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Epargne salariale et actionnariat salarié

Extraits

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Sociologie

Le temps des retraites. Les mutations de la société salariale

Autrefois, le départ à la retraite marquait la coïncidence entre la fin de la vie professionnelle, l'obtention d'une pension et le début des handicaps de la vieillesse. Cette coïncidence n'existe plus : le travail cesse bien souvent avant la liquidation de la pension et la "vieillesse" est peu à peu repoussée dans le grand âge. L'augmentation de la longévité ouvre l'horizon d'une existence où l'on ne sera bientôt, à 60 ans, qu'aux deux tiers de sa vie. Au-delà des débats d'experts, comment repenser les retraites pour des hommes et des femmes qui, avant de connaître les affres de la vieillesse, seront longtemps "âgés sans être vieux" ? Comment sécuriser les nouveaux parcours de vie et faciliter leurs transitions ? Comment prendre en compte, non seulement le risque dépendance, mais aussi le risque "fin de carrière" ? Cet essai dessine les contours d'une nouvelle retraite, adaptée à la recomposition des cycles de vie et singulièrement à l'émergence d'un nouvel âge : les 50-70 ans.

03/2003

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Littérature française

Liberté Égalité Chaternité. Journal d’un chat salarié

Pitié pour votre chat, il a eu une journée compliquée. Entre les attaques de mouches, la piètre qualité de ses croquettes et les misères que lui font les humains, il a besoin de souffler... Lisez-donc ce journal de bord pour vous en convaincre ! Se considérant comme salarié en charge de la sécurité de son appartement, le chat auteur de ces lignes a décidé de se faire le porte-parole de la condition féline. Il consigne jour après jour les événements de son quotidien, et livre, au détour de ses récits, un témoignage tant humoristique que lucide sur nous autres, hommes. Somme de 365 histoires en une, ce livre se lira d'une traite ou par petites touches, par les petits et les grands, amateurs de chats ou simplement curieux de découvrir l'espère humaine et ses paradoxes sous un autre jour !

10/2023

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Littérature française

La vie ne nous épargne pas…. Tome 2

Après un tas de péripéties en Afrique et en Europe, le héros de "La vie ne nous épargne pas" Tome 1, va poursuivre sa folle aventure en Amérique du Sud. Pimentée de rencontres peu recommandables, son existence l'obligera à fréquenter la Mafia russe et l'amènera à naviguer de nouveau sur l'étroite démarcation qui sépare le délit de la légalité. Trois call-girls dont la plastique de rêve n'égale que leur perversité et le peu de sens moral qu'elles affichent, lui serviront de passe-droit et de lettre de créance auprès de cette organisation, qui n'hésitera pas à les utiliser comme appât dans leurs opérations de grand banditisme. Les bonnes intentions et résolutions ne suffiront pas, car à peine rangé pour de bon, notre héros s'encombre d'un cadeau empoisonné qui lui tombe sur les bras : le mystérieux trésor du Graf Spee, le cuirassé nazi coulé au large de Montevideo dans les eaux argentées du Rio de la Plata.

04/2022

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XXe siècle

La vie ne nous épargne pas…. Tome 1

9 septembre 1944. Les troupes soviétiques envahissent la Bulgarie mettant fin à l'existence de la royauté et instaurent avec l'aide de certains milieux politiques un gouvernement communiste, qui s'érige rapidement en "Tribunal du peuple" . A son actif, on comptera environ 40000 disparus parmi lesquels des religieux, des artistes, des hommes politiques, des professeurs et en règle générale, les représentants les plus en vue de l'intelligentsia bulgare. Né de parents qui ne sont ni communistes, ni ouvriers stakhanovistes, Gregor ne présidera pas à l'épuration en direct, mais en connaîtra l'étendue à travers les récits de sa mère et sa grand-mère. A partir de cet instant, il n'aura qu'une seule idée en tête - ne pas se laisser endoctriner par la "propagande soviétique" et s'échapper de ce pays coûte que coûte. L'épopée fantasque de Gregor a pour cadre trois continents et serpente au gré des rencontres entre lumières et ténèbres. Thriller sans loi ni morale, le premier tome de "La vie ne nous épargne pas" mènera notre héros vers une existence qui sera tout sauf "un long fleuve tranquille" .

04/2022

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Actualité médiatique internati

Comment épargner 100 000 € en 7 ans ?

Depuis des années, je suis un passionné de l'épargne. Je ne suis pourtant pas né dedans. J'ai un boulot qui n'a rien avoir avec l'argent. Mais je me suis rendu compte à quel point c'est un sujet que j'aime aborder. Il n'est pas facile de parler de ce sujet autour de soi, que cela soit avec les amis, la famille... etc. J'ai donc décidé de casser un peu les codes. Je vais vous partager ici tout mon modeste vécu, au travers de mes différentes expériences personnelles, professionnelles, au travers de tout ce que j'ai lu, tout ce que j'ai appris, les formations que j'ai suivies. C'est dix années de ma vie que je résume pour expliquer comment épargner 100 000 en 7 ans devient possible.

04/2021

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Comptabilité générale

La paye. Edition 2023-2024

Cet ouvrage est une présentation de la méthode de préparation du bulletin de paye et fait le point sur tous les éléments qui entrent en ligne de compte dans les calculs. Plan de l'ouvrage : Le cadre juridiqueLa durée du travailLe bulletin de payeLa comptabilisation de la payeLes absencesLes congés payésLe congé maladieLes déclarations socialesL'épargne salarialeA retenir

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Sociologie du travail

De l'entreprise à la configuration productive. Travail, emploi, régulations

De manière croissante, le travail contemporain est effectué non plus dans le cadre de la relation d'emploi classique entre un salarié et un employeur, mais au sein de formes organisationnelles dérivées de l'externalisation (chaînes de valeur, entreprises réseau, gestion par projet, travail par l'intermédiaire d'une plateforme numérique), dont l'analyse requiert de prendre en compte les relations interentreprises. A partir d'études de cas réalisées surtout au Québec, mais aussi au Mexique, dans différents secteurs (production et transformation agroalimentaires, services informatiques à l'entreprise, services de taxi et services de garde à l'enfance), De l'entreprise à la configuration productive : travail, emploi, régulations examine, dans une perspective historique et comparative, le fonctionnement de ces formes organisationnelles et leurs effets sur le travail, l'emploi et l'action collective des travailleurs et travailleuses. Au-delà des résultats empiriques, l'ouvrage propose des voies de dépassement des cadres d'analyse traditionnels en sociologie du travail et en relations industrielles. D'abord, il déplace le niveau d'analyse, le faisant passer des frontières juridiques de l'entreprise aux contours sociologi­ques et économiques de la configuration productive, puis il remplace les concepts de rapport salarial, de subordination et de régulation salariale par les notions de rapport social de travail, de contrôle et de régulation fragmentée et régulation diversifiée.

