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Théâtre

Conversations (1975-1995)

Les textes rassemblés dans ce volume ne sont pas des interviews à vocation ponctuelle de communication dans l'instant, mais des conversations de Heiner Müller avec des collègues et amis, hommes de théâtre et universitaires de RFA et de RDA. Ces conversations éclairent sa démarche de pensée et accompagnent la publication de ses pièces, de l'année 1975, période à la quelle débute sa reconnaissance internationale aux Etats-Unis, en RFA et en France, jusqu'à sa mort en 1995. Deux événements ponctuent ce recueil. Le premier est d'ordre biographique. II s'agit d'un séjour que Heiner Müller, écrivain d'Allemagne de l'Est qui avait été exclu de l'Union des Ecrivains en 1961 et qui était à la fois reconnu et marginalisé dans son pays, fit "miraculeusement" aux Etats-Unis en 1975-76. Le second concerne l'histoire européenne. H s'agit de la chute du mur de Berlin en 1989, suivie de la réunification allemande en 1990. Ces deux événements, de nature différente, sont reliés par un autre, à certains égards prémonitoire, auquel Heiner Müller fut confronté à son retour des Etats-Unis : la déchéance de citoyenneté est-allemande du chanteur et auteur de cabaret Wolf Biermann, qui fut le premier symptôme de la crise qui allait s'amplifier dans la RDA des années 1980. Ce recueil de conversations a vocation à montrer comment l'oeuvre de Heiner Müller, dans la seconde moitié du XXe siècle, est le pendant de l'oeuvre de Brecht dans la première moitié de ce même siècle et, à certains égards, la déconstruit.

02/2019

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Littérature anglo-saxonne

Conversations entre amis

Dublin, de nos jours. Frances et Bobbi, deux anciennes amantes devenues amies intimes, se produisent dans la jeune scène artistique irlandaise comme poètes-performeuses. Un soir, lors d'une lecture, elles rencontrent Melissa, une photographe plus âgée qu'elles, mariée à Nick, un acteur. Ensemble, ils discutent, refont le monde, critiquent le capitalisme comme les personnages de Joyce pouvaient, en leur temps, critiquer la religion. Ils font des photographies, ils écrivent, ils vivent. C'est le début d'une histoire d'amitié, d'une histoire de séduction menant à un " mariage à quatre " où la confusion des sentiments fait rage : quand Frances tombe follement amoureuse de Nick et vit avec lui une liaison torride, elle menace soudainement l'équilibre global de leur amitié. Mais Conversations entre amis n'est pas qu'une banale histoire d'adultère : c'est avant tout le portrait attachant, empathique, des jeunes gens contemporains, ces millenials qui ne parviennent pas à trouver leur place dans le monde que leur ont laissé leurs aînés. La voix de Frances, poétique, désinvolte, parfois naïve, d'une extraordinaire fraîcheur est, par de multiples aspects, celle de sa génération. Traduit de l'anglais (Irlande) par Laetitia Devaux.

03/2021

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Art contemporain

Anthony Cudahy Conversations

Première monographie de l'artiste new-yorkais Anthony Cudahy (né en Floride en 1989, vit et travaille à New York), le catalogue rassemble un portfolio d'une quarantaine de peintures récentes, complété d'un cahier spécial reproduisant la trentaine d'oeuvres anonymes ou non attribuées, choisies par le peintre dans les collections du musée des beaux-arts de Dole. Lançant des ponts par-dessus les époques, la conversation que l'artiste engage en peinture, depuis New York, avec les collections jurassiennes, est de l'ordre du sensible, en résonance avec son propre répertoire - fleurs, attitudes amoureuses, portraits - où sont explorés les registres du romantique, de la tendresse et de l'intime.

