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Cadence. Essai autobiographique

Extraits

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Critique

Jacques Borel, l'imagination autobiographique

Fondée par Michel Minard en 1954, " La Revue des lettres modernes " est une collection de séries monographiques et thématiques consacrées aux écrivains modernes et contemporains.

04/2024

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BD tout public

Quelques miettes à géométrie variable. Suivi de Cadence

Quelques Miettes à géométrie variable est la description d'un gigantesque dispositif mécanique. Un dispositif sûr et précis inscrit dans un paysage désert, et qui ne semble nécessiter l'intervention de quiconque : aucun personnage, aucun être vivant identifiable n'y apparaît. On pourrait coller à la va-vite l'étiquette " abstraite " sur cette bande dessinée. Pointer de la sorte ce dont elle s'abstrait effectivement (intrigue, personnages, dialogues, sens, message...) serait cependant passer à côté du concret que, par ce biais, l'oeuvre intensifie : dessin, composition, rythme, découpage, narration... ce qui fait l'essentiel de la BD en somme. Resserrée, minimale, Quelques Miettes à géométrie variable est d'autant plus résolument une BD d'action, de pure action. Une BD où se noue une série de tensions complexes entre organicité et géométrie, entre mouvement et fixité, paysage et architecture, formation et effondrement, verticalité et horizontalité, noir et blanc, points, lignes, plans, regard, lecture, sensations, intelligence, émotions. Une BD. Une pure BD. En guise de postface, Quelques Miettes à géométrie variable est suivi de Gorgocycle, bref récit de 15 pages dessiné au moyen d'un logiciel 3D.

10/2017

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Littérature française

En désespoir de cause. Récit autobiographique

Ce récit autobiographique de mon enfance laisse entendre les silences et comprendre les regards d'un enfant dans un monde d'adultes où sévit le racisme, mais aussi sa révolte contre deux cultures qu'il ne peut séparer au point de se sentir marginal parmi les marginaux.

07/2013

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Histoire de France

L'ombre des préjugés. Récit autobiographique

Ce livre raconte la vie et les efforts de Guta, née de parents juifs, pour exister dignement face aux multiples préjugés qui la réduisent aux caricatures véhiculées par les idéologies meurtrières du siècle dernier. L'enfance de Guta est marquée par la barbarie nazie et sa jeunesse est vécue dans la Pologne communiste et antisémite. Sa vie de femme adulte se passe dans des pays occidentaux, la France et le Canada, où les chauvinismes culturel et social sont des obstacles dans sa carrière juridique, et son rôle d'épouse et de mère. Guta recherche un sens et un mode de vie en tant que juive, par fidélité à ses parents assassinés par les nazis, en subissant les préjugés propagés par les nouveaux " ismes " dont elle devient le témoin et la victime dans sa nouvelle patrie, Israël. C'est dans ce pays contesté par les " progressistes " qu'elle choisit de vivre ses dernières années, auprès de ses filles et de ses petits-enfants. Elle a vécu sous quatre noms et dans quatre pays différents, vivant et travaillant en polyglotte, suivant son destin de Juive errante, non par choix, mais par nécessité.

03/2014

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Littérature française

Enfant de deux mondes. Récit autobiographique

Une petite histoire sur le fond de la grande Histoire. Né à la croisée de deux ères radicalement opposées, l'auteur nous transporte dans la vie quotidienne d'une famille destinée à une émouvante épreuve de déracinement et de reconstruction. Le récit est la restitution de la mémoire d'un petit garçon indélébilement marqué par les dix premières années de son enfance vécue dans la mythique médina de Fès entre 1950-1960. Décade de l'indépendance et charnière importante dans l'histoire sociale du Maroc. Témoin d'une complexe et fascinante transmutation, l'auteur fait partie des baby-boomers marocains. Une génération qui a connu la fin d'un Maroc d'un autre âge pour être projetée dans un nouveau monde contrarié et incertain. Une génération qui vit en temps réel l'accélération de l'Histoire.

07/2022

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Littérature étrangère

Ermite à Paris. Pages autobiographiques

Les dix-neuf textes rassemblés dans le présent volume esquissent un portrait fragmenté d'Italo Calvino autant qu'ils racontent l'histoire de toute une génération. Car Calvino, en réfléchissant à sa propre biographie, revient sur notre histoire récente et sur les grandes questions qui la traversent. Il évoque ainsi le cauchemar fasciste et l'expérience du maquis, puis retrace le chemin de l'engagement communiste jusqu'à la désillusion. Avec l'ironie si particulière qui le caractérise, il parle de sa "névrose géographique" à travers les portraits des villes de San Remo, Turin, New York et, bien sûr, Paris, où il vécut quelques années et qui lui procure l'oxymore choisi comme titre de l'ouvrage. Autre texte majeur de cet ensemble, le "Journal américain, 1959-1960" fournit, en plus des observations très fines sur les Etats-Unis de cette époque, l'autoportrait le plus direct du volume. Ermite à Paris propose un éclairage passionnant sur l'oeuvre d'Italo Calvino, qui fut tour à tour romancier, éditeur et journaliste. A l'heure où les Editions Gallimard débutent la réédition intégrale de ses écrits, cet ouvrage offre une belle occasion d'entrer de plain-pied dans l'oeuvre d'un des plus grands écrivains du XXe siècle.

