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Pauvre chose

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Monographies

Le prince et le pauvre

A Londres, un bourgeois de la haute société, Tom Canty, trouve un malin plaisir à martyriser ses propres serviteurs. Très exigeant et pointilleux, il leur demande constamment d'exécuter des tâches invraisemblables. Ce bourgeois voue un culte à l'argent et vit uniquement pour multiplier sa fortune. Ce quotidien tyrannique cessera le jour où il fera la rencontre de Jack, lequel lui proposera un marché...

10/2021

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Théâtre

Pauvre maison de nos rêves

Will et Tifann, des Berlinois, sont de ces gens pour qui la maison de leurs rêves va se révéler être le tombeau de leurs illusions, de leurs serments les plus doux, l'espace chaotique d'une tragédie dérisoire, éminemment contemporaine...

06/2010

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Littérature française

L'art d'être pauvre

S'agit-il d'un roman très autobiographique ? De Mémoires piégés par l'imagination ? D'une fresque drolatique et tendue entre les derniers feux d'un monde proustien et les ambiances métalliques du Palace ou de la Factory ? En vérité, il y a un peu de tout cela dans cet étrange Art d'être pauvre (titre emprunté au dandy Boni de Castellane), où François Baudot revisite, retouche et augmente sa Grande Vie parmi les esthètes du baby-boom. On y rencontre Iggy Pop, Andy Warhol et le Pop Art. le Velvet Underground, des Argentins excentriques aussi bien qu'une foule anonyme de tapins, de travestis ou de voyous. On y prend le thé avec des baronnes avant de traîner dans les mauvais lieux avec des créatures noctambules et transgressives. Dans cette sarabande bientôt dévastée par les années-sida, snobs, milliardaires, artistes ou gigolos se relaient au fil d'un sabbat qui explore une joie de vivre, à en mourir. Difficulté d'être d'enfants trop gâtés, jeunesses désordonnées, on croise là les gauchistes, la révolution gay, l'explosion du disco, la cocaïne, le Saint-Germain existentialiste, les derniers bals du XXe siècle, la jet-set et, surtout, le désespoir joyeux d'une génération qui aura préféré gâcher sa jeunesse plutôt que de n'en rien faire.

05/2009

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Sociologie

Fauchés. Vivre et mourir pauvre

"Et dans les bas-fonds de ces quartiers, entre l'alcool et la drogue, des gens tâchaient d'élever des enfants. L'un d'eux était ma mère." Grandir dans la pauvreté, c'est grandir sur la défensive. Né dans les quartiers pauvres de Glasgow, Darren McGarvey raconte de l'intérieur ce qu'est la vie dans la misère, comment elle ronge, détruit et étouffe sous une chape de stress permanent. Au coeur des foyers, à l'école, dans la rue, en prison, partout, la pauvreté rend malade, violent, alcoolique, accro, toxico, et il est primordial de le savoir pour comprendre la complexité du fléau. Etre pauvre n'est pas le sort des paresseux ou des mauvais gestionnaires, c'est un engrenage dont il est très difficile de sortir. Mais c'est possible. Unique en son genre, phénomène au Royaume-Uni, ce témoignage est aussi un essai informé et engagé sur la possibilité d'échapper à son destin et de se réapproprier sa liberté. Fort de son histoire personnelle et de son engagement, l'auteur renvoie dos à dos les politiciens de gauche comme de droite, et remet chacun face à sa responsabilité individuelle, sans aucune complaisance. Apparenté à la fois à Hillbilly Elegy, Pourquoi êtes-vous pauvres ? et Une colère noire, ce texte percutant éclaire d'un jour cru la colère des laissés-pour-compte.

03/2019

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Documentaires

François, le pauvre de Jérusalem

Alors que les trois cousins sont en visite à l'abbaye d'Echourgnac, un courant d'air spatio-temporel les emporte... Ils atterrissent à Damiette, en 1219, lors de la cinquième croisade. Là, sur le camp des croisés, ils croisent la route de saint François d'Assise, qui vient à la rencontre du sultan El Kamil. François, Jeanne, Louis et Bushmills devront déjouer les pièges pour permettre à saint François de porter son message de paix !

