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P. J. Lambert

Extraits

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Psychologie, psychanalyse

Un foetus mal léché. Trois ans avec Dolto

"Qu'étais-je venue faire en Psychanalyse ?... Moi, l'immature, ignorant l'amour et la haine, le conflit, la culpabilité ; moi, encore dans les limbes... Pourquoi un divan au sortir du berceau ? Pourquoi ce divan-là qui devint si célèbre ? Voici comment j'ai été, à vingt-six ans, la patiente de Françoise Dolto ; pourquoi je l'ai quittée, conquise par la femme, non par l'analyse ; pourquoi, à l'âge de la retraite j'ai rédigé mes souvenirs et pourquoi, vingt-cinq ans plus tard, grâce à l'abondance de ses publications, j'ai voulu savoir qui était vraiment la psychanalyste que j'ai connue."

10/2015

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Littérature française

Des ténèbres à la lumière Tome 2 : A la vie, à la mort

Le bonheur éternel, moi, j'y ai cru. Je l'ai effleuré avant de le voir s'échapper, alors là encore, je me suis obstiné. J'ai fermé les yeux et j'ai continué de rêver. Rêver de la beauté d'un monde uni, guéri ; rêver de la bonté de nos âmes meurtries et puis, fatalement, j'ai ouvert les yeux : que vaut la vie quand elle n'est bercée que par de vulgaires désillusions ? Rien. Que vaut-elle quand elle nous arrache amour, repères et piliers sans jamais se retourner, ne serait-ce qu'un seul instant ? Absolument rien. Mirage, mirage, maudit mirage, pourquoi es-tu venu pourrir mes songes ? ...

02/2019

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Lecture 9-12 ans

Harold et les dragons Tome 4 : La quête de la patate congelée

Vraiment, cette journée, c'est la CATASTROPHE ! D'abord, j'ai failli mourir ECRABOUILLE au pied d'une falaise. Ensuite, j'ai tiré une flèche dans le ROYAL FESSIER de cette grosse brute de Norbert le Givré. Pour finir, j'ai appris que mon meilleur seul ami s'était fait piquer par un dragon au VENIN MORTEL... Evidemment, je n'ai que quelques heures pour trouver l'UNIQUE antidote du monde non civilisé. Et évidemment, il est entre les mains de Norbert, qui a juré de se venger. Alors, vous vous demandez tous comment j'ai sauvé mon ami ? Eh bien, voici le secret de ma réussite !

01/2019

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Littérature française

Parachutiste un jour... Pilote un autre jour

Elevé et ayant grandi à la campagne, je rêvais de devenir footballeur professionnel à l'image de Kopa et de Fontaine des années 60. J'aimais le sport de combat comme le judo et j'ai vite compris que l'Armée pouvait m'offrir une vie sportive. Mon engagement volontaire dans les Paras était significatif. Par la suite et parallèlement, j'ai aussi pratiqué le parachutisme civil, sportif. Devenu formateur sur les deux plateformes, j'adorais le travail aérien en général. Puis me projeter vers le pilotage avion n'a été qu'une formalité. Par contre devenir pilote d'avion en brousse a été inédit.