10/2014

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Pléiades

Oeuvres autobiographiques complètes. 2 volumes

En 1929, lors de sa parution, Une nuit dans la forêt était sous-titré "premier fragment d'une autobiographie". Trois ans plus tard, Blaise Cendrars évoquait pour la première fois ses souvenirs d'enfance dans Vol à voile et prévoyait une suite (perdue ou non écrite) qui devait s'intituler "Un début dans la vie". Mais de quelle vie s'agit-il ? et comment la raconter ? Certains élèvent des cathédrales. Cendrars construit des labyrinthes. D'autres mémorialistes (mais en est-il un ?) sont les esclaves du temps et des faits. Lui ne se soucie ni de chronologie ni d'exactitude. La vérité qui compte est celle du sens. "Je crois à ce que j'écris, je ne crois pas à ce qui m'entoure et dans quoi je trempe ma plume pour écrire". On imagine l'enthousiasme du jeune Freddy découvrant, grâce à Hans Vaihinger, que la vérité pouvait n'être que "la forme la plus opportune de l'erreur". Se créer une légende, voilà la grande affaire. Il en éprouvera toujours le besoin, ce qui est d'ailleurs, selon lui, l'"un des traits les plus caractéristiques du génie". "Je me suis fabriqué une vie d'où est sorti mon nom", dira-t-il, sur le tard, mais ce fantasme d'auto-engendrement est ancien. Quand on lui demanda, en 1929, si "Blaise Cendrars" était son vrai nom, il répondit : "C'est mon nom le plus vrai". Le pseudonyme devient vrai en échappant à l'emprise de la filiation. De même, en s'émancipant de la tyrannie des faits, la "vie pseudonyme" du poète acquiert une authenticité supérieure et devient "légende", c'est-à-dire (comme l'indiquent l'étymologie et Jean Genet) lisible. Il va de soi que les livres qui résultent de cette recréation du réel ne peuvent être qualifiés d'"autobiographiques" que par convention. Chez Cendrars, l'écriture de soi relève moins du pacte autobiographique que de ce que Claude Louis-Combet appelle l'(auto)mythobiographie : prendre en compte le vécu, soit, mais à partir de ses éléments oniriques et mythologiques. Cendrars fait de son existence la proie des mythes et des "hôtes de la nuit", rêves et fantasmes. Autobiographiques par convention, donc, et complètes. Jusqu'à un certain point (car l'autobiographique est partout présent chez Cendrars, jusque dans ses romans), les oeuvres ici rassemblées s'organisent autour des quatre grands livres publiés entre 1945 et 1949 : L'Homme foudroyé, La Main coupée, Bourlinguer et Le Lotissement du ciel. Cette "tétralogie" informelle est précédée de Sous le signe de François Villon, important recueil demeuré jusqu'à ce jour inédit en tant que tel. Elle est suivie du dernier texte personnel de Cendrars, J'ai vu mourir Fernand Léger, témoignage sur les derniers jours du peintre qui avait illustré la plaquette J'ai tué en 1918. On rassemble en outre, au tome II, les "Écrits de jeunesse" (1911-1912) au fil desquels Frédéric Sauser renaît en Blaise Cendrars.

