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Romans policiers

Nous avons toujours vécu au château

« Je m'appelle Mary Katherine Blackwood. J'ai dix-huit ans, et je vis avec ma sour, Constance. J'ai souvent pensé qu'avec un peu de chance, j'aurais pu naître loup-garou, car à ma main droite comme à la gauche, l'index est aussi long que le majeur, mais j'ai dû me contenter de ce que j'avais. Je n'aime pas me laver, je n'aime pas les chiens, et je n'aime pas le bruit. J'aime bien ma sour Constance, et Richard Plantagenêt, et l'amanite phalloïde, le champignon qu'on appelle le calice de la mort. Tous les autres membres de ma famille sont décédés. »

09/2012

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Littérature érotique et sentim

Pourquoi avons-nous fait l'amour ?

"Bien sûr, elle l'aimait sa fille ; elle l'aimait différemment, elle l'aimait normalement. Quand elle surprenait le petit visage implorant tendu vers elle, elle lâchait tout et courait l'embrasser, redressait le noeud dans les cheveux bouclés, lissait son tablier. Quand un enfant, sorti de soi, sur le lit on le pose, il est déjà un autre, vous êtes déjà deux. Pour son fils, les choses allèrent autrement. Par un lien mystérieux, il s'accrochait encore à elle. Quand il n'avait pas faim, elle ne mangeait pas, quand il pleurait, elle avait mal au coeur et quand il s'ennuyait, elle ne pouvait rire. Nino non plus ne riait plus. Il voyait en cet enfant si joli l'instrument de leur malheur". Première moitié du XXe siècle, d'une guerre à l'autre, la destinée émiettée, rongée, bientôt pulvérisée, d'une famille d'immigrés italiens... Le noeud du drame ? L'amour absolu et démesuré, aveugle et terrible, d'une mère pour son fils, qui consumera lentement les uns et les autres. Décrivant une boucle funeste, "Pourquoi avons-nous fait l'amour ?" emploie, pour mieux marquer les désillusions, désarrois et faiblesses de ses personnages, une langue tragiquement blanche, comme déjà résignée par le sort qui guette Domenica et Auguste, Nino et Clémence. En forme de complainte, un roman parfaitement maîtrisé, qui donne à la fatalité des accents impressionnants.

03/2014

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XXe siècle

Un jour nous avons été vivants

La Grande histoire racontée par ceux qui l'ont endurée. 14-19 à visages d'hommes et de femmes dans un roman époustouflant Julien Hervieux aime les récits de l'ombre. Que ce soit en se penchant sur les personnages oubliés de la Grande Histoire ou en créant des héros qui ne marchent pas du côté de la lumière, il aime à aborder les choses sous un angle différent. Un jour nous avons été vivants est une lettre infinie, une succession de récits individuels, où chaque narrateur est, d'une façon ou d'une autre, en lien avec le suivant. Ensemble, ils forment une gigantesque mosaïque, qui dessine ce qu'ont vécu des millions de Français entre 1914 et 1919, sur le front comme à l'arrière. Des chemins se révèlent en filigrane, des personnages prennent une place plus importante, puis se dérobent. De l'émotion cousue main déborde de ces portraits croisés. C'est l'histoire d'Aimable, un lieutenant idéaliste plongé dans la retraite de 1914. C'est celle de Gustave, un journaliste qui ment par patriotisme. Celle d'Emile, un pilleur de tombes qui voit en la guerre l'occasion de faire fortune. Celle de Marguerite, à qui revient de gérer tout ce que son mari a laissé à son départ. Celle de Didier, isolé entre les lignes avec une blessure mortelle. De Lucette, infirmière au chevet de blessés qui refusent de remonter en ligne. De Louise, qui veut ramener le corps de son mari. Ils sont militaires, civils, religieux, criminels, et parfois un peu de tout cela à la fois. Tour à tour, en partageant leurs récits, ils font naître une grande histoire, et la " Grande Histoire ".

