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Il n'y a pas de honte à préférer le bonheur

Extraits

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Littérature française

Il n'y a pas que les autres

"Cinquante-cinq ans ! Finalement à cinquante-huit ans la vie n'est pas finie. Sauf si. Au fond, quoi de plus simple : trois ans asexué en état de ménopause prolongée et après. Nom de Dieu, ils n'ont aucune idée de ce que cela représente !" Alexandre mène une vie tranquille qui bascule quand il apprend qu'il a un cancer, et pas n'importe lequel : la pathologie qui touche le plus à la virilité, un cancer de la prostate. Dès lors, ses relations aux autres - notamment aux femmes - s'en trouvent bouleversées. Sa vision de la vie va totalement être remise en cause et le contraindre à réviser sa perception des autres. Prenant conscience de la fragilité de l'existence, Alexandre va comprendre qu'il lui faut donner un sens à sa vie, à moins que ce ne soit à sa mort. Avec "Il n'y a pas que les autres", Gilbert Costa nous offre le récit tout en tact et humour d'un homme tentant de survivre et parfois, plus distancé, le regard des femmes qui l'entoure.

01/2014

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Littérature française

Ne préfère pas le sang à l'eau

"Cette sensation de fin du monde, quand tu as dix ans et que tu comprends, du haut de ton mètre vingt, qu'il va falloir abandonner la sécheresse de ton ocre si tu ne veux pas crever. Je serais restée des millénaires, agenouillée contre ma terre, si je n'avais pas eu une telle soif. Maman a caressé la peau de mon cou, toute fripée et desséchée, elle m'a vue vieille avant d'avoir atteint l'âge d'être une femme. Elle a fixé les étoiles et a pris la main de papa. On n'a pas besoin de discuter pendant des heures quand on sait qu'est venu le moment de tout quitter. J'étais celle à laquelle on tient tant qu'on est prêt à mourir sur les chemins de l'abîme. J'étais celle pour laquelle un agriculteur et une institutrice sont prêts à passer pour d'infâmes profiteurs, qui prennent tout et ne donnent rien, pourvu que la peau de mon cou soit hydratée. J'ai entendu quand maman a dit : On boira toute l'humiliation, ce n'est pas grave. On vivra. Il a fallu que je meure à des milliers de kilomètres de chez moi".

01/2018

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Théâtre

Il n'y a pas de certitude, suivi de La Femme n'existe pas

De Barbara Métais-Chastanier, deux pièces qui sont deux manières d'affronter le théâtre et de puiser en lui la force de dire ce qui ne peut pas se dire : soi-même qui s'invente à rebours des identités héritées, imposées, assignées. Il n'y a pas de certitude et La Femme® n'existe pas témoignent du travail en cours d'une autrice qui cherche dans l'adresse une langue capable de nommer les enjeux politiques des identités qui ne réclament aucune origine, mais seulement des désirs. Ce sont deux monologues à travers lesquels fraient des voix multiples qui travaillent à faire violence aux violences infligées aux femmes, à leur identité. La jeune dramaturge traverse là dans une rage tendre et adressée les questions de notre époque : car si "l'amour est à réinventer" , c'est pour chaque jour, et à chaque mot, et c'est dans l'autre, avec l'autre et pour l'autre. Deux monologues politiques dans la mesure où chacun rend caducs les discours des politiques sur ces enjeux. Monologues amoureux aussi, monologues dont le mot dit mal combien la solitude est ici attaquée pour être ce présent offert, arraché, accompli, absolument inventé afin d'être infiniment désiré. Arnaud Maïsetti

01/2018

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Littérature française

Il n'y a pas d'abonné à vos sentiments

Tétouan, Maroc. Dans un hôtel de charme, une touriste française, en voyage d'étude linguistique, savoure les délices d'un flirt tandis qu'aux cuisines, une jeune femme prépare un couscous, épicé de sa haine. Tel un charmeur de serpents, le patron du gîte, chevauchant ses désirs en toute insouciance, déroule son chant d'amour, sous le regard de son employée qui, depuis la réception, observe les faits et gestes de chacun et pressent qu'un drame va se dérouler. Dans le labyrinthe de la médina, encore plein des échos du muezzin appelant à la prière, les personnages, aveuglés par leurs désirs, cherchent le fil du bonheur.

