Recherche

Le grand-duc Nicolas, tsar ou régent ? Le généralissime russe de 1914 face à son neveu et à la révolution

Extraits

ActuaLitté

Contes et nouvelles

Terreur à brest. Jean-Nicolas Trouille et la Révolution

Ce livre évoque la vie quotidienne à Brest de 1789 à la Restauration et retrace les grands événements auxquels les Brestois et leurs élus ont participé : la chute du roi, la bataille de Kerguidu, l'éviction des Girondins, le combat naval de prairial, etc. L'installation du Tribunal révolutionnaire et de la guillotine à Brest ajoute l'horreur des exécutions arbitraires à la situation désastreuse de la ville : disette, émeutes, mutineries, chômage, épidémies, rébellions des campagnes, blocus anglais... J. -N. Trouille, ingénieur des bâtiments civils de la marine, vénérable de la loge des Elus de Sully, commandant de la Garde nationale de Brest, député de la ville au Conseil des 500 puis directeur des Travaux maritimes, est un acteur important dans l'épopée révolutionnaire brestoise.

11/2022

ActuaLitté

Russie

Histoire de la russie des tsars. 1941-1942

Autocrate, le tsar tient son pouvoir de Dieu et ne saurait le partager. Il règne et il gouverne. A travers les biographies contrastées des souverains et souveraines qui se sont succédé, Pierre Gonneau explique ce qui fait l'essence du personnage et sa fonction, du premier tsar, Ivan le Terrible, jusqu'à l'abdication du dernier, Nicolas II, en passant par des figures monumentales, comme Pierre le Grand ou Catherine II, mais aussi par les tsarévitchs assassinés et les imposteurs qui prétendent les réincarner. Il les fait revivre dans leur réalité humaine, dans leurs succès et leurs échecs, mais aussi dans la manière dont ils ont habité ce rôle unique. C'est une façon nouvelle et enrichissante de raconter l'histoire de la Russie de l'Ancien Régime.

10/2022

ActuaLitté

Histoire de France

Dictionnaire de la Grande Guerre. 1914-1918

Traitant le conflit dans sa totalité, ce dictionnaire présente à travers près de 2000 entrées : les faits politiques, pactes, traités, ententes, conférences ; les événements militaires, batailles sur terre, sur mer et déjà dans le ciel ; les hommes, responsables politiques, chefs militaires, combattants ; les matériels et les armements ; les conséquences humaines, matérielles et politiques...

12/2013

ActuaLitté

Histoire de France

Dictionnaire de la Grande Guerre 1914-1918

La guerre de 1914 fut la " dernière guerre aux mesures humaines, écrivait Dorgelès, le courage valait une arme, les combattants se sont affrontés poitrine contre poitrine. Mais c'est aussi la première guerre où s'est révélée l'horreur du siècle à venir. " Je sentais l'Homme mourir en moi, écrira Drieu La Rochelle. La guerre n'est plus la guerre. Ce Dictionnaire de La Grande Guerre apporte un éclairage nouveau et exhaustif sur le long conflit qui fit entrer l'Europe dans un cycle de tragiques métamorphoses. Quatre années interminables qui s'achèvent le 11 novembre 1918, quand les bugles sonnent enfin le cessez-le-feu et que les Poilus sortent des tranchées sans plus pouvoir parler. Sont présents dans cet ouvrage les hommes, anonymes ou glorieux, les batailles, les territoires et les nombreux théâtres d'opérations, mais aussi les armements, les matériels et les conditions de vie, les notions d'engagement et de contrainte, d'insoumission, de fraternisation, de patriotisme. L'on y croise des généraux, des Poilus, des gueules cassées, des écrivains et des poètes dont un grand nombre morts au champ d'honneur, comme Alain-Fournier, Péguy ou Psichari, mais aussi des journalistes, des hommes politiques, des industriels, des scientifiques. François Cochet et Rémy Porte ont dirigé la rédaction de ce volume, qui a mobilisé les meilleurs chercheurs aussi bien en France qu'à l'étranger. La diversité des auteurs, la qualité de leur réflexion, leur longue fréquentation des archives, tout concourt à faire de ce Dictionnaire un outil indispensable pour tous ceux qui s'intéressent à l'histoire européenne du XXe siècle. Quelques mois après la mort du dernier Poilu, alors que ces événements s'effacent lentement de la mémoire collective, voici un ouvrage, unique en son genre, pour ne pas oublier. Daniel Rondeau

10/2008

ActuaLitté

Généralités

Souvenirs de la Grande Guerre, 1914-1918

Souvenirs de la Grande Guerre (1914-1918) / baronne James de Rothschild Date de l'édition originale : 1927 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

02/2021

ActuaLitté

Poésie

La fleur et le fusil. Poèmes de 1913 à 1919

Né le 10 février 1898 à Augsbourg, Bertolt Brecht commence à écrire très tôt. Son premier texte est publié en 1914. Dans ses poèmes, il décrit l'horreur et la solitude engendrées par la guerre, et semble déjà habité de grandes idées et de grandes ambitions.

