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Camille Charier

Extraits

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Australie

Australie. Edition 2024

Nos incontournables, laissez-vous guider par nos étoiles : vaut le voyage, vaut le détour, vaut la visite. Nos coups de coeur : les meilleurs souvenirs de voyage de nos auteurs Nos suggestions d'itinéraires, une sélection des plus beaux parcours. Nos spots en famille : nos activités préférées pour les 6-14 ans.

03/2024

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Littérature française

La partition des illusions

Professeure de violon au conservatoire d'Aix-en-Provence, Camille Delgado voit sa vie basculer le jour où Stéphane, son mari, porte sur elle des gestes violents. Humiliée depuis des années par cet époux dominateur et pervers, elle entame enfin une procédure de divorce et s'installe avec leur fils Benjamin dans la maison que possèdent ses parents sur les hauteurs d'Aix-en-Provence. Elle sait que le combat sera rude, d'autant que Stéphane envisage de demander la garde de Benjamin. Instrumentalisé par son père, l'adolescent décroche au collège et se rebelle contre sa mère. Malgré les difficultés qui s'accumulent, Camille enseigne le violon avec passion et s'implique de plus en plus dans les manifestations culturelles du conservatoire que dirige le chef d'orchestre Julien Leffert, nouvellement nommé à la tête de l'institution. Mais, fragilisée par quinze années d'une vie conjugale chaotique, la jeune femme a perdu confiance en elle et considère qu'elle n'a pas droit au bonheur. Seul l'équilibre de son fils compte, quitte à sacrifier sa propre existence pour lui assurer un avenir. Comment renouer le dialogue avec lui sans briser l'image du père ? Et quand s'ouvrira-t-elle aux autres sans être rongée par la culpabilité ? C'est sans compter sur le soutien de Cédric, son ami d'enfance, mais aussi de Julien, de plus en plus présent dans sa vie...

04/2015

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Thrillers

Angor

Camille Thibault est gendarme dans le nord de la France. Depuis sa greffe du cœur, ses collègues s'inquiètent pour elle. Chaque nuit, elle fait des cauchemars où une femme séquestrée l'appelle au secours. Un rêve tellement vrai, comme un souvenir… celui de son donneur ? Camille n'a plus qu'une obsession : retrouver son identité et découvrir quel drame il a vécu… Au même moment, à une centaine de kilomètres de là, deux employés de l'Office National des Forêts constatent les dégâts des orages violents survenus en ce mois d'août. Dans une cavité laissée par un arbre déraciné, ils croient apercevoir une ombre. L'un d'eux s'approche. Deux yeux presque blancs, dépourvus d'iris, c'est tout ce qu'il aura le temps de voir avant qu'une main venue des entrailles de la terre ne lui agrippe les cheveux. Lucie et Sharko sont en train de donner le biberon à leurs jumeaux quand Franck est appelé sur une nouvelle affaire : une femme, victime d'une longue séquestration. Presque aveugle, tant elle est restée dans le noir… sous un arbre. L'enquête prend des proportions inhabituelles lorsque Sharko s'aperçoit qu'à chacune de ses découvertes, il a été devancé par une jeune femme, gendarme dans le Nord… Pour cette quatrième aventure de Lucie et Sharko, dans la droite lignée du Syndrome E, de GATACA et d'Atomka, Franck Thilliez pousse l'art de l'énigme scientifique jusqu'à son paroxysme.

10/2014

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Sciences historiques

Les noblesses du nom. Essai d’anthroponymie ottomane

" Les Turcs ont coutume de donner aux gens un nom qui illustre un de leurs défauts ou de leurs vertus, car ils ne disposent que de quatre noms propres, réservés aux descendants de la famille ottomane ". Ainsi Don Quichotte condense-t-il en peu de mots un lieu commun répandu : celui d'un Orient sans noms, celui d'un Empire sans noblesse. Don Quichotte est fou, mais il y a toujours une part de vérité dans ce qu'il dit. Les Ottomans changeaient de nom comme de chemise. Les surnoms – souvent les plus disgracieux – étaient à la source de bien des désignations. On ne trouvait pas une rue sans un Mehmed, pas un café sans un Ahmed. Le titre plus que la désignation comptait dans les usages sociaux comme dans les bureaux de l'Etat. L'administration déformait sans vergogne les noms des juifs et des chrétiens. Le sultan écorchait les désignations de souverains qu'il tutoyait. L'onomastique n'obéissait à aucune règle stricte. Elle n'accordait presque aucune place au nom de famille. Les Ottomans ne portaient ni armes ni blasons. Ils ne reconnaissent aucune aristocratie hors de la lignée d'Osman. Autant de réalités admises par des voyageurs orientalistes, des idéologues kémalistes ou des historiens de l'Empire ottoman. En un mot : l'égalité des conditions l'emportait sur la reconnaissance de noblesses, et il était plus important de gagner un titre que de se faire un nom.La lecture des sources révèle néanmoins un monde de noms plus riche et plus complexe. Don Quichotte est fou, mais s'il a beaucoup voyagé, il n'a jamais parcouru l'Empire. En réalité, les Ottomans se servaient de leurs noms de personne pour s'identifier et se distinguer, faire valoir leurs droits et transmettre leurs biens. A partir des nomenclatures turques, arabes et persanes, ils inventèrent leurs propres modes de désignation. Ils en nourrirent leurs lettres et leurs arts. Par les noms, ils dominèrent leurs sujets non musulmans, valorisèrent les héros et les saints, reconnurent des lignées pré-ottomanes et constituèrent de nouvelles noblesses. Le nom de famille tel que nous l'entendons était certes le grand absent de l'anthroponymie ottomane. Mais des noms de famille existaient, au-delà des seuls patronymes : noms d'ancêtres, de collatéraux et de femmes. Il est vrai, la Turquie kémaliste imposa une procédure radicalement nouvelle : tout citoyen devait porter un nom de famille. Mais ces noms, pour une partie d'entre eux, existaient déjà. Ils étaient inscrits dans les registres d'Etat. Ils figuraient dans les généalogies, sur les stèles funéraires. Au sein de franges sociales que le sultan ne reconnaissait toujours pas comme noblesses d'Empire, perçait l'imaginaire d'une noblesse des noms.