01/2020

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Religion

Les dix grandes vies antérieures du Bouddha. Thotsachat

Loin d'être une composante accessoire de l'enseignement, ou une quelconque concession destinée à un public non savant, le récit est au coeur de la parole du Bouddha (Ve s. av. J.-C.) et d'une pédagogie toujours soucieuse d'efficacité. L'une des formes d'enseignement figurant dans les listes traditionnelles est celle appelée j?taka, ou récit d'épisodes qui se sont déroulés dans une vie antérieure du Bouddha Gotama, alors qu'il était un Bouddha en puissance (bodhisattva). Il existe 547 de ces vies antérieures. filigrane. Les traductrices-adaptatrices, oeuvrant à partir d'un texte en thaï rédigé à partir du pâli par le moine érudit Hongladarom, en ont fait un récit vif au parfum très moderne et rendent ainsi accessibles au public francophone des récits anciens pleins de vie et d'enseignements qui, tout en imprégnant l'existance de millions de bouddhistes, ont une portée universelle. Il a été choisi de présenter dans ce livre les " dix grandes vies " que l'on désigne en Thaïlande sous le nom de " Thotsachat ". Elles ont un statut éminent, qu'a favorisé leur association progressive avec les dix Perfections (p?ram?). Il s'agit de dix vertus cardinales ou de dix comportements idéaux, qui sont, selon la tradition thaïe : le renoncement, le courage, la compassion, la foi résolue, la sagesse, la conduite morale, la patience, l'équanimité, l'honnêteté et le don. Chacune est illustrée tour à tour par l'histoire d'un personnage au centre d'aventures multiples, de situations dramatiques où la tension entre royauté et renoncement est perceptible dans sa complexité : Temiya, Mah?janaka, Suva as?ma, Nemir?ja, Mahosadha, Bh?ridatta, Candakum?ra, N?rada, Vidhura et Vessantara sont les protagonistes de véritables oeuvres littéraires foisonnant en ballades, débats, descriptions, dialogues animés qui n'ont rien de stéréotypé. Chaque j?taka est précédé d'une brève introduction, qui en résume l'enjeu, et ponctué d'intertitres qui rythment la lecture. L'alternance vers-prose des j?taka en pâli est estompée au profit d'un texte continu et homogène où l'on devine parfois les strophes en filigrane. Les traductrices-adaptatrices, oeuvrant à partir d'un texte en thaï rédigé à partir du pâli par le moine érudit Hongladarom, en ont fait un récit vif au parfum très moderne et rendent ainsi accessibles au public francophone des récits anciens pleins de vie et d'enseignements qui, tout en imprégnant l'existence de millions de bouddhistes, ont une portée universelle. Une préface de Nalini Balbir, professeur en indologie à l'université Sorbonne Nouvelle – Paris 3, montre bien la signification de ces récits, leur importance dans le monde bouddhique et la place qu'ils occupent toujours dans la spiritualité des pays d'Asie et en particulier de la Thaïlande.

08/2018

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Littérature française

La conjuration

J'ai créé une secte. C'était, au départ, une entreprise purement commerciale. Jusqu'à ce que j'y prenne goût: fonder une religion est la dernière oeuvre possible.

08/2013

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BD tout public

China Li Tome 1 : Shanghai

Un siècle, un destin. "Li, ma rivière que j'aimais tant, dont je portais le nom et que j'allais devoir quitter à tout jamais..." Chine, les années 20.

08/2018

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Poésie

Encore encore et encore. Fragments amoureux

Quand je ne fais pas l'amour / j'écris / quand j'écris / c'est pour parler d'amour / Amour fantaisiste, fugace, cannibale, fébrile, exalté, forcené, romantique, toqué, éperdu, rassasié.

