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Paraguay

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Littérature étrangère

Fils d'homme

Itapé et Sapukai sont les deux villages où se déroule et s'étend l'action de Fils d'homme, depuis l'époque du dictateur Francia jusqu'au milieu de notre siècle, après la terrible guerre du Chaco. Les habitants d'Itapé vénèrent un Christ lépreux planté au sommet d'une colline car l'église lui a refusé abri et protection. L'histoire de Sapukai est à jamais marquée par les rébellions agraires du début du siècle et par l'explosion d'un train chargé de dynamite dans la gare où attendaient civils et soldats. Cette parabole, qui embrasse un siècle d'histoire du Paraguay autour de trois personnages messianiques, Gaspar Mora, Casiano Jara, Cristobal Jara, et d'un narrateur ambiguë et traître, Miguel Vera, a pour centre et pour raison d'être l'homme paraguayen, crucifié chaque jour par l'inclémence humaine et chaque jour ressuscité à l'espérance. Bouleversant toute chronologie, les neuf parties de ce roman, qui s'articulent selon un ordre non linéaire, sont autant de variations sur la résistance de l'homme à l'élimination physique et à la dégradation morale. Aujourd'hui publié dans une nouvelle traduction, fils d'homme demeure, depuis sa parution à Buenos aires en 1960, un des chefs-d'oeuvre de la littérature latino-américaine.

10/1995

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Sciences historiques

Batailles et conflits oubliés

Les amateurs d'histoire connaissent bien les périodes auxquelles ils s'intéressent : les deux guerres mondiales, l'épopée napoléonienne et bien d'autres sujets. La plupart d'entre eux a entendu parler de la guerre de Vendée, mais ce n'est bien souvent qu'un vague souvenir scolaire. Qui peut dire pourquoi certaines places ou artères de la capitale portent les noms de l'Alma ou de Sébastopol ? Ce sont là des traces de la guerre de Crimée qui amena les Français et les Anglais à entrer en conflit contre les Russes. Par ailleurs, qui connaît la guerre des Boers, le conflit russo-japonais, la campagne du Rif ? Sait-on que la Bolivie et les Paraguay se sont étripés de 1932 à 1935 sur le plateau du Gran Chaco, une zone désertique des Andes, pour un gisement de pétrole qui n'a jamais existé ? Plus près de nous, en 1982, les Argentins décident de récupérer des îles de l'Atlantique Sud, presque inhabitées, mais placées sous la tutelle britannique. C'est compter sans la détermination du Premier ministre de l'époque : Margaret Thatcher, la guerre des Malouines (ou Falklands) vient de commencer... C'est une quarantaine de ces batailles et conflits oubliés que ce livre vous invite à découvrir.

05/2018

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Littérature française

A ma soeur et unique

Elisabeth Förster fut l'unique soeur de Friedrich Nietzsche, écrivain, philologue, philosophe, être perpétuellement souffrant, vivant dans une solitude totale. De deux ans sa cadette, elle fut sa première lectrice, compagne, admiratrice. Tôt, elle se promet de tout faire pour que brille l'oeuvre de son frère à laquelle elle n'entend rien. En effet, elle fera tout. Le soignera, l'assistera, le portera. Et ira jusqu'à vendre ses écrits à Adolf Hitler, homme que Friedrich eut haï s'il l'avait connu. Dans ce roman écrit d'un souffle, Guy Boley retrace chaque épisode de leurs vies : leur enfance complice à Naumburg, leur vie conjugale à Bâle où Fritz est professeur et où Lisbeth l'assiste, les week-ends chez les Wagner puis la rupture ; l'affaire Lou-Salomé, le mariage d'Elisabeth avec Bernhard Förster, antisémite déclaré avec lequel elle part en 1886 au Paraguay, fonder la colonie Nueva Germania. Pour revenir trois ans après, au chevet de son frère tombé dans la folie, inconscient, alité, qu'elle dit soigner mais qu'elle va trahir et spolier. Amour, solitude, vengeance, trahison ; ambition dévorante, génie, haine, héritage, cruauté. Tout y est. Même les dieux qui Là-Haut jouent aux dés. L'équivalent en prose d'un drame shakespearien.

08/2023

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Littérature étrangère

Moi, le Suprême

Moi, le Suprême évoque la figure historique de José Gaspar de Francia, dictateur du Paraguay de 1814 à 1840. Tyran pour les uns, père de la patrie pour les autres, ce despote éclairé influencé par les philosophes français dota son pays d'une agriculture, d'une industrie, d'une législation et d'une armée modernes. Il fut l'artisan de l'émancipation paraguayenne. Mais que le lecteur ne s'attende pas à trouver ici une biographie romancée ou un roman historique. Ce monument littéraire est un livre polyphonique, où le monologue du Suprême se ramifie, telle une constellation chorale, en de multiples voix : celle du tyran seul avec lui-même ou dictant ses écrits et ses délires mortels à son secrétaire Patiño ; celle de ses opposants anonymes ou fantomatiques; celle des mythes paraguayens enfouis mais vivants dans l'inconscient collectif. En même temps qu'il restitue la geste libératrice latino-américaine et dénonce la trahison dictatoriale du pouvoir révolutionnaire, ce somptueux roman est une réflexion rarement égalée sur le langage littéraire. Parce qu'il bouleverse les règles du roman et de l'écriture, Moi, le Suprême demeure, parmi ce que l'on a appelé "les romans de la dictature", un chef-d'œuvre absolu.

