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Littérature anglo-saxonne

Wolf ; Retour en terre

" Jim Harrison est un écrivain qui porte l'immortalité en lui. " The Times Wolf Un séjour en forêt, des souvenirs d'enfance qui obsèdent, et une dérive à travers les Etats-Unis composent la trame complexe du récit de Swanson, vagabond littéraire habitué des hôtels à deux dollars, amateur pêle-mêle de sauternes et de whisky, de jolies serveuses de coffee-shop, d'Arthur Miller et d'Arthur Rimbaud... Retour en terre Donald, un métis chipewa-finnois de la péninsule nord du Michigan, souffre d'une sclérose en plaques. Pendant ses derniers jours de répit, il dicte à sa femme, Cynthia, une longue confession pour transmettre à ses enfants l'histoire de sa famille. L'occasion pour lui de retrouver son héritage chippewa, ainsi que de renouer avec la spiritualité de ses ancêtres. A ses côtés, sa famille l'accompagne pour son dernier voyage qu'il vit avec dignité. Pendant la nuit qui suit la mort de Donald, ses proches cherchent un sens à ce deuil cruel. Avec une extrême finesse et les mots justes, Big Jim sonde les profondeurs de la mort mêlée à la sensualité de la vie sauvage. Un requiem bouleversant qui se transforme en hymne à la vie. PRESSE : Wolf : " On ressort pantelant de ces Mémoires fictifs... Jim Harrison écrit au corps à corps. Il empoigne les mots avec la même rage que met son héros à saisir un cran d'arrêt. " Télérama " Le miracle d'une écriture vigoureuse. " Alfred Eibel, Le Quotidien de Paris Retour en terre : " Ces mots sont sans doute un autoportrait de Jim Harrison, qui signe un roman déchirant mais fabuleusement charnel, où se mêlent la sensibilité et la mort, les tourments des coeurs et les jouvences de la vie sauvage. " André Clavel, L'Express " Un récit où le deuil et la sensualité, les ténèbres et la lumière, la terre des vivants et celle des gisants se mêlent dans la même musique, un oratorio d'outre-tombe où Big Jim explore les mystères de l'au-delà en chantant l'ici-bas. " Lire

11/2021

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Actualité politique France

Gérald Darmanin. Les secrets d'un ambitieux

Récit du parcours " express " de Gérald Darmanin, petit-fils de tirailleur algérien et fils de concierge, jusqu'à sa récente nomination (controversée) au poste de ministre de l'Intérieur. Sarko bis ou atout de la Macronie ? " Des comme lui, on n'en voit que tous les 25 ans ", commente le président du conseil départemental du Nord (LR), Jean-René Lecerf, qui a fait la connaissance de Gérald Darmanin lorsque, étudiant à Sciences Po Lille, il est apparu dans le paysage politique local, au début des années 2000. Ce sentiment de " tenir un élément hors norme " était alors largement partagé par la droite et le monde économique du Nord. Gérald Darmanin y a très vite trouvé sa place, mais il a aussi éprouvé le besoin d'élargir son horizon... En moins de dix ans, ce petit-fils de tirailleur algérien, fils de concierge, deviendra l'un des benjamins de l'Assemblée nationale (29 ans en 2012), l'un des plus jeunes maires d'une ville de 100 000 habitants (31 ans lorsqu'il prend Tourcoing en 2014), ministre du Budget d'Emmanuel Macron puis, en juillet 2020, ministre de l'Intérieur. Sans jamais craindre de tenir tête au président : il a su imposer le prélèvement à la source et obtenu que l'article 24 controversé de la proposition de loi Sécurité globale soit réécrit et non retiré... Si Gérald Darmanin a eu des fidélités successives (Christian Vanneste, Xavier Bertrand, Emmanuel Macron), il n'a jamais varié dans ses fondamentaux : il a toujours été de droite, tendance souverainiste. Soucieux des questions de sécurité, il se préoccupe depuis longtemps du communautarisme. Il revendique haut et fort sa fibre populaire, cultive son côté " fils du peuple " qui ne sort pas de l'Ena, en opposition avec la technocratie macronienne ; au ministère de l'Intérieur, il se pose crânement en défenseur des forces de l'ordre. Mais les accusations de viol qui pèsent contre lui, les récentes bavures policières pourraient bien le faire vaciller du piédestal qu'il s'est forgé...

11/2021

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Faits de société

La République du copinage

Copinage et réseautage sont les deux mamelles de la France. Depuis l’élection de Nicolas Sarkozy en 2007, les coteries et les castes oligarchiques ont accentué leur mainmise sur tous les pouvoirs : nominations, décorations, placards dorés, prébendes, marchés et contrats s’octroient en fonction de l’entregent. Des conseillers occultes et intermédiaires multicartes prospèrent dans les couloirs de l’Élysée. Les amis du 9-2, du Fouquet’s et les proches de la Première Dame sont choyés. Des élus devenus avocats ou « consultants » monnaient leurs carnets d’adresses. Les élites pantouflent, les ambitieux se placent, les lobbyistes s’activent, les gourous de la com’ surfent sur la crise et les princes des médias se transforment parfois en courtisans. Dansant au-dessus du volcan d’un pays en crise, le microcosme se protège ainsi, entre révérences et connivences. Les réseaux servent surtout d’assurance aux puissants pour préserver leurs privilèges. Vincent Nouzille a enquêté pendant plusieurs années pour décrypter ces systèmes de pouvoir, leur fonctionnement et leur influence réelle. Il révèle comment ceux-ci imposent discrètement leur loi et comment la plupart transcendent les camps politiques. Mieux, ils préemptent l’avenir. Francs-maçons, énarques, diplômés d’HEC, communicants, Corses, gays ou cathos : tous tirent déjà les ficelles pour tenter de se placer dans les coulisses du pouvoir. Quel(le) que soit le (la) président(e) qui sera élu(e) en mai 2012, ils seront toujours là…Vincent Nouzille est journaliste indépendant, après avoir été notamment grand reporter à L’Express et à L’Expansion. Il est l’auteur ou le coauteur d’enquêtes de référence comme Les Parrains corses (avec Jacques Follorou, Fayard, 2004), Députés sous influences (avec Hélène Constanty, Fayard, 2006), Des secrets si bien gardés (Fayard, 2009) et Dans le secret des présidents (Fayard/LLL, 2010).Découvrez La France des réseaux, la version Web complémentaire de cette enquête, avec textes, photos, portraits et plus de 5 heures de vidéos, grâce à une offre spéciale sur www.lafrancedesreseaux.com/copinage.