01/2013

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Actualité médiatique internati

Dis-moi qui je suis

Imaginez que vous vous réveillez un jour pour découvrir que vous avez tout oublié de votre vie. Votre histoire, comment lacer vos chaussures, le visage de vos proches. Votre seul lien avec le passé, votre seul espoir pour l'avenir, c'est votre frère jumeau. Imaginez maintenant, des années plus tard, découvrir que votre jumeau ne vous a pas dit toute la vérité sur votre enfance, sur votre famille et sur les événements qui vous ont façonné. Pourquoi ces secrets ? Pourquoi ces silences ? 1982. Alex, 17 ans, se réveille à l'hôpital après un grave accident de moto et trois mois de coma. Il ne sait pas où il se trouve, ne se souvient pas de son prénom. En revanche, il reconnaît immédiatement Marcus, son jumeau. De ses parents, de sa petite amie, il ne sait plus rien. Tout est à réapprendre. Son frère le guide pour reconstruire des souvenirs. Pendant des années, Marcus l'aide à travers les photos à se rappeler de leurs vacances, de leurs anniversaires... Durant tout ce temps, Alex se reconstitue une mémoire sur cette vie de famille idyllique et heureuse. Jusqu'au jour où, triant la maison de famille après le décès de leur mère, ils découvrent une photo d'eux deux, prépubères, nus, et dont les têtes ont été coupées. Alex demande à son frère s'ils ont été victimes d'abus. Marcus, déstabilisé, lui répond que oui. Et c'est tout ce qu'il donnera comme information à son frère jumeau pour les vingt années suivantes, incapable de raconter en détail ce qu'ils ont subi. Avec un courage inébranlable, Alex va passer des années à chercher la vérité sur son passé caché et sa famille. Sa quête pour comprendre sa véritable identité a révélé des trahisons choquantes, une tragédie innommable, mais, surtout, une rédemption fondée sur l'amour fraternel. Cette histoire traverse les continents et les époques, des années 1960 dans la haute société des Homes Counties (comtés autour de Londres) en passant par une île isolée du Pacifique et les raves des années 1990.

05/2023

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Littérature érotique et sentim

Snow Crystal Tome 1 : La danse hésitante des flocons de neige

"Réconfortante, sexy et chaleureuse, la série "Snow Crystal" de Sarah Morgan est parfaite ! " Jill Shalvis Noël. Kayla Green redoute cette date et, comme chaque année, elle prévoit de s'enfermer dans son bureau de Manhattan avec une surdose de travail. Mais un gros budget de relations publiques l'envoie en fait dans le Vermont : celui de Snow Crystal, apporté par Jackson O'Neil, qui dirige un groupe de stations de sports d'hiver de luxe. Pour Kayla, ce petit miracle de Noël ne va pas sans inconvénients : primo, la neige, le ski, les snow-boots, tituber sur la glace en talons hauts... , ce n'est vraiment pas son idéal ; secundo, Jackson O'Neil a une famille, une de ces familles aussi unies que les mailles d'un tricot bien serré qui rappellent douloureusement à Kayla qu'elle a toujours dû se débrouiller seule. Mais il y a pire encore pour elle que Noël, la famille et autres calamités : c'est Jackson. Jackson, qui a tous les atouts en main pour faire fondre le coeur de glace qu'elle s'est si difficilement façonné... "Je me suis régalée de cette délicieuse histoire à la douce saveur de Noël, sucrée et saupoudrée de cannelle, exactement comme il le fallait. Une superbe romance que je ne peux que vous recommander pour cet hiver ! " Blog Alice Neverland "Kayla, et Jackson m'ont fait rêver. Du début à la fin c'est juste parfait" Blog La fouinothèque "Cette série est un pur régal que je vous conseille sans hésiter. La famille O'Neil est vraiment attachante, ils forment surtout une famille très unie, qui nous apporte à chaque fois un peu plus le sourire aux lèvres. Bref, que du bonheur ! " Blog Songe d'une nuit d'été A propos de l'autrice : Autrice fréquemment citée par USA Today, la Londonienne Sarah Morgan a conquis ses nombreux fans grâce à ses histoires finement tissées d'humour et d'émotion intemporelle. Elle a vendu plus de 14 millions de livres à travers le monde. Enfant, Sarah rêvait de devenir écrivain, et bien qu'elle ait pris des détours avant d'y parvenir, elle vit à présent son rêve.

11/2020

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Droit

La protection internationale de l'enfant en droit congolais. Présentation du cadre familial et analyse de la pratique judiciaire et administrative de la République Démocratique du Congo en matière d'adoption internationale et d'enlèvement international d'

Cette étude est consacrée à l'examen des mécanismes de protection internationale au bénéfice de l'enfant prévus par le droit congolais. Pour ce faire, elle a choisi deux exemples en guise d'illustration : l'adoption internationale et l'enlèvement international d'enfants. Elle part de l'idée que la place de l'enfant dans la tradition africaine influe fortement sur son degré de protection dans le droit moderne, car l'autorité croit que l'enfant est déjà pris en charge par la famille élargie et le clan en application du principe de solidarité clanique, et qu'il ne peut donc tomber dans le besoin et l'abandon. Malheureusement, cette croyance est fausse. L'étude analyse le système de l'adoption en RDC où le Code de la famille de 1987 organise une adoption simple, à l'exclusion de l'adoption plénière. Elle analyse aussi le système de la garde d'enfants en cas de séparation parentale ou de divorce. Ici, la garde de l'enfant est automatiquement attribuée à l'un des parents, (souvent le père) et à son clan; et ce clan est déterminé à l'avance avant la naissance de l'enfant. Par ailleurs, le droit congolais fait la part belle aux règles coutumières bantoues d'après lesquelles l'enfant n'est pas un sujet de droit à part entière au même titre que les adultes et ne peut prétendre aux mêmes droits. Il appartient au contraire à sa famille et à son clan dont il doit assurer la survie. Et ce but de l'enfant se confond avec celui du mariage dans sa triple dimension d'alliance, de contrat et d'institution de protection. Dans ce contexte, l'Etat doit s'attaquer au dualisme juridique et donner un sens à son appartenance à la famille moniste pour permettre à l'enfant de bénéficier de la protection prévue par la CDE et le droit moderne en général. Ainsi posé, le problème dépasse le seul cadre de la RDC pour embrasser l'ensemble des pays subsahariens. Un premier regard cursif sur la situation dans les autres pays des Grands lacs africains (le Rwanda et le Burundi) a confirmé cette impression.