06/2023

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Fantasy

Tori Dawson Tome 6 : Druide immoral et Vodka

Quand une guerre menace d'exploser, Tori doit prendre les décisions qui s'imposent... Je l'ai déjà dit et je le répète : je ne suis pas une belle personne. J'ai triché à mon examen final de maths, je ne m'arrête pas quand le feu est orange et je colporte des ragots sur mes meilleurs potes. Mais il y a une différence entre ne pas être quelqu'un de bien... et ne pas être quelqu'un de bien. Et je ne sais pas dans quelle catégorie ranger un certain druide qui se trouve être mon ami. A son palmarès, on retrouve la magie noire, l'enlèvement, le meurtre, et il est sur le point d'y ajouter "massacre à grande échelle" si je ne l'en empêche pas. La vengeance, c'est moche. Dois-je intervenir ? Lui et son ennemie jurée sont sur le point de s'entre-tuer. Les opportunistes se frottent les mains. Les guildes qui les arrêtent en général sont assiégées. Nous sommes à la veille d'une véritable guerre, et je n'ai pas beaucoup de temps pour prendre une décision. Qui est le vrai méchant... et oserai-je me dresser sur son chemin ? #MagieNoire #UrbanFantasy #Paranormal #Faes #Démons

07/2023

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Littérature française (poches)

La Conversation

« Il y a des moments où l'Histoire semble hésiter avant de prendre son élan : Hannibal quand il décide de passer les Alpes avec ses éléphants pour frapper Rome au cœur ; César sur les bords du Rubicon ; le général de Gaulle à l'aube du 17 juin 1940, quand il monte dans l'avion qui va l'emmener vers Londres, vers une résistance qui peut paraître sans espoir. C'est un éclair de cet ordre que j'ai tenté de saisir : l'instant où Bonaparte, adulé par les Français qu'il a tirés de l'abîme, décide de devenir Empereur. » À travers une conversation imaginaire et décisive entre Napoléon Bonaparte et Jean-Jacques Régis Cambacérès, son deuxième consul, Jean d'Ormesson explore la tension entre l'esprit révolutionnaire républicain et le désir de puissance. Il met en scène un Cambacérès ensorcelé par le charismartique Bonaparte. Si tous les mots prêtés à Bonaparte ont bien été prononcés par lui, l'auteur forge ce dialogue fictif à la veille de l'avènement du Premier Empire, aux Tuileries, vers le début de l'hiver 1803-1804.

