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Roger Bernadat, Christian Bernadat

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Poches Littérature internation

Mademoiselle Christina

Christina hante la demeure isolée des Mosco, où Egor et M Nazarie, professeur universitaire, sont venus séjourner. Il y règne une ambiance étrange. Madame Mosco cache des secrets, l'une de ses filles, Sanda, exerce un certain charme sur les deux hommes ; l'autre, Simina, encore enfant, indispose par ses sourires narquois et par sa maturité. Sanda est de plus en plus affaiblie, ce qui ajoute à l'interrogation des invités. Et, sous la lumière blafarde de la lune, les ombres trahissent la présence d'un autre monde, effrayant. Ecrite en 1935, Mademoiselle Christina est l'une des oeuvres de jeunesse de l'historien des religions Mircea Eliade. Elle emprunte à dessein au folklore roumain et amorce la veine fantastique de l'auteur.

02/2018

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Actualité et médias

11 septembre 2001. La fin d'un monde

11 septembre 2001. Le monde entier assiste, stupéfait et atterré, aux attentats meurtriers perpétrés contre la première puissance mondiale par l'organisation terroriste Al-Qaida, qui marquent la fin d'un monde... Le mardi 11 septembre 2001, les Etats-Unis sont touchés en plein coeur par quatre attentats suicides perpétrés pour les deux premiers, sur l'île de Manhattan contre les deux tours jumelles du World Trade Center, symboles du capitalisme triomphant, et pour le troisième contre le Pentagone, à Washington, centre décisionnel de la toute puissante armée américaine. Le dernier acte terroriste, qui visait vraisemblablement la Maison-Blanche, trouve son épilogue en Pennsylvanie grâce au sacrifice des passagers de l'appareil détourné qui ont tenté sans succès d'en reprendre le contrôle. Ces attentats, qui paraissaient jusqu'alors inimaginables, bouleversent le monde entier et font prendre conscience aux Etats-Unis de la vulnérabilité nouvelle de leur territoire. Si le spectre d'une troisième guerre mondiale avec Moscou appartient à l'histoire, une autre menace, plus diffuse mais peut-être plus terrifiante, plane désormais sur eux. Pour revivre en images, heure par heure, le jour où le monde a basculé.

08/2011

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Littérature française

Terre du roi Christian

Le feu aux joues, son père lui demanda : "C'est vraiment toi qui as écrit tous ces blasphèmes là... toutes ces maudites saloperies écœurantes ? Luc regarda l'épais manuscrit sur les genoux de sa mère au teint blafard et aux yeux gonflés de larmes, et il répondit : "Oui, c'est moi, j'ai écrit tout ce que je pense vraiment de la vie dans ce livre sacré qui est ma Bible à moi tout seul." Quelque part dans la vallée du Richelieu, Luc Dionne, adolescent épris d'absolu, rêve d'écrire une nouvelle Bible et de devenir Maya pour atteindre le mythique milieu du monde et l'immortalité. Sa quête de l'idéal lui fera croiser le chemin de Christian, jeune blasphémateur en révolte contre le monde. Par une nuit d'hiver glaciale, dans la lumière cendrée de la lune, ils toucheront chacun leur mauvaise étoile.

02/2003

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Criminalité

Réhabilitez-moi ! Christian Ranucci

Beaucoup d'éléments que je vais tâcher de mettre en évidence me poussent à croire en cette innocence, que cependant je ne peux ni ne veux poser comme une certitude. Je ne peux le faire, car des ombres subsistent et je ne les cacherai pas. Non, je ne le ferai pas car je tomberais dans le travers que je compte modestement attaquer de front, à savoir un simulacre de procès pour une question qui mérite tout le sérieux possible. Mon principal souhait dans cet ouvrage est d'affirmer avec une forte conviction que Christian Ranucci doit avoir un procès juste et équitable. La Justice doit à Christian Ranucci un tel procès, tout comme elle se le doit à elle-même. En 2020, et à plus forte raison, le principe de la révision d'un procès est au coeur de ce qui fonde la noblesse d'une démarche de Justice. Si la Justice ne reconnaît pas ses erreurs et si elle ne les corrige pas, comment croire en sa valeur sociale et républicaine ? La Justice ne gagne pas à persévérer dans l'erreur, et accepter de remettre en cause certains de ses dysfonctionnements serait pour elle un moyen d'affirmer sa maturité et de renforcer sa légitimité. Ce nouveau procès doit avoir lieu. Il devra ensuite confirmer ou infirmer les conclusions du procès de 1976...

