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Rue de la Justice

Extraits

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Droit

Radicaliser la justice

La justice est un levier de démocratie et un acteur politique d'importance. On lui reproche souvent d'être une institution prédatrice ou un instrument au service des dominants. Dans cet essai, Manuela Cadelli n'évince pas la critique, elle souhaite dépasser le cadre descriptif de l'analyse et se hisser à un niveau normatif - certains diront utopiste - car l'Association syndicale des magistrats (dont elle est la présidente) défend la thèse selon laquelle le pouvoir judiciaire peut et doit être un moteur d'émancipation et de liberté. L'auteure propose ainsi une grille de lecture de l'institution qui consiste à distinguer le réel et le récit. Avant tout, il est important d'attirer l'attention sur ce point de vue particulier, qui peut d'ailleurs être recommandé pour chaque institution, que ce soit un centre culturel, un cabinet d'avocats ou une maison médicale, même si la justice belge est, on le devine, une institution particulière car elle est le fruit de la réflexion du Constituant et de la révolution de 1830. Il est dès lors intéressant, lorsqu'une institution est critiquée ou évaluée, de distinguer les promesses et le récit qui l'ont fondée, du réel qu'elle révèle au moment de l'analyse. Confronter le récit au réel ou le mythe et les promesses à l'évolution et au fonctionnement d'une institution ainsi qu'aux pathologies dont elle souffre, s'avère indispensable pour analyser quelles sont les solutions et les rêves que son mythe fondateur permet d'envisager pour affronter le présent et proposer un avenir prometteur. Ces trois angles d'analyse sont envisagés dans les trois parties de cet essai, mais doivent également être distingués d'un autre champ de critiques : celui des individus qui font - parfois défont - l'institution. Manuela Cadelli est consciente d'un certain désespoir face au réel mais qu'il faut penser la restauration et la concrétisation d'un récit à la hauteur des attentes du justiciable, du voeu du Constituant et des défis qui sont posés aujourd'hui à la démocratie. Face à cette nécessité, il ne faut nourrir aucun scrupule, aucun complexe. Voici le propos et le combat. Il convient d'en assumer l'aspect hautement politique.

12/2019

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Droit

Rendre (la) justice

Rendre (la) Justice Sous la direction de Michel Wieviorka Aspiration puissante, la justice s'incarne dans des institutions et constitue une catégorie décisive du débat politique. La demande de justice se développe à partir d'un sentiment parfois profond d'injustice. Le lien entre les inégalités et le sentiment d'injustice est complexe. Certaines inégalités semblent justes ou acceptables, d'autres profondément injustes et intolérables. Que doit ce lien, en particulier, au renforcement des inégalités sociales, à la décomposition du lien social et politique, à la corruption, aux " affaires ", aux dysfonctionnements de notre système fiscal ? Plus généralement, sur quoi fonder l'opposition du juste et de l'injuste ? La philosophie morale, politique ou juridique peut-elle nous éclairer ? Et dès lors, quelle place accorder au droit et à la loi dans la définition de ce qui est juste et injuste ? La justice devrait être accessible à chacun, et fonctionner dans le sens de l'intérêt général. Mais n'est-elle pas une justice de classe ? Est-elle bien conforme au principe de l'égalité républicaine ? Une évolution sensible fait que la justice s'intéresse aux victimes, et pas seulement à l'ordre et à la société toute entière, que le crime ou la délinquance mettent en cause ou affaiblissent. Mais à reconnaître les torts subis par les victimes et leurs proches, ne s'interdit-on pas l'apaisement, ne risque-t-on pas d'ouvrir des plaies et de susciter de nouvelles et douloureuses difficultés ? Nos conceptions de la justice et de la peine ont évolué depuis les Lumières et la Révolution. L'expérience pionnière de la Commission Vérité et Réconciliation en Afrique du Sud a introduit le thème du pardon et la présence des victimes dans le processus où se rend la justice. La justice réparatrice se développe, parfois très critiquée. La médiation également. Par ailleurs, depuis Nuremberg, la justice s'élève au niveau supranational, pour sanctionner des crimes contre l'humanité au risque d'être accusée de n'être que la justice des vainqueurs. Le droit d'ingérence peut-il être supérieur à celui des Etats ? A travers différents éclairages et points de vue de spécialistes et d'universitaires, le livre présente les fondements et les enjeux nombreux et sans cesse renouvelés de la question de la Justice. Un panorama stimulant sur une question d'une brûlante actualité.

