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Oki Faouzi

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Témoignages

Survivre ou s'adapter. L'histoire inspirante de Jimmy Pelletier

Jimmy Pelletier était un jeune homme vigoureux au destin prometteur. Passionné par les sports, il pratiquait le baseball et le hockey à un haut niveau de compétition. Un soir d'août 1996, après une soirée entre amis, il s'endort au volant et subit un grave accident d'automobile qui le laisse paraplégique. A 19 ans, il est devant un choix déterminant : soit être une victime aigrie et tenter de survivre, soit s'adapter à sa nouvelle condition physique et s'épanouir. Il choisit la deuxième option et entreprend une vie que peu d'êtres parviennent à réaliser. Après une intense réadaptation, il se lance dans la pratique du sport adapté. En 2016, il participe aux Jeux paralympiques de Turin, en Italie. Puis se succèdent plusieurs participations à des coupes du monde, à des championnats et à des compétitions en athlétisme, en paracyclisme et en ski paranordique. Après sa carrière d'athlète, en 2014, il se consacre à des projets personnels, dont l'adoption de sa fille. Désireux de redonner à sa communauté, il fonde, en 2015, la Randonnée Jimmy Pelletier, un évènement bénéfice annuel qui rassemble une soixantaine de cyclistes. Déterminé, Jimmy réussit à gravir le mont Kilimandjaro en Tanzanie, en 2018, devenant ainsi la 2e personne paraplégique à réussir l'exploit. Toujours avide de nouveaux défis, Jimmy décide de traverser le Canada à vélo à main au printemps 2019, parcourant 7500 kilomètres en 65 jours durant lesquels il offre des conférences dans des écoles francophones. A ce jour, ses nombreuses activités de levée de fonds ont permis d'amasser et de redistribuer plus de 1,7 million de dollars pour favoriser l'inclusion des personnes ayant des limitations. Dans ce livre percutant, son épouse, Manon Bélanger, dresse le portrait d'un homme attachant, déterminé et courageux. Elle raconte sans détour des moments importants de son parcours, dont son accident, sa réadaptation, son entrainement et ses exploits. Elle nous partage aussi des séquences plus intimes de sa vie, nous permettant de saisir toute la dimension de l'homme qu'est Jimmy Pelletier. Un puissant message de dépassement de soi, de respect de la différence, de force intérieure et d'entraide ressort du récit et marque pour toujours ceux qui croisent la route de cet homme remarquable. Un livre d'espoir et d'inspiration qui guidera chacun des lecteurs sur son cheminement !

06/2024

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Rallyes et courses

Les Martin, quelle famille !. Triplé historique aux 24h de Spa et autres souvenirs automobiles

La saga des Martin. Ou quand un père, un fils et un oncle partagent la même passion, la course automobile, et la même fierté, avoir gagné les 24 Heures de Spa. Cette course d'endurance considérée comme l'une des plus dures au monde, c'est " leur " terrain d'exploits. Les chiffres parlent d'eux-mêmes avec, à leur actif dans cette épreuve sans pitié, pas moins de 10 podiums dont 7 victoires. C'est unique dans les annales. Pour entamer le récit, il y a d'abord l'aîné, Jean-Michel. C'est lui, le déclencheur. Multi Champion de Belgique, il aura combiné tout au long de sa carrière la passion du pilotage avec la gestion d'agences de communication et la direction de nombreuses concessions automobiles portant son nom. Clairement, c'est un bosseur, méthodique, qui ne laisse rien au hasard. Suit son frère, Philippe. Lui ne manque ni de flair pour repérer les sponsors, ni de charme... pour les appâter. Au volant, rapide et précis, il tient son rang. Mais autant sur la piste, il peut être métronomique, autant dans la vie, il cultive le goût de l'aventure. Il en fera d'ailleurs son métier, organisant, parmi tant d'autres défis, le Raid Turquoise au large des Seychelles et la Descente Infernale dans la station des Arcs. Vient enfin Maxime, l'héritier. Un pur diamant, capable de repousser ses limites loin, très loin, mais sans jamais donner l'impression de forcer. Les usines l'observent et le recrutent. BMW, Aston Martin... et le voilà professionnel à temps plein, roulant aux quatre coins du monde dix mois par an. Au fil des pages, les trois protagonistes se racontent. Leur montée en puissance avec des teams de plus en plus réputés, des autos de plus en plus performantes, des équipiers de plus en plus chevronnés. Les circuits défilent : Le Mans, Francorchamps, Daytona et ce Nürburgring aux 176 virages qui les feront suer à grosses gouttes... Le tout ponctué de témoignages, d'anecdotes et de questions un tantinet existentielles. Celles-ci, par exemple... Le talent, c'est la clé ? Sans argent, mission impossible ? La Formule 1, ne surtout pas y penser ? Le danger, présent, oui mais sans plus ? ... De quoi nous éclairer sur la " vraie " vie des pilotes et nous plonger dans l'univers de la course à travers deux générations.

06/2024

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Littérature française

Le bleu

Le 11 août, Lomé, Togo. Ce matin-là ou ce soir-là, la lumière était particulière. Elle n'était ni jaune clair comme celle d'un soleil d'Est ni même rougeâtre alors qu'il tombe sur l'Atlantique. A l'horizon, tout était roux, des feuilles des baobabs jusqu'à la route poussiéreuse de la ville. J'avais pourtant déjà été surpris par les couleurs du ciel, allongé sur ma natte en plastique, mais jamais comme ce onze août. J'avais alors décidé que ce serait un jour important, un moment qui allait bouleverser ma vie à tout jamais et qui me permettrait de rompre avec mon existence " d'hier ". Ce ciel, que je regardais sans cesse et depuis si longtemps, m'ordonnait à présent de partir loin, sans rien prendre avec moi, juste peut-être de quoi m'allonger et mon sac-à-dos orange. Ayo est atteint d'une maladie ; il est aveugle d'une couleur. Il n'a rien fait pour la provoquer ; elle survenue en un éclair, violemment et sans qu'il n'ait pu le prévoir. Sans attendre, il décide, à onze ans, de chercher un remède à sa maladie. Il part ainsi sur les routes du Togo, son pays natal, pour ensuite voyager à travers l'Afrique. Il se perdra parfois mais sans faillir à la promesse qu'il s'est faite : guérir. L'histoire ne s'arrête pas là ! Ayo a vécu avant d'être malade ; il a vécu à côté de Pierre et de Madame Duchêne, des personnes qui l'ont enrichi et qui lui ont donné une force peu commune. Oui, avec eux, Ayo a repoussé les limites du mot "espoir". Mais il devra attendre quelques années pour connaître le secret de sa guérison. Où ? Chez Mama, la grande prêtresse de Togoville. Enfin...c'est ce qu'il croit, parce en vérité, l'aventure ne fait que commencer. En effet, à Bamako, au Mali, quelqu'un vient d'atterrir ; elle s'appelle Lincar. Lincar quitte son pays, la Belgique, pour partir enseigner le français dans un lycée de le capital malienne. Elle sort tout juste de l'université. Ayo, lui, a bien grandi ; il est un jeune homme. Le hasard, du moins en apparence, les fait se rencontrer. Un autre chemin s'ouvre alors à eux...

09/2017

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Notions

L'incommensurable, l'inouï, la vraie vie

L'incommensurable, l'inouï et la vraie vie Présentation L'incommensurable, l'inouï, la vraie vie sont les titres d'ouvrages de François Jullien. Ce sont trois concepts qui forment un triangle isocèle dont l'incommensurable et l'inouï sont les deux angles de base et la vraie vie le sommet. L'incommensurable dit la fêlure qui se découvre en beaucoup de points de notre expérience : tout n'y est pas bord-à-bord ou de plain-pied. Comme dans les nombres incommensurables, un hiatus y subsiste qu'on peut vouloir boucher mais qui ne se réduit pas. L'incommensurable dit simplement que cela n'entre pas dans la commune mesure que constitue l'ordre des nombres. Ainsi entre le plaisir et la jouissance, qu'on dit pourtant synonymes : le premier laisse mesurer sa satisfaction, l'autre a versé dans l'oubli de toute satisfaction. Il y a de l'incommensurable également entre la relation sociale et la relation intime : on fait un saut irrésorbable de l'une à l'autre. Parce qu'elle est irréductible, cette fêlure d'incommensurable ouvre un infini dans l'expérience. L'infini n'est donc pas seulement aux extrémités de l'expérience (l'infiniment grand ou l'infiniment petit), comme on se le représente d'ordinaire. Il se découvre au coeur de l'expérience un infini irréductible qu'on ne peut éliminer : notre existence est traversée de ces fêlures d'infini. Ces ressources d'incommensurable sont à détecter, mais à garder comme des ruptures, sans vouloir les boucher par autre chose, par du Sens et de l'idéologie. En regard de l'incommensurable, l'inouï dit, non la fêlure, mais le débordement de notre expérience. L'inouï est ce qui reste à la lisière et que d'ordinaire on n'entend pas. Car l'expérience ne devient " expérience " qu'en se rangeant dans des cadres déjà constitués : elle laisse donc échapper ce qui n'y trouve pas d'emblée sa place et qui par-là demeure " in-ouï ". Cet inouï n'est pas pour autant l'extraordinaire ou l'exceptionnel avec lesquels on le confond, car il peut être au contraire le plus ordinaire. L'inouï, autrement dit, est plutôt l'autre nom du " réel ", mais du réel auquel on n'accède pas parce qu'on ne peut le ranger dans l'expérience balisée ; et c'est pourquoi on le projette par commodité à l'extrémité de notre expérience et qu'on en fait de l' " extraordinaire " ou de l' " insolite ", comme le fait dans sa définition le dictionnaire pour nous en débarrasser. Que l'inouï puisse être le plus ordinaire, se vérifie d'ailleurs le plus simplement : vivre est de tout le plus inouï. Nous ne cessons de vivre, mais sans nous rendre compte de l'inouï de vivre, parce que vivre ne se laisse pas enfermer dans les cadres et les cases de notre expérience. Aussi faut-il fêler ces cadres figés de notre expérience pour pouvoir en déborder et commencer d'en entendre l'inouï. Tel est donc l'inintégrable qui relie l'incommensurable et l'inouï et les instaure en vis-à-vis. C'est pourquoi aussi, fêlure et débordement allant de pair, il faut fêler notre langage ordinaire pour le faire déborder dans sa capacité de dire, comme notre vie dans sa capacité d'exister, et pouvoir y dire l'inouï - ce que fait la poésie. Comme l'in-commensurable, comme l'in-ouï, la " vraie vie " est également un concept à entendre en creux, de façon négative ou plutôt nég-active, même s'il s'affirme en plénitude. Car le concept de vraie vie n'énonce pas quelque vérité sur la vie ni n'indexe la vie sur une vérité, mais fait ressortir ce qui est l'opposé de la " non-vie ", de la vie qui " ne vit pas ", de la vie qui n'est pas " une vie ", qui n'est au fond qu'une apparence de vie. Sa logique n'est pas celle de la fêlure comme l'incommensurable ou du débordement comme l'inouï, mais elle est celle du dé-couvrement : retirer ce qui masque la capacité de la vie à vivre et qui l'étiole. La vraie vie, autrement dit, se révèle quand s'y dégage ce qui recouvre l'expérience de la vie au point qu'on n'en perçoit plus ni l'incommensurable ni l'inouï. C'est pourquoi le concept de vraie vie est l'aboutissement des deux autres comme à leur départ, à la fois leur horizon et leur condition. Auteurs Jean-Pierre Bompied, enseignant de philosophie, a publié récemment Penser par écart, le chantier conceptuel de François Jullien, Descartes& Ce, 2019. Linda Branco, artiste (art souterrain et art collaboratif), anime l'association Décoïncidences Pascal David, philosophe, a publié de nombreux ouvrages, Penser la Chine, interroger la philosophie avec François Jullien, Hermann, 2016 Alain Douchevsky, philosophe, collabore à la revue Approches Patrick Hochart enseigne la philosophie à l'UniversitéParisVII-Paris Diderot Etienne Klein, physicien, philosophe des sciences, a publié de nombreux ouvrages et récemment Le goût du vrai, Gallimard, 2020 François L'Yvonnet, philosophe, éditeur (Editions de l'Herne), a publié récemment François Jullien, une aventure qui a dérangé la philosophie, Grasset, 2020 François Jullien, philosophe, a commencé son travail en Chine avant de déployer sa puissance conceptuelle et sa singularité dans de multiples domaines. Il est l'un des penseurs contemporains les plus traduits dans le monde.