02/2021

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Cinéastes, réalisateurs

Conversations avec Christian Petzold

Depuis Barbara, qui l'a fait connaître en France en 2012, Christian Petzold a conquis le public français par la rigueur et la profondeur de son cinéma. Son dernier film, Le Ciel Rouge, a obtenu le Grand Prix du Jury lors de la 73èn e Berlinale. Ce livre propose d'abord un parcours à travers l'oeuvre de l'un des cinéastes contemporains les plus intéressants d'outre-Rhin. Mais il offre surtout, sous forme de conversations presqu'à bâtons rompus, une plongée dans l'intimité créative et cinéphilique du cinéaste, qui semble préférer parler des oeuvres des autres que des siennes. Au détour d'un détail ou d'un souvenir apparemment anodins, Petzold sidère par la justesse d'une remarque ouvrant aussitôt sur de plus amples réflexions. Il révèle ainsi les secrets les plus fondamentaux de l'art de filmer et, pour les spectateurs que nous sommes, d'accueillir les films. Il nous a fait l'immense cadeau de les découvrir en même temps que lui.

10/2023

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Grands couturiers

Christian Dior, un destin

Né sous une bonne étoile au temps de la Belle Epoque, Christian Dior eut une enfance choyée. Durant son adolescence, électrisé par le Paris des Années folles, inventif et accueillant toutes les avant-gardes, il mena la vie de bohême en compagnie d'un groupe de génies en herbe qui aiguisaient leurs talents sous l'oeil de leurs glorieux aînés, Jean Cocteau et Max Jacob. Puis survint la crise mondiale de 1929 et la fortune familiale des Dior, établie depuis plusieurs générations, fut emportée irrémédiablement. Des années rudes, marquées par la faim, les privations et la maladie, attendaient Christian Dior. Ses amis, restés indéfectibles dans leur soutien, l'aidèrent à se frayer un chemin dans le milieu de la couture, jusqu'au moment où la Seconde Guerre mondiale vint anéantir les espoirs de tous. En 1947 enfin, la chance se déclara de façon spectaculaire. Son New Look fut un souffle de vie dans une époque qui s'enlisait dans la dureté de l'après-guerre. Dior ressuscita un art de vivre auquel nul n'osait plus croire, et son génie fut d'apporter la réponse tant attendue à une société meurtrie dans son besoin vital de bonheur et d'émerveillement. Christian Dior se révéla un bâtisseur d'empire, un conquérant capable de bouleverser les rapports de force entre la puissante industrie de la mode américaine et Paris, qui sortait exsangue de la guerre. Il fut un couturier prodigieux, convaincu que la tradition de goût et d'élégance propre à la France mérite qu'on s'y adonne avec passion.

10/2021

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Grands couturiers

Christian Dior et moi

Les mémoires d'un génie de la mode Peu avant sa mort soudaine en 1957, Christian Dior, alors au faîte de sa gloire, entreprit de publier ses Mémoires où, avec humour et style, il retrace le destin exceptionnel d'un homme qui, inconnu un jour, célèbre dans le monde entier le lendemain, révolutionna la mode. Rien, pourtant, ne semblait l'y prédestiner. C'est sur le tard que, pressé par la nécessité, il s'initie à la gravure de mode, puis travaille avec les plus grands. En 1946 (il a alors 41 ans), naît la maison Christian Dior. Quelques mois plus tard, sa première collection rencontre un succès immédiat et éclatant : son existence en sera irrémédiablement bouleversée. C'est ce parcours hors du commun que, dans un style surprenant d'élégance, Christian Dior nous fait découvrir. Il nous invite à passer les portes du 30, avenue Montaigne pour assister à la naissance d'une collection ou pénétrer dans les coulisses d'un défilé. Et, surtout, il dit ses intuitions géniales, avoue ses doutes, ses audaces, son obsession du détail et du travail soigné, tout ce qui en fit l'un des plus grands noms de la haute couture.

10/2022

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BD tout public

Christian en Bandes Dessinées

Vous avez un fils portant le prénom de Christian... Ou bien un frère, un père, un neveu, un petit-garçon, un prof', chef du personnel, dentiste, concierge, voisin, ministre ou PDG... Vous devez en épouser un prochainement, vous fiancer, vous pacser avec lui, ou encore vous en séparer... Peut-être même en attendez-vous un pour très bientôt ? Bref ! Quel que soit votre Christian, vous souhaitez certainement le connaître plus intimement. Eh bien, grâce à ce recueil à la fois drôle et plutôt savant, les Christian n'auront désormais plus de secrets pour vous !

