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Le capital. Livre 2

Extraits

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12 ans et +

Livre du savoir Tome 2 : Les premiers livres

Dans la continuité du tome I, La dernière plume, ce récit baigne dans un pur climat fantastique qui emprunte tout autant à l'antiquité, au Moyen Age, à la mythologie, mais surtout à la mystique pour créer son propre univers magique. Si la raison accepte la part invraisemblable, c'est parce que le frisson des émotions et l'excitation des aventures prennent le dessus. Nous voilà hapés par ces vieillards à barbe blanche, hypnotisés par ces anges aux longues ailes, fascinés par les pouvoirs que confèrent le dédoublement, et quand la porte de la Grande Bibliothèque se referme, un effroi nous emplit car nous avons entendu le grincement de sa lourde porte et que nous savons qu'elle ne s'ouvrira plus. Nous appartenons à ce monde en suivant ces adolescents dans ce voyage initiatique, comme eux, nous allons au bout de nous-mêmes, ravis et effrayés tout à la fois, ayant le bonheur de voyager dans ce monde imaginaire, ce monde des rêves, infiniment plus grand que celui perçu par nos yeux.

01/2015

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Littérature Allemande

La capitale

Tout commence dans le quartier Sainte-Catherine à Bruxelles, près de l'hôtel Atlas, où un cochon en liberté fait soudain irruption, bousculant tout sur son passage. Un échantillon d'Européens d'aujourd'hui, dont les destins vont se croiser par la suite, sont les témoins médusés de cet événement incongru. La Capitale, Prix du Livre allemand 2017, est d'abord une satire savoureuse des travers des institutions européennes. Robert Menasse atteint à des sommets de drôlerie comparables à ceux de "l'Action parallèle" dans L'Homme sans qualités de Musil quand il dépeint une fonctionnaire européenne mortellement humiliée par sa mutation à la Direction générale de la culture - secteur sans avenir ni prestige -, quand il décrit la manière dont la presse transforme l'affaire du cochon en feuilleton à scandale, ou quand il évoque les vains préparatifs d'un événement culturel censé restaurer dans l'opinion le prestige de la Commission européenne. Mais ce grand livre où se mêlent roman d'espionnage et roman policier, à travers l'hallucinante enquête sur un mystérieux assassinat, est aussi un acte de foi dans la légitimité politique de l'Europe et un rappel énergique de ce qui la fonde. Les deux derniers mots du livre prennent alors tout leur sens : "à suivre".

01/2019

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Economie

Le capital, suite et fins

Récit de voyage, enquête, portraits, choses vues et entendues, pamphlet, programme, exploration de l'avenir : Le capital, suite et fin, est tout cela en même temps. Le capitalisme triomphant aux Etats-Unis, balbutiant en Russie, en Pologne ou en Chine, dévoyé au Brésil ou en Egypte, essoufflé en France, en Allemagne et aux Pays-Bas, rejeté au Soudan ou en Inde, tel est le héros de cette saga contemporaine : une réponse ironique au Capital de Marx. Le capitalisme saura-t-il défaire ses ennemis, succombera-t-il à ses crises intérieures, saura-t-il vaincre les fondamentalismes ? Comment se concilie-t-il avec les cultures, les religions : les détruit-il, les remplace-t-il ? Fonde-t-il ici la démocratie, mais n'en appelle-t-il pas ailleurs à l'autoritarisme, voire au despotisme ? Comment crée-t-il de la liberté, mais aussi de la pauvreté et du chômage ? Comment enfin, aujourd'hui, un projet libéral devrait-il répondre à l'attente des Français ? Telles sont quelques-unes des interrogations auxquelles Guy Sorman répond dans ce livre à sa manière : vivante, informée, concrète.