04/2022

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Ecrits sur l'art

L'art pauvre des riches

Peut-on en finir avec cinquante ans de paresse d'invention et de mièvreries dans l'art contemporain ? L'académisme artistique d'aujourd'hui ressemble à s'y méprendre à celui du Second Empire, et pour cause : les fortunes des années 2000 ont le même intérêt que leurs lointains prédécesseurs pour le creux, le vain, le décoratif, le sonnant et le trébuchant. Sur toute la planète, on applaudit des prix, pas des oeuvres. On s'esbaudit devant des records, des chiffres et même le nom des acheteurs devient un motif d'euphorie. Les plus lucides y verront la dernière étape d'un phénomène au bout duquel la " culture " aura trahi la cause de l'Art. Les audaces survendues sont profanes, jamais profanatrices. A bien y regarder, oui, nous vivons une répétition de la " fête impériale ", cette époque où Napoléon III et les nouveaux riches de l'acier et de la finance achetaient à prix d'or les productions clinquantes des peintres pompiers. Un triomphe du conformisme d'autant plus exaspérant qu'il passe pour tapageur. Déjà dans les années 1970, en réaction à l'engourdissement et au mensonge d'un art mercantile, des créateurs ont prôné une nouvelle pureté d'expression. En refusant catégoriquement de faire des tableaux, ils ont créé des performances et des installations, autrement dit des oeuvres impropres à la spéculation financière. Tel était l'art contemporain en vérité : une démarche téméraire et d'avant-garde. Une aventure d'un immense impact mais d'une très grande brièveté, que les marchands ont ensuite vidée de sa substance. Le Pop Art et ses imitateurs se sont imposés, suivis par le retour à la peinture, et enfin les stars comme Jeff Koons ou Damian Hirst - portés par le cortège des grandes fondations privées et des institutions muséales complaisantes. Franchement : ne serait-il pas temps de se déprendre du spectacle de l'argent et de la nullité, et d'imaginer le retour de l'art dans des formes forcément nouvelles ?

03/2023

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Littérature érotique et sentim

"Je suis un pauvre type"

En tant que pauvre type, il est difficile de faire un résumé de ma vie, d'autant plus qu'elle n'est pas terminée. D'abord, quelques esprits rationalistes diraient que je ne suis qu'un SDF qui découvre la société. Mais je soutiens mordicus que ce n'est pas moi qui ai tué l'institutrice qui m'hébergeait, elle a glissé sur un dégueulis de Mon Minou alors que nous avions une conversation enflammée. Ensuite en prison, j'ai appris à lire grâce à la bienveillance de Tico-Tico et de José, et Madame ma Conseillère en Orientation Psychologique m'a confié une mission sur l'état de nos Universités, je m'en suis bien sorti et je suis devenu vampire. Normal. Ensuite une autre mission chez les Zadous où j'empêche des heurts avec la Marée Chaussée avec l'aide des Bestioles de la forêt, ce fut presque les amours d'un vaudou. J'aurais pu devenir un héros national, mais la montée des eaux de l'océan prit de court un peu tout le monde, et chaque groupe isolé sur son île développa son propre langage et religion. J'essayais de comprendre ces nouvelles sociétés, heureusement, j'étais aidé par Rainette et Genette. Et que pensez-vous qu'il arriva ?