04/2009

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Histoire des arts décoratifs

Christian Bérard. Excentrique Bébé

Christian Bérard est connu pour avoir révolutionné l'art du décor théâtral dans les années 1930 et 1940 mais il était aussi peintre illustrateur dessinateur de mode et architecte d'intérieur. Il a transposé son univers pictural sur la scène des Ballets russes de Monte-Carlo aussi bien que dans La Belle et la Bête de Jean Cocteau en 1946. Ses dessins publiés en couverture et dans les pages de Vogue et Harper's Bazaar ont su saisir avec une précision sensible le monde de la mode parisienne. A la Libération il a créé le désormais emblématique Théâtre de la mode un panorama de la couture française présenté sur des mannequins de fil de fer dans une installation qui a fait le tour de l'Europe et des Etats-Unis. Ses aménagements intérieurs les plus prestigieux comme ceux imaginés pour Charles et Marie-Laure de Noailles témoignent d'un rapport unique à l'espace à la fois lieu de création et objet de représentation fantasmé et théâtralisé. Célébré par ses contemporains qui l'avaient affectueusement surnommé Bébé Christian Bérard est pourtant de ces artistes "modernes excentriques" oubliés par les historiens de l'art. Plus de deux cents tableaux dessins photographies correspondances intimes et décors d'intérieur sont ici réunis autour de textes inédits pour le redécouvrir enfin.

07/2022

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Littérature étrangère

Ce que pensait roger

Dans le décor anonyme d'une petite ville universitaire de la Nouvelle-Angleterre, Roger Lambert, ex-ministre du culte et professeur de théologie, vit tiraillé entre le scepticisme et le démon de midi. Autour de ce pêcheur d'âmes devenu, comme le révérend Marshfield d'Un mois de dimanches, simple pêcheur, gravitent Edna, sa seconde épouse, Verna, son équivoque demi-nièce, et Dale Kohler, un jeune chercheur féru d'informatique et de religion. Quatre personnages en quête d'une identité qu'en marge des sentiers battus ils cherchent dans l'assouvissement de leurs fantasmes et les plaisirs de la chair. En filigrane le tableau très impressionniste de l'Amérique nonchalante et blasée au crépuscule de l'ère Reagan, dont l'auteur observe et souligne avec réalisme et sans concession, mais aussi avec détachement, les conflits et les paradoxes, l'envers du rêve américain. Ce douzième roman illustre avec éclat la mission que John Updike assigne à l'écrivain contemporain : "penser grand", dépoussiérer le roman en renouvelant ses sources d'inspiration. Sur la trame de la tragi-comédie bourgeoise se greffe une interrogation d'ordre essentiel et existentiel sur la naissance de l'univers, les origines de la vie et le devenir de l'homme. Aux antipodes du roman académique ou expérimental des années 60 et 70, en marge des niches et chapelles littéraires, ni livre-miroir ni livre-masque, Ce que pensait Roger est un roman à tiroirs et à facettes multiples dont la double optique à la fois macro- et microcosmique offre, selon l'ambition de son auteur, "une fenêtre ouverte sur l'univers et la vie". John Updike réussit brillamment la synthèse entre le profane et le sacré, le sexe et la religion, "les deux formes suprêmes de résistance à la peur de la mort".

02/1988

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Critique littéraire

Lettres à Roger Blin

Dans cet ouvrage sont rassemblées les lettres que Jean Genet a adressées à Roger Blin, le metteur en scène des Paravents, créés le 21 avril l 1966 au Théâtre de France par la troupe de Jean-Louis Barrault et de Madeleine Renaud. Elles se rapportent toutes à la pièce de Genet et sont complétées par des notes que l'auteur a prises au jour le jour.

08/1966

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Critique littéraire

Roger Peyrefitte, le sulfureux

Plus de 60 ans après ses débuts fracassants sur la scène littéraire, Roger Peyrefitte reste considéré comme un auteur sulfureux. Il est grand temps, dix ans après sa disparition, de porter un jugement plus serein sur un homme et une oeuvre qui ont profondément marqué leur époque. Intime de Montherlant, il a fréquenté Cocteau, Morand, Jouhandeau, Mauriac, et a été un acteur de premier plan d'un demi-siècle de vie littéraire. Styliste étincelant doublé d'un observateur privilégié des milieux les plus divers, il a dépeint la société de son temps dans une fresque inoubliable. Ecrivain engagé, il a été de tous les combats pour la libération des moeurs, contribuant à faire souffler sur la France d'après-guerre un grand vent de liberté. Figure du Tout-Paris, enviée pour ses succès mondains et ses amitiés dans le show-business, de Thierry le Luron et Yves Mourousi à Amanda Lear et Sylvie Vartan, il a longtemps incarné, aux yeux du grand public, l'image bien française du grand écrivain. Nul doute que Roger Peyrefitte, qui fut tout cela et bien d'autres choses encore, intéressera les esprits libres et les amoureux de la langue française.

