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Fred Beltran, Zoran Janjetov, Alexandro Jodorowsky

Extraits

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Instruments de musique

Suite Nr. 1. Für Blasorchester und Schlagzeug. Volume IX opus 7. wind band and percussion

Erich Schmid (1907 - 2000) was an orchestra conductor, choir director and university lecturer who promoted world premieres and radio broadcasts of contemporary music in Switzerland. He himself studied with Bernhard Sekles, among others, then with Arnold Schönberg and followed the aesthetics of the New Viennese School in his compositions. The historical-critical Erich Schmid Edition publishes for the first time all sixteen opus-numbered works as well as three additional piano works. Suite No. 1 is an interesting hybrid that conveys the most modern compositional structure in the genre of light music. Schmid composed it shortly after the end of his year as a master student of Schönberg in Berlin. Like his other works of the time, its unusual instrumentation already shows an effort to move on from classical "high forms" and compose in looser structures, with the free use of the twelve-tone technique providing inner coherence. "Dance", "Waltz", "March" are linked by two inserted "Intermezzi" and introduced by an "Introduction". Not all movements require full instrumentation and are designed for solo rather than group performance. Professional playing techniques such as flutter tonguing and alienating sound effects through damping and muting are used. Instrumentation : wind band and percussion op. 7

04/2023

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Essais

La conscience de l'humain. Dialogue entre psychanalyse et pensée chinoise

Comment penser nos maux actuels de civilisation, atteintes narcissiques collectives et individuelles, souffrance de la jeunesse et du féminin, montée de la haine primaire et d'une épidémie des "ismes" : populismes, islamismes, transhumanismes, complotismes ? Cet essai l'envisage suivant deux axes psychanalytiques, la pensée de Melanie Klein et celle de Lacan. La théorie kleinienne permet une relecture du passé, des répercussions inconscientes et des répétitions du réel traumatique du o siècle, responsables de cette "perte de soi" des masses modernes annoncée par Hannah Arendt, aux mécanismes de défense responsables de l'emballement maniaque de notre monde. La transformation actuelle de la société vers le tout numérique affecte profondément l'homme, dont la "nature" d'être parlant est menacée dans le XXIe siècle. La " clarté décisive " que Freud espérait ne viendra pas de la science seule mais aussi d'un dialogue entre pensées et civilisations. La voie indiquée par Lacan en fin de son séminaire L'Ethique de la psychanalyse à partir de sa lecture de Mengzi (Mencius), permet un croisement entre pensée freudienne et pensée confucéenne, ce que développe le livre. Il s'agit d'ouvrir à l'antique sagesse chinoise, d'y chercher des passerelles pour élargir la conscience de l'humain et de gagner sur les forces destructrices à l'oeuvre.

05/2021

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Religion

QUE M'EST-IL DONC ARRIVE ? Un trajet vers la foi

Professeur de philosophie en 1968, à Paris, Guy Coq a partagé les rêves d'une génération de " soixante-huitard " : hors de Marx, de Freud et de leurs dérivés, point de salut ! Ce qui est arrivé à Guy Coq, ce n'est pas du tout, comme chez tant d'autres, le rejet de l'idéal de justice sociale et de vérité sur soi-même incarné par le meilleur de ces années folles, mais l'événement inattendu d'une " grâce ", d'un retour - à qui ? Moins à Dieu qu'à un désir de Dieu, dont l'effet premier est de lui redonner une parole perdue dans l'idéologie et les slogans, un désir de vivre plus fortement l'humanité, la sienne et celle d'autrui, le souffle d'un esprit neuf. Il témoigne ainsi d'une façon très intéressante de ce que peut être la foi vécue à l'époque où domine le scepticisme, sans pour autant céder sur la tolérance et le pluralisme. Nous n'avons pas affaire ici au banal récit d'une conversion, mais à une méditation sur la condition spirituelle d'un homme des générations 70 et 80 qui a opéré le grand " retournement " sans renier les espoirs d'émancipation de la décennie précédente.

04/1993

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Essais

Amour et violence. La vie relationnelle en famille

La théorie de l'attachement montre l'influence des relations précoces entre l'enfant et sa figure d'attachement (à savoir la personne qui prend le plus souvent soin de lui) sur l'évolution ultérieure de l'individu. Ces relations laissent une empreinte visible la vie durant sur sa perception de lui-même, des autres et du monde qui l'entoure. L'attachement exerce son influence à long terme et sur tous les domaines de la vie, sociale, relationnelle, psychique, physique, par l'intermédiaire d'un conditionnement des mécanismes du stress, variables selon les individus et le type de relations précoces qu'ils ont connus. Cet attachement est un instinct qui préside au développement de la personnalité, et au câblage du cerveau. Cet ouvrage rassemble huit conférences données par Bowlby peu de temps avant sa mort. Il y présente les principaux axes de sa théorie et ses applications pratiques. Il offre à la fois des conseils sur l'art d'être parent, comme sur celui d'être thérapeute, tout en précisant son inscription dans la lignée des premiers travaux de Freud. Car contrairement à ce que disent certains, la théorie de l'attachement n'est pas incompatible avec la psychanalyse. Tous les psychanalystes des tout-petits peuvent en témoigner.

01/2022

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Sociologie

Au fil du rail. L'Amérique des hobos

1980. Ted Conover est un jeune étudiant en anthropologie de vingt-deux ans lorsqu'il se décide à partager la vie des "hobos", ces sans-domicile itinérants américains. En leur compagnie, il avale des milliers de kilomètres de rail dans des trains de fret, avec pour seul bagage un sac de surplus de l'armée en bandoulière lesté d'un bidon d'eau. Fuyant une vie de confort, il va ainsi parcourir les Etats-Unis quatre mois durant, "brûler le dur" et multiplier les rencontres inoubliables avec ces compagnons de la marge. Vivre avec eux, partager les casse-croûte, les bagarres, les galères et les coups de gueule, et apprendre à se cacher des "bouledogues", ces flics postés à chaque intersection pour expulser les "trimards". Avec une humanité profonde qui fait la peau aux clichés, Ted Conover nous entraîne sur la route. Il nous livre un document historique sur un monde aujourd'hui révolu, mettant des mots sur ces visages qui peuplent l'asphalte, sur la violence, la philosophie et l'esprit de l'errance. A mi-chemin entre Into the Wild de Jon Krakauer et Sur la route de Jack Kerouac, Au fil du rail, reportage inédit en France, est un modèle de journalisme "undercover".

02/2024

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Essais

3 minutes pour comprendre 50 notions-clés de la psychanalyse

Une approche globalisante et pertinente de la psychanalyse Ce livre réalise l'exploit de présenter l'histoire de la psychanalyse, mais aussi son fonctionnement (cure analytique, divan), sans oublier la psychopathologie sur laquelle elle s'appuie (névrose, psychose, perversion) ni sa place dans le traitement des maux de l'âme contemporains ou encore son dialogue incessant avec la culture (littérature, architecture, peinture). Par ailleurs, l'auteure insiste sur l'importance des femmes psychanalystes ou encore sur le rayonnement de la psychanalyse dans le monde, confrontée à différentes cultures. Sept chapitres jalonnent cette réflexion : de la conscience à l'inconscient ; la psychanalyse comme technique ; la psychanalyse comme pratique ; les dissidents ; la psychanalyse dans le monde ; la psychanalyse et les femmes ; la psychanalyse et la culture. Chaque chapitre est introduit par un riche glossaire et se termine par le portrait d'un représentant emblématique : Freud, Lacan, Jung, André Green, Dolto, Zweig, Desreux. Sans prétendre à l'exhaustivité, ce livre se veut avant tout pédagogique. Le lecteur pourra aisément se diriger vers un thème précis de son choix, pour trouver réponse à ses questions, ou alors se laisser porter au fil des 160 pages pour découvrir, comprendre, s'étonner et parfois même s'émerveiller.