10/1995

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Histoire de la pensée économiq

Le capital au XXIe siècle

La répartition des richesses est l'une des questions les plus vives et les plus débattues aujourd'hui. Mais que sait-on vraiment de son évolution sur le long terme ? La dynamique de l'accumulation du capital engendre-t-elle inévitablement sa concentration toujours plus forte entre quelques mains, comme l'a pensé Marx au XIXe siècle ? Ou bien les forces équilibrantes de la croissance, de la concurrence et du progrès technique conduisent-elles spontanément à une réduction des inégalités et à une harmonieuse stabilisation dans les phases avancées du développement, comme l'a cru Kuznets au XXe siècle ? Ce livre tente de répondre à ces questions à partir de données historiques et comparatives beaucoup plus étendues que toutes les études antérieures. Parcourant trois siècles et plus de vingt pays, il offre une perspective inédite sur les tendances à l'oeuvre et un cadre théorique renouvelé pour en comprendre les mécanismes. Dès lors que le taux de rendement du capital dépasse durablement le taux de croissance de la production et du revenu - ce qui était le cas jusqu'au XIXe siècle, et risque fort de redevenir la norme au XXIe siècle -, alors le capitalisme produit mécaniquement des inégalités insoutenables, arbitraires, remettant radicalement en cause les valeurs méritocratiques sur lesquelles se fondent nos sociétés démocratiques. Des moyens existent pour inverser cette tendance, tout en repoussant les replis nationalistes ou totalitaires, mais la voie est étroite.

08/2013

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BD tout public

Le fric c'est capital

Série de dessins originaux et d'illustrations publiés dans Marianne entre autres sur le thème de la crise, de la finance, des banquiers et des politiques... Une vision caustique et tellement vraie des problèmes de notre société actuelle, traitée avec maestria par la plume de Tignous.

02/2010

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Actualité et médias

Le capital du coeur. Essai

A vingt ans, Alexandre Lederman participait à la grande aventure des Restos du Coeur. La France redécouvrait la solidarité. Treize ans plus tard, notre pays compte sept millions d'exclus... Peut-on trouver de nouveaux remèdes ? Aujourd'hui, on n'a plus le droit... Ce slogan a fait le tour de la France, il y a treize ans... Il est devenu la chanson des laissés-pour-compte et le signe de ralliement de ceux qui voulaient les aider. Alexandre Lederman a été l'un des premiers. Mais il a désormais conscience que l'aide humanitaire et sociale d'urgence n'est qu'un pansement, un manteau que l'on endosse les jours de grands froids, et qui disparaît quand revient le printemps. Aujourd'hui, il veut réfléchir à des solutions plus durables, plus globales, qui concernent non seulement les exclus, mais aussi et surtout les citoyens et tous les acteurs de notre économie. Car c'est la seule façon de progresser et de faire reculer la misère, l'inadaptation, l'ignorance. Son livre est celui d'un homme qui connaît les affaires, les lois de l'entreprise, de la finance, de l'économie, et cela de façon aussi bien théorique - l'auteur est un lecteur vorace de philosophie et d'essais, passionné par les sciences humaines - qu'empirique. C'est surtout le livre d'un homme engagé dans son époque, concerné et plein d'idéal. C'est peut-être là sa force : croire en une utopie qui n'en est peut-être pas une, croire à la cohésion et à la force d'une Europe qui pourrait devenir une "cité des hommes" avec, pour seul objectif, le bien commun de tous.

04/1999

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Vie chrétienne

Capitale

C'est en romancier au grand style que Jonathan Siksou se fait le promeneur de Paris égrenant les lieux et les siècles. Qu'est-ce que voir la sédimentation des âges à travers la destruction et la reconstruction des paysages ? Qu'est-ce que revoir le temps qui passe ? Un événement de la rentrée littéraire. Rues et statues, défilés et bals, décrets et émeutes, crues et incendies, saints et assassins : c'est la France qui, à travers Paris, comme en un kaléidoscope, se diffracte, se déroule et se donne tout en sourires et en larmes dans son éternel quotidien. Qu'est-ce une ville, sinon un livre tissé de livres s'ouvrant devant qui désire déchiffrer les époques, les lieux, les êtres qui l'ont façonnée ? Qu'est-ce voir vivre et mourir une ville, la concevoir siècle après siècle à se construire et à se détruire jusqu'à ne plus savoir ce qu'elle est ? Qu'est-ce le souvenir d'une ville s'il ne fait pas mémoire ? La mémoire d'une ville, si elle ne fait pas histoire ? L'histoire d'une ville si elle ne se fait pas récit ? Qu'est-ce revoir le temps qui passe et qui efface inexorablement la pierre, l'événement, le visage qui ne subsistent plus alors que dans l'écrit ? C'est en écrivain au grand style, précis et libre, ascétique et inspiré, que Jonathan Siksou se fait l'ultime promeneur de Paris, entraînant à sa suite les chroniqueurs qui l'ont précédé et qui ont tout raconté, tout chanté, tout filmé de la ville-lumière. Sauf comment, dans la Capitale, notre passé devient notre présent au point de réduire l'avenir à une nostalgie. Une démonstration littéraire à hauteur de la plus fascinante des villes du monde. Une métaphysique de l'urbanité. Un roman. Le nôtre.

