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Bandoulière

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Histoire internationale

SHALOM ! SALAM ! Un combat pour la paix au Prôche-Orient

Sur fond de Proche-Orient ravagé par la haine, une femme, une artiste, mène depuis trente ans un combat solitaire et obstiné au service du rapprochement des Juifs et des Arabes, des Israéliens et des Palestiniens. Shalom ! Salam ! est le récit insolite d'une existence audacieuse fertile en initiatives improbables et en rencontres inouïes. La guitare ou l'accordéon en bandoulière, Sara Alexander réunit les citoyens modestes comme les plus hautes personnalités des deux camps pour leur faire surmonter préjugés et rancœurs. L'auteur n'est jamais dupe de l'ampleur du défi. Son courage et sa passion de la paix forcent le respect et l'admiration. Son témoignage bourré d'humour et d'anecdotes, de relations exceptionnelles, de chagrin et d'espoir fou, se grave dans le cœur du lecteur comme une prophétie d'espérance. " Artiste visionnaire, à force de courage, d'amour et de talent, Sara désarme la haine. Au-delà des frontières, elle crie l'urgence d'aimer et dans chaque geste fait triompher la paix. A toi, sœur en musique et en espérance, Shalom ! Salam ! "

03/1999

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Poches Littérature internation

Le postier

Drôle, excessif, fantasque, féroce : le premier roman de Charles Bukowski. " C'était dans un bar miteux de L. A. comme on en fait plus. Maintenant, il faut que tout soit propre et aseptisé, même les chiottes et les caniveaux. Je ne sais plus à quelle tournée j'en étais arrivé, les verres vides s'entassaient sur le comptoir. Il devait être minuit, lorsque que le pochtron d'à-côté me sort " Tu devrais aller à la Poste, ils embauchent n'importe qui ! ". Me voilà donc à cinq heures du mat', L. A. s'éveille, un sac en bandoulière, prêt à embarquer pour une nouvelle tournée. Postier suppléant. En-dessous, il n'y a rien. Je suis le dernier maillon de la chaîne de distribution. Si les facteurs se portent pales, parce qu'ils ont trop bu la vieille ou qu'il pleut à averses, je deviens le seul, avec mes chaussures trouées, à affronter les éléments de la nature, les vieilles rombières aux bigoudis et les grosses rombières en peignoir ouvert, l'unique même pour acheminer la dernière étape du courrier. "

10/2020

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Chanson française

Je n'ai connu que des faciles

Nous avions vingt ans dans les années 70. Nous aimions alors la nouvelle chanson française, celle qui déferlait pour tout changer. Nous étions épris de chanteurs aux cheveux longs, la guitare en bandoulière, tout comme de leurs illustres anciens, Ferré, Brassens, Brel. Mais notre préférence allait à Julien Clerc. A dix ans, notre idole était Johnny ; à vingt ans, c'était Julien. Nous avons vécu notre jeunesse dans le sillon de 68 et pourtant celle-ci nous apparaît aujourd'hui comme un monde ancien révolu. Fans absolus de Julien dans sa période bénie où Roda-Gil écrivait pour lui, nous en avions fait notre héros néo-romantique. Voici donc l'histoire quelque peu romancée de Julien Clerc, de ses premières années de carrière au tournant de celle-ci, avec Femmes, je vous aime. Les personnages secondaires ne sont autres que les acteurs majeurs de la scène musicale française... A travers ces pages, laissez-vous conter l'histoire de ces hommes souhaitant allier excellence artistique et reconnaissance populaire, par un narrateur rattachant son histoire personnelle aux mélodies éternelles.

09/2021

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Actualité médiatique internati

Carnet de sante a porquerolles

Le médecin attitré de Porquerolles depuis de longues années a décidé de réaliser un ouvrage pour revenir sur cette expérience professionnelle si atypique. Il en résulte des anecdotes assez exceptionnelles mais aussi et surtout des tranches de vie saisissantes de sincérité, de simplicité et empreintes d'humour. Comme il le dit lui-même : "Sur cette île tout devient possible comme être sur les traces de Barberousse ou y croiser Zinedine Zidane. "... Au fil des ans Philippe Lentz est devenu quasiment un ami des familles de Porquerolles. Un médecin "à l'ancienne" au sens noble du terme avec la compréhension, l'écoute et la confiance en bandoulière. Capable à la fois d'expliquer comment soigner une piqure de méduse ou de taon mais aussi de dévoiler l'envers de ce décor paradisiaque qui a vu naître le tourisme et la Côte d'Azur. Page après page, l'auteur passe aussi en revue l'histoire de Porquerolles et les personnalités qui ont façonné la légende de ce lieu magnifique, très prisé l'été et dont les bienfaits climatiques ne sont plus à démontrer.