12/2022

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Littérature française

Il n'y a pas de femmes qui ne naissent pas esclaves

Cet ouvrage est conçu comme un recueil de textes atypiques, un prégnant mélange de proses poétiques... il est difficilement classable. Toutefois, une chose semble certaine : Impossible de sortir de ses pages sans ressentir un trouble profond baigné de larmes, de tendresse et de rage. Une écriture puissante et désobéissante. Laissez vous porter par son rythme, ne résistez pas et vous découvrirez une grande force littéraire. Vous reconnaîtrez le désir ou le monstre, sans qu'ils ne vous aient été décrits.

11/2015

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Littérature francophone

Le Bonheur... cette île à l'intérieur de soi

Depuis la mort tragique de son conjoint, survenue un an auparavant, Marie-Laurence a le sentiment d'avoir perdu tous ses repères et de se retrouver face au néant. Avant l'arrivée de l'hiver, en novembre, elle se réfugie dans la petite maison au bord du fleuve qu'elle possède sur une île du majestueux fleuve Saint-Laurent. Les touristes et les chasseurs sont partis, et l'île est déserte. Dans ce lieu propice à l'exploration de soi, Marie-Laurence renoue peu à peu avec la vie au contact de la grande nature qui l'environne : le silence, la lenteur du temps, la beauté des paysages, les nuits étoilées, la simplicité et l'authenticité des insulaires, ainsi qu'un mystérieux livre sur le bonheur que lui a remis une dame de l'île, rallument peu à peu en elle une flamme qu'elle croyait éteinte. Elle s'adonne en toute conscience à un véritable cheminement intérieur pour traverser le deuil, ce passage éprouvant que lui impose la vie. En écoutant la Voix du silence et en observant la vie simple des insulaires, elle découvre des points d'ancrage pour retrouver le chemin perdu. Le bonheur, apprend-elle, repose sur une décision et s'apprivoise petit à petit, pas par pas. Et si c'était le chemin qu'on emprunte pour y arriver qui pouvait rendre heureux ? " Le Bonheur... cette île à l'intérieur de soi " est un roman inspirant et touchant sur les thèmes du deuil et du bonheur.

10/2022

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Notions

Il n'y a pas d'amour parfait

Qu'est-ce que l'amour ? Ce n'est ni l'amitié, ni le désir, ni la passion. C'est un peu tout cela et son contraire. L'amour est instable, changeant, précaire. Imparfait. C'est pourquoi il est le moteur tout-puissant de tant d'histoires grandioses et de nos vies ordinaires.

01/2023

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Economie

Bifurquer. Il n'y a pas d'alternative

Bifurquer

10/2021

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Littérature française

Il n'y a pas Internet au paradis

La trentaine et tout pour être heureux, Alex et Aliénor s'aiment, envisagent de faire un enfant ou deux, et de partir vivre à la campagne, un jour. Mais la Grande Entreprise en a décidé autrement, à coups de réorganisations et de gestion cruelle de la ressource humaine. Nouvelle idole réclamant le prix du sang, elle a ses prêtres et ses victimes expiatoires qui, ne sachant plus comment lutter, abandonnent. Entre chagrin et souvenirs, la colère d'Aliénor monte, contre l'entreprise, mais aussi contre Alex, à qui elle n'a pas suffi pour continuer à vivre, et contre elle-même, qui n'a rien vu avant qu'il soit trop tard. Et puis le deuil se fait, Aliénor commence une existence nouvelle, un peu hésitante, un peu bancale. Une seule certitude : face à l'adversaire, il ne faut pas plier. Sur cette trame sombre, Gaëlle Pingault dessine une renaissance. Son écriture enlevée réussit à tenir à distance la cruauté du monde et des entités déshumanisées pour laisser à l'individu, seul grain de sable capable de gripper la machine, la liberté de revendiquer son paradis dans cette vie.

