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1919 Weimar mon amour

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Sciences historiques

Rouen 1914-1918

Ce livre, publié à l'occasion des commémorations du centenaire de la Grande Guerre, concerne Rouen, principale base durant quatre ans des armées du Commonwealth en France. Devenue, l'espace du conflit, premier port de France, Rouen, capitale de la Normandie, n'a jamais été aussi cosmopolite. Nous avons rassemblé, pour cet ouvrage, une iconographie importante, en partie inédite, pour illustrer deux textes écrits à la fin de la guerre sous les plumes de Georges Dubosc et de Colette Yver.

07/2014

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Histoire de France

Marseille 1914-1918

26 juillet 1914 : Le Petit Provencal s'inquiète de "la plus grave menace pour la paix de l'Europe qu'on ait enregistrée depuis longtemps". Les crieurs de journaux sont dès lors assaillis, les kiosques assiégés, et le spectre de la guerre se met à hanter les conversations des Marseillais... Les hommes partent au front, la cité phocéenne plonge dans le silence et dans une attente anxieuse. 14 août 1914 : l'arrivée de premiers convois blessés, les premiers tués... Et c'est au moment où les Marseillais commencent à saisir concrètement l'ampleur du drame et comptent leurs premiers morts que la calomnie s'abat sur la Provence et sur Marseille en particulier... Dès les premières défaites, on cherche des coupables : ce seront les soldats du Midi, ces Méridionaux abrutis de soleil, aussi paresseux que forts en gueule... Les journaux parisiens se déchaînent, les quotidiens marseillais ripostent pour soutenir leurs soldats... Jean-Yves Le Naour, d'une écriture vive et efficace, nous raconte la rumeur, le rôle des journaux de l'époque, la mauvaise réputation des gens du midi, l'arrivée des troupes coloniales, la générosité des populations marseillaises et le soulagement de la fin de la guerre.

09/2014

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Photographie

Journal. 1991-1999

"Tout ce qui était directement vécu s'est éloigné dans une représentation" annoncait d'une voix blanche, Guy Debord dans son film La société du spectacle, en 1973, l'année de ma naissance. Vingt ans plus tard, débutait ma pratique photographique, consciente. Je ne m'étais, depuis, jamais retourné sur ces premières images. Il fallait donc bien qu'un jour je trouve le temps d'ouvrir ces archives. J'y ai trouvé ceci, scanné durant les nuits blanches qui suivirent la naissance de ma fille, à l'automne 2017. Des films en noir et blanc, réalisés à vingt ans avec un vieux Pentax K1000 et un Nikon Fm2 d'occasion sur d'antiques Tri X 400 Asa, ou HPS5 Ilford parfois poussées à leur limite : images granuleuses constituant les éléments d'une "photobiographie" que j'avais soigneusement laissé de côté et dont je me rends compte aujourd'hui qu'elle était sans doute au coeur de ma démarche.

04/2019

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Généralités

Hartmannswillerkopf. 1914-1918

L'Hartmannswillerkopf est un massif dominant la plaine d'Alsace qui fut, en 1915, le théâtre de combats acharnés entre Français et Allemands. Ce haut lieu de la Grande Guerre est sanctifié par le sacrifice de milliers de soldats des deux camps. Un des quatre monuments nationaux français y a été construit. Aucun livre n'a retracé par le texte et l'image les quatre années de guerre à l'Hartmannswillerkopf. Rédigé à partir de sources à la fois françaises et allemandes, celui-ci présente les doctrines qui avaient cours avant 1914 dans les domaines de la guerre de montagne et de la guerre de siège, et il brosse un panorama complet du champ de bataille et de son organisation au fil de la lutte. Plusieurs chapitres exposent notamment les opérations de l'année 1915, au cours de laquelle chacun des adversaires se dispute âprement le sommet de la montagne. Les opérations des années 1916 à 1918 font, quant à elles, l'objet de développements originaux, avec la narration d'épisodes méconnus, comme la terrible guerre des gaz à la fin de 1918.