04/2023

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Agriculture

10 clés pour employer des salariés (agricoles) sereinement

Agriculteur, agricultrice, vous employez un ou des salariés ou bien vous envisagez de devenir employeur... Vous vous posez des questions, vous avez le souci de bien faire ; ce livre s'adresse à vous. Il focalise l'attention sur l'emploi permanent, à temps plein ou partiel, celui sur lequel s'établit une relation durable qui s'approfondit au fil du temps, permettant de développer des compétences, celles de la salariée ou du salarié et celles de l'agriculteur. L'employeur saisonnier y trouvera néanmoins des repères utiles ainsi que le dirigeant d'organisation professionnelle. La plupart de ces organisations professionnelles agricoles (OPA) emploient du personnel. On entend dire qu'employer du personnel n'est pas une sinécure, qu'il est difficile de trouver un salarié compétent et fiable, que la position d'employeur provoque de l'inquiétude, du stress, des désillusions. Trop souvent cette fonction, improvisée, s'exerce de façon instinctive, faute de repères solides. On y observe de l'autoritarisme, du contrôle pointilleux, de la naïveté, du laxisme, de la dévalorisation... Cela conduit à des incompréhensions et des frustrations de part et d'autre, voire du découragement. En dix clés, les auteurs vous éclairent sur la fonction d'employeur en agriculture, ses pratiques et les compétences à acquérir pour l'exercer au mieux de l'intérêt du patron et du ou de la salarié. e - Décider s'il faut embaucher, et seul ou à plusieurs - Recruter la bonne personne et l'accueillir - S'affirmer et prendre sa place comme patron - Connaître et appliquer le droit du travail - Protéger, veiller à la sécurité et à la santé des salariés - Structurer les équipes. Organiser et faire évoluer les postes - Développer des relations constructives, communiquer - Animer, développer les compétences - Adapter son management, déléguer. - Evaluer, récompenser, sanctionner

09/2022

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Histoire de l'art

La gravure sur bois et d'épargne sur métal, XIVe-XXe siècle

La Gravure sur bois et d'épargne sur métal, du XIVe au XXe siècle / Pierre Gusman Date de l'édition originale : 1916 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

03/2023

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Retraite

Retraites : généraliser le droit au salaire

La pension des fonctionnaires et les retraites du régime général de la Sécurité sociale ou de certains régimes d'entreprise dits "A spéciauxA " (EDF, RATPâ-) sont, en tant que salaire continué, des prémices du salaire attaché à la personne, et non pas au poste de travail. Une telle révolution communiste dans l'institution du travail, la bourgeoisie n'en veut pas et lui oppose depuis 1947 la retraite à points des cadres, étendue à tous les salariés du privé dans l'Agirc-Arrco. Depuis la fin des années 1980, les réformateurs détricotent le salaire continué pour le transformer en revenu différé, calculé sur la base de points de retraite accumulés sur toute la carrière professionnelle. C'est faute de se battre pour l'extension à tous du meilleur salaire continué dans la pension de retraite que les syndicats sont battus depuis trente ans. Cet ouvrage est une contribution à la préparation des futures mobilisations qui seront nécessaires pour contrer les retraites à points.

07/2022

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Droit social européen

Un salaire minimum pour l'Europe

La question du salaire minimum se situe au carrefour de préoccupations diverses : compétitivité, dumping social, précarité, inclusion sociale. Les institutions internationales et européennes ont récemment modifié leur appréhension du salaire minimum. La définition d'un salaire minimum est au coeur du socle européen des droits sociaux. Ainsi, même si la fixation d'un salaire minimum ne relève pas de la compétence de l'UE, l'horizon d'un salaire minimum européen est maintenant à l'agenda européen. A cette actualité supranationale, s'ajoutent des actualités nationales. Certains Etats Membres - en particulier l'Allemagne - se sont récemment dotés de dispositifs juridiques tendant à intégrer dans leur législation nationale un salaire minimum. Le salaire minimum est donné pour l'une des voies de lutte contre le dumping social. Les recommandations adoptées dans le cadre du semestre européen, qui visent d'ores et déjà à influencer la politique salariale de certains Etats membres, rendent d'autant plus urgent le débat sur le salaire minimum. Cet ouvrage rassemble des spécialistes de droit international et européen, ainsi que de droit du travail comparé afin de poser les jalons d'une analyse du projet européen de promotion d'un salaire minimum en Europe. Ces perspectives juridiques ont été complétées par une réflexion sur les usages de la comparaison, menée par une économiste du travail.

10/2023

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Gestion des ressources humaine

Salariés et dirigeants en confiance. Clef de réussite et rêve pour l'entreprise

Les journaux télévisés, la presse nationale ne parlent que de " la grande démission ", du " burn-out qui toucherait 25 % des salariés ", de l'absolue nécessité de relocalisation des entreprises. Le tout dans un environnement d'une gravité sans précédent. Face à ce désastre économique, social, sociétal et environnemental, est-il possible de permettre aux jeunes générations de s'impliquer, aux salariés d'être responsabilisés, aux patrons de donner du sens à leurs collaborateurs ? La réponse, vous la trouverez dans ce livre qui décrit la vie d'un dirigeant qui a su écouter les difficultés de ses collaborateurs, qui a su les motiver, qui a gagné de belles batailles, qui a su résister avec ses équipes à une délocalisation vers un pays low cost et ainsi préserver 350 emplois. Vous dirigez votre entreprise, alors acceptez de faire " confiance " à vos salariés. Vous enseignez, alors intégrez l'humain dans vos formations. Vous étudiez, alors lisez ce livre. Il vous expliquera que les entreprises vont dorénavant vous permettre de vous investir sans réserve et ainsi réaliser votre rêve.

12/2022

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Droit des biens

Aide Mémoire du Patrimoine 2022

Cet ouvrage a été spécialement conçu pour aller directement à l'essentiel et répondre aux questions courantes des particuliers : - comptes & livrets - crédits - immobilier, PEL E CEL - assurances de dommages - assurances de personnes - retraite, PER & PERP - valeurs mobilières & PEA - épargne salariale - fiscalité - famille & transmission. Pratique, il est rédigé avec des termes simples et explicites et intègre de nombreux exemples et remarques. Il permet de s'initier ou de mémoriser des mécanismes a priori complexes : clause bénéficiaire d'un contrat d'assurance-vie, assurance emprunteur, imposition des plus-values immobilières, réserve et quotité disponible... Entièrement réactualisée, cette nouvelle édition intègre les récents changements d'ordre législatif, réglementaire ou jurisprudentiel : réforme du cautionnement, conditions d'octroi des crédits immobiliers, fiscalité des plans d'épargne retraite (PER), réductions et crédits d'impôt, etc.

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Economie (essai)

Manifeste des nouveaux épargnants. Plaidoyer pour une épargne utile

Histoire de Corum Epargne ou une nouvelle vision de l'épargne accessible L'épargne financières de Français est évaluée à 5500 milliards d'euros, soit plus de deux fois la richesse produite chaque année par notre économie. Les sommes en jeu sont énormes. Mais, pour l'essentiel, cette épargne est orientée vers des placements qui rapportent peu aux ménages et peu aux entreprises. Frédéric Puzin, fondateur de Corum, une société de gestion de l'épargne immobilière propose de rendre cette épargne plus fructueuse pour les ménages et plus utile pour les entreprises, de créer un cercle vertueux entre la gestion du bas de laine des Français et l'économie réelle. Cet ouvrage est composé de trois parties. Dans la première, Frédéric Puzin revient sur son parcours, ses valeurs, fruits de son histoire personnelle et de son parcours professionnel. Les questions macroéconomiques sont abordées dans la deuxième partie du livre. Deux thèmes sont y sont tout particulièrement abordés. Pourquoi faut-il réinventer la gestion et l'utilisation de l'épargne, alors que les ménages s'inquiètent de l'érosion de leur pouvoir d'achat et que l'Etat espère regagner du terrain en matière de souveraineté économique ? Après le pourquoi, le comment ! Dans la troisième partie, Frédéric Puzin fait une série de recommandations pour que l'épargne des Français ne soit plus dormante et qu'elle devienne un véritable levier pour relever le pouvoir d'achat des ménages et, à l'heure des grandes transitions environnementales et technologiques, transformer l'économie française.