11/2023

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Littérature étrangère

Occasions tardives

Alexandr et Christine, Lydia et Zachary partagent une amitié très intime depuis leur rencontre alors qu'ils avaient 20 ans. Trente ans plus tard, Alex et Christine reçoivent un appel bouleversé de Lydia : Zach est mort. Ce décès les touche profondément, les trois amis encore vivants paraissent subitement partir à la dérive : tous s'accordent pour dire que Zach était le plus sain et le plus gentil d'entre eux, celui qu'ils ne pouvaient se permettre de perdre. Plutôt que de les rapprocher, la perte de Zach déforme leur relation, faisant remonter à la surface les enchevêtrements passés, les griefs tus. L'amour et le chagrin qui auraient pu les réunir se transforment en colère et amertume. Occasions tardives explore les entrelacs des relations les plus intimes. Sous la surface des arrangements et compromis de l'existence, reposent d'autres configurations, différentes, insondables, qui, bien que semblant appartenir au passé, demeurent la trame essentielle des amitiés et des amours unissant ces quatre protagonistes. Et quand un fil rompt, tout se détricote, la trame réaffirme sa présence. Naviguant encore une fois entre présent et passé, Tessa Hadley raconte avec délicatesse de quelle manière ces quatre amis demeurent régis, presque malgré eux, par les premiers liens qu'ils ont noués. L'espace que laisse la mort de l'un d'eux bouscule l'équilibre de leur arrangement. Comment le retrouver ?

08/2019

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Islam

De la providence. Enseignements en temps d'épidémie

Ce volume est un extrait du Commentaire du Coran par le grand soufi marocain, Ibn 'Ajîba. Il porte précisément sur la signification spirituelle de la plus célèbre sourate du Coran, la Fâtiha, celle qui ouvre le Livre sacré et qui est récitée quotidiennement à plusieurs reprises lors de chaque prière par tous les croyants dans le monde entier mais souvent sans en comprendre le sens. C'est cette lacune que vient combler ce petit traité. Ce texte est à la fois d'un contenu intemporel et d'une actualité brûlante puisqu'il est constitué par les enseignements d'un sage musulman sur le sens du Destin en période d'épidémie. Les principes qu'ils contiennent sont ceux que son auteur appliqua à sa propre existence alors que le Maroc connut une épidémie de peste. Il s'agit d'accepter le Destin qui module la vie du musulman sans négliger les précautions nécessaires. Ces principes ne mettent d'ailleurs pas à l'abri de la maladie et de la mort mais aident à y faire face et sont un message d'espoir quelle que soit l'issue. Ils se réfèrent essentiellement à l'attitude intérieure à adopter et qui est celle au principe de l'islam : soumission. Comme le dit un maître : "Toute crise représente le rappel à une fin qui ne laisse pas le temps de désespérer ou de se perdre en pensées futiles, mais qui concède toujours le temps d'une invocation, d'une prière où l'on redécouvre notre propre incapacité face au mystère de la Toute-Puissance divine, et où l'on découvre la participation à la protection de Dieu qui prend soin et sauve". Plus qu'un exposé doctrinal sur la question épineuse du Décret divin et de la Prédestination, ce texte se présente avant tout comme un enseignement spirituel, une initiation à la sagesse dans la plus pure tradition du soufisme, suivant la voie contemplative de la confrérie soufie, la Shâdhiliyya. Mais c'est aussi un témoignage de foi vivant, un appel à la vigilance intérieure et à l'ascension du coeur, un message d'espoir nourri par la certitude de la Vie éternelle de l'Au-delà. Le maître y affirme la prééminence de la Toute-Puissance de Dieu, inséparable de Sa Sagesse, qui se manifestent toutes deux sous le voile des apparences, y compris celui de la maladie et de la mort. Il dispense ses enseignements et ses conseils, partage son expérience vécue, face à l'épidémie de la grande peste au Maroc, pour aider le croyant à se plier pleinement aux décrets de Dieu. Car Ibn Ajiba s'inquiète des maladies de l'âme, confusions et déficiences qui peuvent surgir chez le croyant dans ces moments d'épreuves, concernant en particulier l'Unicité absolue de Dieu, la foi dans le Destin, l'acceptation de la mort, la confiance en la Providence. Pour y remédier, Ibn Ajiba préconise "l'éducation à la certitude" , grâce à laquelle le croyant sera élevé progressivement de la connaissance à la contemplation, et jusqu'à la réalisation spirituelle en Dieu. Ce texte d'Ibn Ajiba a bien entendu un écho tout à fait particulier dans le contexte qui est le nôtre, encore marqué par la pandémie du coronavirus apparu à la fin de l'année 2019. Toutefois, l'actualité du texte d'Ibn Ajiba et son principal intérêt ne tiennent pas seulement aux circonstances communes entre son époque et la nôtre, c'est-à-dire celles de l'épidémie, mais dans le fait que les enseignements qu'il véhicule, dans le langage propre à la tradition islamique, sont universels, dans le double sens du terme : parce qu'ils s'adressent au coeur de chacun, et parce qu'ils visent à les orienter justement vers le Dieu Un et Unique. Il en résulte un volume succinct susceptible d'aider les croyants du monde entier et qui donnera à réfléchir et à espérer à tous... Le tout est précédé d'une petite introduction à la vie d'Ibn 'Ajîba lui-même et à ce traité.

