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Sous l'Occupation

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occupation

La Guerre des bactéries. L'Institut Pasteur sous l'Occupation

Dès les premiers temps de l'Occupation, l'Institut Pasteur est identifié par les représentants du Reich comme acteur stratégique du conflit. La centaine de chercheurs qui y travaillent sont les seuls capables de produire les millions de doses de vaccins permettant de protéger les populations contre les épidémies comme celle de la diphtérie. Ils sont également au fait des dernières avancées scientifiques en matière de guerre bactériologique. Dans ces circonstances exceptionnelles, les savants sont mis face à leurs responsabilités : ralentissement délibéré des livraisons aux troupes allemandes, engagement de 15 % des pasteuriens dans la Résistance, stockage de médicaments destinés aux combattants de l'ombre... mais aussi accueil de médecins SS qui utiliseront leurs recherches sur le vaccin contre le typhus pour les essais pseudo-médicaux menés dans l'enfer de Buchenwald. Ce livre, le premier consacré à une institution scientifique pendant la Seconde Guerre mondiale, dissèque avec finesse les dilemmes, les sacrifices et les compromissions des membres du plus célèbre établissement de recherche français. Docteur en biologie, Nicolas Chevassus-au-Louis est journaliste, collaborateur régulier de Mediapart. Il est l'auteur de plusieurs ouvrages, notamment Savants sous l'Occupation (Seuil, 2004).

03/2023

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Littérature française

L'occupation

J'avais quitté W. Quelques mois après, il m'a annoncé qu'il allait vivre avec une femme, dont il a refusé de me dire le nom. A partir de ce moment, je suis tombée dans la jalousie. L'image et l'existence de l'autre femme n'ont cessé de m'obséder, comme si elle était entrée en moi. C'est cette occupation que je décris. A. E.

09/2003

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BD tout public

Sous-sols

La solitude a toujours fait partie de la vie de cette jeune fille. Toute petite, elle s’ennuyait dans sa tour. Pour rompre la monotonie de sa vie, pour oublier un terrible cauchemar, elle s’est inventé une soeur jumelle. Réalité ou fiction, aujourd’hui sa soeur réapparaît dans sa vie, perdue dans un sommeil profond, ou peut-être dans un monde parallèle. En faisant la connaissance de la femme d’un scientifique, spécialiste de l’antimatière, la jeune fille s’interroge sur la finalité de sa vie. Pendant ce temps, dans les sous-sols du Centre Européen de Recherche nucléaire, le double de la jeune fille rencontre le scientifique lui aussi disparu. Apparaît alors l’incroyable vérité : il y aurait un monde jumeau au nôtre. La rencontre des deux mondes révélera des sentiments étranges.…

08/2010

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BD tout public

Sous-sols

SON PREMIER LIVRE LE CHAT N'A PAS DE BOUCHE VOUS AIME BEAUCOUP EST L'UNE DES MEILLEURES VENTES DU FRÉMOK ET A CONNU DEUX ÉDITIONS. Sous-sol (définition du Littré) 1. Couche, assise de sol, sur laquelle repose la terre végétale, ou servant de base à une construction quelconque, telle que mur, chaussée. / 2. Construction faite au-dessous du rez-de-chaussée d'une maison. Louer un sous-sol. " Sous le trait tendre à la finesse chirurgicale de Doublebob apparaissent, au fil des 36 pages de ce curieux opus-cule, des figures qui défilent de manière à former l'étrange récit d'un voyage souterrain. Des portes s'ouvrent, des toiles se fissurent et des fentes s'élargissent toujours assez pour laisser le lecteur basculer dans les profondeurs, sans qu'il sache exactement de quoi est fait le sol qui le surplombe. Si la terre semble meuble, les hauteurs paraissent solides et opaques. Les sous-sols sont parsemés de triangles. Ce motif géométrique récurrent, symbole de la stabilité et de la construction architecturale dans toute la signalétique contemporaine offre tout d'abord une impression de sécurité. II est avant tout la tente sous lequel le personnage se réfugie en position foetale, comme protégé par une trinité mystique. Cependant cet abri se présente peu à peu sous son jour précaire, et ne cesse d'offrir à la vue du lecteur les fissures qui le déchirent, la grande légèreté de sa toile et les dangers qui guettent son locataire. Des escaliers et des échelles se déploient en deça du sol et de nouvelles dimensions se créent, dans lesquelles les matières circulent aisément sur des parcours fléchés par l'auteur. La matière est partout et sa force est insaisissable, elle intègre les espaces et désintègre les corps avec ou sans visage, les laissant se dédoubler pour se caresser ou s'étouffer tendrement. Elle hante le récit et forme ce brouillard opaque qui étouffe les cris, les pleurs et les paroles, ne laissant que quelques-unes d'entre elles résonner dans le vide comme une chanson d'amour. Les limites qui séparent le langage du silence épousent les contours des Sous-sols que Doublebob à mystérieusement dessinés.