11/2022

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Sociologie

Travailler pour soi. Quel avenir pour le travail à l'heure de la révolution individualiste ?

Diversification des contrats, personnalisation du temps de travail, porosité croissante entre vie privée et vie professionnelle, essor du travail indépendant : le modèle unique fondé sur le CDI et l'échange subordination du salarié contre salaire est devenu caduque. Demain l'emploi sera fragmenté, individualisé, à la carte. La relation de subordination sera remplacée par une relation de collaboration, dans laquelle la maîtrise et l'aménagement des tâches par les salariés eux-mêmes seront déterminants. Ce livre n'est pas une charge contre notre modèle social. Il constate que celui-ci n'apporte plus les protections nécessaires aux salariés, faute d'avoir anticipé et de s'être adapté à la révolution individualiste. Il ne s'agit donc pas pour l'auteur de s'associer au discours patronal courant contre la protection sociale et le droit du travail. Il s'agit au contraire de refonder ceux-ci sur un constat documenté de la nouvelle réalité du travail. Face à la montée de l'individualisme, de nouvelles formes de sécurité vont devoir être inventées afin de réconcilier l'individu et le collectif, et de combiner flexibilité et sécurité. Pour au final replacer l'individu au coeur de la relation d'emploi.

09/2013

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Marchés financiers

Révolution Cryptos. Décoder la finance de demain : épargne, spéculation, entreprises, etc.

Les cryptomonnaies bouleversent les équilibres de la pensée économique et financière. Elles ouvrent devant nous les portes d'un nouveau monde, qui sera, dans 20 ans, si différent de ce que nous connaissons... Quel sera l'impact de la finance décentralisée ? Quels sont les mécanismes qui régissent aujourd'hui le marché des cryptomonnaies, et quelles dynamiques en attendre sur nos modèles politiques, sociaux, économiques et monétaires ? Voilà autant de questions qui feront les nouvelles fortunes de demain. Les auteurs proposent à travers ces pages une grille de lecture jamais abordée à ce jour. Ce livre insiste d'abord sur les caractéristiques économiques de ce qui résonne comme le pilier du monde de demain : la Révolution Crypto ! Dans nos économies digitalisées, tout reste à repenser : les modèles d'investissement, d'épargne, d'enrichissement, d'échange, de financement des entreprises, de création monétaire, de droit de propriété... Ce livre aborde également une approche statistique des cryptomonnaies encore jamais publiée : quel est l'impact des mécanismes de marché sur l'évolution du prix des cryptomonnaies ? Vous y découvrirez de fascinantes conclusions... Enfin, ce livre propose une réflexion sur la véritable utilité de cette technologie et les mécanismes qui ont contribué, et contribueront, à l'émergence ou la transformation de la Blockchain et de son utilisation. Les innovations se succèdent, mais les plus pertinentes finissent toujours par terrasser les plus anciennes. La Blockchain est à Internet ce que la voiture était au train !

01/2022

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Droit du travail et de l'emplo

Le mémo social. Contrat de travail, relations collectives, paye, Edition 2023

Un ouvrage indispensable pour les juristes et non-juristes qui couvre l'ensemble de la réglementation en droit du travail. Etayé par la jurisprudence la plus récente, le Mémo Social vous apporte une information claire et complète. D'un usage facile, le Mémo Social est conçu pour faciliter vos recherches : - un index thématique de 2400 entrées- 59 chapitres classés par ordre alphabétique parmi lesquels : licenciement, maladie, congés payés, contrat de travail, rupture conventionnelle, démission, comité social et économique, négociation collective, embauche, formation, apprentissage, modification du contrat de travail, temps partiel, travailleurs étrangers, travail temporaire, travailleurs handicapés, accidents du travail, salaire, cotisations, prévoyance, retraite complémentaire... Cette nouvelle édition 2023 prend notamment en compte la loi "Marché du travail" , avec en particulier le nouveau régime des abandons de poste, la suppression de l'assurance chômage en cas de refus de deux CDI et la réforme de la VAE (validation des acquis de l'expérience). Sont également intégrées les mesures en faveur du pouvoir d'achat (pérennisation de la prime "Macron" , dispositions destinées à favoriser l'intéressement, possibilités de déblocage anticipé de l'épargne salariale et de rachat des jours de RTT), la nouvelle procédure liée aux alertes professionnelles et la réforme de l'assurance chômage

07/2023

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Sociologie du travail

Revue Salariat n° 1. Droit à l'emploi, droit au salaire ?