10/2011

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Critique littéraire

Zoo. Chroniques littéraires 1977-2008

On remarquera que ce volume - qui réunit des articles que j'ai écrits sur une trentaine d'années pour deux journaux, L'Express, de 1977 à 1984 et Le Monde, de 1985 à 2008 - s'attache plus souvent à des oeuvres étrangères qu'à des françaises. Je m'empresse de préciser qu'il s'agit là d'un hasard de ma vie et non d'un amour moindre pour mes compatriotes. Quand je fis mes premiers pas dans la carrière, j'avais la curiosité des lettres étrangères autant que des françaises, et c'est uniquement le sort qui me parachuta loin du front parisien. Ainsi nombre d'écrivains de langue française durent-ils attendre mes compliments ou mes piques et se retrouvent injustement à la portion congrue dans ce recueil. On relèvera aussi parmi ces lectures quantité de lacunes. Les unes sont inévitables, un ouvrage composé de la sorte ne va pas sans disparate ; d'autres sont volontaires, et les oubliés, qui constateront leur absence sans peine, ne devraient pas s'en plaindre. Pour beaucoup d'auteurs, une critique dans la presse n'est jamais assez louangeuse et toujours réductrice. Ce n'est pas faux. Mais qui garantirait "l'objectivité" au présent, dans un domaine où la postérité se prononce si tard ? Les succès sont imprévisibles, quelquefois absurdes, et la vie littéraire n'a jamais fait serment d'être équitable ni démocratique. La critique n'est pas une science exacte, même drapée dans une toge universitaire. Elle n'est qu'un genre dans le vaste univers des lettres. Peut-elle être objective ? Non, sans doute. Et à quoi bon, du reste ? Certains écrivains, Sainte-Beuve, Albert Thibaudet, et, pour partie, Vladimir Nabokov, ont gagné leur renommée en pratiquant la critique comme un art singulier, parfois injuste, en se fiant d'abord à leur goût : or un homme de goût, par définition, ne saurait aimer tout ni tout le monde.

06/2010

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Histoire internationale

Histoire d'Istanbul

Byzance, Constantinople, Istanbul : sous ses trois noms, la seule ville au monde à être bâtie sur deux continents semblait " faite pour dominer et commander à toute la terre ". Au IVe siècle, Constantin y installe la capitale de l'Empire romain d'Orient pour y édifier une " nouvelle Rome ". Deux siècles plus tard, Justinien y réalise son rêve politique et fait construire Sainte-Sophie dont la perfection illustre aujourd'hui encore la grandeur de la capitale de l'Empire byzantin. Malgré les querelles religieuses qui l'agitent, la ville devient la plus grandiose de la chrétienté et le plus grand marché de l'Occident. Sa richesse provoque l'admiration des croisés, puis bientôt leur convoitise. Ils en font l'éphémère capitale de l'Empire latin d'Orient (1204-1261), mais la pillent de fond en comble. Constantinople ne s'en relèvera jamais. En 1453, le sultan ottoman Mehmed II s'en empare. Palais, mosquées, bains, bazars transforment petit à petit la ville grecque en ville turque. Elle devient le cœur du monde musulman à l'époque de Soliman le Magnifique. La magnificence du Grand Turc, la splendeur de sa capitale et les mystères de Topkapi éveillent la curiosité des visiteurs étrangers qui s'étonnent du " bon gouvernement des Turcs, bien meilleur que le nôtre ". Au XVIIIe siècle, sous l'effet des luttes du Palais, le prestige de la Sublime Porte s'effrite. Une nouvelle manière de vivre apparaît alors : cafés, théâtres d'ombres se multiplient tandis que les rives du Bosphore se couvrent de yalis. Peu à peu, la cité passe de l'ottomanisme au cosmopolitisme. Les capitaux étrangers affluent, tout comme les romantiques et les archéologues. L'inauguration de l'Orient-Express, en 1883, accompagne la publication de guides touristiques... En moins d'un siècle, la vieille cité ottomane, déchue de son rôle politique dès les débuts de la République turque, allait devenir une mégapole bruyante et désordonnée, mais ses innombrables monuments nous disent encore sa gloire passée.

03/1996

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Littérature française

La tunique d'infamie

" La tunique d'infamie est un grand livre. Un de ces livres auquel on repense après l'avoir refermé. Un livre qui apprend un peu à vivre et à grandir en humanité. Un des meilleurs livres de cette année. " CHRISTIAN SAUVAGE, Le Journal du Dimanche " Un livre bouleversant, tant par le style que par le contenu, par l'actualité et la modernité de son histoire. " LAURE ADLER, Le cercle de minuit " Rien n'est plus espagnol que ce roman français. Rien, dans nos lettres, qui exprime avec une force telle l'abandon orgueilleux au destin. " PIERRE LEPAPE, Le Monde " Même lorsqu'il raconte la vie de Manrique Gaspar del Rio, inquisiteur juge qui vivait il y a trois siècles, c'est encore de lui qu'il nous parle... De l'enfance, des souffrances enfouies, de la foi, de l'amour, de la honte : de toutes ces questions que n'ont jamais cessé de se poser les hommes. " MICHELE GAZIER, Télérama " Une superbe méditation qui l'inscrit dans la lignée de Montherlant et de Bernanos. " THIERRY GANDILLOT, L'Express " C'est toute la beauté de sa tunique d'infamie : un visage unique ressemblant à un peuple et la terre d'un pays transportés dans un livre. Del Castillo y lègue, dernière volonté de son testament intérieur, la lumière aveuglante d'un ciel presque noir, son Espagne. " DIDIER JACOB, Le Nouvel Observateur Né en 1933 à Madrid, de père français et de mère espagnole, Michel del Castillo est aujourd'hui l'auteur d'une oeuvre considérable. Il a été couronné de nombreux prix littéraires dont le Prix des libraires en 1973 pour Le Vent de la nuit, le prix Renaudot en 1981 pour La Nuit du décret et, en 1992, le prix RTL-Lire pour Le Crime des pères. En 1994, il publie Rue des Archives, en 1995 paraît une nouvelle édition de Tanguy et Mon frère l'idiot.

01/1997

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Beaux arts

Aimez-vous l'art ?

On connaissait l'interview express, télévisé, radio, internet, imaginaire, mais on connaît bien peu l'interview dessinée... C'est à ce protocole amusant que nous t'invitons, cher lecteur... A chaque rencontre, les mêmes questions posées à l'interviewé sur son rapport amoureux - "conjugal" nous dit l'un d'entre eux -, à l'art, et chaque fois, les dessins réalisés in-situ. En résulte pour chaque personnalité une présentation librement inspirée et une sélection de petites phrases justes ou percutantes. Les dessins quant à eux "croquent" le profil et l'environnement de travail, restituant la vie et le moment partagé. L'art n'appartient ni aux institutions, ni aux magazines, ni aux tendances, ni aux études, ni à la cote d'un artiste : il est d'abord le fait de femmes et d'hommes profondément engagés. S'il nous touche et nous fait réfléchir, c'est parce qu'il est humain : indomptable, irréductible et farouchement libre. Notre fil conducteur est un prétexte pour pénétrer de plain-pied dans cet univers de délectation mais aussi de réflexion sur le sens (et la nécessité !) de l'art, sur la manière dont on y consacre sa vie et sur ces étranges vocations qui échappent à toute raison. Choisis pour leur diversité, la qualité de leur engagement, la chaleur de leurs personnalités et leur amour du partage, ces artistes, commissaires-priseurs, galeristes, conservateurs, éditeurs, libraire, graveur, experts, marchands d'art ou collectionneurs se sont très volontiers prêtés au jeu. Ils ont toujours ouvert grands leurs esprits passionnés en nous invitant dans leur cadre de travail (souvent de vie, aussi !) pour nous faire goûter à leur connivence intime avec les oeuvres d'art. Aimez-vous l'art ? Plus qu'une question, un prétexte à la découverte et à la jubilation partagée. Et toi, lecteur, aimes-tu l'art ? Comment l'aimes-tu, où, et avec qui ? Peut-être trouveras-tu tes propres réponses au fil de ces pages.