05/2013

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Pléiades

Oeuvres autobiographiques complètes. Volume 2

En 1929, lors de sa parution, Une nuit dans la forêt était sous-titré "premier fragment d'une autobiographie". Trois ans plus tard, Blaise Cendrars évoquait pour la première fois ses souvenirs d'enfance dans Vol à voile et prévoyait une suite (perdue ou non écrite) qui devait s'intituler "Un début dans la vie". Mais de quelle vie s'agit-il ? et comment la raconter ? Certains élèvent des cathédrales. Cendrars construit des labyrinthes. D'autres mémorialistes (mais en est-il un ?) sont les esclaves du temps et des faits. Lui ne se soucie ni de chronologie ni d'exactitude. La vérité qui compte est celle du sens. "Je crois à ce que j'écris, je ne crois pas à ce qui m'entoure et dans quoi je trempe ma plume pour écrire". On imagine l'enthousiasme du jeune Freddy découvrant, grâce à Hans Vaihinger, que la vérité pouvait n'être que "la forme la plus opportune de l'erreur". Se créer une légende, voilà la grande affaire. Il en éprouvera toujours le besoin, ce qui est d'ailleurs, selon lui, l'"un des traits les plus caractéristiques du génie". "Je me suis fabriqué une vie d'où est sorti mon nom", dira-t-il, sur le tard, mais ce fantasme d'auto-engendrement est ancien. Quand on lui demanda, en 1929, si "Blaise Cendrars" était son vrai nom, il répondit : "C'est mon nom le plus vrai". Le pseudonyme devient vrai en échappant à l'emprise de la filiation. De même, en s'émancipant de la tyrannie des faits, la "vie pseudonyme" du poète acquiert une authenticité supérieure et devient "légende", c'est-à-dire (comme l'indiquent l'étymologie et Jean Genet) lisible. Il va de soi que les livres qui résultent de cette recréation du réel ne peuvent être qualifiés d'"autobiographiques" que par convention. Chez Cendrars, l'écriture de soi relève moins du pacte autobiographique que de ce que Claude Louis-Combet appelle l'(auto)mythobiographie : prendre en compte le vécu, soit, mais à partir de ses éléments oniriques et mythologiques. Cendrars fait de son existence la proie des mythes et des "hôtes de la nuit", rêves et fantasmes. Autobiographiques par convention, donc, et complètes. Jusqu'à un certain point (car l'autobiographique est partout présent chez Cendrars, jusque dans ses romans), les oeuvres ici rassemblées s'organisent autour des quatre grands livres publiés entre 1945 et 1949 : L'Homme foudroyé, La Main coupée, Bourlinguer et Le Lotissement du ciel. Cette "tétralogie" informelle est précédée de Sous le signe de François Villon, important recueil demeuré jusqu'à ce jour inédit en tant que tel. Elle est suivie du dernier texte personnel de Cendrars, J'ai vu mourir Fernand Léger, témoignage sur les derniers jours du peintre qui avait illustré la plaquette J'ai tué en 1918. On rassemble en outre, au tome II, les "Écrits de jeunesse" (1911-1912) au fil desquels Frédéric Sauser renaît en Blaise Cendrars.

05/2013

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Pléiades

Oeuvres autobiographiques complètes. Tome 1

En 1929, lors de sa parution, Une nuit dans la forêt était sous-titré "premier fragment d'une autobiographie". Trois ans plus tard, Blaise Cendrars évoquait pour la première fois ses souvenirs d'enfance dans Vol à voile et prévoyait une suite (perdue ou non écrite) qui devait s'intituler "Un début dans la vie". Mais de quelle vie s'agit-il ? et comment la raconter ? Certains élèvent des cathédrales. Cendrars construit des labyrinthes. D'autres mémorialistes (mais en est-il un ?) sont les esclaves du temps et des faits. Lui ne se soucie ni de chronologie ni d'exactitude. La vérité qui compte est celle du sens. "Je crois à ce que j'écris, je ne crois pas à ce qui m'entoure et dans quoi je trempe ma plume pour écrire". On imagine l'enthousiasme du jeune Freddy découvrant, grâce à Hans Vaihinger, que la vérité pouvait n'être que "la forme la plus opportune de l'erreur". Se créer une légende, voilà la grande affaire. Il en éprouvera toujours le besoin, ce qui est d'ailleurs, selon lui, l'"un des traits les plus caractéristiques du génie". "Je me suis fabriqué une vie d'où est sorti mon nom", dira-t-il, sur le tard, mais ce fantasme d'auto-engendrement est ancien. Quand on lui demanda, en 1929, si "Blaise Cendrars" était son vrai nom, il répondit : "C'est mon nom le plus vrai". Le pseudonyme devient vrai en échappant à l'emprise de la filiation. De même, en s'émancipant de la tyrannie des faits, la "vie pseudonyme" du poète acquiert une authenticité supérieure et devient "légende", c'est-à-dire (comme l'indiquent l'étymologie et Jean Genet) lisible. Il va de soi que les livres qui résultent de cette recréation du réel ne peuvent être qualifiés d'"autobiographiques" que par convention. Chez Cendrars, l'écriture de soi relève moins du pacte autobiographique que de ce que Claude Louis-Combet appelle l'(auto)mythobiographie : prendre en compte le vécu, soit, mais à partir de ses éléments oniriques et mythologiques. Cendrars fait de son existence la proie des mythes et des "hôtes de la nuit", rêves et fantasmes. Autobiographiques par convention, donc, et complètes. Jusqu'à un certain point (car l'autobiographique est partout présent chez Cendrars, jusque dans ses romans), les oeuvres ici rassemblées s'organisent autour des quatre grands livres publiés entre 1945 et 1949 : L'Homme foudroyé, La Main coupée, Bourlinguer et Le Lotissement du ciel. Cette "tétralogie" informelle est précédée de Sous le signe de François Villon, important recueil demeuré jusqu'à ce jour inédit en tant que tel. Elle est suivie du dernier texte personnel de Cendrars, J'ai vu mourir Fernand Léger, témoignage sur les derniers jours du peintre qui avait illustré la plaquette J'ai tué en 1918. On rassemble en outre, au tome II, les "Écrits de jeunesse" (1911-1912) au fil desquels Frédéric Sauser renaît en Blaise Cendrars.

