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La plus que parfaite

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Littérature étrangère

Suive qui peut

Devenus adultes, Will, Hand et Jack n'ont pas renoncé à leurs rêves d'enfants. Une grosse somme, trop facilement gagnée, va les aider à les réaliser. Mais Jack meurt accidentellement et l'argent, qui n'a pas réussi à le sauver, brûle les doigts des survivants. Ils cherchent un sens à cette vie qui reste : ils vont soulager la misère du monde. Mais ils ne disposent que d'une semaine. Ils foncent autour de la planète en distribuant les billets, pas tout à fait au hasard. Ils se heurtent partout. À tout. Sous l'œil de la mort, prête à fondre sur sa proie avec la soudaineté qu'elle a mise à se saisir de Jack. Pourtant ils avancent, ils n'arrêtent pas de courir. Suive qui peut. Dave Eggers a réussi un grand livre sur l'absurdité de l'existence et des rapports aux autres. Derrière les cocasseries du récit, se dresse un deuil immense, et devant, un vide infini. Tout de même nous rions. Aux larmes. P. C.

09/2003

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Livres 3 ans et +

Sauve qui peut !

Un jeune lièvre peureux est réveillé de sa sieste par un bruit. Affolé, il se met à courir en criant "Sauve qui peut ! Le ciel nous tombe sur la tête ! " Et il entraîne dans sa fuite tous les animaux qu'il rencontre : daims, tigres, sangliers, et même les éléphants. Jusqu'à ce qu'un lion s'en mêle et découvre l'origine du bruit !

03/2019

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Lecture 9-12 ans

Rue de Paris

David, le héros de "La maison vide" et de "L'hôtel du retour", vient d'apprendre la mort de ses parents en déportation. Il ne rêve que de vengeance, quel que soit le prix à payer. La guerre s'achève. Dans sa colère et son désespoir, David rompt les derniers liens qui le relient à son passé. La France, pense-t-il, n'a plus rien à lui offrir. Unique issue : la perspective de construire un monde meilleur. Il embarque clandestinement sur un bateau pour la Palestine. David fera connaissance avec les camps d'internement britanniques avant de travailler dans un kibboutz. Là, il découvre qu'une autre guerre commence.

11/2000

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Philosophie

Qui tient promesse ?

Non, la question de la promesse n’est pas d’abord celle de l’infidélité. Pour penser la promesse, il faut cesser de l’envisager à l’horizon du seul manquement, de l’inéluctable trahison, bref de la fausse promesse. Si cet engagement a une valeur, c’est comme décision d’affirmer notre responsabilité humaine, notre aptitude à répondre de la parole donnée. Cette parole est action : que je dise «je t’aimerai toujours», «en janvier j’aurai fait baisser le chômage» ou simplement «comptez sur moi pour être à l’heure demain», à l’instant même où je promets, je proclame non seulement l’incertitude de l’avenir mais surtout ma capacité à engager ce futur imprévisible, qui soudain dépend tout entier de moi. Acte éthique par excellence, la promesse est donc la manifestation la plus puissante de notre volonté, le témoignage le plus exaltant de notre liberté. «La promesse est un acte impossible, mais c’est le seul digne de ce nom», résumait naguère Jacques Derrida. Dans la tradition de débat et de pédagogie portée par ce Forum depuis maintenant un quart de siècle, tous les auteurs, venus des horizons les plus divers, explorent la promesse - cette parole qui se jette en avant, ce geste qui n’est ni échange ni contrat, ce don inconditionnel qui nous oblige et nous lie à autrui. Sans promesse il n’y a ni confiance, ni amour, ni religion, ni droit, ni politique. C’est elle qui fonde la possibilité même d’un monde à venir. C’est la promesse qui nous fait tenir.

