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Jusqu'à ce que mort s'ensuive

Extraits

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Manga

Jusqu'à ce que nos os pourrissent Tome 2

Cinq ans se sont écoulés depuis que les cinq amis d'enfance ont tué le père de Shin. Peu de temps après leur réunion annuelle, le squelette est volé par un mystérieux maître-chanteur qui menace de révéler leur secret s'ils n'exécutent pas ses ordres... Après avoir démembré un cadavre et caché les morceaux, quelle sera la prochaine tâche qu'ils devront effectuer ? Le pire reste encore à venir...

07/2018

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Manga

Jusqu'à ce que nos os pourrissent Tome 7

Leur promesse à Muguet tenue, Shintarô et ses amis respirent enfin. Mais c'était sans compter sur la police, qui les soupçonne de l'assassinat de Kitahama ! Au pied du mur, les quatre amis se réunissent. Tous tombent cependant des nues lorsque Shintarô se désigne comme coupable pour tenter de protéger le véritable meurtrier... l'un de ses trois complices. Le rideau tombe enfin sur le dernier acte macabre de cette sordide affaire.

05/2019

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Manga

Jusqu'à ce que nos os pourrissent Tome 5

Déterminés à mettre fin à leur cauchemar, Shintarô, Ryû, Tsubaki et Haruka s'efforcent de rassembler les pièces du puzzle pour découvrir qui est le maître-chanteur. Shintarô semble être sur une piste et se rend à son ancienne école primaire en quête d'un ancien professeur... Pendant ce temps, la relation entre Tsubaki et Haruka évolue...

01/2019

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Littérature française

Ce que l'amour doit à la mort

Etrange destin pour cette famille qui va mener un incessant combat entre les flammes meurtrières et la mer assassine. Le jeu du hasard et les facéties des coïncidences sont les capricieux éléments du quotidien de la vie de "mes" héros. La digne Estelle nous donne, sans prétention, une leçon de courage et de lucidité quand les jours muets succèdent aux nuits sans goût. La vie est parfois un jeu de légo dont on aurait perdu la boîte pour ensuite ranger les pièces. Mais des emboîtements hasardeux naissent parfois des destins glorieux. La vie est un éternel espoir toujours recommencé... .

01/2017

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Littérature française

Ce que dit la vie Ce que dit la mort

Le personnage mérite toute notre attention. A peu près parfaitement oublié de nos jours, alors qu'il fait indiscutablement partie de l'histoire littéraire du XIXème siècle, Maurice Rollinat (1846-1903) qui se voulait embrasser une carrière d'écrivain, rejoignit, comme il se doit, Paris. On put alors le voir et l'entendre au Chat noir, au piano (qu'il maîtrisait avec brio, dit-on) exécuter ses propres poèmes en musique. Puis vint le temps où ses poèmes furent l'objet d'une certaine et réelle admiration, lorsque parut notamment en 1889, un recueil intitulé : Les Névroses. Enfin, malade, usé, on le vit laisser derrière lui ces années parisiennes et se retirer dans la Creuse où jusqu'à sa mort il poursuivra son oeuvre, avant d'être emporté par la maladie, à cinquante-six ans, après plusieurs tentatives de suicide.

