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"Le fils du traître". Sur les traces d'André Revy de l'infamie à la réhabilitation

Extraits

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Poches Littérature internation

Sur la trace de Nives

Erri De Luca accompagne la célèbre alpiniste italienne Nives Meroi dans l'une de ses expéditions himalayennes. Réfugiés sous la tente, en pleine tempête, ils engagent une conversation à bâtons rompus. Le personnage de Nives, symbole de force et de courage, est l'occasion pour l'auteur d'explorer plus avant les chemins de son écriture et de dévoiler au lecteur d'autres facettes de son parcours à la fois humain et littéraire.

10/2008

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Récits de voyage

Le voyage salvateur en Afrique. Le périple d'une mère sur les traces de son fils disparu

Marinette a 77 ans quand elle décide de partir en Afrique sur les traces de Frédéric, son fils disparu. Ce fils qui, ne trouvant pas de sens à sa vie, dépendant de la drogue, dans un dernier espoir de guérison, était parti réaliser, seul, un projet humanitaire. Elle partage cette expérience incroyable qu'elle a vécue, proche de ce peuple qui a su reconnaître en son fils un leader et un homme au grand coeur. Le voyage salvateur en Afrique est une invitation à ne jamais baisser les bras et à toujours croire en la vie.

01/2021

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SHOAH,PERSECUTIONS ANTISEMITES

A l'ombre d'un papillon de nuit. Un archéologue sur les traces de la Shoah

170 000 Juifs ont été assassinés dans le centre d'extermination nazi de Sobibór, situé dans la Pologne actuelle. Après le soulèvement du 14 octobre 1943, le centre a été démantelé ; les preuves ont été effacées. La nature a repris ses droits et de Sobibór ne restaient qu'une forêt et les photographies prises par l'officier SS Johann Niemann, qui ne montrent pas de chambre à gaz, ni de train, ni de gens, ni de terreur. En 2014, un groupe d'archéologues a retrouvé et mis au jour les fondations des chambres à gaz du centre d'extermination de Sobibór, démontrant ainsi que le sol demeurait un témoin silencieux. Ivar Schute, qui a mené des fouilles archéologiques dans les camps de concentration et d'extermination d'Amersfoort, Vught, Westerbork, Bergen-Belsen, Treblinka puis Sobibór, faisait partie de l'équipe. Ce livre est le récit de ses fouilles mais aussi des nombreuses questions qu'elles ont soulevées.

10/2023

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Thèmes photo

La route du sel. Sur les traces des caravanes

Azalaï, c'est le nom que donnent les Touaregs à ces mythiques caravanes de dromadaires qui traversent le désert depuis des siècles. Beaucoup de familles dépendent de l'industrie du sel pour vivre. Malgré les dangers du Sahara et la guerre, les mineurs continuent de se rendre dans les mines de Taoudéni, à 750 km au Nord, pour y déterrer ce que l'on appelle là-bas l'or blanc. Six mois de travail entre Octobre et Mars, loin de leur famille, loin de la civilisation et du confort qu'elle apporte. Lazare Mohamed est un artiste photographe franco-algérien basé à Paris. Son travail s'articule autour des zones de conflits qu'il choisit de représenter en s'inspirant de la culture, de l'histoire et de l'art du pays dont il parle. Il a présenté ses photographies dans divers institutions dont l'institut du Monde Arabe de Paris ou encore l'Institut Tomie Ohtake à Sao Paulo au Brésil et a été lauréat de divers bourses et prix.

11/2021

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Littérature française

Sur les traces de l'homme à qui l'on a coupé les pattes

Entouré de collègues et supérieurs solidaires et sympathiques, Eric est épanoui dans son travail lorsque brutalement la direction déshumanise toute la chaîne. Reclassements forcés, responsabilités retirées, congés annulés. La pression monte de jour en jour. Eric perd peu à peu pied. Même la préparation de marathons, pourtant sa grande passion, ne parvient plus à lui faire oublier les pressions et les coups bas de sa hiérarchie, qui ne sont pourtant que le début d'une spirale infernale. Avec un réalisme sobre et subtil, Eric Sandraz livre un témoignage glaçant sur un fait de société bien trop souvent passé sous silence : le burn-out.

12/2015

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Poésie

Sur les traces d'Empédocle

Ce livre de 60 poèmes de Pascal Amel et de 60 gravures en noir' et blanc de Najia Mehadji est un jeu. Celui de "la création du monde" (de la voie lactée aux chimpanzés) correspondant aux huit catégories classiques de la Nature : le Cosmos, la Terre, le Minéral, le Végétal, les Invertébrés, les Vertébrés, 'les Mammifères du Nord, les Mammifères du Sud. D'après le devin, poète et philosophe Empédocle, le présocratique du Ve siècle av. J.-C, la ,Nature est soumise à deux principes (l'Amour et la Haine) ou Eléments premiers '(l'eau, lé feu, la terre, l'air) pour produire, lors de leurs mélanges ; et de leurs dissociations, les astres, les minéraux, les végétaux, les animaux. De l'un au divers — ou si l'on préfère, du multiple à l'unité. D'où le fragment : "Car autrefois je fus jeune homme et jeune fille, et arbuste, et oiseau, et muet poisson de la mer..." Pour jouer à Empédocle, il faut être au minimum deux. Un été durant Pascal Amel a écrit lés poèmes privilégiant la genèse des univers cosmiques et terrestres, la formation des minéraux, la croissance du végétal, la vitalité de l'animal invoqués. Les dessins "d'abstraction géométrique et sensible" de Najia Mehajdi présentent, à l'intérieur de chaque catégorie de la Nature, des variations les unes par rapport aux autres, comme si chacune d'elles était l'actualisation fragmentaire d'une forme globale virtuelle.