09/2017

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Littérature française

Il n'y a pas de cheval sur le chemin de Damas

Ce livre aux sentiers qui bifurquent part de son titre. Pourquoi la plupart des peintres ont-ils prêté un cheval à Saül, futur apôtre Paul, qui allait à Damas ? La réponse s'en va rejoindre d'autres questions que posent à l'auteur tant les histoires vraies que les fables du " merveilleux " chrétien. Si elle les conte et raconte en les confondant avec allégresse, c'est sans doute grâce à l'esprit d'enfance cher à Bernanos.

04/2022

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Littérature étrangère

Là-bas, il n'y a plus de rivière

" Il regardera les pentes herbeuses et la rive, mais ne verra personne. Il ne verra pas Raya ni Baby. Ni Dvoyra ni Chaïm l'éventreur. Ni Yoyne ni le photographe avec son Leica. Ni le médecin, ni l'apothicaire ni sa femme. Il ne verra pas ses parents ni son oncle, adjoint au maire. Ni sa cousine Cyla. Ni la petite Rachelka, sa sœur de dix-sept ans. Ni Tauba ni les garçons de l'échoppe du marchand de glaces. Il saura où ils se trouvent. A Piatydnie, aux abords de la route d'Uscilug. Tous. Dans la fosse commune, dans la forêt de pins, près des noisetiers. A l'endroit d'où, chaque automne, ils apportaient à la grand-mère Haya des paniers entiers remplis de noisettes. Tous. Il restera toutefois assis le regard fixé sur l'autre rive. Ce n'est qu'à la nuit tombante qu'il retournera à la gare. Il s'assoupira dans le train et entendra alors la voix qui apparaîtra dans ses rêves durant le reste de sa vie : - Il ne faut pas y aller. Là-bas, il n'y a plus de rivière. "

10/2000

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Poésie

Il n'y a pas de paradis. Poèmes (1943-1960)

"Je suis en route : l'image du poète que nous propose l'ouvre d'André Frénaud est celle d'un voyageur. D'où vient la route ? Où conduit-elle ? Le poète l'ignore. Il sait seulement que, marchant depuis toujours, sa tâche est de poursuivre. Tout repos sur ce chemin ne peut être que précaire, toute étape annonce un nouveau départ : l'événement ne prévaudra pas sur le parcours. Partirait-on, pourtant, si l'on n'avait reçu un appel ? si l'on n'avait l'assurance d'être attendu ? Une lampe doit bien briller dans quelque auberge où le voyageur connaîtra la gloire d'un sommeil ardent. Le poème, où s'inscrit le voyage, va refléter ce double mouvement. Exigence ou pressentiment, il annoncera la vraie contrée, la vraie patrie qui se dérobe dans les lointains parages. Il sera l'expression d'une espérance obstinée : celle du Roi Mage guidé par son étoile. Mais, en même temps, le poème affirmera la vanité d'une entreprise qu'aucune promesse ne garantit. Il revendiquera même, comme le signe d'une authentique vocation, sinon comme la seule récompense possible, une insatisfaction fondamentale. Poésie du sarcasme et de la dérision, mais aussi de la fierté. Le poète est cet homme contradictoire, ce visiteur inacceptable et inaccepté, dont le sort consiste à appeler sans attendre de réponse, à marcher sans apercevoir de but. Il n'y a pas de paradis : le terme du chemin, c'est le chemin lui-même." Bernard Pingaud.