06/2011

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Littérature française

Mr Roger et moi

Elle se nomme Hélène, mais se fait appeler Joe parce qu'elle veut vivre en garçon comme lady Oscar, son héroïne de dessins animés préférée, capitaine de la garde rapprochée de Marie-Antoinette. Comme elle, elle aimerait vivre à une autre époque et réaliser de grands exploits, car elle a l'âme romantique et un imaginaire avide de grands drames. Hélène a trois soeurs, un père très occupé à être malheureux et une mère compréhensive mais un tantinet rigide. Tous les jours, elle distribue vaillamment les journaux et travaille le soir dans la salle de bingo du quartier. Elle vit dans un quartier populaire peuplé de gens hauts en couleur, dont le plus attachant est sans nul doute son nouveau voisin, Mr Roger, un vieil homme qui rêve de mourir. Il passe ses journées à boire de la bière et à jurer comme un charretier, et tout le quartier se moque de ce vieux grincheux. Hélène ne veut pas faire comme tout le monde et entreprend de l'apprivoiser... Ils développent petit à petit une amitié indéfectible.

03/2014

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BD tout public

Le carnet de Roger

Automne 1939, près de Nantes. Roger, maraîcher de 27 ans, reçoit son ordre de mobilisation. Il laisse derrière lui sa fiancée, Suzanne. Huit mois plus tard, il est arrêté par les Allemands dans les Ardennes. Hiver 2002, à Nantes, Florent découvre au grenier le carnet de prisonnier de son grand-père Roger, qui vient juste de mourir... Il décide de partir sur les traces du passé, le carnet à la main. Un témoignage rare, émouvant, sur un épisode méconnu de l'Histoire : la déportation des prisonniers de guerre français dans des camps de travail.

10/2011

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Littérature française (poches)

Lettres à Roger Nimier

Jacques Chardonne, parrain des "hussards", et Roger Nimier,son plus flamboyant représentant, sont ici comme les deux rois tête-bêche d'une carte à jouer. Ces Lettres, caustiques, lyriques, attendries, toujours brillantes, Roger Nimier ne put les lire qu'après leur publication en volume. Jacques Chardonne n'y épargne pas ses contemporains ; Gide, Montherlant et Max Jacob font les frais de son humour dévastateur. Il ne fait pas seulement œuvre de pamphlétaire ou de chroniqueur : ce styliste cherche aussi comment vivre, ce rieur cruel saisit aussi des instants de grâce. A déguster comme un verre de Cognac.

09/2011

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Sculpture

Patrick Roger. Sculptures II

Patrick Roger est un artiste sculpteur chocolatier, meilleur ouvrier de France consacré en 2000. En dehors des sentiers battus, il s'exerce à transformer la matière chocolat en sculptures qui deviennent bronze ou aluminium, marbre ou béton, miniature ou gigantesque... L'artiste sculpte avec passion, pour raconter, questionner, ou encore dénoncer des sujets qui lui tiennent à coeur (les migrants). Patrick Roger s'inspire de son entourage (les sculptures Céleste, Camille, Mathilde par exemple), de la nature (les oeuvres Dendrologie, lune, Islande), de célébrités fascinantes (Annie Lennox, Michael Jackson), ou autres thématiques telles que la série des 25 savons dont la matière fascine l'artiste. Cet ouvrage s'inscrit dans la continuité du premier répertoire des oeuvres de Patrick Roger, paru en 2018. 177 nouvelles créations y sont présentées, accompagnées chacune de leur description précise, d'images spectaculaires, sublimant les matières et compilant un travail d'artiste. Un carnet d'inspirations contemporaines et une reproduction de son carnet de croquis viennent compléter le répertoire d'oeuvres permettant au lecteur de se plonger dans l'univers du sculpteur.

10/2022

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Autres collections (9 à 12 ans

L'Ecole des mousquetaires Tome 2

Et si d'Artagnan ouvrait une école pour rajeunir la troupe des défenseurs du Roi ? Eva obtient des informations qui vont lui faire traverser tout le royaume de France pour une nouvelle mission. Mais elle se sent bien seule... Car son père et son frère restent introuvables, tous deux enlevés par les sbires de l'homme à la cicatrice, l'affreux Bernadac. Pire, les insinuations de ce dernier ont semé le doute dans l'esprit de la jeune fille... Peut-elle encore se fier à d'Artagnan, ou cherche-t-il à la ralentir pour l'empêcher de découvrir la vérité ? Heureusement qu'elle peut compter sur ses camarades apprentis mousquetaires... Une pour tous, et tous pour une !

03/2023

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Encyclopédies de poche

Picasso. Le sage et le fou

Un peintre, un homme, un génie. Picasso fut un homme pour qui peindre voulait dire voir, et qui mieux que personne «vit» son siècle. Visionnaire, oui. Engagé corps et biens dans son absolu. Homme public dont l'existence tumultueuse fascina toujours les foules, il était aussi un personnage farouche, secret, imprévisible. Des premiers pigeons crayonnés de Málaga aux périodes bleue et rose, des folles années montmartroises aux Demoiselles d'Avignon, de l'explosion surréaliste à Guernica, des femmes en pleurs à la femme-fleur, il fut celui qui disait sans relâche : «Je ne cherche pas, je trouve.»Marie-Laure Bernadac et Paule du Bouchet retracent le destin d'un homme qui a marqué le vingtième siècle d'une empreinte de feu.

