Recherche

Pour en finir avec la liberté

Extraits

ActuaLitté

Eco-gestes, éco-citoyenneté

Pour en finir avec le gaspillage alimentaire

Du champ à l'assiette, c'est environ la moitié des aliments qui sont jetés sans avoir été consommés. Devant ce gaspillage alimentaire qui ne cesse de prendre de l'ampleur, Estelle Richard lance un appel à l'action, dans nos cuisines et nos frigos. Bien que ce phénomène soit largement attribuable à l'agrobusiness et au mode de consommation qu'il encourage, il dépend également de la gestion de la nourriture dans les chaumières. Pour Estelle Richard, chaque personne peut agir et avoir une influence significative afin de renverser la tendance. En plus de détailler les causes structurelles du gaspillage alimentaire, elle partage ses trucs et astuces pour mieux conserver et consommer nos denrées. Les étapes d'une campagne de mobilisation citoyenne sont aussi au menu de ce plaidoyer qui nous invite à renouer avec la réelle valeur des aliments. De quoi envisager une société sans gaspillage, un coup de fourchette à la fois.

08/2021

ActuaLitté

Littérature française

Pour en finir avec l'exception islamique

Ce volume regroupe un ensemble de textes publiés séparément ou/et donnés sous la forme de communications à des occasions diverses. Ils ont en commun d'avoir pour objet les problèmes épistémologiques que posent l'approche des faits islamiques et l'étude comparée des religions.

12/2017

ActuaLitté

Psychologie du handicap

Pour en finir avec les mal-entendus

Rencontrer la personne polyhandicapée souvent laissée dans l'ombre, la découvrir et peut-être se découvrir soi-même, participent au changement de regard porté sur elle. La société qui ne voit en elle qu'un corps déformé, des comportements étranges, refuse parfois de la considérer dans sa singularité et son humanité. La connaître avec ses différences, ses difficultés, mais aussi tout ce qu'elle produit de solidarité, d'engagement, de richesse permet de mieux répondre au souci de l'humain et à sa juste place dans une société respectueuse de tous.

04/2021

ActuaLitté

Romans noirs

Pour en finir

Par crainte de représailles suite à ses dernières investigations journalistiques, et parce qu'il a cette obsédante impression d'être suivi dans Nantes, Livius Carmin décide de quitter la ville. C'est dans un hameau du Finistère, Kervan, qu'il se met au vert pour échapper à ses tourments et tenter d'oublier la trahison de la femme par qui il se croyait aimé. L'apaisement, s'il en est, sera de courte durée : un message de menace sur sa porte et la silhouette de l'homme de Nantes, sur le marché de Kervan, auront raison de sa tranquillité. L'angoisse monte, le sentiment de persécution fait son nid et Livius commence à suspecter son entourage, puis à dresser une liste de suspects potentiels. Il suffira de la disparition d'une sexagénaire venue passer quelques jours dans le Finistère avec deux de ses amies pour redonner à Livius le goût de la vie, le désir de fouiner à nouveau... Plus question de se jeter de la falaise ! Le journaliste retrouve ses reflexes et son humour pour confondre les personnes qui en voudraient à sa vie et trouver les raisons de l'enlèvement de la retraitée. Livius Carmin est convaincu qu'une même personne se cache derrière tout cela. Mais qui est-elle et pourquoi l'histoire du journaliste est-elle liée à celle de cette femme ? Un ultime rebondissement viendra bouleverser toutes les certitudes de Livius Carmin.