10/2023

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Littérature étrangère

Jusqu'à ce que les pierres deviennent plus légères que l'eau

Un jeune sous-lieutenant, après avoir servi en Angola pendant vingt-sept mois, rentre au pays où il ramène un tout jeune orphelin. Cet enfant noir, qui a survécu à la destruction de son village et au massacre des siens par l'armée portugaise, il va l'élever comme son propre fils. Plus de quarante ans plus tard, le vétéran et sa femme ont fait le trajet depuis Lisbonne pour rejoindre la vieille maison de famille, dans un village reculé et quasi abandonné, quelque part au pied des montagnes. Dans trois jours, conformément à la tradition, on tuera le cochon. Comme chaque année, leur fille, leur fils adoptif et son épouse, les rejoignent pour l'occasion. Dès le prologue, on apprend que ces retrouvailles connaîtront un dénouement tragique : le jour de la tue-cochon, l'animal ne sera pas le seul à se vider de son sang. Dans les vingt-trois chapitres que compte le livre, à mesure que l'on s'approche du terme fatal de ces trois journées, on entendra alternativement les voix des différents membres de la famille, tout particulièrement celles du père, que l'Angola " ne lâche pas ", et de son fils adoptif. L'ancien militaire n'en finit pas de revivre les horreurs de la guerre : toutes les attentions de sa femme, pourtant elle-même forcée de se battre contre un cancer, et les séances collectives de psychothérapie à l'hôpital n'y font rien. Quant à son fils, c'est une autre guerre qu'il mène : sans cesse renvoyé à son identité de " Nègre ", il est en butte à l'hostilité générale et au racisme le plus vil, y compris de la part de sa propre épouse, qui le méprise et l'humilie. Après des décennies de non-dits, de souvenirs escamotés, d'interrogations refoulées, quelles relations ces êtres peuvent-ils encore entretenir ? Dans ce nouveau livre de Lobo Antunes, poignant, brutal, violent, mais qui sait également être tendre, délicat, une fois encore chacun fait de son mieux pour sauver sa peau – et sa part d'humanité.

01/2019

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Littérature étrangère

Ce que la mort nous laisse

Dans ces stations balnéaires méditerranéennes, les saisons sont rythmées par le flot insouciant des touristes. Pour les habitants, en revanche, ce sont toujours les mêmes jalousies, les mêmes rivalités, les mêmes clans. La trop belle Lucia attire les regards et déchaîne les commérages. Qu'il serait facile de lui imaginer une liaison avec le séduisant Ignacio Robles, fils à papa propriétaire d'une agence immobilière... Mais qui prendrait le risque de déclencher l'ire de son mari, le Crocodile, commandant local de la Guardia Civil ? Celui-ci a pourtant d'autres problèmes : il craint que ses accommodements avec la loi soient mis au jour quand le corps d'un jeune homme est découvert sur la plage... Tous les ingrédients du drame à venir sont réunis. Vingt ans après, le narrateur se souvient.

09/2019

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Santé, diététique, beauté

Plus fort que la mort

Louis va mourir d'un cancer, Matie sait qu'elle lui survivra. Les deux amants (mari et femme) entament un dialogue d'une rare intensité dans leur combat pour la vie - qu'ils mènent, avec la complicité du Dr Lévi, contre toute raison et tout espoir. A la fois témoignage et récit sur ces trois années de lutte contre la maladie, Plus fort que la mort est essentiellement une histoire d'amour. Retour sur l'enfance de Louis, pages de journal de Marie, lettres de l'un à l'autre pendant l'hospitalisation - la manière dont on est traité (ou maltraité) quand on est gravement malade, par les soignants, la famille, les amis fait partie de ce qui est ici mis crûment en lumière -, comment la maladie les a éprouvés, ce qu'elle a détruit, ce qu'elle leur a appris. La profondeur spirituelle du couple, l'un citant volontiers les Lettres à Lucilius de Sénèque pour s'exprimer, l'autre l'évangile de Marc, la qualité de l'écriture et la lucidité de chacun sonnent juste et entraînent le lecteur dans une réflexion qui donne toute sa valeur à la vie et à l'amour.

03/2006

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Littérature scandinave

La réalité jusqu'à la mort

...en une vingtaine d'années, le Roi Pétrole avait pris le pouvoir. La voiture et le sport avaient abîmé les individus. Le cinéma les avait abrutis, en étouffant leur faculté d'observation, la presse hebdomadaire les avait empoisonnés de son venin spiritueux.