02/2008

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Histoire internationale

Les dossiers cachés du IIIe Reich

30 avril 1945 : Adolf Hitler se donne la mort aux environs de 14h30 dans son bunker à Berlin, marquant ainsi la fin du IIIe Reich. Il laisse cependant derrière lui un nombre incroyable d'adeptes, de fanatiques, ainsi que des énigmes et des mensonges autour de cette période sombre de l'Histoire. 20 novembre 1945 : les puissances alliées intentent à vingt-quatre grands criminels nazis un procès qui durera plus d'un an. Au cours de cette année, de nombreuses révélations seront faites, de nombreux dossiers seront sortis de l'ombre. Découvrez, parmi les affaires du IIIe Reich longtemps tenues secrètes : - La disparition de Josef Mengele. l'Ange de la Mort, et sa traque durant plus de trente ans. - Les écrits de Monseigneur Alois Hudal, un des principaux organisateurs de la filière d'exfiltration des criminels nazis vers l'Amérique du Sud. - Le témoignage d'Ingrid Rimland, persuadée que les massacres de Berlin en 1945 ont été commis par des juifs communistes, et qui véhiculera les thèses négationnistes jusqu'au Paraguay. - Les liens étroits entre Hergé et Léon Degrelle, fondateur du mouvement Rex, en Belgique, qui ira même jusqu'à déclarer : "Tintin, c'est moi ! " - La Lettre d'adieu de Magda Goebbels à son fils. - Les révélations de Joachim von Ribbentrop, Herman Goering, Rudolf Hess et Albert Speer à quelques heures de Leur condamnation.

01/2019

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Critique littéraire

Histoires de la littérature et fragments de littérature oubliées. Mondes américains en interaction

Edition de Carla Fernandes et Ilana Heineberg. Un précédent ouvrage collectif intitulé "D'oublis et d'abandons, notes sur l'Amérique latine", (publié dans cette même collection en 2017), envisageait l'abandon comme une des figures possibles de l'oubli et s'attachait à en suivre les traces dans les sociétés latino-américaines passées et actuelles. Une partie des contributions présentées ici s'est intéressée aux discours et aux formes littéraires dans leur rapport à l'oubli. Car, paradoxalement, celui-ci est un puissant moteur de fictionnalisation et joue par métaphore le rôle de la page blanche que l'écrivain remplit au gré de son imagination. C'est donc assez naturellement que la réflexion s'est ensuite portée sur les problématiques de l'historiographie littéraire et du rapport qu'elles entretiennent avec l'oubli. Depuis plus d'une décennie, dans l'Hexagone et ailleurs, des recherches portent sur la constitution du fait littéraire et son historiographie. Nous avons voulu contribuer à cette réflexion en la faisant porter sur les mondes américains, avec des textes sur l'Argentine, le Brésil, le Canada, le Chili, l'Equateur, le Mexique, le Paraguay, l'Uruguay. Ils analysent les interactions qui président à la construction des histoires de la littérature et à leur corollaire que sont les fragments de littératures oubliées.

05/2019

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Littérature française

Le terminus des prétentieux

La redécouverte d'un roman jubilatoire de Michel Audiard inédit depuis sa première publication en 1968. " Il pressent, Ceccaldi, il flaire, il subodore... et crac ! Le couperet tombe ! " Bienvenue dans le monde de Gustave, tombeur de ces dames, gigolo à ses heures, escroc à la petite semaine. De Juan-les-Pins à Deauville, Michel Audiard nous invite à suivre les tribulations de ce héros passionnément malhonnête dans le monde parfois naïf des grandes familles et des nantis. Si vous aimez les briquets en or et les Ferrari, si vous louchez sur l'aluminium du Paraguay, vous frappez à la bonne porte. Si vous préférez le faisan chasseur, les jolies jeunes femmes aux dents longues ou encore les balles dans la nuque, vous serez aussi largement servi. Il y en a en effet pour tous les goûts dans ces pages hautes en couleur au détour desquelles on croise - non sans une certaine appréhension - l'irrésistible inspecteur Ceccaldi qui évoque avec superbe le Bertrand Blier des grands jours. Lorsqu'il écrit au début des années soixante Les Tontons flingueurs, Michel Audiard souhaite intituler le film Le Terminus des prétentieux. On ne lui accorde pas ce plaisir, il ne lâche pas l'affaire : quelques années plus tard, en 1968, il donne enfin le titre qu'il affectionne à ce roman méchamment interlope, resté inédit depuis sa première publication.