07/2022

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Histoire de France

Prisonniers 1914-1918

L'imaginaire de la première guerre mondiale s'embarrasse peu des prisonniers ! Le relatif oubli du prisonnier de guerre français n'est pas récent. Au lendemain du conflit, les contemporains tentèrent de masquer cette réalité en valorisant d'autres figures cardinales. Certains magnifièrent le Poilu, un auteur de hauts faits d'armes pendant que d'autres insistaient sur le sacrifice de toute une génération, dans un culte exclusif des victimes du conflit. Parti dans l'anonymat de la guerre de masse, oublié dans les camps allemands, rentré au pays dans cette ambiance paroxystique de deuil patriotique, le prisonnier de guerre ne pouvait légitimement trouver sa place dans cette société. Il allait errer dans ce monde de l'entre-deux-guerres d'abord, puis dans les mémoires, sans aucune reconnaissance de sa souffrance… Découvrir, à partir de son courrier, le cheminement d'un prisonnier de la première guerre mondiale nous permet d'appréhender une réalité complexe. Plus encore que ce sort commun partagé par tous les prisonniers, l'auteur nous fait vivre une véritable odyssée qui nous mène des combats de 1914 au retour au pays en 1919, en passant par les divers camps d'internement qui furent autant d'épreuves pour les captifs.

08/2013

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Critique littéraire

Correspondance. 1911-1949

Ce volume rassemble pour la première fois l'intégralité de la correspondance échangée entre deux hommes de théâtre hors du commun, Jacques Copeau (1879-1949) et Louis Jouvet (1887-1951), dont l'influence n'a pas cessé de nourrir les pratiques contemporaines. Ce qui les unit d'abord, au-delà d'un compagnonnage exemplaire qui les verra côte à côte au Théâtre du Vieux-Colombier de 1913 à 1922, fut le rêve d'une fraternité artistique idéale, d'une utopie théâtrale. Que les circonstances, différends ou querelles d'amour-propre aient fait dégénérer cette mystique, personne ne le contestera. Mais des premiers spectacles de 1913 à l'aventure mouvementée des deux saisons américaines, en passant par la réalisation des dispositifs fixes des scènes new-yorkaises et parisiennes ou leurs échanges sur "la comédie nouvelle" et sur l'éducation originale du comédien des temps modernes, le dialogue entre Jacques Copeau et Louis Jouvet révèle la complicité émouvante qui les a liés, notamment pendant la Première Guerre mondiale. Leurs lettres composent donc un récit unique, celui d'un don de chacun à l'autre, et cela même après le départ de Louis Jouvet du Vieux-Colombier. Jacques Copeau, alors retiré en Bourgogne à la recherche de formules dramatiques inédites, reste le "patron", auquel le cadet, devenu à son tour un des animateurs incontestés de la scène parisienne, rendra hommage jusqu'à sa mort, en octobre 1949.

10/2013

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Critique littéraire

Carnets (1914-1917)

" Un grand livre, un livre promis à une longue carrière de bienfaisance, quelle émotion d'être le premier à l'avoir lu, à le tenir entre ses mains, d'assister à cette source ! " Tels étaient les termes par lesquels Claudel saluait, dans sa préface, l'apparition des premiers extraits des Carnets de Jacques Rivière que, l'année même de sa mort, Isabelle Rivière, sa femme, avait réunis sous le titre : " A la trace de Dieu. " Mais ce choix, qui devait plaire au chrétien Claudel, laissait encore ignorer bien des traits d'un visage avide de " sincérité envers soi-même ". Ce sont tous ces traits qui sont livrés ici au public. C'est à propos de cette lecture complète des carnets de Rivière que Jacques Copeau, qui en avait eu confidence à une époque particulièrement troublée de sa vie, écrivit dans son journal : " Elle a beaucoup fait pour moi. " Et Gide à son tour : " C'est seulement ensuite que le reste (de l'œuvre de J. R.) prendra sa signification parfaite. " Claudel, Copeau, Gide : pouvait-on trouver meilleurs parrains pour ce livre capital de leur ami à tous, trop tôt arraché à l'avenir qui l'attendait ?

