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Arlo Finch

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Comics

Hulk : Planète Hulk

Les héros de l'univers Marvel ont décidé d'exiler Hulk loin de la Terre afin qu'il ne soit plus une menace pour les humains. Le Géant de Jade devait donc rejoindre une planète inhabitée et paradisiaque, malheureusement un dysfonctionnement a envoyé le colosse sur une terre inhospitalière, où Hulk devient un gladiateur au service de l'amusement des puissants... Mais le guerrier va bientôt rejoindre la rébellion locale et devenir le héros de tout un peuple ! Avec le Silver Surfer en invité d'honneur. Cet album fait partie des must-have, des récits essentiels et accessibles destinés à tous les amateurs de super-héros. Identifiés clairement par un logo sur la couverture, les lecteurs repéreront immédiatement ces incontournables pour se constituer leur bibliothèque Marvel idéale. Cette superbe saga (la plus culte de Hulk) a inspiré le film Thor : Ragnarok. Elle est signée Greg Pak (X-Men - Le Chant du Phénix et World War Hulk).

10/2020

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Architecture

Projets et souvenirs. Ecrits sur l'art et l'architecture, la ville et le paysage

Convaincu que l'écriture poétique est plus à même de restituer un fait architectural qu'une photographie, Michel Vernes fut un véritable écrivain d'architecture. Exceptionnelle par sa richesse, son érudition et sa qualité littéraire, son oeuvre, composée essentiellement d'articles et d'essais, est longtemps restée dispersée. Ce recueil réunit une sélection de trente-deux textes qui offrent enfin une vue d'ensemble sur son travail original et exigeant, éclectique et buissonnier. Convaincu que l'écriture poétique est plus à même de restituer un fait architectural qu'une photographie, Michel Vernes fut un véritable écrivain d'architecture. Exceptionnelle par sa richesse, son érudition et sa qualité littéraire, son oeuvre, composée essentiellement d'articles et d'essais, est longtemps restée dispersée. Ce recueil réunit une sélection de trente-deux textes qui offrent enfin une vue d'ensemble sur son travail original et exigeant, éclectique et buissonnier. Les six sections (Paysages et jardins, Promenades urbaines, Fabriques et pavillons, Architectures dessinées, Métropoles verticales, Modernités déroutantes) rendent compte de ses principaux thèmes de recherche et de réflexion, de l'art pittoresque des jardins à l'industrie de la maison sur catalogue et de ses variantes, pavillons, kiosques, pagodes ou chalets ; des manuels de dessin aux grammaires ornementales du xixe siècle ; de l'architecture des gratte-ciel à l'histoire du béton et de quelques figures de la modernité, comme Le Corbusier, Carlo Molino, Jean Prouvé ou Iakov Tchernikov. Entre art, architecture, ville et paysage, ces textes savants et insolites invitent, dans une langue ciselée, à autant de chemins de traverses où l'esprit s'instruit en divaguant.

03/2023

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Policier-Espionnage

Les enquêtes de Machiavel Tome 1 : La voie du mal

L'avènement du Prince. 1498, Florence. Machiavel est un jeune idéaliste, plein d'insouciance insolente, travaillant aux archives de l'Etat où il s'ennuie à classer des documents. Il voudrait voir, sentir et toucher le monde, plutôt que de l'appréhender au travers de ces innombrables parchemins... Alors, quand le cadavre d'un inconnu est retrouvé dans l'Arno, il saisit l'opportunité de quitter la salle des archives pour devenir le secrétaire de Piero Soderini, personnage central de l'administration de la cité. Commence alors une enquête pleine de surprise pour le jeune homme, alors que l'atmosphère en ville est lourde des prêches du frère dominicain Savonarole, autour duquel se rassemblent chaque jour davantage de disciples fanatisés. Le rôle grandissant de ce personnage inquiète et gêne une partie de l'élite florentine. D'autant que Savonarole aurait fait acte de trahison. Partout sur les murs de la cité italienne, une lettre du Roi de France est affichée : elle promet le trône papal à Savonarole et expose son alliance avec la couronne française. Bientôt la ville sera à feu et à sang. Construite comme un polar-historique, la série des Enquêtes de Machiavel présente le fameux intellectuel sous un jour nouveau. Grand connaisseur de la Renaissance italienne, Jean-Marc Rivière raconte l'homme d'action, humain et encore naïf de la réalité du pouvoir ; un être en devenir dont chaque aventure est l'occasion de forger l'esprit brillant du rédacteur du Prince. Gabriel Andrade met la précision de son dessin réaliste pour sublimer la cité toscane dans une ambiance rappelant le Nom de la Rose.

09/2021

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BD tout public

André Juillard. Dessins d'histoires

Né à Paris en 1948, André Juillard esquisse son destin au travers de deux grandes passions conjointes : le dessin et l'histoire. Emerveillé par les planches de Tintin et les tableaux du Louvre, l'adolescent s'invente un monde épique et romanesque. Aiguillé par des maîtres nommés Mézières et Jijé, il effectue en 1974 ses débuts dans le milieu de la bande dessinée franco-belge. Dès lors, de Fleurus à Glénat en passant par Formule 1, Pif Gadget, Circus et Vécu, le style académique et l'élégante Ligne claire de Juillard n'auront de cesse de progresser et de se diversifier. Outre le western (Loup-Gris), l'aventure contemporaine (Isabelle Fantouri) et l'épopée médiévale (Bohémond de Saint-Gilles), c'est grâce à Didier Convard (Les Cathares), Jacques Martin (Arno) et Patrick Cothias (Masquerouge, Les 7 Vies de l'Epervier) que l'oeuvre de Juillard prend véritablement corps dans les années 1980. Devenu le nouveau "chef de file de la bande dessinée historique" (Plume aux vents), mais loin de se limiter au genre, il prouvera avec Le Cahier bleu, un récit intimiste paru dès 1993 dans (A Suivre), qu'il est bel et bien un artisan complet : élu Grand Prix à Angoulême en 1996, Juillard sera ainsi reconnu comme l'un des auteurs phares du 9e Art. Repreneur des mythiques Blake & Mortimer chez Dargaud en 1999 aux côtés du scénariste Yves Sente, Juillard fera de nouveau évoluer son graphisme, tout en poursuivant de fructueuses collaborations avec Pierre Christin (Le long voyage de Léna dès 2006) et Yann (Mezek en 2011 ; Double 7 en 2018).