06/2013

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Droit

La justice internationale

Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, la quête de paix a entraîné un foisonnement de juridictions tant sur le plan universel que sur le plan régional, notamment depuis les années 1990. Il n'est, dans ces conditions, pas toujours facile de s'y retrouver et de savoir "qui juge quoi" et, plus particulièrelent, si l'une des juridictions existantes pourrait être saisie des problèmes dont nous entendons parler presque quotidiennement dans les médias. Ce nouveau titre de la collection "Droit Expert" a pour ambition de donner une vue d'ensemble des différents mécanismes existant à ce jour sur les plans universel et régional pour régler les différends entre Etats et/ou entre Etats et particuliers. Ainsi, tout lecteur de ce livre d'une part saura qui juge quoi, d'autre part connaîtra le détail du mécanisme de l'institution concernée (historique, mécanisme, textes de référence, compétence ratione personae, compétence ratione materiae, sanctions et effets, grands prononcés, statistiques). Le livre développe d'abord les cours et tribunaux existant sur le plan universel (institutions permanentes et institutions ad hoc), puis les systèmes établis sur le plan régional en se concentrant d'abord sur les mécanismes de protection des droits de l'homme avant d'en venir aux juridictions de l'Union européenne.

09/2017

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Avocats

Rendre la justice

Soixante-cinq des plus grands noms de la magistrature, parmi lesquels François Molins, procureur général près la Cour de cassation, ou Jean-Michel Hayat, premier président de la cour d'appel de Paris, mais aussi des juges des enfants, des avocats généraux, des procureurs, des membres du Conseil constitutionnel, du Conseil d'Etat, du Conseil supérieur de la magistrature, qui officient aussi bien dans l'antiterrorisme que dans des tribunaux de commerce, à Paris, en province et outre-mer, prennent la parole et nous disent ce qu'est rendre la Justice au quotidien... Comment ? Avec quels moyens ? Chacune de leurs voix se propose de comprendre un pan des rouages de la machinerie judiciaire et de saisir toute la difficulté d'un métier où l'impartialité, l'intégrité, la recherche perpétuelle de ce qui est juste, font loi. Mais nos gardiens de la justice restent des femmes et des hommes, faillibles parfois, sensibles - car l'humain n'est jamais loin, et s'il peut être la source de cas de conscience cornéliens, il est aussi ce qui permet d'apporter un peu de lumière dans une profession labyrinthique.

03/2021

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Comics

Justice League Tome 4 : La ligue de justice d'Amérique

J'onn Jonzz, Green Arrow, Catwoman, Katona, Stargirl, ne sont pas les plus grands héros que la Terre et l'Univers aient portés, ils sont surtout les plus dangereux ! Quelles sont leurs missions ? Qui tire les ficelles de cette équipe de justiciers si particulière ? Et pourront-ils mettre de côté leurs différends pour affronter la menace de la Société Secrète ?

06/2014

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Histoire du droit

Les Cahiers de la justice 1/2024. Justice et sport

A l'heure des prochains JO, une réflexion sur la Justice et le sport Revue scientifique de référence, éditée en partenariat avec l'Ecole Nationale de la Magistrature, Les Cahiers de la justice offre chaque trimestre aux praticiens et universitaires un regard nouveau sur le (les) monde(s) de la justice tout en interrogeant sa place croissante dans les sociétés démocratiques. Portée par un comité de rédaction pluridisciplinaire, la revue privilégie les réflexions de spécialistes du fait judiciaire sans oublier le point de vue des professionnels dans leur diversité d'expression. Le sommaire s'ouvre par un éditorial de la rédaction et une tribune qui est une prise de position sur un thème controversé. Chaque numéro comporte un dossier central qui traite d'un enjeu de société tel qu'il est construit par le débat judiciaire. Ce mois-ci : Justice et sport Les quatre chroniques de la revue reflètent son esprit général : - juger ailleurs (approche comparative de l'acte de juger) - croisée des savoirs (regard de sciences sociales sur les questions de justice) - justice et débat démocratique (participation des tribunaux à la vie démocratique) - justice en situation (témoignage d'expériences ou réflexions de praticiens). Enfin, la rubrique lire, voir entendre est spécifiquement consacrée à la culture judiciaire. Elle est ouverte aux approches de la littérature, du cinéma, de l'audiovisuel mais aussi aux recensions d'ouvrages (fiction ou non), thèses, expositions, colloques...

04/2024

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Institutions judiciaires

La bonne administration de la justice

La présence en droit positif de l'expression de bonne administration de la justice est aujourd'hui démultipliée. Au-delà de l'intensification de son utilisation par les juridictions internes et internationales, la référence à la bonne administration de la justice au sein des réformes portant sur l'organisation et le fonctionnement des juri­dictions se trouve, depuis quelques années, significativement renforcée. Ces récentes évolutions, couplées aux recherches approfondies déjà menées à ce sujet, ont conduit la jeune recherche à appréhender, dans le cadre du Laboratoire d'études juridique et politique de CY Cergy Paris Université, cet objet complexe que recouvre la bonne administration de la justice. Le présent ouvrage retrace ainsi les actes du colloque organisé sur la bonne administration de la justice à CY Cergy Paris Université le 7 avril 2022. Les recherches effectuées en droit privé, en droit public et en droit inter­national portent sur sa construction (1), ses tensions (Il) et ses concrétisations (Ill). Les divers prismes d'étude adoptés mettent en lumière un consensus quant aux qualités que doit revêtir une justice qui se veut bien ad­ministrée. Cependant, cette diversité permet simultanément de réaliser que cette essence commune ne peut véritablement s'abstraire du milieu au sein duquel elle est amenée à évoluer. En cela, le présent colloque tend à démontrer que les contours de la bonne administration de la justice restent soumis aux contingences extérieures qui les modèlent, conduisant ainsi à la teinter d'une certaine touche de relativité. Le présent colloque a été organisé sous le contrôle d'un comité scientifique composé des professeurs Pierre Bourdon, Maxence Chambon, Laetitia Janicot, Lucie Mayer, Caroline Pelletier et Benjamin Remy.