09/2023

ActuaLitté

Sociologie

Pour en finir avec la vitesse. Plaidoyer pour la vie en proximité

Pouvoir se déplacer de plus en plus rapidement grâce à la vitesse du train, de la voiture, de l'avion... a modifié nos modes de vie fondamentalement. Mais si voyager toujours plus loin, vite et à bas coût, au quotidien et pour les vacances, exauce les rêves de liberté et de découverte d'une partie croissante de la population mondiale, il y a un revers à la médaille ? : fatigue, stress, inégalités, fragilité du système, congestion et pollution. La récente révolution numérique n'a permis de diminuer ni les déplacements, ni le rythme de vie de nos contemporains. Est-il (encore) possible de sortir de l'emprise de la vitesse ?? Les auteurs donnent sur le sujet un point de vue inédit et proposent de réorganiser le territoire pour permettre de vivre en plus grande proximité et répondre aux enjeux climatiques. Tom Dubois, Christophe Gay, Vincent Kaufmann et Sylvie Landriève sont membres du Forum Vies Mobiles, institut de recherche sur la mobilité et les modes de vie du futur.

08/2021

ActuaLitté

Développement durable-Ecologie

Pour en finir avec la faim dans le monde

Afin de justifier l'agriculture intensive, certains nous expliquent que, depuis cinquante ans, la faim dans le monde a diminué. Et qu'il est impossible de nourrir 7 milliards d'humains grâce aux techniques respectueuses de l'environnement. Comment justifier qu'aujourd'hui des enfants, des femmes et des hommes meurent encore de faim ? Et surtout, comment mettre un terme à ce délit collectif insoutenable ? Entre surabondance et pénurie, le système alimentaire mondial actuel est en échec. Pour faire face à l'augmentation de la population et à la dégradation de l'environnement, des choix urgents s'imposent. L'agroécologie, qui ne requiert aucun pesticide chimique, est parfaitement adaptée à la condition souvent précaire des paysans. Elle est la solution pour, enfin, éradiquer la faim dans le monde. Issu d'une enquête approfondie, ce livre propose des solutions. Car il est possible de nourrir tous les enfants que porte notre Terre.

04/2017

ActuaLitté

Philosophie

Pour en finir avec "la civilisation". Un mythe barbare

La "civilisation" est sans doute l'arme de destruction massive la plus importante jamais conçue et déployée. Et si ce qu'on appelle la "civilisation" était en fait une forme de barbarie ? Voilà l'idée que François de Bernard développe dans cet ouvrage. La "civilisation" sert selon lui à justifier depuis deux millénaires et demi tous les massacres, vols et destructions perpétrés par les dominants.

09/2016

ActuaLitté

Sports

Feue la flamme. Pour en finir avec les JO

A la fin du XIXe siècle, le baron Pierre de Coubertin s'inspire du modèle universitaire britannique pour promouvoir en France les vertus du sport. Son objectif est double. D'abord, il aspire à prémunir la jeunesse contre l'oisiveté, le sexe et la pensée socialiste. D'autre part, il veut remettre au goût du jour les jeux Olympiques de la Grèce antique, exaltant la compétition comme moyen de réunir tous les quatre ans des hommes de toutes nationalités. D'abord vitrine du colonialisme, les Jeux seront délibérément instrumentalisés par les pouvoirs politiques - la triste édition de Berlin 1936 en est l'exemple le plus éloquent. Le Comité international olympique, pour assurer d'abord sa survie puis sa prospérité, a confié ses intérêts aux entreprises privées et aux chaînes de télévision, afin d'offrir aux spectateurs une image idéalisée de la mondialisation néolibérale. Le sacrifice quadriennal des athlètes sur l'autel de l'olympisme est absolu : dopage, concurrence effrénée, publicité, entraînements intensifs, pressions psychologiques - réalité masquée par un discours pacifique et généreux. A la veille des Jeux de Pékin, le propos d'Olivier Villepreux est clair : il est temps d'en finir avec le CIO, autorité supra-nationale illégitime, et avec les jeux Olympiques, spectacle mensonger de " l'amitié entre les peuples ".

06/2008

ActuaLitté

Religion

Les communions humaines. Pour en finir avec "la religion"

Renoncer au mot de religion, pour y voir un peu plus clair dans le monde toujours opaque des croyances. C'est à cette conclusion qu'a abouti Régis Debray, après maintes années de recherche. Avec cette mise au point qui résume l'essentiel de ses travaux, il nous expose cette nécessité de façon succincte, élégante et rigoureuse. Ce retour aux sources de notre vocabulaire et de nos façons de penser s'adresse de préférence à l'homme du commun, soucieux de comprendre, tout bonnement, de quoi on parle quand on dit, et mélange à la va-vite, les mots de religion, symbolique, sacré, spirituel ou croyance. Le but : montrer que sous ce mot trompeur, " la religion ", il n'y a que des réalités immémoriales et toutes simples, qui nous concernent tous - y compris ceux, comme le signataire, qui croient n'en avoir aucune.

