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Massoud l'Afghan

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Actualité médiatique internati

L'Indomptable. Moi, Zarifa, afghane et musicienne

Moi, Zarifa, afghane et musicienne L'Afghanistan est le pire endroit sur terre pour naître femme, selon l'ONU. Mais Zarifa, jeune fille de Kaboul, est déterminée à y poursuivre ses rêves : étudier, jouer de la musique, voyager, lutter pour les droits des femmes... Des rêves inaccessibles, interdits. Pourtant, à 18 ans, elle est devenue violoniste et cheffe d'orchestre de Zohra, la première formation entièrement féminine de son pays et du monde musulman. Malgré la violence quotidienne, l'obscurantisme, le découragement parfois, elle se bat pour créer son propre destin, avec pour seules armes son instrument et sa détermination. Le témoignage bouleversant et inspirant d'une jeune Afghane qui a surmonté tous les obstacles et bravé tous les interdits pour gagner sa liberté. Une liberté d'autant plus menacée aujourd'hui que l'Afghanistan bascule de nouveau dans le chaos et la terreur.

11/2021

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Albums 3 ans et +

Massou et Pipou se font masser

La journée est éprouvante pour Massou, la petite main. Ecrire, colorier, découper, coller ; vaste programme ! Elle questionne alors son frère jumeau, Pipou, puis sa maîtresse d'école pour obtenir de l'aide. Elle va finalement découvrir les vertus d'un massage...

05/2023

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Proche et Moyen-Orient

Le cheik Djemalledin el-Afghani

Le cheik Djemalledin el-Afghani / [signé : C... -E... ] Date de l'édition originale : 1896 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

07/2021

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Garder la forme

J'apprends la marche afghane

En plus de ses bénéfices cardio-vasculaires, la marche afghane réduit l'anxiété selon une étude randomisée de l'université du Mississipi (Département de la santé et des sciences de l'exercice). Nous sommes faits pour marcher et pourtant nous le faisons de moins en moins. La marche est un pilier de la santé. Idéale pour le corps mais aussi l'esprit dès lors qu'on l'associe à une respiration contrôlée. Marcher afghan, c'est mieux que marcher. C'est marcher en synchronisant sa respiration sur ses pas. Ce petit plus peut sembler anodin. Ne vous y trompez pas. Il est hyperpuissant et peut grandement améliorer votre bien-être. La marche afghane libère l'esprit, réduit le stress, en plus d'améliorer la santé cardiaque et pulmonaire. Ce " yoga de la marche " est à la portée de tous. Chacun peut l'expérimenter sur tous types de terrain selon sa condition physique ou ses envies. Sylvie Alice Royer vous propose de sceller un pacte avec vous-même : 21 jours pour intégrer cette marche dans votre quotidien. Etape par étape, vous allez expérimenter différents rythmes, inspirer, expirer et en tirer une énergie incomparable. Tout ce dont vous avez besoin, c'est d'une bonne paire de baskets. Que vous ayez déjà fait de la marche ou que vous commenciez tout juste, ce programme inspirant va améliorer votre santé (et votre bien-être) plus que jamais.

03/2022

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Histoire internationale

La guerre la plus longue. L'Occident dans le piège afghan

Plus long que la Première et la Seconde Guerre mondiale, que la guerre d'Algérie ou que celle du Vietnam, l'interminable conflit afghan a broyé les espoirs de « nation building » que nourrissait l'Occident. Plus de dix ans d'une guerre « asymétrique » contre un ennemi aussi insaisissable qu'omniprésent et quels résultats ? Aucune des calamités qui ravageaient l'Afghanistan n'a été endiguée : ni l'insurrection, ni le terrorisme, ni les rivalités ethnico-tribales, ni l'économie à la dérive, ni la corruption endémique, ni la pauvreté. Certains fléaux, comme le trafic de drogue, se sont même aggravés. L'Occident a payé son obstination au prix fort : plus de 3 000 militaires de la coalition tués et des dizaines de milliers d'autres blessés, des milliers de victimes civiles « collatérales » aussi, 2 000 milliards de dollars partis en fumée. Comment en sommes-nous arrivés là ? À l'heure où les corps expéditionnaires des membres de la coalition lèvent le camp les uns après les autres, il était temps de dresser le « post mortem » de cette guerre si longue et si coûteuse. Un bilan militaire et politique, bien sûr, mais également humain, car ce sont d'abord les soldats, les sous-officiers et les officiers américains, anglais ou français, et leurs protégés de l'Armée nationale afghane, qui ont payé le plus lourd tribut, celui du sang, à ce mirage. Nul n'était mieux placé pour nous en parler qu'Hervé Asquin. Correspondant Défense de l'Agence France-Presse de 2006 à 2010, il a à son actif pas moins d'une vingtaine de reportages sur le terrain. Hervé Asquin a interrogé les ministres successifs de la Défense, les hauts gradés, rencontré à de multiple reprises l'état-major français à Kaboul, accompagné de la Kapisa à l'Helmand les militaires français dans leurs opérations de « contrôle de zone », casque lourd sur la tête et gilet anti-éclats sur le dos, partagé la tambouille des engagés afghans. Correspondant de l'AFP en Allemagne, il raconte la conférence de Bonn qui entérina le déploiement d'une « force multinationale de sécurité » pour assurer la transition de l'Afghanistan vers un État de droit. Il révèle aussi les tensions extrêmes qui opposèrent Chirac et Jospin au lendemain du 11 septembre 2001, lorsqu'il fallut se montrer solidaire des Américains jusque dans l'erreur. Ce livre n'est pas un essai, encore moins une thèse, mais un récit, qui alterne géopolitique et vécu à hauteur d'homme, explore au plus près du terrain les ressorts de la corruption, les errements stratégiques et diplomatiques, cette mécanique implacable qui a entraîné le monde dans cette guerre, la plus longue, la plus chère et l'une des plus vaines qu'ait connu l'Occident depuis des siècles.