09/2019

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Esotérisme

Sur les traces du shaman

Un shaman a plusieurs rôles. C'est un guérisseur, un conteur et un gardien de sagesse. Mais avant tout, nous enseigne Sandra Ingerman, «il émane du chaman une lumière qui éclaire tout un chacun. Dans notre culture, on a tendance à se focaliser sur la méthode, en oubliant que le meilleur moyen que nous ayons de participer à la guérison du monde est de devenir un véhicule de l'amour». L'ouvrage écrit par cette enseignante de renommée mondiale est un guide complet du shamanisme d'aujourd'hui, tel qu’on peut le pratiquer au quotidien. Vous y trouverez de nombreuses techniques pratiques ainsi que de précieux conseils, reflets de la sagesse des indigènes, destinés aux novices comme aux pratiquants plus expérimentés. Mais surtout, Sandra Ingerman nous aide à établir un lien profond avec les dimensions spirituelles et nous révèle que l'esprit est au coeur de la vie, que nos intentions façonnent notre monde et qu'à chaque instant, des alliés invisibles sont là pour nous aider.

03/2015

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Littérature étrangère

Sur les traces du serpent

Intrigues familiales, morts suspectes, vengeance, un personnage injustement suspecté de meurtres sordides, un autre, véritable incarnation du Mal que rien ni personne ne semble pouvoir arrêter, une femme ignominieusement trahie... La jeune Mary Elizabeth Braddon avoua avoir laissé libre cours à son imagination, et rarement un roman victorien aura en effet combiné autant d'éléments mélodramatiques, de rebondissements, dans la plus pure tradition du roman à suspense, l'ironie à la Chartes Dickens en plus. A cela s'ajoute la présence d'un type de personnage quasi inconnu dans le roman victorien : celui du détective, dont le rôle sera fondamental pour dénouer les fils d'une histoire particulièrement machiavélique.

06/2008

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Littérature française

Sur les traces du passé

Ce roman est un mélange de faits vécus et de fiction. C'est un récit passionnant dans lequel un homme, qui a quitté le Congo depuis des années, remonte le temps et revient sur certains souvenirs du passé, ses amours antérieures, sa famille, sa terre natale et son départ pour l'Europe, où il s'est toujours senti étranger. Le temps qui passe fissure les liens familiaux. L'auteur fait voyager le lecteur à travers le temps et les frontières. Et le personnage principal est attachant et sa sincérité apporte beaucoup d'authenticité à l'ouvrage. C'est un livre intime, touchant, émouvant qui traverse le temps.

06/2021

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Mondes fantastiques

Sur les Traces d'Artémis

Sous l'égide d'Hécate, l'Ordre sans Nom s'est attaqué sans relâche à Ombeline et ses amis. Alors que la déesse lunaire parvient à ses fins, à l'Académie, le Convent, mené par Aléane, n'a d'autre choix que de prendre les armes. Prisonnière de son propre corps, Ombeline doit faire preuve de patience, étudier l'ennemi et frapper au moment qui sera le plus favorable... pour elle comme pour ses camarades. Malgré l'arrivée de renforts, l'issue semble incertaine pour la jeune sorcière qui n'a que quelques mois avant que son esprit ne soit définitivement rayé de ce monde.

10/2022

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Littérature française

Sur les traces du jasmin

Après la disparition de sa grand-mère, Julie est anéantie. Cependant, le voyage qui l'attend s'apprête à changer sa vie. Le mystère qu'elle est sur le point de découvrir pourrait bien tout remettre en question…

04/2022

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Fantastique

Sur les traces du Kraken

Aiden Harper, professeur spécialisé en biologie marine et passionné par les récits légendaires des océans, découvre des indices qui le guideront sur la piste d'un authentique kraken. Accompagné de son neveu Martin, il se lance dans un périple de plusieurs mois à bord d'un baleinier dirigé d'une main de fer. Au cours de leur voyage, ponctué de rencontres malheureuses et de situations imprévues, Aiden et Martin devront faire preuve d'une grande créativité pour affronter les nombreux dangers qui les guettent. Feront-ils la découverte du tout premier spécimen de kraken ? La réponse se trouve entre les lignes.