10/2023

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Actualité médiatique internati

Pandemia. Ce que nous avons vécu

"... ce qu'on apprend au milieu des fléaux, qu'il y a dans les hommes plus de choses à admirer que de choses à mépriser." Albert Camus, La Peste

10/2021

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Critique littéraire

Clara Malraux. "Nous avons été deux"

" Malraux, ce n'est pas seulement André. C'est aussi Clara : sans elle, sa vie, sa légende auraient sans doute été différentes. Entre eux a existé un lien fait de complicité et de passion. Ils se sont aimés, déchirés, trompés. Ils ont tout connu ensemble, sauf l'ennui. Vivant éperdument et en communion les fêtes des années vingt, à la confluence des débats intellectuels, politiques et artistiques, ils ont trouvé dans les voyages l'exotisme, la révolution chinoise, la drogue qui convenait à leurs tempéraments survoltés. L'initiatrice du voyage en Indochine et du pillage des temples d'Angkor, c'est elle. Mais c'est elle aussi qui sauve Malraux de la prison et se lance avec lui dans toutes ses aventures, y compris la guerre d'Espagne. Amoureuse mais libre, vivant ses amours à sa guise, elle supporte mal que son illustre compagnon lui rende la pareille. Supplantée par d'autres femmes - Josette Clotis, Louise de Vilmorin - , elle souffre de l'abandon mais ne se résigne pas. C'est une battante. Faute de partager les combats de Malraux, elle se dresse contre ses idées. Elle milite de plein coeur du côté des faibles, des opprimés, et rêve de fraternité universelle. Destin magnifique et cruel. Ce livre montre comment une femme moderne, libre, tente d'exister à l'ombre d'un grand homme. Non pas par lui mais avec lui. Et même, sans lui. "

01/2010

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Littérature française (poches)

Nous avons arpenté un chemin caillouteux

"C'est l'histoire de Jean et Melvin McNair, l'histoire d'un temps où détourner un avion était plus facile que braquer une banque. Deux Africains-Américains devenus pirates de l'air, inextricablement inscrits dans leur époque. Jean et Melvin sont passés de l'épique au désespéré, de l'histoire en train de se faire au quotidien du travail social, du mouvement pour les droits civiques à l'engagement dans leur quartier. Ils n'ont pas fait table rase du passé, ils l'ont laissé derrière eux autant que possible et ils ont recommencé." De la piraterie à une existence paisible, de l'Amérique des années soixante-dix à la France d'aujourd'hui, le parcours fulgurant de deux soldats perdus de la lutte contre la ségrégation. Le roman vrai d'une aventure et de la trace qu'elle a laissée dans des vies - cet élan inoubliable, indestructible même quand le réel l'emporte, vers un monde meilleur.

02/2017

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Sociologie

De quelle CGT avons-nous besoin?

Ce texte a été rédigé par plusieurs camarades de la CGT dans le cadre de discussions consécutives notamment aux Assises de la riposte générale de Martigues d'octobre 2020 et le meeting de Gardanne de mai 2021. Si chacun(-e) de nous ne partage pas nécessairement l'intégralité de ses termes, nous estimons que ce texte constitue une contribution utile dans le cadre de la préparation du 53e congrès confédéral. Nous invitons à le faire circuler, à débattre de son contenu, pour nourrir la construction de nos orientations dans le cadre de nos règles statutaires. Par définition, ce texte ne constitue donc pas un document alternatif. Il s'agit d'une contribution visant, avec d'autres nous l'espérons, à identifier des questions clefs, à formuler des propositions de réponses aux défis actuels et à mener les débats nécessaires pour une CGT rassemblée à la hauteur des enjeux de la période.

01/2023

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Littérature anglo-saxonne

La tempête que nous avons déchaînée

Couvrant des années de douleur et de triomphe, racontées du point de vue de quatre personnages inoubliables, La Tempête que nous avons déchaînée est une saga éblouissante sur les horreurs de la guerre, la difficulté des relations entre les colonisés et leurs oppresseurs, et l'ambiguïté des notions de bien et de mal lorsque la survie est en jeu. Malaisie, 1945. La famille de Cecily Alcantara court un terrible danger : son fils de quinze ans, Abel, a disparu, et sa fille cadette, Jasmin, doit s'enfermer chaque jour au sous-sol pour échapper au sort des jeunes filles de son âge, contraintes d'offrir du "réconfort" aux hommes de l'armée japonaise. Quant à sa fille aînée, Jujube, qui travaille dans une maison de thé fréquentée par des soldats japonais, elle nourrit une colère de plus en plus difficile à cacher. Cecily sait deux choses : tout est sa faute, et sa famille ne doit jamais apprendre la vérité. Dix ans auparavant, Cecily aspirait à être plus que la femme au foyer d'un bureaucrate modeste dans la Malaisie colonisée par les Britanniques. Une rencontre fortuite avec le charismatique général Fuijwara l'a entraînée dans une vie d'espionnage, à poursuivre ses rêves d'une "Asie pour les Asiatiques" . Une décennie plus tard, alors que la guerre atteint son apogée, ses actions l'ont rattrapée. Sa famille est au bord de la destruction, et elle est prête à tout pour la sauver. Traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Sarah Tardy A propos de l'autrice Vanessa Chan est née et a grandi en Malaisie. Ses nouvelles ont été publiées dans diverses revues, et elle a reçu la bourse Stanley Elkin 2021 à la Conférence des écrivains Sewanee. La Tempête que nous avons déchaînée est son premier roman. Vendu aux enchères dans treize pays en moins d'une semaine, il sera finalement traduit dans une vingtaine de langues.

