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J'ai ce que j'ai donné. Lettres intimes

Extraits

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Littérature française (poches)

Et j'ai su que ce trésor était pour moi

"Je commence. Cesse de t'agiter sous ton drap blanc, Julia. L'hôpital, les tuyaux translucides qui te font une chevelure de déesse du futur, la musique des appareils, le clapotis des sandales sur le sol du couloir, les appels, les chariots, les murs pâles où danse la lumière, les reflets sur l'acier du lit, tout cela va s'évanouir. Chaque nuit je viendrai à ton chevet te raconter une histoire écrite pour toi dans la journée. Jusqu'à ce que tu reviennes. Attends-toi à des surprises". Pour réveiller Julia, Marc invente à partir de leur histoire d'amour un torrent de récits où se mêlent le suspense et l'émotion, la gravité et le rire, exaltant le pouvoir enchanteur de l'invention romanesque.

10/2017

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Vie chrétienne

Ce pain qui donne vie

Le père Guillaume de Menthière inaugure une nouvelle série de la collection "La foi au coeur" sur les sacrements en s'intéressant à celui que le concile Vatican II qualifie de "source" et de "sommet" de la vie chrétienne : l'eucharistie. Il rappelle tout d'abord que le mot greceukharistíaveut diretout simplement : merci ! Célébrer la messe, c'est d'abord et avant tout dire merci. C'est une action de grâce.

02/2024

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Littérature française

J'ai lu vos lettres Nadezhda

En 1972, Jean Pacôme Juliard naît dans la ville de Cayenne en Guyane Française. Ses parents, des exploitants agricoles, l'élèvent au sein d'une famille de douze enfants. Il fait des études de gestion comptable et bureautique, décrochant au passage quelques diplômes. A la suite de son service militaire à l'âge de 24 ans, il reprend l'activité agricole avec l'aide de sa compagne. Ensemble, ils ont une fille. Par ailleurs, de 1996 à 2010, Jean Pacôme Juliard participe à la rédaction de quelques rapports, notamment sur la toxicomanie et le logement. Il fait ses preuves dans la presse écrite en tant que correspondant local couvrant les évènements politiques et économiques pour le quotidien " France-Guyane ". Jean Pacôme Juliard se voit bientôt frappé par un tout autre destin lorsque sa compagne décède des suites d'un cancer. Ce tragique évènement a pour conséquence de le confronter au doute de l'existence et s'interroger sur l'avenir de son enfant. A la recherche d'un bonheur perdu, il comprend que sa vie de célibat n'a pas lieu d'être et s'inscrit sur un site de rencontre. En parallèle, il trouve une unique possibilité d'embauche qui le contraint à partir en Guadeloupe. L'expérience n'est pas concluante et, à son retour en Guyane, il est surpris par le nombre de messages reçus durant son déplacement. C'est pour lui le déclic de ce premier roman : J'ai lu vos lettres Nadezhda. L'auteur y partage son bonheur d'écrire toutes ses émotions. C'est ainsi qu'il décrit et développe, à travers quelques lettres, sa passion du voyage. Dans ses échanges de récits et de poèmes, il est inspiré par les thèmes de la bienfaisance, le bonheur du partage, le rêve d'une vie meilleure et d'une famille heureuse avec une femme venue d'ailleurs.

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Littérature française

Qu'est-ce que j'irais faire au paradis ?

Quand Malek, 17 ans, rencontre Atiq, jeune Afghan en exil, à la recherche de son frère qu'il veut empêcher de se faire justice contre les Américains, il cède à l'envie d'aller voir le monde de ses propres yeux. En route vers Tanger, il rencontre Kathleen, Londonienne dont il tombe amoureux et dont le père, humanitaire, a disparu à son retour d'Afghanistan. Paris, Kaboul, Grenade, Oran, Le Caire. C'est la même histoire que Malek se raconte et s'entend raconter, celle d'un ailleurs fantasmé qui n'existe plus ou qui n'a jamais existé. Avec ce premier roman d'une grande maîtrise, Walid Hajar Rachedi nous embarque dans une quête terrible et solaire jusqu'à l'ultime dénouement à Londres, où convergent récits et destins. "Au lendemain des attentats de Charlie Hebdo et du Bataclan, où j'ai vu pêle-mêle des noms connus parmi les victimes et les bourreaux, j'ai fait le triste constat que nous n'étions finalement pas si nombreux à pouvoir convoquer une double conscience". - Walid Hajar Rachedi

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Littérature française

Qu'est-ce que j'irais faire au paradis ?