03/2020

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Etudes historiques

Chroniques de Montfort. Le pauvre

Chroniques de Montfort. Le Pauvre / ... par C. -H. M. D. C. Date de l'édition originale : 1824 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

02/2023

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Littérature Allemande

Le pauvre homme de Toggenbourg

Le mythe du Suisse vertueux, fruste et "libre sur sa terre" n'existe plus aujourd'hui que sous la forme de quelques clichés éculés. Mais longtemps il a constitué le fond de l'idéologie politique et patriotique de la Suisse et fourni au monde les matériaux d'un rêve idyllique. Or voilà que s'élève la voix d'un authentique Suisse du XVIIIe siècle, un petit paysan du Toggenbourg (le pasteur de l'endroit l'ayant surpris en train d'écrire le récit de sa vie, s'empressa de confier le manuscrit à un éditeur zurichois). L'oeuvre garde aujourd'hui une étonnante fraîcheur, et c'est un document inestimable sur ce qui, derrière le mythe, constitue la simple réalité. Car le destin de Bräker n'a rien d'exceptionnel : chevrier dans son enfance, mercenaire à la solde du roi de Prusse, petit paysan, artisan au service des tissages saint-gallois, il a connu la noire misère des crises économiques et la relative aisance des bonnes années. Mais, quand on l'a lu, on n'oubliera plus son insolite récit de la bataille de Lowositz, ni l'histoire de ses amours, ni tant d'épisodes qui, pourtant, ne font que la trame d'une existence ordinaire. La traduction de Caty Dentan offre la première transposition complète, en français, de cette oeuvre. Elle est aussi un geste de plus accompli par nos éditions pour promouvoir, par-delà régionalismes et frontières, toute littérature propre à illustrer la situation de la Suisse, carrefour de l'Europe.

02/2023

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Religion

Le pacte des catacombes. "Une Eglise pauvre pour les pauvres" - Un événement méconnu de Vatican II et ses conséquences

Une inspiration majeure dans l'itinéraire apostolique du pape François. Le 16 novembre 1965, trois semaines avant la clôture du Concile, une quarantaine de pères conciliaires se sont engagés, dans la catacombe Sainte-Domitille, à vivre une certaine pauvreté pour mieux annoncer l'Evangile. Tous ont signé un pacte en 13 points, s'engageant à " vivre selon le mode ordinaire de leur population ". Ce pacte entend pallier le " schéma manquant " de Vatican II qui n'a pas évoqué, malgré la demande insistante de ces évêques, cette question de la pauvreté de masse. 500 évêques, non présents au Concile, ont signé ce pacte dans la foulée. La moitié étaient latino-américains, annonçant la théologie de la libération. Le pape François s'est clairement inspiré de ce pacte présenté ici sous trois angles : historique, ecclésial et biblique. C'est la conférence de Medellin (dont nous fêtons le cinquantenaire cette année) qui a voulu mettre en oeuvre ce pacte au sein de l'Eglise, en particulier celle d'Amérique latine.

04/2019

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Littérature étrangère

Petite chose. Mémoires

Elle est née dans une ferme, a été baptisée dans un champ, puis élevée parmi les hippies de Palo Alto. Lisa Brennan-Jobs a vécu une enfance hors norme, entre son père, Steve Jobs, créateur génial et froid de la firme Apple, et sa mère, Chrisann Brennan, artiste au tempérament bohème. Petite Chose est le récit de ce va-et-vient entre deux mondes : pauvreté et ultra-richesse, précarité et pouvoir. C'est l'histoire d'une famille unique, mais qui ressemble à celle de tous les enfants vivant entre deux foyers. Chronique d'un amour malhabile entre un père et sa fille, Petite Chose est aussi un témoignage unique sur Steve Jobs, mort d'un cancer à l'âge de 56 ans, alors qu'il était à la tête de l'une des plus incroyables entreprises de notre époque et sur le chemin de renouer avec sa fille.

