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Récit d'une mère sur la mort de sa fille

Extraits

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Littérature française

La mort passe. Récits

La mort passe près, très près, tout près des héros de ces trois récits. L'un, parfaitement vaillant, en a l'imagination toute retournée. Le second, en bonne forme lui aussi, ne la voit pas et il faut qu'elle insiste et se fasse remarquer. Au troisième, elle montre sa solitude et son angoisse. Trois récits vifs où la drôlerie, la cocasserie, les tremblements et le chagrin se côtoient, s'entremêlent et se marient avec bonheur.

11/2017

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Littérature étrangère

La mort n'est pas contagieuse. Mémoires d'une fille de

Dès l'avant-propos, l'auteure précise : "Ce livre est une oeuvre très intime. Il ne s'agit pas d'une biographie de mon père. Ce n'est pas non plus une autobiographie, ni un condensé de notre relation rendu public, ni un livre de révélations comme en publient les célébrités. Il s'agit plutôt des mémoires d'une jeune femme, de son chagrin et de ce qui la traversait au moment où elle devait affronter les mystères de la vie de son père et de son suicide". Récit sensible d'un deuil et d'une quête de sens, documenté par des photos inédites, ce livre dresse un portrait intime et pudique de l'écrivain - son humour, ses excès, des fragments de son quotidien, le succès et les échecs de ses livres. On y croise ses proches de la Beat Generation - Thomas McGuane, Don Carpenter... - ou encore Jim Harrison. L'auteure approche les zones d'ombre que cultivait ce "père magique" , adoré et ambivalent. Dans une langue juste et sobre, elle permet d'entrevoir la fragilité de l'homme derrière la légende. ''

11/2019

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Littérature française

Nique ta mère la mort

Un homme, deux femmes, qui veulent être heureux ici et surtout maintenant. Alors nique ta mère le malheur et passe ton chemin... Un homme, sauvage et solitaire, écorché par la vie. La première fois dans sa jeunesse avec le rire perdu d'un frère. La seconde fois par son métier, militaire. Et une obsession, ce bruit incessant des hélicoptères. Dans son monde rude et éprouvant, deux femmes surgissent, s'interposent. Il y a Annette, la nouvelle voisine. Elle a un trou dans la gorge et une voix de robot, mais elle ne lâche rien et profite de chaque heure que la vie lui offre encore. Et puis Nadège, la soeur de son pote FX, que la vie a chassée de son foyer et qui cherche un nouveau départ. Une urgence les relie, peut-être la même, être heureux ici et surtout maintenant. Alors nique ta mère le malheur et passe ton chemin...

03/2019

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Essais

Qu'est-ce qu'une fille attend de sa mère ?

Il arrive à un moment de leur vie où une mère et sa fille ont besoin de comprendre la nature des relations qui les lient l'une à l'autre, d'une façon le plus souvent passionnelle, entre rapprochements et éloignements. Cette recherche au caractère si unique entre deux femmes traversées, l'une et l'autre, par des questions concernant leur féminité, touche le coeur de leur identité. Car entre mère et fille plane toujours l'énigme de la sexualité féminine. Une question parcourt ce livre : comment une femme constitue-t-elle sa féminité à partir de la façon dont sa mère a forgé la sienne propre ? Malvine Zalcberg nous conduit du point où Freud et Lacan nous avaient laissés jusqu'au présent de cette subtile relation si désirée, si douloureuse, mais si prometteuse.

01/2023

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Littérature française

La fille de son père

Trois soeurs que la vie a éloignées se retrouvent chez leur père à l'occasion d'un dîner d'anniversaire. Dans la maison d'enfance, les souvenirs affleurent. Les gestes deviennent nerveux, les langues fourchent et les rancoeurs s'invitent autour de la table. Au dessert, un secret de famille est révélé. Une bombe à retardement qui va, sourdement, modifier le quotidien de chacune des filles. Un premier roman acéré, qui sonde les rapports doux-amers de trois jeunes femmes et d'un père.