09/2013

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Faits de société

De Kaboul à Calais. L'incroyable périple d'un jeune Afghan

Ils sont des milliers chaque année à quitter l'Afghanistan et à affronter tous les dangers pour émigrer clandestinement : obligés de franchir déserts et montagnes, de traverser un ou deux bras de mer, ils mettent souvent des mois pour atteindre leur but - Calais, ultime porte avant l'Angleterre -, quand ils y parviennent. Wali Mohammadi a été l'un d'eux. Orphelin - son père, emprisonné par les talibans, est mort sous la torture, sa mère a été tuée par une bombe sur un marché -, il a quitté Kaboul à l'âge de quinze ans, car il n'avait plus rien à perdre, sauf la vie. Il fait ici le récit de son périple - à pied, à cheval, en bus, en train, en bateau, en camion -, de Kaboul à Calais via le Pakistan, l'Iran, la Turquie, la Grèce, l'Italie, la France... II raconte les espoirs, les angoisses d'un clandestin, et toutes les péripéties de son voyage. Il dénonce le système des passeurs, véritable économie fondée sur la contrebande d'êtres humains. Il décrit aussi le sort d'un sans-papier, sauvé, dans son cas, par une rencontre heureuse. Une famille de Calaisiens prendra le risque de l'accueillir et lui offrira la chance de mener une nouvelle vie, en France.

11/2009

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Histoire internationale

Murmures de guerre. Lettres à ma femme - Afghanistan, été 1986

Ce livre est un miracle. Blessé dans le bureau du QG de Rhoja Bahoudin lors de l'attentat du 9 septembre 2001 qui a coûté la vie à Ahmad Shah Massoud, il est un survivant de cette tragique époque afghane. Khalili devint l'ami du Commandant suite à son voyage du Pakistan au Panjshir en 1986. Recueil de souvenirs et de lettres adressées à sa femme, ce livre nous fait pénétrer dans cet Afghanistan du nord-est en guerre contre les Soviétiques. Khalili a une mission politique à accomplir pour la Résistance. Pas à pas, sur les pistes escarpées, sous un ciel tranquille ou bombardé, nous marchons à la rencontre de Massoud et à la découverte de ce pays et de ses tribus. Khalili s'est fait l'entomologiste de son pays et de cette période observée à la loupe de sa connaissance et de son courage. Murmures de guerre est un oxymore. Ces murmures hurlent la guerre, crient la peur, l'effroi, la violence et chuchote la beauté des hommes et des paysages et la douceur d'y vivre en paix.

03/2018

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Afghanistan

Le gouvernement transnational de l'Afghanistan. Une si prévisible défaite

La défaite des Taliban dans le sillage des attentats du 11 septembre ouvre deux décennies d'investissement occidental en Afghanistan. Des centaines de milliards, pour l'essentiel consacrés à l'entretien des forces occidentales, des dizaines de milliers de morts, dont plusieurs milliers de la coalition, montrent l'importance de ce conflit pour les Etats-Unis qui en font le symbole de leur hégémonie mondiale. Mais, derrière les discours sur la construction d'une " démocratie de marché ", se profile un gouvernement transnational qui contourne les acteurs afghans au point d'interdire tout processus démocratique, couvre des fraudes électorales massives, routinise la captation des ressources au profit des entreprises occidentales et des élites afghanes. Les tensions communautaires et sociales s'accroissent à un point jusque-là inconnu dans la société afghane. Les Taliban, capitalisant sur le ressentiment populaire contre les élites au pouvoir, mettent en échec une alliance occidentale qui dissimule, derrière une augmentation des moyens, son incapacité à définir une stratégie cohérente. Après vingt ans de conflit, al-Qaïda est toujours présent en Afghanistan, et le retrait américain ne fait qu'ouvrir une nouvelle période d'une guerre civile vieille de quarante ans. Ce nouvel essai de Gilles Dorronsoro propose une analyse critique impitoyable des impasses de l'expertise orientaliste et sécurocrate dont la portée comparative, bien au-delà du seul cas afghan, est d'une haute actualité.