04/2024

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Littérature néerlandaise

Les choses que nous avons vues

Une plongée dans le quotidien des modérateurs de contenu, les nettoyeurs du web. Hanna Bervoets y analyse l'état de confusion entre réalité et virtuel dans lequel nous vivons. Kailegh a appartenu à la cohorte de modérateurs de contenu chargés de veiller sur les images et les textes qui circulent sur le web. Sur un ton froid et désabusé, la jeune femme répond par courrier interposé à l'avocat qui lui a proposé de participer à une action collective contre la plateforme Internet qui l'employait. En dépit de la somme de vidéos barbares et de commentaires haineux qui lui a été infligée le temps de ce travail précaire, elle refuse de se joindre à ses anciens collègues, mais souhaite raconter ce qui l'a personnellement traumatisée sur les lieux de ce travail. Commence alors le récit du quotidien éreintant de ces nettoyeurs du web, de l'indifférence avec laquelle ils se protègent jusqu'aux cauchemars qui les hantent. Le jour où apparaît la séduisante Sigrid, venue travailler avec eux, Kailegh semble perdre ses moyens. Que peut devenir une relation entre deux êtres au sein d'un univers où l'intimité est quotidiennement malmenée ? Telle est la question que pose Hannah Bervoets avec acuité, le temps d'un récit à la tension irrésistible.

03/2022

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Romans policiers

Nous avions un rêve

Dans une Amérique dystopique, la guerre contre le crime et la drogue a conduit le pouvoir à ouvrir des camps de rééducation pour les toxicos et à multiplier les condamnations à mort, qui font l'objet d'un show télévisé. L'instigateur de cette croisade de la vertu est l'Attorney général Melvin Hutchinson, en passe de devenir le premier vice-président noir de l'Histoire américaine. Mais Hutchinson est un homme complexe qui cache un lourd secret...

09/2021

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Littérature étrangère

Tous nos noms

Evénement littéraire aux Etats-Unis, Tous nos noms est sans doute le livre le plus ambitieux de l'auteur des Belles choses que porte le ciel. Roman de la maturité, où l'évocation d'une amitié mise à mal par l'Histoire se confond avec le portrait d'un continent déchiré, il pousse plus loin encore l'exploration de l'exil et du déracinement. Isaac, un jeune Africain, est venu aux Etats-Unis dans le cadre d'un programme d'échange universitaire. Ni Helen, la jeune assistante sociale qui tombe amoureuse de lui, ni le lecteur ne connaissent son vrai nom : il l'a laissé derrière lui, en Ouganda, avec les promesses d'une révolution réprimée dans le sang par la future dictature, abandonnant aussi son ami le plus cher. Du chaos de l'Afrique à la solitude du Midwest, dans une Amérique déchirée entre la guerre du Vietnam et la lutte pour les droits civiques, l'écriture intimiste et mélancolique de Dinaw Mengestu, mêlant les voix d'Helen et d'Isaac, saisit les paradoxes de l'Histoire et de la nature humaine avec une force et une intelligence peu communes. " Un roman étincelant, profondément émouvant. " The New York Times

