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Brazzaville, ma mère

Extraits

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Histoire internationale

Pour une nouvelle gouvernance du Congo-Brazzaville

La République du Congo est confrontée à une profonde crise des valeurs morales et sociales. Cette crise est sans doute à l'origine de la corruption qui touche les différentes couches de la société et de l'amplification des antivaleurs. A cela, s'ajoute l'absence de perspectives de diversification de l'économie nationale, qui demeure essentiellement centrée sur le pétrole, la mauvaise qualité de l'offre de soins de santé, la dépendance alimentaire, la déliquescence du système éducatif, la faible performance des services publics, l'inadaptation du modèle institutionnel au contexte socioculturel, la paupérisation des classes défavorisées, l'inadéquation entre l'offre de formation et les emplois disponibles, etc. Face à cette réalité, la convocation d'une nouvelle gouvernance devient une exigence patriotique. Dans ce livre, Julien Makaya "Ndzoundou" propose une véritable rupture dans la gouvernance du Congo. Certaines idées développées sont insolites mais demeurent, de notre point de vue, la voie à suivre pour la construction d'un Congo moderne et puissant au coeur de l'Afrique.

10/2015

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Histoire internationale

Congo-Brazzaville 50 ans après, quel bilan ?

Après 50 ans d'indépendance et en dépit de ses immenses potentialités et des efforts accomplis, le Congo reste un pays sous-développé : insuffisance notoire de structures et d'infrastructures viables, chômage de masse qui de plus s'accroît de façon exponentielle, non-satisfaction des besoins primaires pour la quasi-totalité de la population, etc. Partant de ce constat, l'auteur expose avec clarté les différentes politiques mises en oeuvre depuis 1960, situe les causes de leur échec et les niveaux de responsabilité avant de proposer des solutions permettant d'accéder à la modernité et à l'indépendance réelle, à condition de fonder cette modernité sur notre propre vision du monde, de réformer l'Etat, héritage colonial et véritable outil de notre propre domination et de briser les chaînes de notre soumission vis-à-vis de l'Occident qui contribue à notre perte en nous imposant son projet de société. En somme, cet ouvrage est une contribution au débat sur l'avenir du Congo voire de l'Afrique.

09/2010

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Violence

Ethnicité et bandes armées au Congo-Brazzaville

A la lumière des guerres asymétriques des années 1993-1997 du Congo-Brazzaville, on note : l'ethnicisation des sociétés congolaises, la montée des bandes armées, des luttes de pouvoir entre le camp Nord et le camp Sud, l'errance des populations vers d'autres pays et d'autres régions. Le sociologue, Etienne Bakissi, traite dans ce livre de l'ethnicité groupale, de la revendication des bandes armées et la crise de l'Etat régalien. Saisissant la perte de sens, du désoeuvrement et de l'abandon, les vendeurs d'illusion instrumentalisent la jeunesse pour en faire des auteurs, des acteurs et des victimes d'actes belliqueux. Le recours aux armes va être le moyen par lequel, les jeunes gagnent leurs butins : les hommes tuent et violent ; les femmes quant à elles deviennent par ailleurs des passeurs potentiels, parce que la langue devient un marqueur identitaire. La violence devient à cet égard "l'exécutoire des frustrations, des peurs et des angoisses". Se pose l'hypothèse de la différenciation sociale. Car un individu peut-il appartenir à des sociétés qui ont des intérêts opposés ? La socialisation de jeunes résulte-t-elle de la formation d'attentes ?

06/2023

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Romans historiques

Chev'al dire à ma mère. La guerre de mon père, cadet de Saumur

En 1940, survivants et libres après les combats sur la Loire pour défendre Saumur, trois cadets traversent la Deuxième Guerre mondiale où le monde bascule dans la terreur. Militaires et résistants, collabos et nazis, chacun joue son jeu et sa peau pour survivre ou dominer. Réalité des armes et fiction de certaines situations rocambolesques s'enchevêtrent dans un style picaresque. Devoir de mémoire certes, mais assorti de clins d'oeil que cet ex-collaborateur de Pierre Dac ne saurait en aucun cas passer sous silence - l'humour est parfois une politique du désespoir. C'est aussi un rappel au lecteur que la paix entre les peuples est un équilibre fragile. Le bruit des armes n'a pas cessé de troubler le sommeil léger de comme le dirait notre héros : Chev'al dire à ma mère ! Après S. O. S. , le crabe ne fait pas de cadeau, Olivier Duffi llot nous emporte dans ce second roman au coeur de destins malmenés par la guerre, où brillent cependant l'amour, l'espoir et l'optimisme. Usant d'ironie, de sarcasmes et d'humour franc, il allie à merveille réalité historique et fantaisies romanesques.