02/2018

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Histoire de l'art

Compagnons de lutte. Avant-garde et critique d'art en Espagne pendant le franquisme

Dans l'Espagne de la période du franquisme tardif (1957-1975), les critiques d'art jouent un rôle essentiel dans les mouvements de contestation qui agitent une société alors en pleine mutation. Contre la doctrine d'un art moderne autonome et dépolitisé prônée par le régime, ils produisent des discours esthétiques qui rétablissent le lien entre culture et politique et poussent les artistes à inscrire leurs oeuvres dans le cadre élargi des questions éthiques et des enjeux sociaux. En s'appuyant sur l'étude d'archives restées jusqu'ici inexplorées et sur des entretiens inédits, Compagnons de lutte s'attache au travail de sept critiques et historiens de l'art espagnols qui ont pris une part extraordinairement active à la vie intellectuelle et politique de leur pays dans les années 1960 : ils publient, éditent, traduisent, ils organisent des expositions, des débats, des rencontres. Grâce à la complicité nouée avec Giulio Carlo Argan et Umberto Eco en Italie, Adolfo Sánchez Vázquez au Mexique, Gérald Gassiot-Talabot, Pierre Restany et le Salon de la Jeune Peinture à Paris, ils s'approprient les théories et les tendances artistiques circulant à ce moment-là en Europe et sur le continent américain, en les adaptant avec succès aux conditions spécifiques de l'Espagne franquiste. Fruit d'une approche interdisciplinaire et transnationale des réseaux artistiques du Sud global, l'ouvrage de Paula Barreiro López révèle un pan longtemps négligé par l'historiographie de l'art européen, en éclairant le fonctionnement de l'avant-garde espagnole dans les dernières années de la dictature, sa diffusion et sa réception critique dans les milieux culturels de gauche à l'époque de la guerre froide.

01/2023

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Histoire internationale

Giuseppe Mazzini. Père de l'unité italienne

Avec Cavour, Garibaldi et Victor-Emmanuel II, Giuseppe Mazzini (1805-1872) est la quatrième figure tutélaire du Risorgimento italien et il mérite autant qu'eux d'être connu en France pour le rôle essentiel qu'il a joué dans l'histoire de son pays et pour l'héritage politique et intellectuel qu'il a laissé, héritage encore vivace de nos jours. De grandes figures comme Thomas Carlyle, Gandhi, Giovanni Gentile, Thomas Mann, Adam Mickiewicz, Friedrich Nietzsche, Romain Rolland, Carlo et Nello Roselli, Gaetano Salvemini, Alexis Tolstoï, Woodrow Wilson ont écrit sur lui et se sont inspirées de son œuvre ; c'est lui qui a élaboré le projet le plus cohérent et le plus moderne : rassembler l'Italie dans une république unitaire. Ayant passé l'essentiel de sa vie en exil, il est à l'échelle européenne l'un des principaux théoriciens de la démocratie moderne, du nationalisme et de la question sociale, ce qui a fait de lui l'un des adversaires longtemps redoutés de Marx. Ses idées restent actuelles sur de nombreux points : la politique comme religion civile ; les rapports entre les nations et l'union des peuples en Europe ; une conception politique et sociale qui s'efforce de concilier libéralisme, démocratie et socialisme, anticipant sur les conceptions du socialisme libéral. A l'heure où, tout comme nous, notre " sœur latine " tente d'explorer une voie vers la modernité qui lui soit propre, cette passionnante biographie, qui est la première en France mais s'appuie sur l'historiographie italienne récente comme sur une lecture exhaustive et personnelle des écrits de Mazzini, vient combler une lacune en permettant de lui restituer la paternité de ses réflexions et initiatives politiques.

05/2006

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Littérature française

Wanderweg

Quand a-t-il commencé et comment, ce "malaise dans la civilisation" ? Pourquoi un peuple qui chantait Mozart a-t-il un jour entonné l'hymne nazi ? Cette question douloureuse, Bruno Arnhein, compositeur et chef d'orchestre de génie, ne cesse de se la poser. Mais quelle réponse peut apporter un musicien, l'exact contemporain de Richard Strauss, né sujet de Louis II de Bavière, mort citoyen de l'Allemagne d'Adenauer ? Quel est le sens de cette barbarie, de cette décadence ? Quel est le sens de sa vie et de son oeuvre ? En 1943, l'Allemagne semble avoir définitivement basculé dans l'horreur. Bruno Arnhein, la Contessina sa femme et ses deux petits-enfants, Alice et Arno, Juifs par leur mère et donc Juifs selon la loi hitlérienne, sont assignés à résidence dans leur villa du lac de Constance, surveillée sans relâche par la Gestapo. Pourtant, bravant tous les dangers, les quatre enfants du musicien, son gendre, ses belles-filles vont se réunir à la villa pour une ultime, une déchirante fête le jour de ses soixante-quinze ans. Friedrich, qui a choisi l'exil et la résistance au nazisme, sa femme Sarah, mourante, Siegfried, devenu au contraire dignitaire nazi, sa femme Ursula ; Dorabella, épouse du prince Casalfeltre ; la fantasque et héroïque Pamina. Quel sera leur sort après ces difficiles retrouvailles ? Au lecteur de s'aventurer à travers ce roman à la fois roman d'amour et roman d'apprentissage, fresque historique et histoire d'une famille, réflexion sur la politique et la culture qui est aussi ou avant tout, une randonnée, une flânerie romantique, un Wanderweg.

12/1986

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Histoire du cinéma

Top secret. Cinéma & Espionnage

Qui n'a pas rêvé un jour d'être un espion ? Au cinéma, des milliers de films consacrent ceux qui parviennent par tous les moyens, et même au péril de leur vie, à obtenir des informations confidentielles. Dans l'univers haletant du cinéma d'espionnage, les agents secrets se dissimulent et se griment comme des acteurs, quand espions et réalisateurs partagent leur passion pour des technologies de captation ultra-performantes. Top secret est le premier ouvrage consacré aux liens si féconds entre l'espionnage et le cinéma, du dessin animé et des séries depuis Protéa de Jasset en 1913, en passant par les films de Fritz Lang, Alfred Hitchcock, Kathryn Bigelow, Brian De Palma, John Huston ou Laura Poitras. Reprenant la forme d'un Abecedarium, ce livre propose des interviews inédites des cinéastes Olivier Assayas, Arnaud Desplechin et Eric Rochant, de l'actrice et James Bond Girl Léa Seydoux, ainsi que des textes documentés sur l'histoire entrelacée du cinéma et de l'espionnage. Il expose les ressorts d'une géopolitique mondiale à l'oeuvre dans 007, 0SS, Jason Bourne, Argo, Shiri, Mission impossible et les séries Homeland, The Spy ou Le Bureau des légendes. Il fait également la part belle aux espionnes de fiction (X 27), de documentaires (Chelsea Manning) autant qu'aux actrices-espionnes que sont Marlene Dietrich, Greta Garbo ou Hedy Lamarr. Généreusement illustré d'images de films, d'affiches, de plateaux de tournages, de dessins, et d'oeuvres d'art, il invite à découvrir les dessous de ces univers de duperie, de dissimulation, de manipulation et de secrets d'état totalement Top secret.