11/2019

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Littérature française

Quelque chose cloche

Quelque chose cloche est un pseudo livre de philosophie, le second volet de Totem qui était, lui, un pseudo livre d'ethnologie, une tentative de fabriquer une vraie/fausse anthropologie. Les photographies en noir et blanc, toutes du même format (sauf celles qui ouvrent les chapitres), apparaissent de façon régulière, regroupées en 50 diptyques. Ils associent des images plus ou moins figuratives et un motif géométrique, photogramme qui marque à la fois la répétition et la permanence. Les images s'agencent, se répètent donc parfois, mais toujours dans une légère variation, comme est variée la réalité entrevue par les fragments. Analogies, similitudes : les photographies se renvoient les unes aux autres, jouent avec les lacunes, suggèrent, et toujours désignent un monde qui vacille, semblable au fil sur lequel se tient souvent la pensée présocratique, à la fois triviale et poétique, terre à terre et sublime. Les photographies reconstruisent en partie ce qui a été perdu, comme le font les différentes traductions, en ce sens elles sont une traduction de plus. Mais parfois aussi, elles évoquent les choses de façon très littérale. Ainsi, elles créent le réseau des éléments à cataloguer. Pour mieux marquer la confusion et le mélange, les images sont enchassées dans un texte continu qui lui aussi joue avec les variations, les renvois, les recoupements : images et textes se déplient dans un seul mouvement, une seule matière.

05/2004

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Littérature française

Une chose sérieuse

"Ce livre est comme un chien que j'ai rencontré une fois. Il y a des frissons, dedans c'est labyrinthique apparemment et infini comme dans un chien. Il y a des races chez ces animaux qui, de chiens de combat, évoluent vers chiens de compagnie. C'est un peu mon parcours. Mon livre ruminé, il a tout d'un cerveau. C'est une chose sérieuse et en même temps pas du tout". Gaëlle Obiégly nous immerge dans l'esprit chaotique d'un homme, Daniel, recueilli dans une communauté survivaliste financée par madame Chambray, richissime mécène. Devenu le scribe et le cobaye de cette femme manipulatrice, il use des rares temps morts de sa liberté surveillée pour s'épancher dans un carnet de bord clandestin, celui qui fournit la matière brute et poétique de ce livre.

01/2019

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Littérature érotique et sentim

La pire chose

Islande, Stonehenge, Londres, Paris... Pour l'observateur occasionnel, cela ressemble à un voyage de rêve. Pour Tate O'Reilly, c'est tout sauf ça. C'est un homme en mission qui doit réparer une grave erreur, et rien ne le retiendra - certainement pas ses amis ou sa famille. Pour lui, tout se résume à une chose simple : il doit réparer ce qu'il a cassé. Ce sur quoi il ne compte pas, c'est de rencontrer Gabriel Carillo. Gabriel est gentil, mystérieux et semble avoir pour mission de veiller à ce que leurs chemins continuent de se croiser. Mais Tate cache un très grand secret - un secret qu'il est certain que même Gabriel ne peut pas pardonner. Le passé d'un homme doit-il déterminer son avenir ? Au milieu de villes chargées d'histoire, Tate va le découvrir.

06/2019

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Littérature étrangère

La même chose

Ils sont onze, exilés à Paris ou survivants là-bas, perdus dans les décombres d'une ville fantôme de l'est de l'Europe. Onze personnages qui ont pour point commun de cacher leur origine, d'étouffer leur histoire née et morte dans un pays qui n'existe plus, d'être les enfants d'une Histoire en ruine et sans mémoire. Simon, par exemple, ce petit garçon qui doit enjamber les corps de ses parents assassinés pour s'échapper de sa cachette et rejoindre le monde extérieur où s'abattent, comme une pluie gelée, les tirs des snipers. Ou bien encore Pavel, devenu Paul à Paris, qui erre avec son serpent en caoutchouc en mendiant un franc dans les rames de métro. " Ici l'on ne survit que si l'on meurt. " Avec une violence rarement atteinte et une grande maîtrise littéraire, Vidosav Stevanovic, dans ce roman - mais peut-être que ce qu'il nous livre ici n'a pas vraiment de nom -, raconte, après les tourbillons d'une guerre qui ont anéanti un peuple, des êtres dont il ne reste plus que des chairs béantes et des consciences torturées avec, à la bouche, un goût de mort, de vengeance et de haine.

02/1999

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Poésie

Quelque chose noir

Neuf groupes de neuf poèmes, plus un dernier, très bref, intitulé Rien, ainsi se compose Quelque chose noir de Jacques Roubaud. Un seul thème d'inspiration, et il est infiniment douloureux : c'est celui de la mort de la femme aimée. Beaucoup de ces poèmes prennent la forme d'une méditation. L'art de Jacques Roubaud, qui sait jouer de toutes les ressources de la technique poétique, se met ici au service de l'absence, du deuil, de la douleur.