08/2021

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Philosophie

La substance du capital

Perte de sens du travail, chômage de masse, ravages psychologiques, catastrophes écologiques, révoltes sociales : les jours de cette société semblent comptés, et dans de nombreuses régions du monde elle ne fonctionne plus du tout. Tout en remontant aux racines de cette crise qui pourrait bien être la dernière, Robert Kurz souligne les impasses de la pensée de gauche comme du marxisme traditionnel, qui prétendent offrir une alternative au système économique dominant. Tous deux se sont construits sur une opposition entre travail et capital, valorisant une classe ouvrière productrice de richesses dont il faudrait revendiquer une meilleure distribution. Kurz avance pour sa part une thèse provocatrice : le travail n'est rien d'autre que la substance du capital, et ce qu'il fabrique ne ressemble en rien à des richesses. Ne pas questionner le travail, c'est donc s'interdire de remettre en question l'organisation de la production, ses modalités techniques, ses conséquences sociales et environnementales. C'est oublier aussi que les luttes populaires n'ont jamais été aussi fortes que lorsqu'elles ont refusé la condition ouvrière. En omettant de critiquer le travail, la gauche et le marxisme traditionnel ont finalement adopté le point de vue du capital. A partir d'une réactualisation de certaines intuitions de Marx, Robert Kurz propose au contraire une théorie critique de la société actuelle qui ne s'arrête pas à son écorce, mais l'attaque dans son noyau substantiel.

09/2019

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Economie

Les lois du capital

L'économie sidère. Pour le citoyen ou la citoyenne, elle est réputée si dangereuse qu'on n'ose l'affronter. Seuls des experts auto-désignés prétendent pouvoir le faire. Ils tiennent le public à distance en créant une infranchissable barrière de sécurité derrière un jargon compris d'eux seuls. C'est pourquoi trop souvent l'économie ne se discute pas, elle s'impose à nous. C'est ce que veulent nous faire croire la plupart des "voix" dans les médias et chez les responsables politiques. Mettant en lumière les concepts fondamentaux de l'économie : le travail, l'emploi, le salaire, le capital, le profit, le marché, Les Lois du capital prouve que l'on peut parfaitement débattre de ce sujet qui gouverne nos existences quotidiennes. Serait-il temps de tout changer ? Le système néolibéral qui régit notre société arriverait-il à son terme ? Serions-nous à un moment critique où, comme l'écrivait Gramsci : "le vieux monde se meurt, le nouveau tarde à apparaître" ?

10/2019

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Littérature française

La Fleur du Capital

Un premier roman phénomène qui nous plonge dans l'expérience d'une ville, Pattaya en Thaïlande, la capitale mondiale du sexe tarifé. Cinq parties, cinq personnages, cinq voix différentes qui incarnent Pattaya.

01/2015

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Notions

La religion du capital

La religion du Capital - cette farce savoureuse de l'auteur du Droit à la paresse - publiée pour la première fois en 1887, est le compte-rendu d'un congrès international tenu à Londres, au cours duquel les représentants les plus éminents de la bourgeoisie rédigent les Actes d'une nouvelle religion pour ce Chaos qu'ils ont créé et ont décidé d'appeler 'Monde civilisé'. Une nouvelle religion, susceptible non seulement "d'arrêter le dangereux envahissement des idées socialistes" , mais capable de donner à ce monde chaotique et capitalistique une forme au moins apparemment définitive. Il faut bel et bien au Capital un Dieu propre, qui "amuse l'imagination de la bête populaire" . Auteur du Droit à la paresse, Paul Lafargue (1842-1911), le "dernier des bakounistes" , était un homme "qu'il n'était pas possible de ne pas trouver sympathique" au dire de son beau-père, Karl Marx.

