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La couleur du trois

Extraits

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Techniques artistiques

Utilisation de la couleur

Pour créer des toiles vivantes et réussies, il est nécessaire d'avoir percé les secrets de la couleur. A travers plusieurs chapitres synthétiques, l'objectif de cet ouvrage est : D'affûter son regard pour bien comprendre les couleurs, De découvrir ce qui se cache derrière le cercle chromatique, De comprendre les relations entre couleurs, ambiance, température, ainsi que les notions de teinte, de valeur et de saturation, De cerner l'effet des couleurs sur l'ambiance d'une oeuvre, D'apprendre à composer la bonne palette pour réussir ses créations. Grâce à des notions accessibles et à de nombreux exemples concrets, ce livre permet de libérer l'artiste qui sommeille en chaque lecteur !

10/2019

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Littérature française

La couleur de Noël

Ca vous dit un calendrier de l'avent pas comme les autres ? C'est ce que vous proposent Aurore, Croco et Bouledogue dans " La couleur de Noël " : trois personnages pour trois histoires sur vingt-cinq jours, du 1 au 25 décembre. Vous voyagerez à travers la France et l'Australie, sous fond de fêtes de Noël, mais d'une façon que vous n'avez pas l'habitude de voir. Oubliez les films de Noël romantiques, là, c'est d'un tout autre calibre. Plaisir à vous de lire chaque jour un bout d'histoire, ou pour les plus impatients toute l'histoire d'un coup ! Ces trois personnages vous réservent des surprises, n'est-ce pas ? " Un changement, je vous le garantis ! Bonne fête à tous ! " - Aurore " Laissez-moi tranquille et vous passerez le meilleur Noël de votre vie ! " - Croco " Venez en Australie ! Vous verrez, il n'y a pas meilleur bouffe que chez nous. C'est garanti ou remboursé ! Enfin remboursé ? Heu... Non, c'est uniquement garanti, on n'a pas les moyens pour rembourser ! Ah ! Bonnes fêtes de fin d'année dans la chaleur australienne ! " - Bouledogue

11/2022

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Littérature française

La Ligne de couleur

1887. La peintre noire américaine Lafanu Brown est prise pour cible lors d'une émeute dans les rues de Rome. Sauvée in extremis par un anarchiste, elle commence à tisser des liens avec ce dernier qui la demande bientôt en mariage. En préambule à sa réponse, Lafanu décide de lui raconter sa vie. Celle d'une jeune fille née aux Etats-Unis de père Haïtien et de mère indienne. Encore enfant, elle devient la protégée d'une femme fortunée qui entend faire d'elle une icône du mouvement abolitionniste alors que frémissent les tensions qui conduiront à la guerre de Sécession. Mais pour Lafanu, du village dans lequel elle grandit aux rues de Rome en passant par les ports négriers ou les salons de l'aristocratie londonienne, une seule quête importe. Celle que ses pinceaux tentent d'imprimer sur la toile, celle des couleurs qui diront avec justesse son identité et lui permettront de gagner son indépendance. Dans cette fresque foisonnante, la romancière italo-somalienne Igiaba Scego nous livre le portrait d'une artiste affirmant sa liberté dans la tourmente de l'Histoire. Tissant habilement les liens entre passé et présent, La Ligne de couleur raconte les combats des femmes pour l'indépendance, la création et la liberté.

09/2022

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Notions

Mythanalyse de la couleur

Ce livre fait suite aux Couleurs de l'Occident : De la Préhistoire au XXIe siècle, paru en 2019, qui portait sur une analyse sociologique des systèmes et des codes de couleurs des sociétés occidentales en relation avec l'évolution de leurs structures et de leurs idéologies. Tandis que ce premier volume évoquait le contrôle social du langage des couleurs par les pouvoirs religieux, politiques, économiques, le second aborde le pôle opposé, l'irrationalité irréductible des couleurs qui relève des mythes et des imaginaires sociaux, ceux que les pouvoirs tentent de réduire à des codes institués, mais qui leur échappent et sont célébrées dans les mystères initiatiques, les médecines douces, la poésie et les arts, nos révoltes, nos subjectivités, jusqu'à devenir des marqueurs de nos différences individuelles. On s'est toujours évertué à expliquer les couleurs. Les chromatologues scientifiques s'acharnèrent à les échantillonner, numéroter, mesurer selon d'innombrables paramètres, et à les géométriser en cercles, triangles, cônes, sphères et autres solides, voire en système planétaire. Les artistes les explorèrent selon leurs effets inconscients, leur musique, leur seule puissance visuelle, leur magie. Les médecines douces les traitèrent comme des énergies corporelles. Les modes vestimentaires, le design, les cosmétiques en exploitèrent les symboliques irrationnelles. Elles sont apparemment devenues la liberté de notre regard, de l'artiste, de l'anarchiste, et même des psychotropes. Mais elles ont toujours été et demeurent aujourd'hui les couleurs de nos mythes et en suivent donc les codes, qui varient avec eux selon les sociétés et les époques.