09/2012

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Photographes

Conversation tardive

Ce livre se présente comme une collection de plus de deux cents photographies prises presque exclusivement entre le début des années trente et la fin des années cinquante par le père de l'auteur. Photographies dont il se trouva le dépositaire à la mort de ses parents mais qui l'ont toujours accompagné au point, écrit-il, de ne pouvoir "se souvenir d'un temps sans elles." C'est avec cette présence familière chargée de secret, d'énigme et d'incertitude qu'une conversation vient ici à s'engager. Photographies en noir et blanc, usées, abîmées, raturées, au format inhabituel, douées d'une incomparable aura. Un texte vient à en préciser chacune, assez court sauf quand, quelquefois, il prend le tour d'une rêverie, d'une remémoration. Ainsi les photographies ne sont jamais là pour illustrer un propos, mais au contraire pour le susciter. Un monde disparu se voit ressuscité : deux fois disparu puisqu'il s'agit de celui de l'enfance, et cela ne peut être autrement, mais aussi celui d'un pays natal que l'enfant (il avait onze ans) dut quitter définitivement, chassé par la guerre. Une double perte en vient à se conjuguer, l'une nécessaire, l'autre contingente. Et dont l'épigraphe du livre, "Sinon l'enfance, qu'y avait alors qu'il n'y a plus ? ", atteste ; c'est à cette double absence que le livre, ici, se confronte. Strictement, sans jamais côtoyer une nostalgie qui viendrait édulcorer le propos. Evocation d'une enfance disparue, de souvenirs impossibles dont seule la photographie possède le sortilège, souvenirs ante natals - la rencontre de Rose et Manuel, les futurs parents de l'auteur, la naissance de la grande soeur, etc., mais aussi inscription d'un monde ambiant auquel l'enfant ne put véritablement accéder, qui le précède et l'entoure, qui est l'émanation de la vie et des gestes, des travaux et des jours. Derrière les premiers plans des photographies - figures convenues de la représentation familiale : l'enfant, la femme, le mari, la parentèle ; figures convenues de la représentation sociale : la cohorte des amis, les activités sportives, les voyages - un monde vient à surgir dans l'arrière-scène, que le photographe ne voit pas, ne vise pas, qui ne s'impose par rien d'autre que par le fait d'être là, nécessairement là et que l'inaltérable enfant ne peut qu'entrapercevoir. Le regard fixé sur l'impossible, dans l'attente. A la recherche "d'une image dont il ne se souvient pas", dans l'intenable vision de "ce qui n'avait pas encore eu lieu ou qui avait été dérobé" est-il écrit par Jean-Jacques Gonzales qui est à la fois photographe et philosophe. Ainsi ce livre apparaît aussi comme une méditation sur l'exil de l'enfance, sur la puissance ontologique de la photographie, à la fois comme la servante des visées d'un photographe, d'une époque, d'un monde, d'un souvenir qui vient mais encore et surtout comme le nécessaire dépositaire de l'irrécusable présence qui ne veut rien. Conversation tardive, toujours tardive, toujours repoussée vers la fin d'un temps qui n'arrive pas. Ce livre témoigne de ce temps qui ne finit pas, et dont seule la photographie est capable d'en saisir les prémisses : "La photographie, est-il écrit en fin d'ouvrage, s'effaçait devant l'opacité du temps, devant l'énigme. Ce qui me troublait, c'était autant la disparition que l'apparition. Je croyais que c'était l'énigme de la photographie, c'était l'énigme de la vie."

06/2022

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Documentaires jeunesse

La conversation

Quoi de plus quotidien que nos conversations et quoi de plus ordinaire ? Et pourtant la conversation est d'une richesse infinie : nous parlons ensemble pour dire nos accords autant que nos désaccords, nous apprenons à nous connaître et à mesurer la distance qui nous sépare les uns des autres. Et le monde dans lequel nous vivons n'est-il pas lui-même une longue conversation déjà commencée dans laquelle nous arrivons pour apporter notre contribution ? Car il y a toujours des enfants qui grandissent et d'autres qui leur succéderont, apportant ainsi de nouvelles questions, comme de petites balles bondissantes que nous rattrapons et qui à la fois nous échappent.

03/2006

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Littérature française

Singulière conversation

Juillet 1743. Effrayée par la naissance d'Ariana, Catherine cède à ses convictions profondes et décide d'éloigner l'enfant. Au petit matin, elle la conduit vers sa nouvelle famille et protégera ce secret quel qu'en soit le prix. De nos jours. Moïra reçoit un étrange héritage qui la conduit dans une quête étonnante, où elle n'aura de cesse de découvrir la vérité. Elle croisera la route de Jacques, conservateur du musée de Pau et fervent passionné de la forteresse de Montaner. A travers ces recherches, arrivera-t-elle à dévoiler ce qui se cache derrière les apparences ? L'auteur laisse vagabonder son esprit sur des chemins qui lui sont familiers et vous plonge dans un Cluedo temporel, narrant des vies et des destins si différents et pourtant si semblables.