01/2023

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Littérature érotique et sentim

Je t'ai rêvée - Tome 3. Vertiges

Alors que le quotidien des trois amis reprend doucement son cours, d'autres difficultés semblent se profiler à l'horizon... Dans ce troisième tome, nous retrouvons Yohann, Greg et Lena plus soudés que jamais par le drame qu'ils ont vécu. Lena est sortie du coma, mais il lui reste un grand travail de rééducation à surmonter. Greg continue à courir de bras en bras, mais il revient toujours inlassablement vers Emily, son seul véritable amour, malgré les avertissements de Yohann. Quant à ce dernier, il rêve d'un enfant avec sa belle Rachel... Après tant de drames, Yohann, Greg et Lena seraient-ils à l'aube d'une nouvelle vie ? Découvrez sans plus attendre le troisième tome d'une saga de romance à couper le souffle ! EXTRAIT Je me revois rire avec Yohann pendant qu'il me raccompagnait au garage. J'avais prévu d'aller voir Emily, oui, j'avais envie de passer la soirée avec elle. On était mal lui et moi avec l'histoire de Lena. On ne savait pas où elle était ni si elle allait bien. Je me souviens m'être dit que j'avais besoin des bras de Mily, parce je savais qu'auprès d'elle je m'apaiserai. Je pourrai retrouver les forces qui me manquaient et dont j'allais sûrement avoir besoin dans les jours à venir. J'ai mis du temps pour arriver sur le pont de la Tournelle, ça roulait mal. J'ai appelé Emily pour lui dire que je venais... Je lui ai demandé si elle voulait dîner dehors... Elle a dit... qu'elle n'en avait pas trop envie. J'ai mis de la musique et puis j'ai reçu un message de Théo. La photo de Lena, Quai aux fleurs. Je me rappelle avoir pilé d'un coup sec en la reconnaissant et avoir retiré mon téléphone de son support pour regarder la photo de plus près, mais Théo m'a appelé... Je ne sais plus où je suis à cet instant. Est-ce que j'ai repris la route ? Non, je ne sais plus. A PROPOS DE L'AUTEUR Eva B. a toujours aimé lire et mûrissait depuis longtemps l'idée de passer du côté de l'écriture. Alors, quand la maternité dans laquelle elle travaillait a fermé ses portes, elle s'est dit que rien n'arrive par hasard, et elle a décidé de relever le défi d'écrire ! Ainsi naquit le premier tome de Je t'ai rêvée.

08/2019

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Humour

Ma vie est mieux que la vôtre

"Sois toi-même" , "reste vrai. e" , et surtout "crois en tes rêves" ... On a tous et toutes lu un jour ce genre de conseil qui, quand ça ne va pas très bien, donne envie de courir tout droit dans une baie vitrée. Car, oui, la vie est un poil plus compliquée qu'un poncif sur le bonheur ou une graine de chia sur du fromage blanc 0 %. J'ai donc décidé d'aborder dans ce livre les vraies questions du quotidien : comment savoir si la personne qui vous court après avec un couteau est un serial killer ? Quel fond de teint choisir pour cacher un bleu de Flash-Ball ? Faut-il se faire pousser une moustache pour demander une augmentation à son boss ? Autant de réponses que vous trouverez dans ce livre et qui vous aideront, je l'espère, à affronter ce monde hostile. Dans cet ouvrage drôle et impertinent qui retrace son parcours et intègre des anecdotes personnelles, des tutos et des conseils pratiques, Alison Wheeler s'amuse à détourner les codes des témoignages lifestyle des célébrités pour en souligner l'absurdité. Comédienne et autrice, Alison Wheeler est une artiste protéiforme qui épice son humour noir d'autodérision, d'un féminisme féroce et d'une joyeuse absurdité. Membre du collectif Studio Bagel, puis humoriste sur France Inter, elle officie désormais sur Quotidien où elle présente deux chroniques hebdomadaires aussi caustiques qu'irrévérencieuses. "Elle est de loin l'humoriste la plus talentueuse du PAF. La preuve, elle dure. A 33 ans, Alison Wheeler est au top. Le moment idéal, donc, pour sortir Ma vie est mieux que la vôtre, un faux guide de coaching hilarant". CAUSETTE "L'anti-guide de la femme idéale" GALA "Humoriste bien trash du Quotidien, Alison Wheeler enfonce le cou dans Ma vie est mieux que la vôtre. Tutos et conseils absurdes, féminisme féroce... Une premier livre délicieusement irrévérencieux". GRAZIA "Ses pastilles d'humour ravageur font mouche chez Yann Barthès. Elle ose même nous donner des conseils bien-être en publiant Ma vie est mieux que la vôtre". PARIS MATCH "Marre des livres bien-être et des tutos pratiques pour améliorer votre quotidien ? Précipitez-vous sur son livre, où elle détourne les codes des témoignages lifestyle pour mieux en souligner l'absurdité". TELE 7 JOURS "Un antiguide savoureux pour répondre aux questions les plus importantes de l'existence, telles que "l'homme qui vous court après avec un couteau est-il un serial killer ? " " FRANCE DIMANCHE

11/2019

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Beaux arts

Le roman source d'inspiration de la peinture khmère à la fin du XIXe et au début du XXe siècle. L'histoire de Preah Chinavong et son illustration dans le la (sâlâ) de Vat Kieng Svay Krau, 2 volumes

"L'Histoire de Preah Chinavong est au Cambodge un de ces romans, comme il en existe des quantités, dont la trame, toujours la même, relate par le détail les faits et gestes mouvementés d'un héros, évidemment princier. Sa popularité est cependant peut-être plus grande que celle des autres romans et c'est sans doute à cela qu'elle doit d'avoir été publiée par les soins de l'Institut Bouddhique de Phnom Penh. C'est aussi, vraisemblablement, l'une des raisons pour lesquelles elle fut illustrée par des peintures dans la sala de Vat Kieng Svay Krau à Koki. Nous nous appliquerons dans une première partie à apprécier ce qu'est la place réelle du roman dans le contexte cambodgien en même temps que nous évoquerons brièvement les diverses formes d'expression vocales et théâtrales qui ont puisé une part de leur inspiration dans l'Histoire de Preah Chinavong. Puis, après avoir localisé les peintures et avoir donné à leur propos un certain nombre de renseignements généraux, nous les confronterons, dans leur déroulement narratif, au texte de l'Institut Bouddhique. Toute notre deuxième partie sera consacrée à cette confrontation. Enfin, dans une troisième partie qui, dans notre esprit, est la plus importante, nous procéderons à une analyse de l'oeuvre peinte, c'est-à-dire que nous essaierons de dégager ce que sont les règles d'iconographie qui ont présidé à la représentation des personnages, de l'architecture et du paysage et celles qui ont influencé la composition des peintures. Pour cela, nous ferons de nombreuses références à la peinture thaïe classique et, dans une moindre mesure, nous le regrettons, à quelques ensembles picturaux du Cambodge". Sommaire Introduction Première partie Le roman et son retentissement dans le contexte cambodgien I. La littérature romanesque au Cambodge II. L'histoire de Preah Chinavong source d'inspiration de diverses formes d'expression vocales et théâtrales au Cambodge III. L'Histoire de Preah Chinavong source d'inspiration de la peinture Deuxième partie Confrontation de l'histoire de Preah Chinavong et des peintures qui l'illustrent Conclusion de la deuxième partie Troisième partie Etude sur l'iconographie et la composition des peintures Etude iconographique A. Les personnages I. L'aristocratie : apparence générale II. L'aristocratie : attitudes III. L'aristocratie : gestes IV. Les autres humains V. Les guerriers et leurs armes VI. Personnages et animaux mythiques B. Les cadres de l'action : l'architecture C. Les cadres de l'actions : le paysage Conclusion d'ensemble Index Tableau généalogique de Preah Chinavong Lexique Bibliographie Table des monastères et autres lieux renfermant des peintures

