau roman de l'un de nos auteurs les plus populaires offre action et suspens jusqu'à la dernière page.

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Critique littéraire

Correspondances. Tome 1 : lettres 1-22 St Jérôme

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

12/2002

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Critique littéraire

Correspondance. tome 7 : lettres 121-130

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

01/2003

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Littérature française

Ils dorment

C'était un homme ordinaire, avec ses bonheurs, ses chagrins. Un homme qui voulait partir. Mais partir ne lui suffisait pas. Il lui fallait tout détruire, tout abolir, même les souvenirs. Et ainsi commettre l'irréparable envers sa femme et ses deux enfants. Un roman vrai sur le désespoir noir " Ils dorment. Ils sont là, près de moi. Clémence, ma femme, mon aimée. Pierre et Pauline, la chair de ma chair. Ils dorment. Rien. Aucune émotion. Le silence. Le silence qui m'effrayait petit à la campagne, le silence des non-dits, le silence de la peur qui dévore, de la mort qui rode. Le silence précédant le crime, le silence lui succédant. Le silence contenant tout un monde, la terre avant ses premiers frémissements, les voix qui se sont tues, la minute après le dernier soupir. Le silence ne m'effraie plus. Ils dorment. Et le jour va bientôt se lever. Je suis assis par terre, adossé au mur. Le plafonnier de l'entrée est allumé. Il trouble l'obscurité. Tout est figé. Et peut-être si je regagnais la chambre, tout recommencerait là où tout s'est arrêté. Rien n'aurait changé. Je me glisserais dans le lit, à côté de Clémence. Je plongerais dans le sommeil. Et demain, dans quelques heures, je descendrais dans la cuisine boire un café fort, les enfants passeraient rapidement avaler une tartine en restant debout, expédiant ainsi leur petit déjeuner. Ils récupèreraient leurs affaires et se dirigeraient vers la porte. Clémence boirait encore une gorgée de thé, reposerait sa tasse sur la table, attraperait son sac. Je file. A ce soir, mon chéri. C'était peut-être ça le bonheur. Ils dorment. Ils dorment pour toujours. Ils n'ont pas souffert. "

02/2023

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Critique littéraire

Correspondance. tome 3 : lettres 53-70

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

12/2002

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Musique, danse

Critique musicale. Volume 10 (1860-1863)

Alors que Berlioz entame en 1860 ses dernières années de collaboration au Journal des débats, le monde musical est en émoi avec l'arrivée de Wagner, venu conquérir Paris. Hermétique à la "musique de l'avenir", Berlioz préférera confier à son ami d'Ortigue le compte rendu de Tannhäuser, représenté à l'Opéra en 1861. Malgré cette création et quelques autres, comme celles de Pierre de Médicis de Joseph Poniatowski, La Statue de Reyer ou La Reine de Saba de Gounod, le répertoire de l'Opéra est d'une désespérante monotonie. Cependant, la reprise d'Alceste, avec la bouleversante Pauline Viardot dans le rôle-titre, stimule Berlioz, qui consacre aux oeuvres inspirées par l'Alceste d'Euripide six articles pour mieux souligner le génie dramatique de Gluck. Très actifs au contraire, le Théâtre-Lyrique et l'Opéra-Comique montent une quarantaine d'ouvrages, parmi lesquels nombre de créations, et la représentation de Fidelio en français dont Berlioz rend compte avec ferveur. Les concerts continuent à un rythme effréné, et Berlioz ne sait plus quels éloges trouver pour tous ces virtuoses solistes, chambristes, et ces orchestres qui, comme dans les concerts populaires de Pasdeloup au Cirque Napoléon, améliorent le goût du public. Même s'il obtient un vif succès à Bade avec Béatrice et Bénédict dans lequel Anne Charton-Demeur l'enchante, Berlioz est épuisé par sa santé qui se dégrade, démoralisé par la méfiance qu'inspirent Les Troyens pour être joués, et tout à fait lassé de son métier de critique. L'occasion de démissionner se présente enfin et le 8 octobre 1863, il signe son dernier article du Journal des débats, sur Les Pêcheurs de perles de Bizet. Un monde se referme, un autre s'ouvre…