10/2022

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Histoire de la philosophie

Philosophie avec personnages

La philosophie politique s'en est longtemps tenue à la recherche du meilleur régime possible, sous la forme du traité. Cette histoire prescriptive n'est cependant que la plus visible. A côté des concepts abstraits et généralisants, une tendance plus discrète existe, qui incarne la théorie. Les fictions politiques sont une clef pour qui ne veut pas en rester à l'analyse des strates institutionnelles. Loin d'être un simple un réservoir d'exemples et de cas, le fictionnalisme politique a une fonction épistémique. Mythes, fables, incursions littéraires sont la matière d'une réflexion qui analyse autant qu'elle invente le politique. L'imagination philosophique utilise des personnages conceptuels, qui introduisent à la singularité et à la nuance. L'île, le partisan, Robinson Crusoé ou Benito Cereno, mais aussi Lénine ou Lawrence d'Arabie, peuplent le protagonisme de Haim Burstin, le politique selon Carl Schmitt, le Léviathan de Carlo Ginzburg, l'agora par Hannah Arendt ou le droit de la guerre de Michael Walzer. Cette perspective renouvelle la question du réalisme politique et met en lumière ce que la philosophie doit aux images et à la création. Ninon Grangé est normalienne, agrégée, docteure en philosophie et habilitée à diriger des recherches. Elle est Professeure à l'Université Paris 8. Ses travaux portent sur la guerre, l'état d'exception, la crise, et sur la contribution des esthétiques à la philosophie politique. Elle a notamment publié De la guerre civile (2009), Oublier la guerre civile ? Stasis, chronique d'une disparition (2015), L'urgence et l'effroi. L'état d'exception, la guerre et les temps politiques (2018).

06/2024

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Histoire internationale

La section italienne de la colonne Ascaso. Hommage à Nino et à ses copains, combattants de la liberté sur le front d'Aragon (août 1836 - mai 1937)

Le 19 juillet 1936, en Espagne, c'est tout un peuple, libertaires aux premiers rangs, qui s'est levé, pour s'opposer, les armes à la main, au coup d'Etat fasciste du général Franco. Immédiatement, et plusieurs mois avant les brigades internationales encadrées par le Parti communiste, qui n'était alors qu'un groupuscule (15 000 membres), ils furent des dizaines de milliers, de tous les pays, à rejoindre l'Espagne pour combattre le fascisme et participer à la plus grande révolution sociale de tous les temps. Ce livre est l'histoire de mon père, Nino Balestri, anarchiste italien exilé à Paris dans les années trente et de ses copains qui se sont enrôlés dans la Section italienne de la colonne Ascaso créée par Carlo Rosselli et Camillo Berneri. Animés par l'enthousiasme et l'espoir de vaincre le fascisme, ils n'hésitèrent pas à laisser famille et travail pour aller soutenir la révolution espagnole et oeuvrer à la construction d'une société nouvelle, véritablement fraternelle et solidaire. Mais quand le peuple décide de prendre son destin en main, ses ennemis sont en embuscade : le fascisme via Franco, Hitler et Mussolini ; les fascistes rouges du stalinisme et les "démocraties" bourgeoises, qui firent tout pour l'écraser. Le 14 avril 1937, Camillo Berneri, conscient des atermoiements de certains cadres libertaires, dont certains, membres du gouvernement, écrivait : "Le dilemme "guerre ou révolution" n'a plus de sens. La seule attitude possible est celle-ci : ou la victoire sur Franco grâce à la guerre révolutionnaire, ou la défaite." C'était prémonitoire ! Mais la devise de la section italienne : "Le monde entier est notre patrie, notre loi, la liberté" reste, quant à elle, toujours bien vivante !

02/2015

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Spécialités médicales

L'éclipse du symptôme. L'observation clinique en psychiatrie 1800-1950

Qu'appelle-t-on "symptôme" en psychiatrie ? Et de quel talent d'observateur faut-il créditer le clinicien qui essaie de regrouper les symptômes en syndromes, voire en maladies mentales ? Steeves Demazeux, après son enquête sur les classifications contemporaines (Qu'est-ce que le DSM ? , Ithaque, 2013), continue ici sa remontée dans le temps, en examinant l'émergence de la clinique psychiatrique, de ses origines chez Pinel à la crise qui la secoue au tournant des années 1950. A cette fin, il fouille le sol de la relation clinique, en amont du diagnostic, quand, au plus proche du patient, le psychiatre se met en quête des "signes" de la maladie. Les aliénistes ont longtemps cherché à constituer une "sémiologie" de la folie aussi respectable que celle des autres branches de la médecine. Très vite, cependant, ils ont hésité. Fallait-il voir dans ces signes et ces symptômes les éléments formels d'un tableau, les indices d'un trouble sous-jacent qui en serait la cause, ou les lettres d'un texte dont le sens nous échappe ? Une sémiologie psychiatrique n'est-elle pas au fond une chimère ? La psychanalyse n'a-t-elle pas hérité de ses impasses ? Et si c'était à des auteurs méconnus, voire méprisés, "numéristes" et modestes statisticiens d'asile, qu'il fallait enfin accorder la palme de l'objectivité ? L'histoire et la philosophie des sciences croisent ici des personnages inattendus, et pourtant tous nécessaires : Edgar Poe et Jacques Lacan, Carlo Ginzburg et Michel Foucault, les habitants de Manhattan, un photographe victorien spécialisé dans les gouttelettes, et plusieurs neurologues le marteau à la main. Au terme de ce parcours, Steeves Demazeux propose une refondation vigoureuse de notre épistémologie de la psychiatrie, qui doit changer et d'objet et de but

10/2019

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Esotérisme

Perspectives spirituelles de l'écossisme

Le précédent ouvrage de Pierre-Marie Savaignac, Qabale et Maçonnerie proposait une clef de déchiffrement de la langue hébraïque basée sur la guématrie sinaïtique de Maurice Grinberg et le système de plénitudes exposé par Carlo Suarès. Cette clef fournit des éclairages nouveaux sur le Rite Ecossais Ancien et Accepté en allant au-delà de la connaissance " extérieure " que l'on peut en avoir au travers des mots sacrés, des mots de passe et d'un cathéchisme de questions et réponses faisant souvent appel à la langue hébraïque. C'est dans cette optique que les degrés de Perfection, le degré de Prince de Merci, de Chevalier Kadosch et de Sublime Prince du Royal Secret ont été abordés dans le présent ouvrage. Mais la Franc-Maçonnerie du Rite Ecossais Ancien et Accepté, par son caractère d'Universalité, va au-delà de la seule tradition hébraïque et englobe, parfois à l'insu de ses membres, des connaissances initiatiques qui constituent le fond secret d'autres domaines traditionnels. C'est ainsi que les philosophes grecs, présocratiques et classiques, y trouvent naturellement leur place, tout comme certains philosophes médiévaux de l'Islam et du Judaïsme, Averroès et Maïmonide par exemple. On peut aussi y retrouver les Soufis d'Asie centrale et les voyants toltèques respectivement évoqués par GI Gurdjieff et C Castaneda. En outre la doctrine médiévale des Fidèles d'Amour, développée en France et en Italie, se manifeste au travers de l'analyse du degré de Prince de Merci qui se rattache à la Divine comédie par la présence de la noble Dame de Vérité. Les notions d'intellect acquis et d'intellect agent, issues du monde médiéval, peuvent fournir un début d'explication du processus initiatique censé faciliter le jaillissement de cette " étincelle divine " enfouie au plus profond de l'Homme et qui porte le nom de " Maître Hiram ".