10/2023

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Sciences de la terre et de la

Sur les traces du géant

Avril 1999 : une équipe française reconstitue au Pakistan le squelette du plus grand mammifère de tous les temps, un géant de vingt tonnes et neuf mètres de long, le balouchithère. La découverte exceptionnelle d'un animal mythique gros comme trois mammouths ! L'aventure commence avec un homme hors du commun, Jean-Loup Welcomme. En 1993, il parvient à entrer au Balouchistan, une région du Pakistan interdite depuis presque un siècle, hostile, désertique, peuplée de guerriers légendaires, les " tigres Balouch ". Pendant presque dix ans, il parcourt l'un des déserts les plus inhumains du globe, apprenant la langue des guerriers, adoptant leur costume et leurs coutumes. La détermination est sans faille et les aventures folles : guerres tribales et sanglantes dont nos chercheurs risquent à chaque instant de devenir les otages et les victimes. Jusqu'au jour où, là où toutes les expéditions s'étaient cassé le nez depuis un siècle, Welcomme réussit enfin à reconstituer l'ossature complète de la bête mystérieuse. Mais l'histoire extraordinaire continue, les surprises sont nombreuses et quelques traces de nos lointains ancêtres se profilent à l'horizon... Pour la première fois, un paléontologue ouvre ses carnets de terrain et raconte : " J'ai envie d'emmener les gens là où ils n'iront jamais. " Une incroyable aventure scientifique, ethnologique et humaine.

03/2003

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Autres collections (9 à 12 ans

Sur les traces d'Antilope

Le téléphone sonne un dimanche 11 novembre, alors que Nalyma, 11 ans, ramasse dans le jardin le linge qui a volé avec le vent. C'est Suzie, la propriétaire du poneyclub. Etrange, elle n'appelle jamais. La petite fille retient son souffle. Quelque chose de grave s'est passé. Elle l'a senti avant même de le savoir. Sa mère lui annonce la nouvelle : Antilope, sa jument, a disparu. Nalyma n'a plus qu'une idée en tête : partir à sa recherche. La petite fille s'enfonce dans la forêt, sur les traces d'Antilope... et d'elle-même.

05/2021

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Non classé

Sur les traces du prophEte

Animé par Adam et Maïssa, ce coffret (10 titres) " Sur les traces du Messager d'Allah " met en scène la parole prophétique (hadiths). Au fil des aventures et des bonnes actions, les deux jeunes enfants découvrent à quel point il est facile et agréable de se comporter en suivant l'exemple de Muhammad (BS). Accompagnés de leurs parents, ils créent un site web pour diffuser les paroles bénéfiques et le bon comportement selon les principes l'Islam. Chaque histoire est plaisante, amusante, touchante et très actuelle. Elle exprime des sentiments naturels et présente des interrogations propres aux enfants. La petite famille est ainsi actrice du changement des coeurs de la jeune communauté. Par ailleurs, cette série a l'avantage d'être bilingue : français – arabe, pour familiariser les enfants avec la langue arabe. C'est alors très facile de lire et de comprendre chaque histoire, en langue arabe claire et simple !

12/2023

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Littérature française

De fils à fils

" Si l'enfant que tu es me juge, je veux croire que l'homme que tu seras me comprendra. C'est à lui que je m'adresse, en lui que je trouve la force de pousser jusqu'au bout mon récit. Une malédiction veut qu'entre père et fils les choses arrivent toujours à contretemps. On juge quand on voudrait comprendre et quand on voudrait être compris on est jugé "

02/2010

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Récits de voyage

VOYAGE A L'ILE DE RUGEN. Sur les traces de Caspar David Friedrich

A côté de nombreux travaux portant sur des sujets aussi divers - en apparence - que la théorie de l'inconscient, l'anatomie comparée, ou la physiognomonie des montagnes, Carl Gustav Carus a laissé le récit détaillé du voyage qu'il fit à l'île de Rügen, sur l'incitation de son ami et mentor le peintre C. D. Friedrich. A l'époque, en 1819, cette île de la Baltique aux blanches falaises de craie pouvait encore donner " l'étrange impression d'une nature, primordiale intacte ", exceptionnellement propice " au complet abandon à ses pensées et à ses sentiments ". Carus put ainsi poser les jalons de sa célèbre théorie de la peinture de paysage, considérée comme " expérience de la vie de la terre ", et qui annonçait le projet de toute une vie : redéfinir la place de l'art et de la science dans leurs rapports à la connaissance.

11/1999

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Littérature française

Ode à ma femme, sur son abjuration, et la réhabilitation de notre mariage

Ode à ma femme, sur son abjuration, et la réhabilitation de notre mariage. Date de l'édition originale : 1772 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

07/2021

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12 ans et +

Jackaby Tome 2 : Sur les traces de la Bête

"Certaines jeunes filles sont vendeuses ou fleuristes. D'autres trouvent des maris et restent à la maison. Je suis l'assistante d'un détective fou qui enquête sur des phénomènes inexpliqués... Je m'appelle Abigail Rook, et tel est mon métier". Jackaby et Abigail, détectives du surnaturel, doivent élucider un nouveau mystère : le chat de Mrs Beaumont s'est transformé en poisson. Alors que l'excentrique enquêteur suspecte l'animal d'être une créature qui change de forme pour dévorer ses proies, la pauvre femme est retrouvée morte avec d'étranges marques dans le cou. Celles-ci font écho à un autre décès suspect, mais aussi à la disparition d'un précieux fossile, dans la petite ville de Gad's Valley. Jackaby et Abigail y retrouvent l'inspecteur Charlie Cane pour tenter d'élucider cette énigme. Leur enquête prend bientôt des allures de traque lorsqu'une bête féroce multiplie ses attaques, semant la mort sur son passage...

