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Du mensonge à la violence. Essais de politique contemporaine

Extraits

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Littérature étrangère

La vérité par le mensonge. Essais sur la littérature

Bibliothécaire adjoint d'un club de Lima dans sa jeunesse, Mario Vargas Llosa fut possédé très tôt par ce vice impuni qui ne l'a jamais quitté : la lecture. Il nous en donne encore la preuve en analysant ici plus de trente chefs-d'oeuvre romanesques du XX ? siècle et en scrutant la figure de ces romanciers majeurs que furent Joyce et Faulkner, Camus et Bellow, Nabokov et Hemingway, et bien d'autres encore. Sa complicité de plume lui fait entrevoir l'alchimie particulière du roman contemporain, qui repose notamment sur ce "mentir-vrai" cher à Aragon. Le mensonge de la fiction, développe-t-il dans ces pages, nous renvoie la vérité de nos manques et de nos désirs, celle de nos propres démons ; et nous permet ainsi de vivre en "intelligence" avec eux. Mais ce faisant, l'écrivain prolixe et infatigable lecteur qu'est Vargas Llosa ne trace-t-il pas son autobiographie littéraire ? Il nous transmet en tout cas son enthousiasme pour la littérature et nous invite à lire et à relire passionnément les grands maîtres de notre temps.

03/1992

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Littérature française

Violences subtiles. Chroniques urbaines contemporaines

La violence subtile, souterraine et invisible est partout présente. C'est la plus dangereuse. Elle détruit tout et engendre de nombreuses souffrances. Une femme active, contemporaine explore en soixante-deux nouvelles les relations hommes/femmes, la sensualité, le monde professionnel et plus particulièrement le monde financier, la vie de tous les jours, la publicité, les médias, la vie sociale et politique. Elle défend une lucidité aiguë sur les priorités de notre époque.

02/2013

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Sociologie

Penser la métamorphoses de la politique, de la violence, de la guerre

Ce livre est un des résultats d'un vaste projet citoyen et académique mené dans le cadre d'un Programme du Collège International de Philosophie (CIPh), Exil, Création, Philosophie et Politique. Philosophie et Citoyenneté contemporaine, entre 2010 et 2016, en Europe et à ses frontières (voir site : exil-ciph.com) et des activités del Colectivo de Mujeres para la Memoria (Concepción, Chile). Une préoccupation : les métamorphoses de la politique, de la violence, de la guerre et ses incidences sur l'action et la pensée politique. Que découvrons-nous en parcourant l'exil et le des-exil ? Que peuvent nous apprendre des féministes matérialistes sur ces métamorphoses ? On verra en quoi leur théorie minoritaire est fondamentale. Nous sommes parties de quelques questions. Pourquoi des femmes battues meurent tous les jours sans soulever de réaction ? Comment un président des Etats-Unis peut-il engager la guerre d'Irak en s'appuyant sur un mensonge politique (armes de destruction massive) sans soulever le doute ? Comment la manipulation de la haine contre les étrangers qui séduit autant de politiciens transforme la politique en guerre ? Comment une ministre en charge du droit d'asile en Suisse peut déclarer " Je n'ai pas de tabou u en matière de politique des étrangers alors que des individus meurent dans les renvois forcés ? Que dit une militante du droit d'asile qui s'écrie en sortant d'un poste de police avec un requérant d'asile : "Nous sommes en guerre" ? Quoi de commun entre ces faits de violence banalisée ? Qu'est-ce que la militarisation des sociétés ? Pourquoi nous adaptons-nous si facilement à la violence guerrière ? Comment ne pas se laisser embarquer dans le climat guerrier de l'apartheid généralisé ? Le dialogue avec les féministes matérialistes - Colette Guillaumin, Nicole-Claude Mathieu, Paola Tabet - transforme leurs travaux. Le livre est un précieux manuel de travail collectif pour les mouvements sociaux et la recherche aujourd'hui.

11/2013

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Histoire de France

Violence & politique. De la Révolution française au début du XXe siècle

Le présent du début du XXIe siècle nous renvoie à plusieurs égards à des questions et des données du XIXe siècle, que l'on croyait, il y a encore peu, dépassées : le retour du nationalisme, la violence politico-religieuse, la contestation du libéralisme, le retour de la rente et l'appropriation des richesses par une oligarchie. Pour cette raison, l'approche socio-politique des sociétés du XIXe siècle connaît un regain d'intérêt. Ce livre propose une série de réflexions et d'exemples, au cours d'un long XIXe siècle, sur les différentes facettes de l'expression de la violence socio-politique et du lien entre cette dernière et les phénomènes révolutionnaires dans la société française. Ce livre est aussi un hommage à Jean-Claude Caron, qui est l'un des acteurs de premier plan de la recherche sur cette thématique et sur cette actualité du XIXe siècle.

