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Modelul de stabilire a prețului activelor de capital. Modelul de stabilire a prețului pentru capital

In?elege?i elementele esen?iale ale modelului de evaluare a activelor de capital (cunoscut ?i sub numele de CAPM) în doar 50 de minute cu aceast? carte practic? ?i concis?. Modelul de evaluare a activelor de capital este o metod? matematic? utilizat? pentru a estima rentabilitatea activelor financiare. Una dintre cele mai populare metode de evaluare a riscului, CAPM urm?re?te s? ofere investitorilor cât mai multe informa?ii posibile despre investi?iile poten?iale, astfel încât ace?tia s? î?i poat? construi portofoliul de investi?ii a?a cum consider? c? este potrivit, dintr-o combina?ie de active riscante ?i sigure. Aceast? carte v? ofer? o introducere util? în CAPM ?i v? arat? cum s? o utiliza?i pentru a face investi?ii mai bune. Nu numai c? ve?i înv??a cum s? ob?ine?i cel mai mare randament al investi?iilor, dar ve?i analiza cazuri reale, ve?i afla mai multe despre deficien?ele sale, inclusiv despre limita diversific?rii portofoliului, ?i ve?i afla mai multe despre modele conexe, cum ar fi teoria pre?urilor de arbitraj ?i modelul multifactorial. Despre modelul de stabilire a pre?ului activelor de capital : CAPM a fost elaborat într-un moment în care pie?ele financiare începeau s? se îmbun?t??easc? ?i s? se standardizeze. Aceasta permite investitorilor s? ia decizii de investi?ii în cuno?tin?? de cauz? ?i s? evalueze riscul unui produs în raport cu randamentul s?u poten?ial. Cu alte cuvinte, îi ajut? pe investitori s? risipeasc? cât mai pu?ini bani posibil ?i s? fac? alegeri ra?ionale în afaceri. Un alt avantaj al modelului este c? ofer? rata de actualizare corect? pentru a calcula câ?tigurile viitoare ale unei companii. ?i, de?i poate fi mai pu?in precis? decât alte metode, cum ar fi teoria pre?ului de arbitraj, este mai u?or de utilizat. In aceast? carte, ve?i descoperi cum v? poate ajuta CAPM, ve?i înv??a cum s? evalua?i un activ financiar ?i ve?i utiliza rezultatele pentru a face investi?ii mai bune. O explica?ie clar? a avantajelor ?i a posibilelor dezavantaje ale metodei, o discu?ie a unui studiu de caz practic ?i o introducere în modelele conexe v? ofer? instrumentele de care ave?i nevoie pentru a v? adapta abordarea la situa?ia dumneavoastr?.

01/2023

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Religion

Rouen - Le Havre

Rouen, métropole de la province ecclésiastique de Normandie, avec pour évêchés suffragants Evreux, Bayeux-Lisieux, Coutances, Sées et depuis 1974 Le Havre fut de tout temps l'un des diocèses les plus importants de France Ses abbayes figurent parmi les plus anciennes et les plus illustres. Son territoire, fort étendu sous l'Ancien Régime, allait de la mer à Pontoise et de Brionne au Tréport. Ses archevêques, par leur influence, eurent plus d'une fois un rôle national : que l'on songe aux cardinaux d'Amboise, au cardinal de Bourbon, au cardinal de Bonnechose, à Mgr Fuzet. Aucune étude d'ensemble de ce diocèse n'avait été publiée depuis plus de cent ans. Le présent ouvrage a donc cherché à combler cette lacune. L'histoire des origines a été confiée à Nancy GAUTHIER, docteur ès lettres et spécialiste de l'antiquité chrétienne. Alain SADOURNY, qui prépare une thèse sur Rouen pendant la période communale, s'est chargé de l'époque carolingienne ainsi que de l'apogée médiéval et du XIVe siècle. Lucien-René DELSALLE, dont les travaux personnels portent sur le cardinal d'Estouteville, a bien voulu traiter de la fin du Moyen Age et surtout du difficile XVIe siècle. Michel MALLÈVRE, auteur d'un excellent mémoire de maîtrise sur la vitalité religieuse en Bray et Caux, a élargi sa documentation pour présenter les XVIIe et XVIIIe siècles. Nadine-Josette CHALINE, dont la thèse en préparation porte sur le diocèse de Rouen de 1890 à 1939, a étudié la période révolutionnaire puis les années qui vont de la Séparation à nos jours. Charles LEDRÉ fait profiter de sa grande connaissance du cardinal Cambacérès, tandis que Jean-Pierre CHALINE, qui termine sa thèse sur la bourgeoisie rouennaise au XIXe siècle s'est préoccupé de la période 1818-1900. Tous ont cherché à montrer les traits originaux de cette partie de la Normandie, mettant l'accent sur les fortes personnalités qui ont dirigé le diocèse, mais aussi et surtout sur la vie du peuple chrétien, sa liturgie, ses formes de piété ou ses expressions artistiques, musicales et architecturales. Cette étude couvre toute l'histoire du diocèse, des origines, souvent très difficiles à connaître par suite du petit nombre de documents, au synode diocésain de 1968-1969 et à la création du diocèse du Havre en 1974