09/2012

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Sciences historiques

Cahors et le Lot sous l'Occupation. Résistance, collaboration, épuration

Que s'est-il passé, à Cahors et clans le Lot, pendant et juste après la Seconde Guerre mondiale ? C'est cette question que l'auteur explore, au-delà des mythes construits et des silences cultivés et elle reconstitue les répercussions locales de ce conflit mondial grâce à des témoignages et de très nombreuses archives (départementales, françaises et allemandes) Des portraits, des parcours, des choix se dessinent : parmi les jeunes du Lycée Gambetta, certains s'engagent dans la Résistance qu'organise Chapou, leur ancien professeur de latin, âgé d'à peine plus de trente ans, et d'autres dans la Milice qu'un de leurs professeurs d'allemand dirigera brièvement. Des médecins, des pharmaciens, des industriels gonflent les rangs des organisations pro-Vichy avant, parfois, de s'en retirer à la hâte. Une jeune femme fait tourner la tête de tout Cahors, tandis qu'une étrange famille franco-japonaise s'installe dans la ville. Des Juifs espèrent y éviter les persécutions et déportations que supervise Darquier de Pellepoix, le "Eichman français", dont le père a longtemps été maire de Cahors. La Gestapo recrute des agents français. Cécile Vaissié a reconstitué avec précision l'organigramme de cette organisation et ses activités dans le Lot, retrouvé et interviewé l'un de ses agents, quelques décennies après qu'il eut été condamné à mort. Car, après la Libération du département, et sans attendre celle de la France, des procès commencent, que ce livre raconte en détails, grâce à l'examen des dossiers d'instruction.

06/2016

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Histoire de France

La pègre sous l'Occupation. Bandits, truands et petits voyous

Après la débâcle de 1940 et sous l'occupation allemande, la population française s'efforce d'adopter une posture pour continuer à vivre. Entre résignation, collaboration et résistance, chacun essaie de garder la tète au-dessus de la vague... Mais une infime catégorie, réfractaire à toute soumission, oeuvrant dans l'ombre et se moquant "du roi comme de la république" tant qu'elle peut faire ses "p'tites affaires" va elle aussi s'adapter. Bandits de haut vol, voyous ou petits truands vont donc faire leurs choix, profitant de ces conditions nouvelles. Des choix qui les conduiront pour certains vers la richesse, sur quelques chemins honorables pour d'autres, vers un destin violent et brutal pour beaucoup ! Cette page d'histoire évoque de façon détachée une tranche de l'histoire du Milieu et de son folklore de 1940 à 1944... Une chronique illustrée mêlant récit et anecdotes, mise en scène tout au long d'une fresque semée d'images recomposées, à la manière d'un roman-photo de Série Noire.

05/2019

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Histoire de France

Intellectuels et artistes sous l'occupation. Et la fête continue

À quoi ressemblait la vie de Sartre et de Beauvoir sous l'Occupation allemande ? Comment Picasso contournait-il l'interdiction officielle de son oeuvre ? Comment artistes et intellectuels ont-ils vécu cette époque de peur et de restrictions ? Quelle liberté créatrice leur restait-il ?... La vie culturelle française ne s'est pas arrêtée après la défaite de 1940. Rapidement, théâtres, cinémas, galeries et boîtes de nuit ont rouvert leurs portes, pour assurer la subsistance des artistes et divertir un peuple démoralisé. Saviez-vous aussi que le frère de notre bon commandant Cousteau était un collaborateur de la première heure ? Que Dina Vierny, la muse de Maillol, faisait passer des clandestins depuis la gare de Banyuls ? Que Gerhard Heller, officier nazi, a joué un rôle majeur dans la vie culturelle française et a sauvé la vie de Jean Paulhan ? Alan Riding retrace dans cet ouvrage formidablement documenté le parcours des chanteurs, écrivains, peintres ou acteurs de l'époque, et explore leurs cas de conscience. Était-ce collaborer que de se produire devant un public en partie allemand, comme le firent Maurice Chevalier et Édith Piaf ? Était-ce manquer de patriotisme que de publier des romans ou de réaliser des films pendant la guerre, comme le firent Albert Camus et Marcel Pagnol ? Sans céder à un moralisme stérile, cette enquête vivante et rigoureuse conduit, à travers une mosaïque de portraits, à questionner la responsabilité de l'artiste en période de troubles.

