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Pour une modernité politique en Afrique

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Histoire internationale

Citoyenneté et participation politique en Afrique du sud

Le parcours de l'Afrique du Sud, malgré la création de la nation arc-en-ciel et le succès de la transition démocratique, est semé de zones d'ombres, de contradictions et de compromis. En arrière-plan d'une analyse de sociologie juridique de la nouvelle citoyenneté, cette recherche étudie le cas du township Thokoza afin de comprendre comment et selon quelles logiques la construction d'un espace public se fait dans une communauté relativement restreinte.

10/2012

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Sciences politiques

L'ethnie et le pouvoir politique en Afrique

Cet ouvrage est le fruit de recherches menées dans le cadre des travaux universitaires. Il cherche à comprendre pourquoi l'ethnie est si prégnante dans la sphère politique en Afrique et à cerner les origines des exacerbations des conflits ethniques avec la démocratisation récente du continent. L'ouvrage questionne ainsi les a priori et théories sur l'ethnie, le lien de celle-ci avec la politique en Afrique. Il montre que beaucoup de conceptions sur la relation ethnie-politique sur le continent relèvent des considérations psychologiques et passionnelles et non de la rationalité politique. L'instrumentalisation ou la théorie de la mobilisation semble donc rendre mieux compte des conflits ethniques dans la sphère politique en Afrique. Pour venir à bout de ces conflits aux conséquences dramatiques, les élites politiques et intellectuelles devraient proposer des projets nationaux rassembleurs transcendant les intérêts ethniques qu'ils n'ignorent pas pour autant.

11/2021

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Sociologie politique

Raconter les politiques conflictuelles en Afrique

L'Afrique (et ses conflits) se raconte en mille et une formes. Certains la disent à haute voix, certains par écrit. Certains avec l'exigence et l'objectivité de l'historien, du sociologue et du journaliste. D'autres avec la subjectivité du romancier, du dramaturge, du dessinateur ou de quelque autre forme artistique. Le présent volume réunit des textes multiformes pour dire, raconter, peindre et dessiner le destin d'une Afrique mutilée, souillée et déchirée par les conflits politiques depuis son accession à la souveraineté nationale. L'Afrique se raconte en rythme de tambours, en modulations de muezzin, en cris de guerre, en rires et en pleurs. Tout cela tissé en discours politiques, sociaux ou littéraires. Au regard de la production romanesque et dramatique africaine, depuis ses origines jusqu'à nos jours, la littérature africaine de ces catégories n'a jamais cessé d'être la voix des sans voix. L'Afrique continue de dire son histoire passée et présente.

04/2021

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Sciences politiques

Les masques du pouvoir politique en Afrique

En Afrique traditionnelle, le pouvoir était supposé accessible seulement à un nombre restreint d'hommes. Cette conception du pouvoir n'est pas une tradition résiduelle que le renouveau démocratique peut facilement évacuer. Par ailleurs, les relations personnelles, familiales, tribales et claniques sont implicitement présentes dans les représentations du pouvoir politique moderne en Afrique. L'expérience qui fonde la vie sociale africaine ne lie-t-elle pas de façon intrinsèque mystère et pouvoir, relations affectives et rapports d'autorité ? Ceux qui incarnent le pouvoir politique en Afrique sont comme des masques à plusieurs visages. Même le renouveau démocratique, par ses promotions clientélistes, ses luttes factionnelles, ses joutes électorales, ses délations permanentes, participe de cette dimension ambiguë du pouvoir. Par conséquent, le mystère qui masque le pouvoir ne relève pas d'une culture traditionnelle incontournable ; il n'échappe pas non plus à la critique des penseurs et politiques africains. La science politique contemporaine doit doter les Africains d'une terminologie adéquate, pour saisir le pouvoir dans son irréductible diversité, afin qu'on cesse de considérer son exercice comme un simple rapport de domination entre gouvernants et gouvernés.

05/2010

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Ethnologie

Pratiques mémorielles et politique. Pour une anthropologie politique du patrimoine