03/2014

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Littérature étrangère

Une éducation classique. Récit

Richard Cobb (mort en 1996) passe pour être l'un des grands historiens de ce siècle - ses évocations, fort peu conventionnelles, de la France révolutionnaire ont vite pris rang parmi les classiques. Il a laissé aussi quelques récits, à la frontière du roman et de l'autobiographie, que les connaisseurs mettent au plus haut, et, à la toute première place. Une éducation classique, considéré aujourd'hui dans le monde entier comme son chef-d'œuvre. L'histoire qui nous est ici racontée n'est pas loin d'être incroyable. Elle est simplement vraie, et l'auteur, alors à peine sorti de l'enfance ? en fut l'un des protagonistes à son corps plus ou moins défendant. Ne nous fions pas aux décors " classiques " ni aux héros qui les hantent : un collège anglais dans les années trente, deux adolescents de la bonne société venus là pour apprendre à jouer bientôt leur rôle d'hommes, des professeurs et des parents qui observent l'affaire et ne devinent rien... L'un des deux garçons rue pourtant méchamment dans les brancards. Mais il est indécent dans ces milieux de laisser supposer qu'un sujet bien né puisse être la victime de ce qu'on appelle une enfance malheureuse. On préfère détourner la tête. Jusqu'à ce que le mauvais sujet en question décide que les pires choses elles aussi ont une fin, tue sa très chère mère à coups de hache, camoufle son crime avec une maladresse qui confine à la provocation, se laisse arrêter - et proclame qu'il n'éprouve pas l'ombre d'un remords. Le plus drôle (si l'on ose dire) est que le lecteur, sournoisement impliqué dans l'horreur, approuve le matricide et participe lui-même au terrible geste avec une sorte de soulagement. Publié une première fois en traduction française il y a une dizaine d'années, Une éducation classique avait disparu des circuits de la librairie, au désespoir de plusieurs. La critique à l'époque avait fortement accusé le coup : " Hitchcock, en plus sauvage " (ANNE PONS/L 'EXPRESS).

11/1999

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Critique littéraire

Histoire de la poésie française. Tome 5, La poésie du XIXe siècle Volume 2, Naissance de la poésie moderne

La Poésie du XIXe siècle, cinquième tome de l'histoire générale de la poésie française des origines à nos jours, se compose de deux volumes : Les Romantismes et Naissance de la poésie moderne. Histoire de la poésie, mais aussi histoire des poètes. "J'ai tenté, écrivait l'auteur dans la préface générale (cf. La Poésie du Moyen Age), de tracer des portraits, souvent en laissant parler le créateur lui-même, parfois en ayant recours à ses proches. Il fallait exprimer cette entité, le Poète, dire sa place dans la société de son temps, ses possibilités d'expression et de diffusion, ses barrières, ses interdits, son mode de vie et ses moyens d'existence [... ], ses lieux de réunion, ses chemins, les opinions le concernant, ses succès et ses revers, son destin littéraire. " Le XIXe siècle est le temps des renversements, des révolutions incessantes, bientôt des éclatements, mais ce volume fait corps avec ceux qui l'ont précédé. Romancier (d'Alain et le Nègre aux Noisettes sauvages en passant par Les Allumettes suédoises), Robert Sabatier est aussi le poète de cinq recueils, des Fêtes solaires à Icare et autres poèmes. Il a choisi de raconter l'Histoire de la poésie française pour mettre en évidence cette chose si précaire en nos heures, mais éternellement salvatrice, qui se nomme Poésie. Il faut lire l'Histoire de la poésie de Sabatier ; on comprendra à quel point la poésie, ce jeu en apparence superflu, tient dans la société le rôle de tels corps ou anticorps sans lesquels l'organisme n'existe plus (Michel Cournot, Le Nouvel Observateur) Une sorte de genèse de la poésie française (Marion Renard, Le Monde) Un explorateur passionné (Matthieu Galey, L'Express) L'entreprise est exemplaire (Georges Jean, La Quinzaine littéraire) Le dessein de Robert Sabatier : la générosité (Hubert Juin, Le Magazine littéraire) Une mise en situation des oeuvres et des hommes (Jacques Jaubert, Le Figaro) La poésie française a son monument littéraire (F. de Comberousse, France Soir)

10/1990

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XXe siècle

La photographe du Maharadjah

Elle photographiait tout : les pauvres, les marginaux, ceux qui semblaient oubliés. Et elle comprit qu'en saisissant leur détresse, elle pourrait trouver un moyen de donner la parole aux silencieux. Angleterre, 1930. Veuve depuis peu, Eliza n'a plus que son appareil photo comme compagnon. Alors, 'lorsqu'on lui propose de photographier la famille princière du Rajputana, en Inde, elle est bien déterminée à prendre son destin en main. Mais sa rencontre avec Jay, le ténébreux frère du prince, fait tout basculer. Bientôt, Eliza et Jay découvrent qu'ils partagent les mêmes valeurs, et bien plus encore : une passion dévorante s'empare d'eux et leur fait oublier toute raison. Hélas, leurs familles et la société sont loin de voir cette union d'un oeil favorable. Ils devront alors choisir : se soumettre à leur devoir ou écouter leur coeur... L'histoire romanesque et poignante d'un amour qui défie vents et marées, par l'autrice de La Mariée de Ceylan. " Dinah Jefferies a un don remarquable pour nous transporter dans un ailleurs et un autrefois grâce à ses descriptions saisissantes, pleines de puissance et d''intensité. " Kate Furnivall " Vibrant de couleurs et riche en rebondissements, ce magnifique roman vous offrira un extraordinaire moment d'évasion. " Sunday Express. " La Photographe du Maharadjah, roman immersif et captivant, confirme la double réputation de l'autrice : elle se révèle comme une conteuse hors pair et une observatrice à l'oeil acéré de l'Histoire coloniale du xxe siècle. " Lancashire Post " C'est avec une extrême sensibilité que l'autrice évoque la complexité des sentiments amoureux et la confrontation au deuil. En choisissant pour son roman un contexte historique houleux, Dinah Jefferies fournit le cadre parfait pour le développement de ses protagonistes féminins, forts et indépendants. " CultureFly " Dinah Jefferies est l''une des meilleures autrices de fiction historique de sa génération. Ses romans, toujours si passionnants et riches en détails authentiques, offrent au lecteur une réelle leçon d'Histoire. " Alba in Bookland

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Ouvrages généraux

Ma cinquième

Les Mémoires politique très attendus d'une grande journaliste, témoin de premier plan de l'histoire de la Cinquième République de 1958 à nos jours. Ce premier volume couvre la période De Gaulle, Pompidou et Giscard jusqu'à l'élection de François Mitterrand. Née dans la politique, Michèle Cotta y a grandi, vécu, avec la soif permanente de l'événement et la curiosité inlassable d'approcher ses principaux protagonistes. C'est à vingt ans, le 13 mai 1958, jour du retour au pouvoir du général de Gaulle, que, stagiaire à l'Institut français de presse et se trouvant par hasard sur les bancs des journalistes à l'Assemblée nationale, elle est plongée d'un coup au coeur d'une actualité qui se confond avec la grande Histoire. Peu après, recrutée par le service politique de L'Express, Michèle Cotta deviendra familière de tous les acteurs de la vie politique, gaullistes ou pas, et plutôt de gauche. Leurs vies, leurs itinéraires politiques surtout, la passionnent et l'intriguent. De 1965 et la première élection présidentielle au suffrage universel du général de Gaulle à 1981 et l'accession au pouvoir de Mitterrand, elle couvre dans ce premier volume tous les grands événements qui marquèrent les débuts de la Ve République : Mai 68, le référendum en 1969, les coulisses de la succession de Georges Pompidou, la relation Giscard-Chirac... Ce qui la fascine chez les hommes politiques, avoue-t-elle, ce sont les fausses confidences, destinées à être répétées, les vraies, obtenues au moment où on ne s'y attend pas, les chemins suivis pour vaincre, les erreurs commises, les détours, les impasses. Les tourments de chacun, ses petits et grands secrets. Leur humanité, en bref, dont la grande observatrice qu'est Michèle Cotta nous livre des moments essentiels dans cette histoire personnelle et savoureuse de la Ve République, foisonnante de révélations, d'anecdotes, de choses vues et entendues. Le témoignage qu'on attendait.