02/2013

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Histoire de France

Journal d'une lycéenne sous l'Occupation. Toulouse 1943-1945

"En 1944, j'avais 17 ans, dit Aline, et le sentiment de vivre au coeur de l'Histoire, avec un grand H. Je comprenais que nous vivions une période exceptionnelle et qu'il fallait noter ces souvenirs". N'est-ce pas ce qu'on appelle l'histoire vivante ? En effet, comment ne pas écrire un journal sous l'Occupation quand on a 17 ans ? Comment ne pas raconter la vie comme elle vient, quand on est élève au lycée Saint-Sernin de Toulouse et future enseignante ? Aline décrit les aléas du ravitaillement, les collectes pour sinistrés, les vols de vêtements, elle parle d'une cousine de son père déportée à Ravensbrück, des bombardements, des sorties au théâtre, au cinéma... C'est aussi cela la guerre. Erudite, la pétillante lycéenne se nourrit de Montaigne et d'Hugo, remparts contre la morosité d'une époque où les pourfendeurs de l'esprit laïc tiennent le haut du pavé. Puis, comme les violettes annoncent le printemps, la liberté vivace reprend ses droits. Sa plume témoigne alors des combats du faubourg, de la libération de la ville et de l'arrivée du général de Gaulle au Capitole. Le regard qu'Aline porte sur son journal - 70 ans après sa rédaction - en éclaire la compréhension et nous invite à une lecture subtile de l'histoire de Toulouse. Thierry Crouzet et Frédéric Vivas "accompagnent" ce journal intime et mettent en évidence les problématiques d'hier qui questionnent celles d'aujourd'hui.

04/2013

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BD tout public

Dictionnaire illustré de la bande dessinée belge sous l'Occupation

S'il existe de nombreux ouvrages consacrés à l'étude de la bande dessinée, aucun ne s'est intéressé jusqu'à présent au cas spécifique du 9e art en Belgique pendant la Seconde Guerre mondiale. Pourtant cette période présente de nombreux aspects passionnants et révèle un véritable "âge d'or", né de l'éclosion de formidables talents nationaux, appelés notamment à remplacer les séries importées des Etats-Unis et stoppées par la guerre. Les quelque 270 entrées de ce Dictionnaire présentent non seulement des auteurs - scénaristes et dessinateurs -, des oeuvres, des personnages, des éditeurs, des genres, mais également le difficile contexte politique, culturel et social de l'époque qui donne sa couleur à l'ensemble. On y croise aussi bien Hergé que M Antoine, J-M Charlier, F Dineur, J Doisy, J Dratz, A Fromenteau, F Funcken, Ch Gilbert, B Heuvelmans, E P Jacobs, Jijé, J Laudy, J Van Melkebeke, J Meuwissen, Mitacq, M Moniquet, A Peclers, Rob-Vel, Sirius, Tenas, M Tillieux ou W Vandersteen - et bien d'autres encore ! On y retrouve également, avec nostalgie, des séries et personnages comme Akkor, le roi de la planète ; Les Aventures de Benjamin ; Blondin et Cirage ; Bob ou l'enfant du rail ; Boulou et l'aventure ; Brick Bradford ; Christophe Colomb ; Le Crabe aux pinces d or ; Don Bosco ; L'Epervier bleu ; L'Etoile mystérieuse ; Gordon l'Intrépide ; Les Aventures de Jacquy et Marcou ; Marc, Hercule moderne ; Le Navire fantôme ; Niki Lapin ; Les Aventures de Poil-Poil, chien de réfugiés ; Quick et Flupke ; Le Rayon U ; Le Secret de la Licorne ; Sindbad le marin ; Sur la planète rouge ; Tatène et Tchantchès ; Tintin ; Tif et Tondu ; Le Trésor de Rackham le Rouge ; Trinet et Trinette dans l'Himalaya ; Jean Valhardi... Un intérêt tout particulier a aussi été accordé aux supports (journaux et magazines) et aux éditeurs : Aventures illustrées-Bimbo ; La Bonne Presse ; Bravo ! ; Casterman ; Collection Tommy ; Dupuis ; Feu Sacré ; Gordinne ; Le Journal de Spirou ; Nine ; La Nation belge ; Petits Belges ; De Rakker ; Le Soir ; Terre et Nation ou encore Wrill. Truffé d'anecdotes et richement illustré (plus de 240 vignettes), cet ouvrage rend hommage à une période et à des auteurs majeurs du 9e art.

