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Le sirop de la rue

Extraits

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Littérature étrangère

Rue de la Sardine

La Rue de la Sardine, à Monterey en Californie, c'est un poème ; c'est du vacarme, de la puanteur, de la routine, c'est une certaine irisation de la lumière, une vibration particulière, c'est de la nostalgie, c'est du rêve. La Rue de la Sardine, c'est le chaos. Chaos de fer, d'étain, de rouille, de bouts de bois, de morceaux de pavés, de ronces, d'herbes folles, de boîtes au rebut, de restaurants, de mauvais lieux, d'épiceries bondées et de laboratoires. Ses habitants, a dit quelqu'un : " ce sont des filles, des souteneurs, des joueurs de cartes et des enfants de putains " ; ce quelqu'un eût-il regardé par l'autre bout de la lorgnette, il eût pu dire : " ce sont des saints, des anges et des martyrs ", et ce serait revenu au même.

01/1948

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Littérature française

Rue de la liberté

La petite Suzanne est pauvre et n'a vraiment pas grand-chose, une toute petite maison, le camp de déportation allemand de Drancy juste à côté de chez elle, le cimetière où sa petite sœur vient d'être enterrée et où elle joue tous les après-midi, mais elle a son père, sa mère, ses autres sœurs, son petit frère, son chien, ses voisins, sa Tata Mado et sa Maman Rachel dans le Berry, sa bande de copains et copines et les trottoirs de sa rue qui s'appelle Rue de la Liberté... Et les gens, et la vie qui est là, qu'il faut vivre, heureuse. À tout prix. Pour, un jour, s'envoler ailleurs. Absolument. Entre la grisaille quotidienne et les rares moments de joie, les drames et les séismes qui secouent toute une famille, J. Manguso déroule et décrit l'enfance et l'adolescence de Suzanne au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Et, en dépit des tragédies et de la modestie sociale, c'est une œuvre dénuée de pathos que signe le romancier qui met en scène une fillette puis une jeune femme aux sentiments étonnamment purs, attachante d'humilité et de force contenue, et qui, avec le temps qui passe et nous modèle tous, gagne en épanouissement et confiance.

10/2015

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Sociologie

Enfants de la Rue

La situation des enfants de rue, est avant tout une honte. A l'allure exponentielle où elle se répand, elle dévient humiliante. C'est pourquoi, elle doit éveiller les esprits des parents et des responsables, afin d'y remédier. Cette question se pose, donc la résolution est urgente. Il s'agit de se mettre au travail, une fois le que le noeud du problème est décelé. Sur ce sujet point n'est besoin encore des discours, mais des actions. L'auteur en écrivant ce livre, présente une esquisse des faits caractérisant les enfants des rues et différentes pistes capables d'aider à pouvoir trouver une solution. C'est un travail collectif qui mérite l'implication de tout le monde, afin d'éradiquer ce phénomène tout en produisant des résultats durables.

07/2015

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Littérature française

Rue de la République

Entre Saône et Rhône, les grandes familles de 1900 appartiennent à un monde révolu, gouverné par les évêques et soumis à un Dieu courroucé. Joannès Roch-Dugas, fils cadet d'une dynastie soyeuse, aura-t-il le courage de rompre avec les siens ? Le Lyon de Marianne Gendilloux, enfant d'un portefaix et d'une cuisinière, est d'une autre planète... Pourtant, cette lavandière, fille de rien, amadoue ce fils de la haute, échotier et anarchiste. Et la ville de toutes les révoltes les emporte dans son tourbillon. Mais comment aimer, survivre et se construire un destin alors que la troupe tient la rue et que menace la guerre ? Anne Vallaeys et Alain Dugrand nous entraînent dans le monde prodigieux de l'orée du XXe siècle. Ils nous installent dans les bouchons lyonnais, sous la treille des guinguettes de Saône. Avec eux, le lecteur goûte des bonheurs de gourmandise, le plus aimable des péchés. Vins d'Ampuis et de Bourgogne, fonds d'artichauts sautés au foie gras, grenouilles dorées à la forézienne... Délire de soie délicate, damas, étoffes fraîches tissées par les canuts de la Croix-Rousse. Napo Gendilloux, fils du Rhône, le peintre Gasquet et sa bohème artiste, Jacquet, fameux " renifleur " de grands crus, Jeanne, magicienne des casseroles, Marcel, commis de cuisine et déserteur... côtoient, pour notre plaisir, les héros de ces temps troublés, Octave Mirbeau, Emile Zola, Jules Bonnot, le bandit anarchiste, le " petit père " Combes, les moustachus de la République, Edouard Herriot, Jaurès et le jeune Léon Blum, prophète du féminisme et du mariage à l'essai. Mais, à l'est, déjà, une guerre dans les Balkans...