03/2005

ActuaLitté

Critique

Pour en finir avec la passion. L'abus en littérature

A l'heure où les procès en "wokisme" se multiplient, une approche résolument féministe de la littérature. Au sein du patrimoine littéraire français comme dans les fictions contemporaines, il est un motif dont le traitement ne cesse de surprendre : celui de la passion. Confondue - parfois à dessein - avec l'amour, elle est le masque sous lequel se dissimulent toutes sortes d'abus : des manipulations constitutives de la séduction aux situations d'emprise, des dynamiques de harcèlement aux crimes dits "passionnels" . Cet ouvrage montre comment l'identification des actes des protagonistes d'oeuvres littéraires à l'expression d'une "passion" permet d'occulter la question du consentement, celle des rapports de domination et, plus largement, les violences physiques et psychologiques que subissent les femmes. Il souligne la dimension idéologique de l'approche esthétisante des oeuvres qui, sous couvert de s'opposer à la "cancel culture" , passe sous silence le bafouement de la dignité humaine mis en récit. De Don Juan à La Princesse de Clèves, des écrits de Choderlos de Laclos à ceux de Marguerite Duras et d'Annie Ernaux, les autrices de ce livre nous invitent à poser un regard lucide sur l'évolution des conceptions culturelles et littéraires dans la société française, ainsi qu'à interroger en profondeur les raisons pour lesquelles l'amour y demeure indissociable de la souffrance.

04/2023

ActuaLitté

Humour

Pour en finir une bonne fois pour toutes avec la culture

Nat Ackerman est vautré sur son lit, concentré sur la lecture du Daily News. Surgissant de la fenêtre, un personnage sinistre fait une entrée théâtrale. La Mort (car c'est elle) n'est pas d'humeur à rigoler : elle s'est coincé le talon dans la gouttière et elle a un bon de commande à remplir. Histoire de se détendre, tous deux entament une partie de ginrummy qui pourrait bien les réconcilier.

03/2009

ActuaLitté

Gestion des émotions

Pour en finir avec l'épuisement psychique et émotionnel

Le nouveau best-seller de Klaus Bernhardt Après le succès de son précédent ouvrage Pour en finir avec les crises d'angoisse, Klaus Bernhardt nous livre les outils pour se libérer de la dépression et du burn out, en expliquant leurs mécanismes pour mieux les surmonter. L'auteur donne des indications claires et précises qui permettent d'obtenir rapidement une réduction significative de tous les symptômes dépressifs, afin que le lecteur puisse s'aider lui-même. Les connaissances réunies dans cet ouvrage lui permettront d'identifier enfin les véritables causes de la dépression et de l'épuisement professionnel et d'apprendre à agir en conséquence, pour le mener vers une vie empreinte de légèreté et de joie.

06/2022

ActuaLitté

Faits de société

Pour en finir avec les conflits d'intérêts

" Conflit d'intérêts. " Depuis qu'il a été révélé que la première fortune de France détenait des comptes en Suisse et quelques autres avoirs exotiques, tout en salariant la femme de l'ex-ministre du Budget, lui-même pourfendeur revendiqué de la fraude fiscale et trésorier du parti majoritaire, la notion de " conflit d'intérêts " est entrée dans le débat politique. Les conflits d'intérêts peuvent être mortels. N'étaient-ils pas au coeur des drames du sang contaminé, de l'hormone de croissance et de l'amiante ? Ne représentent-ils pas un danger pour la démocratie ? Martin Hirsch explore ces zones grises proches du trafic d'influence : au sommet des entreprises, dans la santé, au Parlement. Il prend parti pour des règles nouvelles et complètes de prévention des conflits d'intérêts. Sans loi, point de salut. Il expose quelques principes simples qui permettraient d'assainir les rapports entre le pouvoir et l'argent. Pour en finir avec l'ère du soupçon. Pour donner un sens à la notion d'éthique publique.