03/2023

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Décoration

Annoncer la couleur

Avec son titre manifeste, "Annoncer la couleur" se donne pour la part la plus inventive du compagnonnage d'Ernest Pignon-Ernest et d'André Velter, chaque page faisant ici oeuvre commune par la mise en résonance directe de mots calligraphiés et d'un dessin. Une pratique poétique fusionnelle inédite qui, à sa manière, tend à détraquer adages, maximes et sentences en usant de l'action concertée d'un énoncé et d'une image.

03/2019

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Littérature française (poches)

La huitième couleur

Il est torero parce qu'il est vêtu de lumière. Alors, la peur s'avance et vient se loger dans un pli, au creux de l'aine, sous le ventre, ou dans la gorge.

06/2015

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Littérature étrangère

La Couleur pourpre

Dans la grande tradition du roman sudiste, La Couleur pourpre, qui dénonce l'oppression raciale et sexuelle dont furent victimes les femmes noires, a fait date. Celie et Nettie sont deux soeurs séparées à l'adolescence mais liées par un amour indéfectible que ne terniront ni les brimades ni le mépris, ni les guerres ni l'absence. Celie, mariée enfant à un homme violent, ne reçoit pas les lettres que lui adresse Nettie, devenue missionnaire en Afrique, car son mari les subtilise. Ignorant l'adresse de sa soeur, elle-même envoie ses lettres au Bon Dieu. Une correspondance sans espoir de réponse. Une correspondance qui sauvera les deux femmes du désespoir. Lauréat du prix Pulitzer et de l'American Book Award en 1983, La Couleur pourpre a été adapté au cinéma en 1984 par Steven Spielberg.

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Poésie

La couleur pure

Et le poète, avec la matière noire des mots, secoue de ses éclats la blancheur de la page, s'efforce lui aussi de ranimer le vide. Dans ce nouveau recueil, Paul Guillon (d)écrit la vie, notre existence. Des paysages d'Italie, des ambiances de famille, des regards tournés vers l'Infini. Et il y a les mots. Les mots pour partager ce qui a été vu, ou ressenti. Des mots comme des qualités des choses : impressions, odeurs, couleurs, saisies, comme fixées dans le langage. Mieux que la prose, la poésie dit l'envers du monde. Non pas sa face cachée, mais le rapport premier qu'il nous permet d'entretenir avec lui - rapport poétique, qui restitue dans "la matière noire des mots" ou les blancs de la page l'expérience d'un jour sous la couleur pure de l'écriture. Pour repousser le vide. Sur cette plage publique minuscule coincée entre deux hôtels fermés une femme allaite son enfant, accroupie. Le lait vital est invisible. L'homme qui fume à ses côtés regarde les volutes d'écume s'épandre devant lui sur le sable mouillé. Les yeux baissés, je les admire à leur insu, sans mots pour écrire mon poème. Les blancs qui l'animent sont là. Paul Guillon est professeur au collège Stanislas à Paris et auteur de trois recueils de poésie aux éditions Ad Solem.