03/2019

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Histoire des idées politiques

Chronique politique et parlementaire de la France contemporaine. De la Révolution à nos jours

De la révolution à 2017, l'auteur explore le paysage politique et constitutionnel de la France apportant un éclairage précieux sur les courants, les idées, les hommes et les événements qui ont construit l'Etat actuel.

07/2021

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Philosophie

La revanche des passions. Métamorphoses de la violence et crises du politique

Nous sommes profondément imprégnés par l'idée que la modernité réside dans la canalisation des passions par la raison, soit par la prise en compte de normes universelles, soit par la composition d'intérêts bien compris. Leur résurgence dans les conflits contemporains, avec son cortège d'extrêmes violences, nous apprend qu'il n'en est rien. A l'heure où la mondialisation met en question la cohérence de l'Etat national, où les armes, notamment atomiques, changent la nature de la guerre, les conflits interétatiques cèdent le pas aux guerres civiles, au terrorisme et à la montée de la violence sociale. Ce déchaînement des passions est-il à l'origine des bouleversements actuels, ou en sont-ils la cause ? Pour saisir les dynamiques de notre monde complexe et mouvant, il nous faut reprendre à nouveaux frais l'analyse de la guerre et de la paix et, avec elle, toutes nos catégories de la philosophie politique. Nous comprendrons ainsi quel rôle jouent les passions, leur circulation, leur interaction, leur équilibre et déséquilibre, non seulement dans le déclenchement des conflits mais aussi dans leur possible dépassement. C'est tout le problème du politique que de penser la coexistence possible entre citoyens, alliés et adversaires à l'intérieur d'un ordre global commun.

10/2015

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Philosophie

Etats de violence. Essai sur la fin de la guerre

La philosophie occidentale a longtemps pensé la guerre comme une mise en forme spécifique du chaos des forces. Elle l'a définie, dans une formulation fameuse, comme " conflit armé, public et juste ", soutenu par une tension éthique (défense de l'honneur, courage, sens du sacrifice), un objectif politique (donner consistance à un Etat) et un cadre juridique (fonder le droit, défendre une juste cause, définir des règles de combat). Cette construction spéculative n'eut pas d'influence directe sur la réalité des carnages, elle n'en constitua pas moins un horizon régulateur qui servit à définir en Occident un droit de la guerre, des conventions internationales et un imaginaire spécifique. Or ce concept de guerre, stabilisé par des siècles de réflexion philosophique, échoue aujourd'hui à penser les nouvelles formes de violence : attentats terroristes, factions armées sillonnant des pays ravagés, envoi de missiles intelligents pour des conflits à " zéro mort ". La guerre et la paix tendent à disparaître, laissant place à l'intervention et à la sécurité. L'humanité serait entrée, depuis peu, dans ce que Frédéric Gros, par provision, appelle l'âge des " états de violence " : la fin de la guerre, ce n'est pas la fin des violences, mais leur reconfiguration selon des économies inédites. Les états de violence transforment le rapport à la mort, ils imposent toujours plus la logique d'une destruction unilatérale de civils démunis, brisant un rapport ancestral d'égalité et d'échange. La guerre visait à défendre ou accroître une Cité, un Empire, un Etat ; voici que les états de violence s'adressent à la seule fragilité de l'individu, ramené à sa condition vulnérable de vivant. La guerre, enfin, avait été constituée comme violence justifiée ; les états de violence offrent, à travers leur médiatisation, le spectacle du malheur nu, le scandale de victimes dont la souffrance exhibée décourage d'avance toute reprise critique. Cette radicale transformation exige de la philosophie qu'elle pense le présent, marque des ruptures, inspire de nouvelles vigilances, invente de nouvelles espérances.

01/2006

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Sociologie politique

Pour une non-violence politique

Nos sociétés ont pris conscience, de façon relativement récente, du problème de santé publique que représentent les violences sociales structurelles. Pourtant, ce problème est ancien : il s'agit d'un mécanisme parmi d'autres dont usent les différents systèmes de domination pour subordonner une certaine catégorie d'individus et marquer le social par des hiérarchies. Les violences sociales structurelles ont toujours été là. Ce volume se propose de réfléchir à la question au travers d'un recueil de textes écrits au cours des cinq dernières années. Sara Calderon souhaite d'abord mettre à jour les dynamiques sociales de violence relationnelle, afin d'en extraire quelques principes de fonctionnement en synchronie et de les confronter aux possibilités de remédiation de notions ayant permis de renouveler la pensée de gauche. Cet essai propose également un projet politique de société complet, formulé à partir des conclusions tirées de l'analyse des dynamiques sociales. Enfin, l'ouvrage intègre une ébauche de périodisation des violences structurelles, susceptible de poser les bases d'un autre regard sur l'Histoire. Sara Calderon est maîtresse de conférences en espagnol à l'Université de Nice depuis 2009. Elle a conduit ses recherches en narratologie, en littérature latino-américaine, puis en sociologie et en politique, notamment en études de genre. Elle coordonne la revue en ligne de publication d'actes de colloques, Nouveaux Imaginaires, qui porte sur la question des imaginaires sociaux.