04/2018

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Histoire internationale

Le mal congolais. Origines de la ruine du Congo-Brazzaville

Voici un regard lucide, sans concession, sur la lente dégradation d'un pays jadis promis à un brillant avenir. C'est aussi le " J'accuse " d'un patriote lassé d'attendre de ses élites le sursaut nécessaire pour sortir le Congo de son enlisement politique, économique et social. Simple, didactique et édifiant, ce livre est à la fois un roman picaresque et un pamphlet politique, et c'est bien là le tour de force de l'auteur qui réussit à nous enseigner l'histoire au détour de ses propres tribulations.

02/2011

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Grammaire

La dictée... Les fautes... Même pas peur ! La grammaire de grand-mère

Cet ouvrage n'est nullement un énième manuel de grammaire. Il s'agit plutôt de proposer un outil regroupant et expliquant certaines bases des règles les plus simples et les plus courantes de l'apprentissage de la langue française, avec une lisibilité maximale et de portée sociale, en direction des jeunes, familles, adultes et aidants, quels que soient leur rôle, leur situation et leur âge. Retraitée de l'Education Nationale, riche de ses expériences de Directrice d'école mais aussi de Conseillère Pédagogique à l'Ecole Normale de CERGY-PONTOISE (95), passionnée par l'apprentissage de la lecture et de l'écriture, Claudine Lieure a également travaillé avec des groupes de recherche dont le seul intérêt de se servir de la "?différence comme base éducative, formatrice et constructive?"... D'où son premier ouvrage, Retire donc tes charentaises paru aux éditions Amalthée en 2014.

10/2021

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Théâtre

Le père de l'enfant de la mère ; Sur la côte sud

Ce diptyque théâtral réunit deux récits familiaux, portés par la figure de Frida. La jeune enfant, figure muette mais toujours présente, provoque chez ses parents un besoin d'amour exclusif. Derrière l'apparente légèreté des échanges domestiques se déploie une chorégraphie de possession de l'enfant, avec chantage affectif et recherche permanente d'ascendant sur l'autre parent. Si la première pièce se concentre sur le trio père-mère-enfant, la seconde élargit le cercle familial aux grands-parents, à qui Elle et Magnus rendent visite pour les vacances au bord de la mer. L'insistance à affirmer le bonheur d'être là révèle peu à peu un profond malaise. Alors que les pleurs de la grand-mère semblent taire un terrible secret, Magnus décide de partir seul avec Frida sur la côte sud. Les compositions de Brattberg, musicien de formation classique, s'illustrent par la finesse d'un rythme syncopé, avec ses jeux d'échos et e ses silences. Une écriture musicale qui gagne en efficacité dramatique par son économie de mots Les mêmes scènes se répètent, avec de légères variations, où viennent se nicher, par la mise à distance et la dérision, la tension familiale et les obsessions individuelles.

11/2020

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Poésie

(mère)

Aki Roukas a toujours eu à coeur de laisser une trace de sa mère, ces doux souvenirs d'enfance qu'il lui attache. Dans " ", il a réuni toutes les pièces d'un puzzle fait d'émotion et de respect pour rendre un hommage retentissant à cette femme courageuse, simple, et pourtant extraordinaire. Un témoignage d'amour sincère et indélébile pour que la figure aimée échappe aux griffes de l'oubli. Pour que les mères du monde entier qui enfantent toujours dans la douleur selon la volonté du créateur, soient réhabilitées dans la joie et l'amour de leurs propres créations.