03/2019

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Poésie

Memory Babe. Sur les traces de la Beat Generation

De la capitale au Pacifique, sept cents bornes d'une traite et l'aube sur la route tortueuse. Nous ne voyons pas encore la mer. La sainte mer. Prendre la route, c'est traverser - passer par-delà le Bien et le Mal. Les barbelés de l'esprit tranchés, on continue de rêver assis sur des ruines, on continue d'écrire après la fin du monde. C'est une sale histoire de serpent avec un nom trompeur Ca s'appelle la V. I. E. Etre To be To be beat Or not to be

10/2022

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Art de l'Asie du sud-est

Trésors du Tibet. Sur les traces de Milarepa

Un panorama hors du commun de la pensée religieuse, de l'art et de l'histoire du Tibet. Au coeur de la cité médiévale de Gruyères, en Suisse, le Tibet Museum offre l'occasion rare de découvrir à travers quelque 600 oeuvres un patrimoine en péril. Fondé en 2009 par Alain Bordier, collectionneur insatiable fasciné par l'art bouddhique et les spiritualités asiatiques, le musée présente un ensemble unique d'objets religieux himalayens (Tibet, Népal, Bhoutan, Inde) rassemblés depuis plus de quarante ans. Au-delà de l'aspect purement artistique, cet ouvrage nous donne à voir toute la symbolique et toute la spiritualité qui se dégagent de chaque oeuvre. Point d'orgue du livre, la présentation d'un manuscrit enluminé inédit retraçant la vie de Milarépa, illustre yogi tibétain du XI ? siècle, dont l'analyse permet une introduction aux grands principes bouddhiques.

10/2022

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ouvrages généraux

Sur les traces d'un pilote de Spitfire

Sur les traces d'un pilote de Spitfire, c'est le récit d'une évasion ? : celle d'un jeune homme de 19 ans refusant la défaite et l'humiliation. C'est le parcours véridique de celui qui, à 22 ans, participa activement à la libération de son pays au travers d'une centaine de missions de guerre. Fin 1941, Peter Erkes s'enfuit d'Anvers vers Londres, puis au Canada en 1943 pour y suivre sa formation de pilote de chasse. De juin 1944 à mai 1945, il monte "? au feu ? " en Spitfire (349e escadrille de la Royal Air Force) en France, en Belgique, en Hollande puis enfin en Allemagne. Aujourd'hui, son fils, Philippe Erkes, nous livre ce témoignage quasiment de première main : doté d'albums de photos d'époque, du flying log book paternel et d'un carnet manuscrit, l'auteur dévoile un récit bien documenté, factuellement et historiquement précis et agrémenté d'anecdotes directes.

11/2022

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Romans de terroir

La colonie. Sur le fil du temps, sur le fil de l'eau

Dans le cadre d'un nouveau contrat sur le site industriel des forges de Courcelles-lès-Nogent, l'auteur se trouve propulsée dans un monde qu'elle croit avoir vu en rêve par le passé. Quelles forces l'ont tirée ici ? Les fantômes de l'ancienne colonie pénitentiaire pour enfants qu'abritaient ces lieux ? Les secrets enfouis dans les profondeurs de la rivière ? Un récit poétique, poignant et envoûtant, mêlant passé et présent, textes d'archives et fiction, dans lequel la réalité est parfois là où on l'attend le moins. L'eau, la mémoire et le temps s'entrelacent, le présent s'estompe sous la violence du passé. Passé qui remonte dans le quotidien des importantes forges et finit par modifier le cours des choses, grâce à l'arme la plus universelle : le regard.