"Atiq m'a dit de ne pas m'inquiéter pour lui car, même si le Coran est rédigé en arabe, tous les mots qui désignent le paradis sont perses... Il m'a dit aussi que je devrais profiter de la chance que m'offrait la couleur de mon passeport, que le monde est une énigme que seul le voyage peut résoudre". Quand Malek, 17 ans, rencontre Atiq, jeune Afghan en exil à la recherche de son frère, parti se faire justice contre les Américains, il cède à l'envie d'aller voir le monde de ses propres yeux. En route vers Tanger, il tombe amoureux de Kathleen, une Londonienne dont le père, humanitaire, a disparu à son retour d'Afghanistan. Paris, Kaboul, Grenade, Londres, Oran, Le Caire. Au fil de son périple, Malek découvre un monde fracturé où chacun fantasme un "ailleurs" qui fait converger les destins et bifurquer les espoirs.

03/2024

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Romans policiers

Je crois que j'ai tué ma femme

Sept semaines en Suède, entre la déclaration de Trump sur un attentat fictif sur le territoire suédois et l'attaque meurtrière au camion bélier de Stockholm. Sara, médecin légiste, assiste policiers et procureure dans leur enquête pour faire condamner un homme. Le mari de Fatiha. Les questions sont nombreuses. Pourquoi lui a-t-il découpé le visage ? Est-ce un crime d'honneur ? Que savait la famille ? Y a-t-il un commanditaire ? Largement inspiré de faits réels, ce roman noir condense plus de mille pages de procédure, reproduisant un kaléidoscope de SMS, témoignages, enquêtes sociales, rapports et décisions de justice, offrant une vision à la fois terrifiante et ordinaire de la violence faite aux femmes, grâce à un récit d'une efficacité redoutable - et d'une véracité glaçante.

10/2023

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Non classé

Probabilités et statistiques - Ce que j'en ai compris, si ça peut aider…

Les probabilités et les statistiques sont abordées à la façon gaillarde et souvent humoristique par l'auteur qui n'est pas mathématicien, tout en rendant un texte sérieux malgré tout. L'auteur essaie dans cet ouvrage de rendre abordables des notions mathématiques qui apparaissent souvent rébarbatives et repoussantes, alors qu'elles sont essentielles dans notre vie quotidienne : sondages, études scientifiques, jeux de hasard... Rien n'échappe à ce domaine des mathématiques, sauf l'interprétation qu'il faudrait en faire quand on ne maîtrise pas ces notions.

12/2019

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Poésie

Le désir que j'ai

En m'abandonnant à la danse dans le cercle de papier, je ne serai pas condamné à mordre la poussière chaque jour que Dieu fait. Les trois oeuvres réunies ici pour la première fois, Le Développement des lignes, Voix seule et Scène tournante, n'en forment en réalité qu'une seule. Oscillant entre la poésie et le récit, l'auteur y déploie de nouvelles cosmogonies intimes, brisant les lignes du roman. Alain Veinstein est l'auteur d'une oeuvre poétique importante, lauréat du prix Mallarmé, du Prix de la langue française et du Grand Prix de l'Académie française. Il a aussi écrit des romans, et a été longtemps une voix emblématique de France Culture dans Nuits magnétiques (devenu en 1999 Surpris par la nuit) puis dans Du jour au lendemain. Préface inédite de l'auteur

09/2021

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Immigration

Celle que j'ai laissée

"Qui ou quoi te manque le plus ? " C'est la question que nous avons posée à des mineurs isolés étrangers, filles et garçons, pour qu'ils racontent ce qu'il y a derrière leur prénom ou leur origine géographique : une histoire qui a commencé bien avant leur départ. Une histoire d'amour, d'attachement et de tendresse qui ne les a pourtant pas empêchés de se lancer à 13 ou 15 ans sur des chemins dangereux où ils savaient qu'ils pouvaient perdre la vie pour un monde qu'ils pensaient meilleur. "Ma maman", ont-ils répondu à une très large majorité. Ecoutez Ellis, Mohamed, Cynthia, Abdoul, Yassir, Kadi...