05/2019

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Monographies

La couleur crue

Ce catalogue est publié à l'occasion de l'exposition "La couleur crue" qui se tiendra à Rennes au musée des Beaux-Arts du 25 juin au 13 septembre 2020 (dates à confirmer) L'exposition se concentre sur la relation entre la couleur et la matière. Derrière ce lien étroit, apparaît d'emblée la question - essentielle pour les artistes - de l'existence de la couleur à l'état naturel et de sa relation à la lumière. Comment existe-t-elle dans la matière même ? Peut-on toucher la couleur ? Peut-on la traverser ? Peut-on la capter, la figer, la transmettre ? Le terme de couleur crue renvoie aux éléments fournis en profusion par la nature, aux forces telluriques et aux socles communs d'une histoire de l'art plurimillénaire. Elle peut suggérer l'aspiration à une forme de simplicité, voire de pureté (originelle), par opposition aux sophistications des sociétés matérialistes. Elle peut également exprimer l'emploi direct d'objets trouvés, de matériaux considérés comme non nobles et des techniques artisanales abondamment remis au centre de la question artistique par plusieurs générations d'artistes du XXe et XXIe siècles, de l'Art & Craft à l'Arte Povera jusqu'à aujourd'hui. Enfin, la couleur crue c'est aussi des procédés chimiques et des expérimentations menées depuis toujours par les artistes. L'exposition explore ainsi la couleur de la matière dans la variété des formes et des formats dont les artistes se sont saisis : couleurs naturelles et artificielles ; pigments simplement recueillis ou transformés. Elle entre dans les profondeurs de la matière-couleur à travers des oeuvres, des processus et des expérimentations aussi bien naturels que technologiques, qui vont de la matière la brute à la plus insaisissable et instable. Liste provisoire d'artistes : Caroline Achaintre, Dove Allouche, Michel Blazy, Michele Ciacciofera, Edith Dekyndt, Sonia Delaunay, Daniel Dewar et Grégory Gicquel, Dan Flavin, Gérard Gasiorowski, Katharina Grosse, Ann Veronica Janssens, Anish Kapoor, Mike Kelley, Aglaïa Konrad, Wolfgang Laib, Perrine Lievens, Vincent Malassis, Flora Moscovici, Jean-Luc Moulène, Florian et Michaël Quistrebert, Evariste Richer, Anri Sala, SARKIS, Jennifer Tee, Adrien Vescovi, herman de vries, Jessica Warboys, Remy Zaugg...

07/2021

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Thèmes photo

Inventer la couleur

A l'occasion de la célébration du centenaire de la mort de Ducos du Hauron, inventeur agenais de la photographie en couleur, François Saint Pierre propose une exposition qui explore le rapport à la couleur dans la photographie moderne et contemporaine, essentiellement aux Etats-Unis et en France. Le catalogue réunit plus de 120 oeuvres de 19 photographes auteurs et artistes, autour des pionniers William Eggleston, Ernst Haas et Saul Leiter, qui, en faisant entrer la photographie en couleur au musée dans les années 60/70, ont battu en brêche le préjugé tenace selon lequel "le noir et blanc serait l'art et la couleur serait commerciale" . En Europe, où le monopole artistique du noir et blanc était encore plus marqué, l'Italien Luigi Ghirri dans les années 1970 et le Français John Batho dès 1963, s'engagent dans la photographie en couleur. "Je voulais savoir, déclare ce dernier, ce que la photographie pouvait avoir à dire au sujet de la couleur". Cette réflexion se prolonge avec des artistes du numériques comme Constance Nouvel qui explore ce que peut encore la photographie à l'heure des réseaux sociaux. Avec des photographies de Vincent Ballard, Sammy Baloji, John Batho, Denis Brihat, Alix Delmas, Philippe Durand, William Eggleston, Luigi Ghirri, Jan Groover, Saul Leiter, Mazdak, Ernst Haas, Pierre et Gilles, Bernard Plossu, Julien Richaudaud, Paolo Roversi, Laure Tiberghien et James Welling.

09/2021

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Littérature anglo-saxonne

La couleur pourpre

Dans la grande tradition du roman sudiste, La Couleur pourpre, dénonçant l'oppression raciale et sexuelle dont furent victimes les femmes noires, a fait date. Celie et Nettie sont deux soeurs séparées à l'adolescence mais liées par un amour indéfectible que ne terniront ni les brimades ni le mépris, ni les guerres ni l'absence. Celie, mariée enfant à un homme violent, ne reçoit pas les lettres que lui adresse Nettie, devenue missionnaire en Afrique, car son époux les subtilise. Ignorant l'adresse de sa soeur, elle-même envoie ses lettres au Bon Dieu. Une correspondance sans espoir de réponse mais qui sauvera les deux femmes du désespoir. "Une célébration éclatante de ce que signifie être une femme noire. La Couleur pourpre n'essaie pas d'adoucir la réalité mais s'accroche, courageusement, à une foi magnifique et revendiquée en l'avenir, le pardon, la bonté et l'espoir", Chimamanda Ngozi Adichie.