05/2014

ActuaLitté

Que-sais-je ?

Les révolutions russes. 2e édition

Février 1917. L'empire de Nicolas II s'enlise dans la guerre. Les failles de l'économie russe, dont la modernisation est restée inachevée, apparaissent au grand jour. Entre l'autocratie des Romanov et une société en pleine mutation, le fossé se creuse. Quelques jours suffiront pour renverser le tsar. Sa chute ouvre la voie à une expérience démocratique unique dans l'histoire multiséculaire de la Russie, une expérience qui durera moins de huit mois : en octobre 1917, les bolcheviks, conduits par Lénine, prennent le palais d'Hiver... Ce sont ces événements de l'année 1917 que raconte avec passion Nicolas Werth. Dépassant le clivage entre les interprétations soviétique et libérale, il s'attache à analyser non pas une seule révolution politique, mais une multiplicité de révolutions sociales et nationales.

08/2021

ActuaLitté

Encyclopédies de poche

La Grande Guerre. 1914-1918

2 août 1914 : les puissances européennes entrent en guerre. Par le jeu des alliances, le conflit se transforme en affrontement mondial. La guerre est totale : non seulement militaire, mais aussi économique et culturelle. Sur les fronts, bientôt stabilisés, s'installent les tranchées, qui mèneront les armées aux extrêmes limites de l'épuisement. A l'arrière, tous participent à l'effort, armant ou nourrissant les combattants. Le 11 novembre 1918, l'armistice est signé à Rethondes. Suivent les traités qui imposent réparations aux vaincus et démantèlent les empires. La paix, certes, mais l'effroyable bilan : près de 10 millions de morts, 30 à 40 millions de blessés. Et combien d'orphelins, de veuves, de mutilés ? Stéphane Audoin-Rouzeau et Annette Becker éclairent d'un jour nouveau les années 1914-1918, qui, en ébranlant le monde, ont orienté dans un sens infiniment tragique le destin du XXe siècle.

11/2013

ActuaLitté

Histoire de France

1914-1918 la Grande Guerre

L'année où tout a basculé... Le 28 juin 1914, l'archiduc héritier du trône d'Autriche François-Ferdinand est assassiné à Sarajevo. C'est l'étincelle ! En un mois, l'Europe s'embrase, et le monde se retrouve en guerre. 1914-1918, la Grande Guerre, retrace cet épisode dramatique de notre histoire. Luttes de pouvoir, ingénierie militaire, guerre totale... Comprenez les rouages du conflit et entrez au coeur des plus grandes batailles : la Marne, Tannenberg, Verdun, ou la Somme. Grâce aux nombreuses illustrations, photographies et cartes, suivez l'avancée des troupes, vivez en détail le déroulement des opérations et découvrez les tactiques militaires ayant donné lieu aussi bien à des victoires qu'à des défaites. La ténacité des armées vaudra aussi par leurs illustres généraux, Joffre, Foch, Broussilov, Hindenburg, et chaque décision entraînera des conséquences. Ce conflit marquera également l'arrivée de nouvelles armes qui bouleverseront l'art de la guerre. Les belligérants rivaliseront d'ingéniosité. La guerre chimique fera ses débuts et les jalons des conflits à venir seront posés. Au total, presque 74 millions d'hommes seront mobilisés. Cet ouvrage offre non seulement une vision de l'intérieur, mais témoigne en mémoire des 9,5 millions de vies sacrifiées.

10/2018

ActuaLitté

Histoire de France

La Grande guerre. 1914-1918

" Longue, douloureuse, meurtrière, la Grande Guerre vit s'entre-tuer des millions d'hommes qui, la veille encore, juraient " guerre à la guerre ". Ils furent les frères d'armes de ceux qu'ils accusaient d'être des militaristes, des chauvins, des bellicistes ; et également des millions d'autres qui firent la guerre par devoir ou encore sans trop savoir pourquoi. Passé 1918, devenus anciens combattants, ni les uns ni les autres ne mirent en doute la légitimité de leur sacrifice : ils avaient combattu pour la défense de la patrie et la guerre qu'ils avaient faite était une " juste guerre ". Pourtant, durant les hostilités mêmes, un doute naquit chez quelques-uns : la poursuite de la guerre avait-elle un sens ? L'horrible massacre était-il vraiment nécessaire ? Les milieux dirigeants l'assuraient : mais étaient-ils sincères ? (...) Ce phénomène ne saurait être dissocié des origines de la guerre, du souvenir qu'elle a laissé, et nous voudrions en rendre compte autant que des causes proprement économiques ou politiques. "