11/2022

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Littérature française (poches)

Mère

Mère a la dureté cinglante d'une Folcoche lyonnaise, qui régente ses deux filles jusqu'à les étouffer. L'ainée, Mélanie, s'enfuit le jour de ses vingt et un ans, quitte Lyon et s'installe à Paris pour travailler, non sans difficultés. Gisèle, plus vulnérable, hésite entre les hommes. L'une se construit par la volonté, l'autre se laisse attendrir par la vie, épousée et enceinte, malgré les foudres de Mère. Mais pourquoi celle-ci est-elle aussi impitoyable, aussi soucieuse des apparences et du qu'en-dira-t-on ? Et surtout, quel passé dissimule-t-elle à ses enfants ? Dans ce roman à double voix, Solange Fasquelle dessine, en toile de fond, le portrait de Lyon, une de ces villes de province aux murs épais et aux silences lourds de secrets.

11/2007

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Littérature française

Mère

Estelle Fenzy écrit au rythme de la vie, dans la vie. Le plus souvent autour d'un thème qui touche ses sens et son cheminement. Mais quels que soient la forme et le thème, elle travaille au dépouillement, fuit le mot de trop, le superflu.

06/2017

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Théâtre - Pièces

Mère

Fuyant la guerre civile, une mère libanaise s'installe à Paris avec ses trois enfants. Commence alors pour la famille une parenthèse absurde, rongée par la peur des dégâts irrémédiables de la guerre et alanguie par l'attente d'un père. 3 femmes, un homme, un enfant / 2 h 15

09/2023

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Littérature française

Mon alcool, ma mère

"J'ai écrit ce roman en me basant sur des aventures d'alcool de voisinage et de famille. Je me rappelle à des moments avoir bu sans raison mais en m'arrêtant. Pendant une année, j'ai reconduit des femmes et des amies car elles avaient trop bu. Reconnaître un mal-être profond avec l'alcool est déjà un pas second dans sa guérison. Par ailleurs, beaucoup d'hommes et surtout de femmes souffrent de l'alcool et de ses dérives. J'ai voulu par cette histoire relater un moment d'égarement et des moments de solitude, montrer l'alcool et ses ravages. L'alcool est un fléau qui tue nos populations dans le silence d'un bouchon ou d'une bouteille vide sans voix. ". . Jacky Bayili est docteur en sciences de l'information.

01/2021

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Critique littéraire

Françoise Sagan. Ma mère

Célèbre à dix-neuf ans, Françoise Sagan n'est pas seulement un écrivain populaire et un personnage qui hante les nuits parisiennes. Elle est l'image de l'après-guerre, d'une France libérée, d'une nouvelle vague brûlant les interdits, au style littéraire épuré et tranchant. Mais c'est au fils des succès en librairie que se construit le " mythe Sagan ". Une légende sulfureuse et réductrice...

11/2012

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Littérature française

Ma mère avait raison

Sans le doute le livre le plus drôle et le plus déchirant d'Alexandre Jardin. Celui caché derrière tous ceux qu'il a déjà consacrés à sa famille ; celui qui révèle la pièce maitresse : sa mère. Après le clan bizarre et merveilleux ( Le roman des Jardin ), le grand-père sombre ( Des gens très bien ), le père fantasque qui ignorait la peur ( Le Zubial), voici le portrait d'une femme qui s'autorisa à être entièrement elle-même. Car la mère d'Alexandre Jardin est le contraire de notre époque éprise de règles, de politiquement correct, de précautions : c'est l'antidote absolu de notre siècle timoré. Elle ose tout. Le monde la jugera, aimera son courage, la détestera, l'enviera, l'imitera, en rira, en parlera. Elle est dans les yeux de son fils l'héroïne-née, la tisseuse d'aventures, l'inspiratrice des hommes, la source jaillissante de mille questions, elle est le roman même. Un roman qui questionne, affole, vivifie et rejoint la joie du fils. Mais la touche de chagrin l'emporte au début comme à la fin car la magicienne n'est pas éternelle. Alexandre Jardin nous livre le texte qu'il aurait écrit après sa mort, en forme d'adieu. Certaines femmes ne devraient pas mourir. Par ce livre écrit en totale liberté, sa légende survivra.