11/2015

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Littérature française

Une main nue

Le thème qui court tout au long de ce recueil de douze nouvelles est celui de la rencontre. Celles-ci sont réelles ("Le violon du ghetto", "Les yeux d'Erwan"), ou imaginaires ("Le jumeau dans la nuit", "Eugène et Louise"). Il arrive que certaines de ces rencontres laissent au héros de l'histoire un goût amer d'échec ou d'humiliation ("Le regard du professeur", "Une tache au-dessus du sourcil gauche"). Mais d'autres peuvent changer la vie ("Les vieux souliers") ou la sauver ("Une main nue"). On peut aussi, comme ce trentenaire en pleine ascension sociale, rencontrer un matin dans son miroir une image de soi oubliée ("Le noeud de cravate"), qui interroge sur l'authenticité de ses propres choix de vie.

10/2018

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Policiers

Perdues de vue

Avec précaution, Chyna Greer releva le châssis de la fenêtre de sa chambre. L'air brûlant de juillet balaya son visage. Derrière elle, Zoey Simms, sa meilleure amie, dit d'une petite voix aiguë : "Je n'arrive pas à croire qu'on fait ça ! - Je crois qu'on ne devrait pas, fit Chyna. Si on me sur-prend à aller jusqu'au lac la nuit..." Zoey fit un petit sourire : "Il ne t'arrivera absolument rien."... La suite, hélas, prouva le contraire. Si Chyna fut retrouvée indemne au matin, Zoey, elle, partie toute joyeuse retrouver un mystérieux amant, ne donna plus jamais signe de vie. Douze années plus tard, obligée de revenir dans la région suite au décès brutal de sa mère, Chyna se retrouve de nouveau sur les bords du lac maudit. D'autres jeunes femmes ont disparu. Ni la présence chaleureuse de son frère ni le temps passé ne parviennent à la rassurer. Des gens parlent. On insinue. Elle-même semble la proie de bien curieuses visions et une menace diffuse l'entoure...

05/2009

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Littérature française

Celle qui vient

Ce livre s'inscrit dans une forme aussi ancienne que l'écriture, celle des Tombeaux et de la déploration. Il raconte les derniers moments de l'ami ; les heures passées dans la chambre aux côtés de la fille, silencieuse, venue des îles lointaines accompagner son père. Cette méditation fait renaître le souvenir des complicités, des plaisirs partagés depuis leur jeunesse. Tout l'art d'Allain Glykos s'attache, par une évocation sensuelle de la vie, à négocier avec la mort qui vient. Car on sait qu'elle viendra, écrit-il, on feint de ne pas l'attendre, on tente de lui résister, et puis un jour, elle entre sans frapper, vous laisse dans le couloir, referme la porte et s'en va en emportant l'être cher. Ce sont ces dernières heures que l'auteur retient ici, comme autant de larmes qui ne coulent jamais.

05/2019

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Littérature française

Vue sur mère

" Quand la mer se retire, elle abandonne dans le creux des vagues ces murmures qui vous poursuivent à jamais... J'ai eu deux mères, une en basse-saison et l'autre en haute-saison. Je suis le fruit multiple d'une fuite silencieuse et d'un désir violent d'enfant. En quelque sorte, l'une m'a poussé du haut de l'arbre afin que je puisse m'envoler, et l'autre s'est précipitée avant que je m'écrase au sol. Je suis tombé, mais par amour, sans me faire mal apparemment... " Ce livre raconte l'histoire d'un vol à voile entre un abandon et une étreinte, au fil de pages écrites pour rire, avec les larmes aux yeux.

09/2017

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Littérature française

Tue-l'amour

Depuis que Jojo s'est fait larguer, il n'a qu'une peur : finir sa vie seul. Tel un Don Juan bobo impossible à satisfaire, il multiplie les rencontres pour conjurer le sort, et se lance dans une série de dates boiteuses, lamentables, grotesques, qui sont l'occasion de déboulonner les règles du jeu de la séduction dans le monde post-Tinder. Avec sa veine caustique, tendre et idéaliste, Tue-l'amour est une réflexion sur l'amour et les conditions de son éclosion. La quête de Jojo est un apprentissage, qui le conduit à tuer une certaine idée du couple, pour lui permettre de s'épanouir. Ceci étant plus facile à dire qu'à faire...