05/2002

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Musique, danse

La véritable biographie de la Belle Otero et de la Belle Epoque. Ruine-moi mais ne me quitte pas

Rien n'est plus romanesque que la vie de la danseuse et interprète de pantomimes Caroline Otero. Cette Galicienne née de père inconnu (ou fille d'un curé ?), chassée par sa mère à l'âge de douze ans, quitta son foyer avec comme seul atout ses charmes. Après avoir débuté dans les cabarets de Barcelone, une prestation spectaculaire au Grand Vefour marqua le commencement d'une carrière fulgurante et internationale : d'abord au Cirque d'Été, puis aux États-Unis en 1890 où elle devint la Diva adulée. De retour à Paris, elle conquiert pendant presque vingt ans son public : des Folies-Bergères au Théâtre des Mathurins, elle interprète surtout des rôles de belle étrangère, (Une fête à Séville, La Chulapa, Rêves d'opium, La Dominicaine) sans oublier le rôle de Carmen. Amie de Colette, rivale de la Carmencita, autre Espagnole et plus tard de Liane de Pougy, de Cléo de Mérode ou d'Émilienne d'Alençon, la reine de l'élégance fréquente les hauts lieux parisiens, aux bras de riches banquiers ou de rois, et de celui qui fut longtemps son amant, le président du Conseil Aristide Briand. A quarante ans, en pleine gloire, la Belle Otero décide de se retirer et s'installe à Nice, jusqu'à la fin de sa vie. Son amour du jeu lui fait perdre presque toute sa fortune au casino de Monte Carlo. Elle meurt seule, dans la plus grande indigence, dans sa chambre meublée de l'hôtel Novelty, à l'âge de quatre-vingt-seize ans, en 1965. Cette biographie, enrichie de documents d'archives inédits et d'une centaine de photographies, retrace un destin incroyable qui fut intrinsèquement lié à celui de la Belle Époque parisienne. C'était aussi la naissance de la Côte d'Azur qui accueillit Otero parmi tant d'autres.

04/2003

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Beaux arts

Chastel et l'Italie 1947-1990. Lettres choisies et annotées

Couvrant près de quarante ans, la correspondance échangée entre André Chastel (1952-1990) et de nombreux historiens de l'art, historiens, philologues et artistes italiens témoigne de la richesse des relations nouées avec l'Italie dès l'immédiat après-guerre. Glanés dans les archives Chastel de la bibliothèque de l'Institut national d'histoire de l'art à Paris ainsi que dans celles de ses correspondants en Italie, ces écrits évoluent, passant petit à petit de simples courriers administratifs à de véritables débats scientifiques, allant même jusqu'à offrir des témoignages d'amitié vraie entretenue avec Roberto Longhi, Giuliano Briganti, Sergio Bettini ou Enrico Castelnuovo. Ils documentent tout autant l'engagement de Chastel en faveur d'un renouveau de l'histoire de l'art en France que l'intérêt porté parallèlement aux approches méthodologiques de ses collègues italiens, de Roberto Longhi à Bernard Berenson, en passant par Carlo Ludovico Ragghianti, Eugenio Garin et Sergio Bettini. Ils nous renseignent également sur la réception de ses travaux en Italie, comme dans le cas de son Art italien (Paris, Larousse, 1956), traduit et publié dès 1957 grâce à Roberto Longhi. S'y manifeste également son engagement pour la défense du patrimoine, notamment dans le cadre de sa participation au rayonnement du "Centro internazionale di studi di architettura Andrea Palladio " de Vicence. Bien au-delà du milieu des historiens de l'art, ce "dialogue" de Chastel avec l'Italie invite aussi les personnalités les plus en vue de l'époque, tels Mario Praz, Vittore Branca, Italo Calvino et Federico Fellini, et révèle, dans les lettres adressées aux peintres Massimo Campigli et Zoran Music ou au photographe Milton Gendel, des aspects inédits des réflexions de Chastel.

03/2020

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Littérature étrangère

Budapest

" Je me suis retrouvé à Budapest à cause d'une escale imprévue, alors que je volais d'Istanbul à Francfort, où j'avais une correspondance pour Rio. La compagnie a offert aux passagers une nuitée dans un hôtel de l'aéroport et ne nous informerait que le lendemain matin que le problème technique qui avait provoqué cette escale en fait avait été une alerte anonyme à la bombe. Cependant, regardant distraitement à la télé le journal de minuit, j'avais déjà été intrigué en reconnaissant l'avion de la compagnie allemande garé sur une piste de l'aéroport. J'avais augmenté le son, mais le reportage bien sûr était en hongrois, la seule langue du monde, disent les mauvaises langues, que le diable respecte. J'ai éteint la télé, à Rio il était sept heures du soir, une bonne heure pour téléphoner chez moi : je suis tombé sur le répondeur, je n'ai pas laissé de message, à quoi bon dire allô, ma chérie, c'est moi, je suis à Budapest, il y a eu un pépin avec l'avion, je t'embrasse. " Tout en étant le héros et le narrateur de sa propre vie, José Costa - a priori condamné par sa profession de " nègre " à rester dans l'ombre - en est aussi le spectateur impuissant. À partir d'un arrêt forcé dans la capitale hongroise, les événements semblent lui échapper, et son existence ressemble de plus en plus à un jeu de pistes linguistique et sentimental entre deux villes, deux langues, mais aussi entre deux femmes, loin de la vie tranquille et sans éclat qu'il menait auparavant. Ce troisième roman de Chico Buarque, hilarant tour de force littéraire qui nous mène des plages d'Ipanema aux bords du Danube, recèle une réflexion très originale sur les questions d'identité et de langue.

02/2005

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Histoire de France

Gens du Moyen Age. Six croquis de la vie ordinaire

Eileen Power est âgée de trente-cinq ans lorsqu'elle met la dernière main, en 1924, à ce petit livre extraordinaire, rédigé comme un antidote à la littérature savante des historiens. Elle y déroule la vie de six "personnes ordinaires" saisies dans leur vie familiale et dans leurs activités professionnelles: le paysan Bodo et sa femme Ermentrudis, habitants d'un domaine rural près de Paris à l'époque de Charlemagne ; Marco Polo et les missionnaires catholiques en Extrême-Orient au XIIIe siècle; Madame Eglentyne, la prieure de Chaucer sortie des Contes de Canterbury; un vieux bourgeois de Paris, décrivant à sa jeune épouse l'art de bien tenir son ménage à la fin du XIVe siècle; Thomas Betson, marchand anglais de l'Etape des Laines au XVe siècle et sa promise, la petite Katherine Riche; la lignée des Paycocke, manufacturiers de draps de Coggeshall, régnant sur leur monde de fileuses, de cardeurs, de tisserands, de peigneurs et de teinturiers au XVIe siècle. Croisant toutes les sources à sa disposition, documents fonciers, récits de voyage, testaments, contes et romans, peintures chinoises, pierres tombales et décorations d'église, elle livre ici une leçon magistrale d'histoire vivante, une nouvelle manière d'écrire l'histoire très proche de celle de Marc Bloch dans la Société féodale. Pionnière, son oeuvre annonce les premiers accomplissements de la microhistoire comme Le fromage et les vers de Carlo Ginzburg (1976) ou Le retour de Martin Guerre de Natalie Zemon Davis (1983). Resté jusqu'ici inédit en français, Medieval People est régulièrement réédité en Grande-Bretagne et aux Etats-Unis où il est considéré comme un classique de l'histoire sociale. Il a été traduit en espagnol, en japonais, en néerlandais, en italien et en coréen.