08/2015

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Actualité médiatique France

Nous avons tous la même histoire. Les défis de l'identité

Ce livre est un livre sur l'histoire telle que l'écrivent les historiens. C'est un livre sur l'idée de roman national, sur le rôle que joue l'histoire dans la représentation du colonialisme et sur son rejet dans les mouvements critiques qui traversent aujourd'hui la scène mondiale : wokisme, décolonialisme, etc. Jean-Frédéric Schaub analyse ce qui est à l'oeuvre, à l'université comme en politique, dans la contestation du modèle occidental de domination hérité d'une histoire colonialiste. Il prend la critique au sérieux, et interroge en profondeur la valeur des arguments universalistes : il confronte le discours et les valeurs, d'un côté, les actes, de l'autre, pour faire un inventaire sans concession, mais sans myopie sélective, de l'héritage de la domination européenne sur la façon d'écrire l'histoire, sur les idées d'humanité, de race, de civilisation, etc. En analysant la fonction de l'histoire et des modèles de représentation qu'elle véhicule, il atteint les racines de la critique que le décolonialisme adresse à l'occident issu des valeurs européennes. Il ne vise ni à dédouaner l'Europe de ses turpitudes " civilisatrices " , ni à l'accabler d'une autoflagellation systématique. Entre une critique légitime mais non dépourvue de contradictions relativistes et un universalisme dont la fierté triomphante masque les oublis et les mensonges, J-F Schaub explore les voies possibles pour démêler le vrai en historien " scientifique " , à distance de la fiction comme du militantisme politique, et avec ce qu'il faut de prévention lucide concernant la vérité ou l'objectivité. Il donne ainsi des clés pour nous représenter sans faux-semblants les conflits que le passé lègue au présent.

01/2024

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Actualité et médias

Assez !

Colère d'un banal citoyen devant l'affligeant spectacle que nous montre notre classe politique depuis dix ans et particulièrement le gouvernement actuel.

01/2012

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Religion

Car tous nous avons part à ce pain unique. La violence assumée

Partager le pain et la coupe de la cène : un acte de communion fort. Cependant les textes bibliques et les liturgies utilisent des mots ou des expressions ambigus : manger sa chair, communier au sang, sacrifice... des mots qui disent aussi la violence et l'exclusion... Si l'on souligne que Jésus assume le péché et les fautes des hommes par la croix, se pose aussi la gestion de la violence. Et peut-être est-ce elle qui est encore plus au centre de la cène que la culpabilité ? Ne s'agit-il pas d'abord de montrer que la réconciliation entre Dieu et l'humanité passe par la possibilité de donner une issue de vie à la violence que nous portons tous en nous ? Par sa relecture, l'auteur interroge notre compréhension des textes et questionne chacune de nos pratiques et de nos motivations lorsque nous cherchons à entrer en communion avec Jésus, et par lui, avec Dieu. Ces enseignements ont été donnés lors de retraites à la Fille-Dieu et à la communauté des sœurs diaconesses de Grandchamp. Collection Veillez et priez.

04/2014

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Littérature française

Le meilleur que nous ayons couronné. Le meilleur que nous ayons couronné

Qui était John-Antoine Nau, lauréat en 1903 du premier prix Goncourt ? Un aventurier comme il n'en existe plus, autant chez lui à San Francisco qu'en Martinique. Un poète féru de liberté et ivre d'indépendance. Un romancier-horticulteur qui ne daigne pas aller chercher sa récompense pour Force ennemie, le manuscrit primé publié à compte d'auteur. Anti-Goncourt par excellence, il abhorre les cénacles de littérateurs qui, sans cesse, complotent dans les antichambres. Alors qu'on le sacre, il préfère rester avec ses amis à Saint-Tropez dans le cabanon du peintre Paul Signac, au coeur de la baie des Canoubiers. Personnage absolument romanesque, John-Antoine Nau méritait bien un roman. En écho à l'aveu de Huysmans, président de l'académie : "C'est encore le meilleur que nous ayons couronné ! " Cédric Meletta est l'auteur de Jean Luchaire. L'enfant perdu des années sombres (Perrin), Tombeau pour Rubirosa, un roman (Séguier), Diaboliques (Robert Laffont) et des Bukoliques, récit littéraire autour de Charles Bukowski (éditions du Rocher).

08/2022

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Littérature française

Nous n'avons pas eu le temps

Dans le TGV qui l'emmène à Sète, Nora croit reconnaître une personne qu'elle a fréquentée dans sa jeunesse, mais ne parvient pas à l'identifier. A la sortie de la gare sétoise, cette femme prénommée Lucie se permet d'aborder Nora, confirmant ainsi son intuition. Quand cette dernière s'adresse à Nora, c'est pour évoquer leur lointain passé. Hélas, si les retrouvailles sont belles, elles restent fugaces... Nora et Lucie se reverront-elles à l'issue de ces vacances ? Et qui est Robin que croise Nora à maintes reprises ? Pourquoi Marie, la fille de Lucie, surgit-elle brusquement ? Comment Rebecca parvient-elle à joindre Nora ? Les personnages vont et viennent au gré du temps, certains dansent au rythme de Jagger ou de Joplin, d'aucuns retiennent leur souffle...