05/2021

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Littérature française

Fautes que j'ai faites

«Parmi les fautes que j'ai faites, nous disait l'auteur, ou l'un des auteurs, il se peut que la principale soit le livre même dont c'est là le titre. J'ai toujours, il est vrai, ajoutait cet auteur, compté au nombre de ceux qui voient, dans l'erreur et dans l'échec, plus de fertilité que dans la réussite ; et j'ai passé l'âge de changer d'avis. Fautes que j'ai faites est le cinquième volume de la série encore inachevée, peut-être inachevable, qui commençait avec Modèle réduit. On y rencontre les mêmes personnages. Les mêmes questions peuvent y recevoir des solutions nouvelles. Le titre en est repris d'une page ajoutée de la main de Sade (et généralement publiée à cette place) après la première partie des 120 journées de Sodome. Il s'agit ici, de même qu'il en va pour Sade, d'un relevé des erreurs commises dans la rédaction d'un texte préalable. La différence est que, ici, le texte prélable n'existe pas à proprement parler dont, au-delà de rares coquilles, recueillies des volumes précédemment parus, des fautes imaginaires esquisseront seules le fantômes. Diverses fictions ne s'y trament pas moins, sous prétexte de révision ; des épisodes s'y déforment, des destins s'y infléchissent : c'est un roman ; ou peut-être, même, en sont-ce plusieurs.»

11/2001

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Témoins

Ce que Dieu donne. Nos cadeaux spirituels

La relation à Dieu nous livre souvent sans crier gare, parfois de façon spectaculaire, souvent dans le secret, des cadeaux spirituels qui balisent notre chemin de vie que l'on reçoit généralement dans la surprise ou l'étonnement, souvent d'une manière inattendue. D'une tonalité simple, celle du récit et du partage spirituel, puisant à la source des dons qu'elle a elle-même reçus, Anne-Sophie Touche, nous invite à la relecture de nos propres cadeaux spirituels. Faisant la part belle au témoignage et à la méditation de la Parole de Dieu, l'auteur montre que ces cadeaux se découvrent dans les étincelles les plus banales du quotidien. A travers celles-ci, dans nos relations aux autres, à la nature, si nous acceptons de changer notre regard, Dieu viendra à notre rencontre. Un second livre sur l'émerveillement spirituel qui se goûte et se médite.

11/2023

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Littérature française

Longtemps, j'ai donné raison à Ginger Rogers

Une autobiographie parcellaire et subtile par recomposition fragmentaire du puzzle de la mémoire : non pas des Mémoires en majesté par ordre chronologique, mais une évocation de souvenirs autour desquels sont venues cristalliser des leçons de vie. " Le bonheur en littérature ne consiste pas à gagner du temps pour aller à l'essentiel mais à perdre du temps pour parvenir à l'inessentiel. Autrement dit, à accepter d'être pris par surprise pour découvrir précisément ce que je n'avais jamais recherché " est-il écrit ici au détour d'un chapitre : c'est la meilleure définition du bonheur que l'on ressent à la lecture de ce récit. Chaque court chapitre convoque un souvenir qui ouvre une parenthèse, une digression, un décentrement. Le premier d'entre eux, " précieux parce qu'indistinct " : une visite à son père détenu après-guerre à la prison de Clairvaux (on en saura plus, par la suite, sur ce père frappé de la maladie d'Alzheimer à la fin de sa vie) Cette période de la guerre est très présente, de la silhouette unijambiste du gardien de l'hôtel de Lauzun qui dénonça Christian de la Mazière à la Libération à Lucette Almanzor en butte à la question désinvolte d'un visiteur (" En deux mots, Céline, c'est quoi ? ") en passant par Lisette de Brinon contrainte d'assister à l'exécution de son mari Fernand de Brinon, qui l'avait protégée en la faisant nommer " aryenne d'honneur " . Une réflexion de Vittorio Gassman racontant qu'une miette de pain collée à la lèvre d'une jeune femme a sonné le glas de leur liaison inspire à l'auteur une réflexion sur la fin de l'amour. Une phrase prononcée par Ginger Rogers dans le film La fille de la 5ème avenue (" les riches sont juste des pauvres avec de l'argent ") constitue un des Rosebud du texte : l'écart social entre ses parents et la plupart de leurs amis, entre le monde des riches et celui des pauvres, celui de la désinvolture héréditaire et du mérite forcené (de très jolies scènes sur une victoire inespérée lors d'un championnat d'académie d'escrime contre un adolescent béni des dieux, ou sur Antoine Ménier, de la famille des chocolats Meunier, ami d'enfance de son parrain snob, développent par touches cette thématique du déclassement...) Comment " le contrat de confiance entre la langue et lui " a été rompu par la découverte des " pommes mousseline " , le rôle qu'a joué l'opus III de Beethoven dans son éveil à la musique, tel tableau de Goya dans son éveil à la peinture, la folie du cinéma et la menace de la cécité, l'expérience en usine, la découverte des livres et des écrivains, l'amour de sa vie et les amitiés à éclipses (" on perd ses amis d'enfance comme on perd son enfance " ...) sont quelques-uns des motifs pris dans cette tapisserie du souvenir.