01/2022

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Histoire de France

Les Prétoriens du Général. Gaullisme et violence politique de 1947 à 1959

Fondé par de Gaulle au printemps 1947, le Rassemblement du peuple français (RPF) se dote d'un puissant service d'ordre pour se protéger de la violence communiste. S'inspirant d'un modèle de gestion militante de la violence politique élaboré depuis la fin du XIXe siècle par la droite nationaliste française (des Commissaires de Déroulède aux Dispos des Croix-de-Feu), ce puissant appareil de sécurité, incarné par des chefs charismatiques (colonel Rémy, Dominique Ponchardier), met au point un protocole efficace pour sécuriser les meetings et campagnes d'affichage. Avec ses gros bras et sa "brigade volante", le RPF tient la rue et permet au Général d'exister politiquement. L'ouvrage questionne la nature paramilitaire de ce service d'ordre (niveau d'effectifs, présence d'armes, sur-représentation de militaires, fonctionnement autoritaire et dimension offensive), interroge son rapport banalisé à la violence (effet générationnel de la guerre, propagande accidentogène, virilisme politique), analyse les pratiques de clandestinité, d'infiltration et d'espionnage issues de la Résistance et réactivées par l'anticommunisme de guerre froide. Remobilisé lors des "complots" du printemps 1958 et de la campagne référendaire de l'automne, ce service d'ordre, dans lequel le nouveau chef de l'Etat recrute ses "gorilles", forme début 1959 le Service d'action civique qui recycle sous l'impulsion du tandem Foccart/Debizet, les hommes et méthodes du RPF. L'ouvrage insiste sur ce que révèle cet appareil de sécurité de la culture politique gaulliste : la place de l'informel et de l'officieux, le rôle de la violence et du secret. Il propose une histoire politique et culturelle de la violence militante en France des lendemains de la Seconde Guerre mondiale aux débuts de la V République (1947-1959) via une lecture "par le bas" centrée sur le terrain, et sur des acteurs et types d'engagement souvent négligés car jugés mineurs et prosaïques.

10/2018

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Sciences politiques

La théorie politique contemporaine. Courants, auteurs, débats

Au carrefour de la philosophie politique et de l'histoire des idées, la théorie politique est une sous-discipline centrale de la science politique, qui a pour objet l'étude des doctrines et idéologies contemporaines. Cet ouvrage dresse un panorama complet des théories politiques actuelles, en les regroupant par grands thèmes : en partant du libéralisme, qui constitue la doctrine dominante, il identifie ensuite plusieurs "familles" de théories qui se sont construites en critique des théories libérales (critiques morales, politiques, économiques, écologistes et féministes). Illustré de nombreux encadrés thématiques (le transhumanisme, le conservatisme de gauche, les accommodements raisonnables, le populisme de gauche, le socialisme libéral, le revenu universel, la cause animale, le féminisme cyborg), ce manuel sans équivalent sur le marché permettra également aux étudiants de mieux comprendre les phénomènes politiques actuels et d'en mesurer la portée.

09/2021

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Sociologie politique

La force de la non-violence. Une obligation éthico-politique

Alors que le recours à la violence est souvent présenté comme le mode de résistance le plus radical, Judith Butler propose de régénérer la non-violence comme idéal. La non-violence, ce n'est pas la passivité ni le renoncement à l'action. Ce n'est pas le pacifisme naïf ni l'aspiration inconséquente à une forme de pureté morale. Ce serait plutôt une entreprise politique agressive de rupture avec le monde et ses propres impulsions. Défendre la non-violence comme idéal, serait-ce idéaliste ? Pour Judith Butler, la non-violence est au contraire nécessaire dans des temps comme les nôtres, quand ceux qui prennent position pour la violence reproduisent les cadres et les pratiques institués. Judith Butler propose ainsi de constituer la non-violence comme nouvel imaginaire politique. A travers ses discussions de Fanon, Freud, Benjamin, Arendt, Foucault... , elle entreprend de fonder une éthique politique sur les notions d'interdépendance, d'égalité et d'anti-individualisme. Ce livre s'est imposé dès sa parution comme un classique de la théorie politique contemporaine.