03/2023

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Littérature française

« Vous n’êtes personne » ... Jusqu’à ce que vous deveniez VOUS

Je me suis bien longtemps fourvoyée à vouloir rentrer dans les cases imposées par notre chère Société. Toutes ces années, il ne me servait à rien de lutter, car ma véritable essence était ailleurs que dans les médias, pour lesquels j'ai étudié six années, puis travaillé et où l'on m'a dit pour m'en remercier : "Vous n'êtes personne" . A tort, on m'a pensée bipolaire, dépressive, anorexique car étiqueter permet de vous ranger dans une case : faudrait surtout pas déranger ! Enfant indigo, je me suis toujours sentie "à part" , sans être capable de poser des mots sur mes maux. J'ai grandi dans l'ignorance de moi-même avec la non-compréhension de mes capacités extra-sensorielles et l'errance médicale. Grâce à différentes rencontres, différents signes et surtout de nombreuses évidences, parsemés depuis mon enfance, ce n'est qu'aujourd'hui, à 33 ans, que je comprends et qu'enfin je perçois le bout à bout du bout. Et oui, le puzzle prend forme. J'ai compris avoir traversé le pire pour accéder au meilleur de moi-même, j'ai identifié que tout ce que je vivais au fil du temps se nommait kundalini, nuits noires de l'âme, éveil et réveil spirituels. Si j'ai longtemps rejeté cette incarnation et ce corps, trop dense, que je cherchais à gommer, je suis désormais éclairée, prête à emprunter mon vrai chemin, celui de ma mission de vie, de ma liberté. Ce recueil, c'est avant tout, ce que furent mes cris d'au-secours, mes cris d'amour. La résultante d'une introspection profonde de plusieurs années... Et d'un pacte d'honnêteté passé, en tête à tête avec moi-même, lors de mes 27 printemps. Un condensé d'espoirs, de forces, de prises de conscience qui m'ont menée à devenir, pour enfin tout simplement : Etre ! Forte de ces chaos vécus, je partage, ici, mes écrits, fruit de ma plume, de mes amertumes, de toutes mes brumes et enfumes ! Je souhaite insuffler espoir à celles et ceux qui sont en mal de s'aimer, de se comprendre, de vivre. La Vérité qui est mienne leur apportera peut-être un éclairage, une possibilité de donner un sens, de se déculpabiliser et de sortir de l'errance. Surtout, j'espère semer un peu de magie dans ce monde de lutte !

03/2019

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Littérature française

Ce que vivent les morts

Quelque chose d'horrible est arrivé. La folie d'une femme l'a conduite à commettre l'irréparable. Enfermée dans un hôpital psychiatrique, elle n'a que des souvenirs embués de sa vie avant l'évènement qui l'a conduite dans cet endroit. Son mari qui n'a jamais cesser de l'aimer vient lui rendre visite régulièrement. Prise au piège de ses rêves et de ses souvenirs, confondus avec la réalité, elle ne lui demande qu'une chose. Qu'il obtienne justice.

09/2014

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Policiers

Ce que savent les morts

Un jour, la vie des Bethany vole en éclats lorsque leurs deux filles, âgées de onze et quinze ans, disparaissent dans un centre commercial de Baltimore. Leurs corps n'étant pas retrouvés, les enquêteurs ne comprennent pas comment on a pu les enlever sans qu'un seul indice permette d'identifier le ou les coupables. Y a-t-il eu violences (mais... sans témoins dans un lieu très fréquenté?) ou ont-elles été attirées à l'extérieur du centre? Mais par qui et comment? Et voilà que trente ans plus tard, une jeune femme très choquée par un accident de voiture dit être la cadette des soeurs. Sceptiques, les enquêteurs veulent savoir où elle était passée, pourquoi elle a attendu si longtemps pour se faire connaître, bref, si elle dit la vérité. Hormis certains détails que seul quelqu'un de la famille pourrait connaître, rien en effet n'étaye les dires de la dame, tout conduisant à des impasses... qui, fait troublant, ont de plus en plus de sens et semblent compromettre un ancien flic de la ville.