01/1976

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Religion

Rouen - Le Havre

Rouen, métropole de la province ecclésiastique de Normandie, avec pour évêchés suffragants Evreux, Bayeux-Lisieux, Coutances, Sées et depuis 1974 Le Havre fut de tout temps l'un des diocèses les plus importants de France Ses abbayes figurent parmi les plus anciennes et les plus illustres. Son territoire, fort étendu sous l'Ancien Régime, allait de la mer à Pontoise et de Brionne au Tréport. Ses archevêques, par leur influence, eurent plus d'une fois un rôle national : que l'on songe aux cardinaux d'Amboise, au cardinal de Bourbon, au cardinal de Bonnechose, à Mgr Fuzet. Aucune étude d'ensemble de ce diocèse n'avait été publiée depuis plus de cent ans. Le présent ouvrage a donc cherché à combler cette lacune. L'histoire des origines a été confiée à Nancy GAUTHIER, docteur ès lettres et spécialiste de l'antiquité chrétienne. Alain SADOURNY, qui prépare une thèse sur Rouen pendant la période communale, s'est chargé de l'époque carolingienne ainsi que de l'apogée médiéval et du XIVe siècle. Lucien-René DELSALLE, dont les travaux personnels portent sur le cardinal d'Estouteville, a bien voulu traiter de la fin du Moyen Age et surtout du difficile XVIe siècle. Michel MALLÈVRE, auteur d'un excellent mémoire de maîtrise sur la vitalité religieuse en Bray et Caux, a élargi sa documentation pour présenter les XVIIe et XVIIIe siècles. Nadine-Josette CHALINE, dont la thèse en préparation porte sur le diocèse de Rouen de 1890 à 1939, a étudié la période révolutionnaire puis les années qui vont de la Séparation à nos jours. Charles LEDRÉ fait profiter de sa grande connaissance du cardinal Cambacérès, tandis que Jean-Pierre CHALINE, qui termine sa thèse sur la bourgeoisie rouennaise au XIXe siècle s'est préoccupé de la période 1818-1900. Tous ont cherché à montrer les traits originaux de cette partie de la Normandie, mettant l'accent sur les fortes personnalités qui ont dirigé le diocèse, mais aussi et surtout sur la vie du peuple chrétien, sa liturgie, ses formes de piété ou ses expressions artistiques, musicales et architecturales. Cette étude couvre toute l'histoire du diocèse, des origines, souvent très difficiles à connaître par suite du petit nombre de documents, au synode diocésain de 1968-1969 et à la création du diocèse du Havre en 1974

01/1976

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Littérature française

Eloge des oiseaux de passage. Journal d'un ornithologue amateur

" Les oiseaux, je leur dois beaucoup. Ils m'ont tant appris. Ils sont entrés en moi au cours de mon enfance et ne m'ont plus jamais quitté. A leurs côtés, j'ai développé des trésors de patience, des postures d'affût, d'attention, de quêtes : une quête de savoir, de rapprochement, et d'appropriation. Les oiseaux portent en eux l'éclat et la fragilité précaire du vivant. Ils m'ont révélé la beauté du monde, sa dimension sauvage. Toutes ces innombrables heures passées à les regarder a été à l'origine d'un attachement fort, d'un lien indéfectible qui me relie à eux, à leur mystère. Les contempler est devenu mon art de vivre. Un constant émerveillement. Un état de poésie. Un besoin vital. Partir à la recherche des oiseaux m'a permis de retrouver certains pans de ma vie... Ils m'ont fait migrer en moi-même. " Enfant, à l'école, Jean-Noël était un rêveur comme le cancre de Jacque Prévert. Il avait tendance à contempler la nature par la fenêtre. Au fil des années, il est devenu un fou d'oiseau, un guetteur, un cocheur (celui qui coche dans un carnet les oiseaux dans qu'il a vus en une année). Il nous raconte l'état de poésie permanent que lui a donné cette passion. L'oiseau de passage est l'oiseau migrateur par excellence, celui qui parcourt le monde pour échapper aux frimas de l'hiver, se reproduire dans des contrées plus hospitalières. C'est le trait d'union entre la géographie des deux hémisphères terrestres, le principal artisan aussi de l'union entre la terre et le ciel. A l'image du martinet noir consacrant toute sa vie au vol, qui arrive en avril en Europe et repart dès le mois d'août en Afrique, l'oiseau de passage est le " satellite infime de notre orbite planétaire " (Saint-John Perse, Oiseaux). Symbole de la liberté absolue, il se joue de la pesanteur terrestre pour oublier son poids et se perdre dans l'espace aérien. Face aux turpitudes de nos existences (crise sanitaire, crise économique, crise écologique et climatique, terrorisme etc), comme il est rassurant de voir ainsi la nature perpétuer ses cycles, dans une forme de régularité métronomique, avec une incroyable force vitale, en faisant fi de nos maux et de nos blessures. Nous sommes aussi des oiseaux de passage sur cette terre.