05/2022

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Policiers

Kirnoya la noire

Depuis des mois, la fin du monde est le sujet de conversation préféré. L'on s'interroge… l'on s'inquiète… L'idée m'est alors venue d'écrire quelques lignes sur une fin éventuelle, la fin des temps. Ceci me rappelle une histoire vraie que je m'en vais vous conter : j'avais huit ans, je dormais dans une chambre toute rose comme une bonbonnière. La maison de mes parents était posée à l'orée d'une forêt magnifique. Un matin, je m'éveille assise dans mon lit, mes avant-bras posés sur mes genoux, mes mains arrondies comme si elles emprisonnaient quelque chose. Maman entre dans la chambre : "Debout elaine, le déjeuner est prêt ! - Maman, j'avais cueilli un bouquet de fleurs pour offrir à ma maîtresse et je ne les ai plus !" Souriante, Maman me rassure : "Tu as rêvé ma chérie, allons vite !" J'avais effectivement rêvé mais ce rêve était si réel qu'il m'a amenée à la réflexion... "Maman, j'avais vraiment ce bouquet entre les mains, il était !! s'il n'est plus c'est parce que je suis éveillée ? - Bien sûr ! - Mais alors peut-être que le Bon Dieu dort en ce moment et que nous sommes son rêve… je suis dans son rêve mais je n'existe pas réellement ? lorsqu'Il va se réveiller, je n'existerai plus ? - Tu as trop d'imagination, ce n'est qu'un rêve et tu es bien là !" Pourtant ce rêve m'a poursuivie et me poursuit encore, c'est ce qui a fait que, très jeune, je me suis sentie attirée par tout « l'irrationnel ». Je cherchais l'explication de l'inexplicable ! J'ai étudié toutes les religions, anciennes et modernes, j'ai suivi ma religion avec ferveur et passion jusqu'à ce qu'elle ne m'apporte plus ce que j'attendais d'elle : la réalité ! Je sentais des mystères derrière les paraboles et j'ai voulu savoir, mais que sais-je en vérité après des années de recherche ? Pourtant j'ai gardé ma religion et mon amour pour le Divin... La philosophie m'a attirée. N'était-ce pas la porte qui menait vers d'autres réalités ? Je n'étais pourtant pas satisfaite. Il me manquait quelque chose mais je ne savais pas quoi lorsque j'ai rencontré l'ésotérisme. Pour autant Kirnoya la Noire est une pure fiction, j'ai joué à mixer des faits réels, la peste noire, les attentats, les viols avec les faits de mon imagination. Je tiens à dire que je ne suis ni voyante extralucide ni médium, et lorsque je ferme mes yeux, je ne vois que du noir ! ter : j'avais huit ans, je dormais dans une chambre toute rose comme une bonbonnière. La maison de mes parents était posée à l'orée d'une forêt magnifique. Un matin, je m'éveille assise dans mon lit, mes avant-bras posés sur mes genoux, mes mains arrondies comme si elles emprisonnaient quelque chose. Maman entre dans la chambre : "Debout elaine, le déjeuner est prêt ! - Maman, j'avais cueilli un bouquet de fleurs pour offrir à ma maîtresse et je ne les ai plus !" Souriante, Maman me rassure : "Tu as rêvé ma chérie, allons vite !" J'avais effectivement rêvé mais ce rêve était si réel qu'il m'a amenée à la réflexion... "Maman, j'avais vraiment ce bouquet entre les mains, il était !! s'il n'est plus c'est parce que je suis éveillée ? - Bien sûr ! - Mais alors peut-être que le Bon Dieu dort en ce moment et que nous sommes son rêve… je suis dans son rêve mais je n'existe pas réellement ? lorsqu'Il va se réveiller, je n'existerai plus ? - Tu as trop d'imagination, ce n'est qu'un rêve et tu es bien là !" Pourtant ce rêve m'a poursuivie et me poursuit encore, c'est ce qui a fait que, très jeune, je me suis sentie attirée par tout « l'irrationnel ». Je cherchais l'explication de l'inexplicable ! J'ai étudié toutes les religions, anciennes et modernes, j'ai suivi ma religion avec ferveur et passion jusqu'à ce qu'elle ne m'apporte plus ce que j'attendais d'elle : la réalité ! Je sentais des mystères derrière les paraboles et j'ai voulu savoir, mais que sais-je en vérité après des années de recherche ? Pourtant j'ai gardé ma religion et mon amour pour le Divin... La philosophie m'a attirée. N'était-ce pas la porte qui menait vers d'autres réalités ? Je n'étais pourtant pas satisfaite. Il me manquait quelque chose mais je ne savais pas quoi lorsque j'ai rencontré l'ésotérisme. Pour autant Kirnoya la Noire est une pure fiction, j'ai joué à mixer des faits réels, la peste noire, les attentats, les viols avec les faits de mon imagination. Je tiens à dire que je ne suis ni voyante extralucide ni médium, et lorsque je ferme mes yeux, je ne vois que du noir !