05/2020

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Religion

Ce que nous avons reçu à Lourdes

Préface de Père André Cabes. Un recueil passionnant d'histoires où Lourdes est au coeur de l'homme. Chaque entretien mené par Henri Berger nous donne des informations précieuses, parfois inédites et nous révèle comment la Sainte Vierge Marie écoute, décide et agit à travers le pèlerinage des clochards, souvent malades alcooliques avec leur recherche de la guérison du c ur et de l'alcool ; le pèlerinage des personnes prostituées, né de la nécessité de guérison intérieure, du pardon ; le pèlerinage " Foi et Lumière ", né du rejet d'enfant handicapés mentaux ; le PMI Pèlerinage Militaire International né de la nécessité du pardon antre nations autrefois ennemies, pour vivre la réconciliation et la Paix et tous les autres encore, désirant la perle rare de l'Amour de Dieu. Mgr François-Xavier Nguyên Van Thuân : " Mes geôliers sont mes frères et je dois les aimer " ; Gaby Pic : Le pardon, l'offrande et l'Espérance ; Le Père Jean-Luc Cabes : " Le grain qui meurt porte du fruit " ; Père André Cabes : Une Messe sur le monde ; Pour toi, maman ! ; " J'ai perdu un enfant " ; Père André Cabes : Le C ur de toute prière ; Marie-Hélène Mathieu : " Vous ne serez plus jamais seuls " ; Père Denis Ledogar : L'aide aux malades en hôpital ; Sida et accompagnement en communauté, rencontre avec Evelyne Madre ; Rencontre nationale des diacres ; Claire Amitié : L'aide aux jeunes femmes les plus défavorisées ; Métiérama : Rencontre avec Adolphe Palidoni ; Aider et évangéliser : Père Louis ; Le PMI (Pèlerinage Militaire International) ; Témoignage du Colonel Paul Hourvitz ; Père Wamaï dit Pothin Michel ; Père Marcel Thiriot : Rencontre avec un aumônier militaire ; Commandant Danièle Emeras ; Fra Andrew Bertie : L'Ordre de Malte ; Les OHFOM : Arnold de Waresquiel...

12/2015

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Philosophie

Avons-nous besoin d'un bouc émissaire ?

Raymund Schwager fut le premier à tirer les conséquences théologiques du maître-livre de René Girard, La Violence et le Sacré (1972). La lecture qu'il propose ici de cette anthropologie s'est imposée comme l'une des meilleures introductions à la théorie du bouc émissaire, qui place le mécanisme victimaire à l'origine de toutes les sociétés humaines. Prenant très au sérieux l'idée d'une dénonciation de la violence par le judéo-christianisme, l'auteur décrit la métamorphose du Dieu de la vengeance en Dieu de la paix. Ce que la Bible révèle en effet de façon croissante, c'est un Dieu toujours plus engagé du côté des victimes et de moins en moins lié à la violence. C'est parce qu'il se dit " Fils de Dieu " que le Christ fait apparaître l'aveuglement des hommes comme "volonté secrète de tuer" et comme " rancune cachée contre Dieu ". Achevant la tradition prophétique, ce " dernier sacrifice " débusque un ressentiment fondamental et fondateur. Il défait l'unanimité des lyncheurs et met un terme " à tous les sacrifices injustes et imparfaits ".

01/2011

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Religion

Nous avons cheminé ensemble. Un itinéraire oecuménique

Interrogé par Beatrice Soltner, René Beaupère raconte son enfance lyonnaise, sa formation, sa vocation, et surtout ses rencontres avec l'abbé Couturier, frère Roger de Taizé, celui qui deviendra le patriarche oecuménique de Constantinople SS Bartholomée 1er, les pasteurs Eberhard, Boegner, Visser't Hooft... Elles marqueront sa quête de l'unité de l'Eglise et conduiront aux nombreux engagements pour la construire : les Voyages oecuméniques Cléo, les foyers mixtes, le Groupe des Dombes, sa participation à la commission Foi et Constitution et à de nombreuses Assemblées générales du Conseil oecuménique des Eglises, ses interventions d'expert à Rome comme à Paris ou Genève... Soixante années d'oecuménisme où le lecteur voit les Eglises changer, s'ouvrir, stagner, rebondir. Des périodes d'enthousiasme, d'autres interrogatives. Un magnifique témoignage humain et de foi qui dit, au-delà des frilosités institutionnelles, toute l'espérance pour aujourd'hui.