09/2020

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Critique littéraire

Correspondance. tome 4 : lettres 71-95

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

12/2002

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Critique littéraire

Correspondance. tome 2 : lettres 23-52

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

12/2002

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Critique littéraire

Correspondance. tome 5 : lettres 96-109

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

01/2003

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Critique littéraire

Lettres. Tome 8

La collection des "Lettres de saint Jérôme" comprend actuellement cent cinquante-quatre épîtres. Mais elles ne méritent pas toutes, à titre égal, le nom de "lettres" , et, d'ailleurs, elles ne sont pas toutes de sa main, par exemple, les dix lettres de saint Augustin à saint Jérôme (LVI, LXVII, CI, CIV, CX, CXI, CXVI, CXXXI, CXXXII, CXLIV), les lettres de saint Damase (XIX, XXXV), celles de Théophile d'Alexandrie (LXXXVIII, LXXXIX, XC, CXIII), les "lettres pascales" et la "synodique" du même patriarche (XCII, XCVI, XCVIII, C) etc... , soit en tout, trente et une épîtres. En revanche, la lettre XLVI, de Paule et Eustochium à Marcella, a été écrite, ou au moins récrite par saint Jérôme. Notre collection renferme donc plusieurs "dossiers" , où ont été groupés les questions, les réponses, les documents ecclésiastiques relatifs à la controverse origéniste, à l'hérésie pélagienne, ainsi que la correspondance échangée entre Hippone et Bethléem. On a dénombré onze lettres dogmatiques, vingt-quatre exégétiques, treize sur des sujets de morale, onze oraisons funèbres, trente et un écrits polémiques ; les autres sont des "lettres familières" ou ne rentrent pas dans les catégories précédentes, telle la lettre LXX à Magnus, "orateur" de la Ville de Rome, sur l'utilisation des Lettres profanes. Avec cette lettre, celles qui présentent un intérêt plus général sont les éloges funèbres (epitaphia) d'Asella (XXIV), Blésilla (XXXIII, XXXIX), Fabiola (LXXVII), Léa (XXIII), Lucinus (LXXV), Marcella (CXXVII), Népotien (LX), Paule (CVIII), Pauline (LXVI). De même, les lettres qui traitent des sujets de morale ; ce sont les plus connues de toutes : sur l'Education des filles (CVII, CXXVIII), le Mariage (CXVII, CXXIII), la Pénitence (LVIII, CXXII), le Veuvage (XLVI, LXXIX), la Vie monastique (XIV, LVIII, CXXII), la Vie des clercs (LII), la Virginité (XXII, CXXX).

10/1963

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Religion

THERESE DE LISIEUX PAR ELLE-MEME. Tome 2, La confiance et l'amour, Tous les écrits de janvier 1895 à Pâques 1896

Le 2 janvier 1895 : Thérèse a vingt-deux ans. Voici bientôt sept ans qu'elle se trouve au carmel; la maladie du scrupule, durant tout ce temps, n'a guère cessé; ni les humiliations. 1895 : dans ces douze mois, Thérèse va écrire ce que sa prieure, mère Agnès (sa grande soeur Pauline) lui a ordonné de relater : ses souvenirs d'enfance; elle est aidée, dans cette autobiographie familiale, par sa soeur Céline qui vient d'entrer au carmel. Le texte (appelé ensuite Manuscrit A) la fait revenir sur les événements, souvent douloureux, qui ont jalonné ses premières années mais aussi sur les jours heureux. Elle insiste plutôt - et elle aime manifestement les raconter - sur le "vert paradis" de ces jours et sur les "Miséricordes du Seigneur". Dans une dernière partie, elle revient sur les années de sa vie qui viennent de se dérouler au carmel et comment, peu à peu, elle est entrée dans la voie de "la confiance et de l'amour". Elle termine, fin 1895, par deux pages bouleversantes où elle parle de l'événement spirituel majeur de cette année 1895 : le dimanche de la Trinité, 9 juin, face à la spiritualité jansénisante et morbide qui incitait à s'offrir en victime à la "Justice divine", elle a l'intuition capitale qu'il s'agit de s'offrir à Dieu comme Amour, à Dieu qui "désire être aimé" : "Offrande de moi-même à l'Amour", dit-elle pour définir l'acte posé ce jour-là. L'année 1895 est toute illuminée par le soleil de la foi et toute traversée par le "Feu de l'Amour". Thérèse est prête, désormais, à affronter l'épreuve de Pâques 1896, l'entrée dans la nuit, prête à livrer l'ultime combat qu'elle va mener jusqu'à sa mort.