03/2012

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Littérature française

Namtar, histoire de vies qui libère

"Il ne restait plus qu'une rue à prendre pour se retrouver chez lui quand soudain un sifflement intense pénétra son corps entier et d'instinct ils se jetèrent à terre, les mains sur la tête. Puis ce fut un bruit d'explosion assourdissant, où ses tympans étaient comme pris d'assaut, bouchés à tous les sons, si ce n'est le battement frénétique, de son coeur apeuré au-dedans. Une minute à peine suffit pour que des hurlements déchirants atteignent ses oreilles et que sous l'effet d'un pressentiment néfaste, il se relève d'un bon, pour courir rejoindre sa maison, dans la rue, juste à côté. Juste à côté, il n'y avait plus rien qui ressemble à des maisons, un nuage de poussière s'élevait de la terre qui n'était plus qu'un amas de pierres, de tôles et de vitres, entassées pêle-mêle. Il n'y avait même plus de rue reconnaissable sous ce mot, tout avait été dévasté." Namtar, c'est l'histoire entrelacée, de Ahmed, Aya, Arno, Aminata et Anton. Cinq destins qui vont se croiser, s'influencer les uns les autres. Qu'est-ce qui peut bien relier le Palestinien insoumis, la craintive Japonaise, le franco-belge en quête de sens, la Camerounaise déterminée et le doux rêveur américain ? Rien, a priori, sauf cette pointe d'humanité en travers coeur et ce souffle puissant qui secouant leurs pensées, va les pousser à sortir de leurs destins tout tracés, pour suivre un rêve, l'espoir d'une vie meilleure. Namtar, ou comment à une minute près, le hasard, que certains appellent Dieu, peut tout transformer, nous faire ou nous défaire, suivant les choix qui nous sont donnés et ceux que l'on prend. Namtar, une Histoire de vies qui libère.

11/2021

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Littérature française

Le bon coupable

Un beau dimanche d’été. Un village désert à l’heure de la messe. Une fillette de dix ans en chemin pour rejoindre son père à son atelier. Un homme en état d’ébriété qui traverse le village au volant de sa jeep avant de finir sa course dans un étang, à quelques encablures de là. Un second véhicule, une Jaguar rutilante, qui emprunte à vive allure le même trajet. Le choc, un accident sans témoin. Une fillette de dix ans tuée sur le coup. Un coupable tout désigné. Un suspect potentiel – au-dessus de tout soupçon. Volage et noceur, Carlo Mazure est un marchand de bestiaux qui mène une vie de patachon assez misérable. L’exact opposé de Régis Lagerman, procureur de son état et, à ce titre, incarnation supposée de l’intégrité et de la droiture. Deux hommes et deux destins que tout oppose : l’un, la soixantaine débonnaire et philosophe, qui sait que sa vie est derrière lui ; l’autre, jeune et brillant fonctionnaire, promis à un bel avenir et que les scrupules n’étouffent pas au moment d’éviter les obstacles, de quelque nature soient-ils, qui se dressent sur sa route. Qu’adviendrait-il si leurs routes venaient à se croiser ? Délits de fuite porte le sceau inimitable de ces contes philosophiques aussi légers que profonds dont Armel Job s’est fait une spécialité. Le récit – scandé par un dilemme moral : un représentant de la loi peut-il se dérober à la justice ? – obéit à une mécanique précise et implacable. Inspiré par la parabole évangélique du pharisien et du publicain (Luc 18, 9-14), qui invite en substance à ne pas juger selon les apparences, Délits de fuite scrute le cœur et sonde les reins des hommes avec une rare intelligence.

02/2013

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Beaux arts

De Giotto à Goya. Peintures italiennes et espagnoles du musée des Beaux-Arts de Strasbourg

La collection de peintures italiennes du musée des Beaux-Arts de Strasbourg n'a pas cessé de s'accroitre depuis sa fondation en 1802, quand le musée reçoit de Paris par décret ministériel 13 tableaux de peintres italiens. Son histoire n'est pas sans sursauts : victime d'un incendie à la suite des bombardements allemands en 1870, reconstituée puis dispersée pendant la Seconde Guerre mondiale, elle compte aujourd'hui 140 oeuvres, en s'affirmant ainsi comme une des plus riches collections dans le domaine en région. Sa richesse est due notamment à la variété artistique qu'y est représentée. Des primitifs italiens (XIVe siècle), parmi lesquels se distinguent les oeuvres de Sandro Botticelli, Cima da Conegliano et Giotto, aux peintres baroques (XVIIe – XVIIIe siècle) tels que Jacopo Vignali, Carlo Bononi, Luca Giordano, Salvator Rosa, Giuseppe Maria Crespi, Canaletto et Tiepolo, les oeuvres de l'école léonardesque, du Corrège, de Lorenzo Lotto, de Raphaël, du Tintoret et du Véronèse entre autres (XVIe siècle) y trouvent leur place. Un ensemble notable de dix peintures espagnoles, constitué entre autres des oeuvres de Goya, El Greco et Ribera, complète la collection " latine " du musée, composée par ailleurs par les écoles française, flamande et hollandaise. Le catalogue De Giotto à Goya présente une analyse approfondie des 150 oeuvres italiennes et espagnoles et rend compte des recherches récentes. Un riche corpus d'images de comparaison (100 environ) sert d'appui au discours et permet d'étayer notamment des hypothèses inédites de nouvelles attributions. Il permet aussi de reconstituer des retables dont les différents éléments sont dispersés dans les musées européens, russes et américains. Appréciable par tout visiteur du musée et passionné d'art, l'ouvrage se propose ainsi comme une référence incontournable dans le domaine de l'histoire de l'art.