10/2023

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Bénélux

Les dessins du diable

Né à Anvers en 1942, Arthur Langerman échappe par miracle à la Shoah qui va décimer sa famille. Seule sa mère en réchappera. L'enfant pauvre connaît les affres de la misère et de la solitude. Il doit abandonner une scolarité brillante pour travailler dans le diamant où il végète jusqu'au jour où il comprend que les pierres de couleur, alors méprisées, vont prendre de la valeur. Devenu "Le roi du diamant de couleur" , il vendra ses gemmes dans le monde entier, non sans aventures rocambolesques. Mais jamais il n'oubliera le massacre des siens. Pourquoi cette haine viscérale des Juifs qui a conduit à leur massacre ? Il croit entrevoir la réponse en découvrant sur le marché aux puces de Bruxelles une horrible carte postale caricaturant "âun vieux "Juif" dégueulasseâ" en train de sodomiser une petite fille. En un éclair, il comprend que la banalisation du mépris et de la haine des Juifs sous couvert d'un humour nauséabond a conditionné les esprits et déblayé pour Hitler et ses sbires la voie du génocide. Il va dès lors collectionner les affiches, dessins, tableaux antisémites. Des caricaturesâ? Non, la dégradation de millions d'êtres humains en vermineâ! Après en avoir exposé une partie au mémorial de Caen, il cédera les dix mille pièces de cette collection hors du commun à une fondation allemande qui la fera circuler dans le monde. A l'heure où l'antisémitisme connaît une recrudescence dramatique. José-Alain Fralon nous offre la biographie passionnante et pleine d'humour d'un homme hors du commun. José-Alain Fralon, journaliste né en 1945 en Algérie, a été grand reporter pour Le Matin, l'Express et Le Monde avant d'être correspondant du Monde à Bruxelles puis rédacteur en chef-adjoint du journal. Il a publié chez des éditeurs comme Fayard, Gallimard, Calmann-Lévy ou J. C. Lattès des ouvrages d'inspiration journalistique, dont "Baudouin : L'homme qui ne voulait pas être ro"i. Préface de Diane von Fürstenberg.

04/2024

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Provence-Alpes-Côte d'Azur

Marseille, Un jour sans faim ! 25 heures d'explorations culinaires pour croquer toute la ville

Embarquez pour une balade culinaire exceptionnelle dans la cité phocéenne. Des marchés de Noailles aux stands des pêcheurs du Vieux-Port, des restaurants étoilés aux bouis-bouis des calanques, des camions pizza aux confiseries historiques, parcourez la ville en 24 h, jusqu'à plus faim. Et comme c'est Marseille, en bonus, une 25e heure pour les gourmands qui n'en n'ont jamais assez. 4h : Nourrir la ville avant l'aube 5h : Entre terre et mer au petit matin 6h : Le réveil 7h : Se poser au café 8h : Il est frais mon poisson, il est frais ! 9h : Déambuler dans la ville la bouche ouverte 10h : Quand le petit creux matinal se fait sentir 11h : L'appétit se met en route 12h : Une cuisine pas comme les autres 13h : Le déjeuner, c'est du sérieux 14h : Le repas continue ! 15h : On se cultive à l'heure de la sieste 16h : Le grand goûter 17h : Le goûter se prolonge ! 18h : Préparer l'apéro 19h : En plein coeur de l'apéro ! 20h : De l'importance du dîner 21h : Pizza time ! 22h : Deux salles, deux ambiances 23h : Le shaker s'agite 00h : Lecture(s) avant de fermer les yeux 1h : Faim de nuit 2h : Petites combines avec fourchette 3h : Rêves en sauce 25h : Toutes les bonnes choses ont une faim (ou pas) Un livre unique, atypique, riche et joyeux : - 50 recettes iconiques ou plus modernes, (re)testées par des gourmands et réécrites par une cheffe. - 400 adresses qui vont vous mettre en appétit ! - Des reportages sur les lieux culinaires emblématiques et les portaits de ceux qui ont fait, font, et feront la food à Marseille. Ezéchiel Zérah, ex-rédacteur en chef des pages gastronomie de l'Express, est un amoureux de Marseille, nouvelle capitale gastronomique. Adresses, recettes, chefs, anecdotes... Il sait déjà ce qu'il faudra manger demain et nous livre ici le meilleur de sa ville.

11/2023

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XXe siècle

La photographe du Maharadjah

Elle photographiait tout : les pauvres, les marginaux, ceux qui semblaient oubliés. Et elle comprit qu'en saisissant leur détresse, elle pourrait trouver un moyen de donner la parole aux silencieux. Angleterre, 1930. Veuve depuis peu, Eliza n'a plus que son appareil photo comme compagnon. Alors, lorsqu'on lui propose de photographier la famille princière du Rajputana, en Inde, elle est bien déterminée à prendre son destin en main. Mais sa rencontre avec Jay, le ténébreux frère du prince, fait tout basculer. Bientôt, Eliza et Jay découvrent qu'ils partagent les mêmes valeurs, et bien plus encore : une passion dévorante s'empare d'eux et leur fait oublier toute raison. Hélas, leurs familles et la société sont loin de voir cette union d'un oeil favorable. Ils devront alors choisir : se soumettre à leur devoir ou écouter leur coeur... L'histoire romanesque et poignante d'un amour qui défie vents et marées, par l'autrice de La Mariée de Ceylan. " Dinah Jefferies a un don remarquable pour nous transporter dans un ailleurs et un autrefois grâce à ses descriptions saisissantes, pleines de puissance et d''intensité. " Kate Furnivall " Vibrant de couleurs et riche en rebondissements, ce magnifique roman vous offrira un extraordinaire moment d'évasion. " Sunday Express. " La Photographe du Maharadjah, roman immersif et captivant, confirme la double réputation de l'autrice : elle se révèle comme une conteuse hors pair et une observatrice à l'oeil acéré de l'Histoire coloniale du xxe siècle. " Lancashire Post " C'est avec une extrême sensibilité que l'autrice évoque la complexité des sentiments amoureux et la confrontation au deuil. En choisissant pour son roman un contexte historique houleux, Dinah Jefferies fournit le cadre parfait pour le développement de ses protagonistes féminins, forts et indépendants. " CultureFly " Dinah Jefferies est l'une des meilleures autrices de fiction historique de sa génération. Ses romans, toujours si passionnants et riches en détails authentiques, offrent au lecteur une réelle leçon d'Histoire. " Alba in Bookland