10/2021

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Sociologie politique

La force de la non-violence. Une obligation éthico-politique

La non-violence, ce n'est ni la passivité ni le renoncement à l'action. Ce n'est pas non plus le pacifisme naïf ni l'aspiration inconséquente à une forme de pureté morale. Il s'agirait plutôt d'une entreprise politique de rupture avec le monde et ses propres impulsions. Alors que le recours à la violence est souvent présenté comme le mode de résistance le plus radical, Judith Butler propose de régénérer la non-violence comme idéal. Le projet de constituer la non-violence comme nouvel imaginaire politique n'est pas une utopie. A travers ses discussions de Fanon, Freud, Benjamin, Arendt, Foucault... , la philosophe entreprend de fonder une éthique politique sur les notions d'interdépendance, d'égalité et d'anti-individualisme. Ce livre s'est imposé dès sa parution comme un classique de la théorie politique contemporaine. Judith Butler est philosophe, professeure à l'Université de Berkeley. Elle est l'auteure notamment de Trouble dans le genre (La Découverte, 2005), Vers la cohabitation (Fayard, 2013) et Rassemblement (Fayard, 2016).

03/2023

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Philosophie

De la violence à la divinité

"Les sujets étudiés dans ces quatre livres sont très différents les uns des autres : les romans modernes d'abord, les religions archaïques ensuite, la Bible et le christianisme enfin. Il y a dans ce recueil une diversité des outils d'analyse auxquels je recours : l'hypothèse du désir mimétique d'une part ; la théorie du bouc émissaire de l'autre ; la révélation destructrice du mécanisme victimaire enfin. Mais au cœur de ces quatre livres rassemblés ici - ce qui me plaît infiniment - l'essentiel est une question encore plus brûlante aujourd'hui qu'à l'époque où je me la suis posée. Il s'agit de la question de la violence dans son rapport avec le religieux."

10/2007

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Sciences politiques

Violence et politique au Moyen-Orient

Le Moyen-Orient est une des régions les plus instables au monde. Guerres civiles en Syrie et en Irak, transition politique douloureuse en Egypte, occupation massive de la Palestine par Israël, tensions récurrentes au Liban : autant d'exemples d'un état de violence qui a la particularité de s'exporter hors des foyers où il se déploie. La désertion du politique, dont la légitimité se fonde sur le dialogue, le compromis et la référence au droit, laisse le champ libre à un déferlement de violence multiforme dans cette région. Pour en décrypter les mécanismes, les auteurs prennent en compte cinq dimensions : les conflits territoriaux, les enfermements idéologiques, les replis identitaires, la résilience des autoritarismes et le contournement du droit international. Une réflexion sur cet espace géopolitique majeur, que le déni politique fait sombrer dans le chaos.

10/2014

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Sociologie politique

Politiques de la violence. Organiser la lutte de la Colombie au Pakistan

Si les violences politiques sont parfois le fait d'individus isolés, elles sont le plus souvent des actions organisées, c'est-à-dire inspirées, parfois planifiées, prises en charge, voire produites par des organisations dont les objectifs sont politiques. Les violences d'origine étatique sont, de loin, les plus meurtrières, mais celles des groupes non-étatiques demeurent une composante essentielle des dynamiques politiques contemporaines, partout dans le monde. Cet ouvrage met, plus particulièrement, l'accent sur ce deuxième type de violences, que la théorie politique considère, par principe, comme illégitime, mais qui, du point de vue des acteurs qui la perpétuent, peut se justifier, notamment quand il s'agit de protéger le statut d'un groupe dominant ou, à l'inverse, d'imposer les revendications d'un groupe marginalisé. Les enquêtes présentées dans cet ouvrage proviennent de chercheur-e-s ayant une longue familiarité avec leur terrain, que ce soit en Afghanistan, en Algérie, au Burundi, en Colombie, en Libye, au Pakistan, en Turquie et, plus largement, au Moyen-Orient. Elles témoignent toutes qu'il ne manque pas d'individus prêts à passer à l'action violente. Cependant, la compétence individuelle dans l'exercice de la violence ne peut devenir une ressource pour l'organisation dont elle émane que si celle-ci est utilisée de manière disciplinée, relativement mesurée, et fidèle au sens que l'organisation lui confère. Le problème central des organisations qui y recourent n'est donc pas tant de produire de la violence que de la moduler, la canaliser et lui donner sens, d'où l'intérêt de se pencher sur les processus de rationalisation de son usage. Par ailleurs, les modes d'action violents produisent des effets durables et spécifiques sur les sociétés, qui compliquent souvent le retour à une expression pacifiée des conflits politiques. Cet ouvrage a été dirigé par Amin Allal (CERAPS-CNRS), Gilles Dorronmro (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne) et Olivier Grojean (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne). Ont également contribué : Valeria Alfieri, Amélie Blum, Laurens Gayer, Jacobo Grajeles, Arthur Quesnay et Nedjib Sidi Moussa.