09/2017

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Photographie

Information, document, oeuvre. Parcours de la photographie en Italie dans les années soixante et soixante-dix

Quel poids l'expérience des avant-gardes a-t-elle eu sur le développement de la photographie contemporaine italienne ? Quel rôle les institutions, le marché et la critique d'art ont-ils joué dans son essor ? Ce livre nous fait découvrir une période foisonnante d'échanges qui ont marqué la relation entre art et photographie en Italie. Arte povera, reportage d'art et représentation du patrimoine, anthropologie visuelle, architecture et urbanisme sont les coordonnées culturelles de la scène artistique et photographique italienne entre les années soixante et le début des années quatre-vingt. Le texte interroge la transformation de la notion d'oeuvre et celle de son miroir fidèle, la photographie documentant l'art qui, au fil des années, a vu son statut changé en devenant instrument critique et oeuvre elle-même. En Italie, cette photographie donna lieu à une extraordinaire floraison iconographique, malgré un manque paradoxal de reconnaissance de la part des institutions et des marchands d'images. Cet ouvrage présente le travail de Piero Manzoni, Giulio Paolini et des artistes de l'arte povera (Jannis Kounellis, Giuseppe Penone, Michelangelo Pistoletto, Pino Pascali, Emilio Prini) ainsi que les recherches d'Ugo Mulas, Franco Vaccari, Morio Cresci, Cesare Tacchi, Luigi Ghirri, Germano Olivotto, Paolo Monti et bien d'autres, en soulignant les échanges avec la scène pop et conceptuelle américaine. L'analyse porte également sur les contributions des acteurs du milieu artistique : des critiques (Germano Celant, Achille Bonito Oliva, Arturo Carlo Quintavalle, Daniela Palazzoli, Filiberto Menna), un opérateur vidéo (Gerry Schum), des galeristes (Plinio De Martiis et Fabio Sargentini), autant de figures exemplaires d'un panorama complexe qui témoigne d'une nouvelle vision de l'art, de son espace d'exposition et de sa représentation dans les catalogues, les livres et les revues.

10/2015

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Biographies

Soljénitsyne et la France. Une oeuvre et un message toujours vivants

L'Institut de France et la Sorbonne ont donné abri et prestige à la grande conférence internationale qui s'est tenue en novembre 2018 pour célébrer en France, à Paris, le centenaire d'Alexandre Soljénitsyne qui fut le quatrième Prix Nobel russe de littérature. Certes il n'a pas élu domicile en France, mais lui et sa femme Natalia y séjournèrent plus que dans tout autre pays occidental, hormis la Suisse et l'Amérique. L'écrivain se déclara même surpris qu'elle soit devenue pour lui '' une deuxième patrie ''. Les ors de la République comme les voix des lycéens et étudiants se sont unis pour questionner l'oeuvre d'Alexandre Soljénitsyne, ajoutant ainsi une page importante à l'histoire déjà riche de la " réception " de Soljénitsyne en France. Vingt-six personnalités : politiques, historiens, philosophes, romanciers ou psychanalystes - français, russes, américain, italien - ont évoqué, chacun à sa façon, la vie et l'esprit d'un lutteur, d'un bagnard devenu immense romancier, d'un captif de l'idéologie qui a brisé ses chaînes et retrouvé le Dieu que sa mère et son grand-père lui avaient inculqué. De ces journées comme de ce livre, il restera une impression d'avoir touché aux mains et à l'esprit d'un champion qui s'est libéré et qui peut encore nous apprendre à nous libérer, nous aussi. Les participants : Georges Nivat, Pierre Morel , Xavier Darcos, Catherine Bréchignac, Gilles Pécout, Jean-Yves Le Drian, Jean-Michel Blanquer, Hélène Carrère d'Encausse, Pierre Manent, Daniel Mahoney, Ludmila Saraskina, Michel Niqueux, Luba Jurgenson, Michel Crépu, Edgar Morin, Jean-Claude Casanova, Tatiana Victoroff, François Euvé, Patrick Pouyanné, Chantal Delsol, Antoine Compagnon, Bérénice Levet, Hervé Mariton, Alexandre Arkhangelski, Julia Kristeva, Carlo Osola.

03/2021

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Manga guides et revues

AnimeLand N° 234, avril-juin 2021 : Jujutsu Kaisen et la révolution de l'anime

Au sommaire de ce numéro DOSSIER 30 ANS d'ANIMATION JAPONAISE EN FRANCE La France, l'autre pays des anime et du manga Les dates majeures L'anime en France : 10 oeuvres clés Le boom Jujutsu Kaisen Des exceptions françaises ? La perpétuelle adaptation des médias spécialisés Entretien croisé : Jean-François Dufour, Thomas Sirdey - Japan Expo Bilan du marché manga Entretien Yvan West Laurence, premier rédacteur en chef d'AnimeLand Et si les bébés zappeurs avaient provoqué la chute de Ségolène Royal ? Entretien Carlo Levy, Dybex No Border, the French Studio sans limite Entretien Cédric Littardi, entrepreneur défricheur passionné Le webtoon s'ouvre à la japanime 30 ans de japanime... Et demain ? CA FERAIT UN BON ANIME ! My Broken Mariko La Guerre des Mondes The Ride-On King Dracula Le Dévoreur de souvenirs Dans les pas de Nietzsche Une brève histoire du Robo-Sapiens L'Atelier des sorciers 20th Century Boys Des Assassins ON A VU Batman : Soul of the Dragon Star Trek : Lower Decks Noblesse Heaven's Design Team Mushoku Tensei : Jobless Reincarnation SK8 The Infinity Wonder-Egg Priority L' Attaque des Titans : Saison Finale So I'm a spider, so what ? Beastars saison 2 Millenium Actress Raya et le dernier dragon ET AUSSI Entretiens Toshio Suzuki, producteur de Ghibli et Gor Miyazaki, réalisateur d'Aya et la sorcière Focus Retour sur Dragon Quest : La Quête de Daï et Les mille facettes de Magelis Fermez les yeux My Hero Academia Heroes Rising Séance Studio Bones, la croissance continue Jeu vidéo Hitman 3 L'animation dans la pub Dagoma Figurede Pro Claire Paoletti, scénariste et productrice Pourquoi ? Faut-il reconsidérer le rapport 2D/3D pour un animateur ? Trouvaille Libres ! Hommage Séparation des Daft Punk Humeur Les Jeux de Maux

04/2021

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Littérature Italienne

Gênes 2001 suivi de Gênes 2021

Journal des "événements" tragiques survenus à Gênes en juillet 2001 lors du sommet du G8, Gênes 01 retrace la violente répression des manifestations altermondialistes par la police et les carabiniers italiens. Proche de l'asphyxie et rythmé de jets de balles lacrymogènes, cet oratorio politique donne la parole aux acteurs de la tragédie. Au terme de trois jours d'émeute et de répression sanglante, le bilan est lourd : 600 blessés du côté des manifestants, près de 200 voitures brûlées, et un mort, Carlo Giuliani, 23 ans, militant "no global" tué par balles à la tête par un policier. L'acmé de la tragédie composée par Paravidino évoque le dernier jour du sommet : l'assaut de l'école Diaz où s'étaient réfugiés des militants issus de médias alternatifs, détenant des preuves de violences policières. Séquestrés pendant trois jours à la caserne de Bolzaneto, ils subissent de nombreux sévices, violences et humiliations. Ce qu'Amnesty International qualifia de "plus grande violation des droits humains et démocratiques dans un pays occidental depuis la Seconde Guerre mondiale" donna lieu à un acquittement des forces de l'ordre, accusées d'abus de pouvoir, de violences, d'injures et de coups, et de "falsification de preuves" , lors de leur procès en mars 2008, en vertu d'une loi d'amnistie instaurée en 2006. Les tortures ne seront officiellement reconnues par les autorités policières italiennes qu'en 2017. L'appendice Gênes 2021 revient sur le chemin politique et social parcouru depuis le G8. y Passant au crible le système idéologique de l'économie libérale, Fausto Paravidino souligne, de sa plume ironique, les dérives de plus en plus grossières d'un système capitaliste au service des puissants.