06/2021

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BD tout public

Balade au bout du monde - Cycle 1 - Intégrale 40 ans

La grande saga aventureuse et romantique de Makyo et Vicomte célébrée en intégrale Or. Arthis est un jeune photographe rêveur et peu à son aise sur la toile de fond pluvieuse du monde moderne. Un jour de spleen il décide de partir pellicules en bandoulière vers un étrange marais perdu dans la campagne. Un endroit dont le mystère et l'opacité lui semblent correspondre à son état d'esprit du moment. Au-delà du brouillard et des roseaux couchés il trouvera une très jolie jeune femme, photographe elle aussi. Mais également un royaume hors du temps, figé en plein Moyen-âge. Un Royaume dangereux. Cerclé d'une prison dont on ne s'échappe pas... Arthis voulait se balader au bout du Monde. Il va très vite le regretter... Initiée au début des années 80, La balade au bout du monde a connu un succès immédiat et jamais démenti. Née sous le double talent du verbe racé de Makyo et du romantisme impeccable de Vicomte, cette grande saga célébrée en intégrale Or laisse plus que jamais éclater toute sa richesse picturale et sa poésie.

04/2009

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Littérature française

Céphalophores

"Tous ceux et celles que l'amour a saisis, et qui s'en vont transis de la pensée de l'autre, ardés par le regard de l'autre, marchent ainsi en somnanbules. Ils ont la tête ailleurs, comme on dit. Leur front est resté lové dans la chaleur et dans l'odeur du cou de l'autre, appuyé contre son épaule. Ils, elles, portent leur tête en offrande à l'aimée, à l'élu, à moins que ce ne soit la tête de l'autre qu'ils, elles, portent ainsi en très secrète et tendre procession.
Oui, on a vraiment la tête ailleurs lorsqu'on est amoureux, - alors, quand c'est pour l'Eternel que l'on s'est enflammé, on a la tête infiniment ailleurs. On est un funambule, avec, en guise de balancier, son coeur en bandoulière et sa tête épanouie tel un bouquet de fleurs de mai. Tous ceux et celles que l'amour a ravis sont des céphalophores, des êtres en proie à une miraculeuse catastrophe". Sylvie Germain.

12/1996

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Sports

Slow Train. 30 échappées ferroviaires pour citadins en mal de nature

En tribu, en famille, en solo... Avec ou sans vélo : bienvenue à bord de SLOW TRAIN, un livre de voyage sur rail, pensé pour celles et ceux qui entendent sillonner l'Hexagone à leur rythme, sans plomber leur bilan carbone et leur budget, ni s'arracher les cheveux dans les embouteillages. Vive les petites lignes ferroviaires pour découvrir la France loin des autoroutes aseptisées et de la cadence infernale du TGV ! Partant du principe que "le but n'est pas seulement le but, mais le chemin qui y conduit", SLOW TRAIN propose trente échappées ferroviaires pour clochards célestes contemporains. A l'heure où les changements climatiques pèsent déjà sur notre quotidien, où l'on commence à pointer les ravages du tourisme de masse, découvrir la France à rythme ralenti nous offre plus de dépaysement que de sauter dans un avion ou un train supersonique. Entre guide et manifeste, ce livre donne une furieuse envie de larguer les amarres, et de composter son billet dans un état d'esprit slow travel, l'oeil en éventail, l'envie de déconnexion et de dépaysement en bandoulière.

04/2019

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Economie (essai)

Socialter N° 46, juin 2021 : Les cadres se rebiffent

IngeÌnieurs en rupture de ban, traders devenus militants eÌcologistes, hauts fonctionnaires infiltreÌs, ex-communicants s'improvisant neÌo-zadistes... On ne compte plus les exemples de cadres sup' qui, contre toute attente et souvent avec fracas, rompent avec la trajectoire doreÌe sur laquelle leurs brillantes eÌtudes les avaient placeÌs, parfois par refus de parvenir. AnimeÌe par une perte de sens professionnelle, une deÌreÌliction face aux peÌrils climatiques ou un sentiment d'injustice sociale, ce bloc rebelle peut-il jouer aujourd'hui un roÌle historique, comme jadis la petite-bourgeoisie et le proleÌtariat avaient su s'unir contre le pouvoir en place ? Ou ne porte-il en bandoulieÌre que les aspirations d'une classe frustreÌe, deÌsireuse d'agir dans son propre inteÌreÌt ? Dans ce dossier, Socialter examine les raisons, les modaliteÌs, l'ampleur et les possibiliteÌs de la reÌvolte des CSP+.