02/2021

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Récits de voyage

Le faucon afghan. Un voyage au royaume des talibans

" A la tombée du jour, on peut observer dans Ghazni un curieux mouvement de foule. D'un côté les cohortes de volontaires qui se rendent à la mosquée, de l'autre les récalcitrants, les hésitants que viennent fouetter les miliciens du Vice et de la Vertu, nerf de bœuf en main. " Allez, tas d'hypocrites, filez à la prière ", hurle un taliban aux gestes secs, haut comme trois pommes, avec quelques poils de barbe se battant en duel, visiblement heureux d'un tel pouvoir pour son jeune âge et qui semble particulièrement habile dans le maniement de la cravache. Lorsque je lui demande pourquoi il lui faut obliger tant de gens, pourtant bons musulmans, à se rendre obligatoirement à la mosquée, il répond : " Mais vous vous rendez compte, ils continuent de faire des affaires pendant qu'on prie..." Et il ordonne d'un geste rageur à un commerçant de clore son étal d'épices multicolores, pendant que son compère, guère plus âgé que lui, et sans doute tout aussi illettré, hurle davantage. Quand ils aperçoivent une kyrielle d'enfants qui, tout sourires, ont oublié de rallier le lieu de culte, les deux nervis lancent leurs fouets mais les enfants, décidément rétifs, s'en vont dispersés vers le bazar au pied de la citadelle et saluent les deux commis à la pureté d'une bordée de doigts d'honneur. "

09/2001

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Actualité médiatique internati

Notre peuple

La parution en France, en avant-première, de cet ouvrage est un événement mondial. Premier livre du jeune leader de la résistance afghane contre les talibans, il témoigne de son combat et de celui de son père assassiné contre le fanatisme. Le journaliste Olivier Weber qui l'a accompagné dans la rédaction est un des meilleurs connaisseurs de l'Afghanistan A seulement 32 ans, Ahmad Massoud, le fils du rebelle assassiné, représente un véritable recours contre l'obscurantisme. Héritier des batailles menées par le célèbre Lion du Panchir, figure charismatique de la résistance afghane contre les Soviétiques assassinée le 9 septembre 2001, Ahmad a relevé le défi. Depuis la chute de Kaboul le 15 août dernier, il a lancé un front de la résistance afghane et plaide pour la lutte contre le fanatisme islamiste, dont les porte-étendards sont non seulement les talibans mais aussi les militants d'Al Qaïda et de l'Etat Islamique. Ce livre mêlera son portrait, des anecdotes, des révélations, sa vision pour son pays, ses batailles pour le respect des droits humains, son plaidoyer pour un islam de tolérance, loin des idéologies sectaires, ainsi que des faits inédits sur la vie de son père. Un livre essentiel et salutaire, une ode à la liberté.

09/2023

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Exégèse

Les rois d'Israël à l'ombre des prophètes

Vingt cinq siècles après sa mort, Sédécias le dernier roi de Juda, est venu raconter à l'auteur la vie de ses ancêtres, les rois d'Israël, certains assassinés, d'autres déposés, quelques-uns déportés, presque tous maudits. Au cours des sept cents ans de l'histoire de mon peuple, dit-il, quatre protagonistes se sont partagés le pouvoir absolu sur le destin des enfants d'Israël et sont collectivement responsables des malheurs de ce peuple. Dieu d'abord, omnipotent et omniscient, observateur critique, jaloux et souvent en colère ; les prophètes ensuite, rarement paisibles et pacifistes, souvent vengeurs et sanguinaires, prétendant représenter dieu et parlant en son nom, ordonnant à tort et à travers et exigeant d'être obéis ; puis les rois, obligés de se soumettre aux prophètes pour ne pas attirer la malédiction divine et la réprobation de l'histoire. Arrivent enfin ceux qui ont écrit l'histoire et qui savaient n'être ni contredits, ni critiqués. Ils pouvaient mentir, inventer des légendes et des miracles, des armées invincibles, et des palais majestueux, créer un passé glorieux, condamner ou louer qui ils voulaient, le peuple, les rois et même parfois les prophètes. Et je reste moi, Sédécias, pour vous raconter la véritable histoire des rois. Zaher Massoud, ancien directeur de recherche au CNRS et ancien directeur scientifique de l'IFREMER, signe ici son quatrième ouvrage aux Editions Persée.