08/2010

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Littérature francophone

La fille d'elle-même

Dans un village québécois, à la lisière d'une forêt de conifères, une petite fille se sent différente ; tout le monde croit qu'elle est un garçon. Souliers toujours trop petits, coupe champignon loin de la chevelure dont elle rêve, elle se fait traiter de fille manquée, fume des cigarettes pour ne plus grandir et traîne pendant toute son adolescence un garçon mort dans son portefeuille. Jusqu'à ce qu'un jour, elle décide de quitter Saint-Siméon et de devenir elle-même.

10/2023

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Essais

La mère, l'amante, la mort

Les crimes contre l'humanité transcendent l'individu puisqu'en attaquant l'homme, est visée, est niée, l'Humanité. C'est l'identité de la victime, l'Humanité, qui marque la spécificité du crime contre l'humanité , affirmaient en 1997 les juges du Tribunal international pour l'ex-Yougoslavie à l'appui de leur premier jugement. L'expression même de crime contre " 'humanité distingue ce crime de tous les autres et souligne son extrême gravité. Mais, si grave soit-il, un crime ne constitue un crime contre l'humanité qu'à condition de comporter des éléments constitutifs précis et de s'inscrire dans une attaque généralisée ou systématique. Cet ouvrage propose d'éclairer cette dénomination pénale née à Nuremberg en analysant sa formation en droit international, puis les variations de sa réception au niveau national. Il en explore ainsi la richesse mais pointe aussi ses ambiguïtés au travers des applications passées et présentes, esquissant déjà les transformations à venir.

10/2023

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Littérature française

Passage de la mère morte

En s'adressant à sa mère disparue, le narrateur renoue les fils de sa vie, dévoile ce qu'il a tu depuis trop longtemps. Ainsi cherche-t-il à comprendre une femme insaisissable dont il ignore le passé et le vrai nom, et surtout à expliquer pourquoi elle l'a si mal aimé. Pour lui, la présence de cette mère fut synonyme de désordre, de crises, de mauvais souvenirs, et même de disparition soudaine. C'est auprès de son père et de ses grands-parents qu'il trouva un équilibre, une vie plus paisible, tournée vers les études et la lecture. Toutefois il grandit avec le sentiment de n'être pas un enfant comme les autres. Par la suite il réussit à s'accommoder de cette femme capricieuse, mais aussi attachante, à qui il ne put jamais parler à cœur ouvert, puisqu'elle esquiva sans cesse toutes ses questions. A présent qu'ils sont quittes il peut passer outre. Franchir un cap qu'il avait jusqu'alors contourné.

04/2008

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Psychologie, psychanalyse

Père-Fille. Une histoire de regard

Une femme ne se construit pas en un jour. Pour chacune, il s'agit d'assumer pleinement sa féminité, que ce soit dans le domaine amoureux et sexuel ou dans son désir d'être mère. Or, le père est l'un des piliers de cette réussite. Pour la lle, il est l'indispensable soutien qui va l'aider tout au long de ce périlleux chemin. Pour le père, elle est l'expérience d'un amour unique en son genre. Ce lien se déploie pour un être de l'autre sexe, mais avec l'impératif d'exclure la sexualité. C'est cet interdit qui présidera à la qualité du lien et à l'épanouissement du féminin. En s'appuyant sur de nombreuses histoires de femmes, écoutées dans son cabinet de psychanalyste, Didier Lauru éclaire un des arcanes de la féminité : une lle devient femme sous le regard de son père. Didier Lauru est pédopsychiatre, psychanalyste, directeur du Centre Etienne Marcel à Paris, membre d Espace analytique. Il a dirigé avec Annie Birraux plusieurs collectifs sur l adolescence dont Adolescence et prise de risques (2010), L Enigme du suicide à l adolescence (2012), Le Poids du corps à l adolescence (2014), et De la haine de soi à la haine de l autre (2015).