09/2007

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Témoignages

Moi, Christiane P.

Que reste-t-il de notre identité ? Lorsque, petit à petit, nous perdons ces bribes de mémoire qui nous disent qui nous sommes, d'où nous venons, où nous allons ? Lorsque, doucement, s'effacent notre parcours, nos idées, nos plaisirs ? Et puis notre notion du temps, du monde, de l'autre ? Imaginez un instant que vous ne sachiez plus qui vous êtes, où vous êtes, pourquoi vous êtes là, ni qui sont les gens qui vous entourent... Et pourtant, ne sommes-nous pas vivants jusqu'au dernier instant ? Nos sentiments, nos émotions, ne demeurent-ils pas intacts même quand notre esprit s'égare ? Tous ces gens bien portants qui jugent et décident à votre place, pour votre sécurité, pour la leur, ou qui se transforment en tortionnaires ordinaires dans un système où l'humain n'est plus qu'un numéro. Ce texte n'est cependant ni un pamphlet ni un réquisitoire. Tout juste un témoignage. Un hommage, peut-être. A la mémoire de tous ceux qui ont vécu cet enfer-là. Parce qu'il faut dire et faire savoir. Ne pas se taire. Parce qu'un jour, peut-être, vous serez Christiane P.

07/2022

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Actualité et médias

L'ombre de Christian Ranucci

Christian Ranucci, 22 ans, a été guillotiné le 28 juillet 1976 dans une cour de la prison marseillaise des Baumettes. Etait-il coupable ou innocent ? Publié deux ans après son exécution, Le Pull-Over rouge posait la question. Les recherches et enquêtes conduites depuis trois décennies n'ont fait que renforcer l'angoissante probabilité de l'innocence du jeune décapité. L'Ombre de Christian Ranucci révèle les résultats de ces travaux et évoque les rebondissements les plus récents, y compris la possible intervention d'un présumé tueur en série. L'Ombre de Christian Ranucci marque une nouvelle et importante étape dans la quête de la vérité.

08/2006

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Photographes

Paolo Roversi par Christian Caujolle

Si on le connaît surtout pour ses photographies dans le domaine de la mode, Paolo Roversi n'est surtout pas photographe "de" mode. Ce grand connaisseur de la photographie - qu'il collectionne avec un goût très sûr -, cet amateur, au plus beau sens du terme, de livres qui, dès sa jeunesse l'ont familiarisé avec les classiques comme avec les auteurs de sa génération, est photographe, tout simplement. Il considère chaque photo comme un "portrait", qu'il s'agisse d'un visage, d'une robe, d'un paysage ou d'une cafetière, et affirme sa passion pour August Sander, Diane Arbus ou Richard Avedon. Et évidemment Robert Frank dont il fut proche. Simplement parce qu'il cherche à "placer au centre du monde" ce qu'il photographie, qu'il s'efface pour pouvoir éliminer et épurer au maximum. Avec une grande élégance. Au début, cela n'a pas été facile. Le COVID 19 nous a empêchés de nous voir en face à face et nous avons dialogué par écrans interposés, ce que ni l'un ni l'autre n'aimons et qui ne se prête guère au type d'échange qui est la règle, la base et le fondement de ces discussions. Dès la première rencontre physique sur la terrasse du Studio Luce et malgré l'intempestif passage d'un hélicoptère, la parole est devenue plus fluide. D'autant que le lieu est accueillant, que le studio, dans un immeuble des années trente au sud de Paris fait cohabiter espaces de vie et de travail. Comme une évidence. Retrouvailles complices, échanges, partage. Et toujours cette bonne humeur élégante, ce sourire qui plisse au coin des yeux, ce rire fréquent et jamais haut, cet humour léger, une façon de ne pas se prendre au sérieux, une forme de prédestination au bonheur comme une décision de vie. On sent à chaque instant une exigence, par nécessité et, tout aussi forte, l'indispensable liberté qui ouvre les portes. Le rythme est souple, musical, à la fois ferme dans ses convictions et jamais arrogant. Français parfait et précis pour le plus italien des parisiens, ou, peut-être, le plus parisien des italiens. Peu importe, d'ailleurs. Oui, une évidente élégance. Comme, plus tard, dans son appartement lumineux au dernier étage d'un bel immeuble. Un univers habité, ni en désordre ni vraiment rangé, surtout pas arrangé. Un monde de livres, dès l'entrée et dans presque toutes les pièces. Des livres de tous types, poésie, roman, philosophie, littérature, photo évidemment, livres d'art et de remarquables exemplaires reliés de belles éditions anciennes - vu une originale de Paul et Virginie, un ouvrage de 1776 sur l'Italie avec des aquarelles magnifiques ou un exemplaire des Œuvres complètes de Jules César - qui viennent de son épouse, Laetitia, ancienne top model descendante des imprimeurs typographes Firmin Didot. Un monde de photographies, partout, dans toutes les pièces, au mur ou sur des rangements en bois à croisillons. Peu de photographies du maître des lieux, finalement, mais beaucoup de pépites, de Robert Franck - beaucoup - à Diane Arbus - dont le si rare autoportrait enceinte - à Kertész - un petit tirage inédit d'une vue de Paris –, plusieurs Shoji Ueda ou Louis Faurer. Et tant d'autres, mêlés à quelques photos de famille. Face à un mur entièrement couvert de photographies, bouleversant, un Lucio Fontana blanc, d'un format inhabituellement grand, très pur d'une seule entaille verticale. On aperçoit, dans une bibliothèque dont les portes vitrées protègent des livres particulièrement précieux, un petit paquet carré, emballage mystérieux des tout débuts de Christo. D'autres peintures au mur, dont une d'un ami. Ici, rien n'est décoration, on vit dans un environnement où l'art trouve tout naturellement sa place pour que l'on vive avec lui. On le respire. Mais il ne s'agit ni d'un musée, ni d'une monstration, encore moins d'une démonstration. Pas de logique, pas de hiérarchie, une manière plutôt d'autoportrait fait de bribes de souvenirs, de moments d'une vie, d'émotions préservées. Nous n'avons, finalement, pas tellement parlé de mode. Sans doute parce que ce n'est pas vraiment le propos, même si celui qui dit avoir été fortement influencé par August Sander est catalogué comme photographe "de mode" et que c'est son activité professionnelle principale. Mais il est évident que pour celui pour qui " tout est portrait " l'enjeu, le seul, est la photographie. Donc la lumière. Et une indispensable liberté que l'on retrouve dans la façon d'évoquer et sa pratique et des souvenirs, de se dire sans toujours se dévoiler, avec une pudeur qui n'est pas un calcul ou une cachotterie. La parole est fluide, les émotions et les souvenirs reviennent, les convictions, les commentaires, sans affectation. On se parle. Juste entre nous.