01/2021

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Littérature française

Rue des Archives

Depuis des années, j'enterrais ma mère. J'imaginais chaque détail de son agonie. Je tentais d'apprivoiser sa mort comme, dans mon enfance, j'apprivoisais son personnage. En tuant Candida, c'est ma honte que j'aurais voulu supprimer. Non pas la honte de: la honte tout court. J'ai toujours eu la honte, comme d'autres ont la gale. Quand la mort a frappé, j'ai aussitôt ressenti cette démangeaison. Bien pourtant ne s'est passé comme je l'avais prévu. Je m'étais longtemps raconté des histoires pour échapper à la nôtre. Naturellement, la vérité du récit a fini par me rattraper. En me rendant rue des Archives, je savais ce qui m'attendait. Une dernière fois, j'ai convoqué les témoins, interrogé les fantômes, suivi les pistes les plus improbables pour constater que l'énigme subsistait. Entière. Je n'ai pas cédé, en rédigeant ces pages, à un sentiment d'urgence, j'ai seulement désiré mettre un point final au texte qui, depuis ma naissance, s'écrit en moi.

03/1994

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Littérature française

Qui es-tu ?

Depuis la mort de sa mère, Chloé Vilot n'est plus retournée dans sa bretagne natale et ne voit plus son père. Entre l'alcool, la drogue et ses multiples relations, Chloé s'adonne aux plaisirs de la vie sans se préoccuper du reste. Ses amis Lisa, Delphine et Micka sont souvent de la fête. Le jour où elle entend une voix derrière elle sans voir personne, et qu'un mystérieux voisin emménage en face de chez elle, le quotidien de Chloé et de ses amis va s'en retrouver chamboulé. Qui es-tu ? Conduira l'héroine dans son subconscient, du questionnement de l'existence au-delà de sa conscience humaine.

06/2018

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Policiers

Dame qui pique

Maggie, une jolie blonde, gagne sa vie d'une façon bien particulière : elle séduit les hommes seuls dans les bars, les drogue, puis leur fait les poches dans une chambre d'hôtel, avec la complicité de Barry, escroc notoire. Mais un jour, elle tombe sur un homme, Jack Shanks, qui ne se laisse pas faire et qui lui propose un marché...

04/2003

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Littérature française (poches)

Celles qui attendent

Arame et Bougna, mères de deux fils partis clandestinement pour l'Europe, ne comptaient plus leurs printemps ; chacune était la sentinelle vouée et dévouée à la sauvegarde des siens, le pilier qui tenait la demeure sur les galeries creusées par l'absence. Coumba et Daba, les jeunes épouses, humaient leurs premières roses : assoiffées d'amour, d'avenir et de modernité, elles s'étaient lancées, sans réserve, sur une piste du bonheur devenue peu à peu leur chemin de croix. La vie n'attend pas les absents : les autours varient, les secrets de famille affleurent, les petites et grandes trahisons alimentent la chronique sociale et déterminent la nature des retrouvailles. Le visage qu'on retrouve n'est pas forcément celui qu'on attendait...

04/2013

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Littérature étrangère

Celui qui sait

Années 60: Natacha Kasantseva, la future réalisatrice de télé, sa soeur Lioussia qui sera un écrivain raté, leurs parents, la bibliothécaire juive Bella Lvovna et son fils Marik, un couple d'ivrognes et un autre sans enfants, tous vivent dans un appartement communautaire de Moscou. Les temps sont durs. On se débrouille, on fait la queue dans les magasins, beaucoup buvant pour oublier une société de répression et de pénurie où rien n'est possible quand on n'a pas d'amis au Parti communiste. Amours, mariages, naissances, décès, crimes, tristesse, mais aussi petites et grandes joies d'une vie régie par un moralisme étouffant, les années passent, tout tenant tant bien que mal jusqu'au jour terrifiant où le système s'effondre avec la Perestroïka et cède la place à une Russie de l'enrichissement effréné pour certains et de la misère pour beaucoup. Dans la grande tradition de Rybakov et d'Axionov, cette saga d'Alexandra Marinina décrit avec lucidité et espoir une Russie qui se remet à peine de soixante-dix ans de communisme.