Les pratiques mémorielles et patrimoniales, adaptées au contexte de leur époque, traduisent toutes un besoin de spécifier des manières d'être, des manières de faire, parfois des témoignages d'une histoire traumatisante, sanglante, destructrice, des contextes de cohabitation pluriethnique, un rapport nouveau à établir avec des clientèles touristiques, des professionnels du tourisme, de la culture, de la protection du patrimoine. Nous plaidons dans cet ouvrage pour le développement d'une anthropologie politique du patrimoine qui émerge du regard en perpétuelle évolution qui est porté sur le passé, la mémoire des lieux, la transmission des connaissances et des savoir-faire, mais aussi sur la multiplication des commémorations, des pratiques mémorielles, sur la transformation des musées de société, des musées d'histoire, sur les choix de collecte muséographique et d'exposition, sur les choix d'inscription sur des listes de protection du patrimoine matériel ou immatériel. Les exemples développés ici, à travers les démarches muséographiques et urbaines à Bayonne, à Dax, à Bucarest, à Bordeaux, à Montréal, les lieux de mémoire de la Nouvelle-France en Poitou-Charentes, les chemins de Saint-Jacques de Compostelle, illustrent chacun à leur manière le besoin de témoigner de son identité, d'une identité menacée ou ressentie comme menacée, à travers une démarche de patrimonialisation ou encore un rituel de commémoration, autour de quelques dates emblématiques d'une construction communautaire, locale ou nationale. L'outre-mer nous interpelle sur le passé colonial esclavagiste et le devoir de mémoire, sur le regard porté sur le patrimoine maritime ou religieux. Ces textes témoignent d'une certaine idée du voyage, de la quête d'authenticité, du retour sur des identités culturelles partagées et d'une certaine façon d'habiter touristiquement un espace de mémoire, un espace patrimonial.

09/2018

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Pédagogie

Quelles stratégies pour une éducation idéale en Afrique ?

Cet ouvrage présente une méthode comparative quali-quantitative, elle nous a permis de rendre compte de la complexité des phénomènes éducatifs en Afrique. Il s'agit de montrer que l'éducation dans un pays constitue le principal moyen dont il dispose, non seulement pour perpétuer les valeurs et les compétences de sa population, mais aussi pour préparer cette population aux changements qu'appelle le progrès. Le système éducatif d'un pays est le produit de la société au sein de laquelle il fonctionne. Il dépend de la structure sociale et des aspirations culturelles de la population. On ne saurait, au stade actuel, parvenir à un accord sur les meilleurs modes d'approches. Aussi n'avons-nous pas cherché à faire de ce livre un manuel de synthèse, et nous sommes-nous contentés de présenter au lecteur un exposé des principaux problèmes éducatifs africains tout en proposant une panoplie de stratégies.

12/2014

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Sciences politiques

Batailles et principes pour une politique communiste

En août 1979, il y a plus de quarante ans, Casella écrit " L'imposture écologique " pour établir quelques points de repère face au succès des idéologies qui commençaient à se propager. Il fait référence à Marx et Engels quand ils affirment que la société bourgeoise, par son caractère intrinsèque, déséquilibre le rapport naturel entre l'activité de l'homme et la terre. Pour cette raison, affirme Casella, " se limiter à voir le saccage de la terre que le développement du capitalisme porte avec lui signifie ne pas comprendre la réalité, penser à un développement capitaliste "respectueux de la nature" signifie créer des illusions pour soi et pour les autres, c'est faire l'apologie du capitalisme tel qu'il est réellement ". La solution ne peut être que dans le communisme. Casella poursuit : " C'est entre les mains de la révolution prolétarienne que réside la possibilité d'accomplir le saut historique, de passer du chaos de la production pour la production à la production selon un plan, élaboré avec la conscience scientifique de vivre au "sein de la nature". " Tel est l'horizon des batailles et principes pour une politique communiste, en particulier la bataille pour l'autonomie et l'unité de classe des travailleurs contre toute idéologie bourgeoise, contre toute division nationale, ethnique et religieuse. Marx écrit dans La Sainte famille que " si l'homme est formé par les circonstances, il faut former les circonstances humainement ", parce que " ce qui importe, c'est que l'intérêt privé de l'homme se confonde avec l'intérêt humain ". Le capitalisme n'est pas la société qui peut faire coïncider l'intérêt privé et l'intérêt humain. C'est une société qui ne peut pas apporter de réponse aux grands besoins et aux grandes questions sur la condition humaine et sur la vie. Nous vivons le paradoxe de métropoles impérialistes mûres, où la richesse et le bien-être sont accompagnés de " l'hiver démographique ", avec des berceaux de plus en plus vides. La conception communiste n'est pas une perspective individuelle, mais celle du genre humain tout entier. Etre communiste signifie lutter pour la " civilisation de la vie ", signifie lutter pour unifier notre espèce qui est, encore aujourd'hui, divisée en classes. C'est une bataille pluri-générationnelle qui regarde vers l'avenir.

01/2020

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Sociologie

Pour une modernité interculturelle. La voie de l'autonomie

La modernité interculturelle : la voie de l'autonomie est un ouvrage sur la conciliation possible entre du mouvement de mondialisation et du respect des cultures. Ce qui permet de les concilier est une valeur morale et politique proposée par l'Occident : l'autonomie. Sa diffusion passe par un contact particulier entre les cultures : l'interculturel. Elle est créatrice d'un mode de vie : la modernité. Elle instaure le régime des libertés individuelles. Elle porte en elle une potentialité : l'universalisme. L'ouvrage est en lui-même un exercice interculturel pour le lecteur français. L'auteur, d'origine néerlandaise, n'avance pas dans sa réflexion de façon linéaire, mais en spirale. Les cinq chapitres sont comme les cinq mouvements d'un morceau de musique classique : c'est le même thème qui revient constamment, joué dans un mode différents.