Pourquoi la revue SalariatA ? Nicolas Castel Mathieu Grégoire Jean-Pascal Higelé Maud Simonet Le salariat a longtemps eu mauvaise presse. Au milieu des années 1860, dans un chapitre inédit du Capital, Karl Marx écritA : " Dès que les individus se font face comme des personnes libres, sans salariat pas de production de survaleur, sans production de survaleur pas de production capitaliste, donc pas de capital et pas de capitaliste ! Capital et travail salarié (c'est ainsi que nous appelons le travail du travailleur qui vend sa propre capacité de travail) n'expriment que les deux facteurs d'un seul et même rapportA ". Qui dit salariat dit capitalisme et inversement. Marx invite ainsi les travailleurs et les travailleuses réuni·es dans la Première internationale, à substituer au slogan " un salaire équitable pour une journée de travail équitable ", le mot d'ordre : " Abolition du salariatA ! A ". Près d'un siècle et demi plus tard non seulement le salariat n'a pas été aboli, mais il est devenu désirable pour nombre d'individus et d'organisations syndicales. Cela ne fait guère mystère : le salariat observé par Marx et ses contemporains n'est plus celui que nous observons aujourd'hui. En tant que rapport social, le salariat a été un champ de bataille. Il a donné lieu à des stratégies d'émancipation qui se sont parfois - souventA ! - traduites en victoires et en conquêtes. Les institutions du salariat que nous connaissons aujourd'hui sont les buttes témoins de ces batailles passées. La revue Salariat nait d'un questionnementA : les sciences sociales ont-elles pris la mesure d'une telle transformationA ? Certes, l'idée d'une bascule dans l'appréciation du salariat - de condition honnie à statut désiré - est largement partagée : l'inscription puis le retrait de la revendication " d'abolition du salariatA " dans les statuts de la Confédération générale du travail sont souvent mobilisés comme manifestation de ce mouvement historique. Mais on peut se demander si la façon dont les sciences sociales conçoivent le salariat a, parallèlement, évolué en prenant toute la mesure de ses transformations historiques qui, précisément, expliquent ce basculement radical d'appréciation. C'est en partant de l'explicitation de ce paradoxe que nous souhaitons introduire le projet intellectuel de la revue Salariat. Pourquoi questionner le " salariatA "A ? Le salariat du xixe siècle n'est pas le salariat du xxe siècle et ne sera pas, on peut en faire l'hypothèse, celui du xxie siècle. Si au premier abord, il s'agit d'un rapport social consubstantiel au capitalisme, on aurait tort d'arrêter là l'analyse : le salariat s'est transformé en devenant, par certains aspects, plus complexe et, par d'autres, plus simple. Le salariat est d'abord devenu plus complexe car le rapport social salariés/employeurs ne s'exprime plus à la seule échelle de la fabrique ou de l'entreprise, ni à celle d'un face à face entre un ou des travailleurs et un capitaliste. Ce rapport se joue à plusieurs échelles comme par exemple la branche et l'échelon interprofessionnel. Il s'est par ailleurs cristallisé dans des institutions et dans le droit. Mais le salariat est aussi devenu plus simple car dans la première partie du xxe siècle, il est encore possible d'associer le rapport salarial à une classe sociale parmi d'autres, la classe ouvrière, dont les luttes, les représentations syndicales, les institutions et le droit, n'engagent pas nécessairement ou pas directement les autres classes sociales. Les paysans, les employés, les professions intellectuelles par exemple peuvent ainsi encore s'imaginer un futur dans lequel - à l'instar des ouvriers mais à côté d'eux - ils pourront construire un droit spécifique, des protections sociales spécifiques et ce, grâce à des organisations syndicales spécifiques. Près d'un siècle plus tard, le salariat s'est généralisé numériquement et la catégorie de salariat a solidarisé des segments de travailleurs et de travailleusesA : au groupe social " ouvrierA " sont venus s'ajouter le groupe social " employéA " ainsi que les " cadresA " dont il faut noter que leur intégration au salariat fut un retournement de l'histoire particulièrement significatif. Qui plus est, ces segments de travailleurs et de travailleuses ont été solidarisés dans un même rapport social qui les oppose à des employeurs de façon plus universelle, plus simple et plus claire que par le passé. Ironie de l'histoire ou diversion, c'est précisément au moment où cette confrontation entre deux classes prend sa forme la plus évidente que la lutte des classes est déclarée obsolète. Il nous semble donc qu'au lieu de prendre toute la mesure de ces profondes transformations sociohistoriques du salariat, l'usage de cette notion par les sciences sociales s'est singulièrement appauvri. Pour Marx et ses contemporains - quelle que soit par ailleurs leur sensibilité -, le salariat est d'abord une notion forgée pour identifier, décrire et expliquer une relation économique, un rapport social très androcentré qui apparaît central dans la société du xixe siècle. Pour le dire dans un vocabulaire anachronique, c'est donc avant tout un concept des sciences sociales qui donne lieu à des controverses, des interrogations. Philosophes, économistes, sociologues s'en saisissent comme d'un outil pour décrire le réel qu'ils ont sous les yeux. Un siècle et demi plus tard, force est de constater que le terme salariat n'est plus questionné. Il est très souvent, pour les sciences sociales, une simple réalité juridico-administrative, une " donnée " ne posant pas question et au mieux une catégorie mais rarement un concept. Chacun ou chacune est ou n'est pas juridiquement " salariéA " tandis que, statistiquement, l'Insee comptabilise un nombre de " salariésA " et un nombre d'" indépendantsA " puis mesure l'évolution de leur part respective. Que les sciences sociales prennent en considération le fait d'être ou non juridiquement " salariéA ", par exemple lorsqu'on étudie la condition des travailleurs et des travailleuses des plateformes, est certes important et utile. Mais, à l'instar de ce que pratiquent paradoxalement de nombreux juristes, c'est à un usage plus réflexif de la notion de salariat - qui ne se réduit pas à une catégorie molle - que nous appelons. Cette approche réductrice du salariat comme " donnée " non interrogée s'explique certainement par un mécanisme assez paradoxalA : cette forme juridique, salariale donc, est le fruit d'une histoire qui a vu un concept et des théories s'incarner dans le droit9. En effet, ce concept analytique a infusé le droit jusqu'à structurer une grande part des réalités du travail et de ses " régulationsA " dans une bonne partie de l'Europe continentale, au Japon, aux Etats-Unis et ailleurs. Cependant, cette cristallisation dans le droit s'est accompagnée d'une baisse du pouvoir analytique du concept, voire d'une neutralisation scientifique d'un concept qui n'est qu'à de rares exceptions10 interrogé. La cristallisation dans le droit s'est ainsi accompagnée d'une vitrification conceptuelle. Dans quels termes a-t-on arrêté de penser la question salariale ? Dans une définition-essentialisationA : le salariat c'est la subordination. Et cette définition-essentialisation est sous-tendue par une théorie implicite : celle de l'échange d'une subordination contre une protection. Ce " compromisA " - fordien ou autre -, est devenu un cela va de soi ou un implicite théorique, presque un récit mythique des sciences sociales. Les analyses de Robert Castel dans Les métamorphoses de la question sociale sont à ce titre souvent mobilisées pour opposer diamétralement deux périodes historiques. Dans la première, le salariat de la révolution industrielle serait profondément asymétrique, l'égalité formelle des parties donnant lieu à une inégalité de fait et au paupérisme. Dans la seconde, un droit du travail et des droits sociaux octroyés par l'Etat seraient venus compenser cette asymétrie initiale et rééquilibrer l'échange salarial11A : subordination contre protection, " compromis fordiste ", " Trente glorieusesA " et " plein-emploiA " comme nouvelle étape d'un rapport salarial enfin rééquilibré. L'état de " compromisA " peut alors plus ou moins implicitement être conçu comme un climax, un optimum indépassable. Dans un tel cadre d'analyse, on sera tendantiellement conduit à ne penser que des reculs - l'" effritement de la A société salariale " - et ce, dans la nostalgie d'un passé glorieux mais malheureusement révolu. Droits octroyés et équilibre de l'échange retrouvéA : dans une telle perspective théorique, on le voit, l'univers des possibles du salariat est relativement bien borné par cet état d'harmonie sociale et d'intégration de la classe ouvrière que l'on prête à la période d'après-guerre. Or, pleine de conflits, de conquêtes, d'émancipations, la réalité sociohistorique sur plus d'un siècle dépasse les termes de l'échange et du compromis. Penser ainsi non pas en termes de compromis mais en termes de luttes et d'émancipation, évite de présumer des définitions et limites du salariat. La réalité du salariat a changé parce que des batailles relatives au travail et/ou à la citoyenneté économique et politique ont été gagnées. Oui, le salariat est consubstantiel au capitalisme mais il est traversé en permanence, par des formes de subversion de la logique capitaliste. Le rapport salarial, en ses contradictions et ses puissances, est le point nodal de la lutte des classes et, en la matière, la messe n'est pas dite tant au point de vue des structures objectives que des structures subjectivesA : rien ne permet de conclure que ce rapport social n'est qu'enrôlement au désir-maître capitaliste12. Si le régime de désir est bien celui de désirer selon l'ordre des choses capitalistes (i. A e. une épithumè capitaliste13), il n'en demeure pas moins que depuis la théorisation produite par Marx, tout un maillage institutionnel de droits salariaux subversifs du capitalisme a pris forme au coeur du rapport salarial (sécurité sociale, cotisations sociales, conventions collectives, minima salariaux, droit du travail, statuts de la fonction publique et des entreprises publiques, etc.). En matière de salariat, on ne peut donc en rester à la théorie implicite du xixe siècle et son acquis d'une protection contre une subordination. Ce n'est pas une simple donnée juridique incontestable (être ou ne pas être " salariéA ") mais un concept qui doit être discuté, débattu, interrogé, mis en question, caractérisé et caractérisé à nouveau, au fil du temps et des luttes sociales qui s'y rattachent. Si domination, exploitation, aliénation, invisibilisation il y a, il s'agit aussi de comprendre ce qui se joue dans le salariat en termes d'émancipation des femmes et des hommes. Certes, le salariat n'est pas qu'émancipation. Et on peut songer à d'autres possibles pour les travailleurs et les travailleuses que ceux qui s'organisent à l'échelle du salariat. Mais cette dimension émancipatrice ne doit pas faire l'objet d'une occultation. Il nous parait donc nécessaire de saisir le salariat dans son épaisseur sociohistorique, dans les contradictions