05/2018

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Littérature étrangère

Histoire de la colonne infâme

L'oeuvre d'essayiste de Manzoni est un peu moins connue, mais sa Storia della colonna infame (Histoire de la colonne infâme), qui fait l'objet de ce projet de nouvelle traduction, est cependant elle aussi couramment (quoique moins systématiquement) étudiée à l'école, à l'instar de L'affaire Calas de Voltaire, texte avec lequel celui-ci a quelque parenté. La "colonne infâme" du titre désigne un monument qui fut édifié, par la volonté des juges, pour commémorer le procès (mené à grand renfort de terrifiants supplices), la condamnation et l'exécution, en 1630 à Milan, de plusieurs hommes accusés d'avoir propagé délibérément la peste par des "onctions pestifères" , c'est-à-dire en barbouillant les murs d'un certain quartier d'une substance empoisonnée, supposément mortifère. Cet atroce fait divers avait déjà inspiré à Pietro Verri, un représentant milanais de la philosophie des Lumières versant italien, un texte mémorable, Observations sur la torture, paru en 1769 (retraduit en français en 1992 et publié par les Editions Viviane Hamy), où l'auteur dresse un réquisitoire inflexible contre cette pratique intolérable. En 1764, un autre philosophe, Cesare Beccaria , avait publié Dei delitti e delle pene (dont il existe, sous le titre Des délits et des peines, plusieurs éditions françaises récentes), un magnifique petit essai, très en avance sur son temps, contre la torture et la peine de mort. C'est dans ce contexte intellectuel que se situe l'Histoire de la colonne infâme. Mais, tandis que Verri et Beccaria publient leurs essais à une époque où la torture est encore en vigueur dans nombre de pays et régions d'Europe, et notamment à Milan , quand le texte de Manzoni paraît, en 1840, elle a été abolie - du moins officiellement - à peu près partout. L'intention de Manzoni n'est donc pas tout à fait la même que celle qui animait ses devanciers, lesquels visaient avant tout à démontrer le caractère exécrable et inutile de la torture et à la voir disparaître des codes de procédure. Pour Manzoni, cependant, il s'agit d'abord, sans doute, de consolider dans les esprits l'usage récent de ne plus mettre à la question les prévenus. On sait combien les progrès de ce genre sont fragiles et peuvent être abandonnés au détour de l'histoire ; quant à la torture, notamment, il serait naïf ou de mauvaise foi de prétendre qu'elle n'appartient qu'au passé lointain et aux civilisations archaïques. Sous des formes diverses, qui disent rarement leur nom, la torture demeure une réalité contemporaine, y compris dans nos démocraties avancées. On peut, d'autre part, supposer que Manzoni entend oeuvrer à son tour à l'amélioration, toujours possible, de la justice humaine : même sous une législation imparfaite, sinon coupable, les juges gardent la faculté de juger honnêtement. Mais, plus encore, il s'agit pour Manzoni de soulever une question générale, à la fois philosophique et politique : celle de la liberté de choix des individus, mise en regard de ce qu'on pourrait appeler, dans un anachronisme calculé, les conditionnements socio-historiques. Pour Verri, tous les juristes et criminalistes du passé sont coupables d'avoir toléré, cautionné et même encouragé la torture. Dès lors, les juges qui condamnèrent les supposés propagateurs de peste commirent, certes, une affreuse erreur judiciaire, mais dont la responsabilité incombe à la science juridique dans son ensemble, au système pénal en tant que tel - et même à l'état général de la connaissance et de la culture propres à leur temps. La faute des juges en tant qu'individus se dissout ou en tout cas s'estompe dans la mauvaiseté des lois et dans la cruauté à quoi conduirait invinciblement l'ignorance. La faute des juges n'est pas tant personnelle que collective, et indissociable d'une époque dont Verri - et avec lui tous les philosophes des Lumières italiennes - appelle le dépassement. Verri, en d'autres termes, travaille à éclairer son temps, pour le réformer dans le sens de la raison et de ce qu'on appellerait aujourd'hui les droits de l'homme . C'est sur cette question de la responsabilité des juges que Manzoni croise le fer avec son illustre prédécesseur. Dans l'Histoire de la colonne infâme, il s'attache à montrer que, même en des temps d'ignorance et dans un système pénal qui prévoit qu'on puisse infliger à un accusé - y compris en amont de la certitude de sa culpabilité - des sévices atroces, les juges conservaient la possibilité, la liberté morale de ne pas le faire. Aussi, reprenant en main les textes des juristes que Verri cite pour les accabler, Manzoni s'efforce-t-il de montrer que tous, bien que n'étant pas opposés par principe à la torture, recommandaient cependant de n'en user qu'avec discernement et modération, et jamais pour obtenir des aveux. Manzoni entend ainsi rendre justice aux criminalistes du passé, que Verri blâme selon lui injustement, au prix d'incompréhensions voire de distorsions des textes qu'il produit pour preuves de sa thèse. Mais il veut surtout convaincre que les juges qui, en 1630, firent torturer et exécuter ces malheureux, puis firent construire un monument en leur éternel déshonneur, disposaient, dans les traités juridiques de référence de leur époque, d'éléments qui leur auraient permis, qui auraient dû leur permettre de juger dignement. Selon Manzoni, si la torture était régulièrement en vigueur dans les affaires criminelles, et couramment pratiquée dès la phase d'instruction du procès, cela n'imposait pourtant pas à des esprits éclairés et probes d'y recourir. Les juges sont donc comptables à titre personnel de leur jugement, qui s'apparente à un crime. Manzoni défend ainsi l'idée que, de tout temps, jusque dans le pire des systèmes politico-juridiques, les individus conservent une part d'autonomie, la faculté de s'affranchir des préjugés de leur époque, et de se comporter selon ce qui est juste et bon. Ce qui est en jeu, implicitement, c'est donc aussi la question, ancienne et débattue depuis des siècles dans la théologie chrétienne, du libre arbitre. Mais tout autant, si l'on veut, avant l'heure, sa version plus moderne, celle du déterminisme - social, historique, politique, culturel. Sommes-nous libres de nos actions, de nos décisions, de nos pensées ? Ou sommes-nous si profondément (et inconsciemment) modelés par notre temps, par notre culture, par nos institutions, que nos "choix" ne sont, au vrai, que les conséquences inéluctables de ces divers conditionnements ? Pour l'écrivain italien, récuser l'idée que, malgré les aberrations de leur temps, malgré les vices de la forma mentis du monde auquel ils appartenaient, les juges de 1630 auraient pu juger justement reviendrait à admettre, ni plus ni moins, l'impossibilité générale et affreuse d'espérer que des hommes qui commettent un crime abominable puissent jamais agir différemment ; cela obligerait, en somme, à reconnaître que les pires scélérats ne peuvent aucunement, par principe, être tenus pour responsables de leurs forfaits : "Si, dans un ensemble de faits atroces commis par l'homme contre l'homme, nous croyons voir un effet des temps et des circonstances, nous éprouvons, en même temps que de l'horreur et de la compassion, un découragement, une sorte de désespérance. Il nous semble voir la nature humaine poussée invinciblement au mal par des facteurs indépendants de sa volonté, et comme enchaînée dans un rêve pervers et fébrile, dont elle n'a nul moyen de se déprendre, dont elle ne peut pas même se rendre compte". La question demeure d'une parfaite actualité. Il n'est que de songer aux polémiques qui ont entouré telles tentatives d'explication d'attentats terroristes récents en France. En réponse aux sociologues qui tentaient de comprendre ces actes dans un tableau causal complexe, des personnages politiques de premier plan objectèrent qu'expliquer, c'était déjà justifier. Plus que jamais, il nous semble au contraire requis, pour inconfortable que cela puisse être, d'enquêter inlassablement sur les raisons de la violence. L'Histoire de la colonne infâme nous est une invitation à ne pas refermer trop vite le questionnement sur les racines du mal.