10/1990

ActuaLitté

Histoire de France

A l'école de la guerre, 1914-1918

Loin du front, les écoliers nantais n'échappent pas aux échos de la Grande Guerre, bien au contraire. Dans cette ville de l'arrière, ils sont quotidiennement confrontés à la souffrance - mutilés soignés dans les hôpitaux militaires et croisés dans la rue ; réfugiés affluant des régions envahies, traumatisés ; familles endeuillées. A l'unisson de l'état d'esprit qui anime la nation tout entière, l'école attise dans les jeunes esprits la flamme du patriotisme, enseignant aux enfants la géographie des combats, leur proposant dictées, rédactions, dessins sur le thème de la guerre, les associant au comptage des morts... Leurs petites mains confectionnent charpie et chaussettes destinés aux poilus. La cour de la récréation devient le terrain des jeux guerriers. Un fonds unique de rapports produits tout au long de la guerre par les instituteurs, illustrés de travaux d'écoliers, témoigne de l'ampleur du conditionnement des jeunes élèves, éduqués dans l'amour de la patrie et fiers de participer à l'oeuvre de solidarité nationale. Auteures : Réjane Burki, Delphine Gillardin et Véronique Guitton.

01/2014

ActuaLitté

Histoire de France

Djihad 1914-1918. La France face au panislamisme

Entre 1914 et 1918, l'Allemagne de Guillaume II cherche par bien des moyens à allumer dans les Empires français et anglais une rébellion massive des musulmans. Pour ce faire, quoi de mieux que de pousser le sultan de Constantinople à proclamer la guerre sainte contre les chrétiens ? Tout est pensé, mûri, réfléchi par les stratèges allemands : le panislamisme et le djihad assureront la victoire du Reich. Ce projet, pris très au sérieux dans les ministères de Berlin, Londres et Paris, fut un échec, au sein d'un Empire ottoman en décomposition comme au Maghreb : Marocains, Tunisiens et Algériens servirent massivement dans l'armée française, et tous payèrent leur fidélité au prix du sang. Si les peuples musulmans exigèrent, durant et après la guerre, des droits nouveaux, ce fut le panarabisme, non le panislamisme, qui servit d'étendard commun. Pour rendre compte de cette réalité totalement méconnue, et pourtant passionnante, de l'histoire de la Grande Guerre et restituer tant les plans allemands que les questions qui traversèrent alors le monde musulman sous domination européenne, il fallait la connaissance intime de la période et le sens du récit de Jean-Yves Le Naour.

11/2017

ActuaLitté

Généralités

Napoléon face à la Russie. Paix et guerres...

Pour comprendre les aléas de la confrontation actuelle entre la Russie et Occident nul besoin d'analyser les notes renseignement ultra-secrètes. Il faut d'abord relire les grands auteurs russes. Léon Tolstoï reste, pour moi la meilleure clé permettant de déchiffrer les aléas de notre époque. Ce géant de la littérature mondiale a mis au centre de son chef d'oeuvre Guerre et Paix, Napoléon face à la Russie. Sa grande épopée c'est le tableau de la société russe durant les grandes guerres napoléoniennes, de 1805 à 1815. Quel titre prémonitoire pour le XXIe siècle ! Mais au-delà des mythes et des fictions romanesques, quelle a été l'authentique histoire de la confrontation de l'Occident et de la Russie en 1812 recrée par Tolstoi dans son épopée ? Au fil des pages nous allons revenir sur cette campagne de Russie,- sur les pas de Napoléon vers Moscou,- à travers les témoignages de Stendal, de Koutouzov, des maréchaux fringants et célébres... Ce sera un voyages dans le temps et et dans l'espace : Paris, Moscou, Saint-Pétersbourg. La fureur de l'Histoire, la volupté de la neige ! Le vrai héros de notre voyage dans le temps et dans l'espace, c'est l'Histoire éclairée par des archives rares ou inédites. C'est l'Histoire comme clé pour déchiffrer l'actualité...