09/2020

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Cuisine

La cuisine italienne de mère en fille

Parfumée, sensuelle, ensoleillée, essentielle... la cuisine italienne est aussi plurielle et contrastée, à l'image de ses nombreuses régions : Osso-buco à la milanaise, Daube à la florentine, Saltimbocca à la romaine, Rigatoni à la ricotta, Orechiette aux brocolis, Côtelettes de porc sauce piquante, Caponata, Cannoli, Cassata, Bagna caöda, Risotto au safran... Du Piémont à la Sicile en passant par la Toscane et le Latium, c'est un surprenant itinéraire gastronomique et culturel qui s'offre aux papilles voyageuses et curieuses. Loin des clichés de la cuisine transalpine, Leda Vigliardi Paravia nous invite à découvrir ou redécouvrir les grands classiques de la cuisine italienne et nous dévoile des recettes de terroir méconnues. Héritées de sa mère, ces 160 recettes nous parlent de mémoire et de tradition mais aussi d'avenir et de convivialité. Dans de nombreux pays ou régions, la cuisine est un art longtemps resté simple tradition orale, transmis de génération en génération. Les ouvrages de la collection «De mère en fille» font revivre cet héritage culinaire. Les auteurs y rendent hommage à leur mère, liment leurs secrets de cuisine, perpétuent gestes et tours de main précieux. Car la cuisine est aussi une question d'amour

04/2015

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Philosophie

Lettre à son père sur la mort d'Etienne de La Boétie

Le portrait que Montaigne a tracé de lui-même comprend bien des lacunes. Raisons politiques, scrupules, goût du secret, il a jugé nécessaire de rester muet sur certains épisodes, de voiler certains faits. La Saint-Barthélemy, par exemple : il n'en souffle mot. Rien d'étonnant si, dans les Essais, on ne rencontre aucune représentation solide d'Etienne de La Boétie. Même le chapitre qui lui est consacré, De l'amitié, n'évoque qu'une silhouette. Pour remplir les blancs on pourrait imaginer des fictions, mais quels éléments choisir ? sur quels critères ? Mieux vaut s'en tenir aux documents, si minces soient-ils. En ce qui concerne La Boétie, ils sont plus que minces : infimes. Montaigne nous le révèle avec parcimonie. Seule la lettre qu'il adresse à son père l'expose dans sa présence effective. Cette lettre fut imprimée à Paris sept ans après la mort de l'ami. Mais quand, précisément, l'a-t-il écrite ? juste après la disparition d'Etienne ? Ou, l'ayant écrite alors, l'a-t-il retouchée ensuite ? Ou bien l'a-t-il écrite peu avant de la publier, voire dans l'intention de la publier ? Mystère. Cependant une chose est sûre : le 23 juillet 1570, Montaigne résigne sa charge de magistrat au parlement de Bordeaux. D'août à novembre, il consacre son loisir à la publication de quelques feuillets de La Boétie. L'air de l'époque est pesant : Montaigne renonce à publier le Discours de la servitude volontaire ainsi que certain Mémoire de nos troubles sur l'édit de janvier 1562. Cette absence symbolise parfaitement le peu de matière que La Boétie nous a laissée. Sauf dans la lettre sur sa mort. Un récit sans rhétorique où on ne le voit guère, mais où il parle. On lit. On souffre avec lui. On l'écoute. Et l'émotion nous emporte.

04/2012

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Esotérisme

Une mère très particulière. La vie d'un médium étonnant racontée par sa fille

Un beau jour de 1918, presque par hasard, Pauline Decroix se découvre des dons de médium. Par jeu, au début, elle se laisse guider par des initiés sur les voies étranges du spiritisme mais, bientôt, ses facultés exceptionnelles se font jour. En relation quasi permanente avec l'au-delà, elle entame, avec les esprits, un dialogue qui ne s'achèvera qu'avec sa propre mort, en 1954. Fuyant toute publicité et a fortiori toute pensée utilitaire, Pauline Decroix entretiendra des rapports privilégiés avec des défunts, humbles ou célèbres ; l'un deux surtout, nommé Rateau, qui deviendra un ami de la famille combien dévoué et efficace lorsqu'il s'agira de retrouver des objets égarés ou de surmonter des épreuves, pendant la Seconde Guerre mondiale entre autres. Par ce canal peu commun, Pauline Decroix recevra de nombreux messages à destination de proches ou d'inconnus ; des dessins, des poèmes, des textes lui seront inspirés ou dictés, dont certains dans des langues étrangères : des objets lui seront apportés... autant de preuves, qui subsistent, de son activité médiumnique.