01/1982

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Esotérisme

Lettre au président Sarkozy et au Nouvel Ordre Mondial de la part du monde des Fées, des Anges et des Dragons

Eh oui, le monde des Fées et des Anges a aussi quelques mots à dire au Président Sarkozy et à tous les dirigeants du nouvel ordre mondial. Suite aux nombreuses prières et appels des Humains, une Alliance faite d'êtres de multiples formes de vies dont la majorité des Humains ne soupçonne même pas l'existence, a décidé que l'Humanité ne serait pas détruite. Ils ont une proposition concrète à faire à l'Humanité. Chacun pourra y réaliser ses aspirations. Soit réveiller son Dieu ou sa Déesse Intérieur et participer à l'avènement de l'Ascension de l'Age d'Or sur Terre Gaïa. Soit continuer son expérimentation d'attachement à l'illusion de la dualité dans cette matrice basée sur la possession, ce qui servira aussi la Vie soyez en sûr. Pour ceux qui veulent faire le travail alchimique de réveiller leur Divinité intérieure, voici quelques clefs précieuses pour y arriver... Ces clefs ont toujours été cachées, car elles remettent en question toutes les grandes religions ainsi que le système politique en place actuellement. Ces messages seront très difficiles à accepter, car ils touchent un sujet que peu d'humains sont prêts à remettre en question : notre définition même de l'Amour. Que les messages contenus dans ce livre proviennent vraiment du monde des fées ou pas n'a aucune importance. C'est le message qui compte et pas le messager ! Ce qui compte, c'est de comprendre qu'aujourd'hui, notre Humanité est à la croisée des chemins. Ou elle se remet profondément en question, ou elle se détruira, en tout cas partiellement. La question vitale, c'est de comprendre ce qui, dans nos modes de vie et de pensée, a fait que nous en sommes arrivés là... Et comment s'en sortir... Ces clefs sont une réponse efficace, simple et accessible pour chacun d'entre nous. Le temps est venu aujourd'hui de choisir entre le fait de faire un maximum d'efforts pour que nos enfants aient un futur, ou de faire d'autres choix... II n'y a pas de mauvais choix, tant qu'il s'agit de ton choix profond. Ce monde changera de toute façon... A toi de choisir dans quelle proportion tu veux faire partie du problème ou de la solution. Ces pages ne sont pas un livre. Il s'agit d'une lettre destinée à chaque être vivant de cette planète. De toute façon, chacun joue un rôle utile dans cette histoire et malgré les apparences, nous nous aimons tous et toutes depuis toujours et pour l'Eternité.

07/2009

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Littérature française

Nos conversations du mercredi

Angelo, inscrit au collège en classe de 4e, rend visite à son grand-père Arrigo tous les mercredis. Sa mère Charlotte, la fille d'Arrigo, est morte récemment d'une sale maladie. Angelo rêve de devenir informaticien et codeur, il veut travailler dans l'algorithme, dit-il. Il ne sera pas chirurgien comme son grand-père, ni médecin, c'est bien trop triste les gens malades et inquiets. Angelo est bon en maths mais il craint de faire partie d'un groupe imaginaire, les « élèves décrocheurs ». « Dis-lui de dire oui à ce dont il a envie », avait soufflé Charlotte à son père, Arrigo. Angelo n'aime pas la littérature mais il avale quantité de bouquins – quand il n'est pas sur son ordinateur. Déviant la conversation, Arrigo raconte ce qu'il sait de l'histoire de sa famille paternelle. Un arrière-grand-père venu de Hongrie, émigré à Venise. Le père d'Arrigo s'appelait lui aussi Angelo. Pendant la guerre de 1914, trop grand pour les tranchées, il était pilote d'hydravions et chassait les sous-marins au large du port de Palerme. Personne n'avait questionné ce choix dû à sa grande taille. Angelo s'en étonne. Le grand-père et le petit-fils préparent leur voyage en Angleterre. À Londres, le meilleur moment pour Angelo, c'est sa rencontre avec Pete, un ami de son père, tous les deux musiciens de jazz. Pete lui coupe les cheveux – courts sur les côtés, fournis sur le haut du crâne – dans son salon de coiffure « We are Cuts ». À Cambridge, Angelo est déçu. Trop austères, les bâtiments, on se croirait au Moyen-Âge. Trop étrange, l'office du soir à la chapelle du King's College. Ils en arrivent à se poser mutuellement la question suivante : le Tartuffe de Molière, si on te confiait la mise en scène, tu en ferais quoi ? Qu'est-ce que tu ferais des personnages ? Tartuffe est-il le gros dégoûtant qu'on décrit d'ordinaire, ou bien a-t-il suffisamment de charme pour plaire à Elmire ? Quand ils parlent, Angelo s'installe habituellement sur le fauteuil, la tête en bas, si bien qu'Arrigo a l'impression de parler à ses pieds, déjà grands comme des barques. Quand transmettre, quoi, comment ? Cette question universelle est-elle un devoir, une exigence, une éthique ? Arrigo Lessana choisit la vie, l'humour, la tendresse, pour qu'il n'y ait ni oubli ni inquiétude. Nombreux y trouveront un modèle.

10/2018

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Histoire de France

Le roman de Napoléon III

"Suis-je bonapartiste ? En écoutant mon coeur, je répondrai sans hésiter oui. Je suis bonapartiste, certes, mais en rappelant que le bonapartisme selon Napoléon III n'est pas un parti mais un état d'esprit et, en ce qui me concerne, un état d'âme". Christian Estrosi Ministre chargé de l'Industrie Maire de Nice Président de Nice Côte-d'Azur Napoléon III, le mal aimé, le méconnu, méritait une autre image que celle que la postérité nous a laissée. Christian Estrosi et Raoul Mille sont entrés dans l'intimité du dernier empereur, pour découvrir l'homme, ses réalisations, ses rêves, ses contradictions. Personnage d'une richesse insoupçonnée : humaniste, pragmatique, aventurier, il a été un véritable pionnier dans le domaine de l'industrie et a marqué la vie sociale de son empreinte. Il a connu l'exil, l'aventure en compagnie des Carbonari, la prison de Ham, la conquête du pouvoir, puis le calvaire dans la boue et le sang de la guerre de 1870. Ni les fastes, ni les bals, ni les passions ne sont oubliés, mais c'est un nouveau visage de Napoléon III, résolument moderne, qui se détache de ce livre, fervente réhabilitation d'un homme généreux et novateur dans un XIXe siècle qui a préparé, grâce à lui, le nôtre. Ecrivain, conseiller municipal délégué à la culture de la ville de Nice, Raoul Mille a obtenu le prix Interallié pour Les Amants du Paradis, le prix Paul Léautaud pour Père et Mère et le prix Baie des Anges pour Le Paradis des Tempêtes. Dans ses romans comme dans ses chroniques, il a toujours illustré la magie et l'histoire du pays de son coeur, Nice. Christian Estrosi est Ministre chargé de l'Industrie, président de Nice Côte-d'Azur et maire de Nice. Fasciné par les récits des hauts-faits de l'Histoire de France, Christian Estrosi s'est passionné pour Bonaparte, "le chaînon reliant le passé à la modernité" . Ecrivain, conseiller municipal de la ville de Nice, Raoul Mille a obtenu le Prix Interallié en 1987 pour Les Amants du Paradis (Grasset), le Prix Paul Léautaud en 1993 pour Père et Mère (Flammarion), le Prix Baie des Anges en 1997 pour Le Paradis des Tempêtes (Albin Michel), le Prix de soutien à la création littéraire décerné par l'Académie Française en 2005 pour Marie Bashkirtseff (Albin Michel). Dans ses romans comme dans ses chroniques, Raoul Mille a toujours illustré la magie et l'histoire du pays de son coeur, Nice.

06/2010

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Littérature étrangère

Le jour où les skateboards seront gratuits

« La révolution est non seulement inévitable, elle est très imminente. Et le moment venu, mon père en sera le chef. » Alors que Saïd n'a que neuf mois, son père estime qu'il a mieux à faire que de s'occuper de sa famille : oeuvrer pour que la révolution triomphe aux Etats-Unis. Mahmoud est né en Iran ; il a fui le régime du Shah et s'est installé à New York où il est devenu un membre éminent du parti socialiste des travailleurs. Personnage haut en couleur et charmeur, il épouse Martha Harris, juive américaine avec laquelle il a trois enfants. Tandis que les deux aînés finissent par suivre le père, le petit Saïd est élevé par sa mère, fervente militante trotskiste, marginale, dépressive et tendre. Pour être fidèle à ses idéaux et alors qu'elle fait partie de la middle class, elle choisit l'expérience du déclassement. Elle décide de vivre au cour de quartiers délabrés, dans des appartements sordides, à Brooklyn puis à Pittsburgh. A l'ombre d'un père fantasque, Saïd vit sous le joug d'interdits absurdes qui l'excluent subtilement de la communauté des enfants : interdiction de manger du raisin en raison du boycott exigé par le syndicat des ouvriers agricoles, interdiction de posséder un skateboard tant que les planches à roulettes ne seront pas gratuites pour tous, etc. Quant aux loisirs, ils sont exclusivement consacrés au militantisme. Mère et fils passent vacances et week-ends à distribuer des tracts, à manifester ou à rendre visite à des prisonniers noirs évidemment victimes des salauds de capitalistes. À ce mode de vie finalement exotique dans l'Amérique des années 70 quand triomphe la société de consommation, s'ajoute l'incongruité d'un nom de famille imprononçable. Et en pleine crise de la prise des otages à l'ambassade américaine de Téhéran, le patronyme devient, pour le petit Saïd, un objet de moquerie et un motif de honte supplémentaires. Ce qui frappe dans le récit autobiographique de Saïd Sayrafiezadeh, c'est d'abord le ton enlevé, presque enjoué dont use le narrateur. Tout est vu à travers les yeux malicieux, vifs et moqueurs de l'enfant. Oui, c'est un garçon abandonné - sa mère sacrifie sa vie de femme et la part d'innocence de son fils à la révolution - à qui on interdit l'insouciance, mais il continue de ne voir que le côté cocasse des choses. Comme s'il avait opté pour l'élégance de l'humour afin de déjouer le sentimentalisme dégoulinant des biens pensants. Il ne faut pas compter sur Saïd Sayrafiezadeh pour plaindre l'enfant qu'il fut.