05/2023

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Critique littéraire

Guillaume Tell. Résistant et citoyen du monde

Un nom si bref et si vibrant qu'il se fixe dans la mémoire comme la flèche dans la cible. Une apparition - à l'automne du Moyen Âge -, ou plutôt la fixation soudaine d'une image jusque-là errante. Un thème à la fois local et universel, bien plus complexe qu'il n'apparaît au premier regard. Une aventure poursuivie sur un demi-millénaire, portée par les poètes, les artistes, les hôtes de la Suisse, accueillie par les nations, diffusée au-delà des Océans, en dépit des perplexités, des réserves des érudits. Une méditation cent fois reprise sur l'imbrication des thèmes de la violence et de la liberté. Voilà ce que voudrait montrer ce livre qui propose aux lecteurs bien des itinéraires, européens d'abord mais aussi intercontinentaux, de Turquie en Chine et au Japon, des États-Unis au Paraguay, des Philippines à Cuba. Plaisir d'entendre s'exprimer à propos de Tell des hommes aussi différents que Chateaubriand et Victor Hugo, Ruskin et Petöfi, Tartarin de Tarascon et Mark Twain, Mazzini et Engels, Bakounine et Clemenceau, voire Trotzki, sans parler des champions de la Révolution française et, bien sûr, du poète au rôle déterminant, Friedrich Schiller, mis sur la piste par Goethe. L'apologie est sans cesse confrontée aux propos critiques et les voix du monde n'empêchent pas le débat interhelvétique de se poursuivre d'une génération à l'autre.

01/2005

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Sciences politiques

Projets politiques et luttes sociales. Expériences latino-américaines

Dans l'Amérique latine de ces dernières années foisonnent les expériences politiques innovantes. Les luttes sociales, conduites sur divers fronts, rappellent que, comme le déclarait Cornelius Castoriadis dans un entretien de 1979, "le lieu de la politique est partout, le lieu de la politique, c'est la société". Ce livre invite ainsi à explorer ces chemins de traverse de la politique qui, selon les lieux et les protagonistes, ont des allures contrastées. Le parcours proposé, du Mexique à l'Argentine en passant par le Guatemala, le Nicaragua, le Venezuela, l'Equateur, le Brésil, la Bolivie et le Paraguay, dresse un portrait protéiforme des projets politiques et des luttes sociales actuelles en Amérique latine. On découvre comment s'organise la vie quotidienne dans une coopérative agricole du Mouvement des sans-terre au Brésil. On suit la construction par les habitants des quartiers sud de Cochabamba d'un réseau de distribution d'eau potable, la création d'une banque anticapitaliste au Chiapas ou encore l'action d'un collectif Argentin de femmes qui combat avec succès la violence des hommes dans leur quartier. On obtient des informations précises sur le fonctionnement des conseils communaux vénézuéliens ou la mise en oeuvre du projet ITT en Equateur... En présentant ces initiatives, cet ouvrage donne à voir, concrètement, les visages multiples d'une créativité sociale en acte, cherchant à opérer des transformations à partir de lieux multiples, comme autant de points d'appui archimédiens.

12/2011

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Histoire internationale

Les Libertadors. L'émancipation de l'Amérique latine (1810-1830)

La difficile conquête de la liberté en Amérique du Sud. L'histoire des révolutions et des combats qui ont libéré l'Amérique latine de l'Espagne. La liberté promise très tôt aux Indiens par les Espagnols, conquise par Bolivar bien plus tard pour être ensuite abandonnée aux mains des politiciens, est une liberté écartelée, maltraitée, souvent bafouée mais toujours espérée. Chacun veut la tirer à soi. Ainsi, en 1830 , après la mort de Bolivar surnommé Le Libertador, des poignes de fer saisissent le pouvoir : en Colombie, l'implacable Santander, en Equateur, Rocafuerte , en Bolivie, Sucre. Le Grand Maréchal d'Ayacucho est assassiné par ses frères d'armes. Au Pérou, Salaverry est fusillé. Juan Manuel de Rosas règne en Argentine par la terreur. L'effroyable Francia courbe le Paraguay sous sa loi. Ou encore au Mexique, Bustamente fait exécuter Guerrero et prend la présidence. On ne pardonne pas, on tue. Ce phénomène explosif n'est pas le propre de la seule Amérique du Sud. Si, pendant trois siècles, l'Amérique du Sud est restée sous le constant regard de l'Espagne, c'est la France ¿ d'abord révolutionnaire puis impériale ¿ qui lui a servi d'exemple et de modèle, pour le meilleur comme pour le pire. Jean Descola nous plonge, à travers son récit, au coeur des révolutions sud - américaines et de la difficile conquête de leur indépendance. Il explique la source des démocraties qui passent toutes par quatre stades : on promet la liberté, on jure de la conquérir, on la conquiert, puis elle se décompose.