10/2017

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Littérature française

Ma mère, cette inconnue

"Netka, il y a du slave dans ce nom qui sonne clair. Elle a cinquante pour cent de sang polonais dans ses veines. Il me faudra beaucoup de temps pour identifier la Pologne, chercher la trace du père inconnu, éclaircir les mystères, imaginer l'enfant-valise, la petite fille abandonnée. Elle est, elle était ma mère", Philippe Labro.

03/2017

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Littérature française

Maria, ma grand-mère

Maria, ma grand-mère, est née en 1897, autant dire qu'elle a vécu de nombreux changements sociaux et innovations qui ont marqué même le coeur de la campagne bourguignonne. Mais le plus grand bouleversement dans sa vie fut la déclaration de guerre de 1914. Nombre de ses amis sont partis, lui ont écrit, sont morts ou sont revenus mais Maria, à travers les cartes qu'elle a reçues du front a subi de plein fouet cette époque douloureuse. Retracer la vie de Maria depuis sa naissance jusqu'à son mariage m'a permis de m'approcher d'elle, à travers ses histoires d'amitié ou d'amour, et de rendre hommage à ces jeunes hommes du village fauchés ou abîmés par une guerre qui ne les concernait pas.

11/2018

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Psychologie, psychanalyse

Ma mère, cette manipulatrice

On ne choisit pas sa famille, mais on peut se retrouver face à un compagnon ou une compagne avec un comportement bizarre c'est-à-dire un comportement anormal. Autoritaire, méchant, destructeur avec laquelle ou lequel vous ne pouvez pas vous défendre. Toujours prêt à se venger, il ou elle peut faire de votre vie un enfer. Des mots et rien que des mots peuvent vous faire sombrer dans la dépression. Cela s'intitule du harcèlement moral. Beaucoup de gens sont affectés de troubles mentaux. C'est très difficile de s'en séparer. Les thérapeutes sont devenus indispensables pour les victimes., car c'est difficile de se reconstruire soi-même.

01/2021

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Faits de société

Ma mère, mon bourreau

Des cris, des coups et de la haine. Ce sont les principaux souvenirs qu'Elisa garde de son enfance. Jamais un sourire, pas une seule parole tendre ni un baiser de ses parents. Bouc-émissaire de la famille, battue quotidiennement, la fillette grandit dans un climat de terreur. La petite fille n'a que deux ans quand sa mère, exaspérée par ses pleurs, la jette du haut de l'escalier. C'est le début du cauchemar qui durera seize longues années. Mais le pire est à venir quand son beau-père commence à abuser d'elle et à la frapper jusqu'à la laisser pour morte. Dans cette famille, Elisa subit son sort en silence, résignée parce que ses tortionnaires l'ont persuadée qu'elle mérite ce qui lui arrive. Un jour, heureusement, quelqu'un remarque sa détresse et cherche à la délivrer enfin de ce calvaire...

09/2020

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Littérature française

Ma mère est morte

"Aujourd'hui nous sommes le 4 février 22, ma mère est morte. J'apprends cette nouvelle par mon frère aîné, tôt le matin en arrivant au bureau. Cette annonce m'anéantit, un tourbillon de pensées me traverse, et puis s'arrête, je bloque sur une banalité, dois-je dire, ma mère est morte, ma mère est décédée, j'ai perdu ma mère ? Je sens mon intérieur disséqué. Une vive sensation de déchirure, brûlure intérieure m'envahit, je ne me sens pas bien. Je pleure, je n'arrête pas, ni rien, ni personne n'arrive à arrêter ses pleurs, mes yeux jaillissent, de pleurs, comme un robinet qui dysfonctionne, coule, coule, impossible de l'arrêter. Pendant ce temps, autour de moi, un élan d'humanité, d'affection, de tous, professionnels, amicaux, familiaux vient m'entourer, me réconforter, mais rien n'y fait, j'ai l'impression de chute d'une falaise mais retenue par je ne sais quoi. Ca mouline dans ma tête, elle va exploser. La boucle se remet en marche, comment dois-je parler du décès de ma mère, ma mère est décédée ? Elle est morte ? J'ai perdu ma mère ? La dernière formulation me heurte, m'agace au plus profond, si la plupart des civilisations pensent à la réincarnation, au jugement dernier, alors la mort n'est donc pas une perte, c'est juste une transformation : "j'ai perdu ma mère" cette notion de perte me perturbe. Oui, pourquoi dit-on alors que les morts ne sont pas morts ? Ca veut bien dire que l'âme, esprit, bidule, n'est pas si loin, ok, j'arrête, je n'en sais rien. C'est décidé, je vais simplement dire : ma mère est morte ". Gisèle Face naît à Zingui, un petit village d'Afrique situé au coeur du Cameroun. Fille d'enseignants, elle exerce à présent comme assistante sociale dans un hôpital. Humaniste et militante, elle est membre active d'une association qui prône l'idée suivante : "l'autre comme soi, l'autre comme soin" . Elle met en pratique ce concept quotidiennement au coeur du terrain hospitalier, où elle accorde une grande considération à ses patients. Femme de caractère, elle écrit sans cesse.