qui le traversent, les luttes qui le définissent et le redéfinissent, pour éclairer la question du travail aussi bien dans sa dimension abstraite que concrète. On l'aura compris, il s'agit donc ici d'interroger le salariat en lui redonnant toute sa force historique, heuristique et polémique. Le salariat, nous l'avons dit, est devenu un rapport social qui s'exprime à de multiples échelles et qui dépassent de beaucoup le simple face à face évoqué dans la deuxième section du Capital dans laquelle un employeur, " l'homme aux écusA ", se tient devant un salarié ne pouvant s'attendre " qu'à être tannéA "14. Chacune de ces échelles constitue un champ de bataille, avec ses contraintes et ses stratégies d'émancipation spécifiques. A chacune de ces échelles, le rapport social salarial s'exprime dans des collectifs, dans des solidarités et des conflictualités articulées les unes aux autres. A l'échelle de l'entreprise se jouent par exemple de nombreuses luttes pour l'emploi. A celui de la branche, par le biais des conventions collectives, se joue notamment le contrôle de la concurrence sur les salaires entre entreprises d'un même secteur. A l'échelon interprofessionnel et national se jouent l'essentiel du droit du travail et des mécanismes de socialisation du salaire propres à la sécurité sociale ou à l'assurance chômage. Le salariat est donc bien loin de la rémunération marchande de la force de travail du xixe siècle. Les champs de bataille se sont démultipliés tout en s'articulant les uns aux autres. Qu'on pense à l'importance des conventions collectives en termes de salaire et de conditions de travail pour articuler les combats dans l'entreprise et dans la branche. Qu'on pense au rôle d'activation ou au contraire d'éradication des logiques d'armée de réserve que peut jouer un mécanisme d'assurance chômage sur le marché du travail. Qu'on pense également aux mécanismes de sécurité sociale en matière de santé et de retraites en France. Ces derniers se sont constitués en salaire socialisé engageant dans une relation l'ensemble des employeurs et l'ensemble des salarié·es à l'échelle interprofessionnelle là où, dans un pays comme les Etats-Unis, la protection contre ces " risquesA " est demeurée liée à la politique salariale d'un employeur à travers des benefits par un salaire indirect mais non socialisé15. Qu'on pense également au salaire à la qualification personnelle qui émancipe largement les fonctionnaires des logiques de marché du travail. Comprendre ce que vit individuellement un salarié ou une salariée hic et nunc, suppose de prendre en considération l'ensemble de ces dimensions collectives articulées, les dynamiques historiques, les luttes, les stratégies et la façon dont l'état des rapports de force sur chacun de ces champs de bataille s'est cristallisé dans des institutions. S'il est un objet qui nous rappelle tous les mois que ce rapport social se joue à plusieurs échelles, c'est bien la fiche de paye. Elle est une symbolisation d'un salaire dit " individuelA " ou " directA " en même temps que le lieu d'un " salaire collectifA " et ce, à plusieurs égards. En effet, quant à sa détermination, le salaire est particulièrement redevable au collectif. Les forfaits salariaux négociés dans les grilles de classification des conventions collectives de branches et au niveau de l'entreprise ou encore les grades et échelons de la fonction publique sont des éléments structurants du salaire. A cet " individuelA " s'ajoute une autre dimension collective dont la fiche de paye fait état, c'est la part directement socialisée du salaire à une échelle nationale et interprofessionnelle via des cotisations ou des impôts. Ces échelles et institutions plurielles ne sont pas réductibles à une fonction de protection légitimée par une subordination mais sont beaucoup plus largement le produit des dimensions collectives et conflictuelles du salaire. Et l'on voit là, pour le dire en passant, ce qu'a d'inepte la lecture marchande et purement calculatoire du salaire, économicisme malheureusement dominant. Derrière la plus ou moins grande socialisation des salaires, c'est la question des modes de valorisation du travail qui se pose : à travers la qualification et la cotisation, le salaire n'a plus grand-chose à voir avec la fiction du prix du travail (cf. infra). Enfin, derrière la maîtrise ou non de cette socialisation, c'est aussi la bataille pour la maîtrise du travail concret qui se joue : c'est-à-dire maîtriser ses finalités, maîtriser la définition de ce qui doit être produit ou pas, maîtriser les moyens et les conditions de la production. Voilà tout ce qu'une lecture en termes de conflictualité et d'émancipation, et non seulement de protection/subordination, s'autorise à penser. Pourquoi une revue ? La revue Salariat est la poursuite du projet intellectuel et éditorial que l'Institut Européen du Salariat (IES) porte depuis sa création en 2008. La revue vise donc à accueillir des contributions qui prendront au sérieux les enjeux du salariat de façon ouverte et contradictoire. Il s'agit de promouvoir des analyses du salariat issues des sciences sociales au sens large (sociologie, science politique, histoire, économie, droit...) mais aussi des débats ou des controverses qui ne s'interdisent pas de tirer des conclusions politiques de ces analyses scientifiques16. La revue est ainsi largement ouverte à diverses disciplines et à une pluralité de registres de scientificité. Les travaux empiriques pourront ainsi côtoyer des réflexions théoriques. Des textes fondés sur un registre très descriptif pourront dialoguer avec des approches plus politiques défendant telle ou telle stratégie d'émancipation. Grâce à ce dialogue qu'on espère fécond, nous entendons mettre la production intellectuelle de la recherche au service du débat public et des luttes politiques et sociales qui se déploient dans les domaines du travail concret et de sa valorisation. Notre revue souhaite ainsi faire vivre le débat intellectuel, le dialogue interdisciplinaire et constituer un espace de liberté scientifique en autorisant des approches diverses et non formatées, ce qui suppose en particulier que le débat puisse s'épanouir le plus possible à l'abri - voire même en dehors - des enjeux relatifs au " marché du travailA " académique. Si la revue entend publier des articles d'auteurs et d'autrices dont on apprécie les qualités de chercheurs et de chercheuses, elle dénonce avec d'autres17 la fonction d'évaluation et in fine de classement des recherches et des chercheurs et chercheuses que les politiques de l'enseignement supérieur et de la recherche tendent de plus en plus à assigner aux revues. Nous souhaiterions - autant que possible - ne pas constituer un outil de légitimation supplémentaire d'un " marché du travailA " académique dans lequel de jeunes chercheurs et chercheuses - de moins en moins jeunes en réalité... - font face à une pénurie extrême de postes et sont soumis à la loi du " publish or perishA " ainsi qu'à l'inflation bibliométrique qui, paradoxalement, nuit à la qualité de la production scientifique. Cela signifie en pratique et entre autres, que nous voudrions rester en dehors de cette logique de " classementA " des revues et donc ne pas figurer dans les listes officielles des revues dans lesquelles il conviendrait pour les candidats et les candidates à la carrière académique de publier, les critères bibliométriques permettant aux évaluateurs et aux évaluatrices de se passer d'un travail de discussion sur le fond. Cela signifie également que la composition du comité de rédaction de la revue n'est pas dépendante du statut sous lequel les membres exercent leur qualité de chercheur·se : doctorant·e, titulaire ou non titulaire, chercheur·se dans ou hors des institutions de l'enseignement supérieur et de la recherche. Nous nous concevons ainsi comme un groupe ouvert à toutes celles et tous ceux qui souhaitent travailler à un projet intellectuel et proposer aux lecteurs et aux lectrices un contenu de qualité, intéressant à la fois d'un point de vue scientifique et d'un point de vue politique. En ce sens, nous proposons plusieurs rubriques pour apporter divers éclairages ou points d'entrée d'un même questionnement puisque nous avons l'objectif de structurer chaque numéro annuel autour d'une problématique commune. La rubrique Arrêt sur image invite à décrypter les enjeux derrière une image choisie, la rubrique Lectures et débats ouvre à la discussion avec des publications académiques ou littéraires et la rubrique Brut est un espace de mise en valeur de données empiriques diverses. Ces manières d'aborder la problématique générale du numéro sont complétées par des articles dans une rubrique plus généraliste, Notes et analyses. Mais ces rubriques, plus largement présentées sur le site web de la revue18, ne doivent pas constituer des carcans et elles sont elles-mêmes susceptibles d'évoluer. Droit à l'emploi ou droit au salaire ? Ce premier numéro est ainsi l'occasion de tester l'intérêt ou la validité de notre parti-pris analytique consistant à penser le salariat comme un concept de sciences sociales à vocation heuristique en dévoilant ses contradictions et ce faisant, des chemins possibles d'émancipation. La question générale que nous posons dans ce numéro est la suivante : qu'est-il préférable de garantir, un droit à l'emploi ou un droit au salaire ? Pour celles et ceux qui restent indifférent·es à une réflexion de fond sur les institutions salariales, cette question n'a pas lieu d'être car " qui dit emploi dit salaire et qui dit salaire dit emploi, garantir l'un, revient donc à garantir l'autre ". Une telle remarque passerait pourtant à côté d'un enjeu essentiel car il y a là - en première analyse et pour la période qui nous occupe, à savoir fin du xxe siècle et début du xxie siècle - deux voies d'émancipation salariale structurées autour de deux grandes familles de stratégies possiblesA : celles qui concourent à promouvoir l'emploi et notamment le plein-emploi et celles qui s'en départissent et promeuvent un droit au salaire ou font du droit au salaire un préalable. Ce débat, s'il est contemporain, n'est pas totalement nouveau et deux grandes organisations syndicales, la CGT et la CFDT s'en sont emparé avec leurs projets respectifs de sécurité sociale professionnelle ou de sécurisation des parcours professionnels. Il s'agit bien de projets différents dans lesquels l'emploi et le salaire ne recouvrent pas une même réalité. " EmploiA ", voire même " plein-emploiA " peuvent prendre des sens différents et leur éventuelle garantie ne dit rien de la nécessité du salaire ou de ressources au-delà de l'emploi précisément. La question posée dans le présent numéro est donc loin d'être anodine et c'est pourquoi nous y réfléchissons depuis une dizaine d'années19 et la remettons aujourd'hui sur le métier. Et de ce point de vue, l'expérience du confinement a été particulièrement révélatrice de ce que les différentes formes d'institutions du travail produisent en termes de droits salariaux, comme le met en lumière Jean-Pascal Higelé dans une note - révisée - de l'IES que nous publions ici.