05/2021

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Sociologie

Placards & Libelles N° 4, 18 novembre 2021 : L'appel à la France

Retour à l'origine de l'imprimé. En une grande feuille pliée en quatre, à afficher, à déplier, à lire et à partager, un grand intellectuel intervient sur l'actualité pour éclairer le jugement de l'opinion. Une réinvention radicale du livre et de la librairie, ultra-moderne dans son archaïsme. Le meilleur de la pensée en condensé et en instantané. PLACARDS ET LIBELLES ? A la Renaissance, au moment de la révolution Gutenberg, l'imprimé devient le levier des combats d'opinion et un instrument de liberté. Sur une seule feuille, recto et verso, se déroule un texte d'intervention pour alerter, critiquer, mobiliser en rompant avec les discours officiels. On l'affiche sur les murs, on la plie en quatre pour qu'elle circule sous le manteau, on la communique. Aujourd'hui, à l'heure d'internet, Le Cerf renoue avec cette forme et formule originelle en donnant une libre parole à un intellectuel majeur sur l'actualité longue ou immédiate. Une aventure éditoriale qui reprend également le fil de la revue fondatrice de la maison entre 1928 et 1956, La Vie intellectuelle, animée par Jacques Maritain, Etienne Gilson et François Mauriac. Un samizdat et dazibao pour penser aujourd'hui afin que le débat continue... Paraît tous les quinze jours à 2, 50 euros. Pour cette nouvelle parution du quinzomadaire mono-feuille qui commente autrement l'actualité, un intellectuel s'empare du sujet débattu, clivant, polémique du jour afin d'éclairer différemment ses contemporains.

11/2021

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Economie

La banque des Etats de l'Afrique Centrale. Une dérive prévisible

Cette analyse de la fragilisation de la BEAC est un témoignage en même temps qu'un décryptage de la dérive qui l'a conduite dans l'impasse de la mauvaise gouvernance. Des ressources importantes, des dirigeants avides et l'absence d'une instance de contre-pouvoir ne peuvent que mener à cette catastrophe annoncée. Une dérive prévisible est la résultante des vingt-cinq années d'immersion dans un monde où le service rendu au chef a été érigé en règle de survie. Il s'agit d'un cri d'alarme et d'un appel aux plus hautes autorités pour changer la donne. Il est suggéré de désigner les plus qualifiés des cadres de la Sous-région pour prendre en mains les institutions d'intégration. Tout choix contraire aboutira au même échec, au même désastre. Ces futurs dirigeants doivent être retenus sur une courte liste présentée par des cabinets spécialisés en recrutement. Excellences, les Chefs d'état, ne laissez pas se dissiper le travail de qualité accompli par le personnel de la BEAC en raison d'un management inapproprié !

05/2010

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Economie

La Banque des Etats de l'Afrique Centrale. Lettre ouverte au gouverneur

Depuis 2009, la Banque des Etats de l'Afrique Centrale (BEAC) traverse une période trouble de son histoire. Les mesures adoptées par les autorités décisionnaires, notamment en 2010, n'ont pas été à la hauteur du redressement attendu. Constatant cet immobilisme, l'auteur poursuit sa réflexion sur le devenir de la banque centrale sous la forme d'un triptyque dont le présent ouvrage est le deuxième volet. A travers cette lettre ouverte, il expose son analyse des moeurs au sein de cette institution qui tient un rôle de premier plan dans la Communauté Economique et monétaire de l'Afrique Centrale (CEMAC). Dans sa critique, qui épargne l'institution mais révèle les travers des dirigeants, il rappelle que "manager, c'est gérer des contraintes". Les relations professionnelles, parfois tendues, font partie de cette gestion. S'adressant au gouverneur de la BEAC, il suggère plus de modération, d'éthique et d'engagement pour contribuer à la construction d'un avenir meilleur pour les six pays de la CEMAC.