02/2023

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Philosophie

Humain. Une enquête philosophique sur ces révolutions qui changent nos vies

L'impossible d'hier est-il devenu le possible d'aujourd'hui ? Produire des cellules artificielles, recomposer l'ADN, transformer nos cerveaux en machines artificielles, voir directement nos pensées sur un écran, réparer notre corps à l'infini grâce aux nanotechnologies jusqu'à repousser la maladie, la vieillesse, puis la mort... s'agit-il de science ou de fiction ? Comment penser ces mutations scientifiques associées à la révolution numérique, à la mondialisation, à l'écologie triomphante, à notre responsabilité planétaire ? Sommes-nous face à une prospective caricaturale ou à une étape nouvelle dans l'histoire de l'humanité ? Pour répondre à ces questions, Monique Atlan et Roger-Pol Droit ont entrepris un tour du monde scientifique dans les laboratoires des chercheurs les plus réputés. Du MIT au Collège de France, de Stanford à Saclay, de Harvard à l'École normale supérieure, à New York, Londres ou Hambourg, leur enquête sans équivalent fournit une boussole irremplaçable et accessible à tous pour identifier les carrefours de pensée et les choix qui nous attendent. Dans ce grand chantier du XXIe siècle, ils font dialoguer les disciplines et confrontent les points de vue pour renouveler cette question philosophique centrale : qu'est-ce que l'humain ? Monique Atlan et Roger-Pol Droit ont interrogé, aux quatre coins du monde, les personnalités suivantes : Jean Claude Ameisen, Henri Atlan, Marc Augé, Zygmunt Bauman, Jean-Michel Besnier, Gérard Berry, Rémi Brague, Michael Braungart, Monique Canto-Sperber, Manuel Castells, Moran Cerf, David Chalmers, Georges Church, Daniel Cohen, Antonio Damasio, Stanislas Dehaene, Philippe Descola, Freeman Dyson, Jean-Pierre Dupuy, Bernard Edelman, Alain Ehrenberg, René Frydman, Francis Fukuyama, Marcel Gauchet, André Green, Jürgen Habermas, Georges Hansel, François Hartog, Françoise Héritier, Jean-Claude Heudin, Christian Jambet, Sudhir Kakar, Étienne Klein, Julia Kristeva, Ray Kurzweil, Pierre-Marie Lledo, Douglas Melton, Jean-Claude Milner, Marvin Minsky, Nicholas Negroponte, Erik Orsenna, Corine Pelluchon, Isabelle Quéval, Joël de Rosnay, Amartya Sen, Richard Sennett, Peter Sloterdijk, Jean-Didier Vincent, Elie Wiesel et Francis Wolff.

01/2012

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Ethnologie

Juives et musulmanes. Genre et religion en négociation

Lieu d’échanges et de conflits, de circulation et de confrontation des hommes, des biens, des savoir-faire, des langues et des idées, la Méditerranée invite à la comparaison des espaces, des temps, des pratiques. Son histoire, faite d’expériences à mettre au jour, incite à mesurer échecs et succès et à apprécier la part de la réalité, de l’utopie, du désenchantement et des anticipations fondatrices. Juives et musulmanes Genre et religion en négociation sous la direction de Lisa Anteby-Yemini Cet ouvrage, issu d’une recherche originale, présente une approche comparative, qui reste encore peu étudiée, sur les pratiques religieuses contemporaines des femmes juives et musulmanes. Chaque chapitre, rédigé «à quatre mains» par un(e) spécialiste du judaïsme et l’autre de l’islam, met en lumière convergences et divergences dans une analyse croisée de thématiques communes ayant trait au féminin. Les textes posent les questions de l’accès des femmes juives et musulmanes à l’espace du culte (mosquée, synagogue) et aux textes religieux (Torah, Coran, Talmud, Hadith), à leur étude et à leur interprétation, donnant lieu à de nouvelles exégèses féminines et à l’émergence de nouvelles fonctions religieuses (imams musulmanes, femmes-rabbins et autres rôles rituels) ; les débats sur le droit de la famille (mariage et divorce) et les stratégies de contournement de certaines normes ; les problématiques liées à la sexualité, la pureté, l’homosexualité féminine, l’avortement et la reproduction médicalement assistée, dans les textes sacrés et les pratiques des femmes dans l’islam et le judaïsme aujourd’hui. Lisa Anteby-Yemini, chargée de recherche au CNRS, Idemec – UMR 7307 (AMU-CNRS), est spécialiste des migrations en Méditerranée – notamment en Israël – et de l’anthropologie du judaïsme. Ont contribué à cet ouvrage : Annie Benveniste, Belkacem Benzenine, Marie-Laure Boursin, Christian Bromberger, Martine Gross, Hanane Sekkat Hatimi, Sandra Houot, Andrew Kam-Tuck Yip, Sonia Sarah Lipsyc, Barbara Peveling, Simona Tersigni, Emanuela Trevisan Semi, Liliane Vana, Nadine Weibel.

01/2015

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Religion

L'illumination des consciences. Des témoins racontent ce qu'ils ont vu et vécu

Cinq témoins, sauvés par le Christ, livrent leur expérience pour nous appeler à la conversion : - Fabienne Guerrero, après avoir expérimenté des pratiques comme la voyance, l'astrologie, la numérologie, le spiritisme, a eu la grâce de se repentir et de faire pénitence. Elle nous raconte son retour des portes de l'Enfer. - L'ange gardien du père José Maniyangat l'a amené en Enfer, au Purgatoire et au Ciel. Sa description est troublante de réalisme et de précisions. C'est un urgent appel à préparer son âme pour l'Eternité. - Gulshan Esther est une handicapée pakistanaise. Jésus s'est révélé à elle alors qu'elle lisait le Coran. Puis elle fut guérie lors d'une apparition du Christ. Depuis, cette femme d'origine musulmane annonce l'Evangile. - Le Colombien Marino Restrepo a vécu toutes sortes de superstitions et pratiques occultes. Lors d'une fête de Noël, à l'invitation de sa soeur, il demande au Bébé de la crèche de changer sa vie. Quelques jours après, des ravisseurs l'enlèvent et l'enferment dans une caverne où dans sa détresse, il fait l'expérience de l'amour de Dieu : il s'en sort miraculeusement saint et sauf et quitte ses mauvaises pratiques. - Après avoir été foudroyée sur un campus universitaire, Gloria Polo voit la place qui lui était destinée : c'est l'Enfer qui l'attendait à cause de sa vie dévoyée. Miraculeusement revenue à la vie, Jésus la sauve. Il lui demande aujourd'hui de témoigner dans le monde entier que seule, la pratique des lois de l'Evangile et des sacrements mène au Ciel. Ces récits, particulièrement passionnants, font découvrir au lecteur l'importance de bien nourrir son âme tous les jours de la Parole de Dieu. En lisant leurs expériences surnaturelles, on réalise à quel point il est important de recevoir les sacrements, d'écouter la Parole de Dieu, d'étudier les dix commandements et de les mettre en pratique.

11/2015

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Auto-apprentissage

Méthode d'arabe. Arabe litéral - volume 1

La langue qu'enseigne cet ouvrage est l'arabe moderne, langue nationale de tous les pays membres de la Ligue arabe, très proche des registres classiques du Coran et de la littérature médiévale. Ce premier volume est consacré à l'arabe littéral, utilisé partout à l'écrit (littérature, presse, correspondance, écriteaux et panneaux...) et dans certains contextes à l'oral (radio, télévision, discours, conférences). La présente méthode est conçue pour initier le plus rapidement possible à la langue arabe des étudiants dans le cadre d'un enseignement universitaire. Elle s'adresse également à l'apprenant autodidacte et lui donne tous les éléments pour progresser en autonomie. Presque toute la production arabe écrite se présente sans les voyelles brèves. Cette méthode est conçue pour permettre au débutant de se familiariser en douceur avec cette réalité. L'apprentissage de la lecture sans voyelles est un des buts essentiels de cette méthode, qui propose l'acquisition progressive des différents schèmes de la langue. L'importance conférée à l'oral est marquée par de nombreux dialogues destinés à rendre l'apprentissage plus vivant et spontané. Cet apprentissage est soutenu par le matériel sonore : enregistrement de tous les textes, corrigé des exercices de lecture et d'expression orale (à écouter directement dans le livre par QR codes et aussi à télécharger gratuitement). On trouve en ?n d'ouvrage les textes vocalisés, un lexique français-arabe et un lexique arabe-français, un index grammatical et un tableau des formes verbales. Niveaux A1 et A2 du Cadre Européen commun de référence en langue (C.E.C.R.L.) Le volume 2 (niveaux B1 et B2) est en préparation ainsi que les fascicules dialectaux suivants : " Méthode d'arabe - arabe marocain ", " Méthode d'arabe - arabe syro-libanais ", " Méthode d'arabe - arabe tunisien ", " Méthode d'arabe - arabe koweïtien ". Tous ces ouvrages ont pour auteur Luc-Willy Deheuvels avec le concours des différents enseignants concernés à l'INALCO.