02/2013

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Littérature étrangère

Avenue Yakubu, des années plus tard

A Port Harcourt, au Nigeria, en 1995, le destin de la famille Utu bascule un soir de septembre lorsque Paul, le fils aîné exemplaire, âgé de dix-sept ans, ne rentre pas chez lui. Ses parents, Bendic, un éminent avocat respecté de tous et Ma, une professeur d'université très appréciée, tentent de rassurer Ajie et Bibi, leurs deux autres enfants, répétant, avec un optimisme qui cache mal leur inquiétude, que Paul sera de retour avant le lendemain matin. Les heures et les jours passent sans qu'il ne réapparaisse. Le Nigeria traverse alors une période de rébellion de la population contre le pouvoir en place. Cette rébellion est réprimée dans le sang, chaque jour des gens s'évanouissent dans la nature sans que personne ne puisse expliquer leur absence. Après une ouverture sur la disparition de Paul, le récit bascule dans le passé de la famille : la rencontre de Bendic et Ma, leur expérience de la guerre du Biafra au cours de laquelle Bendic faillit mourir, sa conversion au catholicisme à la naissance de Paul, les relations difficiles entre Ajie et Bibi. Progressivement, la narration en revient au jour du drame avant d'aborder les années qui le succèdent. Ajie et Bibi ont tous deux quitté Port Harcourt pour terminer leurs études. Bendic est mort et Ma est restée vivre à Port Harcourt. Un jour, Ma reçoit la visite d'un ancien policier qui, en service en 1995, fut témoin des événements. Il explique à la mère de famille comment, lors d'une manifestation, son fils fut pris à parti par des militaires qui, après l'avoir battu à mort, firent disparaître son cadavre. C'est ainsi que, dix ans après la volatilisation de Paul, la famille se voit restituer le corps du jeune homme et organise un enterrement en bonne et due forme, une cérémonie qui permet aux trois personnages de faire leur deuil. Dans ce premier roman, Jowhor Ile livre une évocation saisissante du Nigeria des années de dictature, creuset de traditions et de modernisme, un pays dont l'espoir et l'énergie s'expriment magnifiquement dans la jeune voix du narrateur, Ajie.

09/2017

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Littérature française

La mémoire des anges

Issue d'une grande famille de producteurs de cognac, Mauve, interprète à Bruxelles, revient au château de Bassan après douze ans d'absence pour assister aux funérailles de sa sour. Des événements inattendus la retiennent au domaine et la conduisent à faire des choix qui vont bouleverser sa vie. Jalousies, drames, secrets de famille, une intrigue romanesque au cour de la région charentaise. Mauve revient au château de Bassan pour assister aux funérailles de sa sour Véronique. L'accueil est glacial. Douze ans auparavant, elle avait rompu ses fiançailles avec l'homme qui a finalement épousé Véronique, puis coupé toute relation avec sa famille sauf avec son père avec qui elle a toujours gardé un lien. Contre toute attente, sa sour l'a choisie pour être la tutrice légale de Guillaume, sept ans, et Laurie, cinq ans, ses deux enfants aujourd'hui orphelins. Mais sa tante Paule, une vieille fille acariâtre qui a toujours régné en maître sur le domaine, n'entend pas les choses ainsi et redouble d'agressivité à l'égard de sa nièce. Et pour cause, le lendemain des obsèques, le maître de chai annonce à Mauve que l'entreprise est au bord de la faillite. Or si la jeune femme veut protéger l'héritage de ses neveu et nièce, elle doit absolument sauver l'entreprise. Elle décide de prolonger son séjour à Bassan, le temps pour elle de trouver des alternatives, mais elle compte bien rentrer au plus vite à Bruxelles où elle mène une existence heureuse, entre son métier passionnant d'interprète et Liang, un homme aimant dont elle partage la vie. Vient pour elle l'heure des choix. Liang supportera-t-il longtemps d'être séparé d'elle ? Mauve sait qu'elle prend un énorme risque, d'autant qu'Anthony, son amour d'adolescence, a bien l'intention de brouiller les cartes à son avantage. Seule dans l'adversité, elle choisit malgré tout de se battre pour sauver le domaine et préserver les enfants, affrontant la haine de certains membres de sa famille qui révèlera de sombres secrets autour de son enfance et bouleversera sa vie.

08/2015

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Faits de société

L'Affaire Flactif. Enquête sur la tuerie du Grand-Bornand

Le 11 avril 2003, une famille entière disparaît : Xavier Flactif, quarante ans, sa compagne, Graziella, trente-six ans, et leurs trois enfants, Sarah, dix ans, Laetitia, neuf ans, et Grégory, sept ans. Leur magnifique chalet du Grand-Bornand, trop bien rangé, semble inhabité, mais on y trouve un repas prêt à être servi et le réfrigérateur plein de vivres. Xavier Flactif est un promoteur immobilier qui s'est fait à la force du poignet. Belles maisons, belles voitures, vacances de rêve : sa réussite est réelle, mais elle dérange. On parle de factures impayées et de maisons mal construites. Nombreux sont ceux qui accablent les disparus. Les voisins des Flactif, un certain David Hotyat et sa compagne, Alexandra Lefèvre, sont particulièrement virulents devant les caméras de télévision et affichent leur certitude que la famille a pris la fuite. Les médias abondent dans ce sens, et c'est également cette piste que semblent privilégier les enquêteurs. Mais dans le chalet, les indices commencent à parler: des traces de sang et des éclats de dents sont découverts. Le 4 x 4 de la famille est retrouvé... Surprise le 16 septembre : David Hotyat, Alexandra Lefèvre et deux de leurs amis sont arrêtés. La thèse de l'assassinat apparaît au grand jour. Ce livre, le fruit de deux ans d'enquête, apporte des éléments de réponse concrets pour comprendre pourquoi et comment une famille entière a été assassinée dans des circonstances aussi macabres, sans qu'aucun corps ne soit retrouvé. Originaires l'un et l'autre de familles modestes du nord de la France, Xavier Flactif et David Hotyat, sans se connaître, étaient partis dans la vie avec sensiblement le même bagage, tous deux mus par une forte ambition. Leurs trajectoires parallèles allaient curieusement se croiser en Haute-Savoie : le premier s'était donné les moyens de réaliser ses rêves, alors que le second, cumulant les échecs professionnels, régressait socialement dans la rancune et l'amertume. Christine Kelly signe ici une enquête rigoureuse, riche en révélations, sur une des affaires les plus choquantes et les plus mystérieuses de ces dernières années.