10/2022

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Rémunération

Comprendre le bulletin de paie. 100 questions pour décrypter, analyser et expliquer un bulletin de paie, Edition 2024

Evolution de la structure du bulletin de paie simplifié, éléments de rémunération, primes et indemnités, durée du travail, absences, indemnités journalières de Sécurité sociale, prélèvement à la source... Une réglementation en constante évolution caractérise la paie des salariés en France ! Alors, comment mieux se repérer à travers ce labyrinthe, comprendre tous les calculs et, au final, les tenants et les aboutissants du bulletin de paie ? Actualisé et opérationnel, cet ouvrage est à jour de la loi de finances, de la loi de financement de la Sécurité sociale 2023 et des dernières publications du bulletin officiel de la Sécurité sociale. Il intègre également les évolutions de la loi Rixain modifiant les règles de paiement du salaire. Rédigé sous forme de questions-réponses simples et chronologiques, il aidera tout salarié à décrypter et mieux comprendre son bulletin de paie. DRH, managers, gestionnaires de la paie, ce livre vous permettra de répondre de manière claire et précise aux interrogations de vos collaborateurs.

03/2024

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Carrière et réussite

Un salaire sans rien faire (ou presque)

Et vous, que feriez-vous de votre vie si vous pouviez la gagner sans travailler ? Etes-vous contraint d'échanger votre temps contre de l'argent pour un employeur dont la politique et le comportement ne sont pas ou plus compatibles avec vos convictions ? Rappelez-vous une chose : chaque seconde écoulée est perdue à jamais. Pour changer la donne, vous vous dites sûrement qu'il faut faire des sacrifices. Peut-être même que vous vous privez déjà depuis des années. Ce livre ne va pas vous apprendre à devenir millionnaire grâce au Web, ni faire de vous le plus riche du cimetière. C'est un concentré de conseils simples et pratiques pour gagner plus d'argent et retrouver la maîtrise de son temps et de ses finances tout en réduisant son impact sur l'environnement. Il vous aidera aussi à vous poser les bonnes questions : quels sont mes vrais besoins et mes vraies envies ? Au fond, quelle est la vie dont je rêve et quels moyens puis-je mettre en oeuvre pour la vivre ?

06/2021

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Romans historiques

Félicité Tome 3 : Le salaire du péché

Au printemps 1885, la variole fait rage à Montréal. Cette maladie tue souvent, surtout des enfants, et laisse le visage des survivants grêlé de cicatrices. Pourtant, il existe un vaccin. Certains médecins le présentent comme le seul bouclier contre la contagion ; d'autres le rendent responsable de la maladie. Puis le clergé s'en mêle : Dieu seul octroie la santé ou la maladie, la vie ou la mort. La prétention des scientifiques de faire obstacle à la toute-puissance divine n'est-elle pas sacrilège ? Félicité et Phébée ne savent quelle attitude adopter et qui croire sur cette question. La plupart des Canadiens français refusent le vaccin, et quand le Conseil de Ville le décrète obligatoire, les émeutiers prennent le contrôle de Montréal plusieurs nuits d'affilée. Dans une atmosphère de désolation, l'idylle de Phébée se poursuit. Après une vie de misère, la sécurité et le bonheur viendront-ils enfin grâce à l'amour d'un homme ? Félicité, quant à elle, fait montre d'une force étonnante face aux épreuves que lui réserve toujours la vie à la grande ville.