09/2013

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Sociologie

Bulletin du Centre d'Analyse du Discours n°4 (1980)

Les articles réunis dans ce volume sont de trois types : 1) Quatre d'entre eux traitent de faits de langue ou de discours synonymiques ou réputés tels, du Moyen Age à nos jours : - Claude Buridant esquisse une histoire de la grandeur et de la décadence des binômes synonymiques du Moyen Age au XVIIe siècle. Figure fondamentale de la rhétorique médiévale, où il joue un double rôle d'explication et d'ornement, le couple de synonymes est condamné au XVIIe siècle par une rhétorique de la justesse et de la brièveté et par le progrès de la lexicographie. - Jean-Pierre Beaujot observe la formation, dans l'usage contemporain, d'un fait de synonymie : le passé antérieur, venu du récit, passe dans le discours pour faire système avec le passé composé, concurrençant ainsi le passé surcomposé. - Nelly Danjou-Flaux montre, à partir d'exemples pour la plupart extraits du corpus Trésor de la langue française, comment la prise en compte de divers niveaux d'articulation du sens ("grammatical", "fonctionnel", "discursif", "énonciatif") permet de discriminer les emplois de locutions habituellement données comme synonymes : au contraire, par contre et en revanche. - Enfin, dans une perspective transformationnelle, sur des exemples construits, Elisabeth Fichez-Vallez aborde la question de la synonymie des verbes morphologiquement apparentés porter et apporter, à partir de l'examen de leurs relations syntaxiques de paraphrase. 2)Trois autre articles examinent divers aspects des conceptions de la synonymie à l'oeuvre chez des lexicographes et des pédagogues des XIXe et XXe siècles : - Michel Glatigny compare la notion de synonymie et la pratique de l'analyse des synonymes chez trois auteurs réunis en 1809 dans le dictionnaire de Guizot (Girard, Roubaud et Guizot lui-même), et examine si, dans l'empirisme qui les caractérise tous, la notion de "sens propre" de Guizot constitue une avancée vers la moderne analyse sémantique. - Danielle et Pierre Corbin, dans deux articles complémentaires, étudient cette théorie sociolinguistique implicite de la synonymie qu'est le discours des niveaux de langues. Ils cherchent à évaluer, dans un dictionnaire contemporain -le Micro Robert- , la cohérence de ce discours, dont Pierre Corbin, pour sa part, recense les caractéristiques essentielles, par la confrontation de textes émanant de pédagogues et de lexicographe. 3)Pour finir, un article traite de la théorie de la synonymie dans le cadre des réflexions linguistiques modernes et contemporaines : - Danielle Cahen analyse les liens qui unissent, au XXe siècle, pour tout courant de la philosophie anglaise du langage, les notions de synonymie et d'analycité. Ces liens sont-ils nécessaires ? Si oui, de quel ordre doivent-ils être ?

01/1980

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Actualité et médias

Dire nous. Contre les peurs et les haines, nos causes communes

Dire nous, c'est inventer tous ensemble le "oui" qui nous manque, celui d'un peuple réuni dans sa diversité et sa pluralité autour de l'urgence de l'essentiel : la dignité de l'homme, le souci du monde, la survie de la terre. Le "nous" de l'égalité, sans distinction d'origine, de condition, d'apparence, d'appartenance ou de croyance. Le "nous" des causes communes où s'invente concrètement l'espérance, là où nous vivons, là où nous travaillons, dans tous ces lieux où nous faisons déjà route ensemble. Le "nous" des audaces démocratiques, sociales et écologiques sans lesquelles il n'est pas de confiance retrouvée dans un avenir partagé. Ce "nous", seul capable d'enrayer la machine infernale qui met la France en guerre contre elle-même, en inventant des boucs émissaires. Ce "nous" qui fera enfin barrière aux divisions où, par la haine, le rejet et la peur, se perpétue la domination d'une minorité et la dépossession de la majorité. Ce "nous" où s'inventera un espoir commun, dans la délibération collective, plutôt qu'une aventure personnelle, avec son cortège de déceptions et d'amertumes, tant le "je" présidentiel ruine la confiance démocratique en confisquant la volonté du peuple. Dire nous fait suite à Dire non, paru en 2014. L'alarme qui l'animait alors est, hélas, encore plus justifiée aujourd'hui. Les tenants du repli identitaire, du racisme banalisé, de la xénophobie assumée tiennent le haut du pavé médiatique tandis que nos gouvernants leur cèdent du terrain en nourrissant le terreau des peurs et des haines. Leurs renoncements sociaux et leurs régressions démocratiques, leur manque de hauteur et leur absence de vision, leur soumission aux intérêts minoritaires de l'oligarchie financière sèment le désespoir et la colère. Prisonniers du court terme et obsédés par leur survie, ils ne mènent pas la bataille des idées. Pis, par frilosité, conformisme ou aveuglement, ils ne cessent de reculer face aux idéologies renaissantes de l'inégalité et de l'identité, destructrices de la promesse concrète d'une République démocratique et sociale. Eux-mêmes gagnés par la peur devant l'inconnu et l'incertain, ils s'avèrent incapables de proposer un imaginaire rassembleur, réduisant la politique à l'économisme, sa vitalité à une statistique, son ambition à la gestion. Il est temps de dire "nous", et de tracer une autre route, celle d'une civilisation du partage et de l'échange, de la délibération et de la relation, de l'égalité et de la solidarité.

03/2016

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Garder la forme

Votre santé au travail on s'en parle ?

Michel Cymes, le médecin préféré des Français, s'attaque à un sujet d'actualité : la santé et le bien-être au travail. Un livre pratique, empathique, nécessaire truffé de conseils d'experts, de routines quotidiennes et de pistes concrètes pour se sentir bien dans son job, physiquement, moralement et avec les autres. Parce que la santé au travail, c'est non négociable ! Le travail, ce n'est pas toujours la santé... Aujourd'hui, de plus en plus de personnes souffrent dans leur job. Physiquement (mal au dos, troubles musculo-squelettiques...), et moralement (on ne citera qu'un seul chiffre : 3 millions d'actifs seraient menacés ou victimes de burn-out). On le voit, la crise sanitaire actuelle n'a pas arrangé les choses. En bouleversant nos modes de travail, en accentuant le climat d'insécurité, en révélant les risques psycho-sociaux, elle est venue amplifier nos questionnements sur la place du travail dans nos vies, les limites de plus en plus floues entre la sphère pro et perso, le droit à la déconnexion, le manque de reconnaissance, etc. Alors oui, le bien-être au travail, il est urgent d'en parler. Fort de cette conviction et du succès rencontré par les conférences qu'il a animées (avant la pandémie) sur ce thème dans plusieurs villes de France, Michel Cymes s'empare du sujet pour sensibiliser les entreprises sur tout ce qu'il reste à faire en matière de prévention. Et surtout apporter des pistes concrètes aux salariés, indépendants, managers, chefs d'entreprises pour se sentir bien ou mieux dans leur job. Ni ouvrage sociologique, ni philosophique et encore moins manuel de développement personnel, ce livre illustré de dessins humoristiques se veut avant tout pratique... et empathique. Avec des auto-tests pour faire le point, des recommandations d'experts (médecin du travail, psychologue du travail, kinésithérapeute, ergonome...), des conseils et des routines pour améliorer son bien-être au quotidien. Un livre nécessaire pour améliorer le bien-être au travail sous tous ses aspects : Bien dans son job physiquement : les troubles musculo-squelettiques, la vue, le sommeil, l'alimentation, le travail de nuit et posté. Bien dans son job avec les autres : des pistes pour améliorer ses relations et amener davantage de bienveillance dans le monde du travail. Bien dans son job sans stress : comprendre les causes de stress dans le monde professionnel, proposer des outils pour mieux le gérer, et aborder la question du télétravail. Face aux situations de crise : comprendre et appréhender le burn-out et le harcèlement au travail.