06/2021

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Photographie

Et ils créèrent Saint-Tropez

C'est à l'âge de 15 ans que Daniel Angeli découvre la photographie dons un labo de l'agence Dolmas à Paris. Fasciné par les vedettes qu'il développe dons l'obscurité, il décide de partir à leur rencontre, boîtier en bandoulière, il écume les soirées, croise des mythes tels qu'Aristote Onasis, Jacques Brel, John tenon, Giovanni Agnelli, Liz Taylor ou encore Edith Piaf . En 1967. il crée l'agence ANGELI et devient maître dans l'art des photos dites "people". Parfois posées, souvent volées, captant des moments de vie dont seule l'instantanéité garantie la vérité. Ce qui lui vaut une réputation quelque peu sulfureuse. Daniel Angeli a néonmoins su garder l'éthique indispensable ou métier de journaliste. il se définit comme un témoin de son temps. celui où les stars en étaient vraiment. A Saint-Tropez l'été, à Gstaad l'hiver, il enchaîne trente-cinq Festivals De Cannes et côtoie les grands de ce monde nouant parfois avec eux des rapports complices. Aujourd'hui, son enthousiasme et sa passion restent toujours intacts et donnent à ses photos, devenues pour certaines légendaires, une indéniable authenticité alliées à une grande sincérité.

06/2019

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Littérature étrangère

Or

"Je n'ai pas touché la chair nue d'une femme - pas délibérément en tout cas -, je n'en ai pas tenu une seule entre mes bras depuis huit ans et cinq mois, c'est-à-dire depuis que Gudrun et moi avons cessé de coucher ensemble, et il n'y a aucune femme dans ma vie, en dehors de ma mère, mon ex-femme et ma fille - les trois Gudrun. Ce ne sont pourtant pas les corps qui manquent dans ce monde et ils ont assurément le pouvoir de m'émouvoir de temps à autre en me rappelant que je suis un homme." Sans plus de réconfort à attendre des trois Gudrun de sa vie - et inspiré par sa propre mère, ancienne prof de maths à l'esprit égaré, collectionneuse des données chiffrées de toutes les guerres du monde -, Jonas Ebeneser se met en route pour un voyage sans retour à destination d'un pays ravagé, avec sa caisse à outils pour tout bagage et sa perceuse en bandoulière. Ör est le roman poétique et profond, drôle, délicat, d'un homme qui s'en va, en quête de réparation.

10/2017

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Littérature française

Spaghetti !

"- Macaroni, tête de radis ! - Spaghetti ! - Mangeur de pizzas ! - Sale rital ! - Votre devoir de mathématiques, cher monsieur : archinul ! De la camelote italienne ! Combien de fois dans mon enfance ai-je entendu ces insultes, proférées par des élèves ou par des professeurs, dans la cour de l'école ou en classe... Mon grand-père, Roberto Aventino, avait fui Nice et Marseille à cause de cela, des insultes et des coups. De mon temps, disait-il on me traitait de "maca", de "piaf", de "christo" [... ] C'était étrange, cette enfance traversée avec en bandoulière la honte de porter le nom qui était le mien et la honte d'assumer mes origines. Il m'a fallu une cinquantaine d'années pour accepter ces racines qui me constituent, ce passé qui m'a fabriqué. Pierre Milza écrit qu'il est un "migrant, inconfortablement posté entre deux cultures cousines et pourtant dissemblables". Modifiant son propos, je peux aujourd'hui affirmer que je suis un migrant, confortablement posté entre deux cultures cousines et pourtant dissemblables. Sans doute parce que j'ai créé une troisième culture qui n'appartient qu'à moi". Gérard de Cortanze.

09/2005

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Littérature française

L'Enfant rivière

Il y a six ans, l'enfant a disparu. Zoé ne l'a quitté des yeux que quelques minutes, occupée à peindre la coque du bateau, mais voici son fils envolé. On a dragué le cours d'eau, étudié les courants, cherché en aval, la rivière n'a pas rendu le corps de l'enfant. C'est peut-être ce savoir amérindien ancestral qu'elle porte en héritage ou un instinct maternel féroce mais Zoé le sait, Nathan ne s'est pas noyé. Il vit, quelque part. Elle est persuadée que son fils se cache parmi les migrants qui ont gagné le Canada, poussés par le réchauffement climatique et la chute des Etats-Unis. Alors elle le cherche. Jumelles au poing, fléchettes tranquillisantes et attirail de chasse en bandoulière, elle arpente les paysages sauvages pour traquer les invisibles de la forêt. Sur les bords de la rivière des Outaouais, dans un monde où la nature a repris peu à peu ses droits et ne cesse de clamer sa puissance, L'Enfant rivière nous conte l'histoire d'une quête et d'un combat. Celui d'une mère prête à tout pour retrouver son enfant et comprendre qui elle est.