09/2012

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Littérature française

Valentina (et autres prénoms en -a)

" J'ai mis de côté le confessionnal et mes fantasmes et j'ai continué ma visite. Quand j'avais des pensées comme ça, j'espérais que Dieu ne soit pas trop omniscient, si toutefois Il existait. J'ai machinalement jeté un coup d'oeil au-dessus de moi pour guetter l'apparition d'un quelconque châtiment divin, je me suis dit que Dieu n'était pas si tout-puissant que ça et je suis sorti prendre l'air. " A Rome, Pierre Noret enquête à sa manière afin de retrouver une inconnue croisée dans un bar. Soirées teintées d'ivresse, pessimisme, cynisme et rencontres le mènent à travers la ville et jusqu'à Naples. Avec Valentina (et autres prénoms en -a), l'auteur mène une réflexion atypique sur les relations amoureuses tout en abordant des sujets tels que la solitude et un certain mal de vivre.

01/2018

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Littérature française

De mémoire

"C'est arrivé hier, en pleine nuit, alors que je retournais chez une amie. Quand je lui ai montré les bleus sur mes cuisses, elle m'a conseillé de consulter. J'ai hésité. J'habite à huit cents mètres mais j'ai hésité à venir parce que j'ai peur de sortir. Et maintenant que je suis ici, j'ai peur de rentrer". De mémoire raconte une femme, Alya, qu'une tentative de viol réduit à l'immobilité et à la peur. Les insomnies et les cauchemars, la tristesse et la solitude dans laquelle son corps s'enferme l'éloignent de plus en plus d'elle-même. Elle s'engage dans le labyrinthe de la mémoire et se souvient. De chaque détail perdu dans la nuit de l'agression, de l'histoire familiale qui prend racine en Algérie, de la femme libre qu'elle croyait être.

02/2019

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Littérature française

Retour au royaume

"(...) Ecrire c'est donner son sang. J'ai enfin la liberté de mon âge. Aucun souci de plaire ou déplaire. Aucun regret, si ce n'est celui de mourir bientôt, de m'arracher à ceux que j'aime. Et pour certains de les laisser dans le désarroi. L'âge me donne une audace nouvelle. Le temps joue contre moi. Il n'y a plus d'issue. J'ose dire. J'ose faire. J'ose écrire. Surtout je suis libre. Non assujettie. Je ne suis à la botte d'aucun de ces éditeurs contrôlés par des actionnaires qui donnent leur avis sur les textes à publier. Dernières forces rassemblées avant l'ultime combat. C'est peut-être une façon de déjouer Alzheimer. Cette impression que ma mémoire se referme. Ses sentiers ne sont plus balisés. Je commence à perdre la mémoire immédiate. Je crois savoir pourquoi. (...)"

02/2021

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Littérature française

L'homme-horloge

" Il y a des histoires d'amour qui ne commencent jamais, et qui mettent toute une vie à se terminer. J'ai rencontré Mélodie dans un train. Elle avait vingt ans, et ressemblait à n'importe quelle jeune fille de son âge. Depuis ma plus tendre enfance, j'aime les jeunes filles, je suis attiré par le mélange de fraîcheur et de ferveur dont elles sont faites. Le jour où j'ai rencontré Mélodie, j'avais la quarantaine passée, une femme, trois enfants, un travail qui m'intéressait en d'autres termes, j'étais un homme heureux. " Les nouvelles de Béatrice Hammer mettent en scène des personnages de tous les jours, des gens comme vous et moi qui, soudain, voient leurs existences bien tranquilles basculer. Vers le bonheur ou vers l'horreur... Avec un style dépouillé, l'auteur cueille le lecteur par ces récits de vie et ne le lâche pas.