02/2022

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Musées français

Musée des arts décoratifs Palais Rohan

La nouvelle collection de guides souvenirs des Musées de Strasbourg à destination du grand public. Imaginés par Loran Stosskopf, directeur artistique de Télérama et designer des City-guides Phaidon, ils offrent en une centaine de pages le best-off des collections strasbourgeoises complété par des parcours thématiques et des anecdotes sur l'histoire des oeuvres. Le Palais épiscopal de Strasbourg, une des plus belles réalisations architecturales du XVIIIe siècle français, tant par l'élévation noble et classique de ses façades que par ses somptueux décors intérieurs, est l'aboutissement de la rencontre de deux personnalités exceptionnelles : le cardinal Armand-Gaston de Rohan-Soubise, prince-évêque de Strasbourg et brillant homme de cour d'une part, en tant que commanditaire : Robert de Cotte, Premier architecte du roi, d'autre part, en tant que maître d'oeuvre. Au sommet de la gloire lorsqu'il donne les plans du palais strasbourgeois, Robert de Cotte répond aux voeux du prince en créant une oeuvre magistrale unissant la dimension ecclésiastique, politique et mondaine de la fonction de prince-évêque, dans le sens où l'entendait le XVIIIe siècle, en un même édifice à la gloire de la Maison de Rohan. Au lendemain de la Révolution, le Palais devient résidence impériale et royale pour entrer, après 1870, dans une ère nouvelle, celle des musées. Outre la visite des appartements (salles de réception, bibliothèque et chambres privées), le public peut y découvrir aujourd'hui de splendides collections d'art décoratif témoignant de l'âge d'or de l'artisanat strasbourgeois (de 1681 au milieu du XIXe siècle) : céramique Hannong de renommée internationale, mobilier, horlogerie, ferronnerie et orfèvrerie. Le lecteur trouvera dans ce guide un souvenir de sa visite des appartements, un best-off commenté des collections d'arts décoratifs, ainsi qu'un certain nombre d'entrées thématiques qui lui permettront de mieux se représenter la vie dans le Palais au XVIIIe et XIXe siècles.

02/2021

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Sociologie

La Marianne Voilée

En parlant de la femme voilée, on fait référence à l'Islam. Les deux vont de pair et cela prend tout son sens spirituel. Les femmes se voilent pour Dieu. Pour le comprendre il faut se référer aux versets du Coran. Le voile de nos jours en France, c'est un sujet tabou. Son interdiction dans les lieux publics est la conséquence de nombreux préjugés qui entoure le port du voile. Votée en 2010, la loi interdit de revêtir en public une tenue dissimulant le visage. Le port du voile en tant que signe religieux n'est interdit qu'au sein de l'école. Début octobre, l'Opéra de Paris a demandé à une spectatrice qui arborait un voile clair sur la bouche et le nez de quitter les lieux en pleine représentation. Cette première a poussé le ministère de la Culture à préparer une note rappelant les dispositions prévues par la loi de 2010 interdisant le voile intégral dans les lieux publics. Il est interdit de "dissimuler son visage" dans l'espace public. La loi du 11 octobre 2010, parfois appelée loi sur la burqa, interdit de "dissimuler son visage" dans l'espace public, notamment à l'aide d'un masque, d'une cagoule ou d'un voile islamiste intégral. Est concerné la burqa - qui cache entièrement le corps, y compris les yeux derrière un tissu à mailles - et le niqab - qui couvre le visage pour n'en montrer que les yeux. Ici, ce n'est pas le signe religieux qui est mis en cause par le législateur, mais bien la dissimulation du visage qui en découle. Le "hijab" (qui masque la chevelure mais laisse le visage dégagé) ne rentre donc pas dans le champ d'application de cette mesure. Cette loi a été validée en juin dernier par la Cour européenne des droits de l'homme qui a estimé dans un arrêt que "la préservation des conditions du "vivre ensemble" était un objectif légitime" des autorités françaises, qui disposent à cet égard d'une "ample marge d'appréciation" .

06/2017

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Droit

L'enfant en droit musulman (Afrique, Moyen-Orient). Actes du colloque du 14 janvier 2008

Le Coran, éclairé par la Sunna, est la source du droit qui s'applique à tous les musulmans. Mais peut-on en conclure qu'il y a un droit musulman qui s'imposerait à tous, immuable et intangible ? Les législations des pays les plus représentatifs de l'Afrique et du Moyen-Orient concernées par cet ouvrage adoptent des solutions juridiques différentes et parfois même opposées, notamment dans le domaine si sensible du statut de l'enfant : filiation - filiation légitime ou naturelle, adoption, kafala, ou même filiation par allaitement -, garde de l'enfant, droits de la mère, situation de l'enfant dans une famille brisée, dans un couple mixte, âge de la responsabilité pénale, ou du mariage, condition des filles, protection des enfants au travail, des enfants victimes de maltraitance, ou des mineurs délinquants. La référence expresse à la loi islamique dans le système juridique des États est essentielle en Iran, prépondérante en Egypte, importante en Algérie ou au Maroc, ambiguë en Tunisie, limitée au Liban et inexistante au Mali et au Sénégal qui sont des États laïcs. En effet, l'interprétation des sourates ou des hadiths varie selon les écoles de droit musulman, chiite ou sunnite, malékite ou hanéfite, le mouvement actuel de codification conduit à une étatisation du droit, la place faite aux traditions et aux coutumes locales, parfois très dures pour les filles, atténue le caractère sacré du statut personnel, et la ratification des Conventions internationales modifie la perception de la condition de l'enfant. La Loi est énoncée dans le texte sacré mais elle est reçue par des hommes, imparfaits, ondoyants et divers qui. pour la comprendre, doivent faire appel à la raison et à leur coeur. Les législations nationales doivent-elles prendre à la lettre les règles coraniques ou doivent-elles engager une réflexion moderne sur le droit de l'enfant dans la société actuelle en s'attachant à rechercher l'esprit de la religion : l'amour et la protection des faibles, et en premier lieu de l'enfant ?