10/2022

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Littérature étrangère

La couleur isabelle

Ces chroniques de Peter Bichsel, choisies et traduites par Ursula Gaillard, sont parues dans la presse alémanique de 1980 à 2008. Elles ont davantage la saveur de contes que la tonalité de la narration historique ou anecdotique. Et c'est justement dans une histoire intitulée "Un conte d'hiver africain" que Peter Bichsel évoque la couleur isabelle à propos du "Livre", les Mammifères de la Terre du Or Schleyer, grâce auquel, écrit-il, il s'est éveillé au monde : "Je l'ouvre de temps en temps et cela commence toujours par une déception, ses illustrations ne sont plus d'emblée aussi captivantes qu'au moment du premier regard, mais quand je les regarde plus longuement, elles prennent la couleur du souvenir, cette couleur qui comme la couleur isabelle n'est pas une couleur de ce monde-ci, mais celle du monde qui commence à la gare du préposé Schleyer, la gare agricole royale. [...] Je n'ai encore jamais été en Afrique. L'école isabelle a ceci de particulier que ce que l'on y apprend, on ne l'apprend pas pour aller de l'avant ou plus loin, mais pour être là et pour rêver." L'écriture "dans le vent" de Peter Bichsel est le déclencheur de ces merveilleux rêves, lieux, objets, rencontres, a priori futiles, insignifiants, tissés de rien comme l'évoque Daniel Rothenbühler dans sa préface, "Le droit d'écrire sur rien", lorsqu'il cite la chronique "Je n'ai pas d'idée" : "Ecrire des chroniques, c'est frayer inlassablement avec son propre manque d'imagination. Et si quelqu'un me demande quelles sont "mes visées", je me sens honteux. Ma visée urgente n'est jamais rien d'autre que de remplir cette page avec des lettres [...] Inutile donc ? Oui, inutile ! C'est ce qu'il y a de bien quand on écrit des chroniques. [...] Quand on écrit des chroniques, l'écriture précède pour ainsi dire l'idée, écrire en soi et pour soi, et si, après-coup, on aura tout de même eu une idée, c'est plus surprenant pour la personne qui écrit que pour celle qui lit."

05/2012

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Littérature française

Poétiser la couleur

MABRIS nous invite dans cet album autobiographique à partager sa vie passionnée, à connaître sa propre rencontre avec la peinture, à découvrir certaines de ses oeuvres et voir ce qu'en disent les autres !!! Un récit inédit d'une femme d'aujourd'hui avec une destinée remarquable ! Ce témoignage passionnant, comme une urgence de vivre au goût d'une vaste fresque confessant un ailleurs, avec des instants poétiques arrachés aux tribulations de ce monde conforte une sorte de revanche sur la vie ! Si vous imaginez un monde tout rose, alors accrochez vos ceintures ! ...

03/2017

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Littérature étrangère

La couleur de la guerre

Les treize récits rassemblés dans La couleur de la guerre nous livrent une vision sans fard de la guerre en Tchétchénie. Les atrocités commises entre ennemis mais surtout le délabrement absolu de l'armée russe sont au centre de l'écriture d'Arkadi Babtchenko. Avec force et sobriété, il évoque les violences entre "camarades" , l'alcoolisme, la faim, la saleté et, surtout, la corruption. Car tout le inonde vend ce qui est vendable - y compris des armes et des munitions - à l'ennemi tchétchène. pour se procurer de la nourriture ou de l'alcool. L'armée russe rassemble des épaves humaines pataugeant dans la boue, couverts d'excréments et de poux, sans solidarité entre des individus qui ne savent plus pourquoi ils se battent. Les récits du jeune soldat Artiome, alter ego de l'auteur, sont à cet égard d'une noirceur absolue et soulignent en même temps l'étrange fascination qu'exerce sur les hommes cette descente aux enfers. Grâce à son talent littéraire, Arkadi Babtchenko nous offre bien plus qu'un témoignage : La couleur de la guerre est un tableau saisissant du désespoir et de la déshumanisation, un livre indispensable sur la condition humaine.

11/2009

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12 ans et +

La couleur de la rage

Tout adolescent affronte un jour la même question : comment se construire ? Comment devenir vraiment ce qu'on est ? Comment trouver son propre chemin ? En se battant, comme Théo ? En fuyant, comme Yan ? En s'ouvrant aux rencontres et aux émotions, comme Rodolphe ou Natalia ? Chacun s'y prend comme il peut. Jusqu'au jour où Fabien fera comprendre à son père qu'il est devenu assez grand pour se débrouiller. En adulte.