01/2020

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Romans, témoignages & Co

J'ai 14 ans et ce n'est pas une bonne nouvelle

En rentrant du collège pour les vacances scolaires, Efi est convaincue qu'elle est une ado comme les autres et qu'à quatorze ans le monde lui appartient. Elle regagne son village, fière d'un carnet de notes exemplaire. Mais cela ne compte plus pour les siens. Elle est une fille nubile à présent, c'est-à-dire : bonne à marier. Plus de liberté, plus d'horizons, plus de livres ni de balades avec les copines. Son avenir est désormais entre les mains d'un père, puis celles du mari qu'on lui a choisi. Elle est devenue une marchandise, un cadeau que s'offrent les familles. Arrachée à l'enfance, ses rêves piétinés, Efi entre dans l'enfer du mariage forcé. Son destin serait-il au XXI° siècle de vivre à jamais en servante emprisonnée ?

02/2021

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Contes et nouvelles

A toutes ces mamans, que j'ai aimées

Ce ne sont pas uniquement des parcelles de ma vie ou celles de mes proches. Ce sont les nôtres, les vôtres. C'est la vie d'une femme confrontée aux changements à l'aube de ses quarante ans, ou celle d'une femme terriblement forte mais marquée d'entailles. C'est la vie d'une maman trop débordée, celle d'une maman fragile qui se cache pour pleurer. Ce sont aussi les durs jours d'une maman à en devenir. Ce sont les peines d'une épouse brisée et dépassée. Ce sont toutes les blessures qui nous transcendent lorsque l'on se perd un peu. Mais c'est également ce profond bonheur qui nous submerge dès lors que l'on pose nos regards sur eux, nos enfants. C'est vrai, notre vie d'avant peut parfois nous manquer. Cette légèreté presque égoïste où l'on ne pense qu'à soi. Peut-être trouverez-vous quelques ressemblances avec une voisine, une amie, une soeur. Vous vous y retrouverez probablement aussi. Mais tout ira bien. A travers ces nouvelles, vous les découvrirez, hâtivement mais profondément, sous leurs angles les plus intimes. Elles vous ouvrent les portes de leurs vies avec coeur. Elles ne se connaissent pas, n'ont aucun lien, si ce n'est celui d'être mère. Elles sont toutes attendrissantes et surprenantes. Vous risquez tout autant de les adorer que de les plaindre. Elles font de leur mieux, et je sais que vous aussi.

09/2023

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Littérature française (poches)

J'ai tué. Suivi de J'ai saigné

J'ai tué (1918) et J'ai saigné (1938), récits brefs présentés en dyptique pour la première fois, nous entraînent au coeur de la violence de la Première Guerre mondiale déclinée en deux temps : l'attaque puis la blessure, vécues par le même soldat Blaise Cendrars. Avec J'ai tué, toute l'énergie du monde conduit au meurtre légal ; dans J'ai saigné, le soldat mutilé tente de se survivre, en évoquant ceux que l'Histoire a oubliés.

03/2015

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Littérature française

J’ai tué . Suivi de J’ai saigné

Dans J'ai tué (1918) prose poétique vertigineuse, Cendrars relate l'assaut d'une tranchée qui le conduit à poignarder un soldat allemand ; dans J'ai saigné (1938), il raconte la perte de son bras droit et sa convalescence aux côtés des autres blessés de guerre. Réunies ici en diptyque, deux nouvelles sur la douleur et la perte, la résilience et la guérison. Blaise Cendrars (1887-1961) est une figure majeure de la littérature de langue française du XXe siècle. Il a parcouru le monde et l'a retranscrit en une langue puissante et novatrice. Préface de Christine Le Quellec Cottier

05/2023

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Policiers

J'ai voulu oublier ce jour

Ils étaient les meilleurs amis du monde. Après l'école, ils allaient jouer à Leakin Park. Dans ces bois eut lieu une rencontre qu'ils auraient préféré ne jamais faire. Trente ans plus tard, le plus fragile meurt soudainement et ils se retrouvent pour la première fois. Ils n'ont jamais parlé de ce qui s'est passé alors. Ils se sont séparés, enfuis loin les uns des autres. Le secret enfoui va-t-il resurgir ?