05/2006

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Droit

La gouvernance locale en Afrique subsaharienne. Quand tradition et modernité s'entremêlent...

Si la gouvernance locale est l'assise du développement, la " bonne gouvemance " est le fondement de la gestion participative, démocratique et transparente des affaires publiques. Le présent ouvrage est un plaidoyer pour la décentralisation de l'organe exécutif et, par conséquent, pour le transfert effectif aux collectivités territoriales décentralisées de certaines fonctions dans les pays d'Afrique subsaharienne. Dans la pratique, l'on dénombre encore des Etats subsahariens qui sont gérés en marge des principes démocratiques, comme en témoignent l'inexistence de cadres juridiques équitables, le non-respect des droits de l'Homme, en particulier de ceux des minorités, le manque de transparence dans la gestion des affaires publiques et la faible participation des élus locaux, des Organisations non gouvernementales (ONG) et des membres de la société civile dans l'élaboration et la mise en application des politiques publiques. Ce retard en matière de "bonne gouvernance " a, de façon générale, des effets négatifs sur le développement politique et socio-économique du continent noir.

09/2019

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Géopolitique

Pour un panafricanisme révolutionnaire. Pistes pour une espérance politique continentale

Née, paradoxalement, dans les lieux d'exil de la traite esclavagiste transatlantique, l'aspiration à une "communauté de destin" des peuples d'Afrique a toujours occupé l'horizon des mouvements politiques et sociaux continentaux. Saïd Bouamama tente aujourd'hui d'en actualiser les termes. Déjà auteur de Figures de la révolution africaine et de La Tricontinentale, les peuples du tiers-monde à l'assaut du ciel, le sociologue se fait d'abord historien et nous montre comment les principaux acteurs des luttes d'indépendance et certains des bâtisseurs des Etats-nations postcoloniaux concevaient cette perspective. Sollicitant de nombreux écrits, propos et discours - produits notamment autour de la création de l'Organisation de l'unité africaine, en 1963, mais aussi à l'occasion du Festival culturel panafricain d'Alger de 1969 -, il nous donne ainsi à voir toute la richesse et la modernité des problématiques déjà explorées alors. Du Bissao-Guinéen Cabral jusqu'à l'Egyptien Nasser, en passant par le Sénégalais Diop ou encore le Congolais Lumumba, mais aussi les Martiniquais Césaire et Fanon, cet ouvrage donne à penser le foisonnement et la richesse des réflexions et pratiques panafricaines. Car c'est l'un des apports significatifs de cette "? contribution ? " que de contester la frontière, selon lui artificielle (ou, pour le moins, politiquement tracée), entre Afrique dite "noire" et Afrique du Nord. Soucieux de surmonter ces fractures, qu'elles relèvent de phénomènes historiques effectifs ou de constructions symboliques, l'auteur revient avec précision et sans concessions sur l'histoire anté-coloniale du continent, en particulier sur les traites esclavagistes dites "? traditionnelles" ou "musulmanes" . De même, il développe une critique rigoureuse des multiples essentialismes ("négritude" , "berbéritude" , "afrocentrisme" ...), pour certains hérités du regard "orientaliste" posé depuis les anciennes métropoles, qui compromettent le projet émancipateur panafricain. Un projet qui, rappelle l'auteur et pour paraphraser Amílcar Cabral au sujet des indépendances, ne vaut que s'il se traduit en une amélioration réelle des conditions de vie des populations.

04/2023

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Développement durable-Ecologie

Politiques environnementales : traditions et coutumes en Afrique noire

Après plus d'un siècle de répression et de mépris des cultures des populations locales dans la mise en oeuvre des projets environnementaux, et face aux résultats bien souvent en deçà des efforts déployés, le moment est venu d'interroger les traditions et coutumes sur leurs contributions aux politiques environnementales en Afrique. Le chemin que l'ouvrage nous propose ici, invite les gouvernements, les législateurs et les acteurs des projets à avoir une approche interdisciplinaire pour optimiser la contribution des traditions et coutumes dans la mise en oeuvre des politiques environnementales. L'auteur mobilise toutes les sciences humaines pour faire comprendre l'importante richesse que proposent les traditions et coutumes africaines à l'humanité dans la préservation et l'aménagement de ces énormes puits de carbone que constituent les forêts. Lorsqu'il s'agit de passer d'un cycle historique à un autre et donc de contribuer à l'émergence d'un nouveau monde, seul le dialogue entre les disciplines scientifiques et les cultures peut jeter les ponts de ce passage. Pour engager une telle démarche pour l'Afrique, il faut tout d'abord accepter que les traditions et coutumes existent et contribuent à donner sens à la vie des communautés et des Etats et qu'ils faillent les actualiser comme cela s'est toujours fait de par le passé. L'ouvrage qui est le résultat d'une profonde réflexion et d'une recherche minutieuse sur la longue durée s'adresse à tous ceux qui recherchent les ressorts internes d'une véritable politique africaine d'aménagement des forêts pour le bien de l'humanité.