11/2001

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Littérature française

Paco (1917-1989)

Artiste peintre photographe catalan, Emile RAMIS exprime en lumière et couleurs ce qu'il ressent dans son intérieur. Né handicapé en 1946 à Barcelone de parents républicains espagnols, cet autodidacte pratique la peinture à l'huile et la photographie avec une pointe de mélancolie, d'humour et de surréalisme. Il aime nous interpeller et nous associer à ses combats pour les valeurs fondamentales d'une vie de respect et de labeur. Cette fois-ci, il prend sa plume pour écrire la biographie romancée de la vie de son père né en 1917 dans la province de Barcelone, en Catalogne dans une Espagne pauvre et tumultueuse. Il a roulé sa bosse et sa vie, bien remplie, a été faite d'épreuves, de drames, de malchances mais aussi de réussite sociale grâce à son courage et sa ténacité. Honnête, travailleur, ordonné, fier sans être orgueilleux, il a su imposer ses convictions d'homme de gauche sans tomber dans l'extrémisme. Lors de la déclaration de la guerre civile d'Espagne en 1936, il fut un des premiers à s'engager du côté des républicains et après quelques âpres batailles, il sera promu Capitaine des carabiniers dans la Brigade Mixte de l'Armée Populaire de la République Espagnole avant d'être blessé par une grenade et capturé par les troupes Nationalistes de Franco, fin 1938. Il restera retenu prisonnier, près de dix ans en Espagne, soumise à la post-guerre du régime répressif franquiste. Jugé, condamné à mort pour rébellion militaire, gracié in extremis il restera quatre années dans la mythique prison la "Modelo" de Barcelone puis sera envoyé aux travaux forcés au Maroc espagnol d'alors. Il sera remis en liberté conditionnelle à Barcelone avant de se réfugier en Roussillon en 1948, après de multiples péripéties avec sa femme et son fils handicapé. Là, parti de rien, sans activité politique dictée par les autorités françaises, il fit plusieurs métiers dont parallèlement celui de musicien, sa passion, dans divers orchestres de bals populaires. Ses activités, lui permettront de parvenir à une réelle ascension sociale et obtient la nationalité française en 1966 pour lui et sa petite famille. Ayant acquis une retraite bien méritée, après quelques voyages à travers l'Europe qu'il rêvait de faire, il s'investit dans une association pour obtenir le versement de pensions aux anciens combattants républicains espagnols. Il laissa le brouillon de ses mémoires, juste avant de décéder à Perpignan en 1989, toujours dans cette terre catalane qu'il aimait tant.

11/2017

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Histoire de France

Larodde 1914-1918

Sur les quelque 160 hommes de notre commune qui y sont partis, 62 y ont laissé la vie : disparus, morts au combat, décédés par i(suite de maladie contractée en service). Les plus chanceux sont revenus mourir chez eux... En 1921, un monument est érigé, avec leurs noms gravés dans la pierre, pour que les générations futures se souviennent, pour qu'ils ne soient pas morts pour rien. C'est un hommage qui leur est rendu ici. L'évocation de leur vie, celle de leurs batailles les rendent proches. C'était hier. Association Larodde, Mémoire et patrimoine

10/2018

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Philosophie

Correspondance 1929-1949

Cet ouvrage propose la première édition intégrale des lettres retrouvées à ce jour entre les philosophes Jacques Maritain et Emmanuel Mounier. Cette correspondance enrichit largement, de 133 à plus de 200 lettres, la première édition partielle de 1973, qui n'était qu'une sélection de lettres illustrant la genèse de l'ouvrage collectif sur Péguy et celle de la revue Esprit. Elle est éclairée par la connaissance des Carnets personnels de Maritain, et du Journal complet de Mounier qui sont en cours de parution. Cette publication réévalue très largement l'image que l'on pouvait se faire de leur relation, révélant davantage encore la profondeur humaine et spirituelle de cette grande amitié. A l'instar d'Yves Simon ou de Henry Bars, Emmanuel Mounier se donne le beau titre de "filleul" de Jacques Maritain, de "fils aimant" : un fils libre et indépendant. Il prolonge à sa manière la philosophie politique, sociale et culturelle de Jacques Maritain, s'appuyant sur les jalons forts de sa pensée tels l'humanisme intégral, les moyens pauvres, "l'exister avec le peuple" ou l'amitié civique, l'ouverture aux autres religions et aux incroyants, la participation à une oeuvre commune mais aussi réalisant un travail personnel, parfois en décalage avec celle du philosophe de Meudon. N'est-il pas symbolique qu'emprisonné par le régime de Vichy, Emmanuel Mounier ait choisi de présenter à ses camarades de cellule, le 10 octobre 1942 "un soir Péguy, un soir Maritain" ? Sylvain Guéna : enseignant en histoire, docteur en lettres. Il a déjà publié la Correspondance Jacques Maritain/Max Jacob et une biographie de Henry Bars : Une aventure de l'esprit, un dialogue libre avec Jacques Maritain et collabore régulièrement aux Cahiers J. Maritain, à Nova et Vetera et à Nunc.