06/2024

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12 ans et +

Le plus mauvais livre du monde

Court toujours, une collection de romans courts à lire ou à écouter en moins d'une heure. J'ai pris un bouquin au pif, dans une boîte à livre, juste avant de rentrer dans la gare. Je me suis dit 5 heures de train, ça va être long. Mon téléphone a plus de batterie, j'ai pas pris mon ordi et y a pas de journaux. Et le train, avec ou sans billet, c'est long. Bon. Je tente encore une ligne. Juste pour savoir ce qu'il fait, Bidule Argice, là... " Argice ignorait le bien et le mal, le nu et le sacré, le vide et le morbide. Argice engageait l'être vers cette ironie qu'on appelle Dieu, fatale pensée d'un monde en devenir, à l'agonie, en devenir... " Ah ouais ! d'accord. Je comprends rien. Remarque, si ça se trouve, c'est fait exprès. Le gars, il a voulu faire le livre le plus nul du monde. Et il a réussi. Parti de chez lui par ennui, Paul croise sur son chemin l'auteur du roman épouvantable qu'il a pris dans une boîte à livres. Quand on veut, où l'on veut ! 1 roman, 3 versions. Avec ce livre, vous pouvez écouter la version audio et lire la version numérique gratuitement via l'appli Nathan Live. Des récits initiatiques intenses et percutants, qui racontent un moment-charnière de la vie d'un ou d'une ado d'aujourd'hui.

09/2020

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Autres éditeurs (K à O)

Le plus bel été du monde

#JeunesseCNL – Arriver la nuit et faire semblant de dormir pour être porté de la voiture à la maison. Manger des glaces. S'allonger dans l'herbe. Danser. Faire des cabanes. Trouver un scarabée mort. Cueillir des mûres. Ramasser des bâtons. Observer des fourmis et en écraser sans faire exprès. Vivre le plus bel été du monde.

Delphine Perret raconte un été qu’un enfant passe avec sa mère, dans la maison de ses grands-parents. Un été parmi d’autres, qui n’a finalement rien d’exceptionnel mais qui, grâce au talent de l’autrice illustratrice et à cette éternelle capacité d’émerveillement de l’enfance, devient « le plus bel été du monde ».

Mère et fils, complices, partagent ensemble des moments fugaces, drôles ou tendres, d’une infinie simplicité et beauté : la découverte des oiseaux et des insectes, la cueillette des mûres, l’araignée dans la salle de bains et bien d’autres encore. Des instants dans lesquels tous les enfants se reconnaîtront (même ceux qui n’ont pas de grands-parents à la campagne…). Savoir lacer ses chaussures prend du temps. Grandir aussi. Cet album raconte ni plus ni moins toutes ces saisons qu’il faudra à un enfant pour s’inscrire dans le monde, trouver sa place dans sa famille et dans la nature.

Un album universel sur la transmission, l’apprentissage et la complicité du temps partagé entre adulte et enfant.

09/2021

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Romance sexy

Troublant inconnu ; Rencontre sulfureuse ; Le prix de la revanche

Troublant inconnu, Kathy Lyons Julie ne sait rien de cet homme. Pourtant, depuis qu'elle l'a croisé dans l'ascenseur, et que la foule les a poussés l'un contre l'autre, elle ne parvient pas à oublier l'effet qu'a provoqué chez elle leur étreinte involontaire. Involontaire, vraiment ? Quand, quelques jours plus tard, elle le croise au même endroit, elle jurerait qu'il fait exprès de la frôler de nouveau, et de la caresser comme par inadvertance... Rencontre sulfureuse, Lori Borrill "Je réaliserai tous tes fantasmes si tu me fais confiance". Confiance ? Emily ne se fie à personne ! Pourtant, face à Fox Mullins, son très séduisant voisin, elle sent un enivrant mélange de peur et d'excitation la gagner. Cet homme éveille en elle un désir primitif. Et si elle s'abandonne à lui, elle sait qu'il lui permettra d'oublier - pour quelques heures du moins - le secret qui ne la quitte jamais... Le prix de la revanche, Olivia Gates Séduire Liliana est vraiment la pire idée qu'il ait jamais eue ! Le plan d'Antonio était pourtant simple : pour approcher ses parents biologiques qui l'ont abandonné alors qu'il n'avait que quatre ans et se venger d'eux, il devait attirer dans son lit la belle Liliana, et s'introduire ensuite dans le clan aristocratique qu'ils fréquentent... Ce qu'il n'avait pas prévu, c'est que Liliana devienne l'unique objet de ses pensées...

12/2021

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Policiers

La chambre aux oiseaux

« Soudainement, elle arrêta son discours... Natole tout pâle avait saisi la bouteille de gnole, s'en versait en tremblant une rasade dans sa tasse à café, l'avalait d'un trait et retombait dans son fauteuil, comme terrassé. Tout d'un coup, la terrible phrase arriva à l'entendement de Nini. — Qu'est-ce que tu dis ? Assassiné ? Natole, qu'est-ce que tu as ? Qu'est-ce que tu as vu ? Tu déraisonnes ? Se faire assassiner ? Voyons, on ne se fait pas assassiner exprès ? Et qui a été assassiné ? Gérald, le petit-fils de... Peu à peu, Natole reprenait ses esprits. — Oui, Gérald, près de la porte de la grande serre... étendu par terre, bras écartés et... la gorge tranchée... avec ma serpette ! On l'a posée près de lui. La pluie, la grêle ont entraîné le sang... c'est tout rouge autour de lui... de cette gorge ouverte, profond ! Ces yeux grands ouverts, la bouche qui semble hurler... c'est... c'est... » Court mais intense, économe mais mené avec un sens quasi horloger du rythme, « La Chambre des oiseaux » s'appuie sur un contexte et des motifs particulièrement efficaces. Demeure bourgeoise, famille dysfonctionnelle, hiérarchie sociale, secrets qui affleurent à la surface du présent, fausses pistes et allures de huis clos : de ces éléments, Gellereau tire un roman à l'atmosphère immédiatement captivante... Une œuvre policière éminemment classique, et cela dans le sens le plus noble du terme.

09/2014

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Esotérisme

Bible, le livre de Daniel décodé. La destruction du Temple symbole cyclique précurseur du destin apocalyptique de l’Humanité

Le Livre de Daniel n’est pas seulement l’histoire de Daniel que les lions épargnent miraculeusement. Après avoir résolu une énigme historique délaissée par les exégètes, l’auteur, par un décodage extraordinaire, montre que le Livre de Daniel est le plus important texte prophétique de l’Ancien Testament. Ecrit, peut-être lors de l’exil des Judéens à Babylone au 6ème siècle avant JC, mais vraisemblablement vers -160 avant JC à l’époque de la révolte des Macchabées, le rédacteur du Livre de Daniel fit effectivement acte de prophétie puisqu’il prédit la violation du Temple par Pompée en -63, la mort du Christ en l’an 33 et la destruction définitive du Temple par Titus en 70 après JC. Plus extraordinaire, le Livre de Daniel prédit avec précision les dates du futur cataclysme qui attend l’humanité, dans deux chapitres où les visions de Daniel, avec ses bêtes monstrueuses, rappellent tout à fait le texte de l’Apocalypse de Saint-Jean. Daniel pour l’Ancien Testament, Saint-Jean de Patmos pour le Nouveau Testament et Nostradamus à l’époque de la Renaissance, sont les trois immenses prophètes eschatologiques qui ont prédit et daté la Fin des Temps. Ils sont aujourd’hui décodés, car le temps est venu que les livres occultés soient ouverts, pour que l’humanité puisse préparer sa future Arche de Noé afin de sauver l’essentiel. Tout aussi étonnant, à partir des résultats des décodages du Livre de Daniel, l’Histoire montre que la destruction du second Temple en l’an 70 préfigure celle de l’humanité lors du futur cataclysme planétaire qui nous attend. C’est peut-être à cause de ce rôle transcendant que le peuple juif se sent «élu», encore à notre époque. Le décodage de Christian Nokam Turpin est totalement rationnel, aussi bien dans ses explications détaillées des bêtes monstrueuses que dans les dates et chiffres cryptés que les exégètes n’avaient jusqu’ici jamais décodés. C’est grâce à ses travaux, de 1996 à 2012, sur le décodage de l’oeuvre de Nostradamus que l’auteur a réussi à comprendre le cryptage de Daniel. L’aboutissement majeur de ses recherches fut la reconstitution du Système de Cryptage Temporel de Nostradamus, explicité en 2010 dans son livre-thèse Les Calendriers de Nostradamus. L’auteur est aussi le créateur de la Théorie de l’Evénementialité qui, par une quantification des événements historiques, a validé la cyclicité de l’Histoire des Nations. Cette cyclicité est appliquée dans la dernière partie du décodage du Livre de Daniel.