04/2009

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Littérature française

Plus fort que la mort. Mystère

Au début, il y a les racines. Aux noms et dates effacés : en Europe de l'Est, un cimetière des oubliés - baptisé "l'Eternité" - attend ses promeneurs. Un jour, une idylle prend corps au chevet des morts. Pour Eva et Dan, le cimetière devient un jardin, sinon un Eden. La suite ? Tout le monde la connaît : un profond sommeil doit descendre sur l'homme, une nuée de voix sur la femme. Et la chair est refermée à sa place.

02/2017

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Policiers

Jusqu'à ce qu'il n'en reste rien

Tu es partie vers un ailleurs. Tu es partie et, pourtant, tu es encore là. Je le sens, je te sens. Tu rodes sur la fête comme ces esprits que tu redoutais. Et tu cries vengeance. Et moi, ton ami, ton amoureux, qui ne serai jamais ton amant et encore moins ton mari, j'entends ce cri comme tous les hurlements que... Ma belle amie, l'amour de ma vie, ma dame blanche, puisque les "esprits" ne feront rien, je te vengerai. Je t'en fais la promesse. Puis je te rejoindrai. Mais avant, j'attendrai jusqu'à ce qu'il n'en reste rien... Une intrigue bien construite servie par un style efficace, font de ce polar un roman qu'on ne lâche pas et dont on se souviendra.

03/2017

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Histoire ancienne

Brutus. La République jusqu'à la mort

"Toi aussi, mon fils..." C'est à ce cri de Jules César que Marcus Junius Brutus doit sa célébrité. Né vers 85 av. J.-C. , Brutus n'est pas le fils de César, mais celui de sa maîtresse Servilia. C'est un jeune homme brillant que le grand général a pris sous son aile protectrice, le pensant promis à un grand avenir. Pourtant, le 15 mars de l'an 44, Brutus est l'un de ceux qui percent de vingt-trois coups de poignards le corps de César. Les conjurés reprochent à celui qui vient d'être proclamé dictateur à vie d'avoir piétiné une République déjà moribonde au profit de sa toute-puissance. Pire, on le soupçonne de vouloir être fait roi. S'il n'est pas l'instigateur du complot, Brutus en a pris la tête, poussé par les Républicains, en raison de sa réputation d'homme vertueux et de grande rigueur morale. Mais, faute d'un projet élaboré, l'attentat se solde par un fiasco politique. Poursuivi par la haine de Marc Antoine, qui se pose en vengeur de César, Brutus choisit l'exil. Féru de philosophie, ami de Cicéron, Brutus n'aime ni la violence, ni la guerre. S'il fait couler le sang de César, c'est au nom d'un idéal de liberté et de justice. S'il lève des légions avec son complice Cassius, c'est dans l'espoir de rétablir la République d'antan. Mais c'est encore un échec. Brutus meurt en octobre 42 à la bataille de Philippes, défait par Marc Antoine et Octave, le futur empereur Auguste. En tuant César, Brutus a-t-il rendu service à Rome ? Rien n'est moins sûr si l'on en juge par les quinze années de désordre qui ont suivi son geste. Une histoire aux multiples rebondissements entre amitié et trahison, idéalisme et duplicité, que nous racontent Plutarque, Appien, Suétone, Dion Cassius, Nicolas de Damas et Cicéron.

02/2017

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Histoire internationale

Castro. Le socialisme jusqu'à la mort

En 1959, Fidel Castro s'empare du pouvoir à Cuba. Il ne le lâchera que près de cinquante ans plus tard, vaincu par la maladie, pour le transmettre... à son frère. Entre-temps, il aura survécu aux complots de la CIA, fait risquer au monde en 1962 la guerre nucléaire, vu le grand frère soviétique s'écrouler. Et aussi fasciné une certaine gauche malgré son mépris de la démocratie et son complet échec économique.

02/2015

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Littérature française (poches)

Et ensuite...

"Lorsque j'y pense, je m'étonne d'être toujours en vie... On ne peut pas dire que je n'ai jamais pensé à aller de l'autre côté depuis ce fameux jour et pourtant, il doit y avoir une force, quelque chose ou quelqu'un qui, inconsciemment, me retient de ne pas franchir cette ligne. ". .