06/2016

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Ouvrages généraux

Journal (1912-1939)

Maurice Garçon (1889-1967) fut l'un des plus grands avocats de son temps. De 1912 à sa mort, il a consigné les événements, petits et grands, dont il était le témoin ou l'acteur. Il vient de prêter serment quand il commence ce journal, loin d'imaginer qu'il va devenir monumental. Il s'agit, dit-il, de "simples notes" au fil de la plume, jamais retouchées. Petites scènes, portraits, encore un peu scolaires. Et bien vite, il trouve son style, celui d'un exceptionnel observateur. Les premiers temps sont rudes, bouleversés par la Grande Guerre. Réformé, il souffre d'être considéré comme un planqué mais, devant les conseils de guerre, il apprend le métier. Et quand il ne travaille pas, il décrit l'atmosphère qui s'alourdit. Jusqu'à l'armistice qu'il "couvre" comme un reporter. Il en a l'oeil et se débrouille pour être partout où il se passe quelque chose, comme plus tard, au Bourget, à l'arrivée de Charles Lindbergh. Familier des estaminets du Quartier latin, il rencontre des artistes, des auteurs qu'il se fera une spécialité de défendre. Et les clients affluent, l'obligeant parfois à négliger son journal. Entre plaidoiries de routine et intérêts de Coco Chanel, il parvient à courir les premières et, plus inattendu, à satisfaire sa curiosité pour le paranormal. Les scandales des années 1930 lui donnent matière à réflexion, penché sur un dossier proche de l'affaire Stavisky. Son mépris de la corruption des confrères députés, présidents du Conseil passés et futurs, s'épanche, sans parler de ses colères à l'encontre des magistrats. Maurice Garçon mord mais n'est pas lui-même à l'abri des préjugés racistes et antisémites. Il ouvre les yeux à Berlin, peu après la Nuit de Cristal, alors qu'il va représenter la famille du diplomate assassiné par Herschel Grynszpan. La guerre, à nouveau, sera bientôt là.

09/2022

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Première guerre mondiale

Reconnaître (1914-1918)

Reconnaître et remercier les soignants et les aidants est une question très contemporaine. Elle a aussi des racines profondes. La Grande Guerre en donne une illustration saisissante. On estime à plus de 4 millions les soldats français blessés. Avec près de 150 hôpitaux temporaires et au moins 178 000 soldats hospitalisés, les Alpes-Maritimes et Monaco se distinguent. Médecins, infirmiers, aidants et d'abord des femmes très souvent encadrées par la Croix-Rouge ont manifesté un engagement inédit. Il fallait reconnaître celles et ceux qui s'étaient durablement dévoués au soin des blessés ou malades évacués des fronts du Nord, de l'Est et d'Orient. Par la médaille des épidémies, parfois la Légion d'honneur, et principalement la médaille de la reconnaissance française, leur abnégation a été saluée. Etrangers - notamment britanniques, italiens, belges, suisses, monégasques, américains, hollandais - ou français, ils sont plus de 500 à avoir été éligibles, et près de 430 à avoir été décorés. Célèbres ou, le plus souvent, inconnues, les femmes sont les premières éligibles et attributaires. Au moyen d'archives inédites, le présent travail vise à rappeler leur engagement aussi discret qu'indispensable.

04/2022

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Romans historiques

Les héritiers du fleuve Tome 2 : 1918-1929 ; 1931-1939

D'une rive à l'autre du Saint-Laurent, des familles inoubliables aux destins entrecroisés voguent entre amitiés et rivalités, drames déchirants et bonheurs intenses. 1918. La guerre, qui ne devait durer que quelques mois, se termine enfin... D'une berge à l'autre du fleuve, la vie suit son cours, inexorablement, à travers les changements à la fois exaltants et inquiétants que la modernité impose. Paul, Célestin, Béatrice, Lionel et leurs familles connaissent autant de moments tendres que d'épisodes bouleversants. Mais quand la Crise de 1929 frappe le pays, c'est tout le quotidien qu'il faut réinventer. Alors que les années passent, les héros de cette fresque inoubliable traversent les épreuves, entre joies, travail acharné, drames et souffrances. Les destins se croisent ou se séparent jusqu'à l'issue de cette saga inimitable.