04/2013

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Critique littéraire

Livres pillés, lectures surveillées. Les bibliothèques françaises sous l'Occupation

On sait l'ampleur des pillages des collections, d'art en France par l'occupant nazi. Nul n'ignore plus l'existence des listes Otto - recensant les auteurs, juifs ou antinazis, qui devaient être à jamais bannis de tout catalogue - et que le syndicat des éditeurs français appliqua dès les premières heures de l'Occupation avec un zèle certain. Personne, avant Martine Poulain, ne s'était inquiété du devenir des bibliothèques dans la France de 1940 à 1944. Une France qui est à la fois celle de l'occupant nazi et celle du régime de Vichy. A la différence des archives des ministères (Guerre, Affaire, étrangères, Intérieur, justice) et des musées, peu de bibliothèques publiques sont l'objet du pillage par l'occupant, à l'exception des alsaciennes et des mosellanes, germanisées et propriétés du Reich. Le vol de masse, nazi mais aussi vichyste. frappe, dès juin 1940, les bibliothèques institutionnelles - juives, slaves, maçonnes - mais aussi privées, celles des premiers ennemis du Reich (les grandes familles juives, les Allemands exilés, les hommes politiques du Front populaire). Puis le pillage accompagne ordinairement les rafles. Plus de dix millions de livres prennent le chemin de l'Allemagne. Martine Poulain a constitué une première liste des personnes spoliées de leur bibliothèque - près de 1 700 noms. Le régime de Vichy, de son côté, surveille les livres, les bibliothèques et les lecteurs, sous la houlette d'une Bibliothèque nationale devenue le parangon de l'ordre nouveau, instrument de la collaboration d'Etat aux mains de Bernard Faÿ. Ce dernier mène une lutte obsessionnelle contre la franc maçonnerie sous couvert d'un " Musée des sociétés secrètes ".

10/2008

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Histoire de France

Le Soleil éclipsé. Le château de Versailles sous l'occupation

14 juin 1940. La Wehrmacht envahit le château de Versailles. Par la portée symbolique de cet événement, Hitler réalise son rêve de revanche. Dès lors, et durant quatre années, des milliers de soldats arpentent la galerie des Glaces, parcourent les jardins dessinés par Le Nôtre, tandis qu'aléas climatiques, bombardements, pénuries, pillages et vandalisme mettent en péril ce joyau national, et les derniers chefs-d'oeuvre qu'il abrite. En prévision du pire, un vaste plan de protection avait été élaboré dès les années 1930. On camoufla à partir de septembre 1939 tout ce qui pouvait l'être, à commencer par le Grand Canal, entièrement asséché. Dans l'affolement de l'exode, on finit d'évacuer collections et décors au sein de plusieurs châteaux de province : Chambord, Brissac, Sourches, Serrant, Voré... La plupart de ces trésors survécurent ainsi, "hors les murs", jusqu'à la fin du conflit. C'est un quotidien fait de craintes et d'espoirs que dévoile cet ouvrage, au plus près d'une poignée d'hommes et de femmes, conscients de la nécessité absolue de préserver un patrimoine unique.

06/2018

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Esotérisme

Les francs-maçons sous l'Occupation. Entre résistance et collaboration

Parmi les femmes et les hommes persécutés par la police de Vichy et la Gestapo, les francs-maçons figurent en bonne place : 64 000 furent fichés ; 3000 fonctionnaires perdirent leur emploi et plus d'un millier furent assassinés par les Allemands. Nombre de francs-maçons furent résistants et beaucoup le payèrent de leur vie. Quelques-uns s'engagèrent aux côtés du maréchal Pétain, d'autres adoptèrent une attitude plus ambiguë. De Jean Zay à Pierre Brossolette en passant par Bernard Faÿ ou Pierre Laval sans oublier Otto Abetz, onze portraits passionnants, qui sont autant de destinées particulières, étayent les propos d'Emmanuel Pierrat et jettent sur cette sombre période un éclairage inhabituel.

02/2016

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Autres collections (6 à 9 ans)

Douveth. Récit d'un petit garçon juif sous l'Occupation

"Nous allons changer de nom. Sinon, ça risque d'être dangereux, et on pourrait se faire arrêter rien qu'à cause de ça. J'ai déjà expliqué tout ça à tes soeurs. Sarah s'appelle maintenant Solange, Tsilla c'est Cécile, et Hannah, c'est Annette. Ta maman, ce n'est plus Rachel, mais Rose. (...) Et moi alors, comment je vais m'appeler ? Seulement David et plus Douveth ? Non, dit papa, ni Douveth ni David. Tu t'appelleras Daniel. C'est un joli nom tu sais, et c'est aussi dans la Bible. Mais celui-là, les goyim le portent aussi. Comme ça, ils ne se rendront pas compte que c'est un nom juif, et la milice et les Allemands non plus. Non, je m'appelle David, et je veux continuer à m'appeler comme ça ! " France, 1940. La famille du petit Douveth part de Metz se réfugier à Clermont-Ferrand. Son père part à la guerre et il revient malade. Après sa mort, Douveth est placé dans une ferme auvergnate, où il doit cacher qu'il est juif. Là, l'enfant découvre un monde nouveau et fascinant : la campagne. Entre les dindons qu'il garde bien maladroitement et le grand-père qui chique et crache par terre, on rit beaucoup. Mais on découvre également toutes les ressources mises en oeuvre par Douveth pour conjurer la tristesse et vivre sa vie d'enfant.