01/2012

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Sciences politiques

Jack Ralite, nous l'avons tant aimé

Ce livre se présente en deux parties : trois textes de Jack Ralite, suivis d'écrits inédits (extraits ci-dessous) de Jean-Pierre Léonardini, Catherine Robert, Etienne Pinte, Yves Clot, Robin Renucci, Laurent Fleury, Bernard Faivre d'Arcier, Julie Brochen, Jean-Claude Berutti, Charles Silvestre, Serge Regourd, Michel Bataillon, Charles Fiterman, Lucien Marest, Olivier Neveux et Marie-José Sirach. Parmi les centaines de textes rédigés par Jack Ralite entre 1957 et 2017, nous avons choisi trois textes qui retracent les différents centres d'intérêts du militant politique, culturel et de l'éducation populaire qu'il était : 1) Vitez un prince - Un magistrat éthique et un prince démocratique du théâtre et de la vie 2) Installation de Catherine Dan, nouvelle directrice de La Chartreuse à Villeneuve lez Avignon 3) Au-delà de la gauche ? Préface au livre de Bruno Trentin, le travail et la liberté.

09/2021

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Littérature française

Ce que nous avons eu de meilleur

À quel instant, au juste, franchit-on la ligne de démarcation qui sépare la fin de la jeunesse du reste de la vie ?

08/2008

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Autisme

Nous avons défié l'autisme en famille

"Ce récit retrace les grandes lignes du parcours suivi pendant une vingtaine d'années par M, enfant diagnostiqué autiste, et nous ses parents. Comme dans la vie, se superposent les bons et les mauvais moments, les bagarres et les rencontres heureuses ou moins heureuses - notamment avec le monde médical, éducatif, administratif -, les coups de colère et les coups de déprime, et quelques réflexions personnelles. Si j'ai voulu écrire ce livre, c'est d'abord pour dire aux parents confrontés aux difficultés sans fin de l'enfance inadaptée qu'il ne faut pas perdre espoir, qu'il faut suivre son instinct, et que l'on peut changer les choses. C'est aussi parce que j'espère apporter une petite pierre à la construction d'une société au regard plus bienveillant envers ceux qui sont différents". S. V. Un message d'espoir pour tous les parents d'enfants "différents" .

05/2023

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Ouvrages généraux

Nous n'avons jamais été des enfants

"Six jours par semaine, six heures par jour, souvent le matin, Berthe accueille les visiteurs dans le grand hall d'entrée de Yad Vashem. Debout. Elle s'adresse à eux en hébreu, français, anglais et allemand pour guider, proposer des audioguides, des plans du mémorial... ou des mouchoirs en papier pour essuyer les larmes à l'issue de la visite. Toute sa vie, Berthe s'est tenue debout. En Savoie quand il fallait vivre cachée. A Lyon après-guerre quand elle a dû repartir de zéro avec ses parents. Aujourd'hui encore, à peine tassée, toujours vive et lumineuse, Berthe a pris le temps de s'asseoir avec moi pour me raconter cette incroyable vie commencée il y a presque 90 ans. Elle n'a oublié aucune date, aucun nom, aucun lieu. De la Pologne à Israël en passant par Lyon et la Savoie, je chemine dans des mondes qui n'existent plus : l'Israël des pionniers des années cinquante, la Savoie paysanne des années quarante, la Lyon ouvrière et industrieuse des années trente, le shtetl polonais du début du XXe siècle englouti par l'Holocauste. Sa vie est aussi une leçon de vie". Frédéric Métézeau 1941, Berthe Badehi, 9 ans, juive, doit quitter Lyon et ses parents pour aller se cacher dans un village de Savoie. Avec en poche rien d'autre qu'un faux certificat de baptême, rédigé par un curé ami de son père, elle trouve refuge dans une ferme tenue par une femme qui la protégera envers et contre tout. Après cette enfance cachée, Berthe rentre à Lyon retrouver ses parents. C'est l'après-guerre, l'étrange retour à la "normale" , l'attente de ceux qui ne reviendront pas des camps. Puis l'amour, le mariage et le départ en Israël. Une nouvelle vie, un nouveau pays, de nouvelles guerres aussi. Un récit de vie extraordinaire et lumineux, à la première personne coécrit avec Frédéric Métézeau.