05/2023

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Droit constitutionnel

La transparence de la justice constitutionnelle

Les normes juridiques qui ordonnent ou limitent la transparence de la justice constitutionnelle. Le développement de la justice constitutionnelle est une caractéristique essentielle des systèmes juridiques contemporains. Les organes chargés de contrôler la conformité des lois et éventuellement d'autres normes juridiques à la Constitution exercent un pouvoir de plus en plus important dans les démocraties modernes, comme en France, au Brésil et aux Etats-Unis. Parallèlement, dans ces mêmes démocraties, l'exigence de transparence de l'action publique ne cesse de gagner en importance. De multiples dispositions, législatives ou constitutionnelles, mettent en oeuvre une certaine transparence dans divers objectifs tels que la lutte contre la corruption, le contrôle, la confiance, ou la participation des citoyens. La transparence acquiert toutefois une dimension bien particulière lorsqu'elle concerne la justice constitutionnelle, d'où l'intérêt de ce travail qui réunit pour la première fois ces deux thèmes cruciaux. Cette étude analyse ainsi comment la transparence est appréhendée par la justice constitutionnelle en France, au Brésil et aux Etats-Unis sous l'angle de ses usages et de ses effets. Plus précisément, la thèse examine les normes juridiques qui ordonnent ou limitent la transparence de la justice constitutionnelle dans ces systèmes juridiques, telles que la procédure de nomination des juges, les possibilités de récusation ou de déport, la motivation des décisions et la possibilité de publier des opinions séparées, les fonctions exercées par les collaborateurs des juges, l'accès aux archives, les amici curiae ou encore la tenue d'audiences publiques et leur diffusion.

04/2023

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Revues de droit

Les Cahiers de la Justice N° 4/2021 : La justice de l'intime

La revue emblématique éditée par l'Ecole de la magistrature et les éditions Dalloz Une thématique différente au dossier chaque trimestre Ce mois-ci la question du consentement et de son appréciation par le juge notamment dans les affaires de viol et autres agressions sexuelles LES CAHIERS DE LA JUSTICE : NOUVELLE EDITION Le sens donné aujourd'hui au concept de consentement bouscule le champ du droit et trouble le juge. Traditionnellement, on le comprenait comme un acte de volonté manifestant la capacité du sujet (consentir à un contrat, par exemple). Voilà que le sens du concept lui-même se complexifie notamment quand il s'applique aux agressions sexuelles. Le champ du droit qui connaît bien la volonté claire et dûment formulée s'ouvre à une relation intersubjective et intime qui ne se laisse pas aisément saisir. Le monde du " sentir ensemble " contient des silences, des hésitations, des regards, des échanges, bref tout un arc-en-ciel d'affects où s'expriment toutes les nuances du oui et du non. Les textes de loi qui y font référence veulent protéger la personne vulnérable, elle qui jusque-là n'était qu'un non sujet de droit. Depuis que le viol est défini comme une atteinte à l'intégrité physique de la victime, le consentement de celle-ci est au centre du débat judiciaire notamment en cas de contestation. Si la situation est plus claire quand il y a abus d'autorité, elle l'est moins quand il faut apprécier l'allégation de non consentement dans le contexte d'une relation amoureuse. Jusqu'à quel point le juge peut-il sonder un affect qui relève d'une relation intime dont il devra apprécier l'intensité ? Jusqu'où peut-il aller dans cette reconnaissance ? N'y a-t-il pas une zone d'opacité dans l'acte de consentir ? N'hérite-t-il pas d'un impensé juridique tant la part de l'émotion y est déterminante ? Telle est l'exploration proposée par ce dossier des Cahiers de la Justice. www Le sens donné aujourd'hui au concept de consentement bouscule le champ du droit et trouble le juge. Traditionnellement, on le comprenait comme un acte de volonté manifestant la capacité du sujet (consentir à un contrat, par exemple). Voilà que le sens du concept lui-même se complexifie notamment quand il s'applique aux agressions sexuelles. Le champ du droit qui connaît bien la volonté claire et dûment formulée s'ouvre à une relation intersubjective et intime qui ne se laisse pas aisément saisir. Depuis que le viol est défini comme une atteinte à l'intégrité physique de la victime, le consentement de celle-ci est au centre du débat judiciaire notamment en cas de contestation. Si la situation est plus claire quand il y a abus d'autorité, elle l'est moins quand il faut apprécier l'allégation de non consentement dans le contexte d'une relation amoureuse. Jusqu'à quel point le juge peut-il sonder un affect qui relève d'une relation intime dont il devra apprécier l'intensité ? Jusqu'où peut-il aller dans cette reconnaissance ? N'y a-t-il pas une zone d'opacité dans l'acte de consentir ? N'hérite-t-il pas d'un impensé juridique tant la part de l'émotion y est déterminante ? Telle est l'exploration proposée par ce dossier des Cahiers de la Justice.