01/2023

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France

Envie de sérénité. 600 lieux coups de coeur en France

Nous sommes de plus en plus nombreux à fuir le chaos des villes et les sites touristiques surpeuplés pour goûter à des moments d'harmonie, loin du bruit et de la fureur. Souvent, le voyage est un ferment nécessaire, un déclencheur pour accéder à la sérénité. La découverte et le dépaysement forment alors un merveilleux terreau, propice aux instants paisibles et au ressourcement. Mais l'air des cimes ou celui du littoral ? La campagne ou la ville (la ville offrant tout de même d'exquis moments de sérénité à ceux qui savent prendre son pouls) ? La nature ou l'architecture ? Les routes ou les sentiers ? Dans ce guide touristique et patrimonial, l'auteure nous fait découvrir des lieux pour la plupart méconnus, à l'écart des grands flux, qu'elle a dénichés au cours de ses pérégrinations dans toute la France et qui invitent à la rêverie ou la méditation, à la joie ou la paix profonde. Tous ont en commun la beauté et méritent d'être découverts appareil photo en bandoulière avec ceux qui nous sont chers, pour des moments de bonheur partagé. Ce sont ses six cents coups de coeur.

03/2021

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Littérature française

Des mails et moi

" - Raconte un peu comment va la vie pour toi ? - Hé bien Lara Croft a troqué son short, jarretière et coutelas, contre un déguisement de ménagère de moins de 50 ans qui a encore braqué tous les supermarchés aux alentours afin de nourrir sa portée. Les enfants sont revenus, et les rappels à l'ordre, musclés pour certains et lassants pour d'autres, ont repris (j'aurai peut-être dû garder le coutelas finalement...) - Sois forte Lara. As-tu essayé de les droguer... ? - Ou alors laisser traîner des tapettes à souris géantes avec du Nutella ? " Le lâcher d'oie blanche dans la jungle du célibat après 40 ans, s'accompagne inévitablement de quelques errements affectifs post-traumatiques. Surtout avec trois pré-adolescents en bandoulière. Puis, un jour, une rencontre... La rencontre. Premier mail d'une longue série, romantique, drôle et spontanée. La sincérité ayant toujours été de mise, nous nous sommes livrés l'un à l'autre, bien avant l'échange des corps et des baisers savoureux. Je vous livre nos confidences comme on partagerait un excellent vin avec des amis, comme on renaît après l'enfer, pour célébrer la vie et l'amour de la vie !

11/2013

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Littérature française

Nos mots croisés

Il y a Paris, il y a des rencontres, il y a Rome, le Mexique, les routes qui ne finissent jamais, il y a la musique, les rêves en bandoulière, il y a ce mois de mai, ces espoirs d'un autre monde, il y a vous. Il y a notre rencontre, le fil ténu d'une conversation qui nous emmène toujours plus loin, il y a nos yeux face à face qui en disent autant que nos lèvres, il y a vos souvenirs et mes doutes, ma fièvre et vos sourires, cet échange entre nous. Parfois, dans certains lieux, on sent qu'il se cache une histoire, une personnalité ; on sent qu'il y a une âme derrière les moindres choix, une vie qui se promène dans l'espace en toute liberté. Pourquoi l'Alcazar ? Pourquoi cet homme-là ? J'ai regardé la feuille arrachée à mon carnet de notes : cinq ou six dates peut-être et des mots griffonnés. Des mots comme les titres d'une aventure sans cesse recommencée, comme des nouveaux départs, des vies superposées... Des titres de chapitres ; déjà je le savais.

04/2009

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Philosophie

Entre chemins et variables. "Inexprimer l'exprimable"

L'écriture est la figure du mouvement - tout en étant elle-même en mouvement - "vers l'objet déclaré de sa recherche ". Pour voyager entre l'objet et le concept, il va falloir d'abord contourner l'îlot que peut représenter une " idéologie constituée" afin d'appréhender les travers auxquels peut conduire sa dimension polémique ; et ensuite saisir son caractère d'Archipel à sillonner et pas simplement à survoler. Donc ça ou cela exige une démarche, une distance et un écart dans un langage et un style qui ont vocation de le spécifier sans forcément le sceller. Question d'ouverture, de "démarque" et/ou de transgression ? Tout écart, comme toute distance, institue tout un champ à traverser, à piocher et à bêcher. Mais comme chacun le sait, il est indispensable d'avoir en bandoulière cette arme sans nom, à double tranchant : la critique et l'autocritique. Carré, rectangle ou cercle (rotondité jusqu'au " point inertiel de référence ") ? Tous trois ensemble, parce que tout le reste, des formes, semble ne représenter que les synonymes de leurs propres décompositions ou de leurs interférences, lieux de leur jointure, points sur lesquels on tire pour changer les formes à notre guise...