08/2019

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Littérature étrangère

Le sosie d'Adolf Hitler

Hitler est-il réellement mort en se tirant une balle dans la tête ou s'est-il empoisonné au cyanure ? L'identification de son corps n'a pu se faire que sur la base de ses dents - des prothèses, en grande partie. Et si ces prothèses étaient des faux ? s'est demandé Luigi Guarnieri, sachant que le Führer avait fait recruter et former à son image plusieurs "doublures" susceptibles de le remplacer en cas de nécessité. A commencer par le musicien incompris qui est au centre de ce récit : Mario Schatten, piégé dans une abominable machination. A la poursuite d'une vérité qui ne cesse de se dérober, l'agent secret américain Gren***** est chargé, durant une enquête qui dure plus de quinze ans et qui le conduit d'un bout à l'autre du monde - en Allemagne et en Autriche, en Argentine et en Italie, au Paraguay et en Suisse -, de faire la lumière sur la mort de Hitler, et sur ses circonstances. Il retrouvera ainsi la dentiste personnelle du Führer, et Egon Sommer, l'élégant directeur du département H, spécialisé en fabrication de fausses pistes... Entre les atmosphères crépusculaires de la fin du Reich et les haciendas d'Amérique latine où se cachent encore d'anciens nazis, Luigi Guarnieri, en mêlant avec une habileté consommée faits réels et péripéties imaginaires, nous pro- pose une réflexion sur l'Histoire, qui est en grande partie un récit, une narration subjective, quand ce n'est pas, parfois, une superbe invention.

02/2017

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Histoire de France

L'iconoclaste. L'histoire véritable d'Auguste François, consul, photographe, explorateur, misanthrope, incorruptible et ennemi des intrigants

Lorsqu'en février 1886, Auguste François embarque à bord du Melbourne, il ignore encore que son existence va basculer. Durant vingt ans, ce consul promis à une belle carrière va sillonner le monde, menant une vie de diplomate-vagabond, s'improvisant explorateur pour la Société de géographie, armé de ses appareils photos et d'un caractère bien trempé. Misanthrope plus à l'aise en forêt qu'en société, curieux des peuples rencontrés et hostile aux intrigants de tous bords, il ne tardera pas à payer le prix d'une intransigeance inflexible et parfois coupable. Dépêché en Indochine puis au Paraguay - après un intermède dans le Paris de la Belle Epoque -, c'est en Chine, entre 1896 et 1904, qu'il donne la pleine mesure de son tempérament. Là, il s'oppose à Paul Doumer, tout puissant gouverneur de l'Indochine et futur président de la République, bien décidé à construire le chemin de fer du Yunnan au risque d'une guerre avec l'empire du Milieu. Là, il soutient un siège de quatorze jours dans son consulat pour sauver la vie de ses compatriotes. Et là encore, il réalise des expéditions inédites et cartographie des zones jusqu'alors inexplorées. "Pour moi, l'idéal consiste à vivre à ma guise, et à ne pas m'enliser dans la banalité. Vivre d'action, et puis, le moment venu, souffler ma chandelle en souhaitant le bonsoir à la compagnie." De ce serment, Auguste François aura fait sa vie, racontée ici par Boris Martin et illustrée par les photographies du consul - parmi les premières rapportées de ces confins du monde.

05/2014

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Droit européen des affaires

Union européenne et protection des investissements. Europe, Asie-Pacifique et Amérique latine

Depuis une décennie, on assiste à un pivotement des échanges économiques vers l'Asie-Pacifique où prospèrent les économies émergentes, Chine et pays de l'ASEAN en tête. Dans ce contexte, l'Union européenne a renforcé ses relations avec la région Asie-Pacifique avec des accords de libre-échange et d'investissements récents. Ce réseau dense d'accords UE-Asie-Pacifique ne peut se comprendre sans une mise en articulation avec les multiples accords de même nature conclus au sein de l'ASEAN et entre l'ASEAN et ses partenaires de la région. Parallèlement au pôle UE-Asie-Pacifique et au pôle ASEAN émerge un troisième, le pôle Asie-Pacifique qui se décline en trois groupes : un groupe, sous la houlette du Japon, avec l'accord de partenariat transpacifique global et progressiste, un autre sous l'égide de la Chine, avec l'accord de partenariat régional économique global. Un troisième groupe s'est concrétisé autour des Etats-Unis, avec l'accord Etats-Unis-Canada-Mexique. Enfin un quatrième pôle se développe sous l'impulsion du Brésil avec l'Argentine, le Paraguay et l'Uruguay (le Mercosul). Toute la problématique est de savoir comment s'organisent ces différents pôles au regard de la protection des investissements. Divers droits d'investissement et diverses modalités de règlements de différends entre investisseurs et Etats pour lesquelles on constate actuellement au plan mondial de vifs débats : voilà les thématiques abordées dans cet ouvrage à travers des regards croisés de spécialistes, universitaires français, japonais, vietnamiens, et des experts de la Commission européenne, lors d'un colloque international qui s'est tenu à Tours.