01/2022

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Institutions judiciaires

Les institutions judiciaires. Les principes fondamentaux de la Justice - Les organes de la Justice - Les acteurs de la Justice, 12e édition

Un panorama des différents organes de la justice et de leur fonctionnement en 2023 Le droit au Juge est un droit de l'Homme consacré par de nombreuses dispositions internationales et internes. Tout Etat de droit est donc contraint de mettre en place des organes dont la mission est de trancher les contestations que lui soumettent les citoyens, quelle qu'en soit la nature : contentieux privé, contentieux pénal ou contentieux administratif. Cet ouvrage est une synthèse claire, structurée et accessible des différents organes de la Justice, des principes fondamentaux qui garantissent une justice de qualité dans le respect des droits essentiels des justiciables et des acteurs (juges, magistrats, auxiliaires de justice) qui animent les institutions judiciaires. Cette nouvelle édition 2023 est à jour des dernières évolutions législatives notamment l'ordonnance du 13 avril 2022 relative à la déontologie et à la discipline des officiers ministériels. Points forts - Conforme au cours des Institutions judiciaires et permet d'acquérir les connaissances qui sont nécessaires - Un cours clair, structuré et accessible pour l'étudiant - A jour des dernières évolutions législatives et jurisprudentielles Depuis la rentrée universitaire 2021, dans une démarche écoresponsable, les titres de la collection Mémentos GUALINO sont imprimés sur papier 100% recyclé.

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Théâtre

Cyrus, tragédie

Le théâtre des collèges jésuites constitue l'une des formes les plus mal connues et les plus passionnantes de l'engouement pour l'art dramatique qu'a connue l'Europe des siècles classiques. Le Cyrus du P. de La Rue, un proche de Pierre Corneille, a été représenté en 1679 au Collège de Clermont, actuel lycée Louis-le-Grand à Paris. Membre de l'équipe qui oeuvre alors pour l'instruction du dauphin, fils de Louis XIV, ce jésuite hautement cultivé et fin latiniste produit là un chef-d'oeuvre de la tragédie historique destiné à des représentations organisées dans le cadre de l'enseignement ouvert, pionnier et brillant de la Compagnie de Jésus, qui recrute les enfants de l'élite sociale dans la France de Louis XIV. Traduit :pour la première fois en français, introduit, annoté et expliqué minutieusement, ce texte ouvre la porte au lecteur moderne sur un univers pédagogique, intellectuel et culturel qui allie à l'exotisme d'un passé oublié l'actualité brûlante des formes et des moyens offerts à l'éducation et à la formation des jeunes lettrés.

08/2014

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Sciences historiques

Nouveaux essais historiques sur la ville de Caen et son arrondissement. Tome 2

Edité en 1842, les Nouveaux essais historiques sur la ville de Caen, oeuvre posthume de l'abbé De La Rue, sont « une riche suite de Mémoires d'Antiquités locales, dont l'ensemble compose, non pas une histoire détaillée, mais comme une galerie de grands tableaux de faits principaux, où se développent successivement la marche et les vicissitudes de l'organisation sociale du pays, sous les différents pouvoirs qui l'ont dominé, depuis les Romains jusqu'à nos temps modernes ». En voici une nouvelle édition entièrement recomposée. Né à Caen en 1751, ordonné prêtre en 1775, l'abbé De La Rue est doyen de la faculté de Caen en 1786. Exilé en Angleterre, il met à profit son séjour forcé pour étudier et recopier les ar­chives de la Tour de Londres. Il devient doyen de la faculté des lettres de Caen en 1821. Par ses recherches sur les archives anciennes, il fut l'archétype du grand érudit en histoire moyenâgeuse du XIXe siècle. Son oeuvre majeure reste les Essais historiques sur les bardes, jongleurs et trou­vères normands et anglo-normands (1834). Il décède en 1835 sans avoir pu achever ses divers Essais historiques sur la ville de Caen, mine formidable d'informations pour la connaissance de l'histoire de la Normandie.