05/1999

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XIXe siècle

Rue de la Moïka

Une petite réussite, avec des personnages attachants et courageux, un bon dosage d'humour, d'histoire et de suspense ! Le 13 mars 1881, le tsar de Russie Alexandre II est assassiné. Trois ans plus tard, un nouvel attentat se prépare dans l'ombre contre son fils Alexandre III. Dans le climat de tensions internationales qui règne à Saint-Pétersbourg, tandis que tout accuse la Grande-Bretagne, un officier et sa courageuse épouse refusent de croire aux apparences. Chacun de leur côté, ils vont mener une enquête qui les conduira rue de la Moïka... Un roman haletant dans les fastes de la Russie à la fin du XIXe siècle, des héros attachants et perspicaces, de l'humour et du suspense. A partir de 10 ans. A propos de Pauline de Vencay : Issue d'une formation littéraire, Pauline de Vençay est diplômée d'une licence d'Histoire et d'un master axé sur le patrimoine culturel. Après avoir évoqué la Vendée dans son roman Royalement vôtre , elle nous emmène ici dans la Russie des Tsars.

06/2021

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Littérature française

Rue de la Fontaine

Rue de la Fontaine, de la fin des années quarante à nos jours, une famille et trois générations de femmes : mammgozh, la grand-mère, sa fille Denise, et Rose sa petite-fille. Rose raconte le bonheur de son enfance en Bretagne, sur les grèves du Trégor, entre mamm-gozh et tadkozh. Puis Denise, sa mère, partie à Paris, décide de la reprendre avec elle, et commencent alors des années de calvaire. Dévastée par une trahison amoureuse, Denise a perdu pied, et Rose se retrouve face à une femme violente. Mais les souffrances endurées ne viendront pas à bout de son désir d'une autre vie... Inspiré d'une histoire vraie et de divers témoignages, le récit bouleversant d'un chemin de renaissance sur fond de renouveau culturel.

11/2009

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Livres animés (3 ans et +)

Rue de la peur

Des illustrations remplis de détails cocasses. Une approche de la différence et de la tolérance. Un livre se déplie et forme une rue habitée par un cerbère, un cyclope, un minotaure, un yéti..., que l'on découvre en ouvrant la porte de leur maison. Une petite fille, pas très rassurée, doit longer ces habitations pour rejoindre son grand-père. Celui-ci lui apprend que derrière chaque monstre se cache une âme sensible.

12/2021

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Littérature française

La rue de paris

Vous souvenez-vous de la chanson française gagnante de l'Eurovision en 1971 ? Séverine chantait cette ballade : "On a tous un banc, un arbre, une rue Où on a bercé nos rêves On a tous un banc, un arbre, une rue Une enfance trop brève. . ". En effet, j'ai bien eu ce banc recouvert d'un simili cuir brun, celui de ma grand-mère où elle brodait et tricotait, cet arbre, un plantureux cerisier en fleurs, cette rue, celle de Paris où se trouve la maison que je vous emmène visiter avec toute une pléiade d'objets, toutes ces choses, toutes ces phrases accumulées à la manière de Georges Pérec, comme une suite de fragments épars, d'éclats lumineux de mon enfance lorraine.

12/2021

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Poches Littérature internation

Rue de la Tranchée

Matti le Finlandais est rescapé d'une guerre bien particulière. Celle de l'émancipation des femmes. Il avait pourtant tout fait pour éviter la débâcle. Mari aimant, père idéal, quotidiennement dévoué au bien-être de son si doux foyer. Du moins, le croyait-il. Car, du jour au lendemain, le voilà abandonné par sa femme et par sa fille. La raison officielle ? Une simple gifle. L'officieuse ? Son manque de combativité. Dès lors, il va errer dans les limbes de la solitude avec une seule idée en tête : reconquérir sa famille en lui offrant une jolie maison rouge...