10/2008

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Littérature française

Une nuit à Aden Tome 2

"Soudain, le fil de mes pensées cesse quand, dans l'obscurité, je perçois au loin comme le bruit d'un moteur, arrivant de nulle part ; il semble provenir du fin fond de cette nuit : c'est un son aussi fin que le soupir de la nuit si elle pouvait respirer. Il y a que je n'ai plus besoin de tendre l'oreille pour écouter la nuit profonde. De mes mois de captivité et d'isolement, j'ai appris à domestiquer les bruits du silence, à soupeser l'air de ma prison ; et je le sens cette nuit-ci plus léger ; ou est-ce mon corps qui est plus lourd à l'approche de la mort ? Oui ! l'idée me passe dans l'esprit que ce bruit peut plus facilement transpercer l'atmosphère si fine de cette nuit ; c'est celui d'un moteur très au loin, et je l'entends à ne point s'y méprendre. Je me tourne vers la sentinelle : elle dort toujours." Ce roman, en deux tomes, à l'intrigue palpitante d'émotion, raconte la jeunesse d'un Palestinien qu'un destin étonnant et une histoire d'amour hors norme conduisent à la découverte de lui-même, de sa conscience, et de sa relation avec les religions de son enfance, l'islam et le christianisme. Par une introspection à la fois insolite et spirituelle, il nous décrit comment les élans de la divine Providence le mèneront d'Alexandrie à New York, puis Sanaa, Aden, Djibouti, et enfin, Paris. Il est né musulman, certes ; mais sa raison défie cette réalité et son coeur refuse de le suivre. Il réalise peu à peu que cette religion à laquelle il se croyait enchaîné, occulte en fait la vraie nature de ce rite à l'emprise implacable sur un milliard et demi de fidèles... Un récit captivant. Une réflexion morale et spirituelle sans concession. Une lecture de rigueur pour comprendre le rôle du Coran au XXIe siècle et son emprise sur la pensée islamique confrontée à la vie moderne.

06/2018

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Littérature française

Une nuit à Aden Tome 1

"Mon père pensait qu'on "naissait musulman" et qu'être musulman était un statut qui dépendait du Tout Puissant uniquement. Et comme pour se soumettre à ses propres certitudes, il s'était convaincu que l'Islam était irréversible en ce qu'il l'emportait sur quelque autre religion ; il était de ceux pour lesquels l'Islam ne se limitait pas au seul culte, entretenant l'idée qu'être musulman préemptait pour ainsi dire tout autre choix de conscience. Pour lui, le christianisme ne serait qu'un avatar illégitime de son propre héritage, puisqu'il était désormais représenté par la religion vraie et transcendante qu'était l'islam. Sa suprématie sur les autres religions ou civilisations, et cette sorte d'inviolabilité du statut de musulman, semblaient d'ailleurs apaiser ses craintes : elles étaient censées me protéger de toute manoeuvre rusée de la part de ma mère. "Ce roman, en deux tomes, à l'intrigue palpitante d'émotion, raconte la jeunesse d'un Palestinien qu'un destin étonnant et une histoire d'amour hors norme conduisent à la découverte de lui-même, de sa conscience, et de sa relation avec les religions de son enfance, l'islam et le christianisme. Par une introspection à la fois insolite et spirituelle, il nous décrit comment les élans de la divine Providence le mèneront d'Alexandrie à New York, puis Sanaa, Aden, Djibouti, et enfin, Paris. Il est né musulman, certes ; mais sa raison défie cette réalité et son coeur refuse de le suivre. Il réalise peu à peu que cette religion à laquelle il se croyait enchaîné, occulte en fait la vraie nature de ce rite à l'emprise implacable sur un milliard et demi de fidèles... Un récit captivant. Une réflexion morale et spirituelle sans concession. Une lecture de rigueur pour comprendre le rôle du Coran au XXIème siècle et son emprise sur la pensée islamique confrontée à la vie moderne."

06/2018

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Philosophie

Penser l'Islam

Depuis son "Traité d'athéologie", nul n'ignore que Michel Onfray n'est pas l'ami des religions - qu'il considère, en homme des Lumières, comme des maladies propices à la haine, au fanatisme, à la négation des corps. Evidemment, l'Islam ne fait pas exception à cette critique radicale - au contraire. Il a donc accepté, dans ce livre, de répondre aux questions d'Asma Kouar, jeune journaliste algérienne - qui ne le ménage pas. Or, Michel Onfray a lu le Coran. Et il l'a lu de très près. De telle sorte qu'il ne craint pas d'y percevoir - comme dans les autres monothéismes - de fréquentes apologies de la violence et de la guerre. Citant de nombreuses sourates, confrontant les interprétations, il place les musulmans devant la réalité d'un texte qui, à côtés de ces élans sublimes, fait également la part belle à la cruauté, à la haine des femmes, à l'esprit de conquête. Puisque le retour du religieux, en occident, a pris désormais le visage de l'Islam, c'est à celui-ci, à son texte sacré, et aux conséquences de ce texte sacré - voire à ce que d'aucuns tiendraient pour de "l'islamophobie" - qu'il consacre ici sa réflexion. Ce dialogue est suivi par un texte intitulé "Puissance et décadence" - et sous-titré : "essai d'éthologie planétaire". Dans ce texte, porté par un souffle puissant qui n'est pas sans évoquer celui des grandes philosophies de l'histoire à la Toynbee ou Spengler, Michel Onfray médite sur l'Europe et son destin. Car, née chrétienne, l'Europe, selon lui, est entrée dans une phase de décadence irrésistible au profit de la seule force vitale et véritablement guerrière : l'islam. Avec une argumentation très semblable à celle de Michel Houellebecq dans Soumission, Michel Onfray analyse froidement le renoncement européen à ses propres valeurs. Et émet l'hypothèse (promise à de nombreuses polémiques) de son agonie au profit de ceux qui, à l'opposé, sont prêts à mourir pour leur foi.

03/2017

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Bibles

La Genèse. Le premier livre de la Bible

Le Livre de la Genèse est le premier livre de la Bible. Ce texte est fondamental pour le judaïsme et le christianisme. Récit des origines, il commence par la création du monde, oeuvre de Dieu, suivie d'une narration relatant la création du premier couple humain. Adam et Eve, forment ce premier couple mais désobéissent et sont exclus du jardin d'Eden. Ils ont une descendance, mais Dieu considérant que les humains sont malfaisants, il regrette de les avoir créés et décide de les détruire par le Déluge. Seuls Noé, considéré parfait, ainsi que sa famille, sont sauvés. Plus tard, Dieu différencie les langues et disperse l'humanité sur la surface de la Terre, lors de l'épisode de la tour de Babel. L'essentiel de la Genèse est ensuite consacré aux cycles d'Abraham, un nomade arrivé dans le pays de Canaan sur injonction divine, de Jacob, dont la plupart des aventures ont pour cadre le nord du pays, et de ses fils parmi lesquels domine Joseph. La Genèse est anonyme, tout comme les autres livres de la Torah (Pentateuque). Les traditions juive et chrétienne l'attribuent à Moïse, mais les recherches exégétiques, archéologiques et historiques tendent, au vu des nombreux anachronismes, redondances et variations du texte, à remettre en cause l'unicité de son auteur. Ainsi, la Genèse représente, pour l'exégèse historico-critique du xxie siècle, la compilation d'un ensemble de textes écrits entre les viiie et iie siècles av. J. -C. Pour cette raison, entre autres, l'historicité de son contenu est aussi mise en question. La Genèse est largement commentée par les rabbins et par les théologiens chrétiens. Avec l'avènement de l'islam, ses personnages font l'objet de multiples interprétations dans le Coran et ses commentaires. De nos jours, certains fondamentalistes, surtout dans des églises évangéliques, défendent l'idée du créationnisme, une théorie qui s'appuie sur une lecture littérale de la Genèse, qui serait historiquement et scientifiquement valable. Cependant, cette position est rejetée par l'ensemble des scientifiques et par d'autres autorités religieuses.

