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Timothy Zahn

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Tourisme étranger

200 phrases pour voyager dans le monde

Un fascicule propre à dépanner voyageurs et touristes avec ses 200 phrases et expressions les plus utilisées en voyage traduites en 13 langues : Vous cherchez le métro à Berlin. Le passant à qui vous demandez votre chemin ne parle ni français ni anglais... Alors, vous sortez de votre sac ce traducteur multilingue, vous foncez à la page 5, et vous trouvez la solution. En allemand, " Où est la station de métro ? " se dit : " Wo ist die U-Bahn-Station ? " Et si vous êtes dans la même situation en Chine, vous trouverez, à la page 17, la réponse en chinois. Ce dictionnaire réunit les 200 phrases les plus indispensables lorsque vous voyagez à l'étranger. Ces 200 phrases françaises, classées par ordre alphabétique, sont ici traduites en 13 langues parmi les plus parlées dans le monde : l'allemand, l'anglais, l'arabe, le chinois, le coréen, l'espagnol, l'italien, le japonais, le néerlandais, le portugais, le russe, le turc et le vietnamien. Toutes les traductions ont été réalisées par des traducteurs étrangers. Ce dictionnaire contient donc une sélection de 200 phrases en français pour demander des renseignements, dire bonjour, merci, svp, appeler un médecin, demander son chemin, connaître les horaires des bus, des trains ou des avions, réserver une chambre d'hôtel, appeler un taxi, se rendre au restaurant, commander son plat, visiter le pays, faire du shopping, aller à la banque, faire du change, poser des questions comme : pourriez-vous m'indiquer la rue/la place/l'avenue. . ?, quel est le prix de la chambre ?, y a-t-il un bus pour aller à l'aéroport, l'addition s'il vous plaît ?, où se trouvent les toilettes ?, où peut-on louer une voiture ?, je voudrais appeler un taxi, faites-vous un rabais ?, est-ce que je peux payer en Euros/dollars ?, je voudrais réserver une chambre, conduisez-moi à cette adresse svp, puis-je régler par carte ?, etc. 200 phrases pour demander en tout point du globe sa route, à manger, à dormir, à visiter, un taxi, un bus, la gare, l'aéroport, un hôtel, une banque, un musée, un hôpital, le centre-ville, un médecin et tant d'autres choses indispensables hors de l'hexagone ? Des phrases dans le livre que vous pouvez montrer du doigt à votre interlocuteur local, dans sa propre langue, afin d'être immédiatement renseigné et rassuré. Ainsi à l'étranger, grâce à ce livre, il est possible de se tirer d'affaire ou de se dépanner en toutes situations en interpellant des résidents locaux. Ce dictionnaire multilingue de phrases et de questions est le compagnon idéal pour faire un tour du monde. Même en l'absence de prononciation ou de phonétique, grâce à ce livre, tout Français peut, s'il le souhaite, s'exprimer dans une langue locale et tenter ainsi de se faire comprendre. En dernier recours, il peut montrer du doigt la phrase traduite à son interlocuteur et espérer obtenir une réponse satisfaisante. En tout cas, il ne sera jamais démuni d'un point de vue linguistique face à n'importe laquelle des situations où il pourrait se trouver hors de ses frontières, même les plus compliquées. Les atouts majeurs de ce nouveau dictionnaire sont donc les suivants : d'avoir en un seul fascicule, sous les yeux, les 13 principales langues du monde. Pages ; de connaître la graphie ou l'écriture des mots dans chacune de ces langues ; de favoriser grâce à un choix astucieux de phrases et de questions un dépannage immédiat quel que soit le pays visité ou l'interlocuteur étranger rencontré. La langue étant le seul moyen de communication et d'échange ; de privilégier le rapprochement des peuples et des cultures par le dialogue des langues ; Un livre qui en somme apparaît comme un véritable carrefour linguistique et culturel. Un livre qui s'inscrit dans la diversité linguistique et le multilinguisme dans le monde. Un livre qui valorise les langues et les cultures du monde.