04/2021

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Romans historiques

Priscilla. La vie cachée d'une Anglaise sous l'Occupation

Un roman-quête sur la tante de l'auteur, anglaise à Paris qui a tenté de survivre pendant la Deuxième Guerre Mondiale. 40 photos.

02/2015

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12 ans et +

Ami, entends-tu... J'avais treize ans sous l'occupation

Nantes,1943. Au plus fort de l'Occupation allemande, Félix, treize ans, rêve de rejoindre un réseau de résistance. Une sombre histoire de dénonciation va lui permettre de faire la preuve de son courage et de sa détermination. Ne faisant confiance à rien ni à personne, sinon à lui-même, Félix se lance à corps perdu dans une enquête qui l'amènera à regarder d'un autre oeil tous ses proches.

08/2018

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Romans historiques

La Haute-Loire sous l'Occupation. Récoltes amères (L'enfance écartelée)

1942-1944 : Pendant l'occupation allemande, un "minot" marseillais, âgé de 10 ans, est éloigné de cette grande ville par ses parents, afin de lui éviter les affres de la faim et des bombardements. Cependant, si ces deux dangers sont écartés, d'autres surgissent... C'est une vie tout â fait nouvelle, et pour laquelle il n'était pas préparé, qu'il doit affronter, loin des siens...

07/2005

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Histoire de France

Dans le lit de l'ennemi. Coco Chanel sous l'Occupation

Ce livre, qui n’est pas une énième biographie de Coco Chanel, éclaire les zones d’ombre qui planent sur le passé de la créatrice, notamment durant la Seconde Guerre mondiale. Pendant près d’un demi-siècle, la vie de Chanel entre 1941 et 1954 est restée enveloppé d’un voile de mystère et de rumeurs. Dans ce livre, entre thriller et document, Hal Vaughan, qui s’appuie sur les archives nazies enfin ouvertes au public, révèle le vrai rôle de Chanel pendant l’occupation de Paris et aux lendemains de la guerre. Il raconte sa longue liaison avec le baron Hans Günther von Dincklage, souvent décrit comme un aimable play-boy, fidèle à sa patrie certes, mais se tenant à distance du régime. Vaughan démontre que Dincklage était au contraire un espion nazi convaincu, qui dépendait directement de Goebbels. Il raconte comment, recrutée par l’Abwehr en 40, Coco Chanel est elle-même devenue un agent au service de l’Allemagne. Comment elle a échappé à la prison à la Libération (grâce notamment à une intervention personnelle de Churchill, rencontré dans les années 20 quand elle était la maîtresse du duc de Westminster) et son exil de 9 ans en Suisse avec Dincklage. Et enfin pourquoi, malgré l’ouverture par la Justice française d’un dossier à charge pour faits de collaboration, elle a pu rentrer à Paris à l’âge de 70 ans, sans être inquiétée Retour triomphal qui lui permettra de reconstruire la maison Chanel.

10/2012

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Histoire de France

L'ARRONDISSEMENT DE PÉRONNE SOUS L'OCCUPATION (1914-1918) - Tome 2

Ce livre, composé de 24 fascicules parus dans le Journal de Péronne après 1918, retrace la vie de la population civile de l'arrondissement de Péronne pendant la Grande Guerre. Ecrit (sous le pseudonyme de FASOL) par Henri Douchet (1866-1942), écrivain et musicien très attaché à Péronne, cet ouvrage n'a jamais été réédité. Suivant l'ordre chronologique, ce "journal de l'occupation" est la réunion des nombreuses notes de l'époque auxquelles l'auteur a ajouté ses propres souvenirs et les récits des témoins directs ayant vécu cette période tourmentée. Il a été rédigé avec le soucis constant de ne pas s'écarter de la Vérité historique et celui de refléter les sentiments que l'on éprouvait alors. Tome I : Albert / Chaulnes, Ablaincourt, Aizecourt-le-Bas, Aizecourt-le-Haut, Allaines, Assevillers, Athies, Barleux, Belloy-en-Santerre, Bernes, Berny, Béthencourt-sur-Somme, Biaches, Bouchavesnes, Bouvincourt, Bray-sur-Somme, Brie, Brouchy, Buire-Courcelles, Bussu, Cartigny. Tome II : Ham / Nesle, Combles, Curlu-Fargny, Equancourt et Fins, Hardécourt-aux-Bois, Moislains, Roisel, Templeux-la-Fosse, Dompierre, Bouchavesnes, Epehy, Marquaix, Tincourt, Driencourt, Hamelet, Frise, Nobécourt, Villers-Faucon. Cet ouvrage, qui comporte deux tomes, est complété par le livre Péronne sous l'occupation. N. B. Ce livre a été réalisé en mode "reprint" , c'est donc une "copie conforme" des fascicules parus dans le Courrier de Péronne. Vu la typographie très fine et le nombre de pages, il était "financièrement" impossible de recomposer les 380 (tome I) et les 386 pages (tome II) du tirage original.