05/2019

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Littérature française

Un mot de vous, mon amour

La correspondance amoureuse est sans doute la facette la plus attachante de la littérature en général. Elle traduit toutes les couleurs de l'amour : amour passion, amour fusionne !, amour impossible ou non partagé, amour et raison, amour sage et amour fou, amour entre personnes du même sexe... Patrick Poivre d'Arvor a retrouvé pour nous des lettres et des billets d'amour depuis Héloïse et Abélard au XIIe siècle jusqu'à l'époque moderne. Une centaine d'épistoliers et d'épistolières sont rassemblés dans ces messages à deux voix. Ils sont poètes, écrivains, artistes, femmes d'action, musiciens. Voici Napoléon et Joséphine, Victor Hugo et Juliette Drouet, Alfred de Musset et George Sand, Chateaubriand et Madame Récamier, Paul Eluard et Gala, Apollinaire et Lou, Rodin et Camille Claudel, Mozart et Constance, Scott Fitzgerald et Zelda, Robert Desnos et Youki, Jean Cocteau et Jean Marais, Verlaine et Rimbaud... Revivons avec ce livre la passion au cours des siècles entre ces hommes et ces femmes exceptionnels.

09/2010

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Littérature française

Mon amour,

"Nous ne nous sommes rien dit. Tess a pris toute la place. Puis tu es parti en laissant entre nous un vide silencieux. Tu sais bien faire ça. Ce que tu choisis d'ignorer disparaît. Si on n'en parle pas, ça n'existe pas. Tu dis qu'il ne faut pas se gâcher l'existence. Tu as raison. Nous gardons la tête haute en nous aimant sans parasites. La trotteuse tremblote, sautille, et continue de tourner en rond. Je suis immobile. Au moindre mouvement, quelque chose va commencer et j'ai l'intuition qu'il vaudrait mieux que tout s'arrête." J.B. Un homme et une femme s'écrivent. Ils s'aiment, elle vient d'accoucher de leur enfant et lui, pianiste, est parti en tournée. Passion amoureuse, fusion maternelle, engagement artistique s'entremêlent et s'entre-dévorent tandis qu'un autre homme entre en jeu. Au fil des lettres et de l'inéluctable chassé-croisé amoureux, chacun se découvre livré à sa solitude. Julie Bonnie saisit avec une extrême sensibilité une histoire qui s'écrit autant dans les mots posés sur le papier que dans les marges d'échanges impossibles. Un regard bouleversant sur la fugacité des rencontres, la transmission et la force des silences.

03/2015

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Autres éditeurs (A à E)

Mon Amour

Un animal étrange se balade en ville. Qui est-il ? Les habitants qu'ils croisent se le demandent... et personne ne trouve la réponse. Jusqu'à ce qu'il rencontre quelqu'un qui n'a aucun doute : c'est son amour ! Un album touchant sur l'acceptation et l'amour inconditionnel. Dès 2 ans.

05/2021

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Contes et nouvelles

Mon amour

Plongez dans ce recueil intime où sept voix féminines se confient à l’écho silencieux de leur amour éternel. A travers des récits empreints de nostalgie, ces femmes évoquent les joies et les peines qui ont tissé la trame de leur vie commune. Chaque histoire est un hommage à l’amour durable, un témoignage de la force des liens qui résistent au temps. Ce livre est une invitation à rêver pour les jeunes, un rappel que l’amour véritable existe, et pour les aînés, un voyage mélancolique au cœur de leurs souvenirs les plus précieux. C’est une célébration de l’espoir qui persiste, même face aux épreuves de la vie.

04/2024

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Livres 3 ans et +

Mon amour

Dis, maman, est-ce que tu m'aimeras toute la vie ? demande Archibald, un soir avant de s'endormir. Hum, eh bien, je vais te dire un secret..., répond sa maman. Ainsi commence le tendre inventaire des moments de vies partagés entre une mère et son enfant, où tout devient prétexte à s'aimer. Sur chaque double page, Astrid Desbordes a choisi d'opposer en vis-à-vis des situations contraires, qui jouent avec aisance sur les registres du quotidien et de l'imaginaire, de la poésie et de l'humour. Le message de cet irrésistible album est simple et limpide : l'amour est constant et sans condition. Mais c'est dans la toute dernière phrase que se cache le véritable secret : "Je t'aime parce que tu es mon enfant mais que tu ne seras jamais à moi".