07/2014

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Droit

Sinistrose. Pour une renaissance du politique

Le 21 avril 2002, un " monstre " est sorti des urnes. Sifflée, La Marseillaise tourne depuis en boucle pour conjurer ce démon. Mais la Bête a montré toutes ses dents ; il faut, pour mieux l'abattre, la nommer. Sinistrose... C'est la face hideuse de la politique, le désabusement incarné, le cauchemar d'une gauche en miettes. Qu'a-t-elle fait des vertus de la République ? A-t-elle, comme partout en Europe, failli à tous ses devoirs, de reniements en trahisons ? Dans une prose lucide et brûlante, Vincent Cespedes ne se contente pas de l'accabler. Il expose au contraire les conditions de la renaissance de l'action et de l'invention politiques. Il s'agit d'en finir avec les peurs collectives et l'irresponsabilité. Partis, médias et citoyens doivent reconquérir des principes qu'ils n'ont cessé de défigurer.

06/2002

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Sociologie politique

Pour une politique de la jeunesse

Le mot "jeunesse" est sur toutes les lèvres. De nombreuses réformes sont menées "au nom des jeunes" , qu'il s'agisse de réformer les retraites ou de réduire la dette. Pour autant, la France n'a pas de véritable politique en direction de la jeunesse. Les dispositifs qu'on empile s'adressent à telle ou telle catégorie de jeunes, mais ils ne suivent aucune réflexion politique ou philosophique au sujet de la place à leur accorder dans la société. Pour réparer cette lacune, il faudrait se doter d'une vision de la jeunesse. Celle-ci est fracturée par de multiples inégalités liées au sexe, à l'origine sociale, à l'ethnicité ou à l'appartenance territoriale. Ce livre défend l'idée qu'une politique de la jeunesse doit répondre à deux objectifs. En premier lieu, combler le fossé entre les jeunes, confrontées à une précarité grandissante, et les plus âgés, nantis d'une société qui vieillit. Surtout, réduire les inégalités qui fracturent la jeunesse et, plus que jamais, menacent la cohésion sociale.

01/2022

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Sciences politiques

Consensus politique et gestion démocratique du pouvoir en Afrique

De manière intuitive ou réfléchie, du nord au sud et de l'est à l'ouest du continent, les Africains convoquent la "démocratie" et le "consensus". Mais de quelle démocratie s'agit-il ? Celle implantée par les grandes puissances occidentales et les organisations internationales "à coups de dollars et d'euros" et qui institue la règle majoritaire comme mode privilégié de choix des représentants et de résolution de problèmes sociaux mais qui suscite pas mal de questions en Afrique ? Ou celle fondée sur la palabre, sur la recherche permanente du consensus et qui comporte aussi ses limites ? Consensus quid ? Consensus et démocratie sont-ils antinomiques ou complémentaires ? Quel type de démocratie faut-il pour l'Afrique d'aujourd'hui et quelles sont les conditions qui pourraient favoriser sa solide implantation ? Telles sont les grandes questions abordées dans ce livre, destiné à toute personne intéressée par la politique africaine.

05/2015

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Histoire internationale

Philosophie et pouvoir politique en Afrique. La théorie inflexionnelle

Philosophie et pouvoir politique sont deux nationalités intimes, vivant dans un régime spécifique de mariage généralement conflictuel, et très souvent de séparation de corps perpétuel. Il est utile d'en étudier les modulations et les pulsions, dans le contexte particulier de l'Afrique. Plus spécialement il est indispensable, au delà de la colonisation politique et culturelle, de rendre compte des regards réciproques du savant et du praticien, du philosophe et du politique en situation postcoloniale. Ce faisant, on arrive à mesurer ou, tout au moins, à imaginer le genre comme le degré de pouvoir que le philosophique exerce sur le politique, et le politique sur le philosophique. Il apparaît, absolument, que pour accomplir sa prétention au pouvoir, accroître sa capacité d'inflexion du politique et de la société, la philosophie est obligée de maximiser ses propres voies de pouvoir théorique, pratique et idéologique. Ainsi, il devient inévitable de rechercher les conditions de possibilité d'une telle philosophie à pourvoir d'inflexion maximale sur les consciences et les modes de gouvernement des hommes et des sociétés. En posant le politique comme objet de pensée préférentiel et, de ce fait, en redéfinissant le mode de regards mutuels des pouvoirs, philosophique et politique, une manière spécifique de philosopher radicalement marquée par l'angoisse et le souci d'un plus grand pouvoir sur le réel, en particulier sur le mode de gouvernement politique en Afrique et ailleurs.