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Littérature Italienne

Histoire de la colonne infâme

L'oeuvre d'essayiste de Manzoni est un peu moins connue, mais sa Storia della colonna infame (Histoire de la colonne infâme), qui fait l'objet de ce projet de nouvelle traduction, est cependant elle aussi couramment (quoique moins systématiquement) étudiée à l'école, à l'instar de L'affaire Calas de Voltaire, texte avec lequel celui-ci a quelque parenté. La "colonne infâme" du titre désigne un monument qui fut édifié, par la volonté des juges, pour commémorer le procès (mené à grand renfort de terrifiants supplices), la condamnation et l'exécution, en 1630 à Milan, de plusieurs hommes accusés d'avoir propagé délibérément la peste par des "onctions pestifères" , c'est-à-dire en barbouillant les murs d'un certain quartier d'une substance empoisonnée, supposément mortifère. Cet atroce fait divers avait déjà inspiré à Pietro Verri, un représentant milanais de la philosophie des Lumières versant italien, un texte mémorable, Observations sur la torture, paru en 1769 (retraduit en français en 1992 et publié par les Editions Viviane Hamy), où l'auteur dresse un réquisitoire inflexible contre cette pratique intolérable. En 1764, un autre philosophe, Cesare Beccaria , avait publié Dei delitti e delle pene (dont il existe, sous le titre Des délits et des peines, plusieurs éditions françaises récentes), un magnifique petit essai, très en avance sur son temps, contre la torture et la peine de mort. C'est dans ce contexte intellectuel que se situe l'Histoire de la colonne infâme. Mais, tandis que Verri et Beccaria publient leurs essais à une époque où la torture est encore en vigueur dans nombre de pays et régions d'Europe, et notamment à Milan , quand le texte de Manzoni paraît, en 1840, elle a été abolie - du moins officiellement - à peu près partout. L'intention de Manzoni n'est donc pas tout à fait la même que celle qui animait ses devanciers, lesquels visaient avant tout à démontrer le caractère exécrable et inutile de la torture et à la voir disparaître des codes de procédure. Pour Manzoni, cependant, il s'agit d'abord, sans doute, de consolider dans les esprits l'usage récent de ne plus mettre à la question les prévenus. On sait combien les progrès de ce genre sont fragiles et peuvent être abandonnés au détour de l'histoire ; quant à la torture, notamment, il serait naïf ou de mauvaise foi de prétendre qu'elle n'appartient qu'au passé lointain et aux civilisations archaïques. Sous des formes diverses, qui disent rarement leur nom, la torture demeure une réalité contemporaine, y compris dans nos démocraties avancées. On peut, d'autre part, supposer que Manzoni entend oeuvrer à son tour à l'amélioration, toujours possible, de la justice humaine : même sous une législation imparfaite, sinon coupable, les juges gardent la faculté de juger honnêtement. Mais, plus encore, il s'agit pour Manzoni de soulever une question générale, à la fois philosophique et politique : celle de la liberté de choix des individus, mise en regard de ce qu'on pourrait appeler, dans un anachronisme calculé, les conditionnements socio-historiques. Pour Verri, tous les juristes et criminalistes du passé sont coupables d'avoir toléré, cautionné et même encouragé la torture. Dès lors, les juges qui condamnèrent les supposés propagateurs de peste commirent, certes, une affreuse erreur judiciaire, mais dont la responsabilité incombe à la science juridique dans son ensemble, au système pénal en tant que tel - et même à l'état général de la connaissance et de la culture propres à leur temps. La faute des juges en tant qu'individus se dissout ou en tout cas s'estompe dans la mauvaiseté des lois et dans la cruauté à quoi conduirait invinciblement l'ignorance. La faute des juges n'est pas tant personnelle que collective, et indissociable d'une époque dont Verri - et avec lui tous les philosophes des Lumières italiennes - appelle le dépassement. Verri, en d'autres termes, travaille à éclairer son temps, pour le réformer dans le sens de la raison et de ce qu'on appellerait aujourd'hui les droits de l'homme . C'est sur cette question de la responsabilité des juges que Manzoni croise le fer avec son illustre prédécesseur. Dans l'Histoire de la colonne infâme, il s'attache à montrer que, même en des temps d'ignorance et dans un système pénal qui prévoit qu'on puisse infliger à un accusé - y compris en amont de la certitude de sa culpabilité - des sévices atroces, les juges conservaient la possibilité, la liberté morale de ne pas le