04/2015

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Religion

Pacelli à Berlin. Le Vatican et l'Allemagne, de Weimar à Hitler (1919-1934)

A partir du fonds Pie XI des Archives pontificales d'ouverture récente (2006), Marie Levant livre ici une recherche très attendue en reprenant, et en renouvelant, à l'aide de nouvelles archives, les travaux, novateurs en leur temps, sur la question des relations germano-vaticanes et la mise en place du concordat de 1933. L'ouvrage donne à un chapitre essentiel de l'histoire contemporaine un éclairage indispensable, celui d'archives jusque-là inaccessibles. Les rapports entre le Saint-Siège et l'Allemagne nazie ont fait l'objet, depuis la Guerre froide, de nombreuses polémiques, qui pointaient en général l'absence d'archives pontificales... Le livre règle cette question et donne l'ouvrage de référence sur cette période de l'histoire allemande, comme de la vie du futur Pie XII, et ses enjeux (politiques, idéologiques, religieux).

09/2019

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Histoire de France

Touché ! Souvenirs d'un blessé de guerre

CÉLESTIN FREINET est né le 15 octobre 1896, à Gars (Alpes-Maritimes). Il est le fondateur du plus important mouvement pédagogique du XXe siècle, connu à l'origine, sous le nom d'Imprimerie à l'école. Entré à l'École normale d'instituteurs de Nice en octobre 1912, il en sort prématurément à la fin de l'année scolaire 1914, pour exercer les fonctions d'intérimaire à Saint-Cézaire, au-dessus de Grasse, la guerre ayant envoyé au front les maîtres d'école. Le 10 avril 1915, il est mobilisé. Le 15 août, il entre à Saint-Cyr comme aspirant. Le 26 février 1916, il arrive dans les tranchées de Champagne. Un an et demi après, le 23 octobre 1917, il est blessé au poumon droit dans le bois des Gobineaux, sur le Chemin des Dames. Il vient d'avoir vingt et un ans. " Touché ! " raconte les circonstances de sa blessure et ses premiers mois d'hospitalisation. Ce texte a été rédigé dans le courant de l'année 1919, à partir des notes d'un carnet de campagne qu'il a tenu depuis son incorporation jusqu'au 11 novembre 1918. Il a été publié une première fois en 1920, par la Maison française d'art et d'édition. Il n'avait jamais été réimprimé.

07/1996

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Histoire de France

Avec les tirailleurs sénégalais (1917-1919) : Lettres inédites du front d'Orient. Tome 2 (avril 1918 - avril 1919)

Ces lettres d'amour et de guerre préentent le récit de la participation de l'adjudant Escholier à l'Armée d'Orient et à l'étonnante épopée qui l'amène, en 1918, des monts de Macédoine aux plaines de Hongrie. Le gradé blanc noue des liens avec les tirailleurs noirs et ce livre pose un regard de plus en plus juste sur les soldats africains et les inscrit déjà dans notre mémoire collective.

09/2013

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Santé, diététique, beauté

Mon enfant, mon amour

Un enfant, deux handicaps : la surdité et le syndrome d'Asperger. Des combats, des réussites ; un enfant plein de courage, qui se bat pour avoir une vie la plus normale possible.