04/2009

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Littérature française

Ce qui manque

Un personnage clé, Anna, et autour d'elle trois hommes et une femme. Tous ont quelque chose à sacrifier pour grandir. Un amour, une illusion, la raison. L'un d'eux sera définitivement perdu. Les autres puiseront une vérité dans l'absence: nous sommes ce qui nous manque.

02/2008

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Théâtre

Ceux qui manquent

Ogres propose un voyage au coeur de l'homophobie, aujourd'hui dans le monde. De la France à la Russie, de l'Ouganda à l'Iran - en passant par la Bulgarie, l'Afrique du Sud, le Cameroun, la Grèce, le Brésil, la Roumanie, la Corée du Sud, les Pays-Bas - ce texte dresse un état des lieux d'une discrimination qui exclut socialement, qui tue directement ou indirectement, qui existe sous toutes sortes de formes et dont toutes les formes provoquent douleurs et souffrances.

01/2017

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Littérature française

Tue-le ! (voix)

Que ça espère ou que ça pleure ou rie, que ça chante ou se moque, tous les tons sont permis aux singuliers parleurs qui se déchaînent ici, chacun pris dans son soliloque et peut-être sauvé par lui : un géant épris d'une petite fille, une vieille femme acharnée de bal, un malade à son réveil se prenant pour Lazare, un ancien boxeur à la dérive exigeant qu'on se souvienne de lui, une putain qu'envahit la musique, un petit garçon sur le point de commettre un crime, un fanatique de football, etc. Et sans doute chacune de ces voix singulières, pourrait-elle reprendre à son compte les mots de l'écrivain mis en scène dans " Pied à pied ", le dernier monologue du livre : " Quand je repense à mon histoire, j'ai dû sans le savoir être arrêté à la saison où jouir foudroie, où la mer désespère, où mourir commence à se deviner où l'on sent que boire n'épuise pas la soif, où la première femme nue vous aveugle parce qu'elle est l'autre absolue. Et on dirait que je ne peux pas en revenir. " L.J.

02/2002

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Livres 3 ans et +

Couleur de rue

Que peut faire une petite fille contre la boue et les trous de sa rue ? C'est simple ! Ce qu'aime Couleur, c'est dessiner. Alors, elle va redessiner sa rue avec l'aide de tous les habitants et y mettre toutes ses couleurs préférées. Même la pluie n'osera pas abîmer tant de beauté. (Haïti)

11/1999

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Non classé

Qui m'aime ?

"Le savoir ne se distingue pas du rêve, ni le rêve de l'acte. La poésie a mis le feu à tous les poèmes. C'en est fini des mots et des images. Abolie, la distance entre le nom et la chose ; nommer c'est créer, et imaginer c'est naître". Octavio Paz (1914-1998)

09/2019

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Littérature française (poches)

Rue des rigoles

" Tu ferais mieux d'aller rue des Rigoles, il y a des Pompes beaucoup moins chères ! " Tel est le conseil donné à l'auteur par un copain, alors qu'il se met en devoir de préparer les obsèques de sa mère. Et c'est ainsi, entre le chagrin et l'éclat de rire, que les souvenirs surgissent. Des souvenirs qui ramènent Gérard Mordillat à l'après-guerre, dans ce Paris populaire du XXe arrondissement où il grandit entre un père employé à la SNCF et une mère venue d'outre-Atlantique, professeur d'anglais à l'école Berlitz. Un Paris où survit le souvenir des Communards, où, dans les trente cinémas de quartier qui se trouvent entre Belleville et Ménilmontant, les premiers baisers dans la pénombre se confondent avec l'éveil d'une passion pour le 7e art. Truculent, gouailleur, tendre, mélancolique, Gérard Mordillat compose un hymne à son enfance, qui ravira tous ceux qui ont aimé Robert Sabatier ou le Truffaut des Quatre cents coups.

