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Nagisa Furuya, Furuya Nagisa

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Manga

17 ans Une chronique du mal Tome 1

Sachiko n'a que 17 ans. Et c'est parce que de jeunes garçons veulent s'amuser qu'elle se retrouve séquestrée et va subir brimades, agressions et tortures des semaines durant. Personne ne veut la libérer car tous ont peur de faire face aux conséquences ! Personne ne semble se soucier de son sort, ni la police ni les parents. Seule sa soeur jumelle poursuit sans relâche les recherches car elle sait que sa soeur est en danger. Arrivera-t-elle à la retrouver avant que l'irréparable ne se produise ? Découvrez une histoire terrifiante, crue et révélatrice de la société japonaise, inspirée de la véritable histoire de Junko Furuta qui a bouleversé les Japonais à la fin des années quatre-vingts ! Manga en 4 tomes

09/2020

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Seinen/Homme

17 ans Une chronique du mal Tome 3

Sachiko n'a que 17 ans. Et c'est parce que de jeunes garçons veulent s'amuser qu'elle se retrouve séquestrée et va subir brimades, agressions et tortures des semaines durant. Personne ne veut la libérer car tous ont peur de faire face aux conséquences ! Personne ne semble se soucier de son sort, ni la police ni les parents. Seule sa soeur jumelle poursuit sans relâche les recherches car elle sait que sa soeur est en danger. Arrivera-t-elle à la retrouver avant que l'irréparable ne se produise ? Découvrez une histoire terrifiante, crue et révélatrice de la société japonaise, inspirée de la véritable histoire de Junko Furuta qui a bouleversé les Japonais à la fin des années quatre-vingts ! Manga en 4 tomes

05/2021

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Seinen/Homme

17 ans Une chronique du mal Tome 4 : Une chronique du mal

Sachiko n'a que 17 ans. Et c'est parce que de jeunes garçons veulent s'amuser qu'elle se retrouve séquestrée et va subir brimades, agressions et tortures des semaines durant. Personne ne veut la libérer car tous ont peur de faire face aux conséquences ! Personne ne semble se soucier de son sort, ni la police ni les parents. Seule sa soeur jumelle poursuit sans relâche les recherches car elle sait que sa soeur est en danger. Arrivera-t-elle à la retrouver avant que l'irréparable ne se produise ? Découvrez une histoire terrifiante, crue et révélatrice de la société japonaise, inspirée de la véritable histoire de Junko Furuta qui a bouleversé les Japonais à la fin des années quatre-vingts ! Manga en 4 tomes

12/2021

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Cinéma

Le bus de la révolution passera bientôt près de chez toi. Ecrits sur le cinéma, la guérilla et l'avant-garde (1963-2010)

"En tant que créateurs, nous possédons d'une part la fermeté, la ténacité et l'hétérogénéité du corail et, de l'autre, la capacité de croissance des plantes héliotropes" (1967). Cinéaste révolutionnaire en lutte contre l'impérialisme, Masao Adachi a rédigé de nombreux écrits accompagnant son trajet engagé, dont presque trois décennies se déroulèrent dans la clandestinité et une part en prison : manifestes, chroniques, journaux, comptes rendus de livres, analyses d'oeuvres fraternelles (Kôji Wakamatsu, Nagisa Oshima, Jean-Luc Godard, Glauber Rocha, Jonas Mekas, R-W Fassbinder...). Il s'y déploie une théorie de l'art comme action et réciproquement une théorie de l'activisme soucieuse d'expérimenter en toutes choses et en tous lieux : clans les rapports avec autrui, dans les gestes de luttes, dans les usages de la langue. Rarement trajet de cinéaste fut plus radical, inventif et fidèle à ses idéaux d'émancipation. Auteur d'éblouissants diamants noirs (A k a Serial Killer, Prière d'éjaculation...) et du film "le plus offensif de l'histoire du cinéma", selon ses propres termes (Armée rouge/FPLP : Déclaration de guerre mondiale), Masao Adachi reste à ce jour interdit de sortie de territoire au Japon. "Je ne me considère pas moi-même comme un hérétique. Mais si l'on observe objectivement la place de mes oeuvres, du point de vue de leur contenu, on peut les situer dans les extrêmes" (2010).