03/2006

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Littérature française

Il n'y a pas de muguets en octobre rouge

Plusieurs nouvelles développent un voyage initiatique à travers des amours romanesques et des passions qui retracent l'itinéraire de génies tels que Rimbaud ou Mozart. Une sorte de pot-pourri qui mêle pensées sur le cinéma avec un hommage sur Bazin et le surréalisme de Bunuel. Certaines nouvelles évoquent la vie de sainte Guglielmina prise dans l'engrenage de la vie mondaine de notables quelque peu débauchés et comment elle se fera une place dans la vie politique des princes de hauts rangs grâce à ses dons venus de Dieu. D'autres nouvelles parlent de Paris et de ses différents amants. De l'Italie à Java, le livre sait nous transporter vers d'autres horizons qui donneront à un public jeune l'envie de faire son expérience au travers des voyages initiatiques qui apportent de nouvelles idées. Un nouvel âge d'or s'annonce ici, en souvenir de ma première oeuvre éditée aux Editions Le Manuscrit qui retrace le génie d'une jeunesse qui s'épanouie à travers une initiation pleine d'esthétisme. Des dessins viennent agrémenter l'oeuvre représentant personnages en bataille, en lecture de poésie.

10/2014

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Policiers

Il n'y a pas de beau jour pour mourir

Quelque part en Espagne, deux amis de trente ans se retrouvent, dans la nostalgie des années passées. Par fidélité, Max acceptera de rendre un service à son ami Martin, récupérer un colis qui arrivera par bateau et le remonter jusqu'à Limoges. Mais le voyage sera rude. Venues du Congo, Fatimatou et ses congénères, après avoir traversé l'enfer du désert, s'apprêtent à connaître celui du froid et de l'hiver. La déshumanisation et la prostitution. Et tout autour, il y a les autres : "le parrain" désabusé, amateur de poésie et que l'on pousse vers la sortie, les nervis, les petits trafiquants, les obscurs qui en "croquent", Suzanne, reconvertie en tueuse à gages. Et tous ceux de l'ombre qui avancent, visage masqué. Qui manipule qui dans ce jeu de massacre ? Qui veut prendre la main sur le business ? Roman choral, ce "bal des pourris" est une ode aux malfaisants.

03/2019

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Ecrits sur l'art

André Masson. Il n'y a pas de monde achevé

A travers un parcours chrono-thématique, l'exposition traverse l'oeuvre d'André Masson (1896-1987) depuis les années 20 et la révolution de l'automatisme, jusqu'à son rôle sur les expressionnistes américains des années 50 en passant par ses engagements antifascistes, ses lectures de Freud et son exil américain

04/2024

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Sociologie

Qu'il n'y a pas de problème de l'emploi

Il n'y a pas de problème de l'emploi. Il y a un problème de revenus, d'une part, et il y a un problème de temps : un problème de revenus qui manquent, et que l'on ne saurait où trouver ; un problème de temps qui est en excès, au contraire, et dont on ne saurait que faire. Un problème de recherche d'argent, un problème d'usage du temps. L'un est économique, l'autre est ontologique. Tous les deux sont métaphysiques. Le problème économique se présente comme une quête, le problème ontologique se présente comme une épreuve. Où chercher ? doit-on se dire ici. Que faire ? est-on forcé de se demander là. Il faut changer d'époque. Il faut changer de mots. Ce qu'il faut, c'est mettre le problème cul par-dessus tête.

12/1994

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Sciences politiques

Il n y a pas de révolution malheureuse. Le communisme de la destitution

Cent ans après la révolution d'Octobre, dans la crise civilisationnelle actuelle, est-il encore possible de penser et d'envisager le communisme ? Oui, répond Tari, à condition de repenser radicalement la tradition des mouvements révolutionnaires qui se sont succédé pendant un siècle. Il confronte donc les différents mouvements contemporains : de l'insurrection argentine de 2001 à Occupy Wall Street, des Indignados au mouvement contre la Loi Travail, de la lutte du Val di Susa aux "printemps arabes". L'auteur repère les moments et les contenus inédits et dissensuels, en s'inscrivant dans un héritage théorique, irrégulier et fragmentaire, tenu de Walter Benjamin à Giorgio Agamben.