11/2021

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Actualité et médias

Tous les coups sont permis. De Mitterrand à Sarkozy, la violence en politique

La politique est un sport de combat. Violent. Sanglant. Et la Ve République a inventé la joute ultime : la conquête du sceptre élyséen au suffrage universel, une épreuve sanctionnée par un jury composé de 40 millions d’électeurs. La conquête du pouvoir demande un effort de tous les instants, c’est un chemin de croix qui nécessite d’être capable d’humilier l’adversaire, de l’écraser, de le piétiner, sans un regret, sans un remords. Sans un regard pour celui que l’on laisse à terre. Nicolas Sarkozy, Dominique Strauss-Kahn, Marine Le Pen, et tous les autres : jusqu’où sont-ils prêts à aller au moment de se lancer dans la guerre de la présidentielle de 2012 ? Quels sacrifices sont-ils susceptibles d’endurer ? Quelles violences sont-ils capables d’infliger pour parvenir au sommet ? L’élixir du pouvoir semble justifier toutes les audaces, tous les excès, tous les crimes. Et c’est d’abord le concurrent issu de ses rangs, de son camp qu’il faut être prêt à poignarder pour arriver : Giscard contre Chirac, Mitterrand contre Rocard, Fabius contre Jospin, Chirac contre Balladur, Sarkozy contre Villepin. Quelques « amateurs », quelques « naïfs », quelques personnalités médiatiques issues de la société dite « civile » se sont risqués dans l’arène, de Bernard Tapie à Nicolas Hulot. Mais au final, la politique est bien une affaire de professionnels. Une idée reçue veut que ce soit l’amour de l’autre, l’envie de servir le bien public qui suscite les vocations. C’est faux. Cette enquête, fourmillant de révélations et d’anecdotes inédites, se propose de décrypter l’histoire de la violence politique. D’Éric Woerth à Michel Noir, d’Alain Carignon à Didier Schuller, de Michel Rocard à Laurent Fabius, on y trouvera les reliques de ces victimes tombées au champ d’horreur de la politique pour affaires, scandales en tous genres, ou simplement… défaites électorales.

10/2011

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Sciences politiques

La violence des marges politiques des années 1980 à nos jours

Explorer le coeur des radicalités, des néo-nazis aux ultras gauches, ce n'est pas les amalgamer. C'est vouloir comprendre le basculement d'une société qui, à partir des années 1980, récuse toute valeur à la violence politique. Alors que les partis extrémistes se normalisent et s'installent dans le paysage électoral, la radicalité se réfugie dans les marges. La pluralité de celles-ci ne dissimule pas des dynamiques générales : dans la France récente, si la violence des militants politiques est moins importante qu'avant, elle est aussi plus structurée selon un mode horizontal. Elle est faite par réseaux et bandes. Elle surgit plus en réaction à une action des ennemis désignés qu'en fonction d'un agenda propre. Elle est plus souvent une question de style ou d'esthétique mobilisant le noyau militant qu'une stratégie de déstabilisation politique. Cette fluidité et cette basse intensité sont en résonance avec l'évolution internationale, comme en témoignent des phénomènes tels que les Black blocs ou les Nationalistes Autonomes. Cet ouvrage constitue une approche pluridisciplinaire de cette nouvelle époque, où la violence est avant tout affaire de groupes très idéologisés mais réduits.

12/2017

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Littérature française

Le sang de la République. Genèse politique critique du Niger contemporain

Il s'agit d'une genèse politique de la République du Niger. Une critique de la gestion politique du Niger contemporain. Cette critique qui se base sur des critères et des indicateurs scientifiques prend en compte les incidences de la géopolitique, l'écologie, l'économie, des facteurs sociopolitiques ainsi que la mondialisation. Ce qui accorde une place importante au droit comparé et au débat sociopolitique. Cela nous a amené à en dégager les insuffisances inhérentes et suggérer des perspectives durables. En outre de son objectivité, l'originalité de cette oeuvre est le fait qu'elle constitue un tremplin innovateur dans le débat notoire sur les questions sociopolitiques au Niger.

09/2020

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Théologie

Eglise et politique. Relation de l'Eglise et de la communauté politique de Saint Robert Bellarmin à l'époque contemporaine

L'Eglise a pris acte du refus de nombreuses communautés politiques d'écouter son message. Mais elle continue de défendre son autonomie, le fondement moral du politique et la coopération des deux ordres. A quoi bon, si les Etats rejettent la vocation de l'Evangile à pénétrer les réalités temporelles ? Depuis la dissolution de la chrétienté médiévale, la théologie catholique a approfondi la relation de l'Eglise et du politique en trois étapes, incarnées par saint Robert Bellarmin, Jacques Maritain et Charles Journet, Joseph Ratzinger-Benoît XVI. Leur étude fait apparaître un unique enjeu : l'accès à la vérité de la conscience, prise entre l'obéissance à Dieu et aux hommes. C'est à la fin la liberté humaine qui est en jeu : liberté de l'acte de foi et liberté tout court. Apparaît aussi l'ancrage de la théologie du politique dans "les principes énoncés en son temps par saint Thomas" , comme le rappelle François Daguet dans sa préface.