05/2013

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Critique littéraire

Textes autobiographiques et autres textes

Léopold von Sacher-Masoch (1836-1895) n'a longtemps été connu que par le type de perversion que désigne son nom. Aujourd'hui, il s'agit moins de le revaloriser que de cerner la place singulière qu'il occupe dans l'histoire des formes littéraires. Dans ses Textes autobiographiques, inédits en France, Sacher-Masoch évoque ses souvenirs sur le ton de confidences intimes, expose ses réflexions sur la musique et le théâtre, revient aux contes et légendes qui l'ont nourri. L'érotisme raffiné et spirituel (L'Amour de Platon ou la " perversion idéaliste " d'un amour qui refuse entièrement le corps) côtoie la drôlerie satirique (Diderot se transformant en singe au contact des puissants de ce monde). Platon en amoureux déçu, Diderot en singe, Masoch en petit garçon : autant de figures " blanches " qui attendent leurs contenus pulsionnels, de schémas laissés vides par un texte qui se dit en quelque sorte non à lui-même.

05/2004

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Poésie

Le Socle, la danse au son de la cadence

Bienvenue à toi, Le Socle, la danse au son de la cadence dans cet univers perpétré çà et là par des persécutions des persécuteurs. L'écrit qu'il véhicule est l'image du vent qui souffle contre les ventres. En effet, le vent des vautours et vampires contre le quotidien humain génère la guerre. Mais jamais mourir sans nous enrichir. Voilà pourquoi les cris de mes écrits sont sévères : Mes écrits sont des prières contre les pierres des pères du monde contre nos têtes. Ils font tout mais ne font rien. Nous sommes des fourmis dans le camp des lions. L'auteur a honoré le Malin malien, Son Excellence Assimi Goïta qui, au finish, a dégagé le caillou dans le haricot pour des mets appétissants et prie pour des Assimi Goïta dans tout différent coin pour le bon soin aux différends. La vie chère de ce siècle, la chaleur au dos sans voir les os sur les corps, la course à pieds nus au soleil de midi dans ce désert sans dessert, l'Amour sont les miroirs de ce livre Chaque couche se doit pour devoir à son droit pour ne plus être sous des cartouches. C'est au son du tam-tam qu'on marque les pas pour des cadences de bonnes performances. Ecrivain que je suis, je dois être un Jésus pour que les cris de mes écrits donnent du sourire et du rire aux asservis et retentir de tirs contre les complices du pire.

08/2022

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Littérature française

Ainsi sied-il ! Roman autobiographique de fiction

Quand traumatisme rime avec pantalonnade c'est que, peut être, le masque peine à tomber. Que faire ? Cessez de rire jaune car cela ne sied pas du tout au teint et au sourire, puisque cela le rosit. Et pourquoi pas ? Dans cet ouvrage, une écriture désopilante et un humour décapant font voltiger les mots et voler les maux en éclats tout en laissant enfin remonter à la surface des bulles d'émotions en mal d'expression. Pas de répit pour le lecteur ! C'est sur un ton enjoué, souvent moqueur, que l'auteure vous conte les tribulations qui ont émaillé sa jeunesse dans une France profonde des années 60/70. Des adultes qui se prennent les pieds dans le tapis de la vie, des abbés aux mains baladeuses et aux envies perverses, voici les acteurs majeurs de ce récit.

06/2017

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Histoire internationale

Plaidoyer pour une histoire autobiographique du Congo

Récrire l'histoire du Congo pour que le présent soit désormais affranchi de l'imparfait du passé et que l'impératif d'un parfait présent fasse que le futur se conjugue au plus-que-parfait. Face à cet impératif, face à cette urgence, Didier Mumengi proclame le passé égypto-nubien de l'histoire du Congo et en appelle à la réécriture de cette histoire comme, "état modifié de conscience", comme discipline pédagogique, comme patrimonialisation muséographique, comme promotion des romans ou des fictions historiques, comme archéologie volontariste, comme culture mémorielle par des monuments, des stèles, des statues, comme création par des films, des chansons, des contes, des bandes dessinées, des pièces de théâtre, et comme politique de baptême et de débaptême des avenues et des villes... Ce combat de lointains pères à exhumer, de repères à réhabiliter, de valeurs à rétablir, de convictions à affirmer et de volonté à affermir passera par l'engagement d'une nouvelle génération d'historiens, d'intellectuels et de responsables politiques, ainsi que par la construction d'une nouvelle conception de la gouvernance de la société, plus exigeante, plus érudite et, osons le dire, plus clairvoyante, en ayant conscience que nous n'avons pas qu'un pays à redresser mais aussi et surtout une civilisation à rétablir et à perpétuer ! Telle est l'essence de ce Plaidoyer pour une histoire autobiographique du Congo.

12/2016

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Corées

Une haute clôture à Pyongyang. Récit autobiographique

Cet ouvrage couvre presque cent années de l'histoire tourmentée de la péninsule coréenne, du début du XXe siècle à l'orée du nouveau millénaire. Témoignage exceptionnel, il a été écrit par la propre soeur de la compagne du Guide suprême, feu Kim Jong Il. Mais, du père héritier de propriétaires fonciers, choisissant très tôt le communisme contre ses intérêts de classe, aux enfants et petits-enfants éduqués au Nord, astreints à une vie de reclus avant de parvenir à fuir, les destins dramatiques de cette famille font largement écho aux tragédies individuelles de l'immense majorité des Coréens de l'époque. Cette émouvante narration à quatre mains – la première partie retranscrit le journal de la mère de l'auteure – est aussi un puissant manifeste : celui d'une lignée de femmes déterminées à s'arracher aux plaies de la misère et aux pesanteurs du patriarcat, et qui, au moins un temps, auront eu sincèrement foi en la société nouvelle qu'elles se proposaient de bâtir.