05/2022

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Philosophie

Théologie du capital

Rien de plus mondain, rien de plus séculier, rien de plus rationnel, en apparence, que l'économie. Et s'il ne s'agissait que d'une illusion ? Repoussant les évidences faciles d'une vulgate économique devenue idéologie par défaut du contemporain, Edouard Jourdain propose dans Théologie du capital de dresser la carte des liens qui existent entre les concepts économiques les mieux établis et leur origine dans les grands débats théologiques ayant émaillé l'histoire de l'Occident. De la propriété à la comptabilité, de l'idée de marché à celle d'intérêt, de la conception qu'on s'y fait du travail aux rêves cybernétiques qui en hantent les derniers développements, tous les concepts de l'économie moderne sont des concepts théologiques sécularisés. A l'heure où le modèle capitaliste chancelle sur ses bases, comprendre d'où proviennent les modèles intellectuels qui lui ont donné naissance représente une tâche plus urgente que jamais – car c'est de cette compréhension que pourra naître, peut-être, notre émancipation véritable par rapport à eux. C'est cette tâche que Théologie du capital affronte, en un geste aussi panoramique qu'érudit.

01/2021

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Sciences politiques

Guerres et capital

"Nous sommes en guerre", déclare au soir du 13 novembre 2015 le président de la République. Mais quelle est cette guerre injuste ? La contre-histoire du capitalisme que nous proposons ici vise à recouvrer la réalité des guerres qui nous sont infligées et déniées : non pas la guerre idéale des philosophes, mais les guerres de classe, dé race, de sexe ou de genre, les guerres de civilisation et environnementales, les guerres de subjectivité qui font rage au sein des populations et constituent le moteur secret de la gouvernementalité libérale. En nommant l'ennemi (le réfugié, le migrant, le musulman), les nouveaux fascismes établissent leur hégémonie sur les processus de subjectivation politique réduits à des mots d'ordre racistes, sexistes, xénophobes qui attisent la guerre entre les pauvres et entretiennent la philosophie de guerre totale du néolibéralisme. Parce que la guerre et le fascisme sont le refoulé de la pensée post-68, nous n'avons pas seulement lu l'histoire du capital à travers la guerre, mais également cette dernière à travers l'étrange révolution de 68 qui seule rend possible le passage de la guerre aux guerres - et de celles-ci à la construction de nouvelles machines de guerre contre la financiarisation contemporaine. Il s'agit donc de pousser la "pensée 68" au-delà de ses propres limites et de la réorienter vers une nouvelle pragmatique des luttes, en prise sur la guerre continuée du Capital. C'est dire qu'il s'agit surtout de nous préparer à ces batailles que nous devons mener si nous ne voulons pas être toujours vaincus.

10/2016

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Economie

Capital et idéologie

Toutes les sociétés humaines ont besoin de justifier leurs inégalités : il faut leur trouver des raisons, faute de quoi c'est l'ensemble de l'édifice politique et social qui menace de s'effondrer. Les idéologies du passé, si on les étudie de près, ne sont à cet égard pas toujours plus folles que celles du présent. C'est en montrant la multiplicité des trajectoires et des bifurcations possibles que l'on peut interroger les fondements de nos propres institutions et envisager les conditions de leur transformation. A partir de données comparatives d'une ampleur et d'une profondeur inédites, ce livre retrace dans une perspective tout à la fois économique, sociale, intellectuelle et politique l'histoire et le devenir des régimes inégalitaires, depuis les sociétés tri-fonctionnelles et esclavagistes anciennes jusqu'aux sociétés post-coloniales et hypercapitalistes modernes, en passant par les sociétés propriétaristes, coloniales, communistes et sociales-démocrates. A l'encontre du récit hyperinégalitaire qui s'est imposé depuis les années 1980-1990, il montre que c'est le combat pour l'égalité et l'éducation, et non pas la sacralisation de la propriété, qui a permis le développement économique et le progrès humain. En s'appuyant sur les leçons de l'histoire globale, il est possible de rompre avec le fatalisme qui nourrit les dérives identitaires actuelles et d'imaginer un socialisme participatif pour le XXIe siècle : un nouvel horizon égalitaire à visée universelle, une nouvelle idéologie de l'égalité, de la propriété sociale, de l'éducation et du partage des savoirs et des pouvoirs.