11/2015

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Littérature française

Drôle de famille

Selon ses propres dires il avait participé à la rédaction de la toute première partie d'un grand livre, devenu sacré au point qu'on a parlé de lui durant des siècles et des siècles et qu'on le lit encore aujourd'hui avec le respect qui lui est dû. Il m'a dit vouloir me raconter de vive voix les détails de la vie de certains personnages du premier chapitre de ce livre pour savoir ce que j'en pensais. Un homme qui se dit vieux de plusieurs siècles et prétend avoir participé à la rédaction de l'Ancien Testament vient proposer son récit à un inconnu. A travers leur dialogue, l'auteur raconte la vie de personnages de la Bible et du Coran. Il nous présente leurs turpitudes et comment les Saintes Ecritures nous déculpabilisent des vices de notre propre famille. Cette incursion dans la Genèse vous permettra de comprendre pourquoi Marc trompe Samantha, pourquoi Kevin, le frère de Marc, le déteste au point de vouloir sa mort, et pourquoi Patrick et Cindy n'ont aucune probité... La saga familiale des patriarches nous est contée avec humour et malice. Rebondissements, surprises et quiproquos sont dignes des meilleures séries de télévision. Trahison, mensonge, tricherie, usurpation d'identité, la famille est un milieu impitoyable, qu'elle soit sainte ou non !

11/2017

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Autres langues

Le Raëd illustré des écoliers. Raed al tullab al mussawar

Pour rédiger le premier dictionnaire alphabétique arabe Al-Raëd (publié en 1962), Gebran Massoud a puisé aux sources anciennes et intemporelles de l'arabe classique. Tandis que, de l'apport linguistique moderne, il a sélectionné tous les termes essentiels pour que ce dictionnaire soit le porte-parole contemporain de l'évolution des lettres et des sciences de la langue arabe. Aujourd'hui, et plus que jamais, la présence du Raëd reste indispensable entre les mains des élèves arabophones et des étudiants de la langue arabe de toutes conditions, ainsi que sur les pupitres et dans les bibliothèques des écoles et des instituts, partout dans le monde arabe. Car, en dépit des mutations culturelles et de la domination des ressources électroniques, la valeur du dictionnaire transcende toutes les modes discontinues qui émergent de manière incessante. C'est avec une pleine conscience de l'exigence inaltérable de cette vision de la langue et de la transmission de la culture, prônée et soutenue par Gebran Massoud au long des années, que nous publions cette nouvelle édition revue et enrichie sous la supervision de l'auteur. Nous sommes fiers de présenter dans sa nouvelle parure Le Raëd des écoliers, toujours muni de ses particularités remarquables qui en ont fait un ouvrage précurseur. Nous avons conservé la disposition par ordre alphabétique des mots selon leurs premières lettres, méthode que le Raëd a été le premier à appliquer. De même, nous avons gardé un grand nombre de définitions conventionnelles adoptées par les grands dictionnaires traditionnels. Mais nous avons ajouté des définitions, des exemples et de nouvelles entrées pour refléter notre époque, ainsi que des planches thématiques pédagogiques, riches en couleurs et en images contemporaines, qui traitent un nombre divers et varié de sujets se rapportant à l'art, la culture, les sciences et autres. Et d'une autre part, nous avons enrichi le dictionnaire d'un chapitre consacré aux règles de vocabulaire et de grammaire, qui sera d'une grande utilité pour l'apprenant dans de nombreuses applications.

03/2019

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Histoire internationale

Une enfance au Kanem

"Toutes mes facultés étaient absorbées par la marche qui mobilisait l'ensemble de mes sens. En cette nuit insondable, l'envie d'aller vite décuplait mes forces. Les yeux, les jambes, le dos et plus encore les bras, porteurs de l'indispensable baluchon, étaient sollicités. Le cerveau conversait avec le coeur et les jambes avec les bras. Chaque couple entonnait sa propre complainte. Dans leurs communs efforts, ils se testaient, s'évaluaient, s'accusaient puis finissaient par se congratuler. Ils me transmettaient une sorte d'allégresse et une douce assurance..." Comment s'ouvrir au monde tout en préservant un réel attachement aux enseignements des "anciens" ? Au lieu de prendre position, l'auteur se tourne vers sa mère. Il s'abrite derrière le regard de l'enfant qu'il a été. Plutôt que de procéder par démonstration, il se laisse aller à la confidence. Il chuchote que tout choix est réducteur donc douloureux. Alors, comment concilier la vie de cadre de banque centrale et les souvenirs d'une enfance passée dans un environnement enchanteur ? Confronté à la perplexité, il semble se contenter d'un : "je n'ai rien oublié !"