04/2023

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Beaux arts

Sorolla - spanish master of light

Les oeuvres de bravoure impressionnistes du premier peintre espagnol d'il y a un siècle, présentées et explorées en détail par une équipe internationale de spécialistes de renom Joaquín Sorolla y Bastida (1863-1923) était le peintre espagnol le plus en vue de son époque, célèbre dans le monde entier alors que Picasso luttait encore pour se faire un nom. Ce livre somptueusement illustré retrace la carrière de Sorolla chez lui et à l'étranger, en se concentrant sur plus de 60 toiles. Celles-ci incluent des portraits, des paysages, des baigneurs et des paysages marins pour lesquels il est le plus célèbre, ainsi que des scènes de genre de la vie espagnole. Ses premières oeuvres monumentales ont établi la réputation de l'artiste en tant que réaliste social sans faille. En envoyant des images stratégiques lors d'expositions majeures à travers l'Europe, Sorolla a représenté des paysans, des pêcheurs et des fabricants de voiles en train de fouiller de maigres existences ; les jeunes femmes contraintes à la prostitution et des orphelins handicapés nus. La technique impressionniste avait rarement été utilisée à des fins aussi provocantes. Alors que Sorolla a trouvé une riche clientèle au tournant du XXe siècle, il s'est concentré sur les scènes ensoleillées de loisirs et de sociabilité élégante : de belles femmes flânent dans des stations balnéaires à la mode et des enfants gambadent au bord de la mer. Des éminents spécialistes proposent un bilan contemporain de son parcours et explorent les relations de Sorolla avec les peintres de bravura les plus célèbres du moment, notamment John Singer Sargent et l'artiste suédois Anders Zorn. La chronologie illustrée de Blanca Pons Sorolla, arrière-petite-fille de l'artiste, fournit des informations supplémentaires.

03/2019

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Critique littéraire

Correspondance (1945-1959)

L'amitié entre Albert Camus et Nicola Chiaromonte (1905-1972) est née "d'un rapport humain des plus beaux et vrais : l'hospitalité". Le jeune Camus, qui vient d'achever la rédaction de ses "trois Absurdes", se lie à l'intellectuel italien exilé lors de son passage à Oran au printemps 1941. Militant antifasciste et anticommuniste, ami d'Alberto Moravia et d'Andrea Caffi, Nicola Chiaromonte s'apprête alors à rejoindre les Etats-Unis pour quelques années. A New York, en lisant le Mythe de Sisyphe et L'Etranger, il se découvre une profonde parenté d'esprit et de préoccupation avec l'écrivain français. C'est après Hiroshima que l'intellectuel italien, ayant lié d'étroites relations avec la gauche anticonformiste américaine en prenant part à la fondation de la revue pacifiste politics, suscite la collaboration intellectuelle de son ami français, désireux de nourrir avec lui un nécessaire "commerce social". Cette complicité amicale échappe, dans l'esprit des deux hommes, à l'autorité de l'Etat et des partis. De cet effort partagé naîtront des communautés de réflexion, en particulier les Groupes de liaison internationale, fragiles "flots de résistance" contre la déferlante des idéologies et la restauration des dictatures. Cette correspondance croisée, réunissant quelque quatre-vingt-dix lettres inédites, restitue l'exigence et la fraternité de ce dialogue vécu sous le mode de l'urgence : "Nous sommes comme des témoins, écrit AlbertCamus, en passe d'être accusés. Mais je ne veux pas vous laisser croire que je manque d'espoir. Il y a certaines choses pour lesquelles je me sens une obstination infinie." Il n'y a pas à distinguer ici entre la recherche de la vérité et la chaleur de l'amitié.

06/2019

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Sciences historiques

Les consistoires israélites d'Algérie au XIXe siècle. L'alliance de la civilisation et de la religion

En 1845, la France dote les communautés juives d'Algérie de nouvelles institutions : un Consistoire israélite algérien siégeant à Alger et deux consistoires provinciaux, à Oran et à Constantine, sont créés par une ordonnance royale. La mesure a été réclamée par le Consistoire central des israélites de France. Celui-ci souhaite appliquer aux judaïcités algériennes le programme de régénération religieuse, sociale et culturelle qu'il prétend mettre en ouvre en métropole. Le projet de rendre les juifs « indigènes » citoyens français, envisagé dans un premier temps par le gouvernement, est finalement repoussé à un avenir lointain. Totalement étrangers au judaïsme maghrébin, les consistoires vont-ils marquer durablement de leur empreinte les communautés juives algériennes ? Peu nombreux et mal accueillis par leurs coreligionnaires africains, les rabbins alsaciens envoyés par le Consistoire central sont-ils en mesure de mener à bien leur « mission civilisatrice » ? Comment les élites locales qui siègent à leurs côtés s'approprient-elles les nouvelles institutions communautaires ? Quelle place est laissée aux rabbins « indigènes » ? Comment les dirigeants des consistoires font-ils face à la crise anti-juive qui culmine en 1898 dans la colonie ? Autant de questions auxquelles répond ce livre qui retrace, à travers l'histoire des consistoires, les étapes de la modernisation des sociétés juives algériennes de 1830 à la veille de la Première Guerre mondiale. Agrégée de lettres classiques, docteur en histoire, Valérie Assan a contribué à plusieurs livres collectifs sur l'histoire des juifs de France et d'Afrique du Nord. Cet ouvrage est issu de sa thèse, soutenue en 2010 à l'Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, et récompensée en 2011 par le Prix de thèse d'études juives en langue française de la Société des études juives.

06/2012

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Religion

Là où se posent les vraies questions. Lettres familiales 1975-1981

En 1975, au moment où commence ce troisième volume de la correspondance familiale de Pierre Claverie, la situation de l'Eglise en Algérie semble hypothéquée. Notre-Dame d'Afrique à Alger, la basilique Saint-Augustin à Hippone, et la basilique de Santa-Cruz à Oran ont été occupées. Bientôt, seront posés des scellés sur la bibliothèque des Glycines, ce centre que dirige Pierre Claverie et où les Algériens n'auront plus le droit de suivre des cours d'arabe. La Revue de Presse, revue dite "subversive", sera interdite... Mais à côté de ces défis posés à l'Eglise par une certaine Algérie politique et administrative et par une société en lutte avec ses propres contradictions, il y a aussi beaucoup de soutien de la part des Algériens eux-mêmes. Pour Pierre Claverie, qui analyse et décrit les transformations à l'oeuvre dans la société algérienne et dans la communauté chrétienne, l'idée de vivre, de travailler, et de contribuer au développement d'une société qui se cherche est très attrayante. C'est pourquoi, au centre de ce troisième volume se pose la question du destin de Pierre Claverie. Où est sa place ? Va-t-il pouvoir rester en Algérie comme il le désire ? Vu de l'extérieur, notamment des milieux religieux de Rome, du Caire et de Paris, ce pays ne semble pas peser bien lourd dans la balance : il semble donc évident que Pierre Claverie quittera l'Algérie, appelé par son Ordre, pour apporter son aide au couvent du Caire, associé à l'Institut dominicain d'études arabes (IDEO) ou élu, en France, comme prieur provincial des dominicains. Pierre lutte contre ces tentations et tentatives de l'envoyer ailleurs. Il aime cette Algérie si différente de celle de son enfance. Il entend se donner à elle.