12/2022

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Littérature francophone

Ainsi parlait ma mère

"Vous vous demandez sans doute ce que je fais dans la chambre de ma mère. Moi, le professeur de lettres de l'Université catholique de Louvain. Qui n'a jamais trouvé à se marier. Attendant, un livre à la main, le réveil possible de sa génitrice. Une maman fatiguée, lassée, ravinée par la vie et ses aléas. La Peau de chagrin, de Balzac, c'est le titre de cet ouvrage. Une édition ancienne, usée jusqu'à en effacer l'encre par endroits. Ma mère ne sait pas lire. Elle aurait pu porter son intérêt sur des centaines de milliers d'autres ouvrages. Alors pourquoi celui-là ? Je ne sais pas. Je n'ai jamais su. Elle ne le sait pas elle-même. Mais c'est bien celui-ci dont elle me demande la lecture à chaque moment de la journée où elle se sent disponible, où elle a besoin d'être apaisée, où elle a envie tout simplement de profiter un peu de la vie. Et de son fils".

01/2020

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Littérature française

Parler à ma mère

"Si vous me demandez de parler de maman, je ne vous dirai rien. Je n'ai en tête ni la plante vulnéraire, ni la senteur des fleurs jaunes, ni le goût de fenouil mêlé à l'anis vert. Je me souviens que j'avais offert, une couronne de jasmin à la femme que j'aimais. Je regarde encore souvent cette photo où Emma me sourit gênée dans son manteau bleu Klein, en drap de laine fin, court, au toucher velours." Parler à ma mère raconte l'histoire tendre, mélancolique et humoristique d'un milieu de vie : un quarantenaire se retrouve sans désir suite au départ mystérieux de sa femme. Il arrête alors de travailler et décide de se consacrer au tennis et à son fils de 6 ans. Quand il va voir un psychanalyste, il s'aperçoit qu'il ne lui parle pas de sa femme mais de sa mère. Ces séances avec le psy le remettront-elles en mouvement ? Thèmes : nouveaux papas, mère juive, divorce...

06/2021

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Littérature française

Marie Curie, ma mère

Un témoignage inédit d'Irène Joliot-Curie sur sa mère Marie Curie. Alliant vie familiale, anecdotes privées et recherches scientifiques, voici un document rare et émouvant sur une famille d'exception et sur deux " femmes puissantes ", lauréates du prix Nobel avec leurs maris. En 1954, à l'occasion des 20 ans de la mort de Marie Curie, la revue Europe commande à sa fille Irène un article - resté confidentiel et jamais réédité jusqu'à aujourd'hui - dans lequel elle livre " souvenirs et impressions " sur sa mère. Irène y aborde l'enseignement dont elle a bénéficié et qu'elle caractérise d'" un peu désordonné ", l'importance qu'elle et sa mère accordent à la pratique des exercices physiques, aux excursions en montagne ou à la mer, à tout type de loisirs actifs. L'une et l'autre aiment la nature et la poésie, à laquelle son grand-père a initié Irène et que Marie avait acquis dans sa jeunesse. Les années 1914-1918 sont un tournant majeur dans la vie de Marie Curie. Elle équipe des voitures radiologiques et forme des groupes d'infirmières à la pratique des appareils à rayons X. Irène, s'implique très tôt, à 17 ans, dans le travail entrepris par sa mère dont elle devient, avec le même caractère calme et réfléchi que son père, une collaboratrice privilégiée. Elle aura bientôt une place reconnue à l'Institut du Radium où elle entreprend ses propres recherches et rencontre Frédéric Joliot. Leurs travaux communs les mèneront jusqu'au Prix Nobel de chimie en 1935. Une découverte qui complète si bien celle de Pierre et Marie Curie. Irène aborde enfin la personnalité de Marie, ses opinions religieuses et politiques. Leurs idées se rencontrent sur la science, le plaisir de la découverte, l'horreur de la guerre qu'elles ont vue de près. Mais, contrairement à sa fille, Marie a peu exprimé, en dehors de sa famille, ses opinions sur les injustices sociales, le gâchage des ressources naturelles ou les crédits militaires. Un témoignage unique sur une fille et sa mère qui ont toutes les deux marqué l'histoire.