11/2015

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Religion

Moïse, un sacré bonhomme

Le voyageur est revenu ; il entame alors un nouveau dialogue. C'est une histoire insensée qu'il se met à partager. Le Grand Livre avait tout faux ; rien n'aurait dû se dérouler ainsi. Moïse aurait pu être dévoré par les crocodiles. L'Eternel n'aurait jamais dû envoyer un bègue marchander avec le pharaon. Il aurait pu le jeter dans son fleuve. Les enfants d'Israël n'auraient jamais dû quitter l'Egypte. Un récit fait de cri, de colère, de trahison, de déchaînement et de passion. Un retour plein d'humanité sur la légende du prophète mêlée à notre actualité et menée par une écriture pertinente et authentique. Rédacteur de la revue internationale Ecologie et Biologie du sol, Zaher Massoud a été président de la commission "Recherche" du Muséum national d'histoire naturelle et de la commission "Ecologie" du CNRS, directeur du programme interdisciplinaire de recherche sur l'environnement du CNRS, chargé de cours à l'université de Louvain-la-Neuve, directeur scientifique de l'IFREMER. Il est également professeur de l'histoire des religions monothéistes à l'Association philotechnique. Il signe ici son troisième ouvrage chez Persée.

11/2019

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Littérature française

Ecrits afghans. Suivi de Lagendorf Pacha

Quand on passe dix heures par jour juché au sommet d'un cheval, il faut s'inventer des histoires, se distribuer c es rôles qui doivent permettre de tenir. D'heure en heure, je reprends les mêmes scénarios, en fait limités. Je les livre tels quels, car il serait dommage que la postérité les ignorât : Ogodaï-Langendorf, fils de Gengis, se dirige à la tête de sa horde, vers la mystérieuse capitale de Jam. (...) von Niedermayer-Langendorf et ses volontaires bavarois tentent de rallier la frontière des Indes, pour porter un coup mortel à la perfide Albion. (...) Et celui-ci, que je préfère entre tous : Le Basileus Langendorf, maître et imperator du monde, entre dans une Lausanne dévastée, avec ses cavaliers noirs. Il ordonne aussitôt de rassembler la population sur la place de la Riponne et de la massacrer. Juché sur les escaliers de la bibliothèque en flammes, il assiste au spectacle les bras croisés. " Sweet, sweet Elisabella ", très belle, parvient jusqu'à lui, se jette sur ses bottes qu'elle étreint : " Ne me reconnais-tu pas, toi que j'ai aimé jadis ? ".

04/2010

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Histoire des idées politiques

Les larmes de Kaboul. Carnets afghans

Grand reporter, Jean-Marie Montali a couvert l'Afghanistan en guerre depuis la fin des années 1980. Il a vu partir les Soviétiques puis les Américains. Il a connu un grand nombre de chefs et les clans rebelles toujours prêts à se dévorer dans des luttes intestines sans fin. Il a vécu avec les humbles de ce pays splendide, en a partagé les vertus et les malheurs, l'extrême abandon et l'indéracinable espérance. Il a partagé l'intimité, la conversation et le combat du Commandant Massoud. Et il a assisté à la naissance puis à l'essor des talibans. Ce livre est tout à la fois un traité de géopolitique, un carnet de voyage, une chronique historique, un récit d'aventure, un précis de civilisation, un hommage vibrant à des hommes, des femmes et des enfants aux noms propres et aux visages singuliers, une investigation sur les erreurs de l'Occident, un éloge de l'humanité concrète et un appel à la conscience universelle. On le lira comme on verrait un documentaire en technicolor tant les Afghanes et les Afghans y sont restitués dans leur vérité existentielle. Celle, depuis quarante ans, du conflit le plus long que le monde ait connu. Celle, pour longtemps, de la dictature la plus fanatique que l'islamisme ait produite. Et l'on versera alors, à son tour, des larmes sur Kaboul engloutie par la nuit.

01/2022

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Technique et entraînement

La marche : sportive - athlétique - nordique - afghane

Le B. A. -BA pour découvrir les bienfaits et les techniques des différentes marches dites rapides et d'endurance - marche sportive, marche athlétique, marche nordique et marche afghane -, choisir le bon équipement, adopter un plan d'entraînement, se préparer, récupérer, soigner les petits bobos et bien "travailler" son alimentation.

03/2022

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Littérature française

Le goût âpre de la poussière afghane

Le 4 juin 2012, alors qu'il participe à une conférence internationale à Kaboul, l'humanitaire François Weber est enlevé brutalement avec trois de ses collègues. Même si cet enlèvement s'avère être une erreur, l'otage vivra les pires moments de sa vie. De Bruxelles à Kaboul, de Strasbourg à Mitharlam, telle une tresse, ce récit entrecroise ces mêmes événements vécus par François, l'humanitaire, Soa, son épouse malgache et Nizar, un des geôliers.