04/2015

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Littérature érotique et sentim

Ces dames de Lesbos. Nouvelles érotiques

" L'amour unisexuel fut de tous temps et son attente accompagnait déjà le premier frisson humain de volupté. Nous allons donc tenter de donner idée des formes curieuses prises par lui à travers le temps. " - Renée DunanPOUR UN PUBLIC AVERTI. Ce recueil de onze textes érotiques présente un panorama du saphisme à travers les âges, de Babylone au Paris du XXe siècle en passant par la Rome antique et les amazones. En guise d'introduction, l'auteure emprunte quelques vers de Lesbos de Baudelaire pour illustrer le propos du recueil. S'enchainent ensuite les récits voluptueux au dénouement plaisant. Un recueil classique de l'érotisme français du XXe siècle.EXTRAIT.Lesbos, terre des nuits chaudes et langoureuses,Qui font qu'à leur miroir, stérile volupté,Les femmes aux yeux creux, de leur corps amoureuses,Caressent les fruits mûrs de leur nubilité.Ainsi s'exprimait, parlant de l'île illustre où florissait jadis l'amour féminin, le poète Charles Baudelaire, dans ses Fleurs du Mal.Lesbos ! A ce nom s'élèvent et tournoient dans l'air les blanches colombes d'Aphrodite. Les jeunes filles sentent un frisson courir sur leurs membres, et les historiens vieillis dans les souvenirs d'un passé lointain et bien aboli croient voir reparaître, suivant le cortège des vierges sacrées, l'image de Psappha, l'admirable poétesse aimée des adolescentes.Dans les sentes de l'île fameuse, peuplée de beaux arbres, de demeures agrestes et de pâturages harmonieux, voilà encore que se devinent les belles filles rêveuses, deux à deux enlacées, car la tradition et le souvenir toujours vivants des humains attribuent à Lesbos comme une parure et une gloire cette passion étrange des femmes entre elles.A PROPOS DE L'AUTEUR.Renée Dunan (Avignon, 1892-1936) est une femme de lettres et poétesse française, anarchiste et assurément féministe. Appartenant au mouvement intellectuel et littéraire du dadaïsme, elle a publié dans la revue anarchiste de L'En-dehors " Le nudisme, revendication révolutionnaire ? " et " Le nudisme et la moralité ". Ses romans s'inscrivent dans des genres variés mais elle s'illustre principalement dans l'érotisme féminin.A PROPOS DE LA COLLECTION.Retrouvez les plus grands noms de la littérature érotique dans notre collection Grands classiques érotiques.Autrefois poussés à la clandestinité et relégués dans " l'Enfer des bibliothèques ", les auteurs de ces ouvres incontournables du genre sont aujourd'hui reconnus mondialement. Du Marquis de Sade à Alphonse Momas et ses multiples pseudonymes, en passant par le lyrique Alfred de Musset ou la féministe Renée Dunan, les Grands classiques érotiques proposent un catalogue complet et varié qui contentera tant les novices que les connaisseurs.

04/2018

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Anatomie

Anatomie fonctionnelle, clinique & artistique de la face

Cet ouvrage est issu essentiellement de la mise à niveau expresse en formation anatomique continue du docteur Christophe Bonnefoy. Ses trois coauteurs, les Drs Luc Chikhani, Marc Bert et Denis Cabaret ont validé les orientations cliniques. Le Dr Luc Chikhani nous a infusé ses compétences en traumatologie maxillo-faciale grâce à son expérience de chirurgien des hôpitaux de Paris. Le Dr Marc Bert, expert auprès des tribunaux, a distillé ses recommandations, notamment en matière d'ostéoarchitecture, aux confrères et futurs confrères afin d'éviter les écueils en implantologie orale. Enfin le Dr Denis Cabaret, urgentiste, nous a initié à mieux comprendre les conséquences des traumatismes cranio-encéphaliques. Ce travail a pour vocation de rassembler l'anatomie descriptive traditionnelle aux côtés fonctionnels, cliniques, pathologiques, radiologiques, plastiques et artistiques. Il tente d'étayer la pratique, dans le premier chapitre, à partir d'un solide socle théorique basé sur l'ostéologie. Ce n'est pas seulement l'os qui est important mais tous les éléments anatomiques qui passent à proximité ou en son sein. Ce socle de connaissances de base permet d'aborder les deux chapitres suivants portant sur l'ostéoarchitecture et les muscles peauciers de la face et du cou. Bien sûr, nous n'avons pas pu tout aborder en un seul volume et promettons d'en publier davantage si telle est la volonté de nos lecteurs. En fin de chaque chapitre, des "essentiels" suivis de questions d'autoévaluation émanant des examens de formation continue, permettent au lecteur de progresser en solo en vérifiant l'acquisition de ses connaissances.

03/2021

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Judaïsme

L'épître du patriarche Hénoch. un écrit pseudépigraphique de l'Ancien Testament

Le Livre hébreu d'Hénoch, appelé aussi Livre des Palais ou III Hénoch est un monument de la mystique angélologique juive ancienne. Difficile à dater historiquement (vers le Ve siècle, en Babylonie), il intègre l'antique tradition apocalyptique relative à la figure d'Hénoch, en lui donnant une nouvelle dimension compatible avec la tradition rabbinique. On sait que le personnage biblique d'Hénoch a suscité une immense littérature qui débute dès le Iie siècle avant notre ère et qui attribue à cette figure un destin hors pair. Les livres d'Hénoch conservés en éthiopien et en slave ont déjà fait l'objet de traductions françaises, ce qui n'était pas le cas de la version que nous proposons. Cette mystique hénochienne de type apocalyptique place à la tête des puissances célestes l'archange Métraton, qui n'est autre que le patriarche antédiluvien transfiguré. Prince de la Face, serviteur du Trône divin, il est aussi le guide de l'homme qui s'achemine dans les Temples célestes pour scruter le Char divin. Le Livre des Palais se présente comme le récit que l'ange Métraton fait à Rabbi Ismaël des merveilles du ciel et de ses populations angéliques ainsi que de sa propre métamorphose. Véritable carrefour des traditions bibliques, apocalyptiques, midrachiques, ésotériques, ce livre a joué un rôle de première importance pour la formation de la cabale au moyen âge et de la mystique des piétistes juifs franco-rhénans dont il fournit un certain nombre de clés indispensables. Le Livre d'Hénoch est une oeuvre éminemment composite à tous les points de vue, un recueil de livres plutôt qu'un livre. Il n'est donc pas l'écho d'un enseignement ; il reflète, au contraire, tour à tour les opinions et les croyances assez variées des sectes ou des écoles qui se partageaient le milieu juif orthodoxe au IIe et au Ier siècle avant notre ère. C'est ce qui en fait une composition disparate, où des doctrines très élevées et des beautés de premier ordre côtoient un certain matérialisme et des traits du plus mauvais goût ; aussi c'est ce qui en fait aussi une mine précieuse de renseignements pour l'histoire de la pensée judéo-chrétienne.