08/1997

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Atlas

Mon atlas de la biodiversité

Un nouvel atlas sur la biodiversité pour questionner sa présence et sa diversité aux quatre coins de la planète ! Un atlas à l'organisation innovante Ce livre est structuré par milieux où s'épanouit le vivant plutôt que par continents. Il nous permet de plonger dans des environnements très différents. Il s'intéresse à la présence de la vie dans les déserts, comme le désert aride du Sahara ou glacial de l'Antarctique, les chaînes de montagnes, des Alpes à la cordillère des Andes, les forêts denses d'Afrique centrale, les savanes d'Australie. Le lecteur se plonge dans la contemplation de la vie des mers ou des océans ou des grandes étendues d'eau douce comme le lac Victoria ou le fleuve Mékong pour y découvrir les bactéries et autres êtres microscopiques et autres bactéries ou géants qui les habitent. Le monde animal est présent sur les cartes ainsi que le monde végétal. Le lien et les interactions avec les humains sont aussi développés. Un livre d'une grande rigueur scientifique à la portée de tous Porté par Catherine de Coppet, journaliste et rédactrice en chef adjointe de la revue "XXI", ce livre est très documenté. Déjà auteure de "La Biodiversité" dans la collection "Mes p'tites questions", cet ouvrage poursuit le profond intérêt de l'auteure sur cette thématique au coeur de tous les débats actuels à l'heure du réchauffement climatique. Ce livre est le fruit de nombreux échanges avec des spécialistes et biologistes des milieux référencés. Quand la biodiversité se pare de ses plus belles couleurs L'ouvrage est issu de la collaboration de quatre illustrateurs férus de géographie : Camille Ferrari, Mikaël Moune, Pauline Merlaut et Aurélie Verdon.

04/2023

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Critique

Les héritiers. Vingt-deux histoires inattendues de successions d'artistes

Que devient le chant d'un artiste après qu'il a disparu et n'est plus là pour s'occuper de son oeuvre ? Les héritiers décrit et analyse la succession de vingt-deux grands artistes et écrivains célèbres de génération en génération, qu'il y en ait huit (comme pour Montaigne et Diderot) ou dix (Mme de Staël). Fierté ou indifférence, défense ou dénigrement, affection ou haine : tous les comportements se rencontrent et s'expliquent. Charles de La Fontaine égare la correspondance de son père, Pauline de Simiane détruit volontairement celle de sa grand-mère Mme de Sévigné, Carl-Philip Emmanuel Bach publie les partitions de son père qui lui sont échues tandis que son frère Wilhelm Friedmann vend les siennes au premier venu. Michel Monet et Paul Cézanne junior alimentent des vies de nababs en vendant les toiles de leurs pères alors que Jean Renoir trouve le temps, entre deux grands films, d'écrire une magistrale biographie de son père. Le frère et héritier universel de Maurice Ravel se laisse dépouiller de l'héritage par un couple de domestiques machiavéliques, les fils de Chagall et de Simenon consacrent des livres à leurs relations chaotiques avec leurs géniteurs, à l'opposé d'Anne Wiazemsky qui a consacré plusieurs livres où apparaît, de manière tendre, son grand-père François Mauriac. Premier livre sur ce sujet, Les héritiers, fondé sur une recherche rigoureuse et précise, livre une passionnante galerie de portraits parmi les plus grands artistes, et, bien au-delà, une réflexion sur notre rapport à l'art. Les artistes, par ordre chronologique : Michel de Montaigne, Françoise de Sévigné, Jean de La Fontaine, Jean-Sébastien Bach, Denis Diderot, Germaine de Staël, Alexandre Dumas, George Sand, Gustave Flaubert, Alphonse Daudet, Paul Cézanne, Claude Monet, Auguste Renoir, Henri Matisse, Maurice Ravel, Francis Picabia, Fernand Léger, Amedeo Modigliani, Marc Chagall, François Mauriac, André Malraux, Georges Simenon.