09/2010

ActuaLitté

Développement personnel

Pour en finir avec les problèmes de stress

Il existe certes des facteurs de stress dans notre environnement objectif (travail, transport…), mais certains d’entre nous ont structurellement des prédispositions. Il suffit par exemple de se rappeler que nos parents ou nos grands-parents ont forcément vécu au moins une guerre, avec ce que cela signifie de privation, de peur de manquer, de peur de mourir, de peine et d’angoisse… De stress donc, programmé et transmis. Dès avant notre naissance, nous sommes l’objet d’attentes nombreuses de la part de chacun de nos parents, de leur couple, voire de notre famille, comme s’il nous était établi une sorte de programme de vie. Lorsque nous naissons, nous sommes "conditionnés", génétiquement certes, mais aussi psychiquement, car inscrits dans une histoire familiale qui nous précède. Notre prénom fait partie des "bagages" qui nous accompagnent. Or, il est des fardeaux lourds à porter, qui ne nous appartiennent pas toujours… Bernadette Picazo révèle l’importance de nos origines familiales sur notre plus ou moins grande résistance au stress. Elle décrit les stresseurs transgénérationnels et leurs conséquences sur nos vies personnelles et professionnelles, tout en nous invitant à fabriquer nos propres outils anti-stress et à le partager.

04/2013

ActuaLitté

Théâtre

Pour en finir avec les intermittents du spectacle

Coup de gueule et engagement : mettre au coeur du débat des sujets cruciaux pour l'avenir de la France en confiant à des professionnels de premier plan le soin de rédiger des ouvrages incisifs qui interpellent. Pour en finir avec les intermittents du spectacle : le spectacle vivant est un milieu fragile qui subsiste largement grâce à l'ingénieux système de l'indemnisation du chômage des intermittents du spectacle. Mais celui-ci est dévoyé, mettant en péril l'ensemble d'une profession, dans ses moyens d'existence mais aussi dans son âme même. Reconnaître la place particulière du théâtre dans la cité et le sens de l'engagement qui anime ses acteurs implique de faire preuve d'inventivité et de souplesse dans la gestion de cet univers menacé d'assèchement et de standardisation. Un texte engagé en faveur du théâtre "incarné", défendant la liberté des acteurs, la diversité des scènes, la fonction sociale et politique du spectacle, nourri de l'expérience d'un être hors du commun qui, animé de christianisme social, a tout sacrifié au nom d'une certaine vision du théâtre.

03/2012

ActuaLitté

Autres

Pour en finir avec soi-même. (Propositions, 1)

Qui sommes-nous ? A cette demande, chacun nous intime désormais de répondre. Du développement personnel aux documents d'identité, des luttes politiques aux relations intimes, de la vie professionnelle aux moments d'illumination mystique, réussir à enfin être soi-même semble constituer la condition essentielle de tout. Mais d'où provient cette obsession pour le fait d'être quelqu'un ? Et, surtout, que révèle-t-elle de l'ordre du monde dans lequel nous vivons ? Dans son nouveau livre, Laurent de Sutter, propose une solution inédite à ces questions au terme d'une dérive surprenante, saisissant dans un même mouvement la méthode Coué et le très ancien droit romain, l'invention philosophique du moi et la pensée chinoise, la psychanalyse et la spiritualité indienne, le théâtre et la neurologie. Et si être soi-même n'était rien d'autre que le nom de la police ? Et si, pour résister aux appels à être " quelqu'un ", il fallait enfin apprendre à devenir n'importe qui ?