11/2011

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Policiers

Une ombre sur la ville

"Le monde entier recevra mon message, même si je dois l'écrire avec ton sang." Quand l'inspecteur Michael Bennett, du NYPD, reçoit cet e-mail du "Professeur", ce dernier a déjà commencé à semer la terreur dans les quartiers huppés de Manhattan, et New York est sous le choc. Palaces, boutiques de luxe et restaurants à la mode de la 5e Avenue sont devenus le terrain de chasse de ce tueur, qui semble choisir ses cibles au hasard. Mais Bennett, fin psychologue et spécialiste des négociations lors de prises d'otages, pressent que cette ombre qui plane sur New York obéit à un schéma bien précis...

01/2012

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Littérature étrangère

La vie de merde de mon père, la vie de merde de ma mère et ma jeunesse de merde à moi

Andreas Altmann a passé son enfance à Altötting, un haut lieu de pèlerinage catholique en Bavière. Toutefois, dans le récit de sa vie, il n'est pas question de grâce ni de miracles, mais de violence et de terreur : un père psychiquement détruit par la Seconde Guerre mondiale frappe son fils jusqu'à lui faire perdre connaissance ; une mère trop faible pour protéger ses enfants sombre dans la dépression ; un fils bouc émissaire cherche des stratagèmes pour ne pas succomber. Une histoire (vraie) peuplée de prêtres fanatiques et pédophiles, d'anciens nazis sans remords, de femmes humiliées ou complices. L'ironie et la colère sont les deux armes de cet écrivain allemand qui refuse le statut de victime et montre la voie de la reconquête d'une vie libre et digne.

05/2019

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Littérature étrangère

Mère et fille

Richard, jeune étudiant de dix-sept ans, est radié de l'université de Cambridge pour des raisons difficiles à avouer. C'est donc dans la demeure familiale qu'il décide de passer les fêtes de Noël, même s'il est loin d'être accueilli comme le fils prodigue. Sa mère et sa soeur n'ont qu'une seule envie, le voir disparaître. Une ambiance malsaine règne dans la maison, accentuée par le mystère qui entoure la mort du père survenue quelques mois auparavant. A cette atmosphère lugubre viennent s'ajouter des meurtres d'animaux et des lettres anonymes obscènes qui créent un climat de suspicion dans le village. Avec beaucoup de naïveté, Richard commence à mener une enquête et à consigner tous les événements dans son journal, sans se rendre compte qu'il attise les passions et que l'étau se resserre inexorablement autour de lui.

04/2015

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Littérature française

La jeune fille et la mort

Depuis son enfance basque, sur les collines de Guéthary, Francis Carennac était obsédé par le souci de discerner les apparences des êtres et leur vérité, le masque et le visage. Toute son adolescence est commandée par les questions qu'il se pose au sujet de sa famille et de la jeune fille qu'il aime. Jeune compositeur, "apprenti sorcier", il traverse Paris, les milieux de la musique, les revues littéraires ; entraîné en Suède, à la poursuite d'une femme, d'une mère, mêlé à des complots politiques, secrétaire d'un ambassadeur, il effrite sa jeunesse, et son "éducation" est plus celle d'un détective sentimental que d'un compositeur. Du moins ne ruse-t-il pas avec la musique, qui donne à cette vaste fresque sa gravité. Voici le célèbre quatuor de Schubert, écouté par un romancier musicien.