03/2017

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Littérature française

La conversation

Huit nouvelles qui décrivent notre époque, vue dans la rue, dans la tête, dans le coeur, dans la vie. Huit nouvelles qui nous emmènent au plus près observer avec curiosité et affection notre existence de héros du quotidien. On se laisse prendre par cette gourmandise avec laquelle Claude Sérillon observe ses personnages, comment il décrit le foisonnement de leur pensée, ce bavardage permanent et incroyable qui les motive, cette belle vitalité dont ils font preuve en dépit des situations dans lesquelles ils se sont chacun laissé emporter. Aucun cynisme, aucune moquerie ou méchanceté de la part de l'auteur, à la rigueur ce gout léger de l'ironie qui fait écho à notre propre instinct, que masque cependant une gigantesque soif d'amour de l'auteur pour le genre humain. Au fond, ce que recherche Claude Sérillon dans ses sujets n'est pas tant le plus trivial que le plus fragile, voire le plus honorable, le plus digne. En suivant ainsi chaque personnage au fil de ses idées et de ses discours, au gré de ses décisions et de ses doutes, le lecteur est happé par un style d'une remarquable vigueur, à la fois précis et déterminé, sans cesse en mouvement. Les phrases et les situations se succèdent, et le livre se referme comme on finit de suivre l'actualité. Pas celle du monde mais la nôtre.

01/2017

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Sociologie

Une conversation

Plus qu'un dialogue ou qu'un débat contradictoire : une conversation. Depuis les années 1970, c'est sous le signe de la complicité intellectuelle, générationnelle et féministe qu'Annie Ernaux et Rose-Marie Lagrave se lisent et se parlent, nourries par une commune expérience de transgression des frontières de classe. Au fil de ces pages, leurs deux voix se croisent et finissent par dessiner, entre sociologie et littérature, l'horizon commun d'une émancipation possible.

03/2023

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Littérature française

La conversation

Paris. Hôtel Plaza Athénée. Charlotte, jeune journaliste fraîchement sortie de l'université, est chargée par un grand hebdomadaire de recueillir la dernière interview de l'ancien Président de la République Victor Esmenard, de passage dans la capitale pour recevoir son Prix Nobel de la Paix. Elle a vingt ans, lui quatre-vingt-dix. Fort de sa longue expérience, Victor livre à Charlotte - non sans humour et un brin de provocation - son regard sur le monde. L'amour, la mort, les femmes, le temps qui passe, la politique, les succès, les illusions perdues, l'être humain et ses faiblesses, le désespoir... Et malgré tout, plus que jamais, cette espérance et cette envie de vivre chevillées au corps. Une rencontre rare entre deux générations que tout sépare, et un entretien initiatique qui va prendre une tournure inattendue...

05/2021

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Photographie

Les solitudes

Il y a mille façons d'être seul au monde. Norman Sagansky, dont l'objectif se balade depuis des décennies aux quatre coins de la planète, ramène ses clins d'oeil et ses instants furtifs autour d'un sujet qu'il explore avec humanité et même humour. Il y a la solitude choisie et la solitude subie, la solitude du créatif et celle de l'abandonné, la solitude continue et la périodique, l'instant de solitude qui s'efface aussitôt mais qu'a attrapé l'oeil de l'appareil photo... Il y a la solitude qui, comme la misère, serait moins pénible au soleil selon la chanson et la solitude en cinquante nuances de gris. Il y a surtout une façon d'être au monde où, comme le génie des langues slaves le révèle, "être" et "seul" ne font qu'un seul mot. Une galerie de portraits des Etats-Unis, de France, de l'Inde ou d'Amérique latine où la condition humaine s'illustre dans sa grandeur comme dans sa petite forme. Pour prendre conscience, s'interroger, et parfois pour sourire.

11/2019

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Littérature française

Les solitudes

"La solitude est un abîme. Un homme, pour en émerger, trouve d'autres solitaires, auxquels il s'accroche : n'importe qui. Vivre avec eux lui paraît plus acceptable que de vivre avec soi. La solitude résulte d'un surpeuplement : il faut quitter ses proches, et se quitter. Un homme va de rupture en rupture, comme pour n'avoir ni passé ni présent. Faire le vide : quelle hygiène ! La solitude est une tyrannie de l'identité. Si elle était quelqu'un d'autre - le hasard décidera -, une femme connaîtrait un peu de paix, un peu d'équilibre. On éprouve toujours de l'ivresse à devenir qui l'on n'est pas". Alain Bosquet.