04/2021

ActuaLitté

Sociologie

Pour en finir avec le conflit des sexes

La question du genre masculin/féminin ne cesse de diviser. Entre passions et incompréhensions, il demeure difficile de comprendre les rapports entre les hommes et les femmes, en dépit des évolutions culturelles et sociétales modernes. Nous avions cru pouvoir enfin enterrer la hache de guerre, que c'était fini, mais aux détours d'une réflexion amicale, d'une relation amoureuse ou d'un de ces micro-événements qui maillent notre quotidien, nous sommes renvoyés dans les rôles assignés à notre sexe d'appartenance. Et si les frontières s'étaient juste déplacées ? Les Martiens et les Vénusiennes restent en haut de l'affiche et hantent les têtes de gondoles tandis que les universitaires tentent péniblement de faire entendre sur la scène médiatique leur docte musique composée sur l'infinie variation des relations entre les sexes. Pourquoi sommes-nous quotidiennement confrontés à un affrontement inopérant entre sexes et genre ? Pourquoi en dépit des indéniables avancées juridiques et politiques des gouvernements successifs, des prises de conscience de la société civile, de la multiplication des discours de vulgarisation, avons-nous le sentiment de ne jamais en avoir fini avec les rigidités, les conflits ou les normes archaïques qui régissent les rapports femmes-hommes ? Tenter autre chose ! Vivre une féconde altérité ? Fred et Camille, les acteurs modernes de ce livre, jouent librement avec les conventions et identités de sexe. Ils sont complexes, homme ou femme, parfois l'un et l'autre. Ils enquêtent sur les différentes scènes sociales (couple, espace public, politique, médias, culture...), braconnent sur les terres inhospitalières de l'appartenance sexuée, débusquent les espaces de conflits en arpentant les lieux communs, s'essaient au métissage du genre. Leur ambition ? Offrir le plaisir d'un débat libre, constructif, dédramatisé.

01/2011

ActuaLitté

Littérature sud-américaine

Pour en finir avec le jugement de Dieu

En novembre 1947, Artaud enregistre pour la Radiodiffusion française, une émission intitulée Pour en finir avec le jugement de dieu. Le texte écrit pour l'occasion est lu par Roger Blin, Maria Casarès, Paule Thévenin et Artaud lui-même. L'auteur enregistre après coup un certain nombre de cris de diverses intensite ? s, des bruitages, et improvise un accompagnement musical a` plusieurs de ses scansions au moyen d'instruments de percussion et de xylophones. L'e ? mission doit e^tre diffuse ? e le 2 fe ? vrier 1948. Alerte ? par la presse qui se re ? jouit du scandale a` venir, Wladimir Porche ? , directeur ge ? ne ? ral de la Radiodiffusion franc ? aise, interdit la diffusion au dernier moment, le 1er fe ? vrier. Malgré le soutien d'un comité de journalistes, d'artistes, d'e ? crivains, de musiciens (parmi lesquels Max-Pol Fouchet, Raymond Queneau, Pierre Herbart, Roger Vitrac, Georges Ribemont-Dessaignes, Jean-Louis Barrault, Louis Jouvet, Jean Cocteau, Rene ? Clair, Paul E ? luard, Jean Paulhan, Maurice Nadeau, Georges Auric, Rene ? Char, Adrienne Monnier...), l'émission n'est pas diffusée. Le texte paraît quelques mois plus tard, au printemps 1948, à titre posthume, aux éditions K, dirigées par Alain Gheerbrant. Avec le texte de l'émission, nous reproduisons le Théâtre de la Cruauté, des Lettres à propos de Pour en finir avec le jugement de dieu et les Etats préparatoires de Pour en finir avec le jugement de dieu.