11/2004

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Psychologie, psychanalyse

Perdre de vue

Le plus insupportable dans la perte, serait-ce la perte de vue ? Annoncerait-elle, chez l'autre, l'absolu retrait d'amour et, en nous, l'inquiétude d'une infirmité foncière : ne pas être capable d'aimer l'invisible ? Telle est la question que déploie ce livre qui s'ordonne selon trois axes. Il décrit d'abord quelques formes du refus de la perte, de l'apathie à la réaction thérapeutique négative en passant par l'amour de la haine. Il analyse ensuite les modalités de la croyance pour reconnaître l'essence "profane" de la psychanalyse. Il insiste enfin sur la mélancolie active du langage qui, en s'éloignant du visible, porte en lui la défaite du culte de l'image. Les chemins empruntés sont divers. Le lecteur y rencontre le doux Oblomov et la Gradiva rediviva, Sartre et André Breton, Freud et Winnicott, le curieux oiseau de Léonard et les mots incertains de l'autobiographie. Si la psychanalyse est ici tout au long présente, ce n'est pas comme regard théorique mais à l'horizon, à perte de vue : là où nos yeux ne pouvant plus rien saisir transmettent leur trouble à la pensée.

12/1988

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Poésie

Ce qui va

La poésie, ça bouge, non ? Ça bouge, donc ça vit. Les mouvements, ça ressemble toujours à de la vie, même quand ça meurt, que ce sont des soubresauts de moribond. Le sentiment que ça vit est le plus fort (la poésie, ça ne peut pas mourir quand même !), plus fort même que l'observation de la réalité. D'ailleurs la réalité, c'est quoi ? C'est qu'on trouve des livres, on continue d'en trouver, on n'en manque pas. Chaque fois qu'on en veut, on en trouve des livres. Dans les librairies. C'est comme un pack de lait, dès qu'on en veut on en trouve. Et pas la peine à chaque fois de se demander c'est quoi une vache, c'est quoi un poète ! Et s'il y a un lien, à chaque fois, entre les bêtes à cornes debout dans les prés et le lait du pack. Qu'est-ce qui prouve d'ailleurs qu'il y a un lien, c'est vous qui le dites, qu'il y a un lien. Claude Vercey

11/1999

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Littérature russe

Ex-rue Lénine

2019, Tchoupov, petite ville imaginaire de la province russe, est empoisonnée par une décharge où s'entassent les ordures de toute la province. L'air est devenu irrespirable, les habitants vivent calfeutrés, filtrent l'eau, parfument leurs appartements à grand renfort d'eucalyptus, portent des masques pour affronter la pestilence qui a envahi les rues. Tchoupov pue, Tchoupov meurt. Et le maire vient d'être arrêté pour corruption. A la même période, la famille de Lena Mitrofanova vole en éclats. Son mari Daniil la quitte pour s'installer dans l'appartement reçu en héritage ex-rue Lénine. L'ex-rue Lénine, c'est aussi l'ex-vie de Lena. Peut-il y avoir une vie d'après à Tchoupov ? Daniil, autrefois député, se lance dans la course à la mairie, alors que Lena rallie un groupement citoyen. Idiatoulline affirme qu'en littérature il aime "les récits intéressants et honnêtes qui parlent de nous ici et maintenant" . Son roman Ex-rue Lénine ne fait pas exception : au-delà de la galerie de personnages représentatifs de la société russe, l'auteur brosse le portrait d'une femme quadragénaire qui trouve un sens à sa vie dans un combat altruiste.

02/2023

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Divers

Portraits de rue

En résidence dans le cadre du projet Vagabondage 932 sur la Cité Jacqueline Auriol à Chamiers (24), Laurent Lolmède s'est intéressé à la toponymie du quartier. Il a réalisé des dessins des rues avec au centre les panneaux des noms des rues. Il a ensuite effectué des recherches sur les personnes qui ont donné leur nom aux lieux. Il juxtapose ses dessins de paysages et les portraits renseigner des gens plus ou moins célèbres. Lolmède réalise ainsi un document sensible et souvent drôle qui renseigne sur la "petite" géographie locale.

02/2022

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Poésie

Vers de Rue

Vers de rue est un mélange de techniques d'écriture utilisées en rap et en poésie, un nouveau style de poésie que l'auteur qualifie de "littérature de la rue " autrement dit de la poésie urbaine. C'est un recueil de poèmes qui aborde divers thèmes tels que le panafricanisme, la politique, la spiritualité, l'amour, la culture, la pauvreté... Vers de rue dans un autre angle est un partage des sentiments, du vécu quotidien d'un jeune poète, un hommage à des personnes proches ou éloignées qui ont marqué sa vie, son passé et son présent. A travers ce recueil, l'auteur cherche également à valoriser la culture africaine et les grands personnages qui se sont battus à bras et corps pour le développement de l'Afrique mais parfois méconnus des nouvelles générations.