03/2006

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Linguistique

Simplification simple de l'Orthographe

"Je commence par dire, comme je l'ai dit ailleurs, que j'attache très peu d'importance à cette question. Quelque simplification que l'on apporte dans l'orthographe, l'orthographe sera toujours très longue à apprendre. J'estime qu'il faut cinq ou six ans pour apprendre à un enfant à mettre l'orthographe. J'estime que le projet de simplification le plus hardi et le plus logique, qui du reste est encore à trouver, sauverait à l'écolier trois semaines ou un mois d'études. C'est déjà quelque chose. Parfaitement ; et c'est pour cela que j'ai consenti à m'occuper de cette question ; mais encore, on comprend assez pourquoi je ne la tiens pas pour considérable. Tant y a que j'ai une opinion personnelle sur cette affaire, qu'on me la demande et que la voici". (Extrait de l'avant-propos).

01/2023

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Déportation

Pardon d’avoir survécu

"Au musée d’Auschwitz, dans le livre d’or, j'ai réalisé que j'écrivais "Pardon" et que je signais. Alors, j'ai fait deux pas. Et puis, je suis revenu. Je me suis dit : "Pardon de quoi ?" Et, j'ai ajouté : "Pardon d'avoir survécu". D'une très mauvaise écriture. Par la suite, j'ai appris que c'était le réflexe de beaucoup d'enfants." Mars 2006. Pour l’INA et la Fondation pour la Mémoire de la Shoah, face caméra, Georges Kiejman déroule le film de sa vie. Des origines familiales polonaises à son départ pour le Berry pendant la guerre, de la déportation de son père et de sa soeur aînée à son adolescence sous l’Occupation, de son premier voyage à Auschwitz à sa rencontre avec Pierre Mendès France, Georges Kiejman, l’illustre avocat, se raconte avec pudeur et sincérité.

09/2023

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Littérature française

Mon pauvre lapin

"Heureusement il y avait aussi ma mère et mes tantes pour me sortir de ma grotte. Toute la semaine ma mère faisait du lobbying pour que je vienne chez elle le samedi soir. J'attendais un peu, peut-être par magie j'allais avoir quelque chose d'autre à faire. Mais finalement, comme c'était soit ça soit passer la soirée seul avec ma boîte de sardines, j'acceptais. Quand j'arrivais à Montreuil j'étais le messie, ma mère et ma petite soeur me couraient dans les bras en poussant des cris. "Est-ce que tu veux un verre de lait d'avoine pour l'apéro ? " On se mettait dans le salon. Elles s'asseyaient toutes les deux sur le canapé en face de moi et elles me regardaient avec un sourire béat, sans rien dire. "Allez raconte, racontenous des trucs", s'écriait ma mère".

04/2022

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Romans de terroir

Queen Kong

"Alors ça y est, j'en suis une. Une belle. Une grosse. Un sacrée. C'est pilonné dans les commentaires que je lis debout dans ma chambre. Je l'étais parce que j'avais choisi de m'écouter. Du premier doigt que j'ai glissé entre mes cuisses à huit ans, pour y découvrir un trésor, jusqu'à aujourd'hui. J'ai choisi d'écouter ce qui bat en moi. Choisir la liberté, c'est choisir la solitude". Le mot de l'autrice : "J'évoque l'itinéraire sexuel d'une jeune lycéenne qui décide de séparer l'amour du sexe. Avec quatre garçons, différents, elle mène sa quête très librement. Sa grande liberté la confronte aux réactions de son groupe. Car un tel comportement est en général plus accepté chez les garçons qe chez les filles"PEPITE D'OR 2021 DU SALON DU LIVRE ET DE LA PRESSE JEUNESSE

06/2023

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Paranormal, Bit-lit, Science-f

Au Nom de l'Harmonie, l'intégrale. Fantasy urbaine - romance paranormale - bit-lit