faire. Aussi, reprenant en main les textes des juristes que Verri cite pour les accabler, Manzoni s'efforce-t-il de montrer que tous, bien que n'étant pas opposés par principe à la torture, recommandaient cependant de n'en user qu'avec discernement et modération, et jamais pour obtenir des aveux. Manzoni entend ainsi rendre justice aux criminalistes du passé, que Verri blâme selon lui injustement, au prix d'incompréhensions voire de distorsions des textes qu'il produit pour preuves de sa thèse. Mais il veut surtout convaincre que les juges qui, en 1630, firent torturer et exécuter ces malheureux, puis firent construire un monument en leur éternel déshonneur, disposaient, dans les traités juridiques de référence de leur époque, d'éléments qui leur auraient permis, qui auraient dû leur permettre de juger dignement. Selon Manzoni, si la torture était régulièrement en vigueur dans les affaires criminelles, et couramment pratiquée dès la phase d'instruction du procès, cela n'imposait pourtant pas à des esprits éclairés et probes d'y recourir. Les juges sont donc comptables à titre personnel de leur jugement, qui s'apparente à un crime. Manzoni défend ainsi l'idée que, de tout temps, jusque dans le pire des systèmes politico-juridiques, les individus conservent une part d'autonomie, la faculté de s'affranchir des préjugés de leur époque, et de se comporter selon ce qui est juste et bon. Ce qui est en jeu, implicitement, c'est donc aussi la question, ancienne et débattue depuis des siècles dans la théologie chrétienne, du libre arbitre. Mais tout autant, si l'on veut, avant l'heure, sa version plus moderne, celle du déterminisme - social, historique, politique, culturel. Sommes-nous libres de nos actions, de nos décisions, de nos pensées ? Ou sommes-nous si profondément (et inconsciemment) modelés par notre temps, par notre culture, par nos institutions, que nos "choix" ne sont, au vrai, que les conséquences inéluctables de ces divers conditionnements ? Pour l'écrivain italien, récuser l'idée que, malgré les aberrations de leur temps, malgré les vices de la forma mentis du monde auquel ils appartenaient, les juges de 1630 auraient pu juger justement reviendrait à admettre, ni plus ni moins, l'impossibilité générale et affreuse d'espérer que des hommes qui commettent un crime abominable puissent jamais agir différemment ; cela obligerait, en somme, à reconnaître que les pires scélérats ne peuvent aucunement, par principe, être tenus pour responsables de leurs forfaits : "Si, dans un ensemble de faits atroces commis par l'homme contre l'homme, nous croyons voir un effet des temps et des circonstances, nous éprouvons, en même temps que de l'horreur et de la compassion, un découragement, une sorte de désespérance. Il nous semble voir la nature humaine poussée invinciblement au mal par des facteurs indépendants de sa volonté, et comme enchaînée dans un rêve pervers et fébrile, dont elle n'a nul moyen de se déprendre, dont elle ne peut pas même se rendre compte". La question demeure d'une parfaite actualité. Il n'est que de songer aux polémiques qui ont entouré telles tentatives d'explication d'attentats terroristes récents en France. En réponse aux sociologues qui tentaient de comprendre ces actes dans un tableau causal complexe, des personnages politiques de premier plan objectèrent qu'expliquer, c'était déjà justifier. Plus que jamais, il nous semble au contraire requis, pour inconfortable que cela puisse être, d'enquêter inlassablement sur les raisons de la violence. L'Histoire de la colonne infâme nous est une invitation à ne pas refermer trop vite le questionnement sur les racines du mal.

03/2024

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Théologie

Les moissonneurs. Voyage initiatique sur les traces de la théologie de la libération

"Dans la seconde moitié du XXe siècle, en Amérique latine, des chrétiens ont résisté au nom de leur foi contre la pauvreté criante et les dictatures militaires. De cet engagement est né un courant de pensée qui établit une relation directe entre le message biblique et la lutte pour la justice sociale : la théologie de la libération. Ni relique du passé, ni doctrine hérétique condamnée par le magistère, la théologie de la libération a changé le cours de l´histoire du sous-continent et au-delà. Des rues de São Paulo aux montagnes du Chiapas, en passant par le parcours du pape François lui-même, ce voyage fait entendre la ""clameur des moissonneurs"" d´une manière nouvelle. Un road trip historique sur les pas d´une théologie bien vivante et actuelle."