04/2019

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Résilience

Au ciel bleu croire. Il n'y a pas de hasard, il n'y a que des rendez-vous

Catherine Enjolet est autodidacte, et c'est par des chemins de traverse qu'elle va devenir Professeur de Lettres. Après l'écriture de scénarios et la réalisation, elle écrit contre l'indicible et ses ravages. " Il est des rencontres qui font naître à soi-même. Comment survivre aux premiers pas d'une enfance à l'abandon ? " Grâce à des rencontres exceptionnelles qui ont marqué son existence, sa voie se trace peu à peu, elle parviendra à panser ses blessures du passé et à mener à bien ses engagements. Apprendre à provoquer les rencontres, à s'enrichir des autres, c'est toute la thématique de cet ouvrage qui dresse le portrait de gens célèbres ou inconnus, qui chacun à leur façon, si on les écoute attentivement, vous aident à construire votre propre chemin et à vous extraire du poids du passé.

10/2023

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Contes et nouvelles

Il y a un pays

Il s'agit d'un recueil de douze nouvelles qui oscillent entre rêve et réalité, dont les thèmes récurrents sont la solitude, la perte, la mise à l'écart. La plupart de ses protagonistes sont traversés par la souffrance aiguë causée par la perte d'un être cher, la solitude, l'ennui ou la fuite du temps qui passe, qui les éloignent davantage de leur bonheur perdu. Souvent le fantastique intervient auprès des personnages comme un élément salvateur qui les délivre de leur souffrance. Cette délivrance passe par la marginalité, la folie, uniques vecteurs qui permettent d'atteindre la " rive bienheureuse ". Un humour fulgurant vient souvent faire contrepoint face à la noirceur de ce qui nous est conté.

12/2021

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Littérature française (poches)

Il n'y a pas beaucoup d'étoiles ce soir

Enervée. Affamée. Exténuée. Terrorisée. En retard. Frigorifiée. Les journées, pour Sylvie Testud, sont une succession de moments intenses. Elle nous emmène à une interview au Plaza, sur un tournage en japonais, acheter du plâtre au BHV, faire l'amour devant vingt personnes pendant huit heures, essayer des robes chez Chanel pour les Césars, tout en refusant d'embrasser un serpent ou de sauter par la fenêtre... Le quotidien d'une actrice, en somme. Sauf que Sylvie Testud fait montre d'un regard ultra-lucide. Comment entre-t-on dans un rôle ? Comment apprend-on à l'aimer, comment le quitte-t-on, comment dire non, comment dire oui ? Où est la limite entre la vie qu'on vit et la vie qu'on joue ? Et si notre existence était un interminable casting ? Décalée, d'une voix qui ne ressemble à aucune autre, drôle et sans concession, Sylvie Testud éteint les feux trompeurs de la rampe, et l'on découvre qu'il n'y a pas beaucoup d'étoiles ce soir.

02/2005

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Contes et nouvelles

El gasir de la honte

''Nos pieds s'enfonçaient dans la boue jusqu'à mi-jambe ! On les ressortait sans leurs godasses. On en prenait aux morts ! Ils n'en avaient plus besoin ! C'est abominable de dévêtir des morts ! Un homme, même mort, a sa dignité. C'est une profanation, un sacrilège de lui prendre ses vêtements ! Et de les porter ensuite comme s'ils étaient à vous ! C'est les vivants qui doivent se dévêtir pour couvrir les morts ! '' disait Ba Hoummad pour qui c'étaient les Zouaves, les Goumiers, les Harkis, les Spahis, la ''Lijou'' qui avaient fait les guerres pour les Français. ''Pendant que les troupes d'Hitler paradaient sur les Champs Elysées, au pied de la Tour Eiffel et de l'Arc de Triomphe, les Français se terraient dans les colonies d'Afrique, bien loin de leur France qu'ils avaient désertée, abandonnée, offerte ! '' Ajoutait-il.