10/2012

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Ethnologie

Le monde jusqu'à hier. Ce que nous apprennent les sociétés traditionnelles

Les passagers, munis de titres de transport électroniques, de bagages de cabine passés aux rayons X, attendent, guidés par un personnel aux uniformes seyants et sous l'oeil d'une police affairée à regarder les écrans de contrôle de sécurité, d'embarquer pour Wapenamanda, Goroka, Kikori, Kundiawa et Wewak. Nous sommes à Port Moresby, capitale de la Papouasie-Nouvelle-Guinée. Rien que de normal. L'essentiel est ailleurs : ces hommes d'équipage, ces policiers à gadgets électroniques et ces passagers coutumiers de l'avion sont les descendants directs de ces millions de Papous, découverts par une expédition australienne en 1931, vivants isolés dans leurs diverses vallées montagneuses, en petites sociétés closes, dépourvues d'écriture, de monnaie, d'écoles et de gouvernement centralisé, à un âge trop vite jugé "de pierre". En quelque quatre-vingts années, la population des Highlands de Nouvelle-Guinée a vécu des changements qui prirent des millénaires à advenir dans le reste du monde. Jared Diamond, qui découvrit la Nouvelle-Guinée en 1964 pour sa première étude de terrain ornithologique, pose la question, rarement envisagée : que nous apprennent ces Papous de ce que les Occidentaux ont perdu avec la disparition des sociétés traditionnelles ces sociétés structurées en groupes de faible densité de population (allant de quelques dizaines à quelques milliers d'individus), subsistant de la chasse et de la cueillette, de la culture ou de l'élevage, et que les contacts avec les grandes sociétés industrielles ont transformées de façon limitée ? Elles ont en effet inventé des milliers de solutions aux problèmes humains différentes de celles adoptées par nos sociétés modernes. Certaines par exemple, des manières d'élever les enfants, de traiter les personnes âgées, de demeurer en bonne santé, de bavarder, de passer le temps libre, de pratiquer le multilinguisme ou de régler les litiges semblent supérieures à celles des pays occidentalisés et riches. Les sociétés traditionnelles peuvent nous inspirer quelques meilleures pratiques de vie, mais également nous aider à évaluer d'autres avantages de notre propre société que nous avons fini par considérer comme normaux.

10/2013

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Poésie

Jusqu'à n'être que solitude

Il s'agit de la première publication des textes d'un jeune poète et slameur new-yorkais. Ils abordent les thèmes du métissage, de l'identité, de la famille, du passage de l'adolescence à l'âge adulte, de la vie urbaine. L'écriture de Miles Hodges est brute et évocatrice, jouant d'images fortes et d'analogies pour décrire ses états d'esprit, son rapport à la poésie et ses déchirements les plus intimes. Ses textes, nourris des cultures qui font la richesse de son métissage, sont étroitement liés au rythme — celui des battements de la vie — syncopé et intense. Ses mots frappent, claquent, s'entrechoquent et leur vibration crée l'émotion. Il se joue des moments de confusion de l'esprit et les intègre dans son écriture, conférant à cette dernière une dimension onirique.

09/2021

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Lecture 6-9 ans

Le prince qui ne savait compter que jusqu'à sept

Il était une fois un prince qui avait un problème avec les chiffres. Ce n'était pas très pratique pour la vie de tous les jours...