04/2012

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Littérature française

Norma. Ou l'Exil infini, roman

L'amour et l'exil, ces deux thèmes chers à Emmanuel Roblès les voici renouvelés, entrelacés dans une intrigue menée de main de maître, convergeant autour de la figure de Norma, dont le mystère, peu à peu révélé, éclaire tout le livre. Charles, un jeune professeur parisien, aime les femmes avec l'ardeur d'un tempérament généreux. Mais elles ne sont pas pour lui des proies : il ne sera jamais un séducteur cynique. Mathilde qui le poursuit, le relance, voudrait le noyer de plaisir, le champagne et les larmes ; la très jeune Lucienne qui s'offre à lui avec une impudeur touchante, il sait leur résister. C'est Béatrice seule, il l'a pressenti dès leur première et dramatique rencontre, qui comblera ces deux élans chez lui inséparables : celui des sens et celui du coeur. Du côté de l'exil, voici Reyes que Charles aide dans ses recherches sur les civilisations amérindiennes. Il a quitté son pays, l'Argentine, et la dictature qui y sévit. Malgré les épreuves physiques et morales, il fait face à son destin sans se plaindre, solitaire, hautain. De Norma, son épouse demeurée en Argentine, il ne parle jamais que par allusions sèches. C'est par d'autres exilés argentins - Altamirano, le brave ; Carmen, rescapée de la prison et de la torture - que Charles apprendra, avec une fascination grandissante, qui a été Norma, quel rôle elle a joué auprès de Reyes et jusqu'où peut aller l'amour d'une femme quand il est infini. Emmanuel Roblès, pied noir d'Oran et d'origine espagnole, a publié l'essentiel de son oeuvre au Seuil. Il a connu pour ses romans un succès international et de nombreux prix (dont le Femina). On joue encore ses pièces de théâtre. Il a écrit Les Hauteurs de la ville, juste après la seconde guerre mondiale.

03/1988

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Histoire internationale

Algérie, histoires à ne pas dire... Le film choc interdit en Algérie : scénario, réactions, polémiques

Algérie, histoires à ne pas dire... En 1962, l'Algérie devient indépendante. Quasiment tous les non-Musulmans quittent l'Algérie : l'un des plus importants déplacements de population dans l'histoire de l'Humanité. Pourquoi l'Algérie n'a-t-elle pas réussi à être aussi fraternelle ? La cohabitation avec les Musulmans y avait-elle été impossible ? Cette triste fin n'avait-elle été que l'effet d'une panique, des violences extrêmes de fin de guerre ? Quatre Algériens en quête de vérité reviennent sur les mythes fondateurs de l'Algérie nouvelle et des crimes cachés de cette "guerre de libération" qui fut aussi une guerre d'épuration (ethnique)" : oLes massacres à El Halia (Philippeville), le 20 août 1955 oLes attentats à la bombe et la Bataille d'Alger (1956-1957) oL'assassinat du chanteur juif Raymond Leyris à Constantine, le 22 juin 1961 oLes massacres à Oran, le 5 juillet 1962. "La parole qui se dit là, libre, mouvementée, chahutée et ballottée par l'Histoire ou par des retrouvailles souvent douloureuses avivant les plaies familiales, cette parole-là est essentielle. Nous n'avons pas souvent l'occasion ou la chance de l'entendre venant d'Algérie. C'est ce qui fait le prix et l'importance du film de Jean-Pierre Lledo, à voir coûte que coûte. " (Serge Toubiana, Directeur de la Cinémathèque française) Jean-Pierre Lledo est né en 1947 à Tlemcen. Algérien depuis le 6e siècle avant l'ère commune, par ses ancêtres maternels juifs, et depuis 1848, par les paternels catalans. A la suite de menaces islamistes, Jean-Pierre Lledo a dû quitter l'Algérie en 1993. Depuis, il a réalisé plusieurs films documentaires liés aux réalités multiethniques de l'Algérie d'avant 1962, mémoires refoulées par l'histoire officielle.

01/2011

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Sociologie

Les traversées migratoires dans l'Algérie contemporaine. Africains subsahariens et Algériens vers l'exil

Les migrations internationales occupent une place de plus en plus importante dans l'espace public ; pourtant, les expériences vécues par les migrants restent traitées sur le mode de la dramatisation, voire du misérabilisme, ou alors selon des critères sécuritaires qui relèvent de la raison d'Etat ou de sentiments xénophobes. Les figures qui se dégagent de ces représentations font des exilés soit des victimes, soit des menaces. En revenant sur les conditions des migrations irrégulières vers et à partir de l'Algérie, cet ouvrage vise à rendre aux exilés l'expérience de l'exil. Soutenu par des enquêtes ethnographiques menées auprès de migrants subsahariens et d'émigrants algériens, l'auteur cherche à rendre compte des mobilités humaines traversant l'Algérie contemporaine. Ces migrations se déroulent aux marges de la société algérienne : soit elles y placent les exilés subsahariens, soit les exilés algériens en proviennent. Ces marges donnent à voir les modalités par lesquelles se constituent les filières migratoires - faites de routes, de carrefours et d'impasses -, les formes d'institutionnalisation des réseaux, l'économie informelle de ces mobilités ou encore les carrières des migrants et des demandeurs d'asile. Habiter, travailler, coordonner les passages, contourner les frontières, organiser la survie, assurer la solidarité représentent les principales tâches réalisées par les communautés étudiées. Le Maroc (Rabat, Oujda) et surtout l'Algérie (Alger, Annaba, Oran, Maghnia, Tamanrasset) sont le théâtre de ces migrations. C'est depuis la perspective des discours, des récits, des anecdotes des exilés que se construit cet ouvrage. Les traversées des migrants et des demandeurs d'asile subsahariens, croisées avec celles des émigrants algériens, permettent de pénétrer le monde et l'imaginaire des exilés. Loin de n'être que des "passagers clandestins", les exilés contribuent aux économies, aux cultures et aux sociétés qu'ils découvrent.

05/2016

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Algérie

Enquête sur le nationalisme algérien, 1926-1954. La méthode, les lieux et les hommes

Omar Carlier vient de nous quitter en laissant un ouvrage remarquable, Enquête sur le nationalisme algérien 1926-1954, issu des trois premiers volumes de sa thèse d'Etat soutenue en 1994 sous la direction de Jean Leca - les volumes IV et V ayant été publiés en 1995 par les Presses de Sciences Po, sous le titre Entre Nation et jihad. Histoire sociale des radicalismes algériens. "A l'origine de ce travail, une question apparemment toute simple : quand, où, comment et pourquoi le mouvement pour l'indépendance de l'Algérie, ou mouvement indépendantiste, est-il venu à l'existence... " . Partant d'Oran, il a parcouru, seul ou avec son épouse, toute l'Oranie et a continué son périple vers la Kabylie, l'Est algérien, allant jusqu'au Mzab, à la recherche de militants de l'Etoile Nord-Africaine. Il retrouve plusieurs des fondateurs de l'ENA dont ses principaux dirigeants. Dans ses interviews et ses enregistrements il nous raconte ses pérégrinations et ses rencontres. "Saisir de nouveaux indices, renforcer la critique croisée des sources, explorer de nouvelles pistes" , pendant prés de vingt ans, l'auteur n'a cessé de "réajuster progressivement la configuration et la problématique" . C'est en partie un tableau des oubliés du mouvement national, avec leur richesse humaine, y compris des militants de l'émigration. Les conclusions de son travail nous font apparaître les ressemblances et les différences entre les organisations comme l'ENA, le PPA et le MTLD, établissant aussi les divergences entre Imache et Messali qui ne sont nullement l'expression d'un conflit entre Arabes et Kabyles. Les rapports entre "Etoilistes" et communistes n'étaient pas aussi conflictuels tels que rapportés plus tard. L'enquête d'Omar Carlier concerne tous ceux - étudiants, enseignants, chercheurs, journalistes, militants, hommes politiques ou de culture - qui s'intéressent à l'Algérie.