09/2021

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Développement personnel

Le bonheur n'est souvent qu'à un pas

Lucie est une jeune femme ordinaire qui vit une existence ordinaire. Un peu trop même. Elle se sent engluée dans une routine qui enlève toute saveur au quotidien, les jours s'écoulant les uns après les autres, comme si la vie n'avait rien de mieux à offrir. Jusqu'au moment où le hasard met sur son chemin Liang Sonntag, un vieil homme étrange qui tient une petite librairie. Spontanément et sans qu'elle ait rien demandé, il pose un diagnostic sans appel : Lucie n'est tout simplement pas heureuse. Le vieil homme lui propose alors des petits défis du quotidien, des exercices que tout un chacun peut mettre en oeuvre. Lucie n'est pas au bout de ses peines, mais jour après jour, la jeune femme construit sa propre voie du bonheur. Car tout est là, entre nos mains, et tout ce qui nous empêche d'être heureux, ce sont les limites que nous nous imposons à nous-mêmes...

05/2019

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12 ans et +

Le bonheur m'a dit qu'il reviendrait

Lune et Elsa sont amies. Elles sont différentes et cela les rapproche. Ensemble, elles sont plus fortes. Ensemble, elles pourront affronter leurs démons : petit ami, tentative de viol, problèmes familiaux douloureux... Ensemble, elles randonneront en Bretagne et essayeront d'éclaircir leur avenir embrumé.

03/2019

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Santé, diététique, beauté

Il n'y a pas que des avantages à avoir un cancer !

Un mari aimant, des enfants formidables, des amis présents et une vie bien remplie, quoi demander de mieux ? Pourtant, depuis quelque temps, des plaques rouges fugaces me couvrent le corps. Une hospitalisation, une longue série d'examens et le verdict tombe : cancer et métastases. Le monde semble s'écrouler. Que dire à mes proches ? Que va-t-il se passer maintenant ? Vais-je mourir bientôt ? Entre les rencontres bienveillantes, maladroites ou manquants cruellement d'empathie, le chemin sera long et de nombreuses épreuves m'attendent. Progressivement et avec l'amour de mes proches, je prends la distance nécessaire, assume la situation et apprends à vivre avec cette maladie. Car si mes jours sont comptés, alors il faut en profiter au maximum ! C'est vrai qu'il n'y a pas que des avantages à avoir un cancer, évidemment, mais dans ce roman autobiographique, l'auteure a décidé de considérer la bouteille à moitié pleine ! En résulte un récit empli de tendresse, d'émotion, d'humour et de bonheur de vivre. Sylvie Blondelle Ronteix est institutrice spécialisée dans l'aide auprès d'élèves en difficulté scolaire. La découverte de son cancer à évolution lente est une véritable prise de conscience. Elle qui dit souvent que "?Dans tout négatif, il y a du positif, alors cherche-le ! ?" se met à écrire et réalise son rêve d'enfant : devenir auteur. Découvrez ici son témoignage inspirant et optimiste !

08/2020

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Autres collections (9 à 12 ans

A quoi tu penses ? Il n'y a pas d'âge pour les questions, il n'y a pas d'âge pour être philosophe !

Pourquoi on tombe amoureux ? Pourquoi on est triste quand quelqu'un disparaît ? Est-ce que je suis libre de faire tout ce que je veux ? Simone se pose des questions, sur tout, tout le temps. C'est un peu fatiguant mais c'est comme ça...Alors au lieu d'embêter tout le monde avec ses questions, elle a trouvé une méthode. Chaque fois qu'elle tombe sur un mot compliqué, comme le bonheur ou la liberté, elle regarde dans le dictionnaire. Mais souvent cela suscite un tas de nouvelles questions ! Et si Simone faisait de la philosophie sans le savoir ?