04/2022

ActuaLitté

Vivre en couple

Manuel pour en finir avec les relations foireuses

Un guide complet pour identifier ses schémas amoureux toxiques, reprendre confiance en soi et créer la vie amoureuse que l'on mérite. Ce livre est destiné à toutes les femmes qui recherchent l'amour et qui ont l'impression de ne jamais trouver le bon partenaire ou de vivre des relations compliquées. Trop souvent conditionnées à croire que le bonheur réside dans une vie de couple, elles souffrent de dépendance affective ou de dynamiques toxiques. Ce guide pratique propose des conseils et des outils pour apprendre à se comprendre et à s'aimer soi-même, afin de pouvoir construire une vie amoureuse épanouissante et méritée. Il est construit en trois parties : - la compréhension de ses schémas amoureux et la guérison de son passé ; - le renforcement de son estime de soi ; - les clés pour identifier un partenaire de vie sain et pour établir une communication saine et authentique. A condition de prendre ses responsabilités, de reconnaître vos erreurs et de travailler sur soi-même, ce livre aidera les femmes à reprendre le contrôle de leur vie et à créer la vie et la relation amoureuse qu'elles méritent.

09/2023

ActuaLitté

Communication interpersonnelle

En finir avec la connerie ordinaire !

Le développement personnel ? Les belles phrases, les messages dépourvus de réalisme, les leçons de morale ? Vous ne trouverez rien de tout cela dans ce livre. Cet anti-traité, au contraire, vous apprendra que détester les cons est avant tout une question de style... et de connaissances. Vous apprendrez que les cons possèdent entre eux des parentés, qu'on peut les classer par modes de fonctionnement, qu'ils sont mus par des mécanismes spécifiques. Menez l'enquête autour de vous et manipulez-les pour votre plus grande joie (et la leur) ! Ce livre prend à rebrousse-poil tout ce que vous savez des types psychologiques et dépoussière les concepts en l'éclairant de la réalité du quotidien. Place au discernement et à l'action !

10/2022

ActuaLitté

Ouvrages généraux et thématiqu

Comment en finir avec la révolution

Charlotte Corday et Elisabeth de France sont les deux martyres de la Révolution auxquelles entendent rendre hommage les auteurs de ces deux tragédies royalistes écrites en 1797. L'étrange dialogue de ces deux pièces traduit les sentiments ambigus des Français face au plus grand événement de leur histoire.

03/2023

ActuaLitté

Droit

En finir avec la double peine

Chaque année, la double peine frappe de bannissement près d'un millier de personnes de nationalité étrangère, mais dont l'essentiel de la vie est en France, les contraignant à l'exil ou à la clandestinité à l'issue d'une peine de prison. Ces personnes expulsées ou interdites du territoire sont pourtant conjoint(e) s de Français, parents d'enfants français, résident en France souvent depuis leur enfance et y ont toutes leurs attaches. Dans la foulée de l'appel contre la double peine, plusieurs dizaines d'associations ont lancé le 20 novembre 2001 - la Campagne nationale contre la double peine. Avec un objectif simple : empêcher qu'à une première peine, le juge ou l'administration n'ajoute une peine supplémentaire punissant le simple fait d'être étranger. Pour en finir avec la double peine, avocats, magistrats, responsables associatifs, cinéastes, sociologues dressent en une douzaine de textes brefs le bilan humain et social de cette loi archaïque et criminogène et se font l'écho des combats menés par les personnes victimes de la double peine pour continuer à vivre chez elles parmi les leurs. Pas de double peine, pas trop de peine. Une peine, point barre.

10/2002

ActuaLitté

Communication interpersonnelle

En finir avec la rivalité féminine

Une exploration féministe d'un tabou Une réalité à affronter pour la surmonter La rivalité féminine serait-elle un mythe inventé par les hommes ? Une fable que la sororité d'aujourd'hui rend caduque ? En réalité, une lutte sans merci oppose de nombreuses femmes. Au travail, en famille, entre amies, aucun domaine n'est épargné par cette guerre secrète et inavouable qui concerne la réussite, le pouvoir et l'apparence. Si la rivalité féminine est taboue, c'est parce qu'elle est considérée comme contraire à la " nature " des femmes. Alors que chez les hommes la compétition et l'agressivité sont acceptées, voire valorisées ! Et c'est justement parce qu'il est nié que cet antagonisme peut devenir dangereux. -Ce livre permet de comprendre comment l'intériorisation d'une pensée misogyne et la peur de passer pour une " hystérique " empêchent les femmes de voir la rivalité comme un processus naturel et sain. L'histoire, la psychologie et la biologie sont convoquées dans cette exploration passionnante. -Il comporte des témoignages et des études scientifiques, pour aider les femmes à prendre confiance en elles et à appréhender la compétition de façon apaisée. -Il propose des conseils pratiques pour une véritable sororité, inspirés d'exemples modernes et des traditions.