05/2006

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Flammarion - Père Castor

Les habits neufs de l'empereur

Il était une fois un empereur dont l'unique passion dans l'existence était de changer de vêtements à chaque heure du jour. Un beau matin, deux hommes arrivèrent au palais, affirmant qu'ils étaient en mesure de tisser la plus extraordinaire des étoffes que seules les personnes brillantes et raffinées pouvaient voir... S'ensuivirent toute une série de quiproquos durant lesquels personne n'osa dire qu'il ne voyait pas les vêtements de peur de passer pour un sot. Mais y avait-il vraiment une étoffe ?

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Droit comparé

Les droits humains en temps de pandémie

Dix-sept contributions inédites d'une vingtaine de spécialistes, juristes et politologues, originaires de différentes universités européennes. Le présent ouvrage regroupe dix-sept contributions inédites, dont huit en anglais, élaborées par une vingtaine de spécialistes, juristes et politologues, originaires de différentes universités européennes réparties en quatre parties.

03/2023

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Histoire de France

Le Soleil voilé. Auschwitz 1942-1945

Pour Paul Schaffer, c'est surtout le sentiment d'un devoir à accomplir qui l'a conduit à écrire le présent ouvrage, quelles que soient les difficultés et la douleur que ce travail d'écriture et de mémoire lui a imposées. Il ne s'agissait pas seulement de parler de la période particulièrement cruelle de sa vie, les persécutions en Autriche, la fuite en Belgique, l'exode vers la France, des années de vie clandestine, l'arrestation, la déportation avec sa mère et sa soeur, qui ont été gazées dès leur arrivée à Auschwitz. Il tenait aussi à évoquer la vie de famille avec sa soeur, ses parents et ses grands-parents ainsi que tous ceux qui avaient fait partie de son existence d'enfant, lorsqu'ils habitaient à Vienne avant l'Anschluss. A tous, à travers son récit, il exprime sa reconnaissance pour le bonheur qu'ils lui ont donné et dont il a toujours conservé le souvenir au fond de son coeur, certes avec tristesse, mais aussi une très grande tendresse. C'était le bonheur simple d'un petit garçon au sein d'une famille unie, celui des vacances, des longues promenades et des goûters chez le meilleur pâtissier, c'était aussi la classe et les jeux avec ses camarades ou encore son attachement à sa collection de timbres à laquelle il tenait tant qu'il l'avait emportée avec lui, en cachette, lorsque la famille a été contrainte de fuir l'Autriche. Mme Simone Veil (extrait de la préface)

05/2020

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Littérature française

Résilience

Né à Paris le 8 juillet 1940, de parents italiens, Joseph ne connut son papa qu'à la fin de la seconde guerre mondiale, à l'âge de cinq ans. Traumatisé par le décès du père en 1947, il le fut à nouveau lorsqu'il fut envoyé dans un Orphelinat où il demeura pensionnaire durant neuf années, loin de sa famille. Grâce à l'aide d'un ancien professeur de l'Orphelinat, d'une bourse de l'Etat et de jobs d'étudiant, il entreprit des études au Lycée Turgot à Paris, suivis de cours du soir au Conservatoire des Arts et Métiers, et à la Faculté de Droit de Paris. Responsable d'une famille de quatre enfants dès l'âge de vingt-six ans, il souhaita exercer la profession d'expert-comptable, puis de commissaire aux comptes. Le livre "Résilience" est le récit de son enfance, de sa vie familiale et professionnelle, d'abord écrite à la demande de l'une de ses petites filles, puis romancée, mêlant réalités et fictions. On y découvre notamment la vie en Orphelinat, et le parcours d'un orphelin devenu expert-comptable diplômé, son esprit de famille et son désir raisonné de favoriser la réussite de ses enfants ainsi que sa curiosité naturelle pour ce qui est nouveau, son aptitude à saisir les opportunités de développement personnel et les choix réfléchis qui l'ont conduit d'une activité professionnelle intensive, comportant difficultés et risques parfois angoissants, à celle d'une retraite paisible que ses amis d'adolescence comparent tristement à la leur.

07/2019

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Histoire internationale

LA FUITE D'ALEXIS. Fils du tsar Nicolas II, Ce qui s'est réellement passé la nuit de l'exécution des Romanov

C'est dans la nuit du 17 juillet 1918 que les Bolchéviques massacrèrent les Romanov, le tsar Nicolas II et toute sa famille. Toute ? C'est ce que l'on a toujours cru jusqu'à ce que les révélations consignées dans cet ouvrage y mettent le doute... Alexis, le fils du tsar, alors âgé de 14 ans, et l'une de ses soeurs auraient échappé à la tuerie. Recueilli et adopté par une famille russe, Alexis Romanov serait alors devenu Vassili Filatov. L'héritier du trône aurait ainsi vu sa vie basculer. D'abord ouvrier puis professeur de géographie, Filatov a mené une existence modeste et anonyme avec sa famille. Cependant, il ne s'est jamais expliqué sur le fait que, tout en vivant simplement comme professeur de village, il était capable de parler couramment sept langues, et avait une connaissance approfondie de la vie privée des Romanov. Le secret aurait été bien gardé si la Perestroïka n'avait pas, dès les années 80, rendu les archives soviétiques accessibles au public. Ainsi, les anecdotes de Filatov ont-elles acquis, du jour au lendemain, l'autorité de faits historiques et officiels. Trois scientifiques russes ont voulu en savoir plus sur ces étonnantes coïncidences entre la petite et la grande histoire. Registres officiels, témoignages des soldats ayant exécuté le massacre, analyse des recherches les plus récentes, confidences des Filatov et photographies comparées des deux familles : tout a été réuni ici pour donner à ce livre-enquête l'impact d'un document exceptionnel et d'un récit bouleversant, offrant une relecture totale de l'histoire russe.