10/2022

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Littérature française

Le jour et l'heure

"On s'est tous retrouvés à la gare de la Part-Dieu vers sept-huit heures. Maman avait son rendez-vous en début d'après-midi et elle n'avait qu'une peur, le rater. Le GPS annonçait cinq heures de route. On est partis avec la Peugeot à sept places. Papa et Maman devant, et nous, les quatre enfants, derrière, comme à la belle époque. Il ne manquait que les scoubidous et les cartes Panini. Papa a toujours eu une conduite assez brusque mais alors là, on aurait dit qu'il le faisait exprès. De la banquette arrière, je voyais Maman, à l'avant. Elle ne disait rien mais, à chaque fois que Papa freinait, ou accélérait, son visage se crispait. J'en avais mal pour elle. A un moment, il y a eu une énorme secousse, c'est sorti tout seul, je n'ai pas pu me retenir, mais c'est pas vrai ! Il va tous nous tuer ce con ! " Edith se sait gravement malade. Elle a convaincu son mari et leurs quatre enfants de l'accompagner à Bâle, en Suisse, où la mort volontaire assistée est autorisée. Elle a choisi le jour et l'heure. Le temps d'un dernier week-end, chacun va tenir son rôle, et tous vont faire l'expérience de ce lien inextricable qui soude les membres d'une famille. Dans un road trip tendre et déchirant, Carole Fives dresse avec délicatesse le tableau d'un clan confronté à l'indicible et donne la parole à ceux qui restent.

08/2023

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Littérature française

Les remords de l'innocence

Les Remords de l'Innocence retrace l'histoire de Noël, un enfant de onze ans qui passe le plus clair de son temps devant le club Dorothée. La découverte d'une boîte en carton, une simple boîte en carton va tout bouleverser. Noël devra, successivement, affronter des épreuves dont il ne sortira qu'en sacrifiant son enfance. L'histoire, comme la vie, avance lentement, avec l'assurance d'une puissante mécanique à broyer les sentiments. Personne ne sera épargné... L'auteur se permet des apartés à la première personne, tel le regard de l'homme jugeant les actions de l'enfant, perpétuellement à la recherche du pardon. Mais ce roman ne prétend pas faire oeuvre de cure, c'est un regard cruel sur l'absurdité de l'existence et des choix ou des fatalités qui s'imposent à nous. Ce premier roman révèle une nouvelle et puissante signature littéraire, l'auteur se singularise avec force en peignant la désespérance de vraies gens où le sordide et le banal se côtoient où l'amour et les émotions animent le moindre geste, la moindre pensée. Les dilemmes dans lesquels sont plongés les personnages, l'inéluctable issue renvoient à des problématiques intemporelles : que choisit-on vraiment ? Comment assumer ce qu'on n'a pas choisi ? Y a-t-il un sens ? Le héros n'est jamais totalement au centre de l'intérêt, il perd son enfance comme on perd ses clés, sans en faire exprès, comme une de ces calamités qui blessent sans tuer mais dont on ne peut pas sortir indemne.

11/2013

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Littérature française

Ovaine, la saga

Ovaine, La Saga, un roman ? Mais alors des plus iconoclaste, une romancie de romanichelle, un OVNI en 324 métamorphoses ! Son fameux préfacier, Maurice Mourier, ne mâche pas ses mots : " Ovaine a gardé sur le nez, pour mieux percer toutes les coquilles des bienséances, la corne caduque mais acérée du bébé dinosaure, dont le poulet a hérité. Ovaine, le poussin sauvage. Et hop ! Hors du nid ! Et hop ! De retour dans l'oeuf ! Quelle gymnastique ! C'est pas tous les jours qu'on est convié à jouir de telles cabrioles. Ces acrobaties-pyrotechnies-nécromancies dans et par les mots, c'est ça la poésie et non ce verbiage trop pensé qui solennise, devient niais et se change en basse littérature à message d'utilité publique. La poésie d'Ovaine [...] sous le signe de l'invention absolue, créant son vocabulaire, sa syntaxe, et tous ses propres sens, à la condition qu'ils ne soient pas communs, est un oeuf compact et lisse, mais des pinces sont cachées dedans, qui, avec le temps, s'aiguisent au morfil de sa neuvaine. C'est une poésie véritable, de celles, rares, qui ne courent pas les rues. Véritable, c'est à dire infiniment éloignée de la platitude du vrai, entièrement fausse exprès, entièrement machinée, imaginée, et plus vraie de devoir à l'espace du dedans, non à celui du dehors, qu'elle radiographie mieux que bien d'autres pourtant. Voilà, on en a assez dit, nous les fidèles. Vous tous, lecteurs nouveaux, lecteurs novices, à vous de lire, maintenant ! "

04/2019

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Ouvrages généraux

Le Masque de fer

19 novembre 1703. Un mystérieux détenu meurt à la Bastille après trente-quatre ans d'enfermement dans les geôles du roi de France, Louis XIV. Son visage est masqué. Son nom " ne se dit pas ". Son passé reste une énigme... 19 novembre 1703. Un mystérieux détenu meurt à la Bastille après trente-quatre ans d'enfermement dans les geôles du roi de France, Louis XIV. Son visage est masqué. Son nom " ne se dit pas ". Son passé reste une énigme... Entouré de précautions extraordinaires, on l'avait longtemps gardé aux confins du royaume, caché dans le Piémont italien puis à Sainte-Marguerite, une île au large de Cannes où fut construite, exprès pour lui, la plus sûre des prisons d'Europe. Trois siècles d'enquête ont permis de découvrir son nom : Eustache Dauger. Un illustre inconnu, devenu l'un des plus célèbres prisonniers de l'Histoire. Mais qui était cet homme ? Qu'avait-il fait pour mériter un tel châtiment ? Espion, traître ou témoin gênant... pourquoi ne l'a-t-on pas simplement supprimé ? Facilement accessible, ce livre retrace l'étrange parcours de Dauger, analyse les indices et confronte les témoignages, afin de lever le voile sur la véritable identité du Masque de fer et les raisons de sa mise au silence. S'appuyant sur des centaines d'archives d'époque et d'observations inédites, il entraîne le lecteur de révélations en surprises sur la piste d'un complot d'ampleur insoupçonnée, fomenté " de par le Roy " dans les alcôves secrètes du pouvoir.