05/2022

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Histoire de la philosophie des

La naissance du savoir. Dans la tête des grands scientifiques

Nicolas Martin a réuni les plus grands scientifiques francophones, celles et ceux dont les travaux ont un retentissement international : dix hommes, sept femmes, dix-sept disciplines. Dans ces entretiens exclusifs, ces cerveaux remarquables nous ouvrent pour la première fois leur " boîte noire ". Ils nous racontent d'où vient leur vocation, les qualités nécessaires pour mener à bien des recherches dans leur domaine, quelles ont été leurs réactions face aux échecs ou aux fausses pistes, comment s'organise leur pensée et si le moment eurêka existe réellement... Jamais un tel panorama ne nous a été offert. Ce livre est une plongée dans l'intimité de savants pleins d'humilité, qui s'expriment à coeur ouvert, dans une langue accessible à tous. Avec une grande générosité, ils partagent leur savoir et leur savoir-être. Une vision du monde en forme de kaléidoscope passionnant. Avec : Carlo Rovelli, physique théorique et philosophie des sciences Sabrina Krief, primatologie et médecine vétérinaire Evelyne Heyer, anthropologie génétique Alain Aspect, physique quantique Edith Heard, épigénétique Etienne Ghys, mathématiques et géométrie Marc Lachièze-Rey, physique théorique et astrophysique Sophie Szopa, chimie de l'atmosphère et écologie Jean-Jacques Hublin, paléoanthropologie Jean-Pierre Sauvage, chimie moléculaire Franc ? oise Combes, cosmologie et astrophysique Marc-André Selosse, biologie et mycologie Yves Agid, neurologie et médecine Laurence Devillers, informatique et intelligence artificielle Arnaud Fontanet, épidémiologie Gilles Boeuf, biologie et écologie Hélène Loevenbruck, linguistique Au micro de " La Méthode scientifique " pendant six ans sur France Culture, Nicolas Martin a rec ? u les plus grands scientifiques franc ? ais, toutes disciplines confondues. Désormais éditeur aux Arènes, il publie avec La Naissance du savoir le premier d'une série de livres de sciences conc ? us avec le même esprit d'ouverture et de pédagogie.

05/2023

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Science-fiction

La horde du contrevent

"?Imaginez une Terre poncée, avec en son centre une bande de cinq mille kilomètres de large et sur ses franges un miroir de glace à peine rayable, inhabité. Imaginez qu'un vent féroce en rince la surface. Que les villages qui s'y sont accrochés, avec leurs maisons en goutte d'eau, les chars à voile qui la strient, les airpailleurs debout en plein flot, tous résistent. Imaginez qu'en Extrême-Aval ait été formé un bloc d'élite d'une vingtaine d'enfants aptes à remonter au cran, rafale en gueule, leur vie durant, le vent jusqu'à sa source, à ce jour jamais atteinte? : l'Extrême-Amont. Mon nom est Sov Strochnis, scribe. Mon nom est Caracole le troubadour et Oroshi Melicerte, aéromaître. Je m'appelle aussi Golgoth, traceur de la Horde, Arval l'éclaireur et parfois même Larco lorsque je braconne l'azur à la cage volante. Ensemble, nous formons la Horde du Contrevent. Il en a existé trente-trois en huit siècles, toutes infructueuses. Je vous parle au nom de la trente-quatrième? : sans doute l'ultime.?" Au livre-univers, Arno Alyvan compose le plus riche des échos? : un disque-univers. A savourer avant ou après la lecture du roman. La Horde du Contrevent a reçu le Grand Prix de l'Imaginaire 2006 et le prix Imaginales des Lycéens 2006. Ce " livre monde " hors du commun a suscité un engouement collectif qui ne se dément pas depuis sa parution. Traduit en italien aux éditions Norde, il compte parmi? : les 101 romans cultes, sélectionnés par les libraires de Virgin (2009) les 100 chef d'oeuvres incontournables de l'imaginaire, édités chez Librio les 50 incontournables de la SF du guide Fnac les 20 chefs d'oeuvres de la fantasy de la bibliothèque idéale de l'imaginaire (Cafard cosmique).

04/2024

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Techniques artistiques

Peindre campagnes et villages à l'aquarelle

Qu'il soit discrètement présent, comme un fond de tableau à la Renaissance, ou sujet principal comme chez les peintres de l'école de Barbizon, le paysage signifie - au moins - la marque d'une organisation de la nature. Le paysage est un thème majeur de figuration, comme si l'artiste voulait signifier quelque symbole de la vie. À lui d'en saisir la métaphore et d'en traduire le sens. Il lui faut saisir les repères qui scandent l'espace : les haies, les champs, les chemins, les constructions... Les dimensions, la lumière, les ombres, la perspective, tout s'agence et il peut en naître un tableau, spectacle immobile de la rencontre entre l'homme et la nature. Sur le papier se vit un dialogue entre le vide et le plein qui bouge imperceptiblement. L'eau et son mariage avec le papier créent une histoire dont il faut respecter l'évolution. L'aquarelle vit sa propre aventure, dont lui, le manieur de pinceau, n'est que l'instigateur, mais pas tout à fait le maître... Dans cet ouvrage, 5 aquarellistes vous communiquent leurs choix, leurs regards et leur expérience à travers 20 paysages et sujets expliqués étape par étape.

03/2010

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Littérature française

Rhapsodies de Tanit la captive

ce roman est un fragment d'une vie de Tanit. Il se de?roule en pe?riodes tanto?t embaume?es de l'aro?me enivrant du basilic et tanto?t impre?gne?es de la saveur ame?re du laurier, en suivant le douloureux cheminement de l'he?roi?ne vers la de?livrance de l'emprise des ze?lotes qui harce?lent, intimident, menacent et agressent les e?tres e?pris de liberte?... Face a? la re?solution de Tanit et de ses camarades de s'e?manciper du joug du conservatisme, ils la de?clarent captive par une fatwa et finissent par ourdir son viol... Que veut-elle ? Son bonheur et celui des femmes et des hommes qui de?sirent vivre leur vie dans le temps pre?sent, selon leur conscience... Haram ! Haram ! s'e?crient les inquisiteurs qui tentent d'inverser le cours de l'Histoire. Le cri de souffrance, l'e?lan de solidarite? agissante et l'appel a? la libre conscience entreprennent de sceller la vanite? du funeste dessein d'une milice qui s'acharne a? vouloir empe?cher les sources de la montagne de continuer de sourdre, les cent fleurs de la valle?e d'e?clore et les abeilles de la plaine de butiner. L'e?criture narrative e?pouse les me?andres de rhapsodies ou? la que?te du bonheur et l'euphorie du ravissement le disputent au de?lire obsidional et a? la violence sociale.