11/1998

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Littérature étrangère

Yolanda

Momo est un jeune garçon fasciné et adoré par sa grand-mère maternelle, Yolanda. Dotée d’une forte personnalité, elle évolue dans un monde hanté par la nostalgie d’un faste révolu : celui du Caire où elle a tout laissé pour reconstruire sa vie en Israël, à Tel-Aviv. Il y a aussi grand-père Georges à qui il manque une jambe, toujours le nez plongé dans ses livres, qui a déménagé après s’être fait mettre à la porte par sa femme, Yolanda. Que s’est-il passé entre ces deux-là ? Et pourquoi refuse-t-elle même de prononcer son nom ? Qui était Yaakov, qui brisa le coeur de la jeune Yolanda ? Dans cette famille haute en couleur, les personnages se succèdent : grand-mère Nour, originaire de Damas, jalouse des liens qu’entretiennent Momo et la cairote, et la tante Havatselet, que tous méprisent et qui peint des natures mortes à l’image de sa vie figée. Malgré son amour pour sa famille, Momo partira vers sa terre promise : Paris. De promenades solitaires en bars bruyants, il finira par y rencontrer l’amour et laisser éclore le rigolo en lui dans les bras du beau Shauli.D’une plume sensible, émouvante et extrêmement drôle, Moshe Sakal nous fait pénétrer l’univers d’une famille cosmopolite chargée de secrets. En dressant le portrait d’une grand-mère aimante, excentrique et pleine de contradictions, c’est toute la société israélienne contemporaine qu’il déflore, ses maux, ses peurs et ses espoirs.

03/2012

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Littérature étrangère

Le roman égyptien

Autoportrait avec famille, Le Roman égyptien rejoue comme aux dés les pérégrinations des Castil, originaires d'Egypte et auparavant d'Espagne, et encore avant, de la sortie biblique d'Egypte. Sauf que les ancêtres bibliques d'Orly Castel-Bloom ne sortent pas d'Egypte : ils y restent et forment une tribu sauvage, autochtone, qui oublie son judaïsme. Quant aux Castil d'Espagne, ils restent eux aussi sur place et se convertissent pour échapper à l'Inquisition, leur fille devenant même porchère pour donner le change. Plus tard, la famille quitte l'Egypte avec un mouvement de jeunesse sioniste ouvrier et rejoint un kib-boutz en Israël, dont elle sera expulsée aussi pour excès de jusqu'au-boutisme stalinien... 'issue de ces trois expulsions historiques dont elle est le fruit, la narratrice n'a pas de nom, pas d'identité, elle est l'aînée, "la grande fille", "la grande", en quête permanente d'une place dans le monde. La romancière explose ici la narration classique façon puzzle, pour mieux dire les éparpillements de l'âme et le poids de l'hérédité. Entre montagnes russes et kaléidoscope d'images et d'émotions, le roman - comme la famille - fait rhizome : les souvenirs qu'on se transmet sous forme d'histoires confinant au légendaire deviennent le limon d'un roman familial aussi constitutif que destructeur et c'est dans ce corps à corps acharné avec un passé lourd de blessures mais traversé d'éclats de rire qu'Orly Castel-Bloom déchaîne une singularité radicale aux résonances universelles.

09/2016

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Littérature étrangère

Les vaisseaux frères

Le point de vue des éditeurs ! Son diplôme de paléontologie en poche, Zubaïda se prépare à quitter Harvard pour participer à une mission scientifique chargée de mettre au jour le squelette de la "baleine qui marchait", un fossile vieux de cinquante millions d'années susceptible de combler un chaînon manquant de l'évolution. Mais elle est tiraillée entre deux pays, deux cultures et surtout deux hommes : Rachid, son amour de jeunesse, et Elijah, un Bostonien dont elle tombe amoureuse. Il est le fils d'une famille américaine typique, elle, la fille d'une riche famille bangladaise. Lorsqu'un coup du destin l'oblige à rentrer à Dhaka, elle accepte de devenir l'épouse de Rachid. Le mariage est arrangé de longue date et, malgré son amour pour Elijah, Zubaïda ne veut pas trahir l'engagement d'une famille qui l'a adoptée bébé et à laquelle elle doit tout. Bientôt, pourtant, elle parvient à échapper aux contraintes familiales et aux attente de Rachid. Elle part pour Chittagong, sur la côte. Dans l'immense ville portuaire, elle va aider une organisation humanitaire à enquêter sur les conditions d'existence des pauvres diables qui désossent à mains nues, pour une misère et bien souvent au risque de leur vie, les gigantesques épaves des porte-conteneurs et des navires de croisière échoués sur la grève. Elle y retrouve Elijah, qui la complète parfaitement, mais elle-même se sent vide, taraudée qu'elle est par le mystère de ses origines. Jusqu'au jour où un inconnu l'interpelle, en la prenant manifestement pour une autre...

10/2017

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Littérature étrangère

Le bruit de nos pas

« Nous étions trois dans la baraque : mon grand frère, ma grande soeur et moi, "el bint", l'enfant, la fille, éternelle troisième personne du singulier. » Une famille, une maison au milieu du désert israélien. La mère : une femme d'origine égyptienne qui parle un mélange d'arabe et de français et veut tenir sa « baraque » coûte que coûte. « L'enfant », qui n'a pas de prénom. Elle est cet être qui erre dans la baraque, dont la mère n'a peut-être jamais désiré l'existence. La Nonna - la grand-mère - l'aime et la couve comme sa propre fille. Presque trop. Surtout quand la mère part à l'aube pour aller faire le ménage dans de grandes maisons bourgeoises et ne revient que tard le soir. Il y a la soeur, Corinne, grande coquette qui se marie trop tôt et passe son temps perchée sur des talons aiguilles à ébaucher des projets farfelus. Le frère, Sammy, menuisier, qui déteste les beaux vêtements et aime boire des litres de coca. Et le père, Maurice, l'éternel absent, le révolutionnaire idéaliste, qui va et vient dans la famille comme une ombre.Et « l'enfant » qui voit tout, se souvient et reconstruit pour nous le puzzle familial. Ronit Matalon nous offre avec Le bruit de nos pas un texte d'une sensibilité et d'une poésie inouïes sur une famille immigrée, démantelée. En décortiquant la structure familiale et la place centrale qu'y occupe la mère, elle interroge la fragilité du vivre ensemble, malgré l'amour et les liens du sang.