02/1952

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Romans policiers

La vieille fille et la mort

Catherine Sylvestre, une commis de bibliothèque trentenaire sans histoire, a eu l'excellente idée, le soir de son anniversaire, de se saouler au champagne avant de s'endormir, littéralement, dans son assiette. Mais quand un drôle de bruit en provenance de l'appartement voisin la tire de ses rêveries, la curiosité l'emporte sur la fatigue et la gueule de bois. Un bref coup d'oeil sur le palier avive encore plus son intérêt, la porte de chez Maryse et Stéphane - ses voisins - est légèrement entrebâillée... bizarre. Pas le choix, elle doit s'assurer qu'un voleur n'est pas à l'oeuvre ! Ce qu'elle découvre dans l'appartement laisse Catherine sans mot. Bien sûr, il y a ce jeune homme pendu à un luminaire - Guillaume, qu'elle connaît en raison de son travail à la bibliothèque -, puis Maryse, pratiquement nue sur son lit, de toute évidence morte étranglée. Mais ce qui la laisse perplexe, c'est cette espèce de grosse perruche blanche en liberté sur le plancher de l'appartement, qui piaille comme si de rien n'était. De retour chez elle pour attendre l'arrivée de la police, Catherine se perd en conjectures. Pourquoi Guillaume, un jeune homme si tranquille, se serait-il suicidé chez Maryse ? Et pourquoi l'aurait-il si sauvagement agressée ? Quant à l'oiseau - petit Coco, comme il semble souhaiter qu'on le nomme -, que vient-il faire dans cette histoire sordide ? Les policiers ont beau dire à Catherine que l'enquête est désormais entre leurs mains, la jeune femme, prise d'un urgent besoin de comprendre, ne peut s'empêcher de mener ses propres recherches... avec ou sans l'aide du beau sergent-détective Tremblay !

05/2023

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Littérature française

La jeune fille et la mort

Les Etangs d'Or, le vallon de Fontaine Froide, les forêts morvandelles, la crypte de Saint Bénigne, l'abbaye de Sainte Marguerite... c'est dans ces décors somptueux de la Bourgogne que Christophe Lefèvre nous emporte à la rencontre de ses petits fantômes, ces jeunes femmes au destin tragique. Grâce à son écriture poétique, suggestive, les paysages figés reprennent vie, couleurs, odeurs, fragrances, deviennent les lieux-refuges de ces âmes errantes qui cherchent la paix dans l'au-delà. On plonge avec délice et frissons dans cet univers étrange, onirique où, par la grâce de la poésie des images, des métaphores, de la musique des mots, tout devient beauté. C'est cette beauté raffinée qu'ont su capter et rendre les superbes illustrations de l'artiste Michel Potherat.

03/2019

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Philosophie

La mort expliquée à ma fille

"Il est paradoxal de vouloir expliquer la mort à sa fille de onze ans. Il semble qu'il y ait mieux à faire, ou plus urgent, ou moins difficile. Pourtant, dire la mort, l'envisager sans la réduire, la mesurer sans la minimiser, l'évoquer précisément sans l'élucider, ce n'est ni la comprendre ni l'expliquer, ces tâches sont rationnellement impossibles. C'est l'entendre ou l'apprivoiser, pour éviter l'horreur et la peur. Dialoguer avec un enfant sur la mort peut être une des meilleures façons de se tenir au plus près de la vie en tentant de faire reculer le silence et l'angoisse." E. H.-P.

01/2017

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Communication interpersonnelle

De mère à fille, de fille à mère. Transmettre un féminin libre et éclairé

Une vision subtile et libératrice des problématiques mère-fille. Parce que la transmission de mère à fille est peuplée de sentiments troubles et diffus, l'auteure, Monique Grande, s'est donnée comme mission de dessiner des voies de réconciliation. A la lumière de sa propre histoire de fille, de femme et de mère, elle montre comment éviter les écueils de cette relation si particulière : fidélité aveugle, culpabilité, restriction, fusion sans fin, inclinaison, quasi organique mais dangereuse, de vouloir à tout prix rendre sa mère ou sa fille heureuse. Les nombreux outils de thérapie, de développement personnel et de danse-thérapie donnent du corps à sa démarche. En racontant son propre vécu, l'auteur éclaire avec finesse ce qui se joue en filigrane entre une mère et sa fille, les bonnes surprises et les bombes à retardement. Elle invite chacune de nous à se libérer des vieux schémas qui nous empêchent d'être nous-mêmes, à traverser les grandes étapes de séparation mère-fille tout en gardant des liens sains, libres, joyeux et nourriciers.