09/2019

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Littérature française

Justice de femme

Justice de femme / Daniel Lesueur Date de l'édition originale : 1893 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

06/2020

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Thrillers

Voleurs de Justice

Un glaive dans une main, une balance dans l'autre, la statue de marbre surplombe le palais de justice. Ses yeux bandés symbolisent l'impartialité de la justice. "C'est surtout qu'elle ne veut pas voir nos conneries ! " . Voilà ce que pense Maître BB, fraichement sortie de l'école des avocats qui apprend son métier aux dépens du justiciable, en l'occurrence les clients de Gentil Patron, son maître de stage. Transexuel en quête de genre, procureur hétéronormé, grand-père incestueux, juge fantasque ou greffier compatissant, tous vont se croiser pour un instant de vie dans un pathétique chahut où parfois, un moment de grâce sera accordé. Et que vient faire cette petite fille, victime collatérale de la vanité des uns, du pouvoir des autres, dans ce décor peut-être factice, mais souvent cruel ? Plongez dans l'envers du décor de cette vieille dame malade de sa lenteur expéditive qu'est l'institution judiciaire. Un récit mordant, à la plume cinglante, qui ne vous laissera pas indifférent ! . Véronique Moysan a exercé la profession d'avocat pendant une vingtaine d'années. Après avoir prêté serment en 1998, et exercé dans un barreau de province, elle quitte la profession en 2018. Elle nous livre dans ce roman glaçant sa vision de la justice.

11/2022

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Policiers

Déni de justice

Les articles signés du reporter John Wells ont fait tomber plus d'un col blanc, trembler plus d'un parrain. Incorruptible, John Wells ? C'est pourtant lui, le pilier du New York Star, le pape du fait divers, qu'on accuse d'avoir assassiné le jeune responsable d'un refuge pour SDF, retrouvé gisant dans un appartement de Manhattan. Et pas n'importe quel appartement : celui de Wells, justement. Que pèse désormais son droit à la présomption d'innocence face à la détermination d'un policier qui lui voue une malveillance toute personnelle et s'est juré de causer sa perte ? Après A la trappe ; Tombe la pluie et Requiem pour une ombre, une nouvelle enquête du journaliste John Wells, héros phare d'Andrew Klavan.

05/2005

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Théâtre

Justice de nuit

La pièce tragi-comique Justice de nuit aborde le thème du phénomène totalitaire, comparable a une épidémie qui contamine tous les membres de la société et tous les aspects de la personne humaine. Les personnages d'Edouard et d'Arlette incarnent à la fois les victimes et les complices de cette contagion mortelle. Ils vivent sous la terreur constante d'une loi incompréhensible et arbitraire qui peut frapper n'importe qui, et ne fait aucune différence entre les coupables et les innocents. Deux inconnus armés, en uniforme militaire, sonnent à leur porte au milieu de la nuit. Ce sont les représentants muets et énigmatiques d'une loi toute puissante et criminelle, d'autant plus terrifiante qu'elle est contradictoire et indéchiffrable par la raison humaine. La contagion totalitaire agira comme un ferment de décomposition, qui produira la désagrégation progressive du couple, et de chacun des personnages, dont l'un — Arlette, qui n'est plus elle-même— deviendra le tortionnaire et le bourreau de l'autre — Edouard, homme faible, indécis, inconsistant, qui aurait préféré être une femme. Les victimes participent ainsi à leur propre destruction, de même que les membres d'une société totalitaire. Le deuxième acte de la pièce évoque à la fois la terreur sanguinaire des régimes totalitaires et la tyrannie la plus cruelle et inhumaine qui règne depuis la nuit des temps sur l'ensemble de la planète : la dictature totalitaire de la mort.

04/2019

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Droit administratif général

Code de justice

Cette dixième édition du Code de justice administrative, référence en matière de procédure administrative contentieuse, intègre, en plus des dernières évolutions jurisprudentielles (office du juge, exception des travaux publics...), les effets de la crise sanitaire, notamment s'agissant des référés, de la mise en oeuvre de l'open data dans le domaine de l'accès aux décisions juridictionnelles, de la réforme portant sur l'encadrement supérieur de la fonction publique de l'Etat, issue de l'ordonnance n° 2021-702 du 2 juin 2021, et ses conséquences statutaires pour les magistrats administratifs et du Conseil d'Etat (corps, incompatibilité...), ainsi que la suppression temporaire du degré d'appel concernant certains contentieux en droit de l'urbanisme prolongée par le décret du 24 juin 2022. A jour des textes et de la jurisprudence intervenus jusqu'en juin 2022, ce code annoté rapproche les articles législatifs et réglementaires correspondants pour mieux appréhender les principes et leur application. Les articles sont titrés et analysés pour rendre accessible la règle de droit. Grâce à son annexe reproduisant les dispositions de procédure contentieuse issues du Code de l'urbanisme et les arrêts les plus importants, cet ouvrage est un outil indispensable à tout praticien du contentieux administratif et de l'urbanisme, qu'il soit magistrat, avocat, responsable d'association ou de syndicat, et plus généralement à toute personne qui consacre sa réflexion ou ses études à ce droit.