02/2018

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Littérature française

Le pain de mon père

1962 : Pierre, poussé par l'histoire, quitte Guyotville le village d'Algérie où il est né. Jeune conscrit, il largue les amarres d'une vie heureuse et insouciante. Il part à la conquête de la métropole, avide de découvrir la France qui hante ses rêves. Sa deuxième vie sera là, où il assouvira sa passion de cultures et de rencontres. 2006 : Appel irrépressible, Pierre fait le chemin à l'envers et revient sur les traces de sa jeunesse avec deux amis de son village. Commence alors une épopée haletante, tout ce passé enfoui rejaillit. C'est un déferlement de retrouvailles chaleureuses, émaillées d'anecdotes truculentes, hilarantes, picaresques, tendres et émouvantes. On est bouleversé par l'accueil enflammé des amis retrouvés. On n'a rien oublié de l'enfant turbulent et frondeur "faisant partie de la famille" du fils du boulanger. Pierre, l'humour en bandoulière, nous fait aimer ce coin d'Algérie, niché entre soleil et mer, exhumé de sa mémoire miraculeusement intacte. Le pain de mon père est un hymne enthousiaste, joyeux et espiègle à l'amitié, à l'enfance retrouvée par la puissance du souvenir gravée sur fond de bonheurs tendres.

07/2018

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Littérature française

Un juif en cavale

Temporairement revenu des angoisses d'un exil complètement à l'Ouest sous le ciel mauve de Vancouver (Loin de quoi ?) et miraculeusement réchappé d'une rocambolesque prise d'otages parisienne (La Métaphysique du hors-jeu), le "juif impossible" Simon Sagalovitsch atterrit à Tel-Aviv où l'attend sa pire épreuve : vivre parmi les siens. Pessimisme et mauvaise foi en bandoulière, Monika (sa sémillante Batave) au bras, notre sombre héros aborde les rivages de la maturité en se confrontant aux contradictions de la Terre promise - qui valent bien les siennes. Trimballant son atavique mélancolie, son single malt et ses anxiolytiques sur les plages alanguies de Jaffa, le voilà qui contre toute attente cède aux charmes de l'improbable dolce vita israélienne, bon voisinage et honnête football amateur, et renoue le dialogue, non seulement avec son prochain, mais aussi avec l'Autre Empoté dont l'assourdissant silence pendant la Shoah n'a pourtant jamais cessé de le hanter. Dernier round bravache et doux-amer où Sagalovitsch (auteur et personnage) laisse affleurer sa récalcitrante tendresse pour ses frères humains, Un juif en cavale a le goût unique des adieux annoncés, des joies tristes et des blessures apprivoisées. Et l'élégance des comédies désinvoltes. Drôle et fatal.

02/2013

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Récits de voyage

Toujours lost in Jérusalem - Edition nouvelle revue et augmentée 10 ans après.

Une balade ludique, touristique et culturelle. Prenez une jeune femme normale, parisienne, blogueuse, réalisatrice de documentaires télévisuels et mère de famille, curieuse du monde et des autres, mais pas particulièrement calée en histoire des religions et encore moins en sciences politiques. Préparez-lui une petite valise rose et lâchez-la dans Jérusalem, avec sa fillette qui n'a ni sa langue ni son esprit d'à-propos dans sa poche et vous avez Lost in Jérusalem... Que comprend-on de cette ville quand on n'en a pas les codes ? Quelles rencontres peut-on faire quand on se promène librement avec sa candeur en bandoulière ? Qu'apprend-on sur soi-même quand on évolue dans le plus grand bain de spiritualité au monde ? Initialement publié en 2013, Lost in Jérusalem devient Toujours lost in Jérusalem. Neuf ans plus tard, Katia Chapoutier est retournée dans la mythique cité biblique où elle s'étonne à nouveau avec humour de l'inextricable complexité de la ville. Entre chroniques rieuses et carnet de route, Toujours lost in Jérusalem offre un regard décomplexé mais jamais simpliste sur la " ville trois fois sainte ". De quoi émouvoir les amoureux de Jérusalem, passionner ceux qui envisagent de s'y rendre et donner envie aux voyageurs immobiles qui aiment lire en s'évadant autrement.

06/2022

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Littérature néerlandaise

Le Saint

Les captivantes mémoires picaresques de Donatien, qui deviendra saint Dieudonné de Metz, personnage aussi peu fiable qu'irrésistible Donatien est né l'année de la Révolution française. Avide de gloire et de reconnaissance, opportuniste impénitent, il mobilise ses talents et sa fourberie pour tirer le meilleur parti des vicissitudes de l'existence humaine. Tour à tour apprenti charron-forgeron dans le Pas-de-Calais, déserteur de la Grande Armée ou assistant d'un aristocrate géographe, il traverse la vie avec toujours en bandoulière un charme immuable, un appétit insatiable pour les défis et une inventivité sans limites. Il rencontre ainsi des contemporains comme Victor Hugo, participe à l'élaboration de l'échelle de Beaufort, contourne le cap Horn au cours d'une expédition démente, sans cesser d'être adoré tant par les femmes que par les hommes. Sa quête intransigeante du bonheur remet en question notre sens de l'éthique, jusqu'à bousculer les frontières fluctuantes de notre identité : tantôt il se fait appeler Donatien, tantôt Donatienne. Et, suprême ironie, il parviendra même à entrer dans l'histoire comme saint Dieudonné de Metz. Avec Le saint, Martin Michael Driessen signe un roman picaresque audacieux, plein d'esprit, mené de main de maître.