12/2014

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Droit

La place des salariés dans l'entreprise

Cinquante ans après les accords de Grenelle qui ont acté la création de la section syndicale dans les entreprises, et au moment des débats autour de la loi PACTE ambitionnant de "mieux associer les salariés à la vie et aux résultats des entreprises", ces contributions du présent ouvrage, mettent en perspective les questions fondamentales que soulève la problématique de la représentation et de l'implication des salariés dans l'entreprise. Elles ont été pensées et organisées suivant la progressivité des formes d'association et de participation des salariés, de la verticalité vers davantage d'horizontalité, moins d'autoritarisme et peut-être plus de démocratie. Cet ouvrage offre ainsi des regards croisés sur les différentes modalités de participation et d'implication (financière, actionnariale, syndicale, directe) des salariés à la gouvernance de l'entreprise. Critique, il interroge la distinction habituelle de la répartition des pouvoirs entre détenteurs du capital et force de travail dans l'entreprise. Novateur, il envisage les salariés en tant que parties prenantes ou actionnaires, voire dirigeants d'entreprises dans certains cas, afin d'offrir une vision large du rôle qu'ils peuvent jouer. Ouvert, il permet une lecture pluridisciplinaire (droit et économie) et comparée (droit anglais) sur la place des salariés dans l'entreprise.

05/2019

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Droit privé

La responsabilité pénale de l'employeur. la responsabilité du salarié

Les infractions en droit du travail concernent en particulier les violations des règles de santé et de sécurité, le délit d'entrave, l'atteinte au droit conventionnel, les discriminations, le harcèlement moral et sexuel, le non-respect de l'égalité de traitement, ainsi que le travail illégal. L'employeur peut également voir sa responsabilité engagée pour avoir commis une infraction prévue par le Code pénal, telle que l'atteinte involontaire à la vie et à l'intégrité d'une personne. Il peut se voir reprocher une infraction au Code de la route, d'ailleurs il a l'obligation d'identifier les salariés auteurs de certaines infractions routières commises avec un véhicule de l'entreprise, sous peine d'une amende. La responsabilité pénale pèse sur l'auteur de l'infraction, en principe le dirigeant (chef d'entreprise). Une délégation de pouvoirs lui permet d'opérer un transfert de cette responsabilité : le délégataire, salarié de l'entreprise, doit alors être pourvu de la compétence, de l'autorité et des moyens nécessaires pour assurer sa mission. La délégation doit être limitée, précise et revêtir un certain degré de permanence. De son côté, la personne morale est responsable pénalement des infractions commises, pour son compte, par une personne physique la représentant. Les sanctions administratives sont prononcées dans certains cas précis par l'Administration du travail ou le préfet. Il est possible de recourir à des modes de règlements alternatifs des litiges, tels que l'avertissement pénal probatoire, l'ordonnance pénale en matière correctionnelle, la composition pénale, la comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité, et la transaction pénale. Enfin, des sanctions pénales classiques s'appliquent : des peines principales et complémentaires sont encourues par les personnes physiques et les personnes morales. Point spécial : La responsabilité du salarié Le salarié engage en principe sa responsabilité pénale s'il commet une infraction dans le cadre de son activité professionnelle. Sous certaines conditions strictes, le salarié peut également engager sa responsabilité civile en cas de dommage causé, à l'occasion de l'activité professionnelle, à l'employeur, à un autre salarié de l'entreprise ou à un tiers. Par ailleurs, le contrat de travail impose au salarié de fournir une prestation de travail qui est la contrepartie du salaire. La non-exécution ou l'exécution défectueuse de cette prestation engage la responsabilité contractuelle du salarié, au sens où celui-ci s'expose à des sanctions ou à la rupture du contrat de travail. Ce numéro annule et remplace notre précédente édition de janvier 2018

12/2023

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Retraite

La retraite des salariés du secteur privé. Quand, combien et comment ?

Notre système de retraite est particulièrement complexe : pas moins de 42 régimes existent aujourd'hui ! Il est régulièrement modifié : 7 réformes en 11 ans sans compter la future création du régime universel. La retraite, longtemps espérée, souvent désirée, parfois incomprise... Quelle est ma date de départ à la retraite ? Combien vais-je percevoir ? Suis-je éligible à une carrière longue ? Ai-je droit au minimum vieillesse ? Quelles sont les démarches nécessaires pour déposer mon dossier ? ... Opérationnel et illustré de cas concrets, ce guide répond à ces trois questions principales : quand, comment, combien ? Il présente avec clarté toutes les subtilités de la réglementation, pour vous aider à effectuer les meilleurs choix de carrière et à préparer activement votre retraite. Il permettra également aux professionnels des ressources humaines de maîtriser des notions complexes, pour avoir une vision précise et pratique de la retraite des salariés du secteur privé.

02/2021

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Sciences historiques

L'Aéronautique. Salariés et patrons d'une industrie française (1928-1950)

Des années 1950 à 1970, la France connaît un véritable miracle économique. Cependant, alors que le rôle de l'Etat s'accroît du fait de ses efforts pour moderniser l'économie, les relations ouvriers-patronat y restent plus instables et les ouvriers y sont plus radicaux qu'ailleurs en Europe de l'Ouest. Herrick Chapman soutient que le capitalisme d'Etat et la radicalité de la classe ouvrière en France allaient de pair et que l'un comme l'autre plongeaient leurs racines dans les événements tumultueux des années 1930 et 1940. Herrick Chapman concentre son étude sur une industrie qui fut clé en France de la crise des années 1930 à la guerre froide ; l'aéronautique. Tandis que les constructeurs et les fonctionnaires s'efforçaient de la moderniser, elle devint un bastion du parti communiste et l'objet de vives confrontations car les syndicats, les patrons et les responsables politiques s'opposaient sur la façon de mener la réforme industrielle. Cette dynamique créa un nouvel environnement dans lequel l'interventionnisme de l'Etat et la radicalité de la classe ouvrière se renforçaient mutuellement et, avant la fin de la guerre, une politique industrielle particulièrement conflictuelle s'était solidement implantée. S'appuyant sur des archives locales et nationales, Herrick Chapman analyse non seulement de quelle façon une industrie s'est transformée, mais aussi comment les Français ont réagi face au Front populaire, à la défaite de 1940, à l'occupation nazie, ainsi qu'au début de la guerre froide. Il apporte un éclairage nouveau sur des thèmes centraux de l'histoire française moderne tels que l'esprit d'entreprise à la française, les origines de l'interventionnisme de l'Etat, la réaction des ouvriers aux changements technologiques et le mouvement communiste.