06/2014

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Histoire de France

L'ARRONDISSEMENT DE PÉRONNE SOUS L'OCCUPATION (1914-1918) - Tome 1

Ce livre, composé de 24 fascicules parus dans le Journal de Péronne après 1918, retrace la vie de la population civile de l'arrondissement de Péronne pendant la Grande Guerre. Ecrit (sous le pseudonyme de FASOL) par Henri Douchet (1866-1942), écrivain et musicien très attaché à Péronne, cet ouvrage n'a jamais été réédité. Suivant l'ordre chronologique, ce "journal de l'occupation" est la réunion des nombreuses notes de l'époque auxquelles l'auteur a ajouté ses propres souvenirs et les récits des témoins directs ayant vécu cette période tourmentée. Il a été rédigé avec le soucis constant de ne pas s'écarter de la Vérité historique et celui de refléter les sentiments que l'on éprouvait alors. Tome I : Albert / Chaulnes, Ablaincourt, Aizecourt-le-Bas, Aizecourt-le-Haut, Allaines, Assevillers, Athies, Barleux, Belloy-en-Santerre, Bernes, Berny, Béthencourt-sur-Somme, Biaches, Bouchavesnes, Bouvincourt, Bray-sur-Somme, Brie, Brouchy, Buire-Courcelles, Bussu, Cartigny. Tome II : Ham / Nesle, Combles, Curlu-Fargny, Equancourt et Fins, Hardécourt-aux-Bois, Moislains, Roisel, Templeux-la-Fosse, Dompierre, Bouchavesnes, Epehy, Marquaix, Tincourt, Driencourt, Hamelet, Frise, Nobécourt, Villers-Faucon. Cet ouvrage, qui comporte deux tomes, est complété par le livre Péronne sous l'occupation. N. B. Ce livre a été réalisé en mode "reprint" , c'est donc une "copie conforme" des fascicules parus dans le Courrier de Péronne. Vu la typographie très fine et le nombre de pages, il était "financièrement" impossible de recomposer les 380 (tome I) et les 386 pages (tome II) du tirage original.

05/2014

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Romans de terroir

Le Miel de l'aube. Une enfance en Bourgogne sous l'Occupation

Fille d'instituteur, c'est sous le signe de l'Ecole que se déroule la jeunesse de Lucette Desvignes. Quand la guerre éclate, l'école de son père est réquisitionnée à chacun des remous militaires. À 13 ans, elle découvre la tragédie, l'angoisse, l'horreur... Toutefois, dans cette autobiographie, Lucette Desvignes s'attache à retrouver " la clarté plutôt que les ombres, la tendresse plutôt que la barbarie, l'humour plutôt que la tristesse. Oui, miel de l'aube. "

03/2012

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ouvrages généraux

Les gendarmes sous l'occupation. Le commandement face à l'adversité 2022

Le lieutenant Meunier, mobilisé dans les rangs du 45e bataillon de chars de combat de la Gendarmerie de Satory, participe en mai 1940 aux très durs combats de Stonne, dans les Ardennes. Fait prisonnier, il est relâché en août. Malgré cela, il se porte alors volontaire dans le Doubs et se trouve désigné pour commander la compagnie. Un commandement qui aurait dû être assuré par un chef d'escadron ! Face à l'Occupation et à mesure qu'elle se prolonge, les gendarmes du Doubs vont choisir entre l'obéissance à Vichy et la collaboration pour certains, ou la Résistance pour d'autres ...

09/2022

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Religion

LES CATHOLIQUES FRANCAIS SOUS L'OCCUPATION. Nouvelle édition revue et augmentée

Ne trouve-t-on pas dans l'histoire de ce qui se passa entre 1940 et 1944 une des explications, ou du moins un certain éclairage, de ce qui s'est passé ensuite ?... Dans cette période riche en lâchetés et en héroïsmes, en dramatiques bêtises et en géniales intuitions, tout est réuni et concentré, tout est en germe, tout se bouscule comme dans un film soudain accéléré : les illusions et les désillusions du lendemain, la crise de l'Église, son progrès peut-être.