09/2014

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Actualité politique France

Le moment est venu de dire ce que j'ai vu

"J'ai été un homme politique. Je ne le suis plus. Ma parole est libre. Je suis entré en politique par effraction. Et j'en suis sorti avec le dégoût. Le désastre ne peut plus être maquillé. Partout monte, chez les Français, le sentiment de dépossession. Nous sommes entrés dans le temps où l'imposture n'a plus ni ressource ni réserve. La classe politique va connaître le chaos. Il n'y a plus ni précaution à prendre ni personne à ménager. Il faut que les Français sachent. En conscience, j'ai jugé que le moment était venu de dire ce que j'ai vu". Philippe de Villiers Philippe de Villiers est un homme politique et essayiste français. Il est l'auteur à succès de romans historiques et de documents politiques. Il a notamment publié dans la collection "Pluriel" J'ai tiré sur le fil du mensonge et tout estvenu (2020) et Les cloches sonneront-elles encore demain ? (2021).

10/2021

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Littérature française

Chroniques du mépris ordinaire - Placements abusifs. Ce que j'ai vu...

330 000 enfants relèvent de l'aide sociale à l'enfance et 226 000 sont placés en famille d'accueil ou en foyer. Maître Michel Amas, avocat au barreau de Marseille, défend les familles d'enfants placés. Il dresse un état des lieux accablant des institutions chargées de protéger ces mineurs. Au travers de 50 cas, 50 dossiers, il surligne les problèmes et les errements de ce système à bout de souffle. Il formule surtout des propositions pour que les enfants placés soient en France véritablement accompagnés, sauvés et soutenus.

12/2023

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Littérature française

Ce que je n'ai pas su

Une femme se rend aux obsèques de celui qu'elle aimait. Un homme disparu de sa vie depuis un an, dont elle découvre la famille et une mystérieuse compagne bien plus âgée qu'elle. On ne connaît jamais vraiment un être, même s'il partage notre vie. C'est ce qu'Hélène ressent depuis que Paul, célèbre romancier, l'a quittée. Hélène est passée par toutes les phases, désespoir, colère, tristesse, jusqu'à ce que récemment viennent la cicatrisation et l'apaisement. C'est alors que l'éditrice de Paul lui apprend qu'il a été retrouvé mort. Hélène se rend à l'enterrement sans savoir à quoi s'attendre. Paul n'avait pas de famille, aucun lien. Pourtant, elle découvre qu'il lui a menti : sa famille et des amis sont présents à la cérémonie. Une septuagénaire éplorée se tient à l'écart. Elle s'appelle Rachel. Visiblement très affectée, elle est rejetée sans ménagement par la famille de Paul. D'attaques en confidences, Hélène et Rachel s'apprivoisent. Elles partagent la douleur d'avoir perdu le même homme et le souvenir de l'avoir connu. Et surtout le mystère de sa mort, qui réside peut-être dans le manuscrit qu'il était en train d'écrire, sous la forme d'une longue confidence. Roman sociétal, roman familial, roman d'amour, Ce que je n'ai pas su raconte les colères, les réparations possibles et impossibles, le temps qui passe.

04/2023

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Littérature étrangère

J'ai découvert que j'étais mort

Convoqué au commissariat suite à une altercation avec des voisins, l'écrivain J. P. Cuenca apprend qu'il est officiellement mort : un dossier à son nom fait état de son décès, en juillet 2008, dans un squat de Lapa, quartier bohème de Rio de Janeiro. Cet événement surréaliste - mais authentique - n'en finit plus de le hanter. Quelles raisons ont bien pu conduire un inconnu à le déposséder ainsi de son identité? Tandis qu'il enquête sur sa propre mort, Cuenca perd pied : le réel tout entier se met à vaciller. D'autant que Rio elle-même change de visage. Aménagée à leur main par des affairistes voraces et des politiciens corrompus, ripolinée à marche forcée (J. O. et Coupe du monde de foot obligent), elle perd son âme : le cocktail répression-spéculation-gentrification a supplanté la caïpirinha...