02/2023

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Ethnologie

Rétrovolutions. Essais sur les primitivismes contemporains

L’idée que l’avenir de l’humanité se trouve dans le passé et que la solution aux problèmes du présent est à chercher du côté d’une sagesse venue du fond des âges n’est pas neuve. Chaque époque a connu la tentation du primitivisme. L’incertitude idéologique actuelle lui donne toutefois une vigueur nouvelle. Le regain d’un tourisme mystique cherchant au loin, dans l’absorption ritualisée de substances hallucinogènes, les clés d’un paradis perdu, n’est qu’un aspect de cet attrait des origines. Car le primitivisme, aujourd’hui, prend trois formes : politique, anthropologique, artistique. Jean-Loup Amselle soumet ici chacune d’elles au feu de la critique. De la conception du musée du quai Branly à la référence à la « négritude » dans le discours de Nicolas Sarkozy à Dakar, en passant par la promotion, en Afrique de l’Ouest comme en Amérique du Sud, d’identités et de valeurs ethniques, il montre comment États et hommes d’État font de l’authenticité et de la tradition des arguments ou des instruments de pouvoir. Il dénonce également, chez certains de ses collègues anthropologues, une conception figée des cultures exotiques, voire un fétichisme des savoirs indigènes ; comme s’il fallait renvoyer les « sauvages » hors de l’histoire pour mieux pouvoir juger la pensée occidentale. Il analyse enfin le « processus de purification culturelle de l’autre » à travers une production artistique dont l’exotisme formaté est apte à séduire un public international.Cet ouvrage argumenté, engagé, parfois ironique, prend ainsi résolument parti contre les usages contemporains du mythe primitiviste.

09/2010

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Sciences politiques

Violences politiques en France

Les actes violents commis au nom d'une cause ne sont pas quantifiés, contrairement à ceux de la délinquance dont les statistiques se voient diffusées régulièrement. Pourtant, les images des violences politiques s'invitent chaque jour dans nos salons : attentats, dégradations d'équipements publics, séquestrations, etc. Prenant froidement le parti des chiffres, les auteurs ont constitué une base inédite de quelque 6 000 épisodes de violence politique survenus de 1986 à nos jours, en les catégorisant selon la nature de la cause défendue : idéologique, indépendantiste, religieuse, professionnelle ou sociétale. Leur approche à la fois quantitative et narrative, portant sur une trentaine d'années, fait tomber nombre de présupposés du débat politico-médiatique. Sans masquer la tragédie des attaques terroristes ni les manifestations émeutières des années récentes, elle nuance l'idée d'un regain de violence politique en France, où le nombre d'atteintes aux personnes est aujourd'hui très inférieur à celui des atteintes aux biens. Elle confirme un net recul de la violence indépendantiste, mais révèle aussi toute la palette d'expressions d'une colère grandissante contre la démocratie représentative.

03/2021

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Droit

L'INTEGRATION REPUBLICAINE. Essais de théorie politique

Comment concilier l'universalité des principes sur lesquels reposent les Constitutions de nos sociétés avec la diversité des identités et avec les tendances centrifuges de la mondialisation, sources de fractures sociales ? Autrement dit : comment intégrer l'autre dans la communauté républicaine, fondée sur l'affirmation de l'égalité des droits et l'égal respect de chacun pour chacun, quand la force des choses conspire à dresser les uns contre les autres ? La réponse de Jürgen Habermas est fort audacieuse. Partisan résolu de l'intégration politique, en Europe notamment, convaincu que l'Etat-nation a fait son temps, attentif à la diversité culturelle, il défend ici un nouveau républicanisme à vocation mondiale susceptible de conjurer le double écueil du repli nationaliste et de la dilution du corps politique dans le marché mondial.

10/1998

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Musique, danse

Politique de l'autonomie musicale. Essais philosophiques

On considère souvent la musique comme un art proprement politique, notamment en raison de sa capacité à transcender les communautés - mais aussi, parfois, à les diviser. Dans son premier ouvrage traduit en français, la philosophe américaine Lydia Goehr dresse au travers de cinq essais le tableau d'une "philosophie politique de la musique". Son objectif : nous montrer que la relation entre musique et politique ne se noue pas nécessairement où on l'attend. Ainsi, même si elle aborde de front des sujets tels que la censure ou l'exil des compositeurs, l'auteure déconstruit des conceptions de prime abord moins marquées politiquement qui s'avèrent en réalité fondatrices (l'autonomie de la musique par rapport aux autres arts, l'idée que la musique serait en mesure d'exprimer l'inexprimable, la quête chez les musiciens d'une interprétation idéale, etc.).