05/2021

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Ethnologie

Pratiques de mariage et nuances de continuité dans le monde grec. Quatre études d'anthropologie historique et juridique

Antiquité païenne - Athènes et ioniens : La découverte, dans les nouveaux fragments du Lexique de Photius, de la définition latente d'apaulia, premier jour de l'ensemble des rites nuptiaux dans l'Athènes classique, permet d'établir l'ordre authentique de ces rites dans la procédure complexe de la dation de la mariée (ekdosis). Aussi, l'epaulia, deuxième jour, est-il défini comme la cérémonie inverse de la précédente. Mais pour que le lien marital soit constitué, il faudra attendre, au troisième jour (anakalyptèria), l'enlèvement du voile nuptial, rite qui marque l'intégration de la mariée dans l'oikos de son époux et son passage au statut de femme. Christianisme - monde byzantin : Dès le IVe siècle, saint Jean Chrysostome veut imposer des significations nouvelles aux rites du mariage, afin de les rendre conformes à la morale du christianisme. Le dévoilement est donc banni. Ainsi, pendant toute la période byzantine, la rupture est-elle manifeste pour le sens attribué au voile nuptial. Les sources iconographiques représentent la mariée avec la couronne sur la tête, symbole nouveau de son élévation sociale à l'état de l'épouse, voire de la constitution du mariage. Sparte - polyandrie : La polyandrie pratiquée à Sparte est la plus ancienne attestée sur le sol européen. Menacée par une classe de vaincus majoritaire en nombre, cette société de guerriers affronte un problème démographique aigu et invente des mesures institutionnelles très intéressantes pour la recherche anthropologique. On analyse donc le rôle du mari primaire de la mère quand il n'est pas le père biologique de l'enfant, la cohabitation des époux et la forme adelphique de cette polyandrie. La comparaison avec d'autres sociétés (Tibet, Guayaki du Paraguay, Lele du Kasai etc.) servira de moyen de réflexion pour construire le modèle spartiate.

10/2002

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Littérature française

Aux sources du fleuve d'argent

Dans la Province du Paraguay, au début du XVIIe siècle, Lucas a grandi auprès d'un père vaniteux et lâche, auquel tout l'oppose. Devenu adulte, il voudrait concilier le double héritage que son père, espagnol de Séville, et sa mère, servante indienne, lui ont laissé. Mais révolté par la cupidité et la violence des uns, la cruauté atavique des autres, il part à la recherche d'une vie meilleure qu'il ne voit possible que dans les régions les plus désertiques de l'Amérique Méridionale. Baptisé "Lucas Santiago" et vénéré comme un nouveau messie par les Indiens de la réduction d'Altos, sa quête le conduit d'abord sur le Rio Parana en compagnie du Comte de Najera, conquistador visionnaire dont le projet politique rejoint en fait celui de Lucas. Par un détour qui n'est qu'apparent, sa recherche obstinée d'un monde plus juste et surtout plus vrai se poursuit à travers l'océan jusqu'à Séville. Il y rencontre la jeune Lucia di Venezia dont l'amour bouleversera sa vie. D'autant plus violemment que pour Lucas, l'amour véritable se situe hors du temps : il est à la fois momentané et éternel. La mission qu'il s'est fixée l'obligeant à regagner l'Amérique, il retourne dans la Province, tient sa promesse, entraîne avec lui les plus humbles et remonte le cours du Rio Parana jusqu'au lieu inconnu de sa source, où il fonde la communauté de Bello Monte. Roman des grands espaces, Aux Sources du Fleuve d'Argent est aussi celui d'une vie intérieure, hors du temps. Dans ses précédents ouvrages, Jacques Bressler s'attache à des personnages ou à des événements que la grande Histoire néglige parfois. Aux Sources du Fleuve d'Argent est son premier roman.

03/2014

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Ouvrages généraux

Jules Crevaux et l'exploration de l'Amérique du Sud. (1847-1882)

Médecin de la Marine française, Crevaux est d'abord et surtout un explorateur, un personnage hors normes que ses récits de voyages dans les Guyanes, l'Orénoque et le bassin de l'Amazone, transformèrent vite en un héros tout droit sorti des romans de Jules Verne pour ses contemporains. Mais c'est aussi un scientifique, dont les collections ont pris place au musée du Quai-Branly ; un rêveur à la recherche de l'Indien originel ; la victime, à 35 ans, d'un assassinat mystérieux dans le Gran Chaco, sorte de Far West sud-américain entre Bolivie, Argentine et Paraguay. Sa mort a un immense retentissement dans les cercles scientifiques, politiques, mais aussi au niveau populaire. Des rues ou monuments lui sont dédiés à Paris, Nancy ou Brest et en Amérique du Sud. Explorateur fluvial, il privilégie les cours d'eau qui sont pour lui " des chemins qui marchent ". Explorateur aux pieds nus, c'est un adepte d'expéditions discrètes. Modeste, sa devise est " Tiens bon ! " et il attribue ses succès à " une bonne santé, un peu d'audace et beaucoup de chance ". Produit de la méritocratie, il a eu une première vie avant l'exploration. Formé à l'Ecole de médecine navale de Brest, il est marqué par la guerre de 1870, durant laquelle il effectue des missions secrètes, et opte pour la France en 1872. Comme Alsacien-Lorrain, il fait de l'exploration de l'Amérique du Sud " sa chose " pour, à l'heure de la Revanche, ne pas trop détourner le regard de la " ligne bleue des Vosges " par des conquêtes africaines. Crevaux se distingue par la qualité littéraire de ses récits, l'éclectisme de ses centres d'intérêt et, surtout, une approche plus humaniste que colonialiste. Son oeuvre témoigne d'une nature et de cultures encore préservées.