09/2022

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Littérature française

Justice

Dans un futur proche, la société est envahie par l'image fantasmée du super-héros. Chaque film, chaque livre relate les aventures de son justicier masqué. Dans ce contexte, la ville de New-York, devenue l'ombre d'elle-même et rendue à l'état de cité délétère où haute richesse côtoie délinquance quotidienne, va être témoin de l'avènement de Justice, le premier véritable super-héros doté de pouvoirs. Mais cette figure aussi mystérieuse que discrète, va très vite susciter la controverse...

10/2017

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Philosophie

Justice

Une situation de disette extrême peut-elle justifier le cannibalisme ? Sommes-nous propriétaires de nous-mêmes ? Une mère porteuse a-t-elle le droit de garder l'enfant qu'elle a mis au monde ? Quel travail mérite quel salaire ? Si Michael J. Sandel, professeur de philosophie à Harvard, passionne bien au-delà des campus, c'est parce qu'il excelle dans l'art de ramener les questions politiques les plus complexes à des enjeux dont chacun peut aisément se saisir. En opposant les différentes conceptions de la justice (utilitariste, libérale, communautarienne), il convoque tour à tour Aristote, Hume ou Kant à partir de cas concrets, parfois drôles et toujours imagés. Des dilemmes les plus ordinaires aux grandes questions qui agitent nos sociétés, il s'agit toujours d'interroger les principes d'équité, de citoyenneté, de justice. De remettre, en somme, la morale au coeur du débat.

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Comics

Justice

Batman, Superman, Wonder Woman, Flash, Aquaman... Ils sont les plus grands super-héros de la Terre : réunis en une Ligue de Justice imbattable, ils ont toujours fait de leur mieux pour protéger la Terre et l'Univers des menaces les plus diverses. Or, aujourd'hui, leurs plus grands ennemis ont décidé d'utiliser leurs dons pour résoudre les maux que subit l'humanité au quotidien. Mais leurs motifs sont-ils réellement aussi altruistes qu'ils le prétendent ? JUSTICE présente une porte d'entrée idéale par le biais d'un récit complet qui montre les super-héros dans leur version la plus iconique mais également leurs plus grands ennemis rassemblés en un groupe imbattable. En auscultant les motivations, les rêves et les craintes de ces criminels, Alex ROSS (KINGDOM COME) et Jim KRUEGER (Earth X) dépeignent un combat entre ces malfaiteurs et la Ligue de Justice se basant autant sur la psychologie que sur les pouvoirs de ces adversaires. L'association des crayonnés de Doug BRAITHWAITE (Paradise X) aux peintures d'Alex ROSS offre également à cette bataille un décor aussi crédible qu'imposant.

07/2017

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Mathématiques

Justice

Quel travail mérite salaire ? Un gouvernement devrait-il être moralement neutre ? Qu'est-ce que la liberté ? Sommes-nous propriétaires de nous-mêmes ? Le patriotisme est-il une vertu ? Michael J. Sandel excelle dans l'art d'aborder, sous un angle éthique, les questions politiques les plus complexes en les ramenant à des enjeux dont chacun peut aisément se saisir. " Une légende des salles de conférences, le maître des grandes questions. " The Guardian " Brillante, accessible et profondément humaine, une lecture dont on sort transformé. " Publishers Weekly

03/2024

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Droit

La justice universelle en question. Justice de blancs contre les autres ?

L'intérêt de l'ouvrage de Sidiki Kaba est de mettre constamment en perspective certaines ambiguïtés de la justice pénale internationale, les ressorts politiques qui les sous-tendent inévitablement, et le caractère encore inachevé de l'édifice en cours. En évoquant les cas de Charles Taylor, de Saddam Hussein, de Pinochet et de Hissène Habré, Sidiki Kaba relate fort opportunément les calculs politiques qui ont entouré leurs procès, ou l'absence de procès en ce qui concerne l'ancien dirigeant tchadien. Le lecteur saisit sans mal la trame politique des procédures inachevées ou expéditives (Pinochet, Saddam Hussein et Hissène Habré) et des délocalisations sans raison, sinon politique, des procès (Charles Taylor). L'expérience acquise au cours des six années passées à la présidence de la principale organisation de défense des droits de l'homme, la Fédération internationale des droits de l'homme (FIDH), confère incontestablement à Sidiki Kaba l'autorité et la légitimité nécessaires pour formuler des suggestions destinées à consolider les fondations dans le domaine des droits civils et politiques, et à les étendre aux droits économiques et sociaux, voire écologiques. Pr Albert Bourgi.