08/2019

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Littérature française

Mon Amour, Mon Geôlier

"Le luxe et le faste sont dépouillés de tous leurs secrets ce soir, en ces lieux où les mariés reçoivent leurs convives. Au milieu du dôme vitré tenant lieu de plafond pend un immense luminaire en cristal. Tout scintille dans cette salle circulaire, au centre de laquelle trône une magnifique jardinière de quartz rose soutenue par deux cupidons nus, débordant de fleurs fraîchement coupées. Les reflets de l'argenterie, le scintillement des verres, la pure blancheur des nappes créent un contraste stupéfiant avec les murs d'où pendent de lourds rideaux de velours, d'un rouge teinté de blanc. Les visages transpirent de bonheur, de joies, même hypocrites. Cependant, toutes les émotions ne se confondent pas en contentement. Celui-là, assis au fond, ne sait comment cacher sa rage. S'il est là, c'est uniquement pour faire plaisir à son cousin qui s'est jeté la tête la première dans un mariage précoce. Le visage livide, assis seul à sa table un verre à la main, il se saoul pour n'avoir pas pu empêcher cette mascarade. Cette femme est intéressée, il le sait. Il sait aussi que l'argent des Duncan n'appartient pas qu'à Gail. Il est lui aussi héritier et se doit de se méfier des vautours comme cette femme qui célèbre ce soir sa victoire. D'où la connaît-il ? L'on ne prend pas pour épouse une femme que l'on ne connaît pas. Trois mois. Cela suffit-il pour un engagement à vie ? L'intuition. Il y en a de ceux qui ont un bon flaire. Et le petit cousin de Gail, de cinq ans de moins que lui, n'est pas aussi naïf qu'on pourrait le croire. Toutefois, il faut savoir se taire et observer... Guetter le moment propice... Mais, sous l'emprise de l'alcool, certaines personnes n'arrivent pas à faire taire leur colère, à se contrôler surtout... De ces attitudes qui peuvent coûter cher".

11/2020

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Littérature étrangère

Mon maître, mon amour

Un homme, Wadî, a aimé un autre homme, et c'est sa femme, Sarnia, qui lui désigne la nature de son attachement, elle qui lui en révèle la force. Evoquant les premiers instants de sa rencontre avec cet homme, Wadî' se trouve bientôt replongé dans une enfance douloureuse, puis une adolescence haïe, au cœur d'un Liban en proie aux factions. Son récit s'interrompt une fois trouvé "son maître, son amour", mais Samia prend le relais, pour nous apprendre la disparition inexpliquée de son mari. Elle se débat, tente de comprendre, échafaude toutes les hypothèses et finit par rencontrer Târiq, l'homme dont Wadî s'était épris. Avec une écriture dense et précise, Hoda Barakat emprunte la voix de Wadî', puis celle de Sarnia à la toute fin du récit, pour tenter de reconstituer une histoire où alternent souvenirs et monologues intérieurs. Elle entre dans la passion et le délire de Wadî'. Les courts chapitres qui composent son récit s'assemblent peu à peu comme les pièces d'un puzzle qui restera à jamais inachevé...

03/2007

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Littérature française

Mon roi, mon amour

Le 31 mai 1906, à Madrid, le peuple en liesse célèbre le mariage d'Alphonse XIII avec une princesse anglaise de dix-neuf ans, Victoire-Eugénie de Battenberg. Le cortège nuptial progresse lentement à travers la ville. Mais le pas paisible des chevaux cache mal ce qui se prépare au bout du parcours, à deux pas du palais royal. C'est cet événement historique qui a inspiré à Robert Pagani Mon roi mon amour. Séduit par le sort d'une jeune femme devenue reine d'Espagne dans des circonstances aussi dramatiques que violemment romantiques, il s'est glissé dans la peau de Victoire-Eugénie. Mélange d'innocence et d'érotisme, ce court roman au style très vif est à la fois lyrique, torride et plein d'humour.

08/2008

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Histoire de France

Journal de la guerre. 1914-1919

La guerre ? "Un paysage qui vous tire dessus." Guy de Pourtalès (1881-1941) rapporte ces propos, qui l'ont frappé, de son ami Valdo Barbey. L'écrivain genevois, devenu français, mobilisé en 1914, n'a pas connu la tranchée, mais il a passé quatre ans et demi sous les drapeaux comme interprète militaire, propagandiste au Quai d'Orsay, officier informateur. Il a vécu de près les événements de la Grande Guerre, particulièrement ceux qui ont affecté les relations entre sa patrie d'adoption et son pays d'origine. Tiraillé entre des appartenances et des loyautés qu'il entend faire tenir ensemble, Pourtalès donne l'impression d'être toujours en porte-à-faux avec le rôle qu'il se choisit, ou qu'on lui attribue. C'est précisément cette position d'intermédiaire - symbolisée par le statut d'interprète - qui crée l'intérêt du Journal de la Guerre, parce qu'elle décale le regard, l'enrichit, et donne lieu à un récit à la fois original, informé et communicatif.