01/2019

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Monographies

Les Gérard Cochet de La Piscine

En 2009, les descendants du peintre et graveur Gérard Cochet (1888-1969) faisaient don au musée de Roubaix de 102 oeuvres sur papier, préparatoires à des costumes ainsi qu'à des décors pour des spectacles lyriques donnés à l'Opéra-Comique. Ces dessins concernent plus spécifiquement trois oeuvres : Manon Lescaut de l'abbé Prévost et Jules Massenet (1938), Les Noces de Figaro de Mozart (1939) et Amphytrion 38 de Jean Giraudoux et Marcel Bertrand (1944). Entre 1938 et 1949, Cochet travaillera ainsi à plusieurs reprises pour la salle Favard. On lui doit également les costumes pour Mesdames de la Halle d'Offenbach (1940) ainsi que pour Le Oui des jeunes filles de René Fauchois et Reynaldo Hahn. Ces créations, bien accueillies par la critique, représentent en quelque sorte l'acmé de la carrière de décorateur de Gérard Cochet. Il avait, en effet, précédemment réaliser plusieurs décors pour des bâtiments publics et, en qualité de peintre de la marine, contribué à la décoration de plusieurs vaisseaux. Né à Avranches, Gérard Cochet grandit à Nantes où il s'initia très jeune à la peinture avec son ami Amédée de La Patellière (1890-1932) auprès d'un artiste local, tout en poursuivant des études classiques. En 1909, avec l'assentiment de ses parents, il décide de se consacrer uniquement à la peinture et se rend à Paris. Il s'inscrit à l'Académie Julian et ambitionne d'entrer à l'école des Beaux-Arts. Pour ce jeune homme discret, ces premières années sont particulièrement délicates. En proie au doute, il peine à se défaire de son apprentissage quelque peu académique et à trouver sa propre voie vers une modernité à laquelle il aspire. C'est au modeste Salon des humoristes qu'il expose pour la première fois en 1913. Ces timides débuts sont vite interrompus par la guerre. Bien que réformé, il décide de se porter volontaire. Le 5 mai 1915, Il est grièvement blessé en Argonne et perd son oeil droit. Définitivement reformé en juillet 1916, il s'initie à la gravure auprès d'André Dauchez et pratique la céramique au sein de l'atelier Lachenal. De la première, il apprendra le sens de la synthèse et la seconde lui permettra de gagner en spontanéité. Au début des années 1920, il s'affirme comme graveur de premier plan, multipliant les illustrations notamment pour les éditions Crès et Grasset. En 1924, il est récompensé pour son oeuvre gravé par le prix Blumenthal. Membre fondateur de la Jeune Gravure Contemporaine en 1929 et membre des Peintres-Graveurs Français à partir de 1946, il illustre de nombreux ouvrages de bibliophilie. Parallèlement à sa carrière de graveur, il développe également sa peinture. Une première exposition personnelle lui est consacrée par la galerie Briand-Robert en 1927. Son oeuvre peint le rapproche de la Jeune Peinture Française dont les membres les plus représentatifs sont Dunoyer de Segonzac, Marcel Gromaire, Charles Dufresnes, ses amis Yves Alix et Robert Lotiron... . Ce mouvement informel incarne pour le critique Claude Roger-Marx une certaine "mesure française" . Ils élaborent un réalisme renouvelé et affirment un certain sensualisme. Il n'est pas ici question, de "retour à l'ordre" , la plupart de ces peintres s'inscrivaient dès avant-guerre dans un réalisme construit, instruits des leçons du cubisme et de Cézanne mais regardant aussi Corot, Courbet ou Delacroix comme Gauguin, Manet ou Bonnard. Gérard Cochet développera plusieurs thématiques, Il sera le peintre des paysages et des paysans de la Manche, des champs de course, des intérieurs bourgeois et évoquera aussi régulièrement l'univers du théâtre et de la musique, qu'il affectionna tant et que cette exposition met en valeur.