11/2004

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Sciences politiques

Néo-colonialismes politique et religieux : les africains face à leur nouvelle indépendance. Essai d'une théologie politique pour l'Afrique

La théologie politique en Afrique est confrontée à un problème important : le contraste entre la bonne santé spirituelle et la mauvaise santé temporelle des Africains. Deux facteurs sont à la base de ce dualisme de vie : il s'agit du Néo-colonialisme politique et du Néo-colonialisme religieux dont on parle très peu, sinon Pas du tout. Le premier est présenté comme la cause principale du sous-développement de l'Afrique. Pourtant, ces deux Néo-colonialismes constituent un frein pour un développement intégral des Africains. Le combat des Africains devrait donc se concentrer sur la recherche des voies et moyens permettant de lutter contre ces deux fléaux. Réconcilier leur mauvaise santé temporelle avec leur bonne santé spirituelle est un combat important à mener et constitue l'objectif principal de la théologie politique.

02/2011

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Histoire internationale

Censures et raisons d'Etat. Une histoire de la modernité politique (XVIe-XVIIe siècle)

Dès sa naissance, la raison d’Etat eut à voir avec la censure ; la congrégation de l’Index était chargée d’établir la liste des livres prohibés. Bien que celle-ci ait interdit en 1596 la publication et la lecture de tout livre sur ce sujet, on vit alors se multiplier les ouvrages révélant au public les secrets du pouvoir, que ce soit pour en faire la théorie, en justifier ou en critiquer les pratiques. Naquit alors un genre littéraire, dont les auteurs pouvaient être des gouvernants, comme Richelieu, des opposants, comme Machiavel, voire à la fois des familiers du pouvoir et des opposants, comme Gabriel Naudé. Travaillant l’ambigüité d’une notion à la fois interdite et proclamée, le livre de Laurie Catteeuw cherche dans le lien qui unit raison d’Etat et censure l’une des raisons d’être de la politique moderne. Son enquête, partant d’œuvres emblématiques, comme celle de Machiavel, condamnée dès le premier Index, met en lumière la construction de la notion dans l’Europe moderne. Née de la mise en cause de la raison d’Église, durant les guerres de Religion et de l’affirmation de l’autorité politique, la raison d’État se révèle sur la place publique une notion aux visages multiples et aux définitions volontiers contradictoires. L’une d’elles définie en référence au modèle du census romain, intègre au dénombrement des citoyens le contrôle de leurs moeurs ; une autre renvoie à l’exercice d’un jugement critique en matière politique ; la dernière, censure d’Église ou censure d’État, alors en voie de formation, vise la condamnation de certains ouvrages, et l’exercice d’un contrôle officiel des publications. Par son ambigüité et la variété de ses applications, la raison d’État fut un puissant outil dans le processus de constitution d’une opinion publique. L’enquête de Laurie Catteeuw va à l’encontre des idées reçues et montre que la raison d’État ne fut pas seulement l’instrument du pouvoir absolu ; à sa naissance participèrent aussi les opposants à ses pouvoirs, libertins et auteurs de libelles diffamatoires.

01/2013

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Littérature française

La littérature d’expression corse. Entre tradition, politique et modernité

La littérature d'expression corse ? Une littérature originale, foisonnante, valeureuse et fragile, miroir d'une société en perpétuel mouvement et par là même en quête de sens. Le présent travail peut être lu (...) comme un manuel d'histoire de la littérature, une initiation à la diversité littéraire ou, plus simplement encore, une invitation au plaisir et à la découverte...

07/2021

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Histoire internationale

L'Etat en Afrique. La politique du ventre

Comprendre que les sociétés africaines sont "comme les autres", voilà ce qu'un siècle d'africanisme n'a guère facilité. L'opinion occidentale reste gorgée de stéréotypes sur le pouvoir et l'État en Afrique, en particulier quant au rôle privilégié que la corruption et le tribalisme sont censés jouer au sud du Sahara. Certes, les Africains parlent eux-mêmes à ce propos de "politique du ventre". Mais l'expression renvoie, aussi bien qu'aux nécessités de la survie et de l'accumulation, à des représentations culturelles complexes, notamment celles du monde de l'"invisible", de la sorcellerie. En d'autres termes, la "politique du ventre" témoigne d'une trajectoire africaine du pouvoir qu'il faut comprendre à la lumière de la longue durée. L'analyse des groupes sociaux qui se disputent l'Etat post-colonial et des différents scénarios qui ont prévalu depuis la proclamation des indépendances permet d'avancer des hypothèses neuves sur la formation d'une classe dominante, sur la dépendance des sociétés africaines vis-à-vis de leur environnement international, sur la place déterminante en leur sein des stratégies individuelles et des modes populaires d'action politique, sur l'importance des réseaux d'influence et des terroirs historiques dans le déroulement des conflits, sur la récurrence des conduites - souvent religieuses - de dissidence sociale, sur l'émergence de cultures politiques originales. En définitive, cet essai de sociologie historique de l'État propose une lecture à la fois provocante et nuancée de ce qu'il est convenu de nommer "le développement". Il ouvre aussi la voie à une réflexion plus générale sur l'invention du politique dans les sociétés d'Afrique et d'Asie.