09/2014

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Histoire de France

1914-1919 Un monde en guerre

En 1914 débutait la première guerre industrielle et technologique de l'histoire de l'humanité, la première guerre totale et planétaire mettant en présence plus de 66 millions d'hommes, issus de nations et d'ethnies du monde entier. Si l'armistice du 11 novembre 1918 y mettait fin, la première guerre mondiale ne s'arrêta officiellement que le 28 juin 1919, avec la signature du traité de Versailles. Richement illustré et documenté, cet ouvrage offre une vision originale de ces cinq années de conflit puisqu'il dépasse largement les champs de bataille européens. Gilles Vauclair revient sur l'implication des nations indépendantes, de leurs colonies et des pays satellites. Il explique également le rôle ambigu des Neutres, dont, pour certains, la neutralité s'arrêtait au seuil de leurs intérêts. Ainsi, au fil des pages, se dessine le rôle de chaque pays dans ce monde en guerre.

02/2020

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Histoire de France

Parcours politique des surréalistes. 1919-1969

Mépris de l’autorité, refus de l’ordre établi et des valeurs bourgeoises, éthique centrée sur la liberté, le désir, les passions : loin de se réduire à un mouvement littéraire et artistique, le surréalisme intègre une véritable dimension politique : messianisme révolutionnaire teinté d’éthique libertaire, espoir de « changer la vie » en édifiant une société plus juste, plus inventive, libérée des chaînes de la morale et de la tradition. Une soif d’engagement qui a conduit ses principaux représentants, Eluard, Aragon, Breton, Desnos, Dali, Bataille, à épouser la marche folle d’une époque ivre d’idéologie. C’est toute cette histoire d’espoirs et de déceptions, de promesses et de trahisons, de luttes et d’abandons que retrace Carole Reynaud Paligot dans cette vaste fresque, servie par une écriture alerte et rigoureuse. De l’idéalisation de Lénine à l’engagement stalinien, de la tentation trotskyste au syndicalisme anarchiste, de la défense des droits de l’homme à la mobilisation antigaulliste en passant par la résistance à la guerre d’Algérie et à Mai 68, un éclairage admirablement documenté sur l’engagement des surréalistes et une contribution essentielle à l’histoire des intellectuels au XXe siècle.

10/2010

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Histoire internationale

Deux années en Ukraine 1917-1919

Charles Dubreuil, installé à Kiev de 1917 à 1919, y a vécu certains des principaux épisodes de la révolution. Il s'est montré particulièrement attentif aux grandes étapes du réveil national ukrainien qui s'est produit à ce moment : la revendication de l'autonomie, la proclamation d'un Etat ukrainien, sa lutte pour l'existence face à la nouvelle Russie soviétique. Témoin engagé, Dubreuil est l'un des rares Français de cette période à avoir pris fait et cause pour un mouvement ukrainien dont son propre gouvernement se méfiait. Si ses préférences politiques l'ont parfois entraîné à des jugements tranchés sur les dirigeants et leurs actes, il a laissé un témoignage précieux, complété d'un exposé sur l'Ukraine et les Ukrainiens qui est un plaidoyer bien informé pour leur identité et leurs droits. L'ouvrage reproduit l'édition originale de 1919, précédée d'une présentation de Iaroslav Lebedynsky qui replace le texte de Charles Dubreuil dans son contexte historique et y ajoute les précisions et corrections nécessaires.

01/2018

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Littérature française

Deux Années en Ukraine. (1917-1919)

C'est le 6 janvier 1917 que je débarquai, pour la première fois, à Kiev. En toute autre circonstance, j'aurais admiré la capitale de l'Ukraine, avec ses rues larges et droites, ses hautes maisons aux toits rouges et verts, ses multiples églises aux dômes dorés, sa cathédrale Saint-André qui s'embrase sous les baisers du soleil, sa double croix de Saint-Vladimir qui s'illumine le soir, son vieux quartier qui s'étage en gradins, son fleuve majestueux qui roule, à la belle saison, ses eaux jaunes et profondes sur lesquelles se jouent, mouettes vivantes, une multitude de voiles blanches. Mais, parti précipitamment de Bucarest, avec ma famille, cinquante jours auparavant, quelques heures à peine avant l'occupation de la capitale roumaine par les troupes austro-allemandes, je venais d'accomplir un voyage, véritable odyssée, qui avait absorbé le plus clair de mes économies et j'arrivais dans une ville dont j'ignorais tout, surtout la langue et où je ne connaissais âme qui vive : Kiev.

10/2022