03/2022

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Autres éditeurs (A à E)

Ma mère des banquises

Sa maman est partie en expédition polaire. Alors, pour combler l'absence, elle lui écrit, imaginant à quoi ressemble la banquise, racontant son quotidien, ses amis, les rires partagés avec son père...

09/2023

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Autres philosophes

Consolation à ma mère

Consolation à ma mère est sans doute le texte le plus personnel et touchant de Sénèque. Alors qu'il est envoyé en exil en Corse par l'empereur Claude qui l'accuse d'adultère, le stoïcien écrit une lettre à sa mère Helvia, terriblement affligée par cette séparation. Revenant sur l'injustice dont il a été victime, Sénèque élabore de précieux conseils destinés à un être cher, mais aussi à lui-même, pour soulager la douleur personnelle de cette mise à l'écart. Également prétexte pour développer une réflexion morale sur le malheur et la dignité, cette consolation qui se donne comme va-et-vient entre le personnel et l'universel fait du stoïcisme une philosophie éminemment humaine.

08/2023

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Policiers

Lettre à ma mère

Ma chère maman, Voilà trois ans et demi environ que tu es morte à l'âge de quatre-vingt-onze ans et c'est seulement maintenant que, peut-être, je commence à te connaître. J'ai vécu mon enfance et mon adolescence dans la même maison que toi, avec toi, et quand je t'ai quittée pour gagner Paris, vers l'âge de dix-neuf ans, tu restais encore pour moi une étrangère. D'ailleurs, je ne t'ai jamais appelée maman mais je t'appelais mère, comme je n'appelais pas mon père papa. Pourquoi ? D'où est venu cet usage ? Je l'ignore.

09/2009

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Littérature française

Ma mère et moi

C'est une histoire d'amour et de dialogue impossible entre un fils et sa mère. Lui, 37 ans, né en Algérie, habite en France depuis quatorze ans. Elle, vit en Algérie. Il est intellectuel. Elle ne sait ni lire ni écrire. Il est homosexuel. Elle aimerait qu'il se marie avec une musulmane. Comme elle aime les histoires, il lui raconte, jour après jour, Le Livre de ma mère d'Albert Cohen. Il espère que les questions abordées dans le livre de cet écrivain juif, qu'il admire, susciteront un échange avec sa mère. Ma mère et moi, merveilleux texte à la langue épurée, s'adresse à la fois au coeur et à la raison. C'est une mélopée lancinante et mélancolique qui vous prend à la gorge. Une fable moderne sur des sujets brûlants de notre société actuelle : la confrontation des cultures, la sexualité, la judéité et l'islam, le vivre-ensemble...

03/2015

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Littérature francophone

Avocate de ma mère

Je m'appelle Darling, je suis née et j'ai grandi au Congo. J'ai connu la misère, la guerre, la terreur. Ma mère a tout fait pour me permettre d'avoir une vie normale mais la maladie l'a rattrapée. J'écris un livre pour lui rendre hommage, pour témoigner, pour rétablir la vérité. Aujourd'hui, je suis l'avocate de ma mère. J'espère que ce livre va permettre aux personnes qui sont dans la souffrance de leur redonner espoir et courage. Car, même quand tout vous semble perdu, que vous êtes dans la misère la plus totale, il ne faut pas désespérer. Mon histoire va pouvoir vous y aider.