09/2016

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Sciences politiques

La violence politique dans les démocraties européennes occidentales

Par rapport à bien d'autres pays du monde, la violence politique a, aujourd'hui, sans aucun doute une visibilité réduite dans les démocraties européennes occidentales. Elle est pourtant présente au coeur même de leur fonctionnement : comme défi, comme menace ou comme recours : soit sous des formes dures soit, plus souvent, à niveau modéré. Ces études, signées par des jeunes chercheurs aussi bien que par des spécialistes confirmés, n'ont pas pour objet d'analyser les causes ou les déroulements des conflits, mais d'appréhender globalement la violence comme un mode très spécifique d'affirmation politique. A travers la violence d'état ou les violences contestataires, il s'agit de mieux comprendre le statut de la force dans l'Etat de Droit.

01/1993

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Psychologie, psychanalyse

La violence intime. Violences familiales, extra-familiales et éducatives

Si tous les aspects de la vie sociale sont touchés par ta violence, les violences - qu'elles soient éducatives, intra ou extra-familiales - appartenant au cercle le plus intime de l'individu sont particulièrement destructrices. A travers quatre récits de violences intra et extra-familiales de personnes de tous âges, et leur analyse, il s'agit de savoir si celles-ci sont traitées ou non en tant que sujets. Il s'agit aussi d'examiner les conditions de leur accueil et de leurs parcours institutionnels. L'ultime violence du terme "fait divers", qui les rend enfin visibles, interroge ta part d'humanité que nous leur concédons. L'ouvrage veut aussi sensibiliser à la question des VEO, les violences éducatives ordinaires. Comment en effet imaginer qu'une rivalité intergénérationnelle instaurée par des parents tout-puissants, que des paroles et des écrits pervers envers l'enfant, que te contrôle répressif de la sexualité adolescente puissent former des principes éducatifs ? Ce sont pourtant des réalités vécues, souvent rendues invisibles parce que restreintes au cercle familial. Dévoiler ces types de violence permet d'interroger leurs processus de légitimation et les facteurs qui les déterminent. Ce livre est une réflexion nécessaire et salvatrice pour délivrer la sphère intime d'abus qui laissent souvent des traumatismes à vie.

01/2020

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Sciences politiques

La citoyenneté confisquée. Nouvel essai de refondation du politique

L'affirmation ici développée et argumentée sous l'angle strictement philosophique s'énonce simplement : La crise du système représentatif était inévitable parce que la représentation politique trahit l'essence même du politique. La citoyenneté n'ayant de sens que par la participation directe et personnelle de chaque citoyen aux décisions collectives, le politique ne saurait être autre chose que l'espace de la discussion entre les citoyens à la recherche d'un accord sur toute question que la société pose à l'Etat. Dans tous les pays où elle a pris naissance dans le sillage des révolutions du 18e siècle, la démocratie représentative a fini d'apporter ce qu'elle pouvait produire de meilleur : l'émergence d'une conscience citoyenne demandant aujourd'hui à s'émanciper des tutelles politiques afin que soit confiée aux citoyens la responsabilité du monde. Le 21e siècle sera celui de la citoyenneté délibérative ou il ne sera pas. Idée simple, donc, mais non simpliste. Elle ne peut être fondée et justifiée que par une pensée du politique appelée à réinvestir la querelle des Anciens et des Modernes pour explorer les capabilités citoyennes à la lumière d'une théorie de l'existence et d'une métaphysique de l'homme. C'est ce que tente l'auteur de cet ouvrage, sur deux parties : 1 / Une partie "critique" , dont l'objet est d'abord de récapituler les raisons de l'insuffisance puis de la faillite du système représentatif. Suit le travail de "refondation du politique" proprement dit, qui convoque moins l'expérience grecque ancienne que les idéalités tirées de cette expérience par les poètes et intellectuels grecs, puis synthétisées dans la pensée d'Aristote. 2 / Une partie "prospective" dont l'objet est d'envisager, à la manière d'une utopie philosophique, les dimensions théoriques d'une reconquête nécessaire de la citoyenneté d'exercice. Sous le néologisme "politécratie" - préféré à "démocratie directe" - est alors élaboré le concept de régime des citoyens délibérants. Puis sont étudiées autant les raisons et modalités du confinement moderne des citoyens dans la société civile que les conditions d'une réhabilitation possible de la citoyenneté politique. [Voir la table des matières section par section en fin de volume]

03/2023

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Histoire des idées politiques