Depuis qu'une femme m'avait mystérieusement agressée le soir de mes quinze ans et qu'un homme avait surgi de nulle part, j'avais pensé que ma vie serait chamboulée à tout jamais. Malheureusement, je n'étais pas au bout de mes surprises... Dix ans plus tard, j'avais plus ou moins oublié cet épisode de ma vie. J'aimais mon meilleur ami d'un amour à sens unique et je lui faisais entièrement confiance. Jusqu'au jour où il m'avait offert ce collier, qui arborait la même marque que mon sauveur, pour débrider des pouvoirs dont j'ignorais l'existence. C'est à partir de ce moment précis que j'avais commencé à découvrir des choses incompréhensibles. "Une aventure palpitante et addictive entre la romance paranormale et la fantasy urbaine qui vous fera passer par tout un tas d'émotions ! " - 1001 chroniques en folie

06/2021

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Littérature française

Tueur de salauds

Je me présente. Nach, trente-cinq ans. Orphelin. Responsable du courrier dans une grande boîte. J'arrondis mes fins de mois en distribuant des prospectus. J'ai des amis normaux, une famille standard. On me prétend joyeux. En fait, je suis un gentil. Autrefois, j'étais même un gentil inoffensif. Celui qui fait attention aux autres, qui vole à leur secours. Un gars qui ne réclame pas, ne se permet pas. Et puis, un jour, j'ai eu un flash : est-ce que le mec en face de moi ne serait pas en train de me prendre pour un con ? Alors j'ai fini par comprendre : gentil = con. Et je me suis mis gentiment à... éliminer les salauds. Tueur de salauds raconte l'histoire d'un gentil ordinaire qui refuse le «trop bon, trop con». Pourquoi l'injustice et le crime resteraient-ils impunis ? Cela, Nach ne peut le supporter.

06/2015

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Les classiques

Le foin. dix façons de le préparer

"La première fois que j'ai mangé du foin, je devais avoir une dizaine d'années. C'était un repas ordinaire où le fromage avait été conservé une semaine durant dans un garde mangé rempli de foin. A l'époque, j'avais été émerveillé devant le parfum qu'avaient pris les produits laitiers ainsi présentés. Et puis, j'ai gardé ça en mémoire jusqu'au jour où j'ai récidivé, à Paris. Encore une lubie étrange de bobo parisien, diraient des amis du Morvan. Quoi qu'il en soit, j'ai pendant des mois étudié la chose, testé la chose, et je m'en suis émerveillé. Le foin, ce n'est pas qu'une botte d'herbes sèches. Le foin raconte toute une prairie, tout un paysage, tout un écosystème. Le transférer dans nos assiettes, c'est admirer la vue, c'est en goûter la vue. "

10/2021

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Fantastique

Aliénor McKanaghan : R/evolve

Les évènements de ces dernières années m'ont appris une chose. Une situation n'est réellement désespérée que lorsque le dernier soldat est à terre. Je n'aime pas la terre, c'est salissant. Alors j'en reste le plus éloignée possible. J'ai botté les fesses des méchants, j'ai grandi et j'ai presque retrouvé cette bonne vielle Aliénor. Malgré les difficultés que j'ai pu rencontrer, le maternage d'un vampire convalescent, ma rencontre avec une créature inédite pas très amicale et des dons pour le moins explosifs à gérer, je pensais me créer une nouvelle normalité, profiter de ma routine pépère et adopter un cochon d'inde. Grosse erreur ! Suite à un léger dérapage, me voilà parachutée à des milliers de kilomètres de chez moi où bien évidement, mes problèmes m'ont suivie. Qui a dit que les guerriers avaient droit au repos ?

04/2018

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Littérature française

Ma vie sans Bad Alice

J'ai demandé si ça faisait chier personne d'être les rois du LEMON STREET mais des grosses merdes anonymes une fois passée la porte ? Personne a vraiment relevé l'interrogation, ils ont mis ça sur le compte de l'alcool, ce qui était pas totalement faux, ça a sûrement dû jouer dans mon comportement. Bref j'm'emballe tout seul, je reproche à tout le monde de se contenter de peu, de faire aucun effort pour avancer, d'attendre qu'on vienne les chercher le cul planté dans leurs fauteuils, que j'gâche mon talent et ma vie en jouant avec des minables comme eux, que ce groupe c'est une plaisanterie tout comme la pseudo-carrière qui va avec et que j'perds mon temps avec eux. Toujours pas de réaction alors va savoir pourquoi, comme les reproches collectifs marchent pas, j'passe au massacre individuel.