09/1997

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Histoire de France

Désobéir. Des policiers et des gendarmes sous l’'occupation (1940-1944)

Engagées en première ligne dans la politique de contrôle et d'exclusion du gouvernement de Vichy entre 1940 et 1944, la gendarmerie et la police françaises ont, plus que toute autre institution, dû affronter le dilemme : " servir face à l'ennemi ou servir l'ennemi " . Car désobéir à ses supérieurs, pour un gendarme ou un policier, c'est aller à l'encontre de l'essence même de sa formation. Mais si une partie d'entre eux ont appliqué les ordres par discipline, par antisémitisme, par peur ou par intérêt, nombreux sont ceux qui ont aidé à faire passer la ligne de démarcation ou la frontière à des Juifs, à cacher des résistants, à dissimuler des armes... Même s'ils n'ont pas rejoint un réseau ou un mouvement de résistance, leur action a permis de sauver de nombreuses vies. Or cette histoire-là est totalement ignorée. Face à un discours traditionnel qui met en avant l'activité des policiers ou des gendarmes ayant appliqué avec zèle les lois et les ordonnances en vigueur pendant l'Occupation, cette fresque sans concession ni faux-semblant, basée sur de nombreux documents d'archives étudiés par l'auteure depuis une dizaine d'années, met à mal nombre d'idées reçues et montre que, même au coeur du système vichyssois, il était possible de contrevenir aux ordres. Limore Yagil est professeure habilitée à diriger des recherches d'histoire contemporaine et chercheuse à la Sorbonne. Spécialiste de l'histoire culturelle et politique de la France sous l'Occupation, elle a publié une dizaine d'ouvrages, parmi lesquels Chrétiens et Juifs sous Vichy (Cerf 2005) et Au nom de l'art 1933-1945 (Fayard, 2015).

09/2018

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Histoire de France

Le Festin des loups. Collabos, profiteurs et opportunistes sous l'Occupation

Pour certains Français, la défaite de juin 1940 et la fin de la République fut une "divine surprise". Poussés sur le chemin de la compromission avec l'occupant par des motivations aussi diverses que la conviction politique ou le simple opportunisme, des hommes et des femmes ont écrit l'une des pages les plus honteuses et controversées de notre histoire. Parmi eux, Jacques Doriot, ancien communiste qui combattit sous l'uniforme allemand ; Jean de Mayol de Lupé, un évêque royaliste, qui concluait ses prêches par un vibrant "Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. Heil Hitler !" ; Marcel Petiot, un médecin psychopathe pseudo-résistant profitant de la détresse des juifs pour les faire disparaître ; Abel Bonnard, un homosexuel notoire, devenu ministre de l'Education de Vichy... Chacun à leur manière et à des degrés divers, ils ont profité du chaos né de la guerre et, en faisant le pari de la collaboration, laissé libre cours à leurs ambitions personnelles et spéculatrices. A travers ces quatorze portraits au scalpel, David Alliot revisite les années sombres de l'Occupation qui, manifestement, ne l'ont pas été pour chacun.

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Sciences historiques

Itinéraires d'un potache sous l'Occupation. 1937-1945, en Bourgogne

Après "Fils de Héros" et " J'étais médecin à la campagne", ce troisième livre de Paul Sanlaville apporte un témoignage exceptionnel, celui d'un monde bouleversé, dans lequel le potache vit l'école de Pétain, dans lequel le gosse savoure ses vacances au village bourguignon posé près de la ligne de démarcation. De 1937 à 1945, son enfance résonne ainsi des bruits de bottes qui claquent en Europe ; il assiste, ébahi, au Blietzkrieg et à la débâcle française qui portent le Maréchal au pouvoir, quand les Panzers traversent son village. Il vit ensuite au plus près l'Occupation allemande, avec les rations de 90 grammes de viande pour la semaine, les passeurs et le marché noir, puis l'émergence de la Résistance, les représailles et les exécutions sommaires, et enfin l'arrivée des Jeeps, tanks et half-tracks des GI's mâchant leurs chewing-gums. D'Autun à Mâcon et Lons, les trimestres et les années rythment la scolarité et les vacances bressanes chez ses parents ; il nous livre les images inédites de cette époque, avec la candeur du gosse, la gouaille du futur carabin, et la précision de l'élève appliqué et bien élevé. Le monde forgé par Hitler, Staline, Pétain, de Gaulle, saigne et crie, mais pour Paul, les copains sont toujours là, sur les bancs de l'école des Pères, en cours de récré, au foot, lors des longues virées à bicyclette, à la plage du Doubs ou il draguait les Parisiennes venues se réfugier à la campagne. Un livre vrai, qui nous fait vivre grâce aux souvenirs de l'auteur, le quotidien de ces années d'Occupation, vues par un enfant.