07/2000

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Sciences politiques

Politique et émigration irrégulière en Afrique. Enjeux d'une débrouille par temps de crise

Ce livre est le résultat d'une longue recherche de sociologie politique sur les origines et les enjeux africains de l'émigration " irrégulière " vers l'Europe. L'ouvrage s'interroge en ouverture sur les procédés d'enquêtes, et notamment ceux des théories globales et économiques, peu au fait des questions de politique africaine. L'étude prend en " situation " les figures d'émigrants " irréguliers ", l'économie de la défection (exit option), et part des faits sociaux qui interviennent dans la construction de la volonté de partir. L'émigration " irrégulière " est l'un des marqueurs du changement qui opère partout en Afrique depuis l'irruption de la tutelle financière multilatérale et la libéralisation politique, deux facteurs de crise pour le modèle néo-patrimonial de l'Etat africain, très résistant au changement. A travers l'exemple du Cameroun, on voit comment l'imaginaire et l'économie matérielle des départs et des destinations se greffent sur cette crise, qui crée de nouveaux termes de la dualisation sociale et élargit la pauvreté aux classes moyennes en modifiant les termes des rapports de l'Etat à la société. Dans cette conjoncture qui confine à l'intégration sociale au rabais, l'émigration " irrégulière " est une riposte à la crise de l'Etat africain et une modification, par le bas, des attentes, des lieux et des ententes de la domination (post)coloniale. Elle montre à l'oeuvre, par-delà les déclassés sociaux en quête de salut, un Etat-rhizome africain qui n'a pas fini de complexifier ses ramifications, de s'adapter aux temps de pauvreté et d'inventer de nouvelles modalités de sa légitimation. Circuit de la débrouille parmi d'autres, l'émigration " irrégulière " pose la question de la gouvernabilité des sociétés africaines contemporaines et incite à réexaminer certaines pratiques à nouveaux frais : corruption, clientélisme politique, insubordination à l'" ordre qui vient d'en haut ", promotion des cadets, etc. L'enquête montre aussi qu'à travers l'analyse de l'urbanisation du pouvoir et de la pauvreté, se pose la question de la sociogenèse de la fascination réelle ou supposée des Africains pour une Europe inscrite dans la subjectivité des colonisés comme " pays de cocagne ", et cela par l'invention de plusieurs dispositifs de la violence, en l'occurrence la ville (post)coloniale.

06/2010

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Histoire internationale

L'Afrique des cultures et la mondialisation. Entre tradition et modernité

Le choix délibéré de se défaire entièrement de nos traditions et de s'engager sans retour sur la voie de la mondialisation n'est pas sans conséquence sur notre devenir. Cela nous coupe de nos anciennes racines et nous oriente vers une destination inconnue et incertaine. Cependant, un adage le reconnaît volontiers : " Il n'y a point de bon vent pour celui qui ne sait où il va ". Ce qui est en vogue, c'est ce concept de mondialisation. Si nous ne nous regardons pas dans la glace, si nous ne nous remettons pas en cause, pour savoir d'où nous venons, nous mourrons sous peu dans l'inertie culturelle, incapables d'imaginer le moindre horizon.

10/2020

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Art contemporain

Farid Belkahia. Pour une autre modernité, Edition bilingue français-anglais

Figure incontournable de l'âge postcolonial et protagoniste de l'école de Casablanca, l'artiste marocain Farad Belkahia (1934-2014) forge son propre langage en puisant aux sources des traditions artisanales ancestrales, loin de la tabula rasa prônée par les avant-gardes occidentales. Ayant abandonné la peinture au profit du cuivre puis de la peau, il est l'auteur d'une oeuvre sans pareille, dans laquelle se confondent formes du désir et désir des formes.