05/2007

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Poches Littérature internation

Rue de la Miséricorde

Une histoire de passion et de mort au cœur de Rio au XIXe siècle. Enfermés dans l'univers clos d'une corvette, Bom-Crioulo, grand noir au physique troublant, et Aleixo, jeune mousse charmeur, courent vers une aventure hors du commun. Ce roman écrit en 1895 surprend par sa modernité. L'exigence naturaliste d'objectivité, d'observation s'accompagne de scènes dramatiques et violentes visant à montrer les inclinations contradictoires qui poussent les hommes à des actes déterminés par l'instinct et les circonstances.

03/2007

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Littérature française

Rue de la gare

"Puis, un jour, apparurent sur des motos des soldats gris qui firent pleurer ma mère. L'un d'eux s'arrêta près de nous, ôta son gant et nous indiqua, avec les doigts de la main, le nombre de "Kinder" qu'il avait laissés dans son pays. Il fit alors vrombir son moteur et s'éloigna en lançant : "Malheur, la guerre ! " Des larmes qui coulaient, des expressions comme "Boches", "Prussiens", "conflagration", lâchées dans la consternation générale, surtout par mon grand-père, atteignaient peu, je dois dire, le petit bonhomme de huit ans à peine que j'étais". Dans les années trente et quarante, Michel n'est qu'un gamin de la Somme essayant de comprendre le monde des grandes personnes. Avec un regard naïf, ou faussement naïf, il raconte ses bonheurs de "gosse des rues" que ses parents, commerçants, préfèrent ne pas avoir dans leurs jambes, sa terreur d'assister aux combats pour la libération du village, la joie indicible de voir surgir dans la rue des tanks anglais, ou encore ses émois d'adolescent lorsque les filles - ce mystère - viendront poser leurs jupes sur les bancs du même collège. Au cinéma "Eden" on découvre la vie, mais dans la rue de la gare, avec les copains, on "fait son cinéma" à partir des petites scènes de la vraie vie.

01/2019

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Littérature française

Rue d'la Dé

"Enfin te voilà ! " Sur le seuil de la maison familiale, ma mère, qui ne l'est pas encore, peut enfin hurler sa colère intégrale : "Dix mois, dix mois que je suis seule, que j'attends chaque jour de tes nouvelles". "Vergongne per té ! (Honte à toi ! )" Comme un anthropologue, je tente de percer le mystère des vestiges de mon enfance et de ma propre histoire. Je fouille dans la crypte des mémoires pour retrouver mon passé dissimulé dans les souvenirs recomposés de mes proches. Comment survivre au sordide ? Que peut-on opposer à la solitude et à la honte, à l'abandon et à la misère ? Ma mère travestissait la réalité pour la rendre acceptable à ses yeux, ou alors aux nôtres. Je ne l'ai jamais bien su... La rue de la Défense à Issy-les-Moulineaux, malgré tous ses défauts, suffisait à résumer ce qu'on entend par "vie de quartier" .

04/2021

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Critique

Rue de la Justice

"Rue de la Justice" , telle fut la dernière adresse d'une de mes arrière-grands-mères, laveuse sur un bateau-lavoir dans une petite ville des bords de Loire. Née en 1863, elle avait un peu plus de vingt ans à la mort de Victor Hugo et toute sa vie conserva sur sa cheminée une gravure des obsèques nationales du poète. Symbole de la confiance des gens d'en bas en la toute jeune république, dont ils attendent justice, progrès, instruction. Revenant sur ma terre d'origine, l'Anjou, j'ai donc tenté de retracer le cadre de leur vie, d'évoquer leur difficile existence de travail, le poids de l'Eglise et des châteaux, leur foi dans le progrès scientifique et technique. Mais aussi de faire entendre, les soutenant, les accompagnant, les voix de Victor Hugo, de Louise Michel, et celles des républicains et républicaines d'une province qui l'était si peu. Avec en fond de décor, un paysage, le bocage de la "Vendée angevine" , la vallée de la Loire, la rumeur et les colères du grand fleuve. Cette confiance en la république pourrait-elle renaître aujourd'hui ? En 2018, il m'a semblé entendre chez les Gilets jaunes quelque chose des très anciennes revendications dont étaient porteurs mes ancêtres, journaliers agricoles, vignerons, artisans, tous ceux que Gracchus Babeuf nommait "les impropriétaires" . Egalité, justice, reconnaissance. Faisant retour vers ce petit peuple disparu avec ses modestes et farouches espoirs, attentive à sa leçon, émue par son courage quotidien, je me disais : ce passé-là a de l'avenir. D. S.