05/2012

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Sciences historiques

Réfugiés alsaciens et mosellans en Périgord sous l'Occupation (1940-1945)

Un premier ouvrage publié en 2006 était consacré à l'évacuation et à la vie des Alsaciens en Périgord en 1939-1940. Ce livre inaugural fut suivi en 2008 et 2009 de deux autres, thématiques, sur les « chocs » culturels de cette cohabitation (traditions culinaires et pratiques religieuses). Les auteurs n'ayant cessé d'accumuler des témoignages oraux ou écrits, de compulser des documents d'archives et des journaux d'époque sur le sujet, c'est logiquement qu'ils consacrent cette nouvelle étude à la période de l'Occupation, de 1940 jusqu'en 1945. Les évacués et les réfugiés de l'exode qui n'avaient pas regagné leur domicile après l'armistice furent bientôt rejoints en Dordogne par des Alsaciens et des Mosellans expulsés ou qui fuyaient le régime nazi, cet afflux de populations nouvelles rendant la vie quotidienne de plus en plus difficile. Puis vinrent le STO, l'occupation totale du pays par les Allemands, les arrestations arbitraires, les rafles et la traque des juifs, l'organisation des mouvements de la Résistance et, enfin, la Libération. Appuyé sur le parcours d'un juste, d'un résistant, de deux artistes, d'un prélat, d'une famille juive et d'une entreprise, cet ouvrage ajoute une pierre indispensable à l'édifice de la mémoire qu'il faut sans cesse entretenir sur cette période noire de notre histoire, mais où de solides liens d'amitié se sont tissés entre les réfugiés de nos provinces de l'Est et leurs hôtes périgourdins… Catherine et François Schunck sont membres de la Société historique et archéologique du Périgord (SHAP) et de plusieurs autres associations historiques et généalogiques. Ils ont écrit pour différentes revues des articles sur l'histoire de leur village respectif. Leurs origines, périgourdine pour l'une et alsacienne pour l'autre, les destinaient à s'intéresser à l'évacuation des Alsaciens en Périgord.

11/2012

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Sciences historiques

Le journal d'Henri Martin, 1917. Moussey sous l'occupation allemande

Henri Martin a 32 ans, est marié, père de deux enfants et un accident survenu deux ans avant la guerre l'a rendu non mobilisable. Son journal, couvrant toute l'année 1917, entame l'historiographie de sa commune. Henri Martin, qui s'érige ainsi en témoin d'une guerre en zone envahie, ouvre alors une fenêtre sur le parcours d'une famille et d'une commune dans la Grande Guerre.

01/2014

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Sciences historiques

Ma petite France. Chronique d'une ville ordinaire sous l'Occupation

En septembre 1939, la guerre vient bouleverser la vie des habitants de Sablé- sur-Sarthe. Cinq ans plus tard, deux balles sont tirées dans la nuque de "Papillon", un présumé collabo, par le chef FFI de cette petite ville de six mille habitants. Entre ces deux dates, c'est une France en réduction, vue du salon de coiffure familial, que nous raconte Pierre Péan, de la mobilisation à l'exode, de l'Occupation à la Libération : commerçants qui s'enrichissent au marché noir, prostituées du bordel local qui ne regimbent pas devant les nouveaux clients allemands, la résistance qui s'organise timidement. Ceux-là et d'autres traversent ce récit jusqu'à l'épuration, qui verra arrestations et règlements de compte, sous la direction du même commissaire de police qui obéissait aux ordres de Vichy. Pierre Péan fait revivre sa "petite France" grâce aux nombreux récits des derniers témoins et informations tirées des archives privées, départementales, nationales, ainsi que du Service historique de la Défense et des archives britanniques. En reconstruisant l'histoire de sa ville avec un fil rouge personnel, l'auteur nous livre une fresque inattendue de ces années tumultueuses, dont l'héritage se fait toujours sentir.

03/2017

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Romans de terroir

Un instant ! Je suis occupé. Un adolescent landais sous l'occupation

Inspiré par l'expérience de l'auteur, médecin généraliste landais, ce roman évoque la naissance imprévue d'une vocation chez un adolescent pendant la guerre et l'Occupation.

04/2015

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Littérature française

Contre courants. La Baule et la presqu'île sous l'occupation

En 1940, après deux décennies étourdissantes, La Baule vit dans le luxe et la fête. A Fin de partie quand le casino est transformé en hôpital et que les deux plus grands hôtels, sont réquisitionnés pour l'état-major anglais. Puis à partir du 15 juin 1940 à peine amorcée, la guerre est perdue, la moitié du pays est occupée par l'ennemi, Le destin heureux de La Baule, est percutée par les évènements Eberlués, les Baulois entrent dans ce qui devient la vraie vie. Les Allemands pénètrent dans La Baule, partout ce ne sont qu'hôtels de luxe et villas cossues c'est un cadeau pour l'occupant, ils les réquisitionnent pour y loger l'état-major et les troupes. Il n'y aura pas de conflit. Les Baulois le sentent et respirent. La peur se dissout dans une onde d'espoir. Cinq héros fictifs évoluent de juin 1940 à mai 1945 dans cet environnement conforme aux faits historiques.

03/2021