08/2012

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Histoire de France

La servante de Degrelle

La Servante de Degrelle, une lecture salutaire, est un récit poignant qui éclaire comme nul autre les nombreuses "zones grises" dont fut émaillée la Seconde Guerre mondiale. Alors que le conflit fait rage, à Rhode-Saint- Genèse, Hannah Nadel, une jeune fille juive, entre au service de la soeur de Léon Degrelle en tant que servante, et échappe ainsi à la déportation. Cette jeune fille, aujourd'hui disparue, Simone Korkus a eu la chance de la rencontrer et de longuement l'interroger afin de comprendre comment elle avait ainsi pu survivre aux affres de la guerre. Ce livre retrace tout d'abord l'histoire des parents d'Hannah, des juifs d'origine polonaise qui émigrent à Gelsenkirchen, puis à Charleroi, avant de rejoindre Bruxelles où la famille déménage à de nombreuses reprises. Lorsque la guerre éclate, Hannah est âgée de 15 ans. Comme toute adolescente, elle tombe amoureuse et semble vivre le conflit avec une certaine insouciance. Jusqu'à ce jour où elle et sa famille échappent de peu à une rafle, ce qui la décide à aller se présenter chez les Cornet, en tant que jeune fille au pair. Simone Korkus rapporte alors la voix des enfants Cornet, dont les parents n'ont jamais avoué qu'ils avaient sauvé des juifs ni même abordé les conséquences que la guerre avait eues sur leur propre famille. Car madame Cornet était la soeur du "beau Léon", et on imagine sans peine combien l'après-guerre dut la marquer à jamais.

02/2020

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Divers

Capital & Idéologie en bande dessinée. D'après le livre de Thomas Piketty

D'où viennent les inégalités et pourquoi perdurent-elles ? Pour répondre à ces questions, le livre propose une version accessible à tous du best-seller de Thomas Piketty, Capital et Idéologie. Dans cette grande enquête historique, parfois teintée d'humour, Claire Alet et Benjamin Adam ont conçu une saga familiale. Jules, le personnage principal, né à la fin du XIXe siècle, incarne le rentier, figure privilégiée d'une société hyper inégalitaire où la propriété est sacralisée. Lui, sa famille et son entourage vont vivre l'évolution des richesses et des modèles sociaux. Huit générations se succèdent ainsi, traversant toutes les époques. Jusqu'à Léa, jeune femme contemporaine qui va découvrir le secret de famille à l'origine de leur patrimoine. La "petite histoire" de cette famille rejoint alors la "grande histoire" . Diplo^me´e de Sciences-Po, Claire Alet, 44 ans, a travaillé comme journaliste à Alternatives Economiques pendant une dizaine d'années, avant d'en devenir rédactrice en chef adjointe de 2014 a` 2019. Elle a par ailleurs développé une activité d'autrice de films documentaires pour Arte et dirige depuis janvier 2022 une collection de littérature du réel chez Bayard. Benjamin Adam né en 1983, est un auteur de bande dessinée et illustrateur jeunesse français. Il est diplômé de l'atelier d'illustration des Arts décoratifs de Strasbourg, et travaille régulièrement pour l'édition et la presse. Derniers ouvrages parus : Joker, La Pastèque, 2015 (scénario et dessin) et Soon, Dargaud, 2019 (coscénario avec Thomas Cadène et dessin).

11/2022

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Littérature anglo-saxonne

La fille du maître de chai. L'intégrale

Dans la lignée des romans de Tamara McKinley, Sarah Lark et Ann, ce volume réunit les trois romans retraçant le destin de Sarah Lemieux et de ses héritiers sur plusieurs générations. Des exploitants viticoles en prise avec les tumultes de l'Histoire et leurs problèmes familiaux. Du Val de Loire à la Californie, une saga romantique enfin en version intégrale 1895. Sarah Thibault, 17 ans, vit avec ses parents et sa soeur Lydie dans le Val de Loire, où la famille exploite un vignoble. A la mort de son mari, la mère de Sarah est contrainte de vendre le domaine à une famille de négociants, les Lemieux, dont le fils aîné épouse Lydie. Mais un nouveau drame oblige les deux soeurs à quitter la France. Sarah, qui n'a pas abandonné son rêve de devenir viticultrice, s'installe dans la Napa Valley, en Californie. Sur place, elle fait la connaissance d'un certain Philippe... Lemieux, qui s'est lui aussi lancé dans l'aventure viticole. Les deux Français décident d'associer leurs talents. Mais les affaires et l'amour peuvent-ils faire bon ménage ? D'autant que Sarah cache un indicible secret... Dans la lignée des romans de Tamara McKinley, Sarah Lark et Anna Jacobs, cette saga s'attache aux pas de la famille Lemieux, viticulteurs originaires du Val de Loire. Cette intégrale rassemble La Fille du maître de chai, Les Vignes de Sarah et L'Héritage du maître de chai, qui verront les descendants de Sarah lutter pour préserver le domaine familial et subir les affres de la Première Guerre mondiale.