09/2011

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Gestion de patrimoine

Epargner en vue du bien commun. L'investissement éthique

Epargner, investir, c'est ce que tout le monde fait ou presque, parfois sans le savoir. Mais peu d'entre nous ont intégré le fait que, ce faisant, ils influençaient le devenir de l'économie, et par là de la société. Peu à leur seul niveau, beaucoup avec les autres : les petits ruisseaux font les grandes rivières. Car le fait de mettre de l'argent ici plutôt que là a deux effets : cela envoie des moyens à certains plutôt qu'à d'autres, et cela envoie un message. Or l'épargne, c'est la matière première de l'investissement, et l'investissement, au niveau collectif, c'est ce qui façonne l'avenir. Epargner éthiquement, investir éthiquement, c'est donc tout simplement s'efforcer à son niveau d'influer sur la vie économique pour l'orienter dans le sens du bien commun. Voyons comment on peut s'y mettre. Epargner et investir , pourquoi faire ? Que faire de son argent ? On peut le consommer, le donner, ou l'épargner. Les trois sont indispensables, et en même temps les trois méritent réflexion. Que consommer et combien ? Que donner et à qui ? Et bien sûr, ce qui est notre propos ici, comment épargner ? La place de l'épargne tombe sous le sens à partir du moment où on a le souci de l'avenir : l'épargne, ce sont des ressources qui seront à notre disposition à l'avenir, quand le besoin pourra s'en faire sentir. Mais qui dit épargne dit investissement. Car il n'est pas question de garder de l'argent accumulé en billets, pas même sous forme de compte bancaire. Déjà, si on épargne en vue de l'avenir, c'est dans l'espoir que cette épargne fructifie, ou au moins pour en préserver la valeur. Et encore plus simplement, pour qu'elle soit sûre, toujours là et disponible ; si possible rapidement (ce qu'en finance on appelle la liquidité). Cela ne se fait pas tout seul, cela demande de l'effort et de l'attention. Même si comme on faisait autrefois et comme certains le font encore si vous stockez de l'or : qui le gardera ? qui le portera ? qui l'achètera en cas de besoin ? La question ne se poserait pas dans un monde irréel où les besoins seraient en permanence assurés par le système social. Mais en supposant même qu'il soit réalisable, ce qui est douteux, ce monde serait cauchemardesque : un monde sans liberté ni responsabilité, sans choix ni créativité, sans entreprise ni autonomie. Par contraste, il y a épargne parce que nous sommes dans un économie décentralisée, où chacune gère avec liberté les moyens qui sont à sa disposition ; cela vaut pour la consommation mais aussi pour l'épargne. Or en consommant plutôt un produit ou un service qu'un autre, non seulement nous faisons un choix pour nous-mêmes, mais nous envoyons un message au système commercial et par là à l'appareil de production. Il en est de même pour l'épargne. Comme notre épargne est ce qui, à travers le système financier, financera en partie appréciable l'investissement, c'est-à-dire ce qui permet de fabriquer l'appareil de production de demain, la destination de notre épargne contribue à orienter l'économie de demain - à son niveau, à sa façon, et avec d'autres facteurs. Il y aura donc en permanence une double dimension à notre épargne : vu de notre côté, ce sera un souci de fructification et de disponibilité en temps utile, notamment avec la recherche d'une certaine sécurité ; vu du côté de la société, ce sera une mise à disposition de moyens financiers qui nourriront l'investissement. Pierre de Lauzun a été directeur général délégué de la Fédération bancaire française et délégué général de l'Association française des marchés financiers (AMAFI). En parallèle, il a une activité d'essayiste, primé au niveau international (en 2015, prix de la Fondation vaticane Centesimus annus pour Finance, un regard chrétien). Il est l'auteur de nombreux autres ouvrages dont récemment Pour un grand retournement politique (Editions du Bien Commun, 2019), L'argent, maître ou serviteur ? (Mame, 2019), Dieu, le mal et l'histoire (Téqui, 2022).

04/2024

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Rémunération

Paye. Edition 2021

Ce dictionnaire rassemble en un seul ouvrage toutes les données juridiques, sociales et fiscales indispensables aux métiers de la paye (mentions du bulletin de paye, taux, assiettes, cotisations et prélèvements, indemnités, rémunération et primes, prélèvement à la source, épargne salariale, prévoyance, arrêts de travail, frais professionnels, avantages en nature, congés, etc.) Sa facilité d'accès alphabétique et sa précision en font un outil simple et complet à utiliser. Avec ses modèles de bulletin de paye, de nombreux exemples de calcul des tableaux récapitulatifs, une table analytique par grands thèmes et les adresses Internet utiles, il constitue une aide précieuse à l'établissement des payes

06/2021

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Economie

Histoire des salaires en France des années 1940 aux années 1960 (1944-1967). Analyse historique et économique d'un système salarial avancé

Les salaires français constituent entre la Libération et l'année 1968, une véritable sphère salariale élaborée à travers la généralisation des conventions collectives. Ils forment la majorité du revenu primaire des ménages, les deux tiers de la valeur ajoutée des entreprises et la moitié du PIB. Leur organisation est alors caractéristique de celle des pays libéraux avancés et leur croissance est rapide (4% par an). L'existence de modes d'ajustement pluriels (conventions collectives, politiques publiques de libéralisme dirigé, assurances sociales généralisées et juridictions prud'homales) tempèrent l'impression première de relations sociales tendues. Depuis les années 1980, l'érosion ou l'inflexion de ce système salarial à la fois libéral et social, qui a trouvé son apogée dans la haute croissance de 1950-1973, n'entame pas l'essentiel de son organisation.

01/2021

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Gestion des ressources humaine

Les outils des RH. Les savoir-faire essentiels en GRH, 5e édition

Cet ouvrage synthétique présente les outils indispensables aux principaux domaines de la gestion des ressources humaines. Emplois et compétences : analyser les emplois, bâtir un référentiel de compétences... GPEC et carrières : planifier les évolutions d'effectif, prévoir les besoins en RH, anticiper les licenciements... Recrutement : mener un entretien, sélectionner les meilleurs tests... Evaluation : construire un guide d'entretien, recourir au 360°... Rémunération : élaborer une grille de salaires, gérer l'épargne salariale... Formation professionnelle : bâtir un plan de formation, connaître les outils proposés par le législateur... Pilotage et audit social : construire des tableaux de bord, mener un audit... Cette 5e édition est entièrement refondue et actualisée, illustrée de nouveaux cas d'application et permet une mise en oeuvre immédiate.

02/2023

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Gestion

Les outils des RH. Les savoir-faire essentiels en GRH, 4e édition

Cet ouvrage synthétique présente les outils indispensables aux principaux domaines de la gestion des ressources humaines : Emplois et compétences : analyser les emplois, bâtir un référentiel de compétences... GPEC et carrières : planifier les évolutions d'effectif, prévoir les besoins en RH, anticiper les licenciements... Recrutement : mener un entretien, sélectionner les meilleurs tests... Evaluation : construire un guide d'entretien, recourir au 360°... Rémunération : élaborer une grille de salaires, gérer l'épargne salariale... Formation professionnelle : bâtir un plan de formation, connaître les outils proposés par le législateur... Pilotage et audit social : construire des tableaux de bord, mener un audit... Cette 4e édition entièrement refondue et actualisée est illustrée de nombreux cas d'application et permet une mise en oeuvre immédiate.