08/2018

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Musique, danse

Quatre siècles de chansons grivoises et paillardes aux Antilles-Guyane

Aux Antilles-Guyane, la pratique musicale et culturelle originale est peu documentée. Elle est pourtant diffusée partout, transmise par le bouche-à-oreille, de générations en générations, façonnée par l'histoire et ses transformations sociales et elle est notamment transmise pendant les carnavals, les repas entre amis ou sur la scène de nos salles de spectacles par le biais des chansons grivoises et paillardes. Quatre siècles de chansons grivoises et paillardes aux Antilles-Guyane redonne à ce répertoire la place qui lui revient dans nos sociétés ultramarines. L'ethno-musicologue Esther Eloidin, s'appuyant sur les euphémismes de la langue créole et sur ses sens métaphoriques, rassemble ici pour la première fois une soixantaine de chansons du 18e au 21e siècle. Ces chansons sont cochonnes et coquines mais aussi subtiles, profondes et variées autour de 14 thèmes différents, mobilisant d'un ton enjoué et pertinent une approche anthropo-musicologique resituée dans ses contextes l'historique, culturel et psycho-social. Découvrez ou re-découvrez dans cet opus des chansons très populaires, qui parfois ont mème traversé l'Atlantique depuis les Antilles-Guyane, telles que "Lisette à Colin", "Ti zouézo", "Choucoune", "Régina Coco", "Charlotte boss' a coco", "Epi ki alò", "Bonda man fortuné", "Koké bon", "Emmanuel rozé jaden-la", "Pitit-a manman", "Zizi panpan" ou "Le Lolo". Leur universalité tient sans doute à la légèreté de leurs rimes, à leur crudité autant qu'aux subtilités des différents thèmes explorés. Les fous rire qu'elles suscitent y sont sans doute aussi pour beaucoup...

01/2021

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Beaux arts

Giorgio de Chirico, la peinture métaphysique

L'exposition Giorgio de Chirico. La peinture métaphysique au musée de l'Orangerie, du 16 septembre au 14 décembre 2020, retrace le parcours et les influences artistiques et philosophiques qui ont nourri l'artiste Giorgio de Chirico de Munich à Turin, puis à Paris où il découvre les avant-gardes picturales de son temps et enfin à Ferrare. De manière inédite, seront mis en lumière les liens du peintre, découvert par Apollinaire puis soutenu par le marchand Paul Guillaume, avec les cercles culturels et littéraires parisiens. Né en Grèce et formé dans le creuset de la culture classique et du romantisme allemand tardif, De Chirico développe les fondements d'une nouvelle conception artistique aux côtés de son frère cadet Alberto Savinio. Elève à l'Académie des Beaux-Arts de Munich à partir de 1908, il découvre la pensée de Nietzsche et Schopenhauer ainsi que les oeuvres de Böcklin et de Klinger. Après un passage à Milan puis Florence, c'est cependant depuis la France, à Paris dès l'automne 1911, qu'il met en place un vocabulaire plastique singulier au contact des révolutions picturales modernistes. Il est très vite remarqué par certaines personnalités artistiques de son temps. Guillaume Apollinaire, Maurice Raynal et André Salmon, mais aussi André Breton, Paul Eluard, Jean Paulhan, sont parmi les premiers à s'intéresser à son oeuvre et à la promouvoir. L'exposition trouve ainsi toute sa place au musée de l'Orangerie autour de la figure de Paul Guillaume qui fut le tout premier marchand de Giorgio de Chirico. De retour en Italie en 1915, il est envoyé avec son frère Savinio à Ferrare pour des raisons militaires et y poursuit ses recherches picturales. La période ferraraise (juin 1915-décembre 1918) est l'occasion pour les peintres Carlo Carrà et Giorgio Morandi de fréquenter les deux frères permettant ainsi la formation de ce que l'on qualifiera plus tard d'"école métaphysique" et sur laquelle se clôt l'exposition.

09/2020

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Essais

Photographie contemporaine & anthropocène

L'" anthropocène " signe une crise civilisationnelle profonde. Les assises, sur lesquelles les sociétés occidentales se sont senties pendant longtemps solidement établies, paraissent désormais précaires. La confiance accordée au progrès technique et aux acquisitions scientifiques est ébranlée. Nombreuses sont les oeuvres photographiques contemporaines qui s'attellent à problématiser et à penser les évolutions de nos modes de vie, de nos valeurs, de nos relations au vivant, au temps ou au progrès. Il s'agit dans cet ouvrage d'analyser la façon dont ces travaux donnent à réfléchir, s'inscrivant de façon féconde dans le débat public. Liste des photographes présentsA : Peter Fischli & David Weiss, Mishka Henner, SMITH, Ignacio Acosta, Mathieu Asselin, Richard Misrach, Yves Marchand & Romain Meffre, Carlos Ayesta & Guillaume Bression, Guillaume Herbaut, Robert Polidori, Céline Clanet, Françoais Delderrière, Petra Stavast, Jan Stradtmann, Marina Caneve, Céline Duval, Batia Suter, Arno Gisinger, Catherine Poncin, Agnès Geoffray, Jan Fontcuberta, Mathieu Pernot, Jean-Marie Donat, Bernard Plossu, Jean-Luc Mylayne, Michel Séméniako, Thomas Struth, Jürgen Nefzger, Bertrand Stofleth, Julien Guinand, Joel Sternfeld, Eric Dessert, Thierry Girard, Beatrix von Conta, Brigitte Bauer, Guillaume Bonnel, Marc Deneyer, Anne-Marie Filaire, Olivier de Sépibus, Geoffroy Mathieu, Ianna Andréadis, Bruno Goosse. "Les termes d'écologie, d'environnement, d'anthropocène ou de réchauffement climatique se trouvent aujourd'hui repris à satiété au sein des médias et convoqués dans les travaux des chercheurs de nombreuses disciplines de sorte que, pour dissiper tout sentiment de dispersion, voire de confusion, il paraît nécessaire de commencer par préciser ce dont le présent livre ne parlera pas. Il ne s'agira pas ici d'étudier des oeuvres photographiques qui, se concentrant sur des substances organiques ou des matériaux bruts, envisagent les éléments naturels comme un médium et relèvent d'une forme d' "âécopoïétiqueâ" . Les travaux proches du Land Art ou de l'Arte Povera mobilisant la prise de vue ne seront pas pris en considération". [... ] Danièle Méaux

11/2022