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Littérature française

Rue de la gaité

Rue de la gaité, ce jour-là, en fin d'après-midi... une femme en chemise de nuit s'écroule sur la chaussée. Rien qu'un banal fait-divers. Derrière la chute du corps se dérobe l'effondrement secret de toute une existence. Toute sa vie le personnage a craint de choir et de déchoir, de ne pas sauver ce qu'elle prenait pour une richesse, l'apparence. Dès lors enroulement et déroulement de la trame espace-temps recoupe l'enchaînement des faits, anecdotiques ou plus conséquents qui tissent l'histoire de la famille à laquelle appartient la dame de la rue de la Gaité et donnent du sens aux raisons, à priori non visibles, de s'affaisser dans de telles circonstances. L'ensemble des événements, détails, relevés dans leurs contextes historiques, culturels, sociétaux, personnels, concentrent et consolident le tissu particulier et les ressorts psychologiques de ce récit qui n'a d'autre ambition que de prouver que rien ne commence à partir de chacun mais tient beaucoup à une mémoire profonde, irréfutable, ineffaçable : la mémoire ancestrale. Elle se transmet. Elle façonne le besoin de chacun de retenir quelque chose de ce qu'on lui lègue, et à contrario de chercher ailleurs, de se créer ou de s'inventer un héritage fabuleux, bref, de se fabriquer son roman. On s'émancipe des conformismes, on se libère de quelques principes moraux, on s'échappe par la pensée et l'action des geôles du quotidien.

11/2013

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Romance et érotique LGBT

La bibliothèque de rue

Elliott Thompson était un historien de renommée, jusqu'à ce qu'un scandale lui fasse perdre son emploi, sa dignité et son compagnon. Se réfugiant dans sa ville natale de Californie, où il donne des cours en ligne, Elliott accumule obsessivement des livres tout en se questionnant sur son avenir. Simon Odisho a lui aussi perdu son emploi ; une balle dans le genou lui a valu sa carrière dans les forces de l'ordre. Alors qu'il se rétablit doucement, il se met en quête d'un nouveau métier tout en cherchant le courage de faire son coming out à sa famille. Pour tenter d'organiser son immense collection de livres, Elliott construit une bibliothèque de rue sur sa pelouse. Une initiative qui lui permet de rencontrer le charmant Simon. Mais Elliott refuse de vivre dans le mensonge et pourrait bien renoncer à cet amour naissant pour une perspective de carrière plus florissante. Si les livres ont beaucoup à lui apprendre sur l'histoire passée, ils ne contiennent pas un mot sur un avenir incertain avec Simon.

05/2021

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Littérature française

La rue de Blanche

L'histoire de Blanche est un conte moderne. Celui du monde d'une enfant qui se limite à une rue habitée par une mosaïque de personnages que l'auteure étale comme autant de sentiments que le ferait un peintre avec une palette de couleurs. La description subtile et délicate des femmes de vie dont elle ne précise jamais leur vraie fonction, mais l'évoque tout en subtilité. On pénètre en douceur dans le monde de Blanche qui est à la fois tout en délicatesse et violent. Le monde dur et ingrat de "La rue de Blanche" vu à travers le filtre édulcoré d'une enfant rêveuse. La vie la rattrapera plus tard et la confrontera à la face de la réalité.