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Littérature française

Capital et charité

Au sein de l'entreprise Glory SA, rivalité et capitalisme sont les maîtres mots d'une société rongée par le vice et le profit maximum. Qu'ils soient chef de service, directeur commercial ou artistique, Luc, Claude, Martin, Mathieu et Michel sont tous sous son emprise, poussés à la production à outrance et usés par le stress, la cupidité et la peur de l'avenir. Une déshumanisation progressive des personnages qui voit en Luc l'occasion parfaite de mettre en scène l'égoïsme et le vice sexuel. Jouissant de son autorité et de son pouvoir, il jette son dévolu sur la jeune Charlotte, prête à affronter ses assauts, mais à quel prix ? Des hommes et des femmes pris dans un engrenage, dépourvus d'écoute, de respect de l'autre, de générosité, de détachement et d'humilité. Dépourvus de ce que l'on appelle tout simplement "charité", cette inclination à aller vers l'autre avec bienveillance. Dans un monde du capitalisme, truffé de mensonges et de conspirations, comment s'en sortir ? Par le vice ? Par l'humanité ? Capital et charité sont-ils incompatibles ? "Un roman qui met au grand jour les noeuds qui gangrènent la société moderne au sortir de l'industrialisation amorcée au XIXe siècle".

10/2016

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Sociologie

Capital et travail

Capital et travail / Emmanuel Lévy Date de l'édition originale : 1909 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

10/2021

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Economie (essai)

Capital et idéologie

Capital et idéologie A partir de données comparatives d'une ampleur et d'une profondeur inédites, ce livre retrace dans une perspective tout à la fois économique, sociale, intellectuelle et politique l'histoire et le devenir des régimes inégalitaires, depuis les sociétés trifonctionnelles et esclavagistes anciennes jusqu'aux sociétés postcoloniales et hypercapitalistes modernes, en passant par les sociétés propriétaristes, coloniales, communistes et sociales-démocrates. A l'encontre du récit hyperinégalitaire qui s'est imposé depuis les années 1980-1990, il montre que c'est le combat pour l'égalité et l'éducation, et non pas la sacralisation de la propriété, qui a permis le développement économique et le progrès humain. En s'appuyant sur les leçons de l'histoire globale, il est possible de rompre avec le fatalisme qui nourrit les dérives identitaires actuelles et d'imaginer un socialisme participatif pour le XXIe siècle : un nouvel horizon égalitaire à visée universelle, une nouvelle idéologie de l'égalité, de la propriété sociale, de l'éducation et du partage des savoirs et des pouvoirs.

09/2022

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Faits de société

Vivre libre

Le choeur des voix contemporaines est unanime : la liberté est menacée et recule aussi bien en France qu'en Europe ; il faut revendiquer, réclamer encore et toujours, pour sacrifier au rite nihiliste et bien-pensant de la liberté narcissique. Mais, la revendication incessante de davantage de libertés s'accompagne paradoxalement d'une perte réelle et grave de leurs sens et de leurs indispensables corollaires. Nos contemporains oublient que vivre libre c'est aussi, au-delà de l'égocentrisme ambiant et de la frénésie des déclarations de droits, comprendre la mission de la puissance publique dans un régime de gouvernement modéré, mesurer l'importance de l'organisation politique et la structure des pouvoirs et intégrer la dimension sociale de l'exercice collectif des libertés. Vivre libre c'est enfin promouvoir l'ordre public et le principe de sécurité, respecter la fonction libératrice de la règle de droit et ne jamais oublier que liberté et responsabilité individuelle sont inséparables, dans le service du bien commun.