06/2021

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Littérature française (poches)

Portement de ma mère

Tout au long des 32 tableaux qui composent ce recueil, François Emmanuel évoque la figure maternelle dans ce qu'elle représente de plus sacré et de plus fragile : celle de chacun - sans laquelle nous ne serions pas et dont la perte nous confronte à notre propre finitude - et celle d'un seul, lui, le fils, qui assiste à l'agonie de celle qui l'a porté. Jouant, dès le titre, sur l'image de la Piéta, François Emmanuel renverse les rôles et accomplit à son tour le portement de sa mère, à la seule force de l'écriture et de la parole du souvenir.

05/2009

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Littérature française

Comme dit ma mère

"Le rayon bas et chaussettes chez Decré est au rez-de-chaussée, la vendeuse ouvre les pochettes et glisse une partie du bas sur le dos de sa main pour montrer la texture et la couleur, je n'ai pas le droit de le faire, je pourrais les effiler avec mes ongles mal limés. On monte pour le plaisir de faire de l'escalier roulant, faire un tour aux jouets et au blanc. L'été, on va sur la terrasse et là c'est comme dans un film : les tables, les parasols, la ville en dessous. Les gars des chantiers sont un peu à part, parce qu'ils construisent d'immenses bateaux sur les cales, ça fait des étincelles et beaucoup de bruit, le jour d'un lancement, toute la ville est là pour admirer leur travail, mon père quitte son travail avant l'heure, c'est impossible de rater ça. On se répartit en face sur le quai ou le long de la rampe de l'Ermitage. Au moment du lancement, tous les bateaux cornent et tous les Nantais pleurent tellement c'est incroyable le travail qu'ils arrivent à faire. Petit à petit, j'apprends que les chantiers sont menacés et ça chauffe à cause de ça, si ça ferme, ils n'auront plus de travail et Nantes ne sera plus un port. Il y a des manifestations en ville et les gendarmes peuvent tirer comme si les ouvriers étaient devenus des ennemis, je sais qu'une fois un homme a été tué". Nous sommes à Nantes dans les années 1950. La guerre est encore toute proche dans les mémoires et les paysages. Dans cette reconstruction une petite fille se raconte : ses parents, ses voisins, l'église, son quartier, le centre-ville, les vacances dans le Finistère... Tout ce qui constitue la vie simple d'une enfant curieuse. Le texte est écrit d'un seul bloc, d'un seul souffle comme si des milliers de souvenirs se bousculaient pour trouver leur place. Elisabeth Pasquier parvient à restituer avec brio cette forme de naïveté intelligente propre à l'enfance dans un récit d'une profonde humanité.

10/2011

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Littérature française

Bertille ma grand-mère

Après Casimir l'Ardéchois et Croque-vie, deux chroniques qui redonnaient vie à d'anciennes figures familiales hautes en couleurs, Guy Dürrenmatt prolonge avec ce troisième volet, l'histoire de sa famille et rend un hommage appuyé à ceux qui l'ont entouré d'une belle affection. Dans ce troisième tome, intitulé Bertille, du nom de sa grand-mère épicière, qui reste dans sa mémoire une figure d'exception par ses engagements et ses valeurs, l'auteur puise dans ses souvenirs d'enfance, et se plaît à évoquer tour à tour avec malice et tendresse, les réjouissances d'une bande de gosses : Boye, batin, potu, pachos...
et leurs tours pendables. Au fils des pages, on les rencontrera, à l'école qui alors n'est pas mixte, mais aussi surpris par le garde-Champêtre à braconner, ou vivant leurs premiers émois amoureux... Ainsi, c'est à travers ses yeux d'enfant, souvent malicieux, et rarement objectifs, - qu'à cela ne tienne, le lecteur connaît la fougue réjouissante de Dürrenmatt - que l'auteur nous dépeint en toile de fond les luttes politiques et les parti-pris religieux, dont on saisira toute l'intensité d'alors, et nous fait découvrir au lendemain de la première guerre, la saveur de toute une époque...

04/2011