03/2024

ActuaLitté

Histoire internationale

Comment la population du Grand Tournai a vécu la guerre de 1914-1918. 68 rapports inédits

En réponse à une requête du cardinal Mercier, 532 curés de paroisses et responsables des maisons religieuses du diocèse de Tournai (couvrant toute la province de Hainaut) ont envoyé à l'évêque de Tournai, au début de l'année 1919, un rapport circonstancié sur l'invasion et l'occupation allemandes en 1914-1918. Les soixante-huit rapports qui concernent l'entité de Tournai sont publiés pour la première fois dans cet ouvrage et toutes les informations qu'ils contiennent sont regroupées dans un copieux index. En complément, tous les monuments commémoratifs de la guerre 1914-1918 du Grand Tournai sont reproduits et les noms des victimes tant militaires que civiles figurent également dans l'index. L'ouvrage s'ouvre par de larges extraits du mémoire de maîtrise réalisé en 1971 par l'historien Thierry Bertrand (? 2011), sous titre : Attitude et mentalité du clergé paroissial en Tournaisis, 1914-1918. Ce travail fournit le regard critique indispensable pour décrypter les rapports des responsables des paroisses et des maisons religieuses.

10/2014

ActuaLitté

Cuisine

A la table de Nicolas Le Floch

Les célèbres enquêtes de Nicolas Le Floch nous plongent dans l'univers criminel et gourmand du paris du XVIIIe siècle, de la table M de Noblecourt aux tavernes des bas-fonds. Le commissaire au Châtelet se repaît tout autant d'un souper fricté parTribord que d'un dîner mitonné par Awa ou Catherine. A sa table, c'est toute la cuisine des Lumières qui éveille les sens avec les délicieuses canettes de Semacgus, le sensuel puits d'amour de la Salin ou les redoutables poulardes de la Paulet. Marion Godfroy - spécialiste du XVIIIe siècle, passionnée de gastronomie et fidèle lectrice de Jean-François Parot - vous livre ici les petits secrets de ces recettes. Secrets de fabrication bien sûr, mais aussi secrets d'Histoire. Saviez-vous ainsi que La Borde faisait preuve d'une incroyable modernité en utilisant du beurre, que Mme Sanson utilisait le sucre roux pour ses confitures comme Nostradamus... ? Avec délice et curiosité, goûtez à votre tour à la cuisine de Nicolas et à celle du Paris Gourmet de cette époque.

10/2015

ActuaLitté

Histoire de l'art

"Et les grands cris de l'Est". Robert Delaunay à Berlin, 1912-1914

Sur quoi repose le succès d'un artiste en dehors de son pays d'origine ? Les attentes d'un public étranger orientent-elles la réception d'une oeuvre, parfois au prix d'une déformation de son sens initial ? Le transfert d'une production artistique d'un contexte culturel à un autre peut donner lieu à un "malentendu productif" conduisant les récepteurs à apprécier celle-ci à l'aune de leurs propres références nationales, a priori loin des intentions revendiquées par son auteur. Ce phénomène expliquerait-il le succès de Robert Delaunay en Allemagne avant la Première guerre mondiale ? Le peintre orphiste y est l'un des artistes les plus célèbres, dans un contexte pourtant marqué par de fortes tensions nationales. Au cours de l'année 1913, avec l'aide du galeriste et directeur de revue Herwarth Walden, il expose et voyage à deux reprises à Berlin. Ses oeuvres y suscitent l'engouement particulier de trois artistes expressionnistes aux trajectoires très différentes, et dont les travaux semblent à première vue très éloignés de ceux du Français : les peintres Ludwig Meidner et Lyonel Feininger, et l'architecte Bruno Taut. Dans un premier temps, ce livre retrace en détail ce qui a été alors lu et vu de l'oeuvre de Delaunay dans la capitale allemande. Ensuite, à travers l'étude de la réception critique de Delaunay par trois figures majeures de la scène artistique berlinoise, il revient sur l'idée que le contexte culturel national entraverait la compréhension d'une oeuvre ou en influencerait systématiquement les interprétations. En dépassant ainsi les préjugés nationaux qui nourrissent les débats esthétiques au début du XXe siècle et continuent d'imprégner aujourd'hui encore l'histoire de l'art, Sophie Goetzmann nous révèle les liens inattendus qui unissent, par-delà les frontières, les avant-gardes désignées sous les termes d'orphisme et d'expressionnisme.

06/2021

ActuaLitté

Théâtre

1917 ou l'Abdication

Et si, dans la balance de l'Histoire, l'abdication du tsar Nicolas H en mars 1917 avait davantage pesé que la révolution d'octobre ? C'est la certitude acquise par Alain Didier qui, au travers d'une passionnante tragédie, démonte l'engrenage dans lequel, à la faveur de la guerre de 1914-1918, le dernier empereur orthodoxe de Russie se trouva pris, et avec lui tout son peuple, à la veille d'une épouvantable guerre civile. Le sort de l'empire était-il scellé à cause de l'hémophilie du tsarévitch ? Quelle part doit-on attribuer au sulfureux Raspoutine dans le discrédit du tsar ? Nicolas II céda-t-il à une émeute populaire, ou fut-il trahi par certains de ses généraux ? C'est à toutes ces questions que répond ce texte haletant, intensément théâtral, d'une surprenante actualité à l'heure où, cent ans après, toutes les cartes du destin de la Russie et du monde viennent d'être redistribuées.