08/2021

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Football

180'Chrono . France Allemagne 1982

Romans, pièces de théâtre, films, chansons, livres, BD, séries télé... Jamais un match n'a laissé une telle empreinte dans l'imaginaire collectif, dans la culture, dans la mémoire des Franc?ais. Jamais, non plus, un match n'a suscité une telle émotion, une telle détresse parfois, chez ceux qui l'ont vécu, marquant durablement toute une génération de supporters. Il faut dire que tout, dans la dramaturgie de cette demi-finale du Mondial 1982, fut exceptionnel. Il y a le contexte, bien su?r : l'équipe de France n'avait jamais atteint un tel niveau depuis 1958, son " carré magique " et son animation offensive suscitaient l'admiration du monde entier. Il y a l'adversaire, évidemment : l'Allemagne, l'ennemi héréditaire... Mais au-delà, le match lui-même fut un époustouflant enchaînement de moments d'anthologie, balayant toute la gamme des sentiments : l'injustice avec l'agression de Schumacher sur Battiston à la 56e minute, la frayeur quand celui-ci sort sur une civière, secoué de spasmes, l'émotion lorsque Michel Platini lui prend la main ; la révolte, menée sabre au clair par des Bleus ultra-dominateurs ; le choc lorsque la frappe d'Amoros s'écrase sur la barre à la toute dernière minute ; la joie après le but de Trésor en prolongations, l'euphorie après celui de Giresse : la France mène alors 3-1, la porte de la finale semble grande ouverte ; et puis l'inquiétude au moment où Rummenigge, blessé, fait son entrée, le tourment après que ce même Rummenigge eut réduit le score, l'accablement après l'égalisation de Hrubesch ; enfin, le cauchemar après la séance de tirs au but (une première dans l'histoire de la Coupe du monde) et les échecs de Didier Six et Maxime Bossis... Et la nuit qui tombe sur Séville et sur tous les supporters franc?ais. Alors oui, ce match fait partie de la légende du football, et chacun croit en connaître le déroulement par coeur. Mais il n'a encore jamais été raconté de cette fac?on, à la première personne, par les acteurs eux-mêmes : Karl Olive donne la parole aux joueurs (Platini, Giresse, Battiston, Soler, Trésor, Rocheteau...) et à tous ceux qui, journalistes ou staff, ont vécu en première ligne le "match du siècle" et le décrivent de l'intérieur, tel qu'ils l'ont vécu sur la pelouse, sur le banc, en tribune ou dans le vestiaire, minute par minute, à la manière d'un épisode de 24 heures chrono... Un document exceptionnel, un regard inédit sur un match qui fait l'objet d'un véritable culte.

06/2022

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Tarots

Tarot. La base ! Guide d'infiltration pour les non initiés qui veulent tout capter

Le guide illustré facile du tarot pour prendre en main les cartes et s'amuser sans avoir besoin d'un bac + 5 en occultisme ! Une approche décomplexée et originale, par le jeu et la pratique. Un thème toujours tendance, après l'astrologie et la numérologie. On a tous connu quelqu'un qui tire les cartes dans le fin fond de la campagne, quelqu'un avec un don transmis de génération en génération, quelqu'un de spécial et de fancy... On se dit alors qu'à défaut d'avoir un don, il nous faudrait lire pas moins de 50 livres sur le tarot pour pouvoir être digne de faire des tirages. Mais c'est FAUX ! Pas besoin de super pouvoirs ni d'un master d'art divinatoire pour se lancer, et tomber dans la marmite du tarologue sans se brûler les fesses ! Ceci n'est pas un énième ouvrage indigeste sur le tarot, ici c'est Tarot land ! Dans ce guide ludique et accessible à tous, Audrey Sebti, du compte Instagram @oraclinzel, propose une méthode originale pour s'approprier le tarot par la pratique et le jeu - avant de passer à la théorie et à la symbolique. Oui, parce qu'on peut tout à fait devenir une bad bitch du tarot sans bûcher ses cours, que l'on soit débutant niveau poussin ou initiés niveau ligue 1. Avec les illustrations fun de la pétillante Youlie (@youliegram), ce guide dépoussière le tarot avec humour et références pop pour en faire un vrai jeu d'enfant. La méthode @oraclinzel, ultra facile et ludique : De la pratique... des jeux pour se familiariser avec le tarot (time's up tarot, tarot loto, qui est-ce tarot ? , une guidance presque parfaite) et proposer sa propre interprétation des cartes en s'affranchissant de la symbolique officielle, des tutos pour devenir une bad bitch du tarot : les redflag quand tu te lances en solo, l'art de poser sa question, le choix des mots dans l'interprétation, l'explication des symboles pour confronter son intuition... ... à la théorie Le décodage des 22 Arcanes majeures et 56 arcanes mineures illustrées, expliquées avec humour et ancrées dans le quotidien pour faciliter la compréhension. Des interprétations stylées et des tirages tout terrain (le basique tirage, le tinder tirage, le pôle emploi tirage, le toi + moi tirage...). Un starter pack en fin d'ouvrage : des fiches récap avec la symbolique des cartes et les principaux tirages en un coup d'oeil.

09/2023

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Réalistes, contemporains

Le jour où le bus est reparti sans elle : Pack en 5 volumes : Le jour où le bus est reparti sans elle ; Le jour où elle a pris son envol ; le jour où elle n'a pas fait Compostelle ; Le jour où elle a suivi sa valise ; Le jour où la nuit s'est levée

Clémentine est un peu perdue et cherche des réponses a ses doutes existentiels. heureusement, la vie réserve toujours des surprises a ceux oui sont prêts a les recevoir. de rencontres insolites en histoires de sagesse, qui sait si Clémentine n'a tout simplement pas trouva son chemin vers le bonheur... Chaque tome est une histoire complète Guillaume et sa compagne Solène se joignent a un "voyage méditatif" à Bali. Mais a l'arrivée, plusieurs bagages ont été égarés.. guillaume propose de les attendre seul, avant de rejoindre le reste du groupe. En compagnie des valises perdues, d'un papi balinais au sourire communicatif et d'une 'évaporée' japonaise, guillaume va entreprendre une équipée insolite, marquante et formatrice. Sa vision de lui-même et du monde en sera changée à tout jamais... car, après tout, n'est-ce pas ce que ton croit qui devient notre réalité ? depuis sa rencontre avec Antoine, le sage-épicier, Clémentine a change pas mal de choses dans sa vie. Mais elle n'a toujours pas trouvé ce qu'elle cherchait : le bonheur et l'apaisement. Quand elle retourne à l'épicerie, Clémentine fait la connaissance de Simon, un physicien-apiculteur, ami d'Antoine. Grâce à lui, Clémentine va entrevoir tous les chemins de vie possibles qui s'offrent a elle. Mais comment faire pour trouver le bon ? pour le savoir, une seule solution... essayer ! L'hiver, en fin de journée... Une tempête de froid et de neige s'abat sur Paris, bloquant plusieurs personnes dans la librairie de Clémentine, dont Guillaume et Naori, maintenant installés dans la capitale, ainsi que Chantal l'écrivain. Cette bulle de temps imprévue sera l'occasion pour chacun de faire remonter ses souvenirs d'enfance, de réfléchir au poids de l'héritage familial, de l'éducation qu'il a reçue, à l'influence de ses parents et de sa famille sur sa vie et ses choix. Jusqu'à ce que la tempête se calme et que la nuit se lève sur un nouveau jour... et peut-être une nouvelle façon de voir et de mener sa vie. Antoine et Clémentine se retrouvent pour marcher dans les Pyrénées. " On va suivre un GR ? " demande Clémentine. " Plutôt des CM ! des chemins de moutons ! " répond Antoine. car prendre des routes balisés, suivre des sentiers battus, revient à dire sous l'emprise des "aimanteurs", qui nous éloignent de notre propre chemin de vie, unique et singulier. A travers une balade au gré de leurs envies, Antoine veut révéler à Clémentine une dernière clé, qui va lui permettre d'ouvrir grand la porte sur le reste de sa vie...

08/2021

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Santé, psychologie

Les bêtises. Tu veux qu'on en parle ?

Les bêtises, ça parle bien aux enfants ! - Dans un style parlé et immédiat, le narrateur échange avec les deux enfants et rebondit à leur interrogations en déroulant un fil qui les conduit à comprendre ce qu'entraîne une petite bêtise, une plus grosse ou un comportement de désobéissance en général. Le titre part d'une situation du quotidien de l'enfant, puis on déroule le propos en apportant des pistes de réponses et des propositions d'aides clefs, pour dédramatiser. - L'originalité de la collection tient au jeu progressif des questions qui amène à la compréhension globale d'un problème. Le ton est léger, peu formel, spontané, et le discours est émaillé d'exemples du quotidien, de ceux que rencontrent réellement dans leur vie, les enfants. Bêtises et désobéissance Pourquoi je n'aime pas obéir aux grands ? Thèmes abordés : -être responsable de ses actes même si on n'a pas " fait exprès " -ne pas mentir en niant un fait -désobéir pour se venger -désobéir par colère -désobéir par jalousie -faire des " petites " bêtises pour rire... Exemple de déroulé : ... ... ... . Et moi, comme bêtise, j'ai collé un chewing- gum dans les cheveux d'une copine ! Oh ! Oh ! Alors, Céleste, là, il y avait quel message ? Je crois que j'étais jalouse car elle a de très longs cheveux. Elle a dû t'en vouloir ton amie ! Oui car elle a dû se faire couper les cheveux ! En vrai, je voulais pas être méchante ! Tu as le droit Céleste de ressentir de la jalousie. Tu peux lui faire une place car elle fait partie de toi, de qui tu es. Comment ça de qui je suis ? Nous avons tous en nous des bons et des mauvais sentiments. Si tu en prends conscience tu peux décider de nourrir la part de toi que tu préfères. C'est quoi les parts de nous ? Il y a le petit diable qui nous pousse à faire des choses négatives et parfois méchantes et il a la part belle qui te pousse à être bon et généreux. En prenant conscience de cela tu peux choisir la part que tu veux faire grandir. Mon frère parfois, il se moque de moi, j'ai la colère qui monte et je deviens le méchant Gary. Et comment tu te sens avec cette part méchante ? Je me sens triste après, car je l'aime bien mon frère ! On peut se laisser déborder par notre colère mais cela nous enferme dans des sentiments négatifs, c'est pour cela que tu es triste après... ... ... ... ... .