02/2023

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Littérature française

Il n'y a pas d'âge pour séduire

Après "Le Roman des régimes", voici les nouvelles aventures du docteur Mathieu Sorin, nutritionniste réputé, qui décide, afin de se rapprocher de ses patients, de quitter la clinique chic où il exerçait pour un cabinet plus modeste. Dans sa salle d'attente, on croise Ralph Farrell, un grand couturier rattrapé par ses kilos, auquel Mathieu propose un traitement radical. Dernière chance ou nouveau départ ? Liliane Bensimon, une épouse modèle, qui poursuit son combat contre le surpoids. Une rencontre inespérée bouleversera-t-elle sa vie ? Sarah Fillot, une jeune fille anorexique qui, après avoir frôlé la mort, a décidé de se lancer dans la politique sur les traces de son père. Parviendra-t-elle à son but ? Pierre-André, un CRS qui veut devenir ostéopathe, traîne un lourd secret. Le docteur Sorin l'aidera-t-il à le découvrir ? Quant à Betty Danslaer, séductrice octogénaire, elle trouve en Mathieu plus qu'un confident et lui révèle les dessous d'une existence agitée. Quelles leçons en tirera-t-il ? A travers ce nouveau roman, le docteur ,Jean-Michel Cohen poursuit son exploration des désordres alimentaires en s'intéressant aux problèmes psychologiques qui les provoquent. Et prouve, avec humour et émotion, qu'il n'y a pas d'âge pour séduire.

11/2010

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Littérature française

Il n'y a pas de Ajar. Monologue contre l'identité

L'étau des obsessions identitaires, des tribalismes d'exclusion et des compétitions victimaires se resserre autour de nous. Il est vissé chaque jour par tous ceux qui défendent l'idée d'un " purement soi " , et d'une affiliation " authentique " à la nation, l'ethnie ou la religion. Nous étouffons et pourtant, depuis des années, un homme détient, d'après l'auteure, une clé d'émancipation : Emile Ajar. Cet homme n'existe pas... Il est une entourloupe littéraire, le nom que Romain Gary utilisait pour démontrer qu'on n'est pas que ce que l'on dit qu'on est, qu'il existe toujours une possibilité de se réinventer par la force de la fiction et la possibilité qu'offre le texte de se glisser dans la peau d'un autre. J'ai imaginé à partir de lui un monologue contre l'identité, un seul-en-scène qui s'en prend violemment à toutes les obsessions identitaires du moment. Dans le texte, un homme (joué sur scène par une femme...) affirme qu'il est Abraham Ajar, le fils d'Emile, rejeton d'une entourloupe littéraire. Il demande ainsi au lecteur/spectateur qui lui rend visite dans une cave, le célèbre " trou juif " de La Vie devant soi : es-tu l'enfant de ta lignée ou celui des livres que tu as lus ? Es-tu sûr de l'identité que tu prétends incarner ? En s'adressant directement à un mystérieux interlocuteur, Abraham Ajar revisite l'univers de Romain Gary, mais aussi celui de la kabbale, de la Bible, de l'humour juif... ou encore les débats politiques d'aujourd'hui (nationalisme, transidentité, antisionisme, obsession du genre ou politique des identités, appropriation culturelle...). Le texte de la pièce est précédé d'une préface Delphine Horvilleur sur Romain Gary et son oeuvre. Dans chacun des livres de Gary se cachent des " dibbouks " , des fantômes qui semblent s'échapper de vieux contes yiddish, ceux d'une mère dont les rêves l'ont construit, ceux d'un père dont il invente l'identité, les revenants d'une Europe détruite et des cendres de la Shoah, ou l'injonction d'être un " mentsch " , un homme à la hauteur de l'Histoire. " J'avais 6 ans lorsque Gary s'est suicidé, l'âge où j'apprenais à lire et à écrire. Il m'a souvent semblé, dans ma vie de lectrice puis d'écrivaine que Gary était un de mes " dibbouks " personnels... Et que je ne cessais de redécouvrir ce qu'il a su magistralement démontrer : l'écriture est une stratégie de survie. Seule la fiction de soi, la réinvention permanente de notre identité est capable de nous sauver. L'identité figée, celle de ceux qui ont fini de dire qui ils sont, est la mort de notre humanité. "