07/2017

ActuaLitté

Russie

L'antisémitisme dans la Révolution russe (1917-1920)

L'historiographie méconnaît souvent les nombreux pogroms perpétrés pendant la Révolution russe. Si la plupart sont dus aux armées Blanches, les Rouges en prirent aussi leur part, même s'ils furent beaucoup moins nombreux. Face à cela les dirigeants communistes, souvent d'origine juive eux-mêmes, eurent du mal à définir une position claire dans la crainte qu'ils avaient de se couper d'une partie de leur base qui confondait spontanément les Juifs et "l'ennemi bourgeois" . C'est finalement sous la pression des partis socialistes juifs plus ou moins sionistes, comme le Poale Zion (Travailleurs de Sion), que la barre sera redressée et que le pouvoir bolchévique combattra résolument ces tendances délétères. C'est tout cela que, dans son ouvrage pionnier, rédigé à partir des archives russes et ukrainiennes, le jeune historien Brendan McGeever expose donc dans le détail. Par ce biais, son ouvrage offre aussi un angle d'étude intéressant sur le fonctionnement au quotidien de l'Etat soviétique

05/2022

ActuaLitté

Histoire de France

Héros et mutins. Les soldats russe sur le sol français, 1916-1918

De l'armement contre des hommes, telle est l'origine de l'échange qui conduit le tsar de Russie Nicolas II à envoyer en 1916 un corps expéditionnaire de 40 000 hommes combattre sur les fronts français et d'Orient. Début 1917, l'annonce de la Révolution de février puis l'abdication de l'empereur en mars imposent aux soldats russes un choix difficile alors qu'ils subissent de terribles pertes et l'échec de l'offensive Nivelle et que des mutineries éclatent dans de nombreuses unités françaises. Retirés du front en mai, regroupés au camp de La Courtine, dans la Creuse, les 16 000 hommes des 1m et 3e brigades refusent dans leur majorité de remonter en ligne tandis que beaucoup exigent un retour immédiat en Russie. En septembre 1917, c'est par les armes qu'une poignée d'irréductibles est obligée de se soumettre. Les plus durs internés, les autres ayant à choisir entre des compagnies de travailleurs libres en France ou de travailleurs " obligés " en Afrique du Nord, seuls quelques milliers de Russes acceptent de continuer le combat au sein d'une Légion de l'Honneur russe. Les derniers d'entre eux seront rapatriés à la fin de 1920. L'aventure méconnue de ces héros et mutins, plongés au coeur d'une histoire bouleversée et qui laissèrent sur les sols français et de Macédoine près de 14 000 des leurs, tués, blessés ou disparus, a pu être enfin restituée grâce à de nombreux documents inédits, issus des archives officielles et privées.

05/2010

ActuaLitté

Sociologie

Les jeunes et dieu face a la revolution des jeunes

Que peut être une éducation de la foi aujourd'hui ? Que doit être l'éducateur chrétien pour pouvoir répondre aux exigences de cette éducation ? Comment l'adulte croyant peut-il atteindre une jeunesse en pleine évolution, et apparemment chaque jour plus éloignée du monde auquel lui-même appartient ? Questions brûlantes parmi beaucoup d'autres qui se trouvent posées à l'Eglise d'aujourd'hui. Questions révélatrices des problèmes actuels du catholicisme. C'est pourquoi les chrétiens s'affrontent parfois si durement à leur sujet. Les réponses apportées mettent en effet en cause toute une sensibilité imprégnant la façon de penser Dieu et son Eglise. Elles comportent également une vision de l'avenir : Que sera l'univers de demain ? A quels problèmes fondamentaux les jeunes d'aujourd'hui devront-ils alors faire face ? Le cahier de Verse et Controverse que nous présentons ici constitue un effort de réflexion sur tous ces sujets. Les deux auteurs, un prêtre et un laïc, appartiennent à des groupes que l'on est habitué à voir s'opposer. Pourtant le lecteur percevra rapidement quel souci commun les conduit. Il sera frappé de la convergence de nombre de leurs analyses. Il découvrira la façon dont la foi peut conduire deux croyants à dépasser des oppositions réelles pour en arriver à une méditation commune sur le mystère de Dieu et de son Christ. Il n'y a plus alors le défenseur d'une tradition pédagogique ou le promoteur d'une action éducative révolutionnaire ainsi que trop de personnes les classent. Il y a simplement deux chrétiens qui, à la lumière de leur foi, acceptent de chercher ensemble et de se communiquer leur expérience réciproque. Un tel débat ne saurait se clore. Il doit au contraire se poursuivre et s'amplifier, ainsi que le souhaitent les deux interlocuteurs au cours de leur échange. A une époque où tant de gens ne pensent qu'en termes de partis, d'oppositions, d'exclusives, le dialogue engagé ici montre ce que peut être, ce que devrait être une réflexion sur les tâches de l'Eglise, réflexion où tous les chrétiens en recherche se trouveraient engagés.