10/2022

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Critique littéraire

Demeures de l'esprit. Suède

Poursuivant son grand panorama européen des maisons d'artistes, de compositeurs, d'écrivains, de penseurs et de savants, considérées connue un moyen d'accéder à l'intimité des cultures, des peuples et des civilisations, Renaud Camus, après le Danemark et la Norvège, la Grande-Bretagne, l'Irlande et la France, aborde la Suède, pays qui se distingue, malgré la vastitude géographique et les distances, par une grande homogénéité : presque tous les personnages de son panorama appartiennent grosso modo à la même époque, la deuxième moitié du XIXe siècle et la première du XXe. Sauf exceptions princières ou bohèmes, ce ne sont ni de grands seigneurs dans des châteaux ni des artistes maudits dans des galetas. Ils habitent de plaisantes maisons de campagne, souvent très représentatives de leur art, et ils appartiennent à la même société. La plupart se sont étroitement connus, ce qui permet a l'auteur, selon uni jeu de récurrences des noms et des figures, de brosser par le biais des habitations le tableau d'une littérature, d'une vie artistique et de l'esprit d'un peuple. En revanche, les différences sont grandes dans les degrés de célébrité internationale : si tout le monde connaît les noms de Strindberg, de Linné, d'Alfred Nobel ou de Selma Lagerlöf, voire, prix Nobel aidant, ceux de Verner von Heidenstam ou d'Erik Axel Karfeldt, le public français aura plus vraisemblablement l'occasion de découvrir ou de redécouvrir ici, outre le grand poète Gustaf Fröding ou le mémorialiste thaumaturge Axel Munthe, un peu oublié malgré son succès mondial, des peintres comme Anders Zorn ou Bruno Liljefors, Bror Sahlström ou Carl Larsson, adoré dans sou pays, des compositeurs tels qu'Alfvén ou Peterson-Berger, des sculpteurs, un médecin, un caricaturiste, des militantes féministes et même un fondateur de dénomination religieuse, le pittoresque Laestadius, père du laestadianisme, en sa lointaine Laponie.

06/2011

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Policiers historiques

Les Feux du Talion

En ce printemps de l'année 1971, un inconnu venu des forêts lointaines de l'Amazonie sème la mort aux quatre coins de la France. Ses crimes semblent toujours obéir à un même rituel car ses victimes, de jeunes adolescents, périssent toutes par le feu : tel supplicié trouvera une fin horrible sur une barque embrasée dérivant sur la Seine, un autre grillera entre des grumes de bois exotiques sur un môle du port de La Pallice, un troisième mourra entre les boiseries d'un confessionnal, au coeur d'une abbaye médiévale... L'inspecteur Abel Heme, secondé par son vieil ami Alberto Amatt, est chargé de l'enquête. Les deux hommes doivent découvrir l'identité du tueur afin de l'empêcher de finir son oeuvre funeste. Pour cela, ils devront remonter le temps et interroger le passé sanglant de l'année algérienne de 1962. En effet, les racines de ce drame remontent aux derniers soubresauts de la lutte entre les nationalistes français et le FLN aidé par l'Etat français. La tâche sera ardue car Helme et Amatt seront confrontés à un génie du crime qui semble avoir tout prévu jusque dans les moindres détails. Et la mission est d'autant plus complexe que le criminel ne paraît pas animé par de vils desseins, son objectif est au contraire teinté par la puissance d'une vision idéale de la justice... Né à Oran en 1948 dans une famille espagnole, Andrès Serrano a connu l'exode de 1962 avant de s'installer en France avec sa famille. Musicien professionnel, il est devenu professeur d'histoire à 38 ans. Son premier roman, In fine mundi, a reçu le prix Historia du polar historique en 2022.

05/2023

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Montagne

Derrière la montagne. La face cachée du tableau

Rencontre au sommet entre la bande dessinée et la peinture de montagne : les cadavres exquis des dessinateurs d'aujourd'hui redonnent vie aux oeuvres alpines des grands peintres classiques. La montagne a largement inspiré les peintres des XIXe et XXe siècles, et si leurs oeuvres continuent de nous impressionner, elles ont également trouvé un écho chez des artistes majeurs d'aujourd'hui. Derrière la montagne - La face cachée du tableau propose une synthèse de deux univers passions de la maison Glénat : vingt-sept dessinateurs ont "interprété" vingt-huit tableaux appartenant au Fonds Glénat, à des collectionneurs privés ou aux grands musées alpins. Selon leur fantaisie, leurs références, leurs préoccupations, ils se sont approprié l'envers du décor et ont imaginé ce qui s'est passé avant, pendant, après la scène représentée. Que la montagne leur soit familière ou étrangère, ils ont retrouvé les thèmes traditionnels de son imagier : alpinistes en péril, avalanches, troupeaux et bestiaire fantastique, tempêtes et ciels radieux, refuges et chaumières pittoresques, torrents et glaciers et les ont abordés souvent avec humour, parfois avec pessimisme, toujours avec délectation. Les peintres d'hier à l'honneur sont Charles BERTIER, Eugène Victor BOURGEOIS, Edouard BRUN, Gustave DORE, Emile GODCHAUX, Laurent GUETAL, Jean Baptiste Louis GUY, Ernest Victor HAREUX, Paul HELBRONNER, Johan Barthold JONGKIND, Johann WILHELM, Julius KÖHNHOLZ, Karl-Joseph KUWASSEG, Peter Vilhelm Carl KYHN, Gabriel LOPPE, Mathias Gabriel LORY, Bénédict MASSON, Alexis Nicolas NOËL, Diodore RAHOULT, Hippolyte RAVANEL, François Edme RICOIS. Quant aux dessinateurs contemporains s'étant prêté au jeu : ALFRED, Olivier BALEZ, Fred BERNARD, BOUCQ, BUCHE, CHABOUTE, Glen CHAPRON, COSEY, Nicolas DEBON, Jean-Yves DELITTE, DROUIN, ESPE, David EVRARD, Amélie FLECHAIS, KERAMIDAS, Malo KERFRIDEN, Timothé LE BOUCHER, LOUSTAL, MISS PRICKLY, Mélissa MORIN, PHILAN, Jean-Marc ROCHETTE, Olivier SUPIOT, Didier TARQUIN, TEBO, Ronan TOULHOAT et Olivier VATINE. Il en résulte de ces dialogues artistiques vingt-huit diptyques, pour une soixantaine d'oeuvres au total, présentés au couvent Sainte-Cécile à Grenoble dans une exposition conçue par par le Fonds Glénat pour le patrimoine et la création, à découvrir du 6 décembre 2019 au 14 mars 2020.

12/2019