05/2023

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Littérature française (poches)

Sur la mort d'un chien

L’élégie est un genre littéraire très ancien qui s’est exténué, sa forme conventionnelle ayant pris une importance excessive par rapport à l’expression du sentiment, comme il est arrivé à l’églogue, à l’idylle, au sermon, au discours officiel, et comme cela menace actuellement d’arriver à d’autres genres. Cependant l’élégie correspondra toujours à une situation où une conscience est abolie, demeure dans une autre conscience à titre de souci. Il y a rupture et continuité à la fois, et c’est ce double aspect que reflète l’élégie, comme l’idylle reflète union et discontinuité. Mais pourquoi écrire sur la mort d’un animal ? On répondra : pourquoi pas ? Même si la destinée n’était pas commune, l’angoisse est la même et le problème analogue. S’il en est ainsi, la pudeur commande de parler d’un animal plutôt que d’un homme. D’ailleurs ce petit livre n’a été écrit que pour les esprits naïfs et les coeurs simples.

01/2011

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Littérature française

La petite fille des baraquements. Récit d'une enfance à Saint-Nazaire

Saint-Nazaire, 1949 : c'est dans un baraquement construit durant la guerre par les allemands que grandit la petite fille entre ses deux frères, sa mère couturière et son père mécanicien. Nous la suivons dans les rues de la ville en pleine reconstruction, et dans sa famille qui, elle aussi, tente de se construire au milieu des ruines matérielles et psychologiques engendrées par la guerre. Ce récit autobiographique nous fait approcher le quotidien d'un milieu ouvrier de l'époque et nous laisse entrevoir les conséquences d'une guerre.

07/2013

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12 ans et +

Néva, la mère des mères

Néva est guérisseuse, avec sa peau laiteuse et ses yeux gris, elle est bien différente des gens qu'elle soigne. On la prend pour une nécessiteuse et cela l'arrange bien. Ses secrets sont bien gardés. Qu'est-ce qui pourrait troubler sa vie tranquille ? Sa rencontre avec l'apothicaire ? La mort du vieux centaure ? Son entrée dans la prestigieuse école d'Arts et de Magie ? Le temps est pourtant venu pour Néva d'affronter son passé et de faire face à l'avenir...

06/2017

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Littérature française

La fille du père

"Je pense que nous allons nous fâcher ! J'ai dit cela. Sans haussement de voix, sans geste d'hystérie. Papa, je pense que nous allons nous fâcher. J'ai soutenu ton regard jusqu'au dernier mot, je venais de dire ce que toujours j'avais su, ce que je pense que nous savions tous les deux. Nous allions nous fâcher".

08/2020

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Littérature française

La jeune fille sur le mur

"Bien qu'il fasse encore très chaud, le début de l'automne se profilait. Au village, c'était lendemain de fête. Les humains insouciants avaient célébré la fin de l'été. Des cendres du grand feu autour duquel ils dansèrent s'envolaient les âmes de quelques grands arbres arrachés à leur famille. Dans les maisons chacun guettait l'arrivée des moines. Les ruelles débordaient d'offrandes toujours plus nombreuses qui les attendaient. Un bébé pleurait ; des chiens se mirent à aboyer. C'était le signal. La file des pèlerines vertes serpentait sur le chemin qui montait au village. Derrière leur clôture quelques vaches attirées par ce spectacle inattendu ruminaient quelques herbes ou pensées. "Et puis dans mon rêve, continua Marcelin, les moines passèrent la grande porte du village. Ils marchaient vite "."

11/2022

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Littérature étrangère

La mort du père

Après la mort de son père, l'auteur est de retour dans la maison de son enfance où chaque recoin éveille un souvenir. Il s'était promis de ne pas oublier son père. Et il ne l'oublie pas. Car la meilleure arme contre la mort, c'est la mémoire... Pourtant, confie l'auteur, il a toujours considéré ce texte comme de la fiction, "car moins de cinquante pages ne peuvent suffire à parler de la mort de quelqu'un, les pages ne peuvent contenir la vie d'une personne et le vide qu'elle laisse derrière elle".