06/2018

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Critique

Jusqu'à ce qu'ils me disent. Lectures 2015-2020

Ce livre est un recueil de notes de lecture publiées entre 2007 et 2020. Elles concernent une trentaine d'oeuvres d'écrivains européens, pour l'essentiel, français, anglais, allemand, suisse et russe (d'Emily Brontë à Muriel Pic). Si Shoshana Rappaport y évoque bien certaines affinités électives (Woolf, Plath, Tchekhov), l'absence de Marina Tsvétaïeva, qu'elle avait évoquée fraternellement dans un précédent volume, suffit à faire comprendre que ce recueil ne prétend en aucune façon à dresser un panorama exhaustif de ses goûts en littérature. En revanche, d'une lecture à l'autre - de la redécouverte enthousiaste des vers du Kamasutra au plaisir de lire les lettres de Beckett, Boussole, de Mathias Enard ou la Chronique des sentiments, d'Alexander Kluge - ce recueil ouvert aux quatre vents des sensations complète le portrait d'une lectrice sensible, au plus haut degré, à la matière émotive du langage. Les notes sont réparties entre quatre chapitres : "Demain, qui sait, nous serons libres" , "Un autre usage du monde" , "Fixer la beauté" , "Tout près des oiseaux" , qui chacun renvoie, plus ou moins, à une dimension du réel : amoureuse, géographique, esthétique, spirituelle. Ce qu'écrit Shoshana Rappaport de l'oeuvre de J. -B. Pontalis révèle peut-être ce qui la retient dans ses lectures, et qu'elle voudrait mettre au jour : "entre le portrait d'un autre et un autoportrait, parler ''davantage à travers soi que de soi''. Au préalable, chercher à saisir l'état intermédiaire, tel entrelacs indistinct, où surgit une parole livrée au monde lorsqu'elle n'est pas entravée". Au fil des notes ("vicissitudes de la lecture, errance") surgissent des interrogations qui lui sont essentielles. Chez Shoshana Rappaport, l'art de la lecture est une autre façon de faire retour sur soi : "Peut-on dire non à sa propre vie ? " , "Une femme peut-elle ou non renouer avec un ancien amant ? " , "Le plaisir s'enseigne-t-il ? " , "Comment parvenir à se ''décentrer'' sans se délester de ce que l'on est, partant de ce que l'on deviendra, rencontre faite ? " , "De quoi (s') est-on éloigné ? De quoi vit-on séparé ? " , "En quoi la lecture dite ''littéraire'' est-elle cathartique ? " A ces questions délicates, qu'on se formule aux heures de souffrance, la lectrice oppose toujours une protestation de vitalité : "Amants soyez inventifs" , conseille-t-elle à son lecteur. Dédié à sa fille, ce livre peut se lire comme une déclaration d'amour à la vie sous toutes ses formes. Reprenant à son compte une notion d'Hélène Merlin-Kajman, l'auteur se propose de "de défendre, non pas un patrimoine littéraire, non pas un corpus prescrit, mais une zone privilégiée, une zone à défendre (ZAD), dans laquelle les échanges peuvent et doivent avoir lieu, espace ouvert, nécessaire, sans lequel il n'y a pas de littérature".

11/2022

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Roman d'amour, roman sentiment

L'amour plus fort que la mort

Deux êtres complètement opposés, qui se retrouvent opérés en même temps et dont le coeur s'arrête en même temps, leurs âmes se retrouvent là-haut. Tout à coup, alors qu'ils sont au point de non-retour, ils se voient, se regardent, bref le coup de foudre, et cela les ressuscite, les ramène à la vie dans leurs corps. Après le coma, ils repartent dans leur vie à la quête de l'autre. Se retrouveront-ils ? Vivront-ils leur amour qui est né dans l'au-delà ici sur la terre après cette expérience d'EMI (expérience de mort imminente) ? En sortiront-ils changés ? Lisez ce livre et vous saurez si : L'AMOUR EST PLUS FORT QUE LA MORT !