05/2010

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Romans policiers

Dent pour dent. Que justice soit faite

Suite des aventures de l'équipe de flics SRPJ de Nîmes. Miguel Richard, le capitaine un peu rock and roll mais très intuitif, devient commissaire à la place de Pierre Ménart. Dès sa nomination, surviennent soudain trois agressions dans le secteur " Vauban " à Nîmes. Un rituel morbide les attributs des victimes exposés sur leurs corps meurtris, un foulard rouge attaché et lié par une seringue, un numéro inscrit dans le dos... Encore une fois la fameuse " salle jaune ", dans laquelle Miguel opère, lui procure toujours des idées lumineuses. Un final grandiose, riche en rebondissements, au coeur des tréfonds obscurs de l'humanité.

11/2021

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Suspense romantique

Souvenirs trompeurs ; Pour que justice soit rendue

Souvenirs trompeurs, Carla Cassidy Qui menace Mary Curtis, la jolie nounou que Lucas Maddox vient d'engager pour veiller sur Annabelle, sa fillette de trois ans ? Hanté par son récent veuvage, Lucas se rend compte soudain que le moment est venu de mettre ses souvenirs au second plan pour veiller sur celle qui est devenue pour lui bien plus qu'une simple employée... Pour que justice soit rendue, Elle James Muet de stupeur, Parker écoute le récit terrible de la femme qu'il vient de découvrir, épuisée, blessée, aux abords de son ranch. Et, tandis qu'elle lui raconte son enlèvement par une bande de trafiquants et sa fuite éperdue à travers bois, il réalise qu'elle n'était pas seule dans sa prison. Trois malheureuses sont encore aux mains des criminels. Des compagnes d'infortune qu'elle le supplie de secourir...

09/2023

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Droit

Pour l'honneur de la justice

Les Français peuvent-ils retrouver confiance dans leur justice ? Au lendemain de la catastrophe d'Outreau, l'avocat général Philippe Bilger, connu pour sa liberté de pensée et d'expression, en appelle à un véritable aggiornamento. Son essai, qui ne refuse pas le ton du pamphlet, est ici guidé par une double ambition. Celle, d'abord, de ne pas fuir l'analyse des problèmes et des désordres qui affectent le fonctionnement du judiciaire et laissent le citoyen désemparé ; lenteur de la justice au quotidien, responsabilité trop réduite des magistrats, corporatisme lourd, défaut d'humanité, rapports pervers avec les politiques, etc. Hommes, structures et institution, tout y passe et sans complaisance. Celle, aussi, de redonner de l'espoir à la magistrature et de l'enthousiasme aux juges. Il est temps que le monde judiciaire sorte de la plainte continuelle et renoue avec une volonté et un élan positifs. Il est temps, surtout, qu'il se mette véritablement au service du citoyen. L'honneur de la justice est à ce prix.

09/2006

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Littérature française

Dans les méandres de la justice

Aussi immature sur le plan affectif que brillant dans son métier d'expert de la finance, Gaëtan Le Bihoreau de la Roselière rencontre de grandes difficultés dans ses relations avec les autres. Alors que rien ne le préparait à cette aventure, il va se trouver embarqué dans une affaire criminelle, étant suspecté d'avoir commandité l'assassinat de l'ex petit ami de sa nouvelle compagne. La juge d'instruction, la psychologue de la prison, l'aumônier, les psychiatres désignés comme experts : chaque intervenant va se pencher sur son cas. Lui, dans un premier temps, campe sur une position mystique proche de la folie, et il n'a que faire de leurs questionnements et éclairages qu'il retourne contre son père. Derrière une façade de bon docteur écolo, bourgeois et catholique humaniste, Henri Le Bihoreau de la Roselière serait en fait un homme profondément égoïste. Bien évidement ce dernier ne se reconnaît pas dans ce portrait qui se précise à mesure que le dossier s'épaissit : il s'indigne, se lamente sur son sort et finit, contre l'avis de son avocat, par écrire à la juge pour se plaindre. Entendu, il va l'être, mais pas comme il l'aurait souhaité... La justice va suivre son cours, lourde et répétitive, avec son rythme et ses méandres, ses situations tour à tour pitoyables et cocasses, jusqu'au bouquet final : le passage devant les Assises. Confrontés à leurs fragilités, ni le fils ni le père ne sortiront indemnes de leurs tribulations judiciaires.