10/2021

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Théâtre - Pièces

Théâtre III, Nous avons les mains rouges

Adaptée de son roman paru en 1947, la pièce est créée au théâtre Verlaine en 1950, l'année de la sortie de son premier titre d'une longue production à la "Série Noire" , Y'a pas de bon Dieu ! , signé du pseudonyme de John Amila. Les critiques comparent la pièce à celle de Sartre, Les Mains sales (1948) et à celle de Camus, Les Justes (1949), le titre de l'un des articles consacré à Nous avons les mains rouges s'intitulant même : "Les Justes aux Mains sales" . Mais Meckert ne s'est inspiré ni de l'une ni de l'autre. L'idée est ancienne : dès 1946, il fait paraître une courte nouvelle, "Les Spectres" , dont l'intrigue et les enjeux sont déjà ceux du roman et de la pièce, que Jean Meckert rappelle au public : "Le drame se joue dans un village savoyard, deux ans après la Libération, mais cela pourrait se placer en n'importe quel temps et n'importe quel lieu. C'est avant tout la tragédie des purs qui n'acceptent aucun compromis et ne connaissent qu'un seul mot : la Justice. Dans un chalet montagnard, les circonstances ont réuni autour de M. d'Essartaut et de ses deux filles une bande de gars qui prétendent poursuivre une oeuvre d'épuration publique qu'ils jugent nécessaire. [... ] Leur passion vient des tripes et s'ils deviennent des justiciers c'est qu'une indignation vraie les y amène, et non un simple esprit de système. Mais rien n'est pur, rien n'est absolu. La chaleur humaine pousse à la violence, et la violence tourne rapidement à la dernière perversion". "Oh ! nous savons bien que tout n'a pas été rose dans la résistance et qu'elle n'a pas compté que des anges" , écrit un critique d'alors, qui ajoute : "Mais était-il nécessaire de l'étaler en public, de le montrer sur une scène ? " Oui, répond Jean Meckert, qui porte un regard sans concession sur cette période mais plus profondément sur la terreur du fanatisme politique au nom de la Justice et de la Pureté.

01/2024

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Littérature française

Allier, tel que nous t'avons aimé

L'Allier, cours d'eau sauvage, indomptable, traverse son département homonyme en ravinant les berges hautes qui tentent de le contenir. En hiver son flot impétueux coupe les méandres. L'été ses grèves accueillent les baigneurs. Toute l'année il est fréquenté par les pêcheurs et les promeneurs. Aimée, respectée, parfois cruelle, souvent douce, la rivière est au centre des loisirs de la société de l'après-guerre et des années 50 et 60.

11/2010

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Biographies

Nous avions dix-sept ans

Clermont-Ferrand, 1990. Lui, c'est Christophe, bien que le temps vienne de lui sculpter dix-sept ans sur les épaules, il reste encore des choses à polir. Plus guitariste que lycéen, il vit bien au milieu du clan de sa bohème, chacun se reconnaissant dans la paresse de l'autre. Viendra pourtant le moment de quitter les habitudes du bistrot, l'odeur de l'expresso sur les vestes, et d'attraper son Bac en plein vol, puisqu'on atteint la cible toujours à la dernière seconde. D'une main, dire adieu au cercle privé de Godefroy de Bouillon, de l'autre, ouvrir les volets de son été. Là-bas, ce sont les portes de Castelsarrasin qui vont lui ouvrir l'appétit de l'oisiveté, si précieuse dans son assiette, qu'il va même en partager l'abondance avec Fifi l'ami d'enfance. Au fur et à mesure que leurs journées s'étirent et n'en finissent pas, toute la petite musique intérieure va s'en trouver peu à peu, intimement bien désaccordée. Jusqu'à elle, celle qu'on n'attendait pas, blonde comme un blé, de l'azur plein la pupille. Vanessa, c'est d'abord un prénom, et très vite la couleur des sentiments. Le trouble d'une vie face à la moitié de cet homme qu'il n'est pas encore. Et cela, quelles que soient les fièvres dont l'amour se régale, qu'il ait décidé de vous soutenir le regard ou pas, qu'il vous supplie de résister autant que lui céder du terrain. Des questions qui vont dormir debout, se planter dans les yeux, comme des chansons de Jean-Jacques Goldman. L'enfant chocolatine publié en 2021 a grandi. Christophe Vallar revient avec un nouvel ouvrage dans lequel il nous entraîne sur le fleuve de ses 17 ans. De sa fin d'année au lycée de Clermont-Ferrand jusqu'à ce train en partance pour Castelsarrasin, il ne suffira pourtant que d'une rencontre, d'un seul visage, pour s'emmêler l'âme et le corps avec les choses de l'amour. En sortir indemne, ce sera impossible. Revenir en étant la moitié d'un homme, probablement.