01/2023

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Littérature française

Journal d'un Confiné par des Cons… finis

L'an dernier, en terminant mon 8e livre "Devoir de colère" , je pensais que ce serait le dernier. A vrai dire, j'étais assez désabusé. J'en avais marre d'assister, impuissant, au délitement et à la dégénérescence de notre pauvre pays, alors, basta, je voulais jeter l'éponge ! Je ne supporte plus ces islamo-gauchistes qui défilent dans NOS rues en nous traitant d'islamophobes ; ces harpies qui appellent à "balancer (leur) porc" ; ces végans, végétariens, végétaliens et autres "antispécistes" qui veulent nous empêcher de manger de la viande et qui, pour ce faire, agressent les bouchers, les éleveurs ou les abat­toirs. J'en ai marre de ce foutu pays dans lequel on veut bien manifester, mais pacifiquement, avec des "marches blanches" , des nounours, des fleurs, des banderoles "Je suis Charlie" ou "Vous n'aurez pas ma haine" . Le Français a toujours la fibre résistante ; la même qu'après les deux débarquements de 1944. Avec l'âge, je crois de moins en moins à la capacité de réaction de notre pays. Il est gangréné, vérolé, perverti, abruti. Suis-je nostalgique du temps ancien ? Oui, mais pas plus que ça. Comme disait Michel Audiard : "Penser à reculons, je laisse ça aux lopes et aux écrevisses... " Et puis le Coronavirus nous est tombé dessus et j'ai repris - un peu contraint et forcé - la rédaction d'articles pour divers sites, blogs ou revues. C'est à la demande expresse de quelques amis et fidèles lecteurs que j'en fais un livre : c'est en quelque sorte, le journal d'un Con... finé par des Cons... finis.

10/2021

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Grandes réalisations

Le Grand Hôtel et le Café de la Paix. Avec 1 carnet de recettes et 3 cartes, Edition bilingue français-anglais

Le Grand Hôtel compose avec l'opéra Garnier le décor de l'une des plus belles places de Paris. Depuis son inauguration par l'impératrice Eugénie en 1862, il est au croisement des mondes de l'art, de la mode et de la politique. A la terrasse du Café de la Paix qui le borde se sont attablés Victor Hugo et Emile Zola, Marlène Dietrich et Joséphine Baker, Sonia Rykiel et Vivienne Westwood... Aujourd'hui intégralement rénové par Pierre-Yves Rochon, Le Grand Hôtel est plus que jamais le symbole de l'élégance parisienne et offre à son visiteur une magistrale leçon de style et d'art de vivre à la française. - Inclus un carnet proposant les recettes emblématiques du Café de la Paix. - Avec les contributions de Stéphane Bern, Ines de la Fressange, Francis Huster, Jean Todt... Le Grand Hôtel and the Opéra Garnier compose the setting of one of the most beautiful squares in Paris. Since its inauguration by Empress Eugénie in 1862, the hotel has been at the crossroads of the worlds of art, fashion, and politics. The terrace of the adjoining Café de la Paix has been graced by such famous names as Victor Hugo and Emile Zola, Marlene Dietrich and Josephine Baker, Sonia Rykiel and Vivienne Westwood, to name but a few. Now fully renovated by Pierre-Yves Rochon, Le Grand Hôtel is more than ever the symbol of Parisian elegance, offering visitors a supreme example of the French art of living. - Includes a booklet featuring the Café de la Paix's signature recipes. - With contributions by Stéphane Bern, Ines de la Fressange, Francis Huster, Jean Todt and more.

11/2021

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Marx

Marx et le problème de l'idéologie. Le modèle égyptien suivi de Introduction à l'anthropologie darwinienne

La théorie de l'idéologie dominante renferme chez Marx une contradiction. Réduite à sa thèse manifeste, explicitée au coeur de la polémique contre la nouvelle philosophie critique, L'Idéologie allemande installe son objet dans l'innocence d'un reflet, dans l'involontaire d'une croyance, dans la sincérité d'une illusion que partagent ceux-là mêmes qui l'élaborent - les "idéologues" de la classe dominante - et, tout autant, ceux qui la dénoncent comme telle et qui pensent ainsi changer le monde en corrigeant des représentations : les philosophes , "critiques" allemands. Mais, dans les interstices de ce texte, et plus nettement encore dans le premier livre du Capital, la référence expresse de Marx, à travers le XVIIIe siècle, à ces archétypes de la fonction politico-idéologique et à ces spécialistes de la régulation sociale qu'étaient les prêtres de l'Egypte initiateurs des cultes idolâtriques fait basculer la thèse de l'innocence de la production idéologique dans son extrême opposé. L'idéologie dominante devient alors une mystification calculée, un jeu d'artifices, un outil de l'influence, une force d'assujettissement à des simulacres construits, s'exerçant en direction des producteurs dominés, et manoeuvrée depuis une position de savoir apte à exclure toute "illusion" sur son origine, son lieu d'application et ses conséquences matérielles la reproduction des rapports de production et de la division du travail, dont la caste sacerdotale est elle-même le produit. Ces deux thèses en conflit latent fournissent la structure et les termes réels de la problématique de l'idéologie chez Marx : du dépassement de leur opposition dépend aujourd'hui, pour une grande part, la nouvelle intelligence de la lutte idéologique.

01/2022

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Sociologie

Ils/Elles font Paris-Saclay. Architectes, artistes, chercheurs, enseignants, entrepreneurs

Polarisé sur le plateau de Saclay, mais avec des prolongements du côté de Versailles (plateau de Satory) et de Saint-Quentin-en-Yvelines, l'OIN Paris-Saclay a vocation à être le pôle technologique du Grand Paris. Lancé à la fin des années 2000, le chantier est déjà bien avancé, malgré les défis, écueils et controverses inhérents à un projet de cette envergure, sans équivalent en Europe. Chantier ? Des chantiers devrait-on dire. Car Paris-Saclay, ce sont de nombreux transferts d'établissements d'enseignement supérieur (ENS Cachan, Centrale...) et de centres de R&D (EDF Lab, IBM...) dans des bâtiments flambant neuf, signés par des architectes illustres ou prometteurs, et qui viennent enrichir un écosystème déjà existant (le CEA, l'Ecole polytechnique, Supélec et bien d'autres y sont présents depuis plusieurs décennies). C'est aussi l'aménagement d'espaces publics, la construction d'équipements, d'infrastructures, dont la ligne 18 du Grand Paris Express, censée desservir le campus à l'horizon 2026. Paris-Saclay, ce sont aussi des chiffres qui disent bien l'ambition : des dizaines de milliers d'étudiants, de chercheurs, d'enseignants : des centaines de start-up, etc. Mais Paris-Saclay, c'est encore et peut être d'abord, des hommes et des femmes qui y vivent et/ou y travaillent au quotidien : des académiques, des entrepreneurs, des artistes, des agriculteurs, des médiateurs... Le présent ouvrage propose d'aller à leur rencontre à travers les entretiens ou portraits dont ils ont fait l'objet pour les besoins du site web Media Paris Saclay, créé en 2012 à l'initiative de l'EPA Paris-Saclay, en charge de l'aménagement de l'OIN. A défaut d'exhaustivité, l'échantillon se veut représentatif de cette communauté Paris-Saclay, qui s'est affirmée au fil du temps, au travers de démarches de recherche ou d'innovation collaboratives et des nombreux événements qui jalonnent la vie de l'écosystème. Puisse ce recueil vous convaincre d'aller arpenter un territoire, également riche en espaces naturels, agricoles et forestiers et d'un patrimoine historique, qui témoigne d'une appétence ancienne pour la science et l'innovation.

06/2022