10/2012

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Cinéma

Evasion du Japon. Cinéma japonais des années 1960

La décennie 1960 est une période d'intenses bouleversements dans l'histoire du cinéma japonais. Une nouvelle génération de cinéastes s'impose et se démarque des "grands maîtres" des années 1930 et 1950, tandis que les plateformes de production se diversifient et que les grands studios voient s'effriter leur monopole sur l'industrie des loisirs. L'heure est à la libération sexuelle, à la contestation politique, aux mouvements citoyens contre la pollution industrielle : climat libertaire propice aux irrévérences, dont le monde cinématographique se fait comptable à travers une série de scandales. Pourtant cette nouvelle et turbulente jeunesse du cinéma ne saurait s'envisager comme un simple phénomène démographique, malgré ce que le nouveau genre des "films sur la jeunesse" (seishun eiga) ou certains cinéastes dits "modernistes", tels Nakahira Kô, voudraient faire croire à la fin des années 1950. Pour d'autres, Oshima Nagisa, Yoshida Kijû ou Matsumoto Toshio, le renouvellement passe au contraire par une redéfinition du rôle du cinéaste et de la façon dont il "agit" le monde. Cette transition se constate d'autant mieux qu'on la rapporte au cinéma d'après-guerre, dont Imai, Naruse, Kurosawa développent des options esthétiques spécifiques, pour bâtir un espace-temps entropique, miné par l'angoisse. Mais l'accès du pays à la prospérité au tournant des années 1960, célébrée en grande pompe par les Jeux Olympiques de Tokyo de 1964, semble dissiper cette angoisse, entraînant les cinéastes de la nouvelle génération vers d'autres modèles théoriques et esthétiques, aptes à rendre compte de la nouvelle société de consommation et de communication de masse. C'est cette grande mutation qu'Evasion du Japon propose d'explorer.

10/2015

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Cinéma

Le cinéma en mouvements depuis la Nouvelle Vague

Depuis la Nouvelle Vague française, le cinéma mondial a été traversé de mouvements - agitateurs d'un art en perpétuelle évolution - qui sont analysés ici dans leur réalité éparse et hétérogène. Ils expriment des partis pris formels nouveaux, liés parfois au contexte politique mondial. C'est le cas des cinémas nationaux des pays de l'Est et du tiers-monde dans les années 1960. Ils se développent à la même époque au sein de certaines cinématographies pour y créer des territoires dissidents, face à des productions nationales à bout de souffle, à l'initiative des cinéastes de ces pays : Alexander Kluge et Edgar Reitz en Allemagne, Nagisa Oshima au Japon, génération des chestidesiatniki en URSS ou de la Nouvelle sensibilité en Israël. Ils font parfois écho à des mouvements antérieurs (Cinema Nuovo pour la Post-Retomada brésilienne récemment), se regroupent autour de manifestes explicites (Zanzibar, Dogma 95) ou d'intérêts esthétiques et économiques communs (Diagonale), ou se forment à l'occasion d'un contexte social et politique spécifique (cinéma politique italien des années 1970, cinéma beur et phénomène du "film sexuel" en France). Ils constituent autant d'essais, qu'il a semblé utile de réunir ici pour mieux percevoir les différentes trajectoires d'un Septième Art qui n'en finit pas de se renouveler. La liste n'est certes pas exhaustive, et l'examen de chacun des mouvements pourra être approfondi, mais il apparaît clairement que, plus que d'un modèle global d'influence, c'est bien d'une série d'hypothèses cinématographiques diverses et quelquefois partielles que le cinéma mondial se trouve aujourd'hui enrichi. Une attention particulière est portée dans la dernière partie de cet ouvrage à l'après-Nouvelle Vague en France, à travers deux tables rondes qui donnent la parole aux cinéastes des groupes Zanzibar et Diagonale.

08/2019

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Manga guides et revues

Atom N° 17 : Le manga d'horreur

Le manga d'horreur : quand la peur traverse la case Il est un genre-clé dans le paysage du manga, une planète à lui seul. Riche, complexe et passionnant, le manga d'horreur brasse les folklores, convoque les monstres locaux (les fameux yôkai, créatures surnaturelles devenues l'emblème de la culture fantastique japonaise), revisite les bestiaires occidentaux, puise dans les mythes, les légendes urbaines, et parfois aussi les faits-divers. Inspiré par le cinéma, il surfe sur les modes (fantômes, occultisme, vampires, body horror, splatter...), capitalise sur une imagerie puissante et inventive, s'ouvre à un public désireux de tester ses limites et, pourquoi pas, de s'immerger pleinement dans un cauchemar en noir et blanc... Les plus grands mangakas d'horreur réunis dans un ouvrage unique Junji Itô, Hideshi Hino, Kanako Inuki, Gou Tanabe, Atsushi Kaneko, Usamaru Furuya, Rei Mikamoto, Daruma Matsuura, Shûzô Oshimi et bien d'autres encore ont été interviewés pour l'occasion. Des entretiens fleuves et inédits, retraçant les origines du manga d'horreur, ses inspirations, son influence, et son impact sur la culture populaire. Vous retrouverez également une longue introduction sur les origines du manga d'horreur écrite par le mangaka et spécialiste Tokushige Kawakatsu, texte foisonnant et richement illustré par des archives inédites dans lesquelles vous découvrirez un Shigeru Mizuki pré-Kitaro le repoussant ! Des dossiers thématiques viendront également apporter un éclairage pertinent sur le genre, comme un décryptage des mécanismes de la peur chez le père fondateur du genre, Kazuo Umezu. Une couverture exclusive Auteur de Deathco (Casterman), Search & Destroy (Delcourt), Wet Moon (Casterman), Soil (Ankama) et Bambi (IMHO), Atsushi Kaneko nous a fait l'honneur d'une illustration exclusive, vision personnelle et gothique du genre horrifique. Vous retrouverez également dans ce numéro exceptionnel un entretien inédit avec le mangaka, dans lequel il revient sur son rapport à l'horreur, et comment celle-ci infuse toute son oeuvre.

05/2021