11/2022

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Rome

Les romains et leurs religions. La piété au quotidien

A Rome, à côté de la religion de l'Etat existent les innombrables religions des familles et des associations. Ces obligations rituelles privées livrent une image souvent inattendue du monde antique. Un panorama faisant écho aujourd'hui. Par le spécialiste mondial, professeur au Collège de France. Les religions romaines étaient morcelées. Elles comprenaient la religion de l'Etat romain, celles des mille et une cités-Etats qui composaient le monde romain, et enfin les innombrables religions privées, celles des familles et des associations sociales de toute nature. Souvent nos manuels privilégient les religions d'Etat ou des cités-Etats, parce qu'elles sont mieux attestées. Ce livre se propose de se concentrer sur ce qui est moins bien connu, en réunissant les données sur les religions privées, surtout celles des familles. Est révélée ainsi l'appartenance des habitants du monde romain à plusieurs religions, selon que l'on envisage leur statut de citoyen ou leur appartenance familiale. Et ces devoirs religieux privés sont ceux qui demandaient en fait le plus d'implication des individus. Car s'ils participaient aux cultes publics, leur pratique religieuse privée ne dépendait d'aucune autre autorité religieuse que de la leur : elle était religieusement autonome, avait ses propres dieux, choisis par leurs ancêtres ou par la famille vivante, et ses rites ne pouvaient être célébrés que par les chefs et les membres de la famille, et d'éventuels amis. C'était le père de famille qui était pape ou plutôt grand pontife chez lui.

02/2023

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Esotérisme

Décodez votre prénom et choisissez celui de votre enfant par la symbolique des lettres et des chiffres

Le prénom, choisi avec amour par les parents, est le premier cadeau reçu dès la naissance. Savez-vous qu'il peut vous en apprendre beaucoup sur votre personnalité ? Les lettres de votre prénom ont en effet une valeur symbolique selon leur forme graphique, le son qu'elles émettent et la place qu'elles occupent. On peut également facilement décoder un prénom ou un nom en traduisant les lettres en chiffres selon un procédé connu depuis la nuit des temps et développé par la numérologie. C'est ainsi que chaque lettre ouvre une porte sur la connaissance de soi. Dans cet ouvrage, vous pourrez apprendre à calculer le nombre de votre prénom et découvrir sa signification, ou consulter directement l'analyse faite par l'auteur des 500 prénoms les plus courants. Différentes applications complémentaires vous sont enfin proposées, telles que : l'étude du nombre de personnalité qui comprend le prénom avec le nom de famille ; l'entente entre deux personnes au niveau affectif, familial, social et professionnel ; l'étude comparative entre le prénom et le nom de famille, particulièrement utile en cas de recherche d'un prénom pour un enfant ou d'un pseudonyme car il est alors essentiel que le prénom et le nom de famille soient en harmonie ; l'entente intime pour les couples d'après la première voyelle de leur prénom qui donne des précisions sur le comportement amoureux. Ce livre présente une étude originale et innovante des prénoms, avec des calculs à la portée de tous, sans connaissance préalable de la numérologie.

01/2016

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CD K7 Littérature

Où vivaient les gens heureux

Le grand roman de Joyce Maynard : l'histoire bouleversante d'une famille sur cinq décennies Lorsque Eleanor, jeune artiste à succès, achète une maison dans la campagne du New Hampshire, elle cherche à oublier un passé difficile. Sa rencontre avec le séduisant Cam lui ouvre un nouvel univers, animé par la venue de trois enfants : la secrète Alison, l'optimiste Ursula et le doux Toby. Comblée, Eleanor vit l'accomplissement d'un rêve. Très tôt laissée à elle-même par des parents indifférents, elle semble prête à tous les sacrifices pour ses enfants. Cette vie au coeur de la nature, tissée de fantaisie et d'imagination, lui offre des joies inespérées. Et si entre Cam et Eleanor la passion n'est plus aussi vibrante, ils possèdent quelque chose de plus important : leur famille. Jusqu'au jour où survient un terrible accident... Dans ce roman bouleversant qui emporte le lecteur des années 1970 à nos jours, Joyce Maynard relie les évolutions de ses personnages à celles de la société américaine - libération sexuelle, avortement, émancipation des femmes jusqu'à l'émergence du mouvement MeToo... Chaque saison apporte ses moments de doute ou de colère, de pardon et de découverte de soi. Joyce Maynard explore avec acuité ce lieu d'apprentissage sans pareil qu'est une famille, et interroge : jusqu'où une femme peut-elle aller par amour des siens ? Eleanor y répond par son élan de vie. Son inlassable recherche du bonheur en fait une héroïne inoubliable, avec ses maladresses, sa vérité et sa générosité.

08/2021

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Témoins

Léonie Martin. La biographie

Dans la famille des saints époux Martin, Léonie occupe certainement la place la plus originale de la fratrie. A côté des figures désormais si établies et documentées de ses parents et de la petite Thérèse, la singularité de sa vie intrigue et passionne. Cet ouvrage, écrit par Madeleine de Gourcuff, historienne, rassemble le fruit d'un travail exceptionnel de plus de sept années de recherches personnelles, exploitant toutes les sources et archives publiques disponibles. Son expérience de mère de famille et d'éducatrice donne une profondeur psychologique nouvelle à cette personnalité si attachante. Comment, en effet, cette jeune femme à la santé fragile, qui connaît une enfance difficile, marquée notamment par des deuils successifs et des échecs scolaires, qui subit l'emprise traumatisante d'une servante perverse à l'insu de sa famille, répond-elle cependant, vaille que vaille, à sa vocation religieuse dans le monastère de la Visitation de Caen ? D'où lui vient cette force de persévérer malgré ses fragilités qui l'accompagnent toute sa vie ? En un récit vivant, cette biographie de référence nous emporte avec passion et rigueur historique dans les méandres d'une personnalité riche, dont la vie spirituelle nous est particulièrement accessible. Historienne et thérésienne, Madeleine de Gourcuff a commencé à écrire la biographie de Léonie Martin en 2015. En 2017, elle rejoint la commission historique pour sa béatification. Elle reprend ensuite son travail de biographe. Préface de Yves Chiron, historien, journaliste et essayiste français, spécialiste de l'histoire de l'Eglise catholique à l'époque contemporaine, auteur de plus d'une cinquantaine d'ouvrages.