04/2021

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Santé, diététique, beauté

La pilule est amère

Nous sommes en juin 2006. Marion Larat est une jeune fille vive et brillante. Après avoir suivi une classe préparatoire, elle a passé des concours pour entrer dans une grande école de commerce. Alors qu'elle en attend les résultats elle s'effondre soudain chez ses parents, frappée par un AVC. S'ensuivent neuf opérations, et des mois de rééducation pour récupérer l'usage de la parole et de l'écriture. Malgré un handicap important, elle tente de reprendre ses études mais cela lui demande trop d'efforts. Elle continue pourtant à lutter pour son insertion dans le monde du travail. Lauréate du nouvel Institut du service civique, lancé par Martin Hirsch à l'été 2012, elle a aujourd'hui pour projet de créer et commercialiser des bas de contention plus jolis et féminins que ceux portés à l'hôpital. Mais surtout elle a entrepris un combat pour la vérité depuis qu'elle a découvert que la pilule était responsable de son AVC. Pourquoi n'a-t-on pas établi plus tôt le lien entre l'AVC et la prise de la pilule ? Pourquoi sa gynécologue, à l'époque, n'a jamais pointé les dangers de la pilule, notamment ceux des troisième et quatrième générations ? Le 14 décembre 2012, Marion Larat a déposé plainte pour atteinte involontaire à l'intégrité de la personne humaine auprès du Parquet du TGI de Bobigny à l'encontre du Directeur général du laboratoire Bayer Santé et du Directeur général de l'Agence Nationale de Sécurité du Médicament. Depuis, d'autres plaintes sont arrivées, et Marion Larat poursuit sa quête de justice. Avec ce livre, auquel collabore sa soeur Pauline, elle veut que les autres jeunes filles soient mieux informées.

10/2013

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Revues

Portrait N° 4, printemps 2016 : L'autre c'est vous

Ce nouveau numéro de la revue Portrait prolonge la réflexion du précédent autour des géographies intérieures. Mais cette fois-ci, le point de vue change : les auteurs ne parcourent plus les mondes habités des personnes rencontrées, ils s'installent à leurs côtés et questionnent le rôle que joue l'autre dans leurs existences. Il semblait probable qu'à travers ces autres, fictifs ou réels, les portraiturés de la revue, reliés par le désir de penser différemment, révèleraient quelque chose de leur propre travail. L'intuition s'est vérifiée. Agnès Desarthe, dont l'écriture emprunte à la grammaire de la musique, déroule le fil de sa longue et parfois difficile relation à cet art, qui fait écho à sa rencontre avec le jazzman René Urtreger. Michel Lebris, fondateur du festival Etonnants Voyageurs, confie son émerveillement persistant face à la magie des visages, à la manière dont certains d'entre eux relient encore sa vie au réel. Anne Landois, scénariste en chef de la série télé Engrenages, ne cesse, elle, de scruter avec empathie l'autre face à son drame, tandis que l'auteure Caroline Boidé poursuit sa quête intime de liens historiques entre Arabes et juifs, dans une nouvelle inédite : Si j'étais Amina. Pauline Guéna nous dévoile le carnet de bord qu'elle a tenu en marge de ses entretiens littéraires parus dans l'Amérique des écrivains, co-signé avec Guillaume Binet. Enfin, la revue Portrait publie deux portfolios : l'un extrait de Hang on de Neak Sophal, présenté par l'élégant Christian Caujolle, et l'autre, tiré d'Angel de Ronan Guillou, dont les images, dit Wim Wenders, sont précédées par un moment magique : le passage d'un ange...