11/2013

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Essais

Mère folle

Au Moyen Age, la folie était traitée aussi comme une maladie cérébrale, avec des coups sur la tête et des drogues de l'oubli, tout en suscitant, dans la littérature, un intérêt passionné par sa capacité à montrer ce qu'il ne faut pas dire... Dans les Sotties-jugement, Mère Folle dont Erasme fit l'Eloge, appelle ses enfants "les Sots et les Sottes" et les lance dans un délire verbal et physique d'une grande virtuosité pour juger tel grand personnage, responsable des abus du temps, qu'ils déshabillent pour montrer aux yeux de tous le costume du fou dissimulé sous ses discours spécieux. Dans le livre, la psychanalyse est jugée par ses patients internés, faisant cause commune avec les Sots médiévaux, qui l'accusent de complicité avec les théories les condamnant pour toujours à la maladie mentale, et d'avoir fait l'impasse sur la grande Histoire et la folie des guerres dans laquelle elle est née.

05/2023

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Littérature française

Sur la tombe de ma mère

Charles est fier d'être un emmerdeur : quand la vie vous a tout pris, il faut bien trouver une raison d'exister. Placé en foyer avant sa dixième année, après que son père ait tué sa mère et son amant, le jeune Français d'origine africaine doit attendre sa majorité pour partir à la conquête du Paris des années 1980, peuplé de Blousons noirs et des pionniers de la génération hip-hop avec, pour seules armes, son irrévérence détachée et sa droiture, y compris dans le vice, qui lui valent vite le blaze de "Jean Gabin". Maniant la langue comme un 9 millimètres, usant d'un argot savoureux et de tournures dignes des dialogues de Michel Audiard, le futur MC ne le sait pas encore, mais il est fait pour le rap. Pour l'heure, néanmoins, c'est une autre voie qu'il choisit : le braquage, art pour lequel il montre un talent certain. Il vit alors sa vie comme une mélodie en sous-sol, toujours entre deux coups, à l'affût de la bonne "occas'". Et quand Paris devient trop petit pour lui, c'est à Berlin qu'il décide de monter son plus gros casse. Trahi par un complice, Charles écope de trente-trois ans de "calèche", ramené à huit en appel, qu'il décide de passer en Allemagne, laissant pour un temps la France et ses galères et partant à l'assaut d'une nouvelle langue.

01/2013

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BD tout public

Sur la vie de ma mère

Sur la vie de ma mère... ou le récit d'une vie de femme à contre-courant des clichés. L'auteur nous conte l'existence de Jeanne, Jeannette, son héroïne, sa maman, pionnière des mères célibataires, enseignante, globe-trotteuse... Une mère trop belle, trop aimée et trop aimante comme son fils aime à le dire, mais une mère que jamais rien ne fera flancher. Rafistolés, rabibochés, son frère, sa mère et lui forment un équipage soudé qui affronte vents et marées. Du Maroc à Haïti en passant par la France et le Mali, Gaston nous narre un quotidien plein de tendresse souvent, de rudesse parfois mais d'amour toujours. à commencer par une enfance marocaine, où l'étrange est moins ressenti au sud de la Méditerranée que dans la campagne française, à l'occasion des vacances. Au travers des itinéraires de ces personnages attachants, hauts en couleurs, Gaston compose un récit plein d'humanité et de tolérance et nous peint un admirable portrait de femme libre.

01/2020

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Romans policiers

Mort sur une île

Jean-Luc Gosselin, après une carrière dans la gestion d'entreprises du secteur agro-alimentaire, s'est installé à Groix où se déroule le point de départ de son premier polar. Un matin d'automne pluvieux, sur une île au large d'un port breton, Rosa est retrouvée morte dans son jardin. Installé sur l'île de Groix pour profiter d'une paisible retraite, Sauveur de Montauban, un ex-commandant de police un peu rêveur, est pourtant amené à reprendre du service. Il mène l'enquête avec l'adjudant Catarelle, un gendarme grand ami des animaux. Leur tâche ne va pas être facile car l'île est isolée par la tempête. À moins que, justement. . . Il va être aidé par son ami Sergio, un journaliste sicilien, avec qui il partage souvenirs et bonne cuisine. Il est aussi question de chats. . .

06/2022