La violence politique vue par les historiens du Moyen- à l'Extrême-Orient

Dans l'imaginaire européen subsistent des relents de l'orientalisme dénoncé par Edward Said, avec à la clé une dichotomie implicite entre, d'un côté, un " Moyen-OrientA " volontiers perçu comme le terrain par excellence de la violence politique, voire comme le foyer de fanatismes congénitalement dressés contre toutes les valeurs les plus chères à l'Occident et, de l'autre, un " Extrême-OrientA " où tout ne serait qu'ordre et beauté, luxe, calme et prospérité. Or, ces deuxA représentations opposées relèvent pourtant d'un même type de fantasmagorie dont cet ouvrage, fruit d'un colloque qui s'est tenu en 2022 au Collège de France, se propose de montrer le caractère anhistorique et idéologique. Un premier colloque (juin 2019) avait déjà tenté de montrer l'illusion d'optique et les préconceptions orientalistes qui font encore croire à une Chine " harmonieuse ", à un Japon " esthétique " ou à une Inde " non violente ". A A AA l'inverse, l'Orient arabe apparaît aujourd'hui comme une " terre de sangA " d'où rayonne la violence sous forme de terrorisme dans les autres régions du monde. Les événements récents montrent bien que ce n'est pas une réputation usurpée. Pourtant la violence n'est pas innée dans cette région mais le produit d'une série de facteurs dont la convergence aboutit à la constitution de systèmes autoritaires de plus en plus conservateurs et kleptocratiques, jouant sur l'antiterrorisme pour justifier la répression des oppositions. Or, ce diagnostic porté sur l'Orient " moyenA " n'épargne pas totalement l'Orient " extrême " qui donne à première vue l'impression d'un monde relativement moins agité et plus prospère. A quel prix certains poids lourds de la région, à commencer par la Chine, maintiennent-ils sur leur population, notamment leurs minorités, un semblant d'ordre et de stabilité?

02/2024

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Développement personnel

Du mensonge à l'authenticité

Le nouveau livre de Marie-Lise Labonté traite d'une nouvelle quête que constitue la recherche de l'authenticité. L'auteur y aborde les concepts trop souvent galvaudés de mensonge et de vérité. Avec lucidité, elle répond à des questions fondamentales. Que cache le mensonge ? Pourquoi commence-t-on à mentir ? De quelle façon distinguer le mensonge inoffensif du mensonge pernicieux ? Comment échapper à l'emprise du mensonge et trouver la vérité qui nous est propre ? Toutes ces interrogations poussent ainsi le lecteur à évaluer la place qu'occupent le mensonge et la vérité dans sa vie. S'appuyant sur de nombreux exemples, l'auteur met en lumière les aspects positifs et négatifs de chacune des notions évoquées. Ses propos inspirants amènent à la réflexion et à l'introspection et aideront le lecteur à se libérer du jugement et à développer l'amour et la bienveillance envers lui-même et les autres. Cet ouvrage est une vraie démarche thérapeutique avec de nombreux exemples tirés de consultations en psychothérapie. Il est lumineux et stimulant qui rappelle à chacun la force d'aller au-delà des limites que l'on s'impose.

03/2014

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Ouvrages généraux

De la barbarie ordinaire. Essai sur le totalitarisme contemporain

Ce livre est certes un manifeste fustigeant l'idéologie dominante de la contemporanéité comme progressisme et post-modernité. Il montre en effet en quoi cette même idéologie, alors même qu'elle veut déconstruire toutes les formes d'autorités et dénoncer toutes les formes d'enfermements totalitaires dans les préjugés idéologiques, est elle-même justement source d'un nouveau totalitarisme. C'est ainsi que, par-delà les totalitarismes nazi et stalinien, il y a paradoxalement le totalitarisme libéral. Il reste que, si ce même livre est original, c'est surtout par son analyse philosophique des deux principes du totalitarisme. Il s'agit d'une part de la pensée et d'autre part de la société. Si ces deux principes du totalitarisme relèvent par ailleurs de l'essence de l'humanité, s'ils sont par là-même, tous les deux, sources d'une barbarie très commune ou très ordinaire, cela se révèle être d'une gravité anthropologique extrême. C'est la gravité de ce défi que Guillamaud tente d'affronter et de relever. Il soutient cette gageure en exploitant des penseurs aussi différents qu'Hannah Arendt, Emmanuel Lévinas, Emile Durkheim, Karl Marx et surtout Jacques Ellul et Michel Henry.

01/2024

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Roman d'amour, roman sentiment

Mensonges à la une

Une jeune femme entreprend un voyage en avion dans l'espoir de décrocher une interview qui rétablira l'honneur de son père. Durant le vol, elle fait la rencontre d'un homme énigmatique. Malgré une attirance mutuelle, elle se voit contrainte de se concentrer sur sa mission. Parviendra-t-elle à effacer les conséquences néfastes de l'article scandaleux qui a fait la une des journaux, portant préjudice à son père ? Entre tromperie, passion et rivalité, nous nous plongeons dans cette aventure palpitante.

06/2023