11/2001

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Histoires à écouter

Une chose formidable

Quel est donc ce souvenir insaisissable et lointain qui flotte dans la tête de Jacominus, au réveil de la sieste ? Au soir de sa vie, installé dans son jardin, il sait juste qu'il s'agit d'une chose formidable. Il se plonge alors dans son passé. De souvenir en souvenir, aidé par son ami de toujours, Policarpe, qui l'interpelle et l'encourage, il remonte peu à peu le temps. Et ce ne sera pas une, mais cinq choses formidables, toutes également précieuses, qu'il va ainsi retrouver et savourer avec son ami. Jusqu'à l'ultime, la plus ancienne et la mieux cachée... le secret de son amitié avec Policarpe, du temps où ils étaient enfants. Que l'on ferme les yeux, bercé par la voix de Rébecca Dautremer interprétant son propre texte au son d'une création musicale originale qui accompagne le livre sous forme de CD, ou que l'on contemple fasciné la peinture des souvenirs enfuis de Jacominus, voici une dimension supplémentaire à l'oeuvre de cette artiste virtuose, jamais en mal d'une nouvelle idée pour nous emporter toujours plus loin.

10/2023

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Littérature française

Quelque chose dangereuse

Inspirée de faits réels et de personnages ayant existé, cette histoire est comme le puits dans lequel tombe Alice au pays des merveilles, les personnes et les événements de la réalité y ont lentement glissé et se retrouvent déformés, transformés par les circonvolutions de la fiction et par la puissance incantatoire du langage.

10/2021

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Littérature française

Le Petit Chose

Extrait : "Je suis né le 13 mai 18... , dans une ville du Languedoc où l'on trouve, comme dans toutes les villes du Midi, beaucoup de soleil, pas mal de poussière, un couvent de carmélites et deux ou trois monuments romains. Mon père, M. Eyssette, qui faisait à cette époque le commerce des foulards, avait, aux portes de la ville, une grande fabrique dans un pan de laquelle il s'était taillé une habitation commode, (...)".

12/1991

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Humour

La chose littéraire

Avec La Chose littéraire, Jean-Philippe Delhomme se fait une fois encore l'observateur aussi féroce que complice d'un petit monde qu'il connaît de l'intérieur : celui des écrivains et des critiques littéraires.

10/2002

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Critique littéraire

La chose écrite

" Vers l'âge de huit ans, je fis deux découvertes capitales : que les grandes personnes mentaient sans arrêt, mais que les livres rétablissaient la vérité. Les grandes personnes, par leurs leçons et leurs punitions, s'acharnaient à me faire voir le monde tel qu'il n'était pas. Les livres me le montraient tel qu'il était, c'est-à-dire comme je le voyais moi-même. En outre, ils étaient délicieux car ils mettaient la vérité en musique. La vérité était du Mozart avec Voltaire, du Wagner avec Proust, du Beethoven avec Balzac, du Schubert avec Stendhal. La passion du papier imprimé ne m'a jamais quitté, et je dirais presque comme Montesquieu :.L'étude a été pour moi le souverain remède contre les dégoûts de la vie, n'ayant jamais eu de chagrin qu'une heure de lecture n'ait dissipé.. "

03/2009

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Littérature française

Anthropo... quelque chose

Les idées contenues dans les chapitres, émaillées quelquefois de détails ou de références, sont aisément survolées au profit du fil conducteur. Maîtriser la saveur de ce livre, m'a emporté vers des questions sur l'humain, auxquelles tous ceux qui ont conscience d'appartenir à notre espèce auraient voulu répondre. Cet ouvrage qui introduit mon livre par une citation du très savant et très simple Yves Coppens, fait la transition entre notre vie d'antan, basée sur la nature originelle, et son évolution vers des habitudes culturelles qui bouleversent nécessairement et de plus en plus vite, nos mini-portions de mémoire ADN, pour faire de nous, des femmes et des hommes de demain... et d'après-demain ! Qu'elle soit pratique ou spirituelle, notre vie, "? ce cadeau, lorsqu'il est compris ? ", nous conduit sur un chemin dont on se demande s'il possède un guide qui respecte, contre toute attente, notre libre arbitre ?