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Littérature française

Il a neigé sur mon île

Vous aimez l'exotisme, les cocotiers et la crème solaire... Embarquez pour cette terre éloignée... Ah, non ! Mince ! Finalement, vous retrouverez plutôt les embruns et le bon air marin ! Après une année plus qu'éprouvante émotionnellement, Alexandra, Parisienne trentenaire, décide de s'exiler loin de son quotidien pour passer Noël. Quoi de mieux qu'une île perdue au bout de la terre pour s'isoler ? Mais est-ce que cet exil l'aidera vraiment à panser ses plaies ? Anna, Emilie, Louise, Paul, Alan et Maël, une bande d'amis attachants, sont accrochés sur leur île comme des coquillages sur leur rocher. Certains y vivent une existence paisible et d'autres ne rêvent que de s'en évader. Une chèvre (oui ! Vous avez bien lu. Il s'agit bien de l'animal idiot qui bêle et saute partout) entraîne une rencontre entre ces autochtones et cette citadine que tout oppose. Leurs chemins qui semblaient tout tracés vont-ils être chamboulés ?

01/2022

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Histoire de France

"Il n'y a pas une mémoire, mais des mémoires"

En 2012, année du cinquantenaire de la fin de la guerre d'Algérie, que nous restait-il à apprendre sur ce conflit ? Quel a été le vécu de l'armée française ? De ceux d'en face ? Comment enseigne-t-on cette Histoire ? Quelle fut la vie des Parisiens pendant ces sept années ? Et le sort réservé aux harkis ? Et aux rapatriés ? Et la torture, les terroristes ? Pour répondre à ces questions, encore si passionnelles, l'Espace Parisien Histoire Mémoire Guerre d'Algérie a organisé le Zef Forum des Ecrivains consacré à la guerre d'Algérie, proposant à un public venu nombreux, durant ces trois jours, des expositions, des séances de dédicaces, une conférence et, surtout, les cinq tables rondes, reproduites ici en intégralité. Les prestigieux participants à ces tables rondes, historiens et enseignants, journalistes et scénaristes, auteurs de bandes dessinées et anciens combattants, ont ainsi pu nous faire partager les résultats de leurs longues années d'études, de leurs travaux et de leurs souvenirs. Sans rien cacher de leurs incertitudes, ils ont fait comprendre au public que l'Histoire s'écrivait non pas avec une mémoire, mais avec des mémoires. Jean Laurans, Président de l'EPHMGA

09/2014

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Livres 3 ans et +

Il n'y a pas d'autruches dans les contes de fées

Ah, les contes de notre enfance ! On aime les lire et les relire, mais si une autruche s'en mêle, quelle pagaille ! Prenez par exemple La Belle au bois dormant et imaginez un peu le tableau si l'on remplace la princesse par une autruche. Des pieds et un cou décharnés qui dépassent de l'édredon, c'est tout de suite moins romantique... Vous avez compris le principe ? Alors, maintenant, imaginez-la tel le petit Chaperon rouge portant son panier, ou dans le rôle du vilain petit canard... De plus, l'autruche a un caractère de cochon, n'est pas une fille facile et a un appétit démesuré. , ce qui complique encore bien des situations. Un détournement des contes traditionnels par l'humour très aiguisé de Gilles Bachelet.

10/2008