04/1997

ActuaLitté

Sciences historiques

La mort en face. Histoire du duel de la Révolution à nos jours

L'âge d'or du duel en France. ce n'est pas l'époque des mignons de Henri III. mas le siècle du fer et de la vapeur : après la Révolution française, plus besoin d'être noble pour porter l'épée et provoquer un adversaire aussi bien né que vous. Tout le monde peut se battre, et tout le monde se bat, à l'épée, au sabre, au pistolet ; à propos d'un pied écrasé par mégarde, d'un article de journal venimeux, ou d'un adultère trop voyant. A force de se battre, on commence à se tuer moins : le dernier duel meurtrier connu a lieu en 1903. Et puis, après la boucherie de la Grande Guerre, le duel s'étiole, même si quelques combats ont encore lieu jusque dans les années 50 - notamment celui qui opposa Defferre à Ribière, indigné d'avoir été traité d'" abruti ". Fourmillant de récits de rencontres légendaires ou méconnues, ce beau livre raconte la saga du duel sous toutes ses formes, sociales, littéraires ou politiques.

04/2008

ActuaLitté

Critique littéraire

A bon entendeur, salut ! Face à la perversion, le retour de Don Quichotte

Le premier Don Quichotte avait pour charge de soigner les traumas de guerre et d'esclavage de son père, Miguel de Cervantès. En écrivant Don Quichotte, pour combattre la mélancolie (Stock, 2008), et en adoptant pour titre de son livre une expression de Cervantès lui-même, Françoise Davoine livrait une telle lecture du deuxième bestseller mondial après la bible, et l'adressait aussi aux analystes comme un manuel de psychanalyse. La relation de parole entre l'écuyer Sancho Pança et son maître incluait une analyse très fine du transfert dans l'exploration des traumas. Quelque dix ans plus tard, à la veille de sa propre mort, Cervantès repart à l'attaque, cette fois-ci confronté à la perversion. Le prétexte lui en était donné par le plagiat anonyme qui dépossédait Don Quichotte et son auteur de la gloire européenne, et même mondiale, des aventures de l'ingénieux hidalgo. Françoise Davoine et Jean-Max Gaudillière emboîtent le pas à ce nouveau voyage extraordinaire où la perversion s'étale au grand jour, organisatrice d'un lien social, voire d'un mode de gouvernement. Cervantès va montrer comment la folie s'y confronte : là encore, le champ d'action et d'amour défini à l'attention des lecteurs est déployé dans toute la spécificité de cette recherche. Sa fiabilité repose essentiellement sur la force de la parole donnée, qui doit traverser les petits et les gros mensonges, la séduction et le secret, les abus et les crimes, pour authentifier ce que la folie montre, faute d'une altérité suffisamment fiable pour recevoir ce témoignage. Françoise Davoine et Jean-Max Gaudillière ont pris le parti de suivre ce nouvel et dernier périple du héros de Cervantès : en effet, ce dernier a décidé de le faire mourir à la fin de la fiction, pour éviter à son héros de nouvelles contrefaçons éditoriales. Entretemps, il nous enseigne l'efficacité de sa démarche, toute folle qu'elle apparaît. Les « bons entendeurs » que sont les psychanalystes sauront reconnaître l'expérience acquise au contact des traumas de guerre, et recevoir aussi quelques histoires cliniques qui illustrent la démarche quichottesque, soutenue finalement par un seul principe : trauma, folie, même combat. La perversion, qui s'entend ici de tout lien social, massif ou limité à l'espace singulier, réduisant le sujet à l'état d'un objet, constitue la véritable cible du roman, comme aussi de ce deuxième livre consacré aux combats victorieux du héros cervantin. À bon entendeur, salut !