10/2014

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Littérature érotique et sentim

A bientôt para la vida

Ecrivain public en manque de clientèle, j'avais passé une annonce dans le journal local. J'y proposais mes services pour des autobiographies. Paco m'avait répondu. Sans doute pour m'attirer, il avait souligné qu'un épisode de son histoire avait été à l'origine d'un tableau mondialement connu. A vrai dire, je n'y croyais pas trop. J'ignorais, en me présentant chambre 320 de cette maison de retraite, que je m'apprêtais à entendre le plus formidable récit de vie qui m'ait jamais été dicté. La guerre d'Espagne de Paco aurait tenu dans la phrase affichée dans les librairies pour promouvoir le best-seller du moment : " Quand l'amour devient le choix le plus dangereux ". J'ignorais surtout que cette rencontre allait complètement bouleverser ma vie personnelle. Si j'en avais eu la moindre idée, la peur m'aurait fait fuir.

05/2016

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Histoire internationale

Chroniques. Tome 11, Les Affaires de Portugal (1385-1387)

"Lors de mon séjour en Béarn, auprès du noble comte de Foix, j'ai été informé de plusieurs affaires concernant le Portugal et la Castille ; quelques temps plus tard, je revins en Hainaut, à Valenciennes, pour m'y reposer un peu. J'ai alors entrepris de poursuivre l'histoire que j'avais commencée à rédiger. J'ai réalisé alors que je ne pouvais pas me mettre au travail, en ayant seulement à ma disposition la version des hommes du roi de Castille ; il me fallait donc entendre la version des Portugais, si je voulais des informations justes et fiables, comme j'avais eu la version des Espagnols et celle des Gascons, à l'hôtel du comte de Foix et lors de l'aller-retour accompli pour ce voyage. Je ne ménageai pas mes efforts et me rendit à Bruges, en Flandres pour voir les hommes de Lisbonne et les autres portugais."

02/2012

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Littérature française

Le rêve de l'homme lucide

Une panoplie de plus venait s'ajouter à ma collection. Un statut d'écrivain, des invitations chez les libraires, dans les salons, à la radio-télévision. Parce que j'étais rassurant, moi qui n'étais qu'instabilité et colère. Parce que j'étais amusant, moi qui n'étais pas drôle. Et je les leur servais, ces platitudes, parce que je les connaissais toutes, parce que j'étais l'anxiolytique social fabriqué par la société pour ne pas la décevoir. Ainsi allais-je partout, presque partout, pour ne pas décevoir. Mais ce n'était pas moi qui m'y rendais. C'était toujours l'autre, le bon garçon, le caméléon, celui de qui j'avais l'air. Alors, si pendant toutes ces années j'avais été un autre, qui étais-je vraiment ? Le Dr Zénnegger avait vu juste. Je n'étais personne. Un possédé ne peut être personne."

01/2012

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Littérature française

Besoin de ville

J'ai besoin d'elles. D'elles toutes. Les proches et les exotiques, les naines et les géantes, les calmes et les tonitruantes, les touristiques et les délaissées, les ingrates, les magnifiques, les oubliées, les glorieuses, les cachées, les célèbres, les douces, les violentes, les timides. Quand je pense à elles et aux plaisirs que j'y ai cueillis, je suis comme au creux d'un lit, la nuit. Je perçois dans l'ombre toutes les cités qui m'environnent. Cela me fait un collier d'hommes autour de l'âme, j'ai l'impression d'être moins seul. Et un peu plus humain sans doute. Ce n'est pas un cadeau anodin, de se voir ajouter un peu d'humanité. J'en redemande. Je suis un homme des villes, et je ne réclame rien d'autre que de pouvoir distribuer ce bonheur en partage. J-N B