01/2022

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Critique

Rue de la Justice

"Rue de la Justice" , telle fut la dernière adresse d'une de mes arrière-grands-mères, laveuse sur un bateau-lavoir dans une petite ville des bords de Loire. Née en 1863, elle avait un peu plus de vingt ans à la mort de Victor Hugo et toute sa vie conserva sur sa cheminée une gravure des obsèques nationales du poète. Symbole de la confiance des gens d'en bas en la toute jeune république, dont ils attendent justice, progrès, instruction. Revenant sur ma terre d'origine, l'Anjou, j'ai donc tenté de retracer le cadre de leur vie, d'évoquer leur difficile existence de travail, le poids de l'Eglise et des châteaux, leur foi dans le progrès scientifique et technique. Mais aussi de faire entendre, les soutenant, les accompagnant, les voix de Victor Hugo, de Louise Michel, et celles des républicains et républicaines d'une province qui l'était si peu. Avec en fond de décor, un paysage, le bocage de la "Vendée angevine" , la vallée de la Loire, la rumeur et les colères du grand fleuve. Cette confiance en la république pourrait-elle renaître aujourd'hui ? En 2018, il m'a semblé entendre chez les Gilets jaunes quelque chose des très anciennes revendications dont étaient porteurs mes ancêtres, journaliers agricoles, vignerons, artisans, tous ceux que Gracchus Babeuf nommait "les impropriétaires" . Egalité, justice, reconnaissance. Faisant retour vers ce petit peuple disparu avec ses modestes et farouches espoirs, attentive à sa leçon, émue par son courage quotidien, je me disais : ce passé-là a de l'avenir. D. S.

03/2024

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Musique, danse

A cru (CD) - La Rue Kétanou. A cru (CD) - La Rue Kétanou

Qui a vu La Rue Kétanou en concert connait cette énergie, sauvage et animale. Sa fougue et son chahut, sa rage et sa tendresse... Ces quatre Zèbres, lancés à plein galop distribuent avec générosité autant d'humour que de poésie. La forme est crue, presque punk, et nous va droit au coeur. "A cru" est un condensé de puissance et émotions, un feu de joie ; et c'est aussi un festival de partages avec des invités-amis, tous réunis autour d'une vraie famille de la chanson. Aux 15 titres live s'ajoutent 4 titres studio, composés à l'époque du premier confinement. Une bulle bien temporelle issue d'un contexte bien particulier, une parenthèse qui contraste avec l'euphorie des concerts. Ce nouvel album nous rappelle une fois encore qu'il faut garder espoir, et qu'il y aura toujours des cigales dans la fourmilière...

10/2021

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Théâtre

La jupe de la rue Gît-le-Coeur

Déambulant dans Paris, du côté de Saint-André des Arts, un écrivain tourmenté, apparemment démodé, dévoile son étrange histoire. Jusqu’à quel point le poème d’Allen Ginsberg qui l’accompagne apaisera-t-il ses pensées et ses humeurs, nourries des sanglantes actualités du monde et de l’insupportable réalité de la ville ? Par étourderie, il se trompe de rue, et brusquement l’image ou le mirage d’une jupe le fait basculer dans un autre espace-temps... Qu’adviendra-t-il de lui ?

09/2014

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Lecture 9-12 ans

La sorcière de la rue Mouffetard. Et autres contes de la rue Broca

Il était une fois la ville de Paris. Il était une fois un café kabyle. Il était une fois un monsieur Pierre. Il était une fois un petit garçon nommé Bachir. Il était une fois une petite fille, une sorcière du placard aux balais, un géant aux chaussettes rouges, une paire de chaussures amoureuses, une poupée voyageuse, une fée du robinet... La rue Broca n'est assurément pas une rue comme les autres.

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Folio junior

La sorcière de la rue Mouffetard et autres contes de la rue Broca

Il était une fois la ville de Paris. Il était une fois une rue Broca. Il était une fois un café kabyle. Il était une fois un Monsieur Pierre. Il était une fois un petit garçon qui s'appelait Bachir. Il était une fois une petite fille. Et c'est ainsi que, dans ce livre, vous allez faire la connaissance d'une sorcière, d'un géant, d'une paire de chaussures, de Scoubidou, la poupée voyageuse, d'une fée, et que vous saurez enfin la véritable histoire de Lustucru et de la mère Michel.

10/2012

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Lecture 9-12 ans

L'album de Pirlipipi 2 sirops une sorcière

Raconte-moi une histoire de sorcière ! demande Pirlipipi à monsieur Pierre. Mais monsieur Pierre ne veut pas. Seulement, malgré tous ses stratagèmes, rien n'y fait. Pirlipipi le poursuit. Même dans ses rêves, jusqu'à ce que... Mais cette histoire-là, monsieur Pierre voudra sûrement vous la raconter.