03/2010

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Psychologie, psychanalyse

La couleur de la résilience

Préfacé par Marcel Rufo, ce témoignage poignant évolue de l'hôpital à la résilience. "Les épreuves nous font grandir. Elles permettent de se révéler, de s'affirmer et de se découvrir aussi". Le récit d'Arnaud commence alors qu'âgé d'à peine 13 ans, il comprend qu'il est malade et que sa vie s'apprête à prendre un tournant très différent de celle des autres enfants. Il entame un long parcours au contact des médecins, se renferme sur lui-même, et vit dans la destruction et la peur. Puis progressivement, son monde change. Des rencontres le font évoluer. D'autres patients notamment, qui deviennent des amis. Puis des personnages forts, comme Marcel Rufo. Alors qu'il vit à l'hôpital, il décide d'écrire une pièce de théâtre pour rendre hommage à ces soutiens inattendus. La pièce est écrite et les années passent. Huit ans plus tard, le texte est découvert et déferle sur les réseaux sociaux. 6 millions de personnes sont touchées. Le texte le dépasse. Cette résilience l'emporte, et lui permet de fonder sa première start-up. Une entreprise qui fête aujourd'hui ses 3 ans et compte une équipe de presque 20 collaborateurs. La créativité et la lumière sont venues faire face à la noirceur de la maladie et de la solitude qui l'enlaçaient quand il était plus jeune. La Couleur de la résilience raconte cette évolution au travers de la voix d'Arnaud et de celles de témoins qui ont souhaité transmettre leur regard.

08/2020

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Littérature française

La recherche de la couleur

C'est chez Dayen que j'avais ressenti les premiers signes d'une déprise, d'un départ - j'ignorais alors qu'il serait précédé de beaucoup d'autres. Un accablement, une aversion soudaine pour le décor, le décor humain j'entends, car il y avait un piano. Qu'est-ce que mon corps - autrement dit ce qu'il me restait de ma vie - faisait là ? » Qui est François Novel ? Un homme qui vit d'écrire, un homme libre, qui entend bien le rester. Un événement dramatique va amplifier son sentiment d'exil, sa distance face au « décor humain ». Et quel décor ! Un faux ami, une chanteuse toxique, des figurants grotesques ou malfaisants. Tout un théâtre de cruautés et de vanités transcendé par l'irruption de personnages bouleversants. Car pour qui cherche la couleur dans un monde transparent, l'aventure se rencontre au coin de la rue. Voyage intérieur et tableau d'une époque, La recherche de la couleur fait éclater tous les cadres.

08/2012

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Littérature française (poches)

La recherche de la couleur

"Tout était affaire de regard. Ceux à qui il restait des yeux pour voir se passaient très bien de caméras de surveillance. Le spectacle était bestial. Les politiques dansaient sur le fumier. La pensée pendait à des crocs de boucher. Les ouvriers étaient dissous dans l'acide financier. Les enfants cognaient leurs parents. L'amour était l'autre nom de la vanité. L'hystérie avait pris corps. La poésie avait valeur de regret. Le temps, celui qui donnait une chance, une petite chance, au jeu, à la liberté, s'était compressé, réduit à une peau de chagrin. Les jeunes étaient vieux. Les vieux étaient morts. Les morts étaient oubliés. Des colonnes de fantômes défilaient de l'infirmerie psy aux poubelles de la Toile. On fabriquerait bientôt de nouveaux vaccins contre la modestie, la mémoire, le secret. Sur les Champs, Baudelaire m'avait repris en écharpe : "Je demande à tout homme qui pense de me montrer ce qui subsiste de la vie." "Voyage intérieur et tableau d'une époque, La recherche de la couleur jaillit de la palette d'un virtuose." Tout était affaire de regard. Ceux à qui il restait des yeux pour voir se passaient très bien de caméras de surveillance. Le spectacle était bestial. Les politiques dansaient sur le fumier. La pensée pendait à des crocs de boucher. Les ouvriers étaient dissous dans l'acide financier. Les enfants cognaient leurs parents. L'amour était l'autre nom de la vanité. L'hystérie avait pris corps. La poésie avait valeur de regret. Le temps, celui qui donnait une chance, une petite chance, au jeu, à la liberté, s'était compressé, réduit à une peau de chagrin. Les jeunes étaient vieux. Les vieux étaient morts. Les morts étaient oubliés. Des colonnes de fantômes défilaient de l'infirmerie psy aux poubelles de la Toile. On fabriquerait bientôt de nouveaux vaccins contre la modestie, la mémoire, le secret. Sur les Champs, Baudelaire m'avait repris en écharpe : "Je demande à tout homme qui pense de me montrer ce qui subsiste de la vie." "Voyage intérieur et tableau d'une époque, La recherche de la couleur jaillit de la palette d'un virtuose".