02/2003

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Littérature française (poches)

Ivanov.La mouette

Tchékhov écrivait au sujet d'Ivanov : " C'est la première fois que j'ai fait une pièce, ergo, les erreurs sont obligatoires. Le sujet est compliqué, mais pas sot. Chaque acte se termine comme mes récits : je conduis l'action paisiblement, et à la fin, j'envoie au spectateur un coup sur la gueule [...]. Si mauvaise que soit la pièce, j'ai quand même créé un type qui possède une signification littéraire, j'ai créé un rôle que seul osera jouer un acteur de talent ... ". Quant à La Mouette, qui fut la seconde pièce importante composée par Tchékhov, il l'annonçait en ces termes : " je l'écris non sans plaisir, bien que j'y maltraite affreusement les règles de la scène. C'est une comédie, trois rôles féminins, six masculins, quatre actes, un paysage (vue sur lac) ; beaucoup de conversations sur la littérature, peu d'action, cinq pouds d'amour. "

11/1996

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Littérature française

Dernières nouvelles du Père Noël

"Je voulais retrouver le père Noël. Une telle ambition impose, au fil de l'âge, de parcourir des distances considérables. Je suis parti vers le Grand Nord, ne doutant pas que le père Noël m'y attende. J'ai visité sa maison, suivi ses rennes, erré dans sa nuit. Les mécréants qui pensent que ce genre de voyage ne mène nulle part seront détrompés. " J'ai musardé sur le chemin du retour, passant par la Lorraine et la Hollande, ces pays où le père Noël a trouvé sa fortune. Du côté de Libourne, au coeur des vignobles du Bordelais, j'ai dépouillé son courrier. Dans les forêts d'Alsace, j'ai mesuré à l'aide d'une gigantesque toise ses vieux sapins. Au bout du voyage, mes valises pesaient aussi lourd que sa hotte. Et elles étaient remplies des mêmes trésors. J.-L. H.

11/1987

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Littérature française

La B.O. de ma jeunesse

"Je fixais le poster des Pixies, Trompe le monde, et je priais je sais pas qui pour pas chialer devant ma mère. J'avais les lèvres qui tremblaient. En plus j'étais en pyjama, pas frais, je n'avais rien mangé, je me sentais pas du tout dons mon assiette ; et elle, bien sûr, en tailleur, elle revenait de la messe, avec les cheveux peignés, parfumée. J'étais prêt à lui bondir à la gorge, je préparais mes arguments pour lui faire comprendre à quel point j'étais furieux et que j'avais raison de l'être parce qu'ils s'étaient mal comportés, au moins dix fois plus que moi quand je déconnais. Et ils étaient dix fois plus en tort à mes yeux parce que c'étaient des adultes. Elle s'est raclé la gorge, et elle a dit d'une voix douce : "Ton frère a téléphoné.""

03/2018

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Littérature française

Journal (plus vraiment) intime d'un frustré

"J'ai un avis sur tout... ou rien. Et je le partage, sans me prendre au sérieux, avec humour, pour alléger un propos que je juge trop lourd à porter. Je suis névrosé. Je réfléchis trop. Mais ce livre étant achevé, j'espère me libérer d'être perturbé, m'alléger d'être frustré. Car des frustrations m'occupent. Je vous en rends compte. Je me dénude dans ces pages, au sens figuré, figurant que je suis dans ce vaste monde et son humanité. Ce vaste monde et son humanité, justement, j'ai cru les comprendre. Je suis anthropologue de formation. Mais je suis dépassé. Je ne me connais même pas moi-même. Alors, je déconne, je joue avec les mots, j'écris tout ce qui passe par ma tête d'entêté, pour me faire une belle jambe. J'en mets ma main à couper !"

07/2015