05/2001

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Littérature française (poches)

Le Jeune Homme de la rue de France

Tout commence par l'achat d'un cadeau de Noël, une montre, que Lola destine à son fils de dix-sept ans. Un fils devenu danseur, qui vit à Lausanne, et dont elle parle à ses amies avec une rayonnante tendresse. Il n'y a que son chat siamois, Jules, pour deviner que le seul convive de ce Noël sera, une fois de plus, le chagrin. Ce que ne prévoient ni Lola ni Jules, c'est l'irruption d'un jeune homme en fuite, qu'elle accepte de cacher dans son appartement. Cette rencontre insolite va l'amener à faire enfin face à un passé tragique, et, peut-être, à commencer de guérir. C'est un roman du deuil que nous donne l'auteur de Combien d'enfants et de Marie, ma fille, sous la forme d'un conte de Noël pathétique et tendre. Une réflexion, aussi, sur les ressources cachées qui nous permettent d'affronter et de dépasser les chagrins.

09/2004

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Policiers

Le crime de la Rue de l'Aumône

Qui a étranglé Catherine, l'accorte servante d'un éminent notable de Lyon ? Qui a jeté son cadavre dans le puits d'un puissant juriste, au printemps 1465 ? C'est ce que s'emploie à découvrir le prévôt de police, Arthaud de Varey, avec l'aide d'un jeune artisan, Pierre Mulat, dont le frère est, de toute évidence, trop vite accusé du meurtre. Alors que l'affaire leur apparaît à l'origine comme une banale histoire de moeurs, l'enquête, de plus en plus périlleuse, va les conduire au coeur des intrigues politiques qui agitent la ville. Car celle-ci est devenue un enjeu stratégique pour plusieurs princes du sang royal, révoltés contre Louis XI. Tous les hommes de pouvoir ne semblent-ils pas disposés à livrer Lyon au plus offrant, quitte à projeter l'empoisonnement du roi ? Il faudra l'opiniâtreté et la prudence d'Arthaud de Varey, le courage de Pierre Mulat, l'amour que lui prodigue la douce Jehanne et l'industrie de deux amis, pour triompher d'adversaires redoutables et faire éclater une lourde vérité.

03/2012

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Littérature française

La chapelle de la rue blomet

Une autobiographie étrange, de laquelle je est absent. Un petit garçon se présente, un petit il qui fait une rencontre décisive : lorsque l'hostie consacrée est présentée aux fidèles, tous tête inclinée devant ce qu'on ne peut regarder en face, il lève les yeux. Il voit... rien. Ce rien sera le ferment de sa vie et de son oeuvre. Il soutiendra la construction d'une généalogie intime, à partir des désirs, des émotions, des accidents et des hasards. Une hétéro-biographie plutôt, intense, d'où toutes scories ont disparu. Vidit, il a vu. Scripsit, il a écrit. Vixit, il est mort.

03/2021

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Histoire de l'art

L'art de decrier ce qu'on n'entend point ou le medecin musicien - exposition de la mauvaise foi d'un

L'art de décrier ce qu'on n'entend point, ou Le médecin musicien : exposition de la mauvaise foi d'un extrait du Journal de Paris / [par Jean-Louis Le Cerf de la Viéville] Date de l'édition originale : 1706 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

12/2021

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Lecture 9-12 ans

Le Mystère de la rue des Belles Feuilles

Dans un immeuble tranquille de la rue des Belles Feuilles a? Paris, des objets pre?cieux disparaissent myste?rieusement. La police est impuissante et l'on finit par attribuer ces vols a? un fanto?me. Cela intrigue e?norme?ment Boogie et Woogie, deux jumelles, qui questionnent sans cesse leur cher Papy. A? la fin, le re?cit est pimente? par des investigations et la re?solution de l'intrigue d'une fac?on inattendue. La perception innocente et pleine de frai?cheur du monde par les enfants et les relations inter-ge?ne?rationnelles ont e?te? les fils conducteurs de l'ouvrage. On leur donne le gou?t d'apprendre et surtout de de?velopper leur curiosite?, le ve?ritable moteur de progre?s de l'humanite?. Instructif et ludique en me?me temps. Bon pour un sce?nario d'un film d'animation.