04/2022

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Arbres

Le parfum des forêts. L'homme et l'arbre, un lien millénaire

Exploitation, préservation, plantations, sanctuarisation, les forêts sont au coeur des contradictions de notre civilisation. En un peu plus d'un siècle, les hommes en ont coupé la moitié, donnant une accélération mortifère à notre rupture avec la nature sauvage, commencée il y a quatre mille ans. Le même paradoxe existe depuis l'invention de la hache : en coupant du bois, l'homme se sédentarise et abat toujours plus d'arbres jusqu'à se mettre en péril. Grâce à ses multiples vies, de bûcheron à sourceur de parfum, Dominique Roques nous raconte l'histoire des arbres et de leur exploitation, la fragilité du lien qui nous unit et l'urgence de se réconcilier avec ce dernier refuge contre le bruit et la fureur des hommes. A travers ses voyages, il nous narre le destin de forêts exceptionnelles, liées par les parfums des arbres, intenses et jamais éteints. Les mythiques cèdres du Liban, qui sont à l'origine de l'épopée de Gilgamesh et servirent à ériger le temple de Salomon. Les hêtres d'Europe, symboles de mystère et de danger, exploités pour le précieux charbon de bois. Les séquoias géants de Californie, plus grands arbres au monde, au coeur de l'émergence d'une conscience écologique en Amérique. La forêt équatoriale de Bornéo, convertie en une plantation de palmiers à huile et, au Paraguay, l'histoire du gaïac, le bois bleu et " saint " , dont le sublime parfum pourrait le sauver de la déforestation. A travers ses récits, Dominique Roques nous montre que tout sépare l'arbre, programmé pour une forme d'éternité, et l'homme, sur terre pour un court instant. Quoiqu'il leur arrive, coupées, brûlées, les forêts repoussent, elles ne sont pas rancunières, elles tissent inlassablement ce que nous déchirons. En ignorant leur inestimable beauté, en maltraitant les arbres, c'est avant tout à nous-mêmes que nous faisons du mal. Dans ce livre d'une écriture magnifique, il appelle, à la façon de L'homme qui plantait des arbres, à protéger les forêts sauvages, restaurer celles qui sont dégradées, et replanter, pour faire naître une épidémie de lucidité, un besoin irrépressible de sauver ce qui peut l'être encore.

05/2023

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Civilisations pré-colombiennes

L'agonie du Dieu-Soleil

C'étaient vraiment de bien drôles d'Indiens : blancs, barbus, chauves, tout ce que les indigènes de l'Amérique ne sont pas. Pendant plusieurs années, Jacques de Mahieu - anthropologue et sociologue - a cherché, dans les livres et dans la pierre, à identifier les hommes blonds et barbus dont les chroniqueurs espagnols de la Conquête recueillirent le souvenir et dont les statues et les fresques précolombiennes nous ont conservé l'image. Les "Indiens blancs" du Paraguay ne seraient-ils pas les descendants de ces hommes et de ces femmes au type nordique dont on a retrouvé, en 1925, les momies dans les grottes pré-incaïques de Paracas au Pérou ? Il fallait aller y voir. Une étude anthropologique minutieuse permit d'établir que les Guayakis étaient bien des Aryens de race nordique dégénérés et très légèrement métissés. Ils dessinaient même encore des signes qui ressemblaient curieusement à des runes. Jacques de Mahieu entreprit des fouilles sur l'emplacement d'un de leurs très anciens villages et mit au jour des fragments de poterie couverts d'inscriptions runiques qui ont pu être déchiffrées. Puis il releva, en pleine forêt vierge, ce qui était encore, au début du XVe siècle, une poste viking : inscriptions traduisibles, dessins de drakkars, une magnifique image d'Odin, Dieu-Soleil. Une poste suppose l'existence de chemins. Le professeur Jacques de Mahieu put en reconstituer le tracé, de l'Atlantique à Tiahuanaco, la capitale pré-inoaïque de l'empire danois. L'Atlantique ? Les Vikings perdus continuaient-ils à naviguer ? Bien sûr. Ils reprirent même contact avec l'Europe, au milieu du XVIIIe siècle, et en ramenèrent un prêtre catholique. Ils l'appelaient Thul Gnupa, le Père Gnupa, dont les chroniques indiennes content l'aventure. Et ils usaient laissé au Danemark une magnifique tapisserie couverte de lamas et en Normandie, des cartes précises qui permirent aux Dieppois, dès le XIIIe siècle, d'aller en Amérique du Sud charger des billes de bois brésil par la route que suivit à son tour, en 1503, le capitaine Paulmier de Gonneville, et bien d'autres marins normands après lui. L'agonie du Dieu-Soleil est l'étape décisive d'une recherche qui est loin d'être terminée et qui, pour l'auteur comme pour ses lecteurs, constitue une passionnante aventure scientifique.