02/2017

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Histoire internationale

Morte parmi les vivants. Une tragédie afghane

Bilqis est une paysanne afghane qui aide sa mère aux champs et à la maison depuis la mort de son père. Elle est l'aînée de six enfants. Un jour de 1989, à douze ans et demi, elle est violée par des soldats soviétiques qui rentrent dans leur pays après dix ans d'occupation. Commence alors pour Bilqis une lente descente aux enfers : rejetée par sa mère puisque " souillée ", elle vivra dans l'étable avant d'être vendue à une famille d'un bourg voisin. Pendant une dizaine d'années, elle sera bonne à tout faire, serveuse, femme de chambre, instrument de désirs, battue, insultée, violentée... Puis on la retrouve dans un bordel à Herat, protégée des talibans. Enlevée par des bandits, Bilqis sera ensuite prostituée dans une caserne, favorite d'un chef de guerre unijambiste et borgne qui la martyrise, jusqu'à ce qu'elle le poignarde et s'enfuie. " Celle qui perd sa réputation n'est plus qu'une morte parmi les vivants ", lui dit une de ses compagnes. Aujourd'hui, la jeune femme, qui a été sauvée par une ONG européenne, a appris à lire, à écrire et à calculer. Elle se reconstruit lentement. Un document unique sur la condition des femmes en Afghanistan et dans les pays ravagés par les guerres, l'intégrisme et l'obscurantisme.

04/2006

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Histoire internationale

Désastres afghans. Carnets de route, 1963-2014

Décembre 1979 : les troupes soviétiques entrent en Afghanistan, d'où elles ne se retireront qu'en 1989, au terme d'une décennie de guérilla. Septembre 1996 : les talibans prennent Kaboul et instaurent un régime islamique. Octobre 2001 : intervention américaine et internationale à la suite des attentats de septembre. Un état de guerre de plus de trente ans, avec son lot de destructions et de séquelles humaines et sociales. Ethnologue au musée de l'Homme, Bernard Dupaigne arpente l'Afghanistan depuis plus de cinquante ans. Il a connu le pays avant l'occupation soviétique, pendant et après. Il a vu les talibans de près. Il a suivi la guerre des Américains et celle des Français. Et il a tenu des carnets de voyage. Il y raconte, au jour le jour, ses rencontres et les aventures, souvent cocasses, parfois dramatiques, qui lui sont arrivées. Au-delà des anecdotes qui permettent de saisir sur le vif les réalités afghanes, ce témoignage exceptionnel apporte une terrible leçon. Des milliards de dollars déversés sur l'Afghanistan depuis des décennies, des immenses efforts consentis, il ne reste rien : ni industries ni ressources. L'agriculture n'a pas progressé. L'insécurité est partout, la corruption omniprésente, comme le commerce de l'opium. Les jeunes n'ont pas d'avenir et ne rêvent que de s'exiler. Cette relation des multiples visages d'un désastre est aussi la chronique d'un échec de la «communauté internationale» que ses responsables de toute nature gagneraient à méditer.

10/2015

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Actualité et médias

L'insolente de Kaboul [EDITION EN GROS CARACTERES

Chekeba Hachemi est née en 1974 à Kaboul dans une famille bourgeoise et influente. Elle a onze frères et soeurs. Son père était gouverneur, un homme proche du peuple qui est mort quand elle avait deux ans mais qui a toujours incarné son modèle. A l'âge de onze ans, alors que sa mère décide que leur tour est venu de fuir l'occupation soviétique, Chekeba se trouve séparée d'elle et va traverser la passe de Khaibar avec un passeur menaçant. Onze jours de terreur, dans les montagnes, qui lui ouvriront les yeux sur la réalité de la violence de l'occupation russe. En 1999, Chekeba décide qu'il est temps de rencontrer ce Massoud pour lequel l'association qu'elle a créée, trois ans plus tôt, récolte des fonds en vue d'ouvrir des écoles dans le Panshir. Elle redécouvre son pays plongé dans la guerre et devient proche du célèbre commandant, qui voit en elle une aide précieuse pour sensibiliser la communauté internationale à la lutte contre les talibans. En septembre 2001, Massoud est assassiné, les tours tombent, les talibans sont défaits ; Chekeba entre dans Kaboul libéré et devient la première femme diplomate afghane en poste à Bruxelles. En 2005, elle est nommée conseillère auprès du vice-président à Kaboul. Puis, en 2007, ministre-conseiller à Paris. En 2009, après avoir dénoncé la corruption et lassée de constater qu'aucun changement ne répond à son appel, elle décide de donner sa démission.

05/2012

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Islam

L’énigme al-Afghani. Sur les traces du père de l’islamisme

Janvier 2017, un jeune tue six hommes priant à la mosquée à Québec. L'énigme al-Afghani est le livre que Guillaume Lavallée, journaliste au Moyen-Orient, aurait voulu lire, jeune homme, pour comprendre le monde musulman.