03/2022

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Littérature française

Quelque chose en moins... ou en plus

On ne nait pas femme, on le devient. Dix jours déjà. Dix jours sans soleil, mais sans l'ombre d'un regret. Dix jours que j'ai quitté Marseille pour Paris où je savais avoir rendez-vous avec mon destin. Dix jours que j'ai dit au revoir à mon enfance, que j'ai quitté définitivement ce déguisement de garçon dont on m'avait affublée. Dix jours que j'ai abandonné l'idée de marcher dans les chaussures d'un autre. Née garçon à Marseille, Galia Salimo narre les débuts exaltants et truculents de sa vie de reine des nuits parisiennes. De la capitale festive des années 1970 aux scènes du monde entier - Singapour, Hong Kong, Sydney, Hiroshima... -, elle raconte tout : les quartiers chauds d'Anvers, les palaces de Djakarta, la concurrence entre artistes transformistes, ses amitiés et ses amours, les shows et leurs coulisses chez Madame Arthur, au Carrousel et à l'Alcazar... On s'amuse, on sourit, on s'émeut aussi lorsqu'elle évoque la diffi cile recherche de sa véritable identité. Le rire au bord des larmes, l'humour en bandoulière, bravant les tabous et les diktats de la société post soixante-huitarde, en dix ans, la chenille s'est transformée en un papillon persuadé... que rien n'est impossible.

05/2022

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Sociologie

Au fil du rail. L'Amérique des hobos

1980. Ted Conover est un jeune étudiant en anthropologie de vingt-deux ans lorsqu'il se décide à partager la vie des "hobos", ces sans-domicile itinérants américains. En leur compagnie, il avale des milliers de kilomètres de rail dans des trains de fret, avec pour seul bagage un sac de surplus de l'armée en bandoulière lesté d'un bidon d'eau. Fuyant une vie de confort, il va ainsi parcourir les Etats-Unis quatre mois durant, "brûler le dur" et multiplier les rencontres inoubliables avec ces compagnons de la marge. Vivre avec eux, partager les casse-croûte, les bagarres, les galères et les coups de gueule, et apprendre à se cacher des "bouledogues", ces flics postés à chaque intersection pour expulser les "trimards". Avec une humanité profonde qui fait la peau aux clichés, Ted Conover nous entraîne sur la route. Il nous livre un document historique sur un monde aujourd'hui révolu, mettant des mots sur ces visages qui peuplent l'asphalte, sur la violence, la philosophie et l'esprit de l'errance. A mi-chemin entre Into the Wild de Jon Krakauer et Sur la route de Jack Kerouac, Au fil du rail, reportage inédit en France, est un modèle de journalisme "undercover".

02/2024

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Histoire ancienne

La tour de Babylone. Que reste-t-il de la Mésopotamie ?

Si l'on en croit Franz Kafka, il ne subsisterait de l'antique Mésopotamie qu'une fosse, une empreinte négative, autrement dit rien ! Elle a existé, cependant, et elle existe toujours. D'aucuns l'ont rencontrée. Boris Vian en parle avec enthousiasme, dans L'Automne à Pékin, même s'il lui préfère un autre nom, celui d'Exopotamie. L'autobus 975 y conduit. On y mange des sauterelles. On y fait des fouilles archéologiques. On y construit une ligne de chemin de fer. On y fait l'amour. Ce livre se veut un voyage à travers le temps et l'espace, la Mésopotamie en bandoulière. Il donne à voir l'image que s'en sont faite les hommes de lettres, les artistes et les érudits, mais aussi le public, en Occident et en Orient, depuis l'Antiquité jusqu'à nos jours. Avec la redécouverte scientifique de la Mésopotamie, son écriture cunéiforme et son architecture de terre, par les archéologues et les épigraphistes, au cours du XIXe siècle, cette image subit une profonde modification. Au passage, le mythe biblique de la tour de Babel, tout particulièrement, est revisité. Où l'on voit que la Mésopotamie accompagne le XXe siècle dans ses errances. Si elle n'offre pas de recettes pour résoudre : les problèmes du monde contemporain, elle apprend toutefois à envisager autrement le rapport entre soi et le monde.