04/2013

ActuaLitté

Histoire de France

Au coeur de la Révolution. Mes années de Russie 1917-1927

Russie, 1917-1927 Limougeaud, mais peu attiré par le métier de céramiste, Marcel Body devient apprenti typographe. Le mort de Tolstoï en 1910 lui fait découvrir l’oeuvre de celui-ci, et il se met à apprendre le russe. Cette connaissance du russe lui vaudra, une fois sous les drapeaux, de faire partie d’un groupe d’instructeurs qui arrive en Russie après la révolution de février 1917. A la fin de l’été de 1918, avec trois autres membres de la Mission militaire française qui, comme lui, désapprouvent l’intervention armée de la France contre le pouvoir soviétique, il rejoint le tout petit groupe communiste français créé à l’instigation des bolcheviks pour mener une action de propagande en faveur du nouveau régime. Plongé dans l’action au cours des années de révolution qui suivent, il n’en garde pas moins un regard critique sur les événements et, surtout, sur les conditions de vie de la population. De la guerre civile, notamment en Ukraine, à la préparation et à la tenue des premiers congrès de l’Internationale communiste, puis à son affectation au ministère des Affaires étrangères, il rend compte de façon vivante et personnelle. En 1921, quoique déjà critique vis-à-vis de l’évolution du régime, il est nommé à la représentation soviétique à Oslo. A partir de 1922, il y travaillera aux côtés d’Alexandra Kollontaï, militante de premier plan de l’opposition interne du Parti communiste soviétique qui s’était manifestée au cours des années précédentes. En 1927, Marcel Body rentra en France et fut exclu du Parti communiste français en 1928. Il trouva alors d’autres cadres pour poursuivre son combat pour l’émancipation collective. Rédigé en 1980 avec le concours d’Alexandre Skirda, ce livre de Marcel Body est un témoignage de premier ordre sur les événements et la vie quotidienne de la période révolutionnaire et sur l’évolution du régime.

11/2015

ActuaLitté

Littérature française

Un destin russe

1914. Dans un petit village des Vosges, Hadaux-la-Tour, Marie, toute jeune mariée, vit seule dans la compagnie consolante de sa vieille voisine Solange. Mais le village, sur lequel règne l'autorité de l'instituteur Philippe Médard, est bientôt le théâtre d'un crime inexplicable qui bouleverse la petite communauté rurale et superstitieuse. Pendant ce temps en Russie, le jeune Alexeï Simonovitch Krylov, fils d'un riche propriétaire de soieries, doit interrompre ses études pour faire son service militaire dans la cavalerie. En 1915, le Tsar et Paul Doumer décident l'envoi d'un corps expéditionnaire russe en France. Alexeï s'engage alors comme officier infirmier dans la cavalerie et part sur le front de l'Est, au grand regret de sa mère Irina. Leur correspondance ponctue le récit. Lorsque le tsar abdique au printemps 1917, les soldats russes confinés dans le camp de La Courtine se mutinent, renvoient leurs officiers et autogèrent le camp pendant deux mois. L'armée française finit par mater la mutinerie peu avant la Révolution d'octobre. Les soldats russes, considérés comme dangereux en France et indésirables en Russie, sont dispersés dans les campagnes de l'Est de la France, pour suppléer au manque de bras dans les champs et à la voierie. C'est ainsi qu'Alexeï se retrouve à Hadaux-la-Tour, où il va connaître Marie. De la Russie tsariste à la campagne vosgienne, des grandes batailles aux tragédies personnelles, Un destin russe met en scène deux jeunes gens que tout oppose. Inspiré de la vie de l'arrièregrand- père de l'auteur et traversé par le récit d'un grand amour filial, ce premier roman palpitant et généreux entremêle petite et grande histoire.

05/2016

ActuaLitté

Europe

Les dangers mortels de la Révolution russe

Les "dangers mortels" de la Révolution russe Date de l'édition originale : 1917 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

02/2023

ActuaLitté

Histoire de France

Martigues 1914-1918. La Grande Guerre à hauteur d'homme

Martigues, 1914 : une ville du Midi de 7 500 habitants. Parmi eux, 1 200 hommes mobilisés dont près de 200 ne regagnèrent pas leur foyer. Jeunes pour la plupart, partis pour une guerre qu'ils croyaient courte, tous furent confrontés à un conflit d'une violence inimaginable... Qui étaient ces pêcheurs, paysans, employés ou ouvriers mobilisés ? Comment la population de Martigues a-t-elle vécu leur absence ? Quelles furent pour la ville les conséquences d'une guerre qui devait être " la der des ders " ? A partir des archives communales et départementales, des sources du ministère de la Défense et de fonds privées, ce livre retrace, au ras du sol, c'est-à-dire des tranchées ou du pont des navires sur lesquels ils servaient, la guerre telle qu'elle fut vécue par les mobilisés martégaux.