05/2023

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Beaux arts

Les Brown Decades. Etude sur les arts aux Etats-Unis (1865-1895)

Les Brown Decades ont commencé après la guerre de Sécession : elles ont pris fin avec l'adoption de la frontière. La couleur de la vie en Amérique a changé par la suite. L'électricité a effectué des progrès pour notre civilisation mécanique : la période néotechnique était née. Les nouveaux appareils de libération du territoire, l'automobile, l'avion et la radio, ont été inventés : l'atome a révélé la complexité insoupçonnée et la psychologie a mis en lumière des profondeurs jusqu'alors intactes dans l'esprit. A côté de ces impulsions vives à la réflexion et à l'action sont des éléments plus sombres, aussi sombres que tout ce qui a été généré par la guerre de Sécession : la journée du pionnier industriel finie, un impérialisme agressif commençait la recherche de nouveaux marchés et par une centralisation constante du pouvoir et de la richesse, des villes monstrueuses ont commencé leur existence : l'embrigadement des hommes et de la culture de choses ont suivi. Les Brown Decades finissaient : leurs créateurs et initiateurs ont été négligés, jetés avec mépris de côté, leurs espoirs sont devenus insolvables ; leurs seuls monuments ont ironiquement défié le temps. Nous avons gagné et nous avons perdu. Qui peut pleinement montrer où, qui peut estimer combien ? Un changement définitif dans notre vie a eu lieu vers 1895 et il y a quelque chose derrière celui qui se perd dans un simple compte des choses, des forces, des machines, des institutions, des événements : quelque chose qui nous échappe encore et semble détenir un indice. C'était peut-être que seulement une couleur. Mais ce qui était valable dans l'art et dans la pensée des Brown Decades n'a pas cessé d'exister, même si cela a été temporairement oublié. Si l'on met l'accent sur les personnes négligées des Brown Decades, il n'y a pas a dénigrer les leaders reconnus ou a rabaisser tout à fait leur travail : il s'agit plutôt de placer la totalité de la somme des réalisations dans une meilleure perspective et de mettre en premier plan les noms les plus illustres. Quand les artistes s'appelaient - Olmsted, Roebling, Richardson, Ryder - les Brown Decades devenaient dans les arts ce qu'était le Guilded Age dans la littérature : l'accomplissement du passé et un point de départ pour l'avenir. Ce travail mène-t-il vers notre propre génération ? Oui, au moins, dans une certaine mesure. Vers une réalisation encore plus solide que la nôtre ? Espérons-le.

11/2015

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Seinen/Homme

The Big Wall

Il a fait du style alpin son art de grimper et le solo sa voie de prédilection. Le destin incroyable de Yasushi Yamanoi, plus grand alpiniste japonais contemporain, auteur de nombreuses premières, Piolet d'or pour l'ensemble de sa carrière en 2021, a inspiré l'écriture de ce manga signé Yöji Kamata et Kunihiko Yokomizo, maîtres du genre. The Big Wall, dans la même veine que le célèbre Sommet des Dieux de Jirõ Taniguchi, suit les aventures de Senju, jeune peintre et alpiniste de renom, mandaté pour retrouver les effets personnels d'un homme de 25 ans, fils illégitime d'un homme de pouvoir, qui a disparu sur les pentes de l'Everest C'est la première fois qu'il retourne à l'Everest depuis le drame... . Trois ans plus tôt, après une tentative avec le grand alpiniste Fukada, il reviendra seul... Hanté par ses démons, il comprend qu'il n'a d'autre choix que de dire oui. Cette autofiction nous plonge au coeur de l'hiver himalayen. Les destins s'y croisent et parfois s'y retrouvent, la vie et la mort s'y défient en permanence et la passion dicte les règles d'une pratique où l'engagement est sans concessions. Seul chemin pour tutoyer Le Big Wall, cette montagne au-delà de 8000 mètres... Yasushi Yamonoi a partagé ses souvenirs, ses anecdotes mais aussi son savoir-faire technique pour que les descriptions, les actions et les émotions soient retranscrites de façon la plus réaliste. Pour lui, ce travail est aussi une manière d'éclairer " la pensée philosophique et la motivation des hommes et des femmes à se confronter aux montagnes. " Une opportunité de découvrir le destin de ce grand alpiniste trop peu connu et d'interroger des valeurs comme l'engagement, le renoncement, la prise de risque... Une récit palpitant plein d'humanité. Bio Né en avril 1965, à Tokyo. Yasushi Yamanoi grandit se passionne pour les aventures solitaires de l'explorateur Naomi Uemura au pôle Nord, en Amazonie ou au Denali. Il commence à grimper seul, sur les murs d'une vieille bâtisse près de chez lui : un pompier lui donne un baudrier, un ouvrier du bâtiment, un casque. Excellent rochassier, avec de belles premières aux Drus et au Yosemite, Yasushi Yamanoi ne résiste pas longtemps à l'envie de découvrir les plus hauts sommets du monde et vite le parti du style alpin dans lequel il excelle. Il devient dans les années 1990 l'un des principaux ambassadeurs, aux côtés de Voytek Kurtyka et Erhard Loretan. En 2021, il a reçu un piolet d'or pour l'ensemble de sa carrière.

10/2023

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Poésie

116 poètes d'un autre monde pour la défense de l'écosystème planétaire et 21 lettres ouvertes

Huit années se sont écoulées depuis mon idée première de mettre en forme ce concept d'anthologie 116 Poètes d'un autre monde pour la défense de l'écosystème planétaire. Cet ouvrage fait partie de mon humble engagement en ma qualité de Poète, que je suis, pour la défense de certaines causes humaines essentielles et la dénonciation de celles-ci avec ma poésie. C'est ainsi que cette anthologie fait partie de ce chemin de révolte et de « résistance culturelle », conscience qui a jailli avec forte conviction chez le jeune poète que j'étais, en 1973, lors du féroce putsch militaire au Chili. En 1993, j'ai développé le concept d'exposition « Un Tableau, un Symbole, 120 Peintres français pour Sarajevo » (exposition coorganisée avec la Galerie Anne Fugier, en 1994, à la Cité des Sciences de la Villette). J’ai organisé également en 2003 la réunion à Paris de Poètes du Monde contre la guerre des Etats-Unis en Irak, et puis en 2010, le Rassemblement pour Haïti pour une collecte humanitaire, coorganisée avec la Délégation Wallonie-Bruxelles, Paris et la Croix-Rouge Internationale. Toutes ces actions ne sont pas des événements qui me réjouissent, elles ne sont pas non plus une raison pour applaudir. Loin de là ! Car elles représentent les aspects obscurs de nos sociétés et mon impuissance pour renverser ce mauvais sort aux airs de fatalité humaine, avec pour seule arme notre Poésie, l'Art. Diverses raisons personnelles m'ont empêché d’achever plus tôt cet ouvrage. Entre temps, il dormait dans un « bateau », suivant les tourments de mes voyages intérieurs / extérieurs et en amont des tourments infligés à notre planète. Huit années déjà depuis le début de ce projet ! Et les problèmes écologiques n’ont pas cessé et n’ont pas diminué, au contraire ! Ils ont augmenté en nombre, en danger et en ampleur. Cette anthologie trouve actuellement plus que jamais sa place au milieu de cette « folie inhumaine », autodestructrice. Aurons-nous un jour une planète propre ? Saine, en pleine santé ? OUI ! Je crois fermement que ce jour viendra ! Je remercie les Esprits solidaires et sensibles qui ont participé à cette anthologie pour la défense de notre patrimoine planétaire qu'est la terre tout entière, la vie notre vie ! Je leur suis reconnaissant pour leur noblesse d'esprits et leurs regards intelligents d'amour universel envers la vie qui nous entoure. Ma profonde gratitude va à l'action militante, culturelle de l'éditeur de cet ouvrage, François Mocaër, des Editions Unicité, Paris.

11/2013

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Développement personnel

Esprit de famille et liberté de mouvement. L'esprit de famille, le premier des réseaux

Dans la mondialisation, la famille sous toutes ses formes reste le premier réseau de solidarité pour donner un sens à la vie et se créer librement un avenir. Ma chance ? Réseau de famille et réseau de Résistance. Parler de sa famille dans l'histoire, c'est parler à chacun de son histoire pour finalement parler de l'histoire de toutes les familles. On entreprend dès lors un grand voyage dans la longue marche de l'humanité qui révèle la puissance de vie et de développement qu'est la famille jusqu'à ses variantes actuelles. Esprit de famille et liberté de mouvement, j'ai choisi ce thème pour cette harmonie singulière que j'aurai trouvée dans bien des familles entre exigence de conscience et liberté d'engagement personnel. Elles en auront fait la preuve dans les épreuves en première ligne de toute notre histoire. Et avec nos descendants, nous créons aussi l'histoire de la planète. Au fil des temps et dans la diversité des personnalités, les familles construisent ainsi tout un programme de vie mais sans y enfermer quiconque. A chacun de suivre librement sa voie pour développer ses talents et servir les autres. Là où la famille peut parfois meurtrir par ses contraintes, drames et conflits, un travail sur l'histoire montre que nous pouvons toujours y trouver une mobilisation de soi dans l'ouverture à l'autre. Une solidarité de base qui fournit un sens à la vie, un utile réseau et un bon tremplin pour l'avenir. Personne n'a le monopole de la famille et chacun en a sa vision. Mais pour nous guider, j'ai suis parti d'une identité et d'une solidarité d'appartenance sur quatre références. L'histoire des humains, la France, la famille et notre expérience personnelle. Par cette appartenance commune, l'esprit de famille compose une vraie saga en trois dimensions, la démesure de la condition humaine, le roman des vies et notre mission d'être unique. Une saga qui se déroule suivant la règle des trois unités de lieu, de temps et d'action dans la culture d'un idéal de conscience sur cinq points d'appui. Le sens du devoir, le sens du service, le sens du travail, le sens de l'indépendance et finalement le sens de la bonté. Oui, j'ai aussi trouvé dans les familles de tous pays une grande bonté. Au demeurant, la meilleure démonstration de la liberté par le don d'une générosité désintéressée.