10/2023

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Education de l'enfant

Le tour du monde des enfants heureux

Chaque pays, chaque culture a développé ses propres recettes pour permettre aux enfants de s'épanouir et d'être heureux. Partons à leur découverte... Quels rituels, coutumes, mode de vie permettent aux enfants de s'épanouir ? Quelles pratiques répondent le mieux à leurs besoins ? Quelles initiatives permettent d'améliorer le bien-être de la famille ? Marion Mac Guiness se penche sur ce qui, à travers le monde, permet à chaque enfant de grandir et s'épanouir à son rythme, d'être tout simplement heureux. Depuis le soutien intergenérationnel des grands-parents jusqu'au cododo au Japon, ou le portage des esquimaux, partons à la découverte des bonnes habitudes et pratiques des parents du monde entier. Piochons chez les Danois leur esprit d'égalité et de confiance ou chez les Portugais leur vision élargie de la famille. Ouvrons nos yeux et notre esprit pour dénicher partout toutes les recettes parentales, familiales et sociales pour élever des enfants heureux. Quelques exemples : - En Suède, friluftsliv : la vie en plein air, dans la nature - Au Danemark, le hygge : l'importance de la vie de famille et des relations humaines - Au Japon, le kawa : l'art du cododo, ou sommeil partagé entre parents et enfants - Au Bouthan, le brain brushing des cours de pleine conscience à l'école - En Turquie, 15 minutes de lecture obligatoire à l'école chaque jour - Au Pays-Bas, l'école finit tôt, place au jeu tout l'après-midi - Au Maghreb, l'emmaillotage des nourrissons pour mieux dormir - En Inde, la naissance de la baignoire Shantala qui rappelle l'utérus maternel

10/2021

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Littérature française

Les Valentin

Quand deux personnes se rencontrent dans un escalier, celle qui descend porte des souliers vernis et celle qui monte des sabots pleins de paille. Cet aphorisme était fort prisé dans les salons de la petite bourgeoisie des bourgs charentais au début du XXe siècle. Il illustre l'angoisse d'une classe sociale en déclin. Et Les Valentin en sont une magnifique expression littéraire. Il s'agit du premier roman de Pierre-Henri Simon, tout juste sorti de Normale Sup'. Il a 28 ans lors de sa publication. Son thème est l'histoire d'une famille déchirée dans une Saintonge marquée par la crise de l'entre-deux-guerres. Remarquables descriptions de notables ruraux dépassés par leur temps, atmosphère de gros bourg parfaitement rendue avec ses rites immuables qui pourtant se craquellent de partout, portraits forts évocateurs de ceux qui montent comme de ceux qui descendent, de ceux qui tentent de s'en accommoder comme de ceux qui résistent, ce premier roman est une réussite qui augure pleinement de la profondeur de vision de l'œuvre à venir. Le personnage le plus saisissant est celui d'une petite Antigone de village qui, pour sauver quelques bribes de la tradition, se voit destinée par sa famille à un mariage qu'elle rejette de tout son être. Elle tente d'abord d'échapper à la situation, elle fuit pour " faire la morte ", puis se ressaisit et fait face courageusement. La maison de famille devient alors un symbole de résistance et non plus un simple destin matériel.

10/2014

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Histoire internationale

Le tueur de serpents

" Les demeures de ce monde ne sont qu'un passage et non un lieu où s'éternisent les hommes. Nous avons raconté l'histoire qui illustre les noms des habitants de ce pays. Eh bien ! demandez-les moi : c'est moi qui vous réponds, moi le perceur de secrets de famille, le tonnerre de la foudre qui s'est fait entendre. Myombekere veut dire " fonde une famille ", Bugonoka signifie " le malheur vient sans prévenir ". C'est pourquoi il faut se tenir prêt. Ntulanalwo est mot-à-mot " je vis toujours avec ". Avec quoi ? Il s'agit de la mort. Une telle conscience guérit de toute peur et de toute agressivité dans les situations difficiles. C'est ainsi que fut nommé le fils de Bugonoka ; Bulihwali, la fille de Myombekere, signifie " quand le malheur trouvera-t-il sa fin ? " Ce nom cache l'espoir voire la certitude que le malheur finira un jour. " Deuxième partie de la saga d'une famille de la région des Grands Lacs sur deux générations débutée avec Les Enfants du faiseur de pluie, ce livre décrit avec précision la vie quotidienne de l'ancienne Afrique. A travers les défis du quotidien, l'auteur exprime avec une impressionnante verve les valeurs spirituelles et éthiques de son peuple. Basé sur son vécu sur une île du lac Victoria au début du siècle et sur sa profonde connaissance de la tradition, ce roman traduit du kiswahili constitue un document important du patrimoine mondial et de l'histoire africaine.

07/1999

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Histoire internationale

La tuerie d'Ehden. Ou la malédiction des Arabes chrétiens

13 juin 1978 dans les montagnes du Liban Nord. Depuis minuit, les unités de combat Kataëb, le parti phalangiste de la famille Gémayel, bouclent la région d'Ehden, un village de montagne au coeur du fief de la famille Frangié. 4 heures du matin : un coup de canon donne le signal de l'assaut. Maîtres d'oeuvre de " l'opération Cèdre ", les services secrets israéliens ont monté une opération secrète dans l'opération: persuader Béchir Gémayel d'en confier le commandement à Samir Geagea pour être sûrs d'atteindre les objectifs visés. Le député Tony Frangié, sa femme Véra et leur fille Jihane, trois ans, sont assassinés. Vingt-huit villageois sont tués. En éliminant un dirigeant chrétien de premier plan hostile à Israël, le Mossad vient d'inventer le concept d'" assassinat ciblé ". Il offre ainsi le pouvoir chrétien à Béchir Gémayel, portant à la présidence de la République libanaise une famille qui lui est favorable et à travers laquelle Tel-Aviv pourrait signer une paix séparée avec le Liban. Inaugurant une longue série de guerres interchrétiennes, la tuerie d'Ehden resserre le " noeud maronite " entre les phalangistes alliés à Israël et les Arabes chrétiens qui revendiquent leur pleine et entière appartenance au monde arabe. Trente ans plus tard, le noeud n'est pas desserré. Le général Aoun et Sleimane Frangié, le fils du député assassiné, incarnent l'avenir des Arabes chrétiens. Leur combat constitue un démenti au prétendu " choc des civilisations " qui voudrait voir s'affronter l'Occident et l'Orient.

05/2009