05/2021

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Histoire des idées politiques

La nature contre le capital. L'écologie de Marx dans sa critique inachevée du capital

A partir de sources largement inédites, ce livre montre que Karl Marx a développé une analyse écologique du capitalisme. Ainsi, sa critique de la propriété privée apparaît indissociable de son analyse de la destruction de l'environnement. A l'heure où les inégalités explosent et alors que la planète fonce vers l'abîme, Marx indique la source commune de ces problèmes et esquisse la solution ? : rompre avec le capitalisme pour établir une relation harmonieuse entre les humains et la nature. Pour trouver des solutions à la crise climatique globale dans laquelle l'humanité est entrée, il est aujourd'hui plus que jamais indispensable de comprendre l'imbrication entre le système capitaliste et la destruction environnementale. Critique éminent du capitalisme, Karl Marx a pourtant mauvaise réputation auprès de nombreux écologistes. Il est accusé d'être un penseur productiviste, prônant la maîtrise de la nature par les humains. C'est à cette aune que Kohei Saïto relit les oeuvres majeurs, ainsi que les cahiers scientifiques inédits de Marx et montre que ces accusations sont sans fondement. Il nous fait découvrir un Marx qui suit de près les avancées des sciences de la nature et, surtout, de l'agronomie, qu'il intègre méthodiquement dans ses propres travaux. Le constat s'impose ? : l'écologie est un aspect incontournable du projet marxien de la critique du capitalisme. Ainsi, Marx fournit une base théorique riche pour comprendre la crise écologique actuelle et pour la dépasser.

08/2021

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Témoins

Le livre du ciel. Tome 2, Livres 4 à 6

Imprimatur le 16 octobre 1926 par Mgr Joseph M. Leo Nihil Obstat en mars 1994 par le cardinal Ratzinger Dans ce deuxième tome, Jésus nous donne ses enseignements pour toutes les circonstances de notre vie quotidienne à la lumière de sa divinité. Ils illuminent notre compréhension de la Divine volonté sur nous, et le sens des inévitables épreuves de notre existence. Jésus s'adresse directement à nous dans cet ouvrage. Décédée en 1947, Luisa PICCARRETA a mené une vie extraordinaire. Ne pouvant plus s'alimenter dès l'âge de 17 ans, nourrie de la seule Eucharistie, elle vécut une intense vie mystique marquée par des expériences surnaturelles prodigieuses durant 65 ans. Déclarée vénérable le 29 novembre 2005, elle a rédigé cette Åuvre manuscrite à la demande du Christ sous le titre Le Livre du Ciel.

03/2023

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Littérature française

Le capital, c’est ta vie

Le capital, c'est ta vie, il te ronge, il te brise, il t'abîme. Tu n'échapperas pas à sa domination qui est la mesure de toute chose et de toute existence. Tu paniques, n'arrives plus à respirer, tu ne t'appartiens plus. L'empire de la valeur a fait de toi son esclave. Dans ce monde, tu es devenu ton propre bourreau. H. J. Dans ce roman, Hugues Jallon raconte de l'intérieur l'effondrement psychique d'un personnage dévasté par la violence du capital.

01/2023

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Littérature française

Les zombis de la capitale

La quête de modernité, cause de l'exode rural, se double aujourd'hui de la peur du sorcier. Jadis espace de vie communautaire et conviviale, le village semble incarner la sorcellerie qui contraint à l'exil en ville ou, pire encore, en Occident, dans des mégapoles inconnues, aventures souvent engagées au péril de la vie. Parce qu'il lui permet d'échapper à la tyrannie du mal, le voyage devient pour Melango, notre héros, une sorte de renoncement au lieu des origines et à son identité. Mais parvenu à la " Terre promise ", l'exilé est vite désillusionné par la réalité. Inconnu, mal servi, il vagabonde et devient un zombi. La misère qu'il espérait fuir le rattrape, le domestique et continue de le persécuter. Les migrations permettent-elles vraiment d'atteindre le bonheur et de se réconcilier avec soi-même ? La " Zombitude ", état de déréliction, d'errance fugitive et de perte identitaire, peut-elle servir de refuge contre la persécution des sorciers ?

02/2011

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Poésie

Ivre libre

Vous aimez la musique et la chanson ! Et si vous aimiez la poésie ? Ivre libre vous invite à entrer dans un univers teinté d'amour, de révolte, d'humour et d'amertume. Page après page, goûtez à la musicalité, à la sensibilité des mots pour vous porter vers l'ivresse des sentiments, de la vie, en toute liberté.