07/2012

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Religion

En quête de vérité. Le martyre des moines de Tibhirine

L’« affaire » des moines de Tibhirine, ses développements récurrents, ses versions contradictoires, la levée du « secret défense », ou les mots du président algérien Bouteflika « toute vérité n’est pas bonne à dire », font que le sujet n’est pas prêt d’être oublié de l’actualité. Dans un livre remarqué paru en 2001, René Guitton s’était bien sûr intéressé aux circonstances de la mort des moines mais son enquête s’était davantage révélée une quête d’ordre spirituelle. Tout comme l’a fait par la suite Xavier Beauvois avec son film Des hommes et des dieux, il s’était attaché à retracer dans sa complexité le cheminement spirituel et humain des veilleurs de l’Atlas. Il avait avant tout abordé le dossier de manière consensuelle, en empathie spirituelle avec les moines : un hommage à ces hommes de foi. Plusieurs faits, certains anciens, d’autres plus récents, l’ont poussé à reprendre son investigation jusqu’à la rédaction de ce livre aujourd’hui. Motivé par le désir de « savoir » pour rétablir ce qu’il qualifie de « profanation mémorielle », l’auteur a poursuivi ses recherches en France, en Algérie, en Italie, en Suisse, en Belgique et dans le reste de l’Europe et de l’Afrique, auprès d’hommes de l’ombre, de responsables politiques, chef d’État, ministres, services secrets français et algériens, juges, ambassadeurs, de familles des victimes, de responsables du Vatican, des Églises et des communautés religieuses dont Sant’Egidio, de généraux, de terroristes repentis ou non repentis… Grâce à une analyse rigoureuse, documentée, et à la publication d’éléments inédits, le livre s’efforce ainsi de faire la lumière, quinze ans après les faits, sur de très nombreuses zones d’ombre, en apportant une foule de révélations : Pourquoi l’État Français n’a-t-il jamais entrepris d’action judiciaire envers l’État algérien ? Pourquoi a-t-il fallu attendre sept longues années (1996-2003) pour qu’une seule famille de moine se constitue partie civile ? La seule action étant alors d’ordre privé. Pourquoi l’ordre cistercien ne s’est-il pas mobilisé pour lancer une action ? Pourquoi le silence des six autres familles ? Ont-elles subi des pressions, et si oui, de qui ? Quelle a été l’attitude du Vatican ? Pourquoi a-t-il fallu attendre dix ans (1996-2006) pour qu’un juge français, Jean-Louis Bruguière, diligente une commission rogatoire en Algérie ? Comment les moines sont-ils morts ? Suite à une « bavure » militaire de l’armée algérienne ? Décapités ? Post-mortem ?

03/2011

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Critique littéraire

Les petits plats dans les grands. La savoureuse histoire des mots de la cuisine et de la table

Amoureux des mots et des mets, gourmands, gourmets et gastronomes : ce livre est pour vous ! Les plaisirs de la table ont été célébrés depuis l'Antiquité et particulièrement en France, terre de gastronomie, où l'on ne se contente pas d'apprécier la variété ou la subtilité des plats proposés, mais où l'on se délecte, pendant et après les repas, d'en parler abondamment : en simple convive bavard, en gourmand incorrigible, en gourmet exigent, parfois en cuisinier averti. Le nouveau livre d'Henriette Walter - elle-même excellente cuisinière - permet de découvrir avec la même passion ce qui se dissimule sous les mots de la cuisine et de la table, tout en n'étant pas un énième livre de recettes. On n'y trouvera pas une façon inédite de préparer le foie gras ou une nouvelle manière astucieuse d'accommoder le poisson, mais on y apprendra que le nom du foie, en français et dans les langues issues du latin, doit être associé historiquement à celui des figues (en latin ficatum (iecur) " (foie) aux figues ") ; que dans sauce, on peut reconnaître le mot latin sal " sel " un peu modifié ; que huile désignait d'abord seulement l'huile d'olive, ou encore que, dans choucroute, c'est croute qui signifie " chou ", etc. Un peu plus loin, on s'étonnera, à propos de l'arrivée de la pomme de terre en Europe, de voir cités côte à côte deux personnages réputés dans deux domaines tellement éloignés l'un de l'autre : Antoine-Augustin Parmentier, apothicaire-major des armées françaises sous Louis XVI dont le nom reste attaché au hachis Parmentier ; et le grand physicien Alessandro Volta - oui, le célèbre inventeur de la pile électrique fut aussi, pour lutter contre la pénurie de blé en Italie, vers la fin du XVIIIe siècle, le promoteur des gnocchi. De leur côté, les amateurs de cuisine débutants apprendront à identifier dans bar et loup le même poisson, tout comme le même agrume dans bigarade et orange amère, la même baie dans myrtille et brimbelle, ou la même cucurbitacée dans potiron et giraumon. Mais aussi, en poursuivant leur lecture dans le secteur plus raffiné des plats élaborés, ils ne confondront plus soupe, potage et consommé. Bref, quelques exemples parmi tant d'autres de cet ouvrage passionnant, aussi varié et riche que les voyages culinaires, linguistiques et culturels auxquels il invite le lecteur. Avec, comme toujours dans les livres d'Henriette Walter, la dimension ludique d'apprendre en s'amusant : anecdotes, humour et petits jeux pour tester ses connaissances nous accompagnent tout au long de la lecture.

03/2020

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Littérature érotique et sentim

Les Louves de Rome - Tome 1. La beauté de Tiberius

Dans un monde où règnent le pouvoir et l'honneur, il n'y a guère de place pour l'amour... 34 après J. -C. Fille d'un puissant sénateur romain, Laelia voit son destin étroitement lié à celui de sa famille. Elle devra suivre les directives de ses aînés dans une Rome peuplée par l'ambition, où la trahison et les complots sont monnaie courante. Toutes ses actions seront guidées par l'honneur familial. Mais son monde s'écroule lors de sa rencontre avec Kaeso Tellus Aquila, guerrier romain assurant la sécurité de l'empereur. Dès leur premier regard, un amour sans précédent se déclare. Une passion tragique, puisqu'ils ne pourront la vivre au grand jour, sous peine de mort... Des personnages hauts en couleur, une intrigue romanesque maîtrisée avec brio, une précision historique surprenante... Un premier tome passionnant qui fait rêver ! CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE ''Le meilleur livre de l'auteure" - Les plumes ensorceleuses sur Instagram"Ce roman est un appel au voyage, une petite bulle spatio-temporelle divertissante". - Marine Bookine sur Instagram "Sans surprise, je vous conseille fortement cette histoire. Ce titre est mon préféré de l'auteure pour l'instant. Dépêchez-vous de succomber aux charmes du guerrier romain". Alaïne sur Goodreads EXTRAIT Aurait-elle le courage de lui dire maintenant que son destin était scellé à un autre depuis la veille ? Qu'elle ne devrait pas être ici, blottie contre lui à six heures de la matinée, mais sagement confinée chez elle en attendant la célébration des noces ? Non, elle n'en avait pas le courage. Elle ne pouvait se résoudre à briser d'une seule révélation la cage de bonheur flottante qu'ils construisaient ensemble, à chaque rendez-vous secret. - Kaeso ? - Oui ? Elle hésita un instant, se troubla devant sa beauté sauvage et balaya toutes ses honnêtes résolutions. L'annonce de son mariage prochain éclaterait un jour autre, dans un contexte où les beautés de cet homme et du paysage environnant seraient moins aveuglantes. - Le bonheur m'étouffe quand je suis avec toi. Un sourire ravageur retroussa les lèvres sensuelles du garde impérial. A PROPOS DE L'AUTEURE Arria Romano étudie l'histoire militaire à la Sorbonne et est passionnée de littérature et d'art. Elle écrit depuis quelques années des romans historiques et des romances, qu'elles se vivent au passé, au présent ou même nimbées d'un voile de magie... Tant que l'amour et la passion restent le fil rouge de l'intrigue. Elle est l'auteure des sagas U. S. Marines, Autumn et L'amant de Pénélope.

06/2020

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Décoration

Escales autour du monde. Etiquettes d'hôtel de la collection Gaston-Louis Vuitton

Malletier de légende et grand voyageur, Gaston Louis Vuitton, petit-fils de Louis Vuitton, a réuni au cours de sa vie une collection unique de 3 000 étiquettes d’hôtel. Collées sur les malles et valises par le personnel des hôtels dans un but publicitaire, ces étiquettes évoquaient les séjours des propriétaires des bagages dans des lieux de prestige et faisaient rêver à de lointains horizons. « Montre-moi tes bagages et je te dirai qui tu es » proclamait, en 1921, une affiche publicitaire de la Maison Vuitton. Images au graphisme typique d’une époque, ces étiquettes sont aussi le reflet d’un art de vivre au temps où le voyage était encore une aventure. De la naissance du XXe siècle aux années 1950, les voyageurs partent à l’assaut du monde embarqués sur les grands transatlantiques. On rejoint ainsi l’Asie en quelques semaines, pour Venise et Istanbul on prend l’Orient-Express et les premiers avions font la liaison Paris-Londres ou Paris-Berlin. Les destinations se multiplient, les lieux de villégiatures aussi. Palaces mythiques et hôtels du bout du monde attirent une clientèle en quête d’exotisme, de calme et de luxe... Le Old Cataract à Assouan, la Mamounia à Marrakech, le Savoy à Londres, le Ritz à Paris… attirent, dès les années 1920, une clientèle élégante et esthète. Malles et valises racontent ces périples à travers leurs étiquettes, petites images précieusement gardées par leurs propriétaires, et même collectionnées par certains d’entre eux. Représentation iconique de l’hôtel, typographie, gamme chromatique attestent à la fois d’un style et d’une époque et content une histoire du tourisme dans la première moitié du XX e siècle. Un tour du monde de vingt et une escales mènera le lecteur de Stockholm à Berlin, de Paris à Tanger, d’Alexandrie à New Delhi, de Hanoï à Tokyo, de New York à Londres… Vingt et une étapes qui témoignent des destinations et loisirs favoris de voyageurs cosmopolites : bains de mer sur la Riviera, ski à Chamonix ou à Zermatt, séjours culturels à Athènes ou Mexico, plages d’Honolulu ou Capri… Plus de 800 étiquettes d’hôtel de la collection de Gaston Louis Vuitton, aujourd’hui conservées dans les archives de la Maison, ainsi qu’une riche iconographie de photographies d’époque invitent ainsi à un « voyage iconographique », comme le disait Gaston Louis, et peignent l’âge d’or d’un tourisme où voyage rimait avec art de vivre.