08/2015

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Paranormal, Bit-lit, Science-f

La couleur de la passion

Serena a réussi à pacifier Valéry et à faire taire son démon. Elle a enfin obtenu la puissance intellectuelle dont elle a toujours eu besoin. La prépa n'est plus qu'une formalité tandis que ce professeur qui la méprisait s'est fait soudain très respectueux. Et peut-être un peu plus... Alors que Valéry était là. A croire que le destin s'acharne. A croire que la paix lui sera toujours refusée. La violence est peut-être tout ce qu'elle mérite. "Je m'en fous, je m'en fous. C'est fini, Valéry." Mais comment pourrait-elle dire adieu à son seul allié alors que, plus que jamais, elle a besoin de force ? Pas pour elle, non, pour son ange : Fatoumata. Seul le pouvoir pourra sauver son amie d'enfance. "Je vois certaines choses que tu ignores encore et je sais que tu finiras par revenir vers moi. Bientôt, la puissance te manquera."

04/2021

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Policiers

La couleur de la peau

Comme beaucoup de Péruviens, Alberto Coiro est venu chercher du travail à Santiago du Chili, et lorsqu'il disparaît brutalement Heredia, le détective privé mélancolique et désabusé, se laisse persuader de partir à sa recherche. Il explore l'univers des vagabonds et des chiffonniers qui, la nuit, envahissent la ville. Il découvre les réseaux de jeux clandestins, les salles de billard, le trafic de cocaïne et tout un monde glauque. Mais il croise aussi le sourire de la jolie Violeta. Flanqué de ses complices habituels, son chat Simenon qui lui donne des conseils philosophiques, Seron le flic à la retraite, Anselmo le kiosquier turfiste et Campbell le journaliste, il nous plonge dans le Santiago de l'émigration et du racisme. Avec une intrigue bien menée dans une ville à la fois banale et fantastique, Diaz-Eterovic prouve qu'il est un auteur de romans noirs avec lequel il faut compter.

04/2013

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Littérature française

Couleur de lac

Afin de privilégier sa carrière, Gabrielle a fait le deuil de sa vie personnelle. Son entrain s'étiole pourtant jour après jour. Lorsqu'on lui impose une nouvelle affectation, elle y voit l'occasion de briser la routine qui l'étouffe. Tandis qu'elle s'interroge sur ce qui a réellement incité son employeur à lui confier ce poste, elle fait la connaissance de Melvil Vanier et de sa famille. Grâce à cette rencontre, elle s'autorise à penser qu'une autre existence est possible. Contre toute attente et pour la première fois, Gabrielle se sent enfin à sa place auprès d'eux. Cependant, ses doutes persistent. D'où vient en effet cette soudaine impression d'apaisement ? Pour quelle raison a-t-elle été mise sur le chemin des Vanier ? Surtout, quel est ce fil qui semble étrangement la relier à eux ? Est-ce le destin ou le hasard ? La vie n'est peut-être qu'un jeu de dominos dont on ne comprend l'enchaînement qu'à la toute dernière minute. "Il était faux de croire que l'on réalisait ce qui nous manquait quand on ne l'avait plus. C'était lorsqu'on le retrouvait que l'on en prenait conscience. Comme pour la musique, ce fut en redécouvrant une famille qu'elle sut qu'elle en avait besoin.

02/2022

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Littérature française (poches)

Couleur du temps

Pourquoi Baptiste, ancien peintre de Cour désormais oublié, tient-il à présenter à la plus grande exposition parisienne un Portrait de famille si démodé ? La touche, la composition, les vêtements des personnages, tout y est désuet ; rien, non plus, n'y semble accordé : dans cette famille figée par les années, la femme, en robe d'autrefois, a l'air d'une très jeune fille, les enfants sont des nourrissons, tous du même âge, tandis que l'artiste s'est représenté en grand vieillard... Que veut démontrer Baptiste V. ? Que cherche-t-il, en reparaissant ainsi brusquement sur le devant de la scène ? Dans ce roman d'un portrait, Françoise Chandernagor raconte l'histoire dune vie, et, à travers le destin d'un homme, la quête d'une couleur chère à tous les conteurs : la couleur du temps.