03/2023

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Littérature française

Un désordre plus fort que la mort

"Je suis au chevet de ma mère. J'attends sa mort. Je ne l'appréhende pas, non, je l'attends. Je l'attends avec impatience, avec rage ! Voilà des heures qu'elle gît là, livide, les yeux clos. Dort-elle ? Est-elle morte ? Fait-elle semblant ? Elle en serait bien capable. A vrai dire, je n'en sais rien. Ma mère a toujours été difficile à cerner. A onze heures du matin, comme chaque jour depuis mon arrivée, j'ai tiré les rideaux. Moins de lumière, geint-elle. Toujours à se plaindre. Jusqu'à son dernier souffle. Certes, il peut s'agir d'une gêne. Sans doute l'éclat du soleil lui brûle-t-il les yeux, chose logique à l'article de la mort, d'autant que depuis ces dernières années elle s'est mise à collectionner les lunettes de soleil, énormes, bombées devant, larges sur les côtés, qui lui donnent l'air d'une mouche ou d'un motocycliste. A quelle profondeur a-t-elle plongé ? Au fin fond des abysses, ou va-t-elle remonter brusquement à la surface comme le cadavre de Paul Meurisse dans la baignoire des Diaboliques, ses yeux écarquillés, pour me terroriser ? J'ai sorti mon petit miroir, je l'ai approché de ses lèvres. Un, deux, trois... Rien... A quatre, il s'est embué".

10/2021

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Religion

L'amour plus fort que la mort

Ce livre est le témoignage du cheminement de la pensée d'une mère à partir de l'événement-choc qu'a été le décès accidentel de son fils, puis de son mari.

04/2015

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Philosophie

Vivant jusqu'à la mort suivi de Fragments

Dans cette très belle méditation, un philosophe se débat avec l'espérance de survivre, tout en se trouvant dans l'impossibilité intellectuelle et spirituelle d'acquiescer à toute vision naïve d'un autre monde qui serait le monde en double, ou la copie, de ce monde-ci. Il faut faire le deuil de toute image, de toute représentation. C'est en 1996 que Paul Ricoeur, âgé de 83 ans, pose la question: "Que puis-je dire de ma mort?" Comment "faire le deuil d'un vouloir-exister après la mort " ? Cette longue réflexion sur le mourir, sur le moribond et son rapport à la mort, également sur l'après-vie (la résurrection), passe par deux médiations: des textes de survivants des camps (Semprun, Levi) et une confrontation avec un livre du grand exégète Xavier Léon-Dufour sur la résurrection. La seconde partie du livre est faire de textes écrits en 2004 et 2005, que le philosophe a lui-même appelés "fragments " (sur le " temps de 1œuvre " et le temps de la vie", sur le hasard d'être né chrétien, sur l'imputation d'être un philosophe chrétien, sur la controverse, sur Derrida, sur le Notre Père...). Textes courts, rédigés parfois d'une main tremblante, alors qu'il est déjà très fatigué. Le dernier, de Pâques 2005, a été écrit un mois avant sa mort.

03/2007

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Théâtre

Jusqu'à ce que le jour nous sépare ou Une question de lumière

Jusqu'à ce que le jour vous sépare : une réponse à La dernière bande de Beckett ? Une réponse ? Plutôt un écho. Un écho tantôt loin, dans l'espace et aussi dans le temps, tantôt tout près de Monsieur Krapp, le héros solitaire de la pièce de Samuel B. Un écho tantôt faible, contradictoire, mutilé, tantôt fort, fortifié, magnifié. Pour cela j'ose appeler ce monologue - écho, un drame - un très petit drame - comme La dernière bande, est un drame, un très grand. Beckett a achevé, avec cette pièce, la réduction parfaite, nécessaire, du théâtre, tout en se libérant des restes du symbolisme et des opinions sur l'existence dans ses autres grandes pièces. La dernière bande incorporise peut-être le point final ou le terminus du théâtre, d'un pur théâtre. C'est une pièce primaire, essentielle et ludique. Après Beckett ne sont arrivées que nos pièces secondaires, comme par exemple jusqu'à ce que le jour vous sépare : plus de réduction, plus d'espace zéro possible - que des traces des égarés (ici : une [1] égarée...) Mais il fallait, il faut peut-être s'égarer, dans l'intérêt de la scène, dans l'intérêt du théâtre ? Comme je me suis dit un jour : "je vais résolument m'égarer". Egarés, nous ? Ou embarqués ? Egarés et embarqués ? Comme a écrit Pascal : "nous sommes embarqués !" - "Echo", si je me rappelle bien, signifie dans la mythologie grecque aussi une personne, une petite déesse ou une nymphe (dictionnaire : "déesse d'un rang inférieur, qui hantait les bois...") - en tout cas une femme, une voix féminine.