09/2017

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Littérature sud-américaine

J'avoue que j'ai vécu. Mémoires

"Peut-être n'ai-je pas vécu en mon propre corps : peut-être ai-je vécu la vie des autres", écrit Pablo Neruda pour présenter ces souvenirs qui s'achèvent quelques jours avant sa mort par un hommage posthume à son ami Salvador Allende. Les portraits d'hommes célèbres - Aragon, Breton, Eluard, García Lorca, Picasso - côtoient les pages admirables consacrées à l'homme de la rue, au paysan anonyme, à la femme d'une nuit. À travers eux se dessine la personnalité de Neruda, homme passionné, attentif, curieux de tout et de tous, le poète qui se révèle être aussi un merveilleux conteur.

03/2002

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Littérature française

J'avoue que j'ai vécu. Mémoires

Passionné de la vie, l'auteur nous confesse les moments les plus marquants qu'il a vécus : Après une enfance marquée par la Seconde Guerre mondiale, il forge son départ dans la vie, jusqu'à l'inattendue rencontre de sa femme à trente-cinq ans. Il nous fait témoins de son vécu dans la Marine Nationale. Puis ingénieur, il vit le début de l'aventure spatiale européenne. Confortant son esprit de découverte il part pour différents projets, expatrié plusieurs années au Mexique, en Allemagne et en Suisse. Il partage avec nous tout aussi bien ses missions de travail aux USA et en Chine, que ses voyages en Amérique latine, en Inde et sur le Mékong, descendant du Laos au Vietnam. Une confession de souvenirs de familles et d'aventures tant professionnelles que culturelles avec par-dessus tout sa passion de toujours : la mer.

03/2024

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Littérature française

Qui j'ai aimé

Anna est convoquée un soir chez sa meilleure amie. Cette dernière, qui vit seule, semble avoir un besoin urgent de parler. Elle lui raconte aussitôt, dans des termes exaltés, sa passion pour Harold, un très jeune homme, passion à laquelle elle veut encore croire à tout prix. Anna, qui vit paisiblement auprès de son compagnon depuis des années, demeure sceptique. Ce jeune designer dont l'autre lui parle comme d'un "enchanteur" ne se serait-il pas moqué d'elle? À quoi joue-t-elle en faisant miroiter à chaque étape de son récit ce désir pour lui, toujours si vif? D'où lui vient cette joie comme neuve? Et que s'est-il passé entre eux véritablement?

02/2008

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BD tout public

J'ai tué Marat

Le 13 juillet 1793, Charlotte Corday assassine au couteau Jean-Paul Marat dans sa baignoire. Ils ne se connaissent pas, ne se seront vu que cinq minutes en tout et pour tout. C'est le temps qu'il aura fallu pour que tout bascule... Mais qui était Charlotte Corday, et pourquoi a-t-elle tué « L'Ami du Peuple » ? Bien que favorable aux idées révolutionnaires, cette jeune femme originaire de Caen considère les responsables de la Terreur comme le véritable poison de la société. Elle s'imagine que, par sa mort, Marat en sauvera des milliers. L'Histoire lui donnera tort...Mettant en scène un dialogue imaginaire entre la victime et son assassin, LF Bollée et Olivier Martin reviennent en détail sur la journée du meurtre de Marat, et sur les motivations qui ont pu pousser une jeune femme de bonne famille à commettre un acte aussi terrible.

03/2016

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Policiers

J'ai tué Francis

Francis est mort. Mais qui l'a tué ? Le saura-t-on un jour ? Cette histoire a-t-elle réellement eu lieu ? Toutes ces questions vont hanter Yvan, un écrivain à la dérive, et vont le conduire de Paris à la Réunion, de l'interrogation à la folie. Tous les personnages de ce roman(s) se croisent ou se croiseront un jour. Toutes les histoires de cette histoire se frôleront à un moment donné. Car nous sommes tous liés les uns aux autres à quelques degrés de séparation près, dit-on. Francis est mort et quelque part son fantôme plane sur les montagnes créoles, les rues parisiennes, un petit village roumain, une bergerie corse, une banlieue stéphanoise et, même, traverse l'atmosphère pour se perdre dans l'espace. C'est un roman(s) dans lequel des êtres vont, à un moment donné, partager une émotion commune et croire, peut-être, qu'ils vivent sur la même planète.