10/2003

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Littérature française

Nuit d'épine

La nuit, chacun la voit, la vit, la sent, l'apprivoise à sa manière. De celle de Guyane, trouée d'un faible lampadaire sous la lueur duquel enfant, à la faveur de la moiteur et du silence, elle allait lire en cachette, à celle qui lui permettait de régler ses comptes avec les péchés capitaux que les religieuses lui faisaient réciter dans la journée, la nuit a souvent été, pour Christiane Taubira, une complice, une alliée, une sorte de soeur intime, un moment particulier. C'est la nuit des chansons qu'on adore et dévore, la nuit du sommeil qui refuse qu'on annonce la mort d'une mère, la nuit des études passionnées et des yeux en feu à force de scruter les auteurs sacrés, la nuit qui ouvre sur les petits matins des métros bougons et racistes. C'est aussi la nuit des militantismes, de la Guyane qui se révolte, des combats furieux à l'Assemblée autour du mariage pour tous — un cathéter au bras et le courage en bandoulière. C'est enfin la nuit d'un tragique vendredi 13, bientôt suivie de celle où l'on décide d'un adieu. Ces nuits des espoirs, des questions, des inquiétudes parfois, des colères aussi sont un roman du vrai. Un récit littéraire où l'auteur montre que la vie est souvent plus forte, inventive, poétique, envoûtante, dure, terrible que bien des fictions.

09/2019

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Littérature étrangère

Personne ne disparaît

Un soir, à la volée, conversation mondaine, un inconnu vous propose de profiter de sa chambre d'amis, si un jour vos pas vous entraînent vers chez lui. Et vous voilà dans un avion pour le bout du monde, toutes amarres larguées. Pour Elyria, qui plaque tout sans prévenir personne, c'est une tentative d'évasion très directement dirigée contre la réalité. Même si elle sait que, d'après les critères en vigueur, elle peut cocher toutes les lignes de la check-list - mari, travail, appartement, mère indigne - et s'estimer heureuse, fermer les yeux sur la banale, insipide, parfois tragique médiocrité des choses est au-dessus de ses forces. Ainsi, regard écarquillé et logique extrêmement personnelle en bandoulière, la jeune New-Yorkaise atterrit à Wellington, Nouvelle-Zélande, pour rejoindre la ferme isolée où se trouve ladite chambre d'amis, à l'autre bout de l'île du Sud. Expérience de vertige introspectif en autostop, Personne ne disparaît prend la tangente au pied de la lettre : trajectoire intérieure vouée à se mordre la queue (car partout l'on s'emmène avec soi), c'est aussi un envol, jalonné de rencontres improbables et de rendez-vous manqués, entre paysages grandioses et bords de route anonymes. Sur la douloureuse déception d'être soi, le souffle court des promesses et la séduction du précipice, le premier roman de Catherine Lacey fait retentir une voix inoubliable, d'une originalité radicale et d'une drôlerie inespérée.

02/2016

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Actualité et médias

Au nom du frère

Il n'y a pas de grand homme pour son valet de chambre, assurait Hegel. Mais il est parfois des héros qui demeurent des héros, même pour leurs frères de sang. Cédric et Damien, ses deux frères cadets, ont ainsi entrepris de raconter à la première personne du pluriel leur "Arnaud" . Leur livre n'est pas une biographie exhaustive, il est beaucoup plus que cela : il saisit au fil de la mémoire fraternelle et de dizaines d'épisodes dont ils furent les témoins privilégiés, et souvent les complices, la naissance et l'affirmation d'une vocation héroïque. Bien sûr, le héros ne se révèle tel que dans le péril, le courageux n'est pas courageux par nature mais dans l'action, le brave ne porte pas sa bravoure en bandoulière car elle n'existe qu'en actes. Et pourtant, il est possible de comprendre comment s'est forgé un homme qui a su honorer, au moment décisif, ce rendez-vous auquel toute sa vie l'avait préparé. Un héros pour qui importait plus que tout la fraternité. Celle qu'on éprouve envers ses frères, celle que lui imposait sa foi catholique ("Vous serez comme des frères") ou son idéal maçonnique (et ses discussions avec ses autres frères, ses compagnons à l'armée et dans la gendarmerie), celle enfin de la triade républicaine au fronton des bâtiments publics. C'est pourquoi la parole de Cédric et Damien Beltrame est si précieuse et si éclairante.

01/2019

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Photographie

Journey man

" Je suis de la génération des années cinquante, j'ai cru à cette idée du photographe "engagé" que m'avait inspirée le travail de Lewis Hine comme W. Eugene Smith. J'ai cru que nos photos pouvaient faire une différence, qu'elles pouvaient corriger les torts et les injustices, qu'il suffisait d'exposer la vérité pour rectifier le mal. " Durant quarante années, Thomas Haley a arpenté le monde avec ses boîtiers argentiques puis numériques en bandoulière. Ce fut les Philippines en 1983, la catastrophe de Bhopal en 1984, la guerre civile au Soudan en 1986, la Corée et Panama en 1988, la Chine en 1989, la chute du bloc de l'Est dans la décennie 1990, le Rwanda en 1994 et la guerre de Bosnie, les guerres du Golfe et la campagne de Lionel Jospin, les Etats-Unis, Jérusalem, l'intifada, les printemps arabes. Autant de billets d'avion que d'images déclenchées sous l'oeil sensible de cet artiste photographe. Tom a vécu les grandes années de l'agence Sipa avec son créateur mythique Goksin Sipahioglu, une époque où la photographie de presse était attendue sur toutes les tables des rédactions mondiales. Et puis... aujourd'hui où la planète a pour slogan Snapo ergo sum ("je snapshote, donc je suis"), il décide de nous livrer ce travail avec beaucoup de recul qui mêle son histoire de famille à la grande Histoire.