03/2009

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Poésie

Le mot à mort

Le poème, ici et par la suite, malaxe les mots au lieu de les exposer : il en projette l'une contre l'autre les syllabes, et ce sont cassures en cascades et bataclan d'impressions toujours fusant à perte de sens. On y perd sa petite logique dans des " pitre pâtre part paître à part " avant de trouver " l'accès à l'excès " et de régler les soubresauts de sa langue sur des saccades qui, à force de vous secouer, font sens : un sens décapé de toutes les vieilles contraintes.... Peu de pages sont nécessaires pour réussir et imposer une Révolution. Celle qu'Alain Joule, ici, mène jusqu'au bout ne proclame rien : elle défait des chaînes demeurées invisibles et pousse les mots à l'union libre du sens et de la sonorité... Extraits de la préface de Bernard Noël Par-delà " les sens " Le Mot à Mort est un acte d'Amour. La mort qui est la fin du processus de vie se place dès lors qu'elle s'effectue au début d'un autre processus, celui de la mutation par laquelle les cellules en décomposition vont nourrir la terre pour permettre l'avènement de nouvelles vies. Extrait de l'avant-propos d'Alain Joule

01/2016

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Musique, danse

Ce qui a tué John Lennon. Vies et morts d'une légende

Le 8 décembre 1980, la planète s'est arrêtée de tourner pour des millions de personnes. John Lennon venait d'être abattu à New York, au pied de l'immeuble où il vivait avec Yoko Ono et leur fils. C'était il y a 40 ans, et le monde pleurait la disparition de sa plus grande icône. A partir d'années de recherches et d'une série d'interviews inédites, Lesley-Ann Jones nous offre la biographie la plus complète du célèbre Beatle. Et à mesure que se dessine la figure d'un artiste secret et tourmenté, éternel exilé, émerge une question : quand le véritable John Lennon est-il mort ? Quelle suite de petites ruptures et de renoncements a signé la disparition de l'homme qui s'estimait "plus populaire que Jésus" ?

10/2020

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Cinéma

Ce long chemin pour arriver jusqu'à toi

" Quel long chemin il m'a fallu parcourir pour arriver jusqu'à toi ", glisse Marie Christine Barrault à l'oreille de Roger Vadim le jour de leur mariage. Un long chemin pour arriver à cet amour unique, profond, flamboyant, inépuisable... C'est ce chemin que Marie Christine Barrault raconte dans ces pages, des éblouissements de l'enfance à la découverte du théâtre, de ses premières amours à la rencontre avec Roger Vadim. La route d'une actrice portée vers les plus beaux textes du répertoire - Claudel, Rilke -, qui n'hésite pas à prendre des risques, toujours passionnée par une vocation qui l'habite tout entière. Lorsque sa route croise celle de Roger Vadim, elle a quarante ans passés et ne croit plus pouvoir tomber amoureuse. Il en a soixante et a aimé plus de femmes que n'importe qui. Eux qui ont chacun vécu leurs amours sans frein ni chaînes se lancent dans une nouvelle aventure, intense, inédite, exclusive, qui les transporte. La passion les unit jusqu'à la mort de Roger Vadim, il y a maintenant dix ans. Un récit bouleversant et lumineux...

10/2010

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Résilience

Tout ce qui ne tue pas rend plus fort

Qui n'a pas vécu un traumatisme ? On entend ce mot de partout, on l'emploie au quotidien, mais sait-on réellement ce qu'il veut dire ? Qu'est-ce que cela signifie : être traumatisé ? Ce livre, à partir de témoignages, nous offre une vision optimiste du traumatisme et nous apprend que nous pouvons tous êtres résilients. Et si on s'en donne les moyens, on est tous capables de se relever.

04/2023