01/2006

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Littérature étrangère

La douleur du chardonneret

Sur la fin du siècle des Lumières, un prince, un sculpteur, un riche négociant, jeunes tous trois, quittent Liège pour le royaume ensoleillé de Naples. Ils vont à Naples voir certain fameux gantier, dont les trois filles..., et nous voilà partis dans un labyrinthe où la fiction est si insolemment fictive qu'elle transforme le lecteur lui-même en trompe-l'oeil. Dans ce jeu de miroirs, force nous est de suivre, en guise de fil d'Ariane, le chant à la fois douloureux, moqueur, vengeur et dérisoire d'un chardonneret apparemment victime de fillettes cruelles ou reflet de notre conscience malheureuse. On retrouve ici les thèmes chers à l'auteur de L'iguane : la pitié pour les êtres dépourvus de parole ; la présence permanente du mystère, du temps, de l'enfance oubliée. Un roman insolite, grave sous une apparence de sourire.

04/1997

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Poches Littérature internation

La douleur du chardonneret

Sur la fin du siècle des Lumières, un prince, un sculpteur, un riche négociant, jeunes tous trois, quittent Liège pour le royaume ensoleillé de Naples. Ils vont à Naples voir certain fameux gantier, dont les trois filles... et nous voilà partis dans un labyrinthe où la fiction est si insolemment fictive qu'elle transforme le lecteur lui-même en trompe-l'oeil. Dans ce jeu de miroirs, force nous est de suivre, en guise de fil d'Ariane, le chant à la fois douloureux, moqueur, vengeur et dérisoire d'un chardonneret apparemment victime de fillettes cruelles ou reflet de notre conscience malheureuse. On retrouve ici les thèmes chers à l'auteur de L'iguane : la pitié pour les êtres dépourvus de parole ; la présence permanente du mystère, du temps, de l'enfance oubliée. Un roman insolite, grave sous une apparence de sourire.

11/2019

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Littérature étrangère

La douleur du géant

" L'histoire nigériane est l'histoire africaine, une histoire que nous écrivons nous-mêmes sans être pleinement conscients de ce que nous essayons de dire. " C'est parce qu'il pense ainsi que Diekoye Oyeyinka, dans ce premier roman, a choisi de nous raconter la naissance du Nigeria libre. II le fait en donnant la parole au jeune Seun, qui, de retour au pays après des années de vie en Occident, va devoir renouer avec son histoire et celle du Nigeria, les deux étant inextricablement liées. Parfois, nous quittons Seun pour suivre d'autres destins - ceux d'Emeka, de Dolapo, d'Aisha -, et ensemble, c'est au Nigeria, ce géant africain, qu'ils donnent vie sous nos yeux. Le pays le plus peuplé d'Afrique, l'une des plus grandes puissances économiques du continent, gangrené par la corruption, est à lui seul un personnage saisissant. Le lecteur n'a pas d'autre option que d'être happé par ce récit puissant, poétique, violent et foisonnant. Ne passez pas votre chemin : ce livre vous habitera longtemps.

08/2017

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Histoire des religions

Les Rois Mages et les Trois Mondes

Le présent tome clôture la série de la "Collection de l'Aubépine". La relation avec l'Absolu depuis la chute du premier couple propulsé dans la spirale des cycles constitue le fil conducteur de ces ouvrages. Après avoir évoqué le pouvoir de médiation qu'offrent les pèlerinage courants ou initiatiques et encore la médiation mariale pour retrouver l'Age d'Or, le quatrième tome introduisait le lecteur dans le mystère des paraboles de Jésus, l'annonce du Royaume de la délivrance, ici, maintenant et à venir. Le présent tome traite des Rois Mages et des Trois Mondes qu'ils incarnaient. Venus d'Orient, ils furent fêtés dans l'Europe entière avec le plus grand faste. Ces personnages intemporels ont nourri l'imaginaire des populations depuis deux millénaires pour tomber à présent dans le folklore. Les réformes de l'Eglise Romaine de ces dernières années ont rendu illisibles le sens de ces personnages et les symboles qu'ils incarnaient au point d'annihiler leur "utilité" évangélique. Au-delà du mystère qui les entoure, les Rois Mages dont on sait peu de chose furent certainement la charpente de tout le Christianisme et de l'Europe politique jusqu'à la fin du 18ième siècle. Leur disparition de la scène médiatique masque "l'apport" de l'Orient à l'Occident.