01/2023

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Littérature française (poches)

Nous ne savons pas aimer

Jean-Marie Rouart baisse le masque. Il confesse ses erreurs et en cherche la cause. Pourquoi tant de volonté d'aimer, tant d'espoir que l'amour change la vie aboutissent-ils à un sentiment d'échec ? L'auteur, toujours en quête du bonheur, trouve dans un repentir nostalgique l'explication de ce qui lui a fait défaut, à lui et peut-être aussi à irons: nous ne savons pas aimer. Au fil d'une éducation sentimentale, il nous livre sa fascination pour le pouvoir et ses figures majeures. La grande ombre de Napoléon enveloppe le livre, ou croise Mitterrand, sous la neige à Château-Chinon. Le narrateur cherche à séduire Giscard et raconte ses rencontres avec Hersant, Romain Gary, Jean d'Ormesson. Quel sens a l'amour dans notre vie ? De quel monde mystérieux est-il l'obscur et lumineux messager ? Pourquoi répétons-nous toujours les mêmes erreurs, les mêmes gâchis ? A travers les femmes qu'il a aimées, Rouart cherche les clés de cette énigme douloureuse qui le renvoie à ses premières émotions amoureuses. Amours volages toujours trahies, par soi, par les autres, par le temps.

03/2004

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Ouvrages généraux

Nous ne savons plus croire

Quoi que nous en pensions, nous continuons d'appartenir à notre siècle par les croyances et par le fait de ne plus croire – ou de ne pas donner notre confiance au monde. Cette foi pourtant vitale semble nous être aujourd'hui interdite. Dans une époque désorientée, nous ne pourrons peut-être sauver que le désir de croire : rien ne nous dit que nous retrouverons la croyance. Cette impuissance annonce un temps de dangereuse crédulité. Il nous faut donc tout réapprendre. C'est à cette tâche que la philosophie doit s'atteler en prenant le contrepied de sa tendance lourde : en se mettant en quête de croire aussi résolument qu'elle avait cherché à savoir. C'est à ce prix que la traversée du nihilisme est possible.

10/2023

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Faits de société

On ne naît pas engagé, on le devient. Nous avons tous le choix

Activiste et entrepreneure sociale dans le secteur de la migration et de l'engagement citoyen, Alice Barbe défend avec force l'inclusion dans la société des personnes migrantes et réfugiées, une formidable opportunité et un engagement humain indispensable. "Le monde compte aujourd'hui 70 millions de réfugiés. En 2050, ils seront 300 millions. Comment passer de l'accueil à la cohésion ? Entre des hashtags sensationnalistes qui divisent davantage qu'ils n'unissent et un monde politique souvent tenté par les rhétoriques hypernationalistes, les alternatives sont nombreuses. L'activisme n'est pas seulement une utopie, ou un sujet exclusivement réservé aux doux rêveurs. Changer le regard sur les migrants et les réfugiés, qui sont eux-mêmes désireux de contribuer à la société, est possible. Nous avons créé Singa pour vivre et raconter une autre histoire de la migration ; en quelques années, cette communauté de professionnels, entrepreneurs, artistes, ou encore sportifs, a permis, en France, mais aussi désormais à l'étranger, de faire avancer des lois, de créer des milliers d'emplois, de redonner de l'espoir à plus de 50 000 personnes. Face aux grands défis du XXIe siècle, nous avons tous le choix : manifester de temps en temps, retweeter des slogans et signer des pétitions. Ou nous engager radicalement et permettre aux génies contemporains de contribuer à notre futur souhaitable. Si je l'ai fait, tout le monde peut le faire". Alice Barbe

05/2021

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Cerveau et psychologie

Posséder. Pourquoi nous voulons toujours plus que ce que nous avons

Qu'est-ce qui nous pousse à vouloir toujours plus ? Pourquoi n'arrivons-nous pas à nous satisfaire de ce que nous avons ? Est-ce inné ou culturel ? Et que pouvons-nous y faire ? Bruce Hood, chercheur multiprimé pour ses travaux en psychologie comportementale, analyse la notion de propriété et ses fondements. Il explore les tréfonds de notre cerveau et nous révèle pourquoi le concept de propriété est inscrit dans notre biologie et comment il dicte notre comportement. Il explique notamment les raisons qui nous poussent à acquérir des biens et à les défendre ; ce qui nourrit la croyance que nos possessions nous définissent ; pourquoi, dans une relation amoureuse, nous voulons souvent posséder l'autre ; pour quelle raison notre mère est plus susceptible de nous donner de l'argent que notre père ; etc. S'appuyant sur les dernières découvertes en neurosciences et en sciences comportementales, cet ouvrage fournit toutes les clés pour mieux comprendre et contrôler notre besoin de posséder.

07/2021