09/2022

ActuaLitté

Beaux arts

Si loin, si près. Pour en finir avec la préhistoire

Jean-Michel Geneste a été conservateur de la grotte de Lascaux et il a coordonné les recherches dans celle de Chauvet. Il parcourt également le monde - depuis la Dordogne jusqu'à la Colombie-Britannique, en passant par l'Australie, la Papouasie-Nouvelle-Guinée et l'Altaï sur la trace des chasseurs-cueilleurs d'hier ou d'aujourd'hui, de leurs techniques et des arts rupestres dans leur splendeur et leur diversité. Il raconte ici ses recherches à Boris Valentin, professeur d'archéologie préhistorique, et tous deux échangent sur leur passion pour l'histoire très ancienne de l'humanité, pour de grands lointains qui leur sont devenus très proches. Une telle familiarité exige de pousser l'étude parfois jusqu'aux limites du perceptible. C'est un des émerveillements que ce livre veut faire partager.

05/2019

ActuaLitté

Essais

En finir avec la culpabilisation sociale... pour être enfin libre !

Lorsque l'individu doit décider - par exemple devant le "tri" des patients ou devant la nécessité d'un avortement douloureux -, il devient responsable d'une décision qu'il a prise, mais qu'il ne désirait pas. C'est la caractéristique du choix contraint. Une domination insidieuse et invisible s'exerce : on se croit libre (puisqu'on choisit) mais on ne l'est pas (car on n'a jamais voulu de ce choix ! ). De la violence domestique à certains discours médiatiques ou politiques, de la cancel culture à la violence des réseaux sociaux, sans oublier le nudge - ce petit coup de pouce qui nous oriente dans la bonne direction sans qu'on s'en aperçoive, Elsa Godart, philosophe et psychanalyste, démasque une société de la culpabilisation. Elle montre le chemin pour éviter cette tutelle morale, quitte à aller contre la doxa. Et donne les moyens de ne pas se laisser imposer cette parodie de choix en faisant appel à une éthique d'humanité : Le principe de vie. Elsa Godart est l'auteure notamment de Je selfie donc je suis et de la psychanalyse va-t-elle disparaitre ?

11/2021

ActuaLitté

Essais

Le malheur inutile. Pour en finir avec la souffrance imposée

Absurdité des vies professionnelles, violence du management, scandale croissant des inégalités, dérèglement climatique et plus récemment e ffets de la pandémie ou crainte d'une nouvelle guerre mondiale... Les maux des individus expriment d'abord ceux du monde, le malaise d'une civilisation. Psychiatre mais non moins homme révolté, Alain Gérard se demande ce que sa discipline peut encore pour nous, alors que nos sociétés basculent dans l'angoisse. Nombre de ses patients, constate le praticien, ont moins besoin d'une prescription que d'un horizon. Pour faire face à ces nouveaux troubles, les méthodes habituelles sont impuissantes. Il faut bricoler, inventer une nouvelle pratique de soin, et surtout refuser le malheur inutile.