11/2022

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Animaux, nature

Souvenirs de chasse pour Christian

Remises en grande solennité la veille au soir, en présence de notre mère, très inquiète: "Surtout soyez très prudents!" notre père lui soufflant à mi-voix: "Rien à craindre, ça ne peut pas tuer une mouche! ", les deux carabines avaient fait irruption à 7 h du matin, le lendemain, à grand fracas, dans la chambre paternelle et maternelle, portées par deux chasseurs en délire, ayant à peine attendu le rituel "Entrez!" et brandissant quatre oiseaux parfaitement tués et tués à 15 pas, à travers feuilles et branches. Mon frère trois, moi un. " Encore couchés, notre mère et notre père avaient accusé de manière différente le choc de cette brutale révélation; la première, les mains jointes: "Mon Dieu, c'est épouvantable! Je savais bien que c'était de la folie, ces carabines!" le second avec un demi-sourire, à la fois gêné et satisfait: "Eh bien, ma foi, voilà qui n'est pas mal tiré!" " Nous étions repartis en coup de vent. A midi, la brochette se montait au chiffre que nous nous étions fixé, deux par personne. Douze oiseaux, en comptant la cuisine. Quelle chasse! Douze oiseaux bien choisis; rien que des becs-fins, sauf trois gros-becs; deux moineaux et un verdier. Nous étions déjà de vrais chasseurs, se connaissant en gibier. "

11/2012

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Sociologie

Luc et Christian Boltanski. Fraternité

Luc Boltanski est un sociologue dont les travaux ont initié un tournant décisif dans l'histoire de la discipline, mais il écrit et publie aussi recueils de poèmes, pièces de théâtre et opéra. Christian Boltanski est un artiste plasticien reconnu internationalement, dont les oeuvres ont marqué de leur empreinte l'histoire de l'art contemporain, mais même s'il prétend n'avoir guère étudié et ne jamais lire, il s'interroge constamment sur les énigmes du social. Si proches et si différents, ces deux frères font preuve, à travers leur biographie menée ici en parallèle, d'une forte proximité créative autour d'une préoccupation qui leur est commune - la fraternité - non pas seulement celle qui les a fait frères - mais une fraternité au-delà des frontières, une fraternité pensée, réfléchie, choisie.