04/2023

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Littérature étrangère

Les fleurs qui poussent en enfer

Parmi les romanciers des années trente-quarante, Mohammad Massoud, héritier comme tous ceux de sa génération des idées de la révolution constitutionnelle, offre la figure du libertaire et du redresseur de torts. Massoud est un "self-made man". Issu d'une famille religieuse, traditionaliste et économiquement défavorisée, il arrive à Téhéran encore adolescent. Les fleurs qui poussent en enfer (1942) est le premier de deux romans autobiographiques qui racontent ce "Printemps de la vie" (1945). Grâce à des talents exceptionnels, Massoud bénéficie d'une formation de journaliste en Europe. En 1941, l'abdication de Reza Shah Pahlavi lui permet de fonder le journal Mard-e Emruz (L'homme moderne) qui sera le journal au plus gros tirage de ces années-là. La jeune génération des romanciers dont Massoud fait partie est célébrée par le Premier Congrès des écrivains d'Iran en 1946. Un an plus tard, Massoud est assassiné devant l'imprimerie de son journal par un activiste communiste. Son franc-parler, ses idées libertaires, le ton acerbe de sa critique sociale en avaient fait l'ennemi de tous les bords. Son oeuvre romanesque mérite d'être relue et reconnue.

03/2019

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Littérature française

Mourir à Kaboul. Roman de Djala, femme afghane

Après l'invasion de 1979, l'armée rouge a occupé l'Afghanistan pendant dix ans sans jamais parvenir à le dominer. Petit à petit, des camps de réfugiés se sont organisés près de Peshawar, au Pakistan, dans des conditions précaires. Les enfants et les femmes ont été les premières victimes de cette inhumanité. Ce roman, au coeur de l'Afghanistan meurtri, est une fresque familiale dont l'héroïne, Djala, subit le sort des femmes afghanes. Une vie cruelle d'asservissement et de résignation, considérée comme normale par la société afghane, faute d'un autre modèle. La femme pleure sous son voile ; elle pleure d'être femme. Sharbat Gula, à qui ce livre est dédié, a vu ses parents périr au cours d'un bombardement.

02/2013

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Sciences politiques

L'Afghanistan, une aventure géopolitique française

Alors que l'Occident l'avait relégué aux oubliettes des vestiges post soviétiques de la défunte Guerre Froide, la France redécouvrait subitement l'Afghanistan le 11 septembre 2001, au seul motif que le commanditaire des attaques terroristes, Oussama Ben Laden, se terrait aux confins de l'Hindu Kusch, sous la protection du Mollah Omar. Douze ans de guerre plus tard, les soldats français de la brigade La Fayette amorçaient le retrait de la Force Internationale d'Assistance et de Sécurité (FIAS) en quittant Kaboul au printemps 2014, après y avoir payé le prix du sang et formé les Forces Intérieures de Sécurité, dans les pas mesurés des audacieux Joseph Gallieni et David Galula, chantres de l'école française de contre insurrection. Pourtant, la présence française n'avait pas attendu la parenthèse talibane pour s'illustrer durablement au "Royaume de l'Insolence" puisqu'elle remonte au XIXe siècle, lorsque Kaboul fascinait les intellectuels et scientifiques : de Joseph Arthur de Gobineau à la genèse de la Délégation Archéologique, des périples afghans d'André Malraux ou de la Croisière Jaune Citroën aux fascinants reportages de Joseph Kessel. Puis, dans un même élan de curiosité et de fascination, s'écoulait près d'un siècle de coopération des Constitutionnalistes parisiens au chevet du Droit afghan, suivi de la coopération franco-afghane dans la lutte contre la culture et le trafic d'opium (90% de la production mondiale) ponctué du challenge périlleux de l'enseignement du français à Kaboul. Aujourd'hui, l'Afghanistan continue de se débattre face aux visées hégémoniques des acteurs régionaux comme la Russie, la Chine, l'Iran, le Pakistan et l'Inde, mais également tente de conjuguer avec les puissances occidentales, dont la France, qui rivalisent, en termes d'influence, dans un Nouveau "Grand Jeu" qui se dévoile au centre de ce creuset des ressources stratégiques et des enjeux majeurs de sécurité internationale.

04/2017

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BD tout public

Les larmes du seigneur Afghan. Avec un ex-libris signé des auteurs

Une aventure humaine extraordinaire au coeur de la complexité afghane. Grand reporter à la RTBF, Pascale Bourgaux a suivi, de 2001 à 2011, le parcours du seigneur de guerre Mamour Hasan et de sa famille. Une fascinante plongée dans la complexe réalité afghane, dont Pascale Bourgaux nous offre le témoignage à travers ce récit tout en nuances, qui raconte le basculement progressif d'une communauté, pourtant opposée aux talibans, du côté de leurs anciens ennemis contre la présence occidentale.

05/2014