11/2022

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Industrie et techniques

Un parfum de chocolat. Sur les traces de Suchard à Neuchâtel

Lorsqu'un Neuchâtelois évoque la chocolaterie Suchard, un parfum de chocolat lui vient instantanément à l'esprit. Durant 164 ans, les senteurs cacaotées ont en effet embaumé le vallon de Serrières, à proximité immédiate de Neuchâtel. Ailleurs dans le monde, ce sont la couleur violette et la vache Milka que l'oeil associe à une tablette de chocolat au lait, les publicitaires du début du XXe siècle ayant réussi à fixer ladite marque au-delà de toute espérance. Et quels souvenirs associer aux saveurs acidulées des Sugus ou à la douceur du Suchard Express, des caramels aux fruits et une boisson chocolatée emblématiques de la production Suchard ? Ce petit guide est une invitation à (re)découvrir l'histoire de la célèbre chocolaterie neuchâteloise, douillettement assis dans un canapé, avant d'enfiler des chaussures confortables et de partir explorer le vallon de Serrières à Neuchâtel. Malgré d'incessants bouleversements, il reste de nombreuses traces matérielles à repérer dans le paysage : une source, des usines, l'emplacement d'un "plan incliné" , une "folie" patronale, une fontaine à encadrement mauresque, par exemple. Et comme il s'agit d'une histoire qui parle aux cinq sens, l'ouïe n'est pas en reste, le vacarme des usines s'étant effacé au profit du bruit de la rivière.

11/2022

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Faits de société

Sur les traces du jeune prince Békir. La nouvelle aventure de la bande à Gorka

Laissant définitivement s'éloigner les secrets de collège, Gorka et ses amis vont découvrir l'univers du lycée et les premiers émois amoureux. Claire-Lucille, seule fille du groupe, va faire la connaissance de Békir, un adolescent turc et le prendre en amitié. Apprécié de tous, Békir va être associé à la rédaction d'un journal de lycée. Malheureusement pour lui, la publication d'un article sur la culture de son pays d'origine va mettre le feu aux poudres. Subissant les brimades de trois élèves irrévérencieux, Békir va soudainement disparaître à quelques jours de Noël. Jamais la bande à Gorka n'aurait pu imaginer, qu'en franchissant les portes du lycée, elle affronterait un monde d'adultes imprévisible et impitoyable.

02/2024

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Mondes fantastiques

Sur les traces d'Ewilan. L'héritage de Pierre Bottero

Vingt ans déjà ! En 2003, le premier tome de La quête d'Ewilan, D'un monde à l'autre, paraît chez Rageot. Deux tomes suivent, puis trois trilogies (Les mondes d'Ewilan, Le pacte des Marchombres, L'Autre) et plusieurs one-shots viennent élargir l'univers d'Ewilan et de Gwendalavir jusqu'à la disparition de Pierre Bottero en 2009. Depuis, son influence ne cesse de grandir. Aussi ce Guide explore les empreintes durables de ce succès et donne la parole à toutes celles et ceux, artistes, professionnel. le. s du Livre ou simples lecteur. rice. s, qui se revendiquent de ce formidable héritage.

10/2023

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Ethnologie et anthropologie

Sur les traces de l'homme sauvage. Le folklore français

Un voyage à travers la France à la recherche de l'homme sauvage, archétype de l'imaginaire universel afin de redécouvrir notre double velu, omniprésent dans le folklore, l'art, la littérature et même les traités scientifiques. La question de l'homme sauvage a alimenté bien des débats dans les sphères privées et publiques. Mais de quoi parle-t-on ? D'une figure mythologique ? D'une relique préhistorique ? D'une espèce de singe ? D'un fossile vivant ? D'un humain marginalisé ? D'un peuple nain tout droit sorti de l'Heroic Fantasy ? Peut-on, en se penchant plus précisément sur un dossier très ancré dans le territoire français, colmater cette brèche si béante entre homme sauvage folklorique et homme sauvage scientifique ? Peut-on concilier l'approche sociologique et l'approche biologique ? Là réside tout l'enjeu de ce présent ouvrage, dans cette conciliation entre deux thèses contradictoires sur l'homme sauvage : - L'argument valable, et conforté par les études sociologiques, de l'homme sauvage en tant que figure folklorique. Mythe, légende, contes ancestraux racontés au coin du feu, l'homme sauvage sera un merveilleux terrain de fiction : archétype de l'Autre, de l'Etranger, du Garou, de l'Ermite ou du Renonçant, si ce n'est de l'Ombre chère à Karl Jung. - L'argument tout aussi recevable, et validé par l'approche scientifique, de l'homme sauvage comme possibilité biologique, comme entité vivante s'intégrant logiquement dans toute une continuité de formes humanoïdes et simiennes connues à l'état fossile et consciencieusement étudiées par les archéologues et paléoanthropologues.

05/2021