03/2023

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Humour

Gabardine & Petite Chose

Découvrez Gabardine la sorcière et son mari Jean-Pierre, des enchanteurs hors pair ! Deux héros affreux, bêtes mais pas méchants qui voguent de bêtise en bêtise pour notre plus grand plaisir. Une BD hilarante, absurde et réjouissante pour l'âge des premières lectures.

04/2022

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Littérature française

Ces pauvres filles

Ces pauvres filles Date de l'édition originale : 1875 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

06/2013

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Littérature étrangère

Les pauvres parents

Une vieille mendiante ou de brillants intellectuels, de petites gens ou des privilégiés, Ludmila Oulitskaïa nous brosse un tableau extraordinaire de la vie moscovite d'après-guerre à travers neuf nouvelles d'une rare qualité littéraire. Héritière de Tchekhov, elle peint des tableaux de famille, met en scène des personnages dont les enjeux, apparemment étrangers à nos préoccupations, nous touchent par une humanité quasiment palpable. Loin de la petite politique ou des beuveries d'arrière-cour, loin aussi des lancinantes réflexions philosophiques, ces textes lumineux, drôles parfois, nous plongent dans des univers étonnants et nous donnent à voir une vérité sur la société russe comme peu d'auteurs contemporains ont su l'exprimer jusqu'à présent.

12/1993

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Faits de société

Pauvres de nous

Le mouvement inédit des Gilets jaunes a levé le voile sur une réalité que vivent plus de 9 millions de Français. Comment s'en sortir quand, enfant, on est nourri aux colis alimentaires et privé de vacances ? Comment faire avec cette misère qui colle à la peau à chaque étape de la vie ? La pauvreté se transmet-elle inexorablement ? Loin de se contenter des minima sociaux que peuvent apporter notre société, loin des clichés véhiculés sur la pauvreté par nos élites, Claire Lajeunie a souhaité raconter la réalité de ces familles pauvres. Pour rendre compte de cette réalité sociale, elle a suivi Matéo, 12 ans, Sébastien, 32 ans, Erwan, 45 ans, Isabelle, 54 ans et Marianne, 64 ans. Matéo, 12 ans, vit à Angers dans une famille recomposée. Sa maman ne travaille pas et son beau-père est saisonnier. Ils mangent grâce aux colis alimentaires du Secours populaire. Malgré les aides et les petits boulots, ils n'ont plus rien sur leur compte le 1er du mois. Sébastien, 32 ans, né dans une famille modeste, vit avec moins de 50 euros par mois. Etudiant brillant, il décroche un poste de chef de service dans le médico-social, mais sera licencié en 2015 à la suite d'un burn-out. Il s'inscrit ensuite à Science Po. Il appartient à cette génération surdiplômée et sacrifiée. Erwan, 45 ans, est kiosquier à Paris depuis 22 ans. Il peine à gagner un SMIC pour 70 heures par semaine et survit grâce à sa compagne et sa mère, qui lui envoie des chèques pour payer les traites de sa maison. Isabelle, 54 ans, touche le RSA (460 euros). Pour gagner de l'argent, elle vend des bougies sur le marché et fait des ménages. Marianne, 64 ans, vit à Tourcoing avec son mari. Après avoir gagné beaucoup d'argent comme gardienne à Paris, elle s'est retrouvée ruinée et surendettée. Avec la retraite de son mari et sa pension d'invalidité, il leur reste moins de 300 euros pour survivre chaque mois.

06/2019

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Policiers

Putains de pauvres !