04/2021

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Musique, danse

Les chemins du baroque dans le nouveaumonde. De la Terre de Feu à l'embouchure du Saint-Laurent

Qui savait, il y a seulement quelques années, que les chemins du baroque musical s'étaient prolongés jusqu'au coeur de l'Amérique latine ? Si les réalisations architecturales ou sculpturales du temps des colonisations espagnole et portugaise sont bien connues, seule une poignée de musicologues gardait en mémoire les musiques de cette époque englouties par les turbulences de l'histoire. C'est à la ténacité de ces chercheurs que l'on doit le sauvetage des partitions de ce patrimoine musical des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles demeurées, jusqu'à un passé tout récent, enfouies au fond d'archives inexplorées ou, pis, retrouvées à l'abandon dans le recoin d'églises reculées d'Amazonie. Témoins des fastes de ce qui fut le plus vaste empire que le monde ait connu, supports idéaux d'une évangélisation forcée, ces musiques à caractère sacré sont nées dans les intenses foyers créatifs que furent aussi bien les orgueilleuses cathédrales de Mexico ou de Lima que les humbles missions jésuites du Paraguay. Faut-il voir en cette activité musicale l'arme idéale pour toucher le coeur des populations indiennes et faciliter leur édification spirituelle en même temps que la destruction de leurs anciennes cultures inca et aztèque ? Doit-on n'y distinguer qu'un instrument d'oppression doctrinale ? Ne peut-on déceler également les vestiges d'un rêve dans les sublimes illusions de ces missionnaires franciscains ou jésuites qui tentèrent de bâtir avec les Indiens l'utopie d'une société directement inspirée des Evangiles ? Parallèlement à ces interrogations, on découvrira ce que fut, dans le cadre de cette épopée colonisatrice, l'étonnant âge d'or de la musique au Mexique, née de la collaboration de disciples de Josquin des Prés avec les religieux et poètes aztèques. On verra surtout comment derrière ce qu'on peut appeler la " légende dorée " de Zipoli, le plus célèbre compositeur du continent sud-américain de cette époque, se cache sans doute la seule école indigène de composition au monde. De la Terre de Feu à l'embouchure du Saint-Laurent, cet ouvrage nous ouvre enfin aux dimensions de ce que fut la grande fête du baroque universel propagée à l'autre bout de la planète par les conquérants venus d'Europe. Journaliste et animateur, créateur puis directeur artistique du festival de musique ancienne de Saintes, Alain Pacquier est actuellement éditeur discographique. Passionné par ce qu'il appelle les " mémoires actives ", il sillonne depuis plus de dix ans les " Chemins du baroque " en Amérique latine.

11/1996

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Romans historiques

La terre des Guaranis

Ce roman historique évoque l'épopée et la tragédie des Guaranis au XVIIIe siècle, à l'époque des reducciones jésuites en Amérique du Sud. On sait que ces missions jésuites auprès des Indiens guaranis ont duré près de 150 ans, de 1609 à 1768. Les terres des Guaranis s'étendaient sur une surface immense, correspondant, en termes actuels, au nord de l'Uruguay, au sud-est du Paraguay et traversant le Brésil et l'Argentine. Le fonctionnement des " réductions " était tout à fait particulier. Toutes bâties sur le même plan - au centre du village se trouvaient l'église et un collège (l'enseignement pour les garçons et les filles était obligatoire pendant cinq ans), qu'entouraient des écoles d'artisanat et des ateliers - elles étaient gouvernées par un corregidor guarani, l'autorité spirituelle étant exercée par les deux jésuites - au maximum - qui vivaient dans chaque " réduction ". L'élevage et la culture du maté étaient les grandes ressources de ces communautés, où les Guaranis, qui s'étaient volontairement mis sous la souveraineté du Roi d'Espagne, vivaient libres, dispensés du servage. La Terre des Guaranis nous fait revivre, à partir de 1740, la vie d'une de ces " réductions ", à l'époque de leur apogée puis de leur déclin. Les razzias des bandeirantes, esclavagistes portugais du Brésil, constituent une menace permanente. Les appétits des grandes puissances sont manifestes. Le traité signé en 1750 entre le marquis de Pombal et Ferdinand VI, au terme duquel l'Espagne cède au Portugal une grande partie du territoire des Missions, sonne le glas des " réductions ". La suppression de la Compagnie de Jésus aggrave la situation des Guaranis. Ils ne pourront résister longtemps aux armées espagnole et portugaise qui imposent l'application du traité. Mais l'idéal des " réductions " n'est pas pour autant effacé des terres ni des cœurs des Guaranis, qui semblent pourtant condamnés à retourner à l'état nomade. Eugenio Corti a peint ici une superbe fresque historique sur trois générations, nous faisant suivre les vicissitudes d'une communauté qui ne plie pas devant la violence de l'Histoire, et a créé des personnages inoubliables. La peinture de la vie quotidienne de la " réduction " et des éternelles passions des hommes, alternent avec d'admirables descriptions de scènes de batailles, de la forêt, de voyage vers les grandes villes, où parviennent, tamisés, les échos des événements qui sont en train de bouleverser l'Europe. Dans ce roman, l'auteur du Cheval rouge use d'une technique narrative inédite, d'une grande efficacité, qui situe le lecteur à la fois au cœur des événements et de la création littéraire, le plongeant dans une atmosphère captivante qui constitue sa signature.