02/2021

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Droit constitutionnel

Modèle démocratique. Pour une Afrique souveraine et prospère

Malgré ses immenses ressources, l'Afrique reste le continent le plus pauvre. Pire, en l'espace d'un demi-siècle, le berceau de l'humanité est devenu le berceau des divisions et des guerres avec une quarantaine de guerres et plus de 200 coups d'Etat ayant entraîné des millions de morts. Cette malheureuse tendance n'a pu s'imposer à la société africaine naguère paisible qu'en raison de sa désorganisation et sa soumission à un nouveau système politique non conforme à ses valeurs et cultures. Cet héritage politique se révèle aujourd'hui comme le piège de la décolonisation pour diviser et affaiblir le continent afin de mieux le contrôler et le piller. Plus de 60 ans après, la rectification s'impose. Elle passe par le retour à la démocratie et donc par un modèle conforme à nos cultures. Un modèle démocratique qui garantit au peuple le gouvernement du peuple par le peuple et pour le peuple.

03/2023

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Sciences politiques

Pour une nouvelle communication politique et diplomatique africaine

Le Discours politique, tout comme le discours diplomatique, représente avant tout des réalités sociales à des degrés divers. Ils s'inscrivent dans une certaine logique comme toute construction sociale qui s'appuie sur différents supports de la communication, pour se manifester en actes. Cet ouvrage a pour ambition modeste de revenir, sous forme didactique, sur certains aspects essentiels de la communication politique et diplomatique. L'auteur s'est efforcé de mettre en évidence le dire, le faire et l'être qui sont intrinsèquement liés quelle que soit la sphère dans laquelle évolue l'individu. Le champ politique, tout autant que le champ diplomatique, demeure le domaine dans lequel les décalages entre ces trois instances, pourtant manifestes dans la société, sont les plus visibles mais aussi les plus réprimés par la communauté. Que faire pour demeurer crédible dans une société où le dire et le faire politico-diplomatiques sont continuellement mis en cause ? Comment sortir de l'écueil de la communication manipulatrice et mensongère ? Comment échapper aux conditionnements socioculturels et idéologiques qui emprisonnent la raison, la pensée ? Comment interagir sans complexe, dans la diplomacité, sur le même pied d'égalité? Ce sont là quelques préoccupations majeures à la base des réflexions contenues dans ce livre.

04/2019

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Sciences politiques

Un monde commun. Pour une cosmo-politique des conflits

Le XXIe siècle se présente déjà comme le siècle de l'unification du monde sous l'emprise de la globalisation des marchés financiers et économiques. Il pourrait aussi être celui de sa division et de son éclatement si se confirmait l'impuissance des organisations internationales à faire admettre et respecter un droit cosmopolitique. Mais inversement, loin de signer la fin du monde, l'accentuation des conflits intraétatiques et interétatiques depuis la chute du mur de Berlin pourrait signifier le " retour des choses politiques " et le renouveau d'un souci pour le monde où s'élaborerait la figure inédite d'une " cosmo-politique " aussi éloignée de la culture de la guerre que de l'invocation morale de la paix. On ne peut saisir le sens profond d'une cosmo-politique - une conflictualité non guerrière et instauratrice d'un monde commun - qu'à condition de reconnaître que la politique ne procède ni de la violence armée ni de la tentative de surmonter celle-ci par une civilisation des moeurs qui est une police de la socialité. C'est dans le rapport qu'elles sont susceptibles d'établir avec l'étranger au sein de chaque Etat, et non dans l'établissement d'un ordre juridique mondial ou d'une autorité supraétatique, que les actions publiques se révèlent cosmopolitiques. Ou, encore, dans une certaine manière d'être au monde avec ceux qui ne sont pas du même monde, manière qui naît d'un agir-ensemble politique.

10/2003

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Sciences politiques

Vivre sous l'abri du pouvoir politique. Fondements d'une démocratie en Afrique

L'homme est le berger de la vie, et le pouvoir politique doit être son abri. En Afrique, plus que l'acquisition, l'exercice et la conservation du pouvoir, c'est surtout la protection de la vie qui doit être le but de l'homme politique. Ce n'est donc pas à l'aide d'un démocratomètre qu'il faut mesurer la qualité de la gouvernance ; elle doit être appréciée par rapport au respect de la vie. En effet, un dirigeant qui respecte le vivant, préférerait abandonner le pouvoir que de s'y maintenir au prix de vies humaines. Concevoir un régime démocratique qui n'a pas la vie pour enjeu, est une illusion destinée à être constamment démentie par les faits. Il est possible que les Africains vivent sous des régimes politiques meilleurs que des simulacres de démocraties. Et, il y a quelques raisons d'espérer. Ne pas désespérer, ce n'est pas manquer de lucidité ou nier la dictature, l'exploitation et les violences. Espérer, c'est croire que malgré la politique absurde de gouvernants irresponsables, d'autres possibles et défis s'ouvrent aux Africains et méritent d'être explorés.