04/2016

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Histoire littéraire

Murs d'images d'écrivains. Dispositifs et gestes iconographiques (xıxe-xxıe siècle)

Avec la collaboration de Pauline Basso et d'Andres Franco Harnache Pourquoi s'entoure-t-on d'images ? Tableaux, gravures, photographies, cartes postales, images précieuses ou de peu couvrent les murs de nos habitations, selon des agencements variés. Ces dispositifs iconographiques sont autant de reflets de l'histoire personnelle, sociale et culturelle de leurs concepteurs. Et qu'en est-il alors pour un sujet écrivant : quel est l'impact de tels environnements visuels sur l'activité d'écriture ? A partir de quand une pratique culturelle banale, commune, prend-elle un sens particulier pour un homme ou une femme de lettres ? Tels sont les enjeux de ce livre inscrit au croisement des études littéraires et visuelles. A la fin du xixe siècle, l'environnement des écrivains se voit de plus en plus nourri de références picturales et de la présence concrète des images. Reproductions et oeuvres originales sur leurs murs constituent-elles un simple décor ? Quels sont leurs liens avec la pensée esthétique développée par des littérateurs ? Quelle place occupent-elles dans la genèse d'une oeuvre ? Comment participent-elles d'une posture d'auteur ? Et, sur le plan de la réception et de la patrimonialisation, comment les musées peuvent-ils exposer au mieux ces agencements visuels ? Des frères Goncourt à Yannick Haenel, en passant par Colette, Louis Aragon, Simone de Beauvoir ou Ramón Gómez de la Serna, le mur d'images devient un objet-clé du rapport de l'écrivain à la culture visuelle, y compris la plus contemporaine. Ce volume richement illustré explore ainsi, en sept chapitres et au travers d'une multitude de cas, différentes facettes du mur d'images tel qu'il a pu être investi du xixe siècle à nos jours. Il ouvre à une conception hybridée du fait littéraire, qui s'ancre dans les gestes iconographiques.

02/2023

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Vie chrétienne

En avant les vieux !. Vous êtes l'armée du Bon Dieu

"Vivement la retraite, je n'en peux plus ! " vous a-t-on si souvent entendu dire. "Je pourrai enfin faire tout ce qui me chante : la grasse mat', voyager, voir les amis. ". . Et puis un jour, le gros lot - la retraite - vous est tombé dessus ! Mais les choses ne se sont pas passées comme prévu... A peine libérés du fardeau de la vie active, certains d'entre vous sont décédés, d'autres se sont laissés déborder par d'affreuses douleurs ou pathologies - ou les deux - les clouant ainsi chez eux. D'autres encore se sont retrouvés en tête à tête avec leur conjoint, et là, le courant n'est plus passé. Ou plutôt, seulement sous la forme de tensions et d'étincelles. C'est ainsi qu'une grande épreuve vous attendait : alors le meilleur - "le malheur" - pour la fin ? Quoi de mieux que des histoires pour comprendre sa propre histoire. Il était une fois Pierre, Raymond, Suzette, Marcelline, Gabin, Pauline, des anciens rencontrés au hasard de la vie. Chacun son histoire, chacun son parcours, tous arrivant au bout de leur chemin... mais toutes ces brebis appelées d'une façon ou d'une autre par leur Berger... Portant un regard lucide et d'une infinie tendresse, Natalie Saracco ouvre nos yeux et nos coeurs sur cette dernière étape de la vie, celle où tout se joue. Déjouant avec humour les pièges et tentations du grand âge, elle encourage les plus âgés à gagner cette dernière bataille car, si tout est différent désormais, tout est encore possible. En avant les vieux, vous êtes l'armée du Bon Dieu ! Natalie Saracco est réalisatrice et auteur. Elle a retrouvé une foi ardente après une expérience de mort imminente et témoigne depuis sans relâche de l'amour de Dieu.

03/2024