03/2021

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Théâtre

Strindberg, l'impersonnel. Théâtre et autobiographie

Dans cet essai consacré au théâtre de Strindberg, Jean-Pierre Sarrazac entend mettre en valeur l'importance des récits autobiographiques comme antichambres des drames. Sur les lignes de fuite du récit autobiographique, le personnel tend vers l'impersonnel. Loin d'un usage psychologisant de l'écriture théâtrale, cet entrelacs, entre théâtre et autobiographie, inscrit l'intime au coeur d'une création où l'existence vient modeler et vivifier l'écriture.

10/2018

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Littérature française

Oeuvres complètes. Volume 18, Ecrits autobiographiques

" Ah ! comme je suis mal fait pour ma part, si j'ose ainsi parler de moi mais je ne parle pas de moi ou je ne parle pas que de moi, parce que nous sommes tous mal faits. " Cette phrase tirée d'Une main exprime la complexité du rapport que Ramuz entretient avec l'écriture autobiographique. Aux yeux de l'écrivain, sa trajectoire personnelle et les événements qui la jalonnent ne sont pas dignes d'être confiés au public. Sa vie individuelle lui apparaît comme anecdotique, et il se refuse à attribuer à son parcours une qualité exceptionnelle, en dépit des personnalités qu'il a fréquentées et du rôle qu'il a joué dans l'histoire littéraire : " Toute sa vie, on va, on fait : et c'est toujours comme si on n'avait pas avancé, comme si on n'avait rien fait ", écrit-il encore dans Une main. Mais malgré ces allégations, Ramuz parle souvent de lui, et utilise volontiers la première personne pour justifier sa vision, ainsi qu'en témoignent ses essais des années 1930. À l'exception notable de Découverte du monde, sa pratique de l'autobiographie obéit au principe de généralisation qui régit sa démarche d'essayiste. Dans Souvenirs sur Igor Strawinsky et dans René Auberjonois, la remémoration n'est pas le support d'une évocation de relations amicales, mais l'occasion de développer un discours sur la condition de l'artiste et son statut d'élection. Dans Vendanges comme dans Une main ou dans Paris (notes d'un Vaudois), l'expérience individuelle n'est abordée que dans la mesure où elle possède une valeur exemplaire, et qu'elle peut être partagée avec le lecteur : d'où le recours à des figurations de soi qui placent la sphère intime à distance. Plus que les vecteurs d'un discours introspectif ou psychologique, le " petit Vaudois " de Paris (notes d'un Vaudois) et le " petit garçon " de Découverte du monde sont les incarnations d'une relation au réel que Ramuz tend à son public comme il le ferait d'un miroir. Le volume contient les six récits autobiographiques que Ramuz a publiés en volume, Vendanges (1927), Souvenirs sur Igor Strawinsky (1928), Une main (1931), Paris (notes d'un Vaudois) (1938), Découverte du monde (1939) et René Auberjonois (1943), ainsi que dix-sept textes, dont huit inédits, au genre proche de celui de l'écriture intime.

01/2011

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Contes et nouvelles

Les Cancrelous. Novelettes un tantinet autobiographiques

"Je suis une sorte de jardinier nomade" , dit celui qui essaie simplement d'arriver à tourner à peu près correctement avec les saisons. Appelé par l'aventure de la conscience. Telle la spirale perlée de sèves au coeur du tournesol qui incline sa face du côté du grand Soleil.

09/2021

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Thérèse de Lisieux

Histoire d'une âme. Manuscrits autobiographiques

En 1898 paraissait un petit ouvrage, voué à une diffusion confidentielle et écrit par une carmélite morte un an plus tôt, à l'âge de 24 ans. Aujourd'hui, la célèbre Histoire d'une âme, traduite en de nombreuses langues, a été diffusée à des millions d'exemplaires. La jeune carmélite y explique ce qu'elle appelle la "petite voie" , une petite voie, selon elle, toute droite pour aller à Dieu, faite d'humilité et d'absolue confiance dans sa miséricorde, un chemin praticable par tous. Carmélite, sainte Thérèse de Lisieux a été déclarée docteur de l'Eglise catholique en 1997. Histoire d'une âme est un best-seller de la spiritualité, traduit en plus de 50 langues et imprimé à plus de 500 millions d'exemplaires à travers le monde. Il a reçu en 1989 le prix du Cardinal-Grente de l'Académie française.