04/1992

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Poésie

Les solitudes

Comme l'oiseleur du temps ; Je capture au matin ; Les paroles qui ont encore des ailes ; Avant de les libérer aussitôt ; Pour qu'elles s'en aillent messagères ; Par le champ des nébuleuses ; Où Guillaume Apollinaire ; N'en finit pas de rêver ; A ce réel sans limite ; Qui mène plus loin que les rêves.

10/2017

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Littérature française

Solitudes croisées

A travers la vie d'un médecin exilé sur une île, son étrange correspondance avec une femme de ménage solitaire, ses rencontres, son évolution, se lisent les difficultés de la condition humaine actuelle. Ce roman est un plaidoyer poétique pour la vie et son mystère, le féminin et la réceptivité, la contemplation et l'amour. Une ode à la nature bafouée, à l'écoute oubliée, aux rêves ignorés. Des mots pour redécouvrir les liens, la simplicité et la profondeur d'êtres humains lorsqu'ils se croisent au-delà des rapports de consommation.

05/2019

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Poésie

Six solitudes

Vincent Calvet livre Six solitudes pour nous réconcilier avec la puissance d'invocation de la poésie Six solitudes, chacune compte une vingtaine de poèmes, tous d'une même unité et puissance d'invocation lyrique. Les Solitudes déroulent des variations de ces rivages au regard de la mer, miroir, où le poète puise la matière des métaphores et des passerelles sonores. La 1ère Solitude est celle de la mer, ce qu'elle est, ce qu'elle porte, ce qui y vit / du règne du vivant, jusqu'aux marins, c'est la femme / la mère, le tout autre. La 2ème Solitude est celle de la voix du poète plongée dans les signes de la mer, d'un "je" qui se déploie alternativement dans le même registre d'invocation et d'un "tu" introduit formellement par un texte en italiques. Cette solitude se referme sur un poème / dauphin égaré / échoué sur la grève /. La 3ème Solitude est celle d'une adresse au lecteur / auteur, une tentative de nouer la parole à un autre, qu'il sait d'avance qu'elle est destinée à échouer dans le langage du soliloque, tentative qu'il vient ranimer dans / le rêve de la mer /. La 4ème Solitude introduit la présence du rêve sur la ligne d'écriture, recourt de nouveau à l'alternance du "je" et du "tu" . Cette présence affleure, elle clignote, "elle" est là. Le miroir s'empare de la réalité de la langue du poète / tu me tends un miroir dans lequel je me vois et prends ma réalité /. La 5ème Solitude introduit la durée écoulée, de l'enfance au temps présent du poème. / C'est une nouvelle solitude qui commence / au Bord de la Mer / dans ton visage / dans son image / dans la Nuit qui vient /. La 6ème Solitude est celle de l'entrée dans la Nuit heureuse / la mère / où le texte et la voix se font prière, adresse absolue à l'infini qui apaise les souffrances et où s'inaugure l'Espoir.

08/2022

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Littérature française

Solitudes ordinaires

Colombes, banlieue parisienne. Le corps sans vie du docteur Chevalier est retrouvé au pied de son immeuble. Pour la police, tout semble indiquer un suicide par défenestration. Toutefois, cette tragédie semble troubler trois habitants de l'immeuble pourtant emmurés dans leur solitude ordinaire. Léo-Paul, "héros" 2.0, qui exulte dans ses jeux vidéo, est obsédé par sa plastique, ultime rempart contre sa solitude et son impuissance face à la lente agonie de sa mère. Maurizio, privé du jour au lendemain de sa femme enceinte, morte dans un accident de voiture, vit depuis des années en vieux loup triste, blasé et solitaire. Sa voisine du dessus, la jeune Eugénie, lestée par son embonpoint, se sent seule et incomprise, malgré ses deux mères aimantes. Des langues se délient, des affinités se créent tandis que d'autres sont en sursis. Comment la mort du docteur Chevalier va-t-elle conjuguer ces solitudes ordinaires pour faire éclabousser la vérité?