01/2021

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Petits classiques parascolaire

Capitale de la douleur

Paris, capitale des Années folles. Malgré l'effervescence littéraire et artistique, le poète Paul Éluard est rongé par une douleur intime : sa femme, Gala, est éprise du peintre Max Ernst et s'éloigne peu à peu de lui. Il écrit alors ces textes, qui comptent aujourd'hui parmi les plus beaux poèmes d'amour. A la fois itinéraire sentimental et poétique, Capitale de la douleur retrace les tribulations du trio amoureux et le cheminement qui, du dadaïsme, conduira Éluard au surréalisme.

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Littérature française

Capitale de la douceur

La capitale de la douceur existe. C'est une petite île de la Méditerranée où l'on peut vivre nu. Quelque chose de notre rapport au monde, de notre vulnérabilité et de notre grandeur se joue sur cette portion de terre. Sophie Fontanel a écrit le roman d'une révolution par la douceur, dont nous avons infiniment besoin. En vers. C'est un endroit que l'on peut situer précisément sur une carte. Une île, peut-être un peu moins connue que ses voisines de Port-Cros et Porquerolles, portant le beau nom de Levant. C'est un endroit où l'on peut vivre nu, mais seulement sur 5% du sol, les 95% restants étant occupés par l'armée... Quand elle débarque dans ce décor de rêve, l'héroïne de cette histoire ne peut imaginer qu'elle va y vivre une révélation. Celui qui l'a invitée l'accueille avec à peine un paréo, car ici la nudité est la norme. Elle comprend dès le lendemain, en retirant à son tour ses habits sur une plage, que lorsqu'on est nu, sans protection, désarmé, on est obligé de s'en remettre à la douceur du monde. Et que ce n'est qu'un début, car il reste encore beaucoup de couches à retirer, jusqu'au coeur, à la douceur absolue... Dans la chambre à l'hôtel, Capitale de la douleur, de Paul Eluard. Douceur, violence... Les deux se font face évidemment. Pourquoi la violence a-t-elle lieu ? Comment y répondre ? Rien qu'en se mettant nue, elle est confrontée à son histoire, traversée un jour par la plus grande violence. Dans sa chair. Et par l'histoire de sa famille, bouleversée par la guerre. De plus, c'est une petite île, mais elle contient le monde entier. D'autres, autour de notre héroïne, sont venus là pour réparer la violence qu'ils ont subie. Ou commise. Et à travers eux surgissent les événements et conflits qui agitent notre époque. Un être de plus en plus doux, dans un monde de plus en plus violent Même avant d'arriver ici je pensais c'est ce que je deviens

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Littérature française

Capitale de la douceur

La capitale de la douceur existe. C'est une petite île de la Méditerranée. A côté de ses voisines de Port-Cros et Porquerolles, l'île du Levant est un endroit où l'on peut vivre nu (grâce à un arrêté préfectoral). Mais seulement sur 5% du territoire, les 95% restants étant occupés par l'armée qui teste ici ses missiles... La douceur a-t-elle encore sa place dans notre monde ? Peut-elle résister à la violence qui nous entoure ? Dans ce décor prédestiné, où le hasard l'a menée, l'héroïne de ce roman ôte bien plus que ses vêtements, elle se met véritablement à nu. En sept jours, d'une rencontre à l'autre, elle va revivre les moments de son existence où s'est joué son rapport à la violence. Et comprendre que le pouvoir de la douceur est illimité.

02/2023

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Littérature française

Le capitan. Tome 1

Une étrange terreur pèse sur Paris. Des bruits sinistres se répandent, pareils à ces grondements du ciel, précurseurs d'orage. Parfois, des bandes hurlantes passent, avec des physionomies d'émeute. Le bourgeois fourbit sa vieille pertuisane du temps de la Ligue. La noblesse est debout pour la reprise de ses privilèges féodaux. Guise conspire. Condé conspire. Angoulême conspire. Luynes veut gouverner. Richelieu veut gouverner. Le trône des Bourbons chancelle et va s'écrouler peut-être. Et devant ces rafales d'ambitions déchaînées qui s'entre- choquent, il n'y a au fond du Louvre, désert et morne, qu'un pauvre petit roi de quinze ans, tout seul, abandonné, pâle et triste comme le peuple. Et, comme le peuple, Louis XIII tremble et se demande : - Qui va devenir le maître ? ... Guise ? Condé ? Angoulême ? Qui de vous va poser son pied sur ma tête ? Or, peuple, roi, conspirateurs sont unis par une même et vaste haine éparse ; ils frémissent d'une commune épouvante, prêts à se déchirer, ils lèvent les yeux sur la flamboyante figure qui plane sur le Louvre, sur Paris, sur le royaume. Et alors la même imprécation gronde sur toutes les lèvres, depuis le roi jusqu'au manant - excepté sur celles de la reine mère Marie de Médicis. Cette figure, c'est celle d'un homme qui commande, décrète, ordonne, règne, écrase, terrorise. Il est le luxe infernal ; il est la puissance sans limites ; il est l'orgueil sans frein ; il est l'orgie... il est le crime. Il passe comme un de ces incompréhensibles météores qui traversent les espaces historiques en laissant derrière eux un sillage de sang et de feu, puis éclatent et s'éteignent dans quelque suprême catastrophe...