04/2018

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Essais biographiques

Christian Gardair, paysageur d'estuaire

Etre sans plis. Une belle nappe, dans les hôtels, est sans plis. Comme je suis un type compliqué, j'aimerais bien me simplifier. Sans plis, ni replis (Christian Gardair). ?Si diverses qu'elles soient, les expériences du peintre Christian Gardair n'en gardent pas moins une unité, celle d'une quête de vérité : Je vous dois la vérité et je vous la donnerai, écrivait Cézanne. Pour Christian Gardair qui aime se définir comme un ?anonyme du XXe siècle, la vraie peinture c'est?la langue coupée? (Matisse), c'est le silence, rejoignant le précepte de Wittgenstein? : Ce dont on ne peut parler, il faut le taire. Il ne faut pas dénaturer le tableau, qui pose la question de sa présence, d'elle seule ; il est et reste avant tout une Enigme.

11/2021

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Criminologie et sicence pénite

Christian Ranucci. La mémoire guillotinée

Du temps où la peine capitale était appliquée en France, la justice inhumait les suppliciés dans une sépulture anonyme. Etre condamné à mort, c'était aussi être condamné à l'oubli perpétuel. Christian Ranucci, guillotiné en 1976 à l'âge de 22 ans pour le meurtre d'une petite marseillaise de huit ans, Marie-Dolorès Rambla, aurait dû connaître ce destin posthume. Mais deux ans après son exécution, un livre signé de Gilles Perrault, Le pull-over rouge, inscrivait son nom dans la mémoire collective en évoquant la possibilité d'une erreur judiciaire. A l'écart des polémiques stériles sur la responsabilité de certains acteurs dans ce qui est devenu une tragédie judiciaire, l'auteur a convoqué des psychologues anglo-saxons pour nous éclairer sur le fonctionnement de la mémoire humaine, sur ses fragilités, ses égarements, ses défaillances. Car un dévoilement convaincant de la vérité ne saurait faire l'économie de questions sur notre mémoire : un témoin sincère peut-il faire un faux témoignage ? Quelle est la fiabilité de la reconnaissance d'un suspect par un témoin ? Peut-on vraiment, et si oui, comment convaincre un innocent qu'il a commis un crime ? Quelle est la fiabilité d'un aveu ? Non pas seulement pour un jeune homme exécuté à vingt-deux ans, mais surtout pour la mémoire d'une petite victime et de sa famille traumatisée par le destin, cette affaire exige qu'on ne laisse pas la mémoire guillotinée.

03/2021

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Essais biographiques

Après. Conversation avec Christian Boltanski

Entretien entre l'anthropologue et l'artiste sur les relations entre l'anthropologie et l'art contemporain dans ses rapports à la mémoire collective et individuelle. Octave Debary suit le chemin d'une pensée qui laisse une place à ses " enquêtés " à l'intérieur même de son propre texte, offrant ainsi la matière première d'énonciation du discours de l'artiste. Depuis plusieurs années Octave Debary, professeur à l'université Sorbonne-Paris-Cité et directeur du centre d'anthropologie culturelle (Paris-Sorbonne), développe un projet d'anthropologie comparée de la mémoire et du temps. En s'intéressant à la façon dont une société met en mémoire (et en musées) son histoire, ses recherches l'ont conduit à l'étude de l'art contemporain dans ses rapports à la mémoire collective et individuelle. Au-delà de sujets, il s'agit de construire une posture et une analyse qui promeuvent une dimension collaborative, comme avec les artistes allemands Jochen Gerz et Swaantje Güntzel et comme ici avec l'artiste français Christian Boltanski. Ce livre s'inscrit dans une recherche entreprise depuis presque vingt années sur les " artistes de la mémoire " et constitue une contribution originale et importante au développement d'une anthropologie de l'art et de la réception. Ce livre a comme sujet principal les relations entre l'anthropologie et l'art contemporain. Il s'est construit pendant toute une année en intelligence et en connivence avec Christian Boltanski. Figure centrale de l'art contemporain dont les oeuvres sont présentes dans le monde entier, Boltanski parle de son travail en évoquant les tracés d'un art fragile, d'un art de l'ordinaire et du commun mais aussi de la musicalité, de la mémoire... Ses oeuvres d'abord présentées sous forme d'objets (inventaires, photographies, documents, pièces à conviction, vitrines de références...) ont établi autant l'existence d'une histoire individuelle que leur ressemblance à celle des autres. L'artiste a poursuivi son travail autour d'objets de plus en plus fragiles, davantage reliés à une existence en suspens, à une transmission parlée, sonore, du mot à la note, dont sa dernière grande exposition Faire son temps (Centre Georges-Pompidou, 2019), comme son opéra comique Fosse (2020) et l'exposition Après (2021) sont les ultimes expressions. La raison d'être de cet ouvrage est marquée par la volonté (au-delà d'un apport documentaire, journalistique ou critique...) de promouvoir une anthropologie dialogique, où la prise de parole n'est pas le seul fait du chercheur. Octave Debary suit le chemin d'une pensée qui laisse une place à ses " enquêtés " à l'intérieur même de son propre texte, offrant ainsi au lectorat la matière première d'énonciation du discours de l'artiste.