11/2021

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Littérature française

Solitudes mineures

Quand Mina, une adolescente précoce, décide de fuguer dans une ville inconnue, elle emmène avec elle Anatole, dix ans, un autiste Asperger rencontré dans le train. Les événements du quotidien prennent alors une tournure totalement inattendue. Un roman d'une grande tendresse et d'une sensibilité à fleur de peau, qui aide à mieux comprendre le syndrome d'Asperger.

07/2020

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Littérature française

Vastes Solitudes

Mondes, d'autres libertés, d'infinies richesses que seuls l'amour et la pensée connaissent. Afin de sortir de l'impasse contemporaine, les deux héros de ce livre, un homme et une femme, se vident de la société pour ne jouir que du Temps. Ils vivent dans une petite maison en bordure de ville, à hauteur respectable des tribulations urbaines. La campagne et la forêt se hument toutes proches, les montagnes offrent leur horizon en dents de scie. Alvia l'amazonienne est musicienne et brasse l'air de sa noblesse, tandis que lui se joue des mots et prend des notes. Il a refermé ses cahiers de désespoir le jour où il a réglé sa vie selon les joies qu'exprime encore le réel. Tous deux s'aiment de nier la mort, mais l'Amour ne les a pas rendu aveugles. Ils ressuscitent donc chaque jour et leur projet est le bonheur, ce mot d'après jouissance qui n'est su que lorsqu'il se vit. L'amour comme salut ? Sans rancoeur ni aigreur ? Sans aucun sentimentalisme ? Le paradis, là, maintenant ? Oui.

02/2012

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Littérature française

Mortelles solitudes

En venant rejoindre son domicile conjugal à Guet Ndar, le populeux quartier des pêcheurs à Saint-Louis, Seynabou Fall, alors âgée de quinze ans, n'aurait jamais imaginé que des années plus tard, sa vie virerait au cauchemar. La mer boulimique, non contente de lui avoir pris son époux, Waly, et ses quatre enfants partis en campagne, avait aussi avalé son benjamin, le petit Dabakh, maltraité, puis assassiné par son oncle Mademba. Ce roman de Samba Oumar Fall retrace l'itinéraire d'hommes et de femmes qui arrachent chaque minute de leur vie à un destin de plus en plus " cruel "...

01/2019

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Réalistes, contemporains

Hawaï solitudes

Un drame familial autour du deuil qui convoque aussi l'incommunicabilité, la solitude, les désirs non assouvis...

03/2022

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Littérature étrangère

La solitude des empereurs

Au début des années 1990, dans une petite ville du Tamil Nadu de du Sud), le jeune Vijay ne rêve que d'une chose : quitter ville natale à l'ennui paralysant. Propulsé par le hasard des constances dans l'univers journalistique de Bombay, il débute e carrière pour la revue The Indian Secularist au moment où métropole voit ses habitants musulmans aux prises avec des émeutiers hindous. Témoin de violences sans précédents, Vijay touché, physiquement et moralement, par la montée de intégrisme religieux que connaît son pays. Son patron, Rustom Sorabji, décide alors de l'envoyer dans la région des monts Nilgiri, -c pour mission d'enquêter sur la polémique engagée autour n sanctuaire dédié à la mémoire d'un martyr chrétien, dont miracles attirent encore des pèlerins de confessions diverses. lieu saint, qui jadis aurait été réservé au culte de Shiva, est 'aujourd'hui revendiqué par certains tenants d'un hindouisme agressif manipulés à des fins politiques. Vijay s'implique corps et e dans sa première enquête. Sur sa route, il rencontre Noah, personnage énigmatique, poète et philosophe, qui vit reclus dans cimetière. La religion et la tolérance cultuelle sont au cœur de ce roman pacifiste, écrit dans un style poétique non dépourvu d'humour d 'ironie