09/2012

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Gestion

Les atouts en Chine du savoir-faire français : sports, loisirs, environnement

La transformation en cours de l'économie et de la société chinoises modifie les perspectives d'activité qu'y trouvaient les PME. Si hier encore la Chine pouvait se présenter comme une aubaine pour leur développement, il leur faut à présent considérer que c'est un peu l'inverse : ce sont les Chinois qui font en somme leur marché parmi les entreprises susceptibles de répondre à leurs besoins, et ce dans le monde entier en commençant par la Chine elle-même, qui en fourmille. Cette inversion en cours (elle prendra encore des années, mais la tendance est là) de l'avantage comparatif, oblige les PME désireuses de poursuivre ou d'accentuer leur participation à l'essor de la Chine à devenir aussi chinoises qu'il se peut, c'est-à-dire à se pénétrer d'une bonne intelligence des besoins de ce pays. On n'y réussit plus sans y avoir un peu pris racine. Une seconde évolution se dessine. Le progrès engrangé par la Chine se traduit notamment par l'émergence d'une ample classe moyenne, moins riche encore mais plus nombreuse que celle de l'Europe entière. Tous ces gens jouissent désormais des principales sécurités - le vivre et le couvert -, leur revenu semble durablement voué à s'élever régulièrement, leur épargne peut se relâcher un peu, et ils disposent déjà d'une gamme de biens matériels gratifiants, du frigidaire à la voiture souvent. Beaucoup ont déjà voyagé. Mais leur vie dans les mégalopoles peut commencer à leur peser et éveiller des besoins d'évasion. Leur désir se porte à présent vers des agréments de la vie, et notamment ceux qui profitent au bien être personnel : sport, loisir, détente, etc. Comme la Chine ne trouve pas grand-chose sans son long patrimoine historique pour répondre à cette attente, elle se tourne avec pragmatisme vers les champions en la matière que sont réputés être les Français. Ainsi s'ouvre pour le savoir-faire français en matière de ski, d'équitation, de nautisme, de fitness, de camping, etc. un des domaines d'activité promis à la plus rapide expansion dans la Chine en devenir... Pourvu du moins que les leaders qui s'avanceront pour y réussir aient à l'esprit le premier point ci-dessus. L'objet des cinquièmes rencontres de la Rochelle sur PME et Chine était, le 5 octobre dernier, de partager expériences et diagnostics sur cette nouvelle aile marchante de l'émergence chinoise. Le présent opuscule en tire une brève synthèse.

01/2019

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Policiers

Tout perdre

A dix-huit ans, victime d'un cambriolage, Melody reçoit une balle dans la tête mais survit. Son père en revanche sur qui l'assaillant fait feu également est tué sur le coup. Une dizaine d'années plus tard la jeune femme est devenue Mel, une baroudeuse qui écrit des livres sur les sans-abri et sur les immigrés clandestins. Au Mexique elle rencontre Hank, un moniteur de ski et barman qui parcourt lui aussi le pays en stop, tandis qu'au Colorado, Jarrod, un quinquagénaire parti refaire sa vie dans les montagnes, découvre grâce à sa nouvelle voisine la véritable personnalité de sa mère âgée venue lui rendre visite... et qu'Alex, l'agresseur de Mel, aphasique depuis l'âge de neuf ans, prisonnier depuis l'âge de dix-neuf, creuse un fossé sous un soleil de plomb. Alex va prendre peu à peu conscience de son acte, et paradoxalement trouver la vraie liberté en prison. A travers une série de coïncidences marquantes, les trajectoires de ces personnages et d'autres vont croiser celle de Mel, formant un entrelacs narratif dont l'effet et le style rappellent les nouvelles de Carver qui composent la mosaïque du film Short Cuts. Glissant d'un personnage, d'un temps, d'un lieu, d'un point de vue et d'une époque à l'autre, chaque chapitre de Tout perdre est un élément d'un puzzle magistral reconstitué au fil de la lecture. L'Amérique dépeinte par J.C. Amberchele, c'est la Pennsylvanie, le Colorado, la Californie, le Nouveau-Mexique. Nous avons transformé le précepte, "Rien de ce qui est humain ne m'est étranger" en "Rien de ce qui m'est étranger n'est humain". Pour la plupart d'entre nous, l'auteur d'un crime violent, c'est l'autre. Or, un homme ne se réduit pas au pire acte qu'il ait jamais commis. Le crime d'Alex pourrait le condamner à n'être que monstrueux ; mais il devient humain, digne de compassion, à travers la réflexion qui le mènera à accepter la responsabilité de son acte, et le fait d'être finalement "chez lui" en prison. ? Avec Tout perdre J. C. Amberchele est là pour nous le rappeler, tant les trames qu'il tisse par le simple biais du dialogue et de la description soulèvent des questions qui nous concernent tous : Qu'est-ce que l'enfermement ? Qu'est-ce que la liberté ? Et quel en est le prix ?

10/2015

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Ouvrages généraux

Comprendre la nouvelle dynamique de l'humanité. La matrice des civilisations : un nouveau grand récit

Aujourd'hui, beaucoup d'entre nous sommes perdus dans une opacité qui s'épaissit. Quand nous tournons nos yeux et nos oreilles vers les institutions qui nous ont guidés et protégés sur le chemin du Progrès, c'est-à-dire d'un avenir meilleur grâce à la science et aux techniques, nous sommes frappés par leur délabrement et leur incapacité à remplir désormais leurs fonctions. Pour celles et ceux qui ont les cheveux qui blanchissent, l'incompréhension est grande, car nous avons, pour la plupart, donné le meilleur de nous pour que notre société, dans la foulée, des Trente Glorieuses améliorent nos vies, celles de nos enfants, et celles des enfants de nos enfants. Cela semblait bien parti ! Mais ce n'est que le déclin d'un monde, certes d'un monde qui fut magnifique de cohérence, de richesse, de découvertes, un monde qui nous a fait... mais ce n'est pas la fin du monde. Les civilisations se succèdent les unes aux autres. Chaque civilisation, produit de la création humaine, et cela est magnifique. C'est le passage de l'une à l'autre qui est douloureux à vivre, difficile à comprendre. Telle est l'épreuve actuelle : changer de croyance, de récit, de cohérence, de hiérarchie de valeurs, de philosophie, de spiritualité, de vocation... Sans doute faut-il, pour se mettre en route, regarder avec plus d'attention, avec plus d'acuité, avec plus d'amour ce qui est en train d'émerger, ces multiples lucioles qui annoncent l'arrivée d'un nouveau printemps. Alors il devient possible de repérer les prémisses d'un nouveau sens, d'une nouvelle et belle cohérence, pour sa propre vie, pour ses proches, pour ses concitoyens, et aussi pour l'humanité. Telle est l'intention de ce livre : repérer qu'un changement de civilisation est en cours, indiquer à travers quelques notion-clés que la bascule est déjà faite et s'expérimente dans des lieux-pionniers, qu'une nouvelle cohérence de valeurs est déjà là et que nous pouvons la penser, qu'une nouvelle foi s'affirme, qu'un nouveau récit se dit et s'écrit. Oui, une nouvelle force de vie nous habite et nous travaille de l'intérieur, elle est irrépressible. Elle porte joie, créativité, entraide, solidarité, amour. Elle offre un sens enthousiasmant et juste pour nos vies. De proche et proche elle emporte notre adhésion, et crée les conditions d'une rassemblement, d'une force collective en mouvement qui va gagner les coeurs, les esprits et les corps. Une nouvelle civilisation émerge des décombres de celle qui l'a précédée.

01/2023

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Littérature française

Je me suis laissée porter par le vent

Qu'est ce que ce roman décousu "je me suis laissée porter par le vent" une tranche de vie parallèle, un amour volé à une autre où l'amant devient la muse. Il interpelle, ce sont des mots, des cris jetés sur le papier, de la poésie à l'état pur. La femme y est objet de manipulation, l'homme ne vit pas avec elle. Il rencontre des amours, parallèles à sa vie, cela lui sied, lui convient, lui permet de continuer à vivre avec la même femme depuis dix ans et de s'offrir de franches récréations. Ces maîtresses deviennent des roues de secours, elles ne sont à ses yeux qu'un miroir. Il ne cherche à travers elles qu'une manière, de penser qu'il séduit ou peut encore séduire à cinquante et un an et il y réussit. Je suis sa dernière maîtresse en date. Violette, la belle violette, celle d'avant est morte en 1998. Je ne l'ai pas connu. Je l'ai juste remplacée dans un travail lors de son décès. Si elle avait vécu, je pense qu'il serait avec elle. Il en était amoureux fou. Il a eut beaucoup de chagrin en la perdant et je pense qu'il en a encore. Je la sens sa souffrance, comme une plaie béante. Elle est là devant moi. Si j'avais un cadeau à faire à cet homme que j'aime. C'est Violette que je lui donnerai. Je prendrai sa place et elle serait là, vivante, heureuse. Elle rirait avec lui. Il n'y aurait plus de blessure. Il serait heureux, il vivrait avec elle. Oui, c'est ce cadeau la que j'aimerais lui faire. Mais elle n'est plus et je suis là. Je m'en veux de vivre dans la douleur, sans lui. Vieillir, seule, c'est intolérable. Il comprend ma souffrance. Il ne veut pas me perdre. Il a peur de vivre un autre chagrin, si je disparais, si je pars. Je pense qu'il a surtout peur de la vie, de ne plus aimer, de ne plus m'aimer en vivant avec moi. Peut-être a t-il raison, je l'ignore. J'ai du mal à concevoir la vie sans lui mais je le ferai même si c'est souffrir et faire souffrir. Peut-être alors comprendra t-il que son bonheur était là et qu'il l'a laissé passé... ... . Mais il ne sait pas s'investir dans une histoire d'amour. Moi je me laisse porter par le vent... ... ... ... ... ... ... ... ... ... Marie

11/2013