10/2018

ActuaLitté

Histoire littéraire

Face à Marioupol. Deux siècles de littérature russe

Les Russes qui ont attaqué l'Ukraine le 24 février 2022. Ils ont bombardé et détruit le théâtre de Marioupol, alors que deux messages, visibles du ciel, indiquaient que des enfants y avaient trouvé refuge. Des sources évoquent près de six cents tués : pour la plupart des femmes et des enfants. Quelques mois plus tard, les Russes ont dressé, autour des ruines du théâtre, des bâches sur lesquelles figuraient des portraits. Dont ceux, présents dans tant de salles d'écoles et de bibliothèques, de trois célèbres auteurs russophones du XIXe siècle : Pouchkine, Tolstoï et Gogol, et celui du poète ukrainien Taras Chevtchenko. Certains Ukrainiens ont écrit y voir là "toute l'essence de la culture russe" . Pourtant, la littérature russe - une partie d'entre elle, au moins - nous aide à comprendre, un tant soit peu, ce qu'est cette Russie qui, aujourd'hui, tue, viole et détruit en Ukraine. Et qui le fait, non pas à cause de cette littérature, mais malgré elle.

03/2024

ActuaLitté

Histoire internationale

De la Grande Guerre au Grand-Liban (1914-1920)

Le Centenaire de la Grande Guerre est l'occasion, pour le Liban, de faire un retour sur un chapitre douloureux mais fondateur de son histoire moderne. Ce pays a gardé, gravé dans sa mémoire et dans sa chair, le traumatisme de la Grande Famine qui a décimé près du tiers de la population du Mont-Liban (1915-18). Toute la région était alors sous domination ottomane. Des nationalistes libanais et syriens ont subi la répression militaire, nombre d'entre eux ont été condamnés à mort et exécutés. L'Etat du Grand-Liban, proclamé le 1er septembre 1920 à la Résidence des Pins par le général Gouraud, est né des convulsions de la Grande Guerre ; les souffrances endurées sont restées largement ignorées. Cent ans plus tard, les Etats du Moyen-Orient issus du démembrement de l'Empire ottoman sur la base des accords Sykes-Picot (1916) sont en proie à des déchirements qui menacent leurs structures sociales, géographiques et constitutionnelles. La région est-elle entrée dans l'ère post Sykes-Picot ? Cet ouvrage collectif répond au besoin d'un travail de mémoire jamais mené à ce jour et à la nécessité d'une prospective politique basée sur une analyse historique étayée.

09/2015

ActuaLitté

Histoire internationale

Mémoires

Grandeur et décadence. Ainsi pourrait-on résumer, de manière certes quelque peu lapidaire et réductrice, la vie du prince Félix Félixovitch Youssoupoff (1887-1967), mondialement célèbre pour avoir été l'assassin de Raspoutine - faux mystique manipulateur et débauché sous l'emprise duquel était tombée la tsarine Alexandra Féodorovna, régente de l'Empire de Russie pendant la présence au front, lors de la Première Guerre mondiale, de son époux le tsar Nicolas II. Pour ainsi dire né aux marches du trône, puisqu'il voit le jour dans l'une des familles les plus prestigieuses de la haute noblesse russe, Félix Félixovitch Youssoupoff s'en rapproche encore par son mariage avec la grande-duchesse Irina Alexandrovna, nièce de Nicolas II. Plus qu'un autre, l'auteur de ces Mémoires a connu dans la Russie prérévolutionnaire une vie d'un faste inouï et authentiquement princier, avant d'incarner, dans l'exil, l'une des figures les plus emblématiques de l'émigration russe blanche. Aussi bien, sa relation du train de vie d'un grand seigneur russe avant 1917 prend-elle des accents, involontaires d'ailleurs, d'histoire des mentalités, tandis que la description de la vie errante postérieure à la révolution démontre, de manière presque inconsciente, la force d'âme et l'amour de la vie du prince Youssoupoff, formant avec son épouse un couple indestructible qu'aucune épreuve ne pourra séparer. Loin d'égrener des clichés cent fois ressassés, l'ouvrage déroule avec humour et pudeur le fil d'une vie promise aux plus hautes destinées, et qui trouvera son accomplissement dans le dépassement de soi face à des circonstances tragiques.

03/2005

ActuaLitté

Russie

Russie 2018, De Pierre le Grand à... Deschamps

Le livre retrace les péripéties du " ballon blanc et noir " à l'occasion du Mondial de Russie de 2018, dans le pays des tsars sanglants et sans pitié dont la grandeur captive encore, séduit et effraie à la fois. Pour comprendre la Russie d'aujourd'hui, il faut faire une recherche sur ses racines - et quelle connaissance pourrait contourner Pierre I, le bâtisseur de l'empire infini ? Le livre prend ses sources dans une légende extérieure au football, pour finir un jour de juillet 2018, lorsque Didier Deschamps se mettait sur le front les lauriers du trophée intercontinental. Cela peut sembler bizarre, mais le football a été le prétexte idéal, le goût de la madeleine proustienne capable de faire revivre le passé historique, culturel et politique d'un empire jamais endormi, sans lequel l'invasion récente sur l'Ukraine serait incompréhensible...

06/2022