10/2023

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Pléiades

Les Mots. Et autres écrits autobiographiques

Chez Sartre, l'écriture "personnelle" est longtemps restée souterraine. Héritage social ou familial ? "J'appartiens à une période où la littérature personnelle était peu estimée, du moins par les lecteurs bourgeois et petits-bourgeois dont étaient mon grand-père et les gens qui m'entouraient". Ou volonté, propre à l'écrivain engagé, d'écrire pour son époque plutôt que pour soi ? Les Mots est le seul livre publié du vivant de Sartre qui relève de l'autobiographie, et encore son appartenance au genre a-t-elle été discutée : les catégories sont toujours trop étroites pour les grands textes. En 1964, lors de sa sortie, on y voit évidemment un récit d'enfance (une enfance à laquelle "Poulou" "n'a rien compris", selon la mère de l'intéressé) et un splendide adieu à la littérature, mais on parle aussi d'un essai, d'un pamphlet, d'un livre de moraliste, d'une analyse critique ou philosophique. Une "espèce de roman", ajoutera Sartre, plus tard. Les Mots, à vrai dire, est sui generis. C'est un chef-d'oeuvre, peut-être le chef-d'oeuvre de l'autobiographie au XX ? siècle, et son auteur ne lui donnera jamais de suite. Ce sont des publications posthumes qui viendront révéler l'importance qu'eut pour lui l'écriture autobiographique et la diversité des formes qu'a prises sous sa plume cette veine longtemps réservée aux proches : des carnets de guerre qui sont comme le laboratoire de l'oeuvre à venir, des lettres en forme d'autoportrait, le journal d'un voyage en Italie, des notes prises dans les années 1950 à la relecture des carnets de guerre, les différentes versions et esquisse qui, composées de 1953 à 1963, aboutirent aux Mots de 1964, les textes brefs demeurés épars et ici publiés pour la première fois, sans oublier ces autoportraits partiels, obliques que sont les lumineux "tombeaux" écrits pour les amis, Merleau-Ponty, Paul Nizan. Oblicité : le mot définirait assez bien l'oeuvre autobiographique de Sartre. C'est évident à la lecture des portraits de Nizan et de Merleau-Ponty. Ce n'est pas moins clair dans Les Mots, où l'ironie autorise un jeu complexe entre l'enfant dont il est question et l'adulte qui parle et observe : "Je tiens mon passé à distance respectueuse". Les écrits autobiographiques dont ce volume met au jour la trajectoire secrète ne sont donc pas des écrits pour soi. Se peindre, très bien, mais pour se séparer de soi.

03/2010

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Histoire internationale

NON A LA TOMBALBAYE ! Fragments autobiographiques

Ce pamphlet a circulé sous le manteau au Tchad à partir du mois d'août 1974. Il a été écrit à Paris, où l'auteur s'était installé en janvier 1974, après avoir démissionné de son poste d'ambassadeur en RFA. Cette polémique est une page de l'histoire du Tchad, montrant à quel point la vie politique était dégradée sous la dictature de François Tombalbaye, et qu'un homme courageux pouvait lui résister ouvertement, prônant le refus d'accepter en silence la tyrannie.

05/1998

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Critique littéraire

Le pacte autobiographique. Tome 2, Signes de vie

Trente ans après la publication du Pacte autobiographique, Philippe Lejeune estime le moment venu de faire le point sur ses recherches pour marquer les scansions d'un travail passionné, noter les accords ou parfois les désaccords avec ce que furent ses convictions. Loin de se limiter à l'autobiographie et aux chefs-d'œuvre de la littérature, l'auteur a élargi son champ : il passe en effet à l'analyse des journaux personnels et de toutes les formes repérables par lesquelles un sujet fait signe de sa présence à soi et aux autres. Ce retour sur soi lui permet d'éclairer le lecteur sur les raisons d'être de ses diverses étapes ou échappées ponctuelles sur les activités qui découlent de sa recherche, comme la création de l'Association pour l'autobiographie. Signes de vie est un essai autobiographique : usage de la première personne, retour réflexif, trajet personnel du chercheur.

03/2005

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Littérature française

Perles de glace et de sang. Récit autobiographique

Ce récit débute par les sensations douces de l'enfance de l'auteure dans une ferme d'un village du nord de la France vers les années cinquante. D'abord tranquille, la vie prend une tournure dramatique à mesure que le temps passe. Les scènes de maltraitance opposent une mère avilie, martyrisée, à la foi chrétienne ardente, à un père violent qui traumatise. Comme ses frères et soeurs, elle devait se soumettre aux ordres : aider aux durs travaux de la ferme tout en étudiant. Sa mère subissait des meurtrissures physiques et morales. L'auteure a toujours travaillé dur à la ferme, comme plus tard au lycée et à l'université pour s'en sortir. Cependant, elle a gardé des images tendres telles cet adieu à la terre : " Je fais glisser entre mes doigts cette poussière argileuse qu'il me faudra quitter pour une autre plus loin. ".