03/2023

ActuaLitté

Chanson française

Brassens. Liberté, libertés

Des universitaires montrent que Brassens est l'homme de toutes les libertés. Liberté de pensée, de parole, de ton. Des libertés amoureuses aussi... . Ils analysent aussi les libertés que prennent avec lui d'autres artistes par leurs reprises et leurs traductions. Brassens est l'homme de toutes les libertés. Liberté de pensée, liberté de parole, liberté de vie. Sans tapage, mais avec des mots directs, il dit ce qu'il pense et vit ce qu'il veut. Il chante aussi bien la liberté que les libertés qu'on prend avec la morale admise. En rupture avec les "braves gens" quand ils représentent un système de valeurs figées, il se sent pourtant libre d'affirmer ses propres valeurs : amitié, affection pour les humbles, libre-pensée, amour hors mariage. Car Brassens chante également les libertés amoureuses. Qu'elle est variée, la palette des amours brassensiennes... Des privautés à l'amour libre, du libertinage sans illusion au grand amour sans codes. Un collectif d'auteurs propose ici une analyse des terrains où la liberté de Brassens s'exprime : ton inédit, provocations débonnaires, registres de la langue, génie musical souvent mal entendu, sexualité sans ambages, et - raffinement suprême - liberté de choisir ses propres contraintes dans une prosodie rigoureuse et pourtant souple, et une genèse textuelle qui cristallise lentement. A ces libertés, d'autres artistes répondent, en adoptant Brassens et en l'adaptant : que ce soient les traducteurs ou les autres musiciens qui reprennent son répertoire, ils s'emparent respectueusement mais librement de ses musiques et de ses textes. En ressort la figure universelle d'un grand tolérant et d'un grand sceptique, libre d'aimer et de douter.

12/2023

ActuaLitté

Développement durable-Ecologie

Un nouveau droit pour la Terre. Pour en finir avec l'écocide

PointsTerre – Peuples et sociétés sont dépossédés de leurs moyens d'existence à travers le monde par la destruction de leur environnement. Face à cet écocide, comment repenser les droits de l'homme ? L'écocide (fait de détruire la "maison Terre") n'est pas un crime de plus, s'ajoutant à toutes les autres atteintes aux droits humains. Il est désormais le crime premier, celui qui ruine les conditions mêmes d'habitabilité de la Terre. D'ores et déjà, les dérèglements en cours attisent injustices et tensions géopolitiques tandis que ceux qui saccagent la planète restent impunis. Aussi est-il urgent de revendiquer de nouvelles formes de responsabilité et de solidarité. Urgent de redéfinir un nouveau sens et de nouveaux cadres à l'action humaine au sein des limites planétaires. Le droit international doit se métamorphoser et s'universaliser autour d'une nouvelle valeur pivot, l'écosystème Terre, en reconnaissant un cinquième crime international, le "crime d'écocide".

10/2016

ActuaLitté

Littérature française

La guerre pour finir . . .

Un roman qui se déroule dans le futur (mais n'est pas science-fiction) où la population mondiale a tellement augmenté que les gouvernements du monde se sont unis dans un plan secret pour la réduire de 90 %. Le roman suit une personne qui, par chance, échappe deux fois à sa mort prévue, arrive à comprendre ce qui se passe. Il est recruté et l'histoire continue jusqu'après la révélation publique du plan, qui est presque terminé.

06/2022

ActuaLitté

Sciences politiques

En finir avec les Eurocyniques

Le progrès social, les libertés individuelles, le droit à un environnement sain, sont des combats permanents. Si n ne se bat pas pour que cette vision du monde et de l'intérêt général devienne majoritaire au niveau européen, elle ne le sera jamais. Mener cette lutte à l'échelle nationale ne suffit pas — les résultats seront fragiles et inopérants. Ce combat, nous devons le mener sur le plan européen. Virginie Rozière est co-présidente des Radicaux de Gauche (LRDG), parti qu'elle a fondé avec Stéphane Saint-André pour faire vivre les valeurs radicales lorsque son ancien parti partait se rallier à la majorité présidentielle d'Emmanuel Macron. Elle refuse que les questions européennes se résument à un débat binaire. Il ne faut laisser l'Europe ni aux Eurosceptiques, qui veulent l'affaiblir, ni à ceux qu'elle appelle les "Eurocyniques" : ceux qui, comme Emmanuel Macron, s'en servent pour imposer un modèle ultralibéral, destructeur pour les citoyens européens, qui nourrit le ressentiment. C'est sur le contenu des politiques qu'il faut débattre : quel degré de protection de nos droits sociaux, de notre vie privée, de notre santé et de notre environnement voulons-nous ? Entretiens avec Anne-Camille Beckelynck, journaliste.

05/2019