Historique
04/2024
Histoire internationale
12/1999
Guerre d'Indochine
06/2024
Poésie
01/2015
Correspondance
06/2022
Vie des saints
06/2022
Critique littéraire
09/2017
Littérature française
05/2023
Sciences politiques
11/2016
Football
12/2022
Histoire de France
10/2002
Biographies
09/2011
Histoire internationale
01/2018
Beaux arts
01/2019
Histoire internationale
10/2020
Critique littéraire
05/2013
Théâtre
04/2010
Littérature scandinave
10/2021
Littérature française
02/2004
Littérature française
369. C'est le nombre de Photomatons que Jacob B'rebi a pris de lui-même entre 1973 et 1974. A quoi pouvaient bien servir ces selfies d'avant l'heure qui montrent tantôt un visage troublé, tantôt un rire forcé, qui paraissent si familiers et lointains en même temps ? Sont-ils l'expression d'une coquetterie, d'un humour solitaire ou la clé d'un mystère ? Lorsque Christophe Boltanski ouvre cet album ramassé aux puces, il est aussitôt aspiré par ces figures sorties d'un conte de Lewis Carroll. L'homme s'est réinventé en de multiples personnages, l'un barbu, l'autre glabre, l'un en uniforme, l'autre en chemisette décontractée.
Acteur, steward, espion ? Les détails pourraient devenir des indices - ou des trompe-l'oeil. Au dos des clichés, des adresses nourrissent encore l'énigme, de Rome à Bâle, de Marseille à Barbès ; quant aux prénoms ou diminutifs, ils ressemblent à des alias. Christophe Boltanski veut comprendre qui fut cet homme. Son besoin de savoir le conduit dans des échoppes à l'abandon, des terrains vagues, des docks déserts, des lieux ultra-sécurisés, puis dans les cimetières de Djerba, et enfin en Israël, aux confins du désert du Néguev ou au pied du mont Hermon.
Roman sélectionné pour le prix littéraire frontières-Léonora Miano 2022.
Droit
03/1999
Littérature française
03/2017
Généralités
04/2024
Urbanisme
03/2022
Critique littéraire
06/2019
Critique littéraire
03/1993
Comics
10/2019
Histoire de France
10/1998
Théâtre
11/2012
Critique littéraire
01/2001