05/2008

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Poches Littérature internation

Histoire d'une solitude

Milan Füst (1888-1967) et essayiste, fut l'un des plus grands maîtres de la littérature hongroise. Ami de Kosztolànyi et de Karinthy, rédacteur de la revue littéraire Nyugat, il a été l'un des rares écrivains hongrois de sa génération à connaître une renommée internationale de son vivant. En dépit de ce succès, il est resté un être solitaire, fidèle à son étrangeté. Troublant écho à l'Histoire de ma femme, publié aux éditions Gallimard, L'Histoire d'une solitude, paru en 1956, est un chef-d'oeuvre de sa maturité.

04/2012

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Philosophie

L'amour la solitude

L'amour, la sexualité, le désespoir, la solitude, la sagesse... Pour André Comte-Sponville, proche en cela des dizaines de milliers de lecteurs qui ont plébiscité son œuvre, la philosophie n'a d'intérêt que si elle reste au contact de la vie vécue, de l'expérience quotidienne, qu'elle nous aide à éclairer et à approfondir. Dans ces entretiens avec une romancière, un poète et un jeune philosophe, il aborde en toute liberté les grands thèmes qui charpentent son œuvre, n'hésitant pas à dévoiler son parcours personnel pour montrer comment une existence peut être illuminée par la pensée des grands auteurs. Et c'est finalement une invitation à partir nous-mêmes à leur rencontre, de façon à la fois intime et libre, qui nous est faite dans ce petit livre, depuis longtemps devenu un best-seller.

01/2004

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Littérature étrangère

La solitude est sainte

Le romantisme, c'est le domaine des solitaires, des élégiaques. Et d'un des plus grands essayistes en langue anglaise, William Hazlitt (1778-1830), qui fut aussi peintre, vagabond, amoureux et un partisan exalté de la liberté individuelle. Un beatnik en redingote. Farouche, indomptable, drôle, clairvoyant, enthousiaste, amer, mélancolique. Les essais réunis dans ce livre nous font découvrir trois facettes complémentaires de sa personnalité : le goût du voyage solitaire (Partir en voyage), la prédilection pour le passé (Du passé et de l'avenir) et la vie en marge du monde, dégagée plutôt qu'engagée (Vivre à part soi). Un triptyque lumineux et jubilatoire.

05/2014

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Manga

Journal de ma solitude

Chère Kabi Nagata. C'est Kabi Nagata. Comment vas-tu ? Après Solitude d'un autre genre, livre dont j'illustrais ma vie autour de ma rencontre avec une prostituée lesbienne, je commence la tenue de ce journal que je t'adresse afin de poursuivre ma démarche introspective. Car depuis que mon livre est paru, il faut vivre ma vie "d'après" : les effets sur ma famille de ma... mis à nu et de mon coming out, l'amitié... Sans oublier l'amour, maintenant que j'ai affirmé ma sexualité. Aujourd'hui encore, je cherche qui je suis et comment je peux être moi-même.

07/2020

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Poches Littérature internation

Le puits de solitude

" On la jugeait singulière, ce qui, dans ce milieu, équivalait à une réprobation. Troublée, malheureuse, comme un tout petit enfant, cette large créature musclée se sentait seule, elle n'avait pas encore appris cette dure leçon : elle n'avait pas encore appris que la place la plus solitaire en ce monde est réservée aux sans-patrie du sexe. " Le puits de solitude fit scandale lors de sa parution à Londres en 1928, où il fut interdit et les exemplaires imprimés jetés au feu. Marguerite Radclyffe Hall y dépeint l'amour de deux femmes, contrarié par une société hostile, et prend la défense de cette minorité incomprise et méprisée. Véritable plaidoyer en faveur de l'homosexualité, Le puits de solitude est aujourd'hui une référence littéraire reconnue par tous.