01/2014

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Philosophie du droit

La justice en voie de déshumanisation

A propos de l'ouvrage Olivia Dufour poursuit sa réflexion sur l'état de la justice en France : apparition de l'intelligence artificielle dans les tribunaux, généralisation de la visioconférence, bunkerisation des palais de justice, explosion des cas de burn out dans la justice, autant d'événements qui évoquent une mutation profonde de la justice et amènent à s'interrogent sur la place de l'humain dans cette nouvelle configuration. Peut-on juger un homme sans l'avoir en face de soi ? Faut-il transférer tout ou partie du pouvoir de juger à la machine ? A-t-on raison de construire des palais remplis de systèmes de sécurité qui limitent la libre circulation des professionnels et des justiciables ? Et que dire des prisons les plus modernes ou le confort matériel ne compense pas l'absence de contact humain ? La justice n'échappe aux grandes évolutions qui marquent la société : pression gestionnaire, extension du domaine de la technologie, recul de l'humain au profit de la machine, confiance accrue dans les process et les algorithmes au détriment de l'intelligence individuelle et collective. Sera-t-on un jour jugé par des machines ? Mais alors, que deviendra l'homme dans tout cela ? Points forts - Une auteure connue et médiatique - Un sujet d'actualité touchant un public large

06/2021

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Droit

Le service public de la justice

Réformer la justice ? Cette question est au centre de vifs débats. C'est à l'institution - Chancellerie, juridictions, magistrats, etc. qu'il incombe de concrétiser la justice, facteur d'ordre, d'équilibre et de lien social. Or l'institution semble aujourd'hui bien faible, dans son organisation, dans ses moyens, dans ses modes de recrutement. Il faut donc qu'elle change. Car le devoir de la justice est de faire en sorte que tous les individus demeurent des citoyens, en leur fournissant des jugements dans un délai raisonnable et à l'exécution acquise. En cela, elle est un service public. Mesurer les formes et les enjeux d'une réforme décisive pour notre société: telle est l'ambition de ce livre de réflexion qui aborde notamment les thèmes de l'égalité, de l'attente des justiciables, de la structure de l'Etat, des moyens financiers, de l'organisation, de la déontologie et de la responsabilité des juges.

05/1998

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Littérature étrangère

Le goût amer de la justice

Dans notre petite affaire, cher Andrea, nous avons décidé de défendre un homme qui nous paraît ignoble et qui l'est probablement. Mais une seule chose nous intéresse : établir si la responsabilité d'Arturo Eliodoro peut être prouvée. Tout le reste est totalement négligeable. Nous le défendons parce que nous respectons et célébrons la loi. Mais nous respectons et célébrons avant tout l'individu qui risque de se transformer en victime si l'on idolâtre ou blasphème la loi. Andrea Marigliano est un jeune avocat ambitieux, fasciné par un vieux maître du barreau de Naples qui se remet tout juste d'un cancer : Federico Scalia. Il devient son élève et son confident ; ensemble, ils vont partager leur conception de la justice, de la beauté, et enfin, de l'existence. Lorsqu'un client peu avenant accusé de pédophilie leur demande de prendre sa défense, deux mondes vont alors s'entrechoquer... Au sein d'un univers corrompu par le pouvoir de la presse et le culte de l'ambition, Marigliano pourra-t-il l'emporter tout en respectant les valeurs de son maître ?

03/2010

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Droit

La loi de réforme pour la justice

Moins de trois ans après la réforme pour la justice du XXIe siècle, la loi n°2019-222 du 23 mars 2019 de programmation 2018-2022 et de réforme pour la justice est publiée au Journal officiel. Cette réforme vise à offrir une justice plus rapide, plus efficace et plus moderne au service des justiciables. Elle poursuit 3 objectifs : renforcer l'accessibilité et la qualité de la justice pour les justiciables ; améliorer le quotidien des professionnels du droit et de la justice ; renforcer l'efficacité de la procédure pénale et de l'exécution des peines. Les principales mesures sont étudiées au travers de six volets : - Volet civil (divorce et séparation de corps, obligation d'entretien, autorité parentale, changement de régime matrimonial, droit des personnes) - Volet procédure civile (fusion des tribunaux de grande instance et des tribunaux d'instance, organisation judiciaire, règlement alternatif des différends, procédures civiles d'exécution, référé) - Volet pénal (organisation judiciaire, mise en état, police judiciaire, poursuite, instruction, sursis probatoire avec mise à l'épreuve, peines) - Volet notarial (nouvelles missions du notaire, conséquences sur la pratique notariale, habilitation familiale, tarif) - Volet administratif (services en ligne, simplifications des procédures) - Volet social (médiation judiciaire, représentation devant le Conseil de prud'hommes, saisie sur rémunérations) LES AUTEURS Ouvrage collectif issu de contributions rédigées par Nathalie Baillon-Wirtz, Younes Bernand, Jean-René Binet, Julien Boisson, Philippe Bonfils, Sylvain Bottineau, Alain Bouilloux, Jacques Buisson, Loic Cadiet, Anne-Sophie Chavent-Leclère, Jacques Combret, Hervé Croze, Valérie Depadt, Alain Devers, Alioune Djigo, Vincent Egéa, Michel Farge, Hugues Fulchiron, Thibault Lahalle, Christian Laporte, Hélène Pauliat, Virginie Peltier, Nathalie Peterka, Lois Raschel, William Roumier, Yves Strickler, Alex Tani, Jean-Baptiste Thierry, Sarah Torricelli-Chrifi, Etienne Verges, Laura Weiller.

11/2019