12/2015

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Littérature française

La Carence Martiale chez l'enfant. Véritable fléau

La carence martiale touche les groupes des populations à risque (femmes enceintes et enfants en bas âge) aussi bien dans les pays développés que ceux en développement. En Algérie l'ampleur du problème n'est pas bien connue, car les études sont rares et les outils d'évaluation, des indicateurs biochimiques peu fiables. Objectifs - déterminer la prévalence de la carence martiale chez l'enfant de zéro à cinq ans dans la ville de Batna, étudier ses répercussions sur le développement physique et psychomoteur de l'enfant et évaluer le traitement l et les mesures de prévention adéquats. Sur un échantillon de 354 enfants de zéro à cinq ans, dans la ville de Batna, nous avons mesuré la ferritine sérique, l'hémoglobine, les récepteurs de la transferrine, nous avons analysé les signes cliniques de la carence et évalué la croissance et le développement psychomoteur des enfants. Les enfants carencés ont reçu un traitement à base de fer. Des contrôles ont été effectués à la fin du traitement martial.

01/2023

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Critique littéraire

Journal. Tome 1, textes autobiographiques (1892-1919)

Le véritable Journal de Roger Martin du Gard ne commence qu'en juillet 1919, et s'achève à la mort de sa femme, à l'automne 1949. On en trouvera le texte intégral dans les volumes II et III. Mais le romancier avait conservé et lié au sort de ce Journal, à côté de lettres intimes (à sa famille, à sa femme, à sa fille, à Marcel de Coppet), d'importants ensembles épistolaires, notamment sa correspondance croisée avec le poète Gustave Valmont (mort en 1914) et avec le musicien Pierre Margaritis (mort en 1918), de même qu'il n'avait pas détruit les petits carnets qui constituent son "Journal de guerre". Tout cela, joint à un chapitre de ses souvenirs d'enfance, relatif à sa découverte de la sexualité et auquel il attachait beaucoup d'importance, forme la matière, presque totalement inédite, de ce volume. C'est dire quel portrait fouillé, complexe, vivant dans ses emportements, ses sourires et ses attendrissements, ses contradictions et ses progressives certitudes se dessine ici, au fil d'une éducation de la sensibilité et de la raison. C'est dire aussi quel bilan historique d'une implacable netteté impose l'itinéraire de Martin du Gard, un itinéraire original si on le compare à celui de ses contemporains, Gide, Copeau, Schlumberger, Mauriac, Duhamel : toutes les valeurs, psychologiques, morales, sociales, politiques, idéologiques et esthétiques, d'une époque qui s'écroule en plein désarroi sont mesurées par lui à l'aune de l'authenticité, de la liberté et du bonheur. Voilà pourquoi s'amorce ici l'image forte d'un réfractaire, dont l'écriture est très tôt perçue comme l'arme de la révolte : pendant soixante-dix ans, l'écrivain Martin du Gard ne cessera de lutter contre l'absurde, refusant non de prendre parti, mais d'en prendre son parti. Comment, après cela, s'étonner que Camus l'ait si bien compris ?

10/1992

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Littérature étrangère

Veilleur de nuit. Et autres récits autobiographiques

Grand-père assène une grêle de coups sur la tête et sur les épaules de grand-mère qui recule vers la porte avec des mouvements impuissants... Effrayé et indigné, je braille à plein gosier. "Qu'as-tu à gueuler ? Tais-toi !" me dit-il en me menaçant de la main. Mais je ressens un accès à la fois de frayeur et de courage et je ne me tais pas. "La ferme, on te dit !" crie grand-père en se penchant vers moi, grinçant des dents. "Idiot, idiot, rouquin d'idiot !" lui lançai-je à tue-tête en plein visage. "Ah, bandit ! T'es ton père tout craché !" Et après m'avoir donné de son point sur le front, il s'enfuit... C'est la première bagarre familiale qu'ait retenue ma mémoire... Les textes autobiographiques figurant dans ce volume étaient, sauf deux, inédits en français et ils nous permettent de découvrir, ou de redécouvrir, l'homme et le conteur, bien plus complexes que ce que l'on croit généralement. Certes, sacré père des lettres soviétiques, Gorki a été le porte-parole de Staline, mais il a fini par en être la victime puisqu'il est mort sans doute assassiné sur son ordre. Il demeure surtout comme le chantre des pauvres, des plus que pauvres, lui qui a été l'un d'entre eux. Il raconte ici le gamin puis l'adolescent qu'il a été, qui ne connaît que la misère, la faim, les coups, la violence et le désespoir, avant de commencer à se structurer par le travail, l'amitié, la lecture et une profonde quête spirituelle présentée dans ce recueil sous un éclairage nouveau.

10/2009

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Religion

LE LIVRE DE LA VIE. Extraits autobiographiques

Beaucoup ont mesuré l'importance du Livre de la Vie de sainte Thérèse d'Avila. N'a-t-il pas, en 1921, conduit Edith Stein de l'athéisme à la foi et à la vocation carmélitaine ? Ces pages ne sont pas aussi structurées que " Les Demeures " pour plusieurs raisons, mais leur vivacité, leur limpidité, balisent un authentique " chemin de vérité " (V c 1, 4). Cependant, tel quel, cet ouvrage, passant du récit à des conseils sur l'oraison et vice versa, était un peu surprenant. Aussi, a-t-on jugé intéressant d'extraire tous les traits autobiographiques pour que, de son enfance à la fondation de S. Jose d'Avila, il soit aisé de suivre le parcours de Teresa de Ahumada. Un commentaire tiré de livres espagnols inédits en français, de photos prises au terme de trente années de voyages outre-Pyrénées donneront à ces textes une implantation plus solide et savoureuse dans l'histoire.