03/2022

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Religion

Communio N° 179 : L'Europe unie et le christianisme

Editorial : Olivier Chaline : L'Eglise et l'Europe en voie d'union : quelles présences de l'une à l'autre ? Thème : L'Europe unie face au christianisme Aldino Cazzago : Jean-Paul II : l'Europe dont je rêve Dans un parcours historique des interventions pontificales, l'article montre que Jean-Paul II s'est attaché sans relâche à défendre la vocation spirituelle de l'Europe enracinée dans le christianisme qui, seule, peut faire d'elle une communauté pleinement humaine. Ysabel de Andia : Ecclesia in Europa Expert au Synode des évêques pour l'Europe, l'auteur tire les conclusions de l'exhortation Ecclesia in Europa qui, devant "l'apostasie silencieuse" d'une Europe rejetant ses racines chrétiennes, l'invite à revenir au Christ, source de toute Espérance : c'est dans la fidélité à sa vocation spirituelle qu'elle peut réussir à intégrer de nouveaux pays et à promouvoir une mondialisation solidaire ; de Benoît à Edith Stein, ses saints patrons lui montrent la voie à suivre. Rémi Brague : Le christianisme comme forme de la culture européenne On ne peut faire du christianisme un des contenus de la culture européenne : ill offre ce caractère unique d'être une religion et rien d'autre qui, dans sa dépendance du judaïsme qui l'a précédé et du cadre culturel gréco-latin où il s'est établi, a instauré avec eux une relation spécifique : il n'en a pas seulement hérité, il les a acceptés dans un rapport de reconnaissance fait de gratitude et de respect. Olivier Chaline : Ni maîtresse ni servante : l'Eglise et l'Europe en voie d'union Le christianisme peut aider l'Europe en voie d'union politique en l'empêchant de se refermer sur ses habitants, en lui rappelant qu'elle n'est pas sa propre fin et en lui opposant des limitations, voire des forces de résistance le cas échéant. Piotr M. A. Cywkinski et Marcin Przeciszewski : L'Eglise en Pologne après 1989 face aux nouveaux défis de la démocratie Comme son titre l'indique, l'article donne une analyse détaillée de l'évolution du catholicisme polonais depuis que la Pologne est libérée du régime communiste, jusqu'à son intégration à l'union européenne, fortement appuyée par le pape Jean-Paul II et l'épiscopat polonais. De Jean-Paul II à Benoît XVI Serge Landes : Action de grâces Il serait aujourd'hui prématuré de comprendre dans son intégralité le pontificat qui vient de s'achever, il est encore bon de méditer de quelle façon, dans son agonie et sa mort, Jean-Paul II est resté jusqu'au terme de sa vie configuré au Christ. Jean-Robert Armogathe : La Méditation sur l'Eglise de Benoît XVI Avant de devenir pape, le cardinal Joseph Ratzinger avait, de longue date, élaboré une oeuvre théologique personnelle, centrée sur la présence de l'Eglise dans l'histoire des hommes. Dans cette perspective ecclésiologique, il est possible de formuler un oecuménisme de communion. Signets Xavier Tilliette : Claudel bibliste Durant les vingt dernières années de sa vie, Claudel, le poète qui "aimait la Bible" , s'est "agenouillé à l'Ecriture Sainte... . , avec un entrain, une alacrité, une allégresse qui ont constamment accru son bonheur et régénéré son écriture" . Christophe Dufour : La religion populaire : Pastorale diocésaine et "Ostensions" dans le Limousin Comment un évêque peut-il réagir en découvrant dans son diocèse une tradition religieuse qui, depuis le Moyen Age, mobilise l'ensemble d'une population dite déchristianisée ? Serviteur de son peuple, le pasteur reconnaît là une manifestation de sa foi et voit un lien entre l'évangélisation et cette forme de religion populaire, veillant à la purifier de toute superstition et à s'appuyer sur le sens mystique et la prière qui habitent le coeur de ses ouailles. Didier Laroque : My Architect. A son's journey Le film de Nathaniel Kahn, en reconstituant la vie de son père, un des plus grands architectes américains, permet de réfléchir sur la relation entre volonté d'art et vie morale, exigence de cohérence démentie par l'opinion qui fait de l'artiste un être voué au dérèglement. Le film, tout en montrant la souffrance filiale qui est le prix du génie paternel, est à l'unisson de l'oeuvre du Bâtisseur par la qualité des images et la profondeur de vue de l'Ecriture du Fils. Jean Clapier : Thérèse de Lisieux et la souffrance humaine Thérèse de Lisieux a trouvé dans l'expérience de da souffrance, vécue dans l'amour de Jésus, le sens de sa vocation : participer, en union avec le Crucifié, à son oeuvre de rédemption. C'est ce dont témoignent les textes réunis dans cet article.

06/2005