02/2023

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Poésie

Capitale de la douleur

Inconnue, elle était ma forme préférée, Celle qui m'enlevait le souci d'être un homme, Et je la vois et je la perds et je subis Ma douleur, comme un peu de soleil dans l'eau froide. Recueil emblématique du XXe siècle et oeuvre majeure de Paul Eluard, Capitale de la douleur cristallise l'intensité du sentiment amoureux. Rongé par la douleur de voir la femme qu'il aime s'éloigner de lui, l'auteur rédige des poèmes où le rêve côtoie le désir, où le "je" est universel. Chacun de nous, dans la traversée de l'absence de l'être aimé, peut s'y reconnaître. Sont également évoqués les thèmes de l'art et du bonheur, ainsi que plusieurs figures artistiques de son époque comme Picasso, Miró et Max Ernst. Paul Eluard (1895-1952) est une figure majeure de la poésie, d'abord dadaïste puis surréaliste. Il a publié de nombreux recueils et est resté célèbre entre autres pour le poème "Liberté" , écrit pendant la Seconde Guerre mondiale durant laquelle il fut résistant. Introduction et chronologie de Raymond Jean

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Lycée

Capitale de la douleur

Inconnue, elle était ma forme préférée, Celle qui m'enlevait le souci d'être un homme, Et je la vois et je la perds et je subis Ma douleur, comme un peu de soleil dans l'eau froide. Recueil emblématique du XXe siècle et oeuvre majeure de Paul Eluard, Capitale de la douleur cristallise l'intensité du sentiment amoureux. Rongé par la douleur de voir la femme qu'il aime s'éloigner de lui, l'auteur rédige des poèmes où le rêve côtoie le désir, où le "je" est universel. Chacun de nous, dans la traversée de l'absence de l'être aimé, peut s'y reconnaître. Sont également évoqués les thèmes de l'art et du bonheur, ainsi que plusieurs figures artistiques de son époque comme Picasso, Miró et Max Ernst. Paul Eluard (1895-1952) est une figure majeure de la poésie, d'abord dadaïste puis surréaliste. Il a publié de nombreux recueils et est resté célèbre entre autres pour le poème "Liberté" , écrit pendant la Seconde Guerre mondiale durant laquelle il fut résistant. Introduction et chronologie de Raymond Jean

03/2024

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Philosophie

Travail vivant contre capital

"Je vous propose de lire la composition du capital du point de vue des luttes des travailleurs, des résistances de la multitude face au commandement du capital — et éventuellement du point de vue des soulèvements du prolétariat. Je veux parler d'histoire du prolétariat, du rapport antagoniste entre le capital et le travail vivant, et par conséquent de la transformation de la composition technique et de la composition politique de la force de travail, des mutations des procès de travail et de valorisation, et puis enfin de celles des formes de vie et des institutions." En février 2018, Antonio Negri, auteur d'Empire (avec Michael Hardt, 2000), invité à l'Ecole normale supérieure par le séminaire étudiant Lectures de Marx, présente sort analyse du développement capitaliste, où l'économie est indissociablement politique. Le texte de la conférence est précédé d'un entretien dans lequel il revient sur le sens qu'il a attribué à la lecture de Marx aux différentes étapes de sort parcours, de l'opéraïsme jusqu'à la multitude en passant par l'exil et la prison.

09/2018