11/1999

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BD jeunesse

Courage, Charlie Brown. Précédé de Notes autobiographiques

Ces enfants nous touchent de près parce qu'ils sont en un certain sens des monstres : ils sont la monstrueuse réduction enfantine de toutes les névroses d'un citoyen moderne de la civilisation industrielle. En eux nous retrouvons tout, Freud, la massification, la culture absorbée par les Digests, la lutte frustrée pour le succès, la quête de sympathie, la solitude, l'arrogance, le consentement passif et la protestation névrotique. Mais tous ces éléments-là ne jaillissent pas tels que nous les connaissons, de la bouche d'un groupe d'innocents : ils sont pensés et restitués après avoir traversé le filtre de l'innocence.

11/2019

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Equitation

Les écrits de jeunesse de Nuno Oliveira. Cadence, légèreté, géométrie (1951-1956)

De 1951 à 1956, Nuno Oliveira a écrit une soixantaine d'articles concernant le cheval et l'équitation dans deux revues portugaises, Diana de 1951 à 1954, puis Vida Rural jusqu'à la fin de 1956. Oliveira est alors autour de ses trente ans, pourtant il est déjà un écuyer accompli, il a une longue expérience. Formé à la haute école par son parent, l'ancien écuyer de la maison royale Joaquim Gonçalves de Miranda, il décide très jeune de se consacrer à l'art équestre et acquiert vite une grande réputation au Portugal. Les articles qu'il écrit alors, qui peuvent sembler des propos à bâtons rompus, ne se départissent jamais d'une grande hauteur de vue concernant l'équitation. La plupart de ces textes sont des modèles de cette grande intelligence équestre qui était l'une des marques de sa personnalité. Ils n'étaient jusqu'à présent ni rassemblés en un unique volume, ni traduits intégralement en français. Certains de ces articles ont été repris dans deux livres, l'un au Portugal dès 1955, Breves notas sobre uma arte apaixonante (a equitaçao), et l'autre en France en 1965 Réflexions sur l'art équestre, dans une traduction de René Bacharach. Aucun de ces livres ne prenait en compte l'ensemble des articles. Le livre portugais ne reprenait pas certains des articles antérieurs, et évidemment pas ceux qui furent postérieurs, fin 1955 et en 1956. Or beaucoup de ces derniers sont d'un très grand intérêt. Quant au livre français, il n'a pas non plus retenu l'ensemble de cette production, même s'il a largement recouru à l'ensemble des articles jusqu'à fin 1956. Mais il a laissé de côté un certain nombre de textes, et a largement réorganisé ceux qu'il a conservés, en dénaturant parfois l'intégrité du propos. Il était donc nécessaire de proposer aux lecteurs français une version intégrale de ces textes, leur donnant l'occasion d'apprécier en particulier certains d'entre eux dont l'intérêt nous semble toujours actuel et qui pourtant dorment depuis maintenant soixante ans à l'abri des regards. Les articles consacrés aux effets diagonaux et latéraux, à l'accord des aides, par exemple, sont de véritables joyaux de littérature équestre, témoins de cette immense capacité de synthèse dont faisait preuve Oliveira vis-à-vis des débats théoriques de la discipline. Nous présentons ici une traduction intégrale et nouvelle de ces articles, y compris pour les passages déjà traduits par Bacharach, agrémentée de quelques photographies des mêmes années.

02/2021

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Genres et mouvements

Le Geste autobiographique. Ecrire sa vie (XVIIe-XVIIIe siècles)

Les Confessions de Rousseau figurent souvent comme texte inaugural d'un genre autobiographique ainsi distingué des mémoires et d'autres formes d'écriture de soi. Cet ouvrage remet en cause ce clivage, en envisageant le geste autobiographique dans des formes diverses, tout en ressaisissant l'entreprise rousseauiste.

11/2021

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Récits de voyage

L'appel de l'Inde. Carnet de voyage autobiographique

Un lundi matin de novembre 2019, j'ai soudainement annoncé mon départ pour l'Inde à mon mari, j'avais enfin l'audace d'aller dans ce pays qui m'attirait depuis tant d'années ! Ce voyage passant du fantasme à la réalité allait-il m'aider à panser toutes mes blessures ? N'allais-je pas être déçue après avoir trop idéalisé ce pays si différent du mien, de ma culture ? Partir à près de 8 200 km de chez moi, seule pour la première fois de ma vie, fut un véritable challenge pour la petite fille effacée et discrète qui reste au plus profond de moi, même à plus de 50 ans.

03/2023