09/2017

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Littérature arabe

Yalo

Yalo a grandi comme une bête sauvage dans le Beyrouth des années de la guerre civile. Etranger à tout, il se retrouve à défendre un pays qui n'est pas le sien, à l'instar de ses congénères, descendants de la minorité syriaque venue de la Jezireh. Intégré dans un gang sans foi ni loi, vêtu été comme hiver de son long manteau noir, le fusil en bandoulière, il surgit dans les bois parmi les couples qui s'y rencontrent à la faveur de la nuit. Les hommes, effrayés, prennent la fuite en toute hâte, abandonnant leurs compagnes entre ses bras. Jusqu'au jour où il tombe amoureux de l'une de ses victimes qui, lassée de ses assiduités, finit par le dénoncer à la police. Dans l'univers impitoyable de la prison, on torture Yalo pour lui faire avouer des crimes qu'il n'a pas commis. Acculé aux extrêmes limites de la souffrance au point de se dédoubler, il s'extrait de son corps sous la forme d'un aigle, puis d'un spectre qui se pose sur le bord de la lucarne pour assister aux séances de torture que subit son jumeau. Seule la confession qu'il est forcé d'écrire, mais qu'il ne cesse de récrire, lui permet enfin, devenu l'auteur de son propre personnage, de renaître à la vie sous les traits d'un autre - ou du véritable - Yalo...

02/2004

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Littérature francophone

Sous la tente - du passe au futur

"Cet ouvrage porte le sceau de l'exception tant il n'est pas de coutume de voir dans la littérature une sécrétion d'encre dont la substance est l'arbre généalogique d'une famille. L'auteur a un grand mérite pour avoir réussi à perpétuer sa lignée jusqu'à la deuxième génération des petits-fils, mais aussi pour l'originalité de l'oeuvre et la nouveauté du genre. Justement, l'auteur lui-même en a fait la confidence : la famille, première des sociétés, puise sa sacralité dans le maintien de son unité, son identité, ses réalités. Nous conviendrons avec l'auteur de l'importance de la généalogie d'une famille du fait qu'elle permet à la génération actuelle de connaître toute sa lignée, mais surtout aux générations futures d'avoir un repère afin de ne point s'égarer, car l'auteur, aujourd'hui de loin le plus âgé de sa génération, est celui qui connaît toute sa lignée mieux que quiconque. Ce livre est, au demeurant, un bréviaire que tout membre de la famille Maryl Diop Sow - Ndobou Sène et de celle de Khady Sène, devrait porter dans la gibecière de sa conscience, chose très difficile, ou alors avoir dans un coin de sa maison, le porter en bandoulière, pour en faire un fil conducteur en même temps un liant entre nous et notre famille." Extrait de la préface de Mme Ndèye Rama Cima Cissé.

12/2021

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Littérature française

Le trou de mémoire & Débris d'innocence. Occidendum...

Le trou de mémoire : Devançant leurs maîtres, deux teckels se sont élancés en direction du petit bois dont les frondaisons commencent à roussir. L'automne est magnifique et, malgré l'heure matinale, le soleil est déjà haut dans le ciel, inondant de lumière cette région des Haute-Marne, près de Chaumont, endroit que quatre chasseurs ont choisi comme le théâtre de leurs exploits. Equipés de grosses bottes en caoutchouc, fusils en bandoulière, ils progressent lentement le long de la D 370, à mi-chemin entre les petits villages de Verbiesles et de Laville-aux-Bois. En tête du cortège marche Eric Fouchet, un homme de 41 ans qui ne perd pas du regard les deux chiens. Soudain, il remarque que ceux-ci se sont arrêtés net, museaux pointés en avant, tendus, comme à l'affût. Que se passe-t-il ? Débris d'innocence : Depuis la tombée de la nuit, une petite pluie glacée arrose la ville de Tremblay-en-France. Depuis des heures, les gens ont déserté les rues. Pourtant, malgré les apparences, l'avenue du Parc n'est pas tout à fait déserte. Dans la pénombre, une silhouette masculine s'affaire. C'est celle d'un nommé Laurent Summer. Il est grand, puissant, taillé en armoire à glace, vêtu d'un jean, d'une chemise mauve et d'un blouson de cuir vieilli. Le visage massif, cheveux châtains, mâchoire carrée ombrée d'une barbe légère, il a des yeux bleus où brille une lueur étrange... Deux histoires à découvrir en l'ancre de votre ultime conviction.

05/2020