01/2019

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Histoires à écouter

Les sorcières de la rue des tempêtes

Un conte inédit écrit et interprété par Marlène Jobert, avec la participation exceptionnelle de Eva Green ! Illustré avec brio par Frédéric Pillot, ce récit pétillant nous transporte dans un univers féérique où se côtoient sorcellerie et magie... Ce soir, c'est Noël, la fête la plus belle, la plus magique de l'année pour les enfants ! Oui mais voilà, les sorcières de la rue des Tempêtes, comme toutes les sorcières, détestent les enfants. Un jour comme aujourd'hui, où ils sont si joyeux et excités, a de quoi les faire bouillonner de rage... Il leur vient alors une idée diabolique : kidnapper le père Noël, priver les enfants de cadeaux et semer ainsi la zizanie dans tous les foyers ! Les sorcières sont plus déterminées que jamais à mettre leur plan à exécution. Mais c'est sans compter sur l'opposition de leur jeune soeur, qui va tout faire pour contrer leur méchanceté et assurer la magie de Noël !

11/2018

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Histoire de France

Les larmes de la rue des Rosiers

Rue des Rosiers : le quartier juif de Paris. Il remonte au Moyen Âge. À partir du XIXe siècle, beaucoup de juifs d'Europe de l'Est, fuyant l'antisémitisme, y ont posé leurs valises. Ils l'ont appelé le Pletzl, la " petite place ", en yiddish. Aujourd'hui, le Pletzl s'est " modernisé ". Mais ses murs n'ont oublié ni les joies du passé ni les malheurs endurés. Ils parlent pour peu qu'on sache les écouter. Comme parlent les anciens, dont les parents s'étaient enracinés sur ces quelques hectares parisiens. Avant-guerre, ils avaient connu un village chaleureux, avec ses odeurs de charcuterie, de fromage fermenté et de hareng mariné, ses paliers vétustes et surpeuplés, ses ateliers... L'Occupation leur a volé leur enfance, leur adolescence. Au 36, rue des Rosiers, le père de Suzanne Malamout, Joseph, ouvrier boulanger, venait de Russie, sa mère, Malka, de Roumanie. Ils furent assassinés à Auschwitz, ainsi que trois des cinq frères de Suzanne et ses deux soeurs. Des parents de Victor, Maurice et Régine Zynszajn, épiciers au 54, il ne reste que quelques lettres écrites à Drancy, avant leur départ pour une " destination inconnue ". Egalement déportés, le père de Léa Stryk-Zigelman, Salomon, maroquinier à domicile, 9, rue des Guillemites ; celui de Sarah Romen-Traube, Jacob, poissonnier sous le porche du 27, rue des Rosiers ; celui de Clément Lewkowicz, Hersz, boucher au numéro 12, arrêté avec sa fille, Rosette, 12 ans. Mordka, le père de Milo Adoner, disait à ses six enfants : " Il faut rester ensemble." Milo est le seul survivant de la rafle qui vida le 10-12, rue des Deux-Ponts, de sa cinquantaine de familles. Jacob, le père d'Alexandre Halaunbrenner, 25, rue des Rosiers, fut fusillé pour acte de résistance. Son frère, Léon, 14 ans, mourut en haute Silésie. Ses deux petites soeurs, Mina, 9 ans, et Claudine, 5 ans, furent raflées par Klaus Barbie, à Izieu...Des histoires dramatiques qui scellent un chapitre de l'Histoire de France. " Une description de la rue des Rosiers et des rues avoisinantes... bouleversante de vérité vécue et partagée ", écrit Elie Wiesel.

03/2010

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Policiers

Le crime de la rue du Ciel

Si le comte de Faëneste (Blatier Perceval) n'avait pas eu l'idée de créer sur ses terres un parc d'attraction particulièrement détonnant... Si Dagobert Leroy (voisin) n'avait pas fait appel au sorcier local pour saboter ce projet... et si Brodequin Edmond (truand) n'avait pas planqué cent briques dans les environs avant de se faire sauter la caisse, à Couleuvre (Allier) le 14 juillet eût été fort paisible... Mais comme disait Dagobert : " de c'temps, vaut mieux aimer les ourages, et les oragans ! "

01/1988