07/2020

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Sociologie

Football, religion et politique en Afrique. Sociologie du football africain

L'ouvrage analyse la place des croyances religieuses et des systèmes d'organisation du football populaire ou semi-professionnel en Afrique. L'objectif est de souligner les différences de pratiques sociales du football par rapport à l'Europe en tenant compte des héritages de l'histoire coloniale et des multiples cultures ethniques. Le livre décrit dans une première partie les diverses formes d'un football populaire souvent autogéré au niveau d'un quartier ou d'un village. L'organisation d'un match de football dans les quartiers pauvres de Dakar ou de Yaoundé hors d'un calendrier fédéral devient ainsi l'expression de solidarités multiples. Les femmes y ont acquis un rôle important en s'impliquant dans l'approvisionnement des équipes, dans l'accompagnement des supporters par la danse, la musique ou encore dans le financement des rencontres sportives, grâce à un système original de prêt, issu d'une survivance des tontines. La deuxième partie décrit les différents modèles de gestion de type ethnique, communautaire, présidentiel, européanisé. Il souligne les techniques de mobilisation des entraîneurs, le poids des rituels d'avant matches (bains, bénédictions, transes, exil dans la forêt...), l'interférence de la bureaucratie fédérale, des élus, des notables, des " anciens ", des sorciers ou des marabouts dans la sélection des joueurs ou le management des clubs. Ce livre donne des clefs pour comprendre de l'intérieur le fonctionnement masqué des sociétés africaines à partir de l'analyse du sport le plus populaire. Il replace aussi un football très médiatisé et formaté par l'industrie télévisuelle dans un contexte général de grande pauvreté où les hommes politiques utilisent un nationalisme sportif, souvent refoulé depuis les mouvements d'indépendance pour affirmer des identités noires africaines ou islamo-arabes.

06/2010

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Droit constitutionnel

Politique et bien commun en Afrique noire. Le cas centrafricain

Les nombreuses crises politiques, sécuritaires et économiques en Afrique, notamment en Centrafrique, sont assurément liées à la mauvaise gestion du bien commun : tel est le point de départ de cet ouvrage. La question du bien commun y est pensée comme le chemin d'un vivre ensemble pacifique et d'une cohésion sociale, face aux politiques africaines gangrénées par le tribalisme, le népotisme et la corruption, mais surtout, à rebours de l'offre prédatrice, néolibérale et capitaliste qui s'impose avec violence aux pays africains. Mais comment une politique centrée sur le bien commun peut-elle contribuer à la vie heureuse avec et pour les autres en Afrique ? Se pose dès lors, avec urgence et acuité, la problématique d'une politique africaine du bonheur partagé. L'examen du cas centrafricain permet une analyse concrète et profonde, sociale, politique, économique et culturelle de la question.

02/2023

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Littérature étrangère

Modernité

Dans les années 20, alors que l'Europe se reconstruit sur les ruines de la Première Guerre mondiale et voue un culte à la modernité, Italo Svevo est le témoin de ses bouleversements politiques, culturels et technologiques. Pour des raisons professionnelles, il se rend régulière ment à Londres et prend le pouls de cette Europe friande de vitesse, de spectacles, mais aussi d'équité sociale. Ses chroniques, publiées dans la presse triestine, sonnent comme un état des lieux du vieux monde. En véritable visionnaire, il s'interroge sur le devenir des villes, de la culture, ou de la paix, souvent avec ironie, toujours avec légèreté, la légèreté de la fumée de son éternelle cigarette.

10/2011

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Pédagogie

Education, Démocratie et Développement. Une pédagogie pour aujourd'hui en Afrique

La question du développement de l'Afrique est liée à son histoire, et particulièrement à celle des indépendances. Les Africains espéraient que l'accession aux indépendances politiques serait accompagnée de l'accession à l'indépendance économique. Mais tel ne fut pas le cas. Sur ce chemin de la liberté, au lieu de former des hommes libres, responsables et maîtres de leur destinée, l'éducation s'est contentée d'importer la forme scolaire occidentale et de détruire le tissu culturel local. Aujourd'hui, il n'est plus question de reprendre ce chemin qui a montré ses limites. Il est temps de proposer une nouvelle pédagogie qui serve de ferment à une dynamique de développement, fruit de la participation des citoyens. Une démarche fondée sur la solidarité, l'ouverture et le respect des valeurs démocratiques. Cette réflexion s'inscrit dans une démarche qui consiste à proposer une version authentiquement africaine du développement. Un tel défi exige de l'éducation, qu'elle assume pleinement ses responsabilités de formation à l'autonomie, à la citoyenneté et à l'engagement pour la justice sociale en Afrique. Il s'agit d'une pédagogie qui confère à chaque citoyen les moyens de participer à l'écriture d'une nouvelle page de l'histoire africaine, souvent écrite par d'autres. Tel est le processus auquel voudrait participer la réflexion proposée dans cet ouvrage.

05/2010