Quand Laura, un amour de jeunesse devenu SDF, est venue lui parler de cette " peste des pauvres " qui semblait s'attaquer aux quartiers Nord de la ville, Clovis Narigou n'a pas immédiatement réagi. Les pauvres ? Y'en a partout, on ne les regarde même plus ! Mais quand, quelques jours plus tard, les politicards de tout bord montent au créneau pour démentir cette alarmante rumeur, Clovis se dit qu'il est peut-être temps d'enquêter ! Les pauvres et les sans-abri tombent en effet comme des mouches, décimés par une épidémie foudroyante... Le maire Bellérophon Espingole a beau s'égosiller pour minimiser cette étrange affaire, toute la ville est en ébullition... Quarantaine déclarée, routes fermées, état d'alerte sanitaire maximum... Marseille coupée du monde ! La tension est à son comble, le peuple gronde, les politiciens se déchaînent, les pauvres trinquent. Mais à qui profite donc le crime ? Avec ce douzième roman, Maurice Gouiran très en verve, attaque tous azimuts, dénonce la cupidité, la lâcheté et la rapacité de certains pouvoirs ! Vif cinglant, engagé, Maurice Gouiran n'a pas son pareil pour mêler fiction et dure réalité... Maurice Gouiran, un des talents les plus affûtés du polar hexagonal.

10/2007

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BD tout public

Tas de pauvres

«En deux coups de crayon, Tignous décrit l'humanité. Et on n'a pas envie d'en être. Mais regardons toujours. Ses dessins nous montrent que notre environnement rassurant n'est que trompe-l'oeil. De cette misère que le trait de Tignous festonne, s'élèvent cris et gémissements et, pire que tout, des mots d'espoir». Gébé.

10/2015

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Poches Littérature internation

Les pauvres gens

Makar Dévouchkine et Varenka Dobrossiolova s'écrivent assidûment. Lui est un petit fonctionnaire, elle est sa voisine d'en face, une jeune fille dans le besoin. Au fil de leur correspondance, composée avec simplicité et spontanéité, se dessine l'affection sincère qui les lie, et qui fera le malheur de l'un d'eux. Les Pauvres Gens est le premier roman d'un auteur qui gagna une notoriété immédiate. La trame sentimentale et le style naturaliste sont prétextes à explorer l'âme humaine dans son inconscient et son refoulé : les lettres des deux personnages suggèrent en effet beaucoup par leurs silences et leurs non-dits. Ce dévoilement comme involontaire, parfois troublant, annonce d'autres monstres de la mauvaise foi à venir dans une oeuvre magistrale.

06/2001

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Littérature étrangère

Pauvres petits chagrins

Elfrieda et Yolanda, deux soeurs, ont grandi dans une communauté mennonite de la ville de Winnipeg, au Canada. La première s'est révélée, très jeune, particulièrement douée pour le piano ; elle deviendra plus tard une concertiste reconnue. Seulement, à quarante ans, Elfrieda développe une maladie mentale qui la rend dépressive et suicidaire. La musique, source de réconfort depuis toujours, ne suffit plus à l'apaiser et Yolanda doit la supplier de « rester en vie ». Largement inspiré de la vie de l'auteur, Pauvres petits chagrins dresse, avec poésie, le portrait d'une maladie effrayante car encore souvent mal définie. Le livre aborde, à l'heure où le débat sur le suicide assisté s'intensifie, le point de vue du malade et des membres de sa famille avec justesse et empathie. Ce livre interroge, sans prétendre donner une réponse unique : jusqu'où peut aller la souffrance psychologique ? Lorsque aucune douleur physique n'afflige le patient, est-il légitime de recourir au suicide assisté ? Si le suicide occupe une place importante dans le roman de Miriam Toews, il n'en est pas le sujet principal. À travers ce récit, l'auteur explore la relation particulière qui lie deux soeurs. Pourquoi Yolanda cherche à maintenir sa soeur en vie contre sa volonté ? Les dialogues entre les soeurs tentent d'apporter une réponse et sont pour la plupart imprégnés de beaucoup d'humour, une prouesse de la part de Miriam Toews, considérant l'aspect tragique du sujet abordé.

02/2017