10/2008

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Religion

Etudes sur la sainte vierge tv 1958

PREFACE par M. RIQUET, S. LIVRE VII LA SAINTE VIERGE ET L'EXPANSION DU CATHOLICISME CULTE MARIAL DANS LES 'DIFFERENTS PAYS DU MONDE Afrique 1. - Marie et l'Afrique, par J. BOUCHAUD, C. S. Sp. Il. - La dévotion populaire mariale en Egypte, par G. BASETTI-SANI, O. F. M. III. - Marie dans la liturgie copte, par G. GIAMBERARDINI, O. F. M. , membre du Centre d'Etudes Orientales, professeur au Séminaire Oriental Saint-Cyrille IV. - culte de la Sainte Vierge dans les Missions de la Congrégation du Saint-Esprit, par A. CABON, C. S. Sp. V. - La dévotion à la Sainte Vierge dans les Missions des Pères Blancs, par A. ARNOUX VI. - Madagascar, terre de l'Immaculée, par J. -P. GRAUSEM, S. J. , professeur au Séminaire Réiional d'Ambatoroka, Tananarive VII. - culte au Congo Belge et au Ruanda-Urundi, par L. DENIS, S. J. , directeur de la "Revue du Clergé Africain" VIII. - Basutoland, terre de Marie et notes sur la dévotion mariale en Arique du Sud, par M. FERRAGNE, O. M. I. , directeur du Centre Catholique de Mazenod au Basutoland Amérique IX. - La dévotion à la Sainte Vierge au Canada de langue anglaise, par Son Eminence le Cardinal GUI GAN, Archevêque de Toronto X. - Marie dans l'histoire du Canada Français, par R. BRIEN, de l'Académie Canadienne-Française, président du Centre marial Canadien, directeur de la Revue Marie" XI. - La dévotion mariale des Indiens au Canada, par G. LAVIOLETTE, O. M. I. XII. : - Le culte de Marie en Alaska, par S. LLORENTE, S. J. XIII. - Notre Dame aux Etats-Unis, par D. SARGENT XIV. - Marie aux Etats-Unis, par D. -A. LORD, S. J. XV. - La piété du peuple Mexicain envers la Vierge Marie, par J. -A. ROMERO, S. J. XVI. - Le culte marial en Amérique Centrale (Guatemala, Honduras, El Salvador, Nicaragua, Costa Rica, Panama) et aux Antilles (Cuba et Porto-Rico), par F. ARGÜELLO XVII. - Le culte marial dans les Antilles et dans Guyane française (Républiques Dominicaine et d'Haïti, Martinique, La Guadeloupe), par A. CABON, C. S. Sp. XVIII. - La dévotion mariale en Argentine, par A. -I. FERREYRA, S. J. , professeur la Faculté de Théologie de San Miguel XIX. - La dévotion mariale en Bolivie, par T. OROZA DEUER XX. - La dévotion à la Sainte Vierge au Brésil, par P. ROSETTI, S. J. XXI. - La Sainte Vierge et le Chili, par A. ARRAÑO, S. J. XXII. - La dévotion mariale en Colombie, par J. -M. PACHECO, S. J. , professeur à l'Université Javeriana et rédacteur à la "Revista Javeriana XXIII. - culte. marial dans la République de l'Equateur, par J. ESPINOSA POLIT, S. J. XXIV. - La dévotion mariale au Paraguay, par A. ROJAS, S. J. XXV. - dévotion mariale au Pérou, par E. T. BARTRA, S. J. XXVI. - dévotion mariale dans République orientale de l'Uruguay, par R. ALGORTA et J. -L. SEGUNDO, S. J. XXVII. - Sainte Vierge et le Venezuela, par P. -P. BARNOLA, S. J. , membre de l'Académie d'Histoire, vice-recteur l'Université du Venezuela Océanie XXVIII. - dévotion

04/1997