05/2005

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Religion

Quand craque la solitude

La solitude mord comme la faim et la soif. Mais, honteuse, on la tait. Sortir de l'isolement, c'est se souvenir que nous sommes des êtres assoiffés et affamés de communion. Un traité biblique et pratique pour briser enfin la prison de verre de l'ego. La découverte d'un grand auteur. La solitude est aussi universelle que la faim ou la soif. Mais parce qu'elle nous affecte de la façon la plus intime qui soit, nous sommes moins disposés à en parler. Pourtant, qui n'a pas connu la douleur de la solitude. Aucune voix n'est plus insidieuse que celle qui murmure à notre oreille : "Vous êtes irrémédiablement seul, aucune lumière ne percera vos ténèbres." Mais le christianisme dit que cette voix ment. Car le postulat de départ, c'est la certitude que la réalité ultime, source de tout ce qui existe, est une réalité personnelle de communion, pas une abstraction métaphysique. Etre chrétien, c'est être ensemble. Nous conduisant à cette communion, l'Evangile nous exhorte à plusieurs reprises de "nous souvenir" de qui nous sommes, d'où nous venons, où nous allons. Ce livre examine les différentes facettes de l'identité chrétienne, complétant l'exégèse biblique par des textes tirés de la littérature. Un livre pour comprendre qui nous sommes et sortir de nous-mêmes.

04/2019

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Psychologie, psychanalyse

Passion, solitude et folie

On ne trouvera pas ici d'"histoires de cas" avec ce qu'elles supposent d'objectivation, de distance savante, de vocabulaire codé, mais quelque chose de beaucoup plus rare : le récit de rencontres cliniques, parfois pathétiques, toujours déroutantes. C'est que, pour Masud Khan, la méthode inventée par Freud exige autant de l'analyste que du patient. Il ne cesse de nous rendre présent le paradoxe inhérent à la situation analytique : la nécessité pour l'un et l'autre des protagonistes d'instaurer une relation avec la part inconnue d'eux-mêmes. Masud Khan ne prétend pas prescrire une technique nouvelle pour cas difficiles ou imposer une métapsychologie révisée. Il s'expose dans le vif de son expérience, l'inattendu de la rencontre, l'originalité décapante de sa culture. Le lecteur a le sentiment de l'accompagner dans le cabinet de consultation, d'être directement confronté à la folie secrète de la plupart, à la passion destructrice de quelques uns, à la solitude de chacun, ici incarnées dans des personnes et des destinées plutôt que représentées par des patients. Ce volume - qui fait suite aux deux ouvrages de l'auteur publiés dans la même collection : Le soi caché et Figures de la perversion -comprend des essais, notamment sur L'Idiot de Dostolevski et sur La Chute d'Albert Camus, qui ne figurent pas dans Pédition anglaise.

05/1985

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Théâtre

La solitude du mammouth

C'est l'histoire d'une femme de quarante ans qui a consacré toute son énergie à sa famille - elle a deux enfants - et qui voit son mari partir en scooter pour une plus jeune de quinze ans, aux jambes interminables et aux seins généreux. C'est l'histoire d'une femme qui a du mal à avaler ça et qui veut donner une sacrée leçon à son mari en cherchant un mafieux albanais pour arranger le portrait de l'homme qu'elle a tant aimé. Finalement, elle se plonge dans les manuels de psychologie et, découvrant les théories de Paul Watzlawick, décide de faire justice elle-même. C'est l'histoire d'une femme pas déprimée du tout qui va rendre inpossible la vie du fugueur en scooter. Un monologue drôle, cruel et déjanté évoquant la colère intérieure, le désir de vengeance, et la faculté de sublimer les émotions les plus profondes.

07/2017