01/2016

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Poésie

Rue des fleurs

"Les poèmes sont des fleurs, dit-on parfois. Ne parle-t-on de florilège ? Ce mot fait sourire. Il y va d'autre chose que d'un art des bouquets. Chaque poème est une éclosion de sens. La poésie fait éclore dans la langue la douleur, l'amour, l'angoisse, la beauté... , elle les fait apparaître, leur prête voix, les révèle... Et plus le poème reste proche de la sensation, de l'impression, puis de l'éclosion qui lui ont donné naissance, plus il affirme sa nécessité propre. Ecrire un poème, peut-être n'est-ce en définitive que cela, donner à assister au moment de la naissance, à l'éclosion même du sens, syllabe après syllabe. N'est-ce pas tout le contraire du discours qui livre le sens tout prêt ? Un poème est un organisme vivant. Il pousse sur le papier. Il anime le langage et ranime la curiosité. Il sort les mots de leur torpeur, il les réveille, il les fête. C'est cela, la rue des fleurs". Jean-Michel MaulpoixPause lyrique entre deux livres de prose, avec ce recueil de poèmes Jean-Michel Maulpoix renoue avec la poésie pure et le plaisir sensuel des mots.

02/2022

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Livres rabats, tirettes

Qui mange quoi ?

Sur chaque page, des animations à pousser et à tirer pour découvrir ce que mangent les animaux ! Un jeu de caché-trouvé idéal pour les petites mains.

02/2021

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Romans policiers

Qui es-tu ?

Dans un cadre serein et verdoyant, une petite ville du Pays basque sans histoire va devenir le théâtre insensé d'une péripétie incroyable. Maïténa, bergère basque et propriétaire d'un gîte, lors d'une balade sur la plage, découvre une jeune femme inanimée. Son ami François, inspecteur, mène secrètement une enquête. Plusieurs faits inquiétants vont se greffer à cette investigation qui piétinera. Les protagonistes auront fort à faire pour élucider tout ce méli-mélo. Le mystère demeurera jusqu'à ce que des événements nouveaux se produisent...

02/2021

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Littérature étrangère

Ce qui vient

"Ce qui vient est un roman magnifique. La littérature autrichienne a trouvé en Thomas Stangl un successeur de Musil et Thomas Bernhard." Sibylle Cramer, Frankfurter Rundschau Ce qui vient raconte deux histoires : celles d'Emilia Degen et Andreas Bichler. Leurs points communs : être âgés de 17 ans et de vivre avec leur grand-mère à Vienne, comme étrangers à leur propre monde. Leurs divergences : la première tient à l'époque dans laquelle ils évoluent - les années 1930 pour Emilia, les années 1970 pour Andreas ; la seconde est sociale - Emilia, au contraire d'Andreas, évolue dans un milieu aisé. Il est question dans Ce qui vient d'amour, de son manque et de sa perte, mais aussi du cauchemar qu'il y a à vivre dans l'Histoire et du scandale de la mort. Bien qu'éloignés chronologiquement et socialement, les destins d'Emilia et d'Andreas sont semblables : tous deux finiront par sombrer, victimes de leur époque et de la violence. En questionnant le passé et le présent, l'écho que se renvoient ces deux histoires donne à s'interroger sur "ce qui vient".

06/2015

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Autres éditeurs (A à E)

Mais quel toupet !

Priscillien est un petit escargot d'humeur folâtre, mais qui ne manque pas de... toupet ! Il n'a pas sa langue dans sa poche et veut tout le temps avoir le dernier mot ! Comment lui faire entendre raison et l'assagir un peu ? Un jour, Priscillien va rencontrer Vanylle, un adorable oiseau qui va lui apprendre à mieux se comporter. Priscillien et Vanylle vont alors devenir les meilleurs amis du monde !

02/2022