04/2023

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Littérature érotique et sentim

La passion du Dr Christian

A Holloman (Connecticut), ville rongée par le désespoir et la dépression, le docteur Joshua Christian prodigue à ses patients une attention particulière. Son charisme et l'aura magnétique qu'il dégage suffisent souvent à soulager les maux. Judith Scariott, une femme manipulatrice et sans scrupules, semble avoir trouvé en sa personne une figure d'espoir et une voix libératrice pour tous les Américains. Elle fait alors de Joshua une star des médias, dont la seule apparition suffit à convaincre les foules. Joshua se prête admirablement au jeu, jusqu'à se sentir investi d'une véritable mission. Ses initiales, J. C. , ne seraient-elles pas celle d'un nouveau prophète ?C'est alors qu'il décide de s'affranchir de ceux qui le manipulent.

11/2015

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Littérature française

Roger-pris-dans-la-terre

Le thème de cet ouvrage cinglant est en apparence incongru : un paysan, peu à peu, se sent gagné par la terre, comme s'il devenait un personnage de terre. Cette obsession handicapante l'amène à chercher toutes les thérapies possibles pour enrayer son mal : la médecine conventionnelle, les guérisseurs, la psychanalyse... sans résultat. Son intuition, en vue de guérir, est qu'il conviendrait de tuer la terre, pour s'en débarrasser enfin et retrouver un corps normal, le formidable corps normal, celui qui ne souffre de rien. Cette fable, au-delà de la métaphore de l'enracinement, se corrèle pour l'occasion à une réalité très contemporaine, l'accroissement des maladies nouvelles nées des dégradations de l'environnement. Elle devient une forme d'avertissement, un élément du combat écologique contemporain. "Roger-pris-dans-la-terre : un paysan qui s'adonne à l'agronomie de pointe mais aussi un proscrit dans sa condition de glaise", dit Frank Smith dans sa préface. A rebours du roman agrarien, celui, pétri de régression, de "la terre qui ne ment pas", ce court récit met en scène un désastre environnemental, incarné celui-ci, vécu comme une plaie vivante.

09/2017

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Poches Littérature internation

La vie de Roger Fry

C'est en 1910 que Virginia Woolf rencontra Roger Fry pour la première fois. Leurs liens amicaux, intellectuels et même familiaux furent dès lors très étroits. Au cours d'une de leurs conversations, Roger Fry avait lui-même suggéré à son amie qu'elle donne l'illustration de ses théories sur l'art du biographe en dressant son portrait littéraire. Ainsi, dans une oeuvre de maturité qui navigue entre la biographie, le portrait et le roman, Virginia Woolf a recréé la vie d'un artiste peintre et critique qui, comme elle, fut un personnage central du groupe de Bloomsbury. La Vie de Roger Fry est le dernier texte de Virginia Woolf publié de son vivant.

01/2021

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Critique littéraire

Roger Peyrefitte et ses Arcadies

Roger Peyrefitte (1907-2000) fut un écrivain célèbre et sentant un peu le soufre. Si son oeuvre traverse actuellement un purgatoire, tout le monde connaît au moins le titre de son premier livre : Les Amitiés particulières, prix Renaudot 1944. Son thème devait conduire le romancier à devenir le parrain d'Arcadie, revue "littéraire et scientifique", dédiée à la "défense et illustration de l'homosexualité", qui parut de 1954 à 1982, dans le contexte d'une France homophobe. Et il avait choisi soigneusement le nom de cette publication. Par référence au mythe paradisiaque de l'Arcadie de la Grèce antique. En souvenir des Académies lettrées d'autrefois et, singulièrement, de l'Académie des Arcades. Et en clin d'oeil à Akadémos, le premier mensuel homophile français. L'entreprise d'Arcadie, le titre à comprendre comme un calembour-valise, était donc d'accord avec les centres d'intérêt personnels d'un chantre de l'amour et de la culture au masculin. Sous un dehors évoquant les bergerades champêtres, Roger Peyrefitte avait rêvé d'une Académie littéraire. Jean Cocteau était de l'aventure mais Marcel Jouhandeau la condamna, Julien Green ne fut pas élégant à l'endroit du projet si Marguerite Yourcenar l'honora d'avis intelligemment critiques. Et, Arcadie une encyclopédie à cahiers mensuels et, en son temps, un bulletin de soutien aux dissidents sexuels, les livres de son parrain ne furent pas sans connexions avec les travaux de l'institution - qu'il s'agisse des Clés de Saint-Pierre, de L'Exilé de Capri, de L'Illustre Ecrivain ou d'une fameuse trilogie sur Alexandre-le-Grand.

12/2012