12/2022

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Couture, tricot

Tricoter en couleurs. Guide technique et patrons pour mettre de la couleur dans vos projets

Sur le modèle de son livre sur le tricot jacquard, Anna Dervout propose de traiter, dans une approche plus globale, toutes les techniques permettant de tricoter en couleurs : rayures horizontales ou verticales, mosaïque, brioche bicolore, jacquard réversible, rangs raccourcis, tricot à carreaux... Ces méthodes pas ou peu documentées en français pour l'instant intéresseront toutes les tricoteuses expertes soucieuses de prolonger leur apprentissage.

09/2021

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Littérature française (poches)

La douleur

J'ai retrouvé ce journal dans deux cahiers des armoires bleues de Neauphle-le-Château. Je n'ai aucun souvenir de l'avoir écrit. Je sais que je l'ai fait, que c'est moi qui l'ai écrit, je reconnais mon écriture et le détail de ce que je raconte, je revois l'endroit, la gare d'Orsay, les trajets, mais je ne me vois pas écrivant ce Journal. Quand l'aurais-je écrit, en quelle année, à quelles heures du jour, dans quelle maison? je ne sais plus rien. Ce qui est sûr, évident, c'est que ce texte-là, il ne me semble pas pensable de l'avoir écrit pendant l'attente de Robert L. Comment ai-je pu écrire cette chose que je ne sais pas encore nommer et qui m'épouvante quand je la relis. Comment ai-je pu de même abandonner ce texte pendant des années dans cette maison de campagne régulièrement inondée en hiver. La douleur est une des choses les plus importantes de ma vie. Le mot "écrit" ne conviendrait pas. Je me suis trouvée devant des pages régulièrement pleines d'une petite écriture extraordinairement régulière et calme. Je me suis trouvée devant un désordre phénoménal de la pensée et du sentiment auquel je n'ai pas osé toucher et au regard de quoi la littérature m'a fait honte.

06/2007

ActuaLitté

Littérature française (poches)

La douleur

Le scandale que causa La Douleur, lors de sa parution, n'est pas sans rappeler celui qu'avait provoqué auparavant Le Diable au corps de Raymond Radiguet. Les deux romans ont un point commun : La Douleur aussi est une histoire de guerre et d'adultère. Circonstance aggravante, c'est d'un prisonnier allemand que s'éprend Mme Delombre, veuve d'un officier français tué au front... Si l'anecdote a perdu le pouvoir de choquer qu'elle avait sur les lecteurs de 1930, la description d'une obsession charnelle qui parle plus fort que les sentiments sous lesquels elle tente de se dissimuler garde au livre toute sa puissance. La douleur évoquée par le titre n'est pas une douleur morale, c'est celle qu'entraînent les pulsions inavouables et les fantasmes combattus.

04/2011

ActuaLitté

Histoire de la philosophie

La Douleur

"Les réflexions que renferme ce livre voudraient s'offrir, non pas aux saints, qui ont Dieu tout près de leur coeur, mais aux âmes moins favorisées qui le cherchent encore, ou qui, par moments, croient le voir disparaître derrière les infortunes et les afflictions de la vie. Les coeurs que la Foi emporte sur ses ailes n'ont besoin d'aucun autre secours ; mais ceux qui ne sont soutenus que par leur propre vol, à tout instant se heurtent à une voûte obscure, et de là tombent dans la nuit." "Du haut des clartés supérieures, les saints ont révélé le côté divin de la douleur. Il est peut-être utile aujourd'hui de la justifier, d'en montrer tous les avantages à notre esprit, présentement moins noble et plus attaché à lui-même. "Les causes d'affliction se multiplient de nos jours, pendant que les organes débilités et les odeurs, sans doute plus faibles, nous trouvent moins disposés à prendre un parti héroïque. En général, les âmes avaient autrefois plus de force ; et quant à celles qu'enivrait l'impression du beau, on ne les voyait point s'évaporer dans une vaine littérature ou dans de vains soupirs, comme le font à cette heure tant d'écrivains, d'artistes et de rêveurs."

01/2024