10/2015

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Histoire de France

J'ai voulu voir. Lettres d'Alégrie

Gilles Caron fut l’un des plus grands photographes du XXe siècle, ses photos des émeutes de mai 68 sont aujourd’hui connues de tous (notamment celles des émeutes de mai 68, la geurre des Six-jours, etc.) Il a immortalisé les stars de l’époque (Brigitte Bardot, Jacques Brel ou François Truffaut) avant de disparaître tragiquement au cours d’un reportage à l’âge de trente ans. En juin 1960, il fut envoyé en Algérie, comme parachutiste au sein du 3e régiment d’infanterie de marine. Là-bas, il continua d’entretenir une correspondance fournie, commencée dans son enfance, avec sa mère. Tour à tour drôles et sérieuses, légères et inquiètes, ces lettres (environ 300), retrouvées et retranscrites par la femme de Gilles Caron, Marianne Caron Montely, nous dévoilent, avec une intensité bouleversante, la tendresse sans limites qui lie une mère à son fils. Ce dialogue de toute une vie leur est indispensable, à l’un comme à l’autre, et balaie tous les sujets de conversation : des problèmes dentaires de Gilles au référendum du général de Gaulle ; ils discutent de lectures, cinéma, peinture, mais aussi de la vie quotidienne, la famille ou l’appartement que « Mame » prépare pour le retour de Gilles. Leur sujet principal reste la guerre d’Algérie : les lettres échangées entre 1960 et 1962 apportent un éclairage formidable, précis et vivant sur ce terrible conflit. C’est probablement en Algérie que se sont développés la curiosité de Gilles Caron et son besoin de se trouver au cœur de l’action, qualités déterminantes pour la carrière de photographe qu’il entame à son retour. Gilles veut témoigner pour « se situer dans le monde ». Dès 1960, au cœur de la tourmente, il écrivait à sa mère : « Je n’arrive pas à comprendre comment je ne suis pas planqué dans un service à Alger. Enfin, oui, je sais, j’ai voulu voir… »

01/2012

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Littérature française (poches)

Ce que j'aime

Il y a du courage à n'être pas de son époque, à édifier à l'écart une œuvre et une pensée réfractaires à toutes les modes, étrangères à l'esprit du temps. Pudique, Marcel Schneider se définit simplement comme le survivant d'un monde " qui n'a jamais existé que dans sa tête ". C'est de ce monde qu'il nous entretient ici, en des pages admirables de culture, d'élégance, de sincérité. Qu'il s'agisse de danse ou de spiritualité, de littérature fantastique ou de jardins à la française, de la religion chrétienne ou de ce XIIe siècle en lequel il voit le " Grand Siècle " par excellence, le romancier de Mère Merveille, le mémorialiste de L'Eternité fragile, nous séduit et nous enchante. Dans un temps où tout ce qui lui fut cher - à commencer par la civilisation du livre - lui paraît menacé de disparaître, ce testament spirituel en forme de confidences apparaît finalement empreint d'une formidable jeunesse.

11/1999

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Littérature française

Tu aimeras ce que tu as tué

Il ne fait pas bon vivre pour les enfants de Chicoutimi : viols, accidents tragiques, meurtres insensés ont raison de la plupart. Heureusement, la plupart d'entre eux ressuscitent, pour mieux prendre leur revanche sur leur ville natale. Le jeune Faldistoire, mène le bal, tirant les ficelles, détournant du droit chemin son camarade Almanach, organisant des rodéos de la mort dans son quartier.

09/2021

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Poches Littérature internation

Maintenant que j'ai cinquante ans

Après un demi-siècle d'existence, les femmes des histoires de Bulbul Sharma découvrent avec stupeur que la vie n'est pas telle qu'elles l'avaient toujours imaginée. Passant de la révélation à la rébellion, elles vont apprendre à écouter leurs désirs, s'ouvrir au monde extérieur et à leur monde intérieur, et s'épanouir enfin. Pour Bulbul Sharma, à cinquante ans, la vie ne fait que commencer. Ecoutons-la nous en convaincre avec une tendresse et un humour délicieux.

08/2013