03/2023

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Littérature étrangère

La belle échappée

Dans La belle échappée, Nicholson Baker crée un univers parallèle au sein duquel les visiteurs occasionnels peuvent, moyennant un tarif élevé, assouvir leurs plus extravagants désirs. Le point de départ de son nouveau roman tient en effet au fait qu'un certain nombre de personnes ordinaires, moyennement satisfaites de leurs sorts, disparaissent par des portes - sèche-linge, tunnel, trou de golf, etc., - et se retrouvent dans un parc à thème baptisé La belle échappée. Le livre s'ouvre sur la découverte par la jeune Shandee, d'un avant-bras appartenant à un dénommé Dave. Ce membre autonome a des exigences - il demande à être entretenu et nourri - mais procure aussi des avantages : il peut apporter une satisfaction sexuelle, et il ne reste pas du tout indifférent à la souplesse et à la douceur du corps de Shandee. On apprend assez vite que l'apparition du bras de Dave est le fruit d'une amputation temporaire et volontaire acceptée par ce dernier en échange de son entrée dans La belle échappée, une " sex resort " très coûteuse mais où tous les fantasmes féminins et masculins sont stimulés, sinon assouvis. Les moyens d'accès à cet univers parallèle sont divers : certains y parviennent en cherchant à se débarrasser de tatouages encombrants, d'autres en répondant à une petite annonce, d'autres encore en s'introduisant dans le sèche-linge d'une laverie automatique, en pénétrant à l'intérieur d'une sculpture en bois (un corps de femme) créée par une artiste japonaise. À l'inverse de la plupart des grandes multinationales, L'échappée belle est dirigée par une certaine Lila dont la devise est " mon plaisir est votre plaisir ". Chaque chapitre conte ainsi une expérience différente, illustrant le caractère étrange, surprenant et divers de la libido humaine. Au fil des pages, on découvre l'éventail des divertissements proposés par l'établissement, dont les " masturbateaux ", le " berceau-vulve ", les " levrettes alignées " et cette " salle de velours " où les compositeurs Borodine et Rimski-Korsakov pratiquent un massage de pied à l'aide de leurs génitoires. Certains hommes acceptent aussi de se faire temporairement couper la tête et de servir sexuellement des femmes. Il est donc logique que le récit se termine par une grande fête dont l'un des buts est de remettre ensemble les membres (phallus, mains, têtes...) avec les corps respectifs qui avaient été privés de ces appendices. C'est ainsi que la jeune Shandee du début fait la connaissance de Dave au grand complet : le bras de Dave retrouve le reste du jeune homme et le désir de ce dernier pour Shandee est immédiat.

04/2012

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Critique littéraire

A bon entendeur, salut ! Face à la perversion, le retour de Don Quichotte

Le premier Don Quichotte avait pour charge de soigner les traumas de guerre et d'esclavage de son père, Miguel de Cervantès. En écrivant Don Quichotte, pour combattre la mélancolie (Stock, 2008), et en adoptant pour titre de son livre une expression de Cervantès lui-même, Françoise Davoine livrait une telle lecture du deuxième bestseller mondial après la bible, et l'adressait aussi aux analystes comme un manuel de psychanalyse. La relation de parole entre l'écuyer Sancho Pança et son maître incluait une analyse très fine du transfert dans l'exploration des traumas. Quelque dix ans plus tard, à la veille de sa propre mort, Cervantès repart à l'attaque, cette fois-ci confronté à la perversion. Le prétexte lui en était donné par le plagiat anonyme qui dépossédait Don Quichotte et son auteur de la gloire européenne, et même mondiale, des aventures de l'ingénieux hidalgo. Françoise Davoine et Jean-Max Gaudillière emboîtent le pas à ce nouveau voyage extraordinaire où la perversion s'étale au grand jour, organisatrice d'un lien social, voire d'un mode de gouvernement. Cervantès va montrer comment la folie s'y confronte : là encore, le champ d'action et d'amour défini à l'attention des lecteurs est déployé dans toute la spécificité de cette recherche. Sa fiabilité repose essentiellement sur la force de la parole donnée, qui doit traverser les petits et les gros mensonges, la séduction et le secret, les abus et les crimes, pour authentifier ce que la folie montre, faute d'une altérité suffisamment fiable pour recevoir ce témoignage. Françoise Davoine et Jean-Max Gaudillière ont pris le parti de suivre ce nouvel et dernier périple du héros de Cervantès : en effet, ce dernier a décidé de le faire mourir à la fin de la fiction, pour éviter à son héros de nouvelles contrefaçons éditoriales. Entretemps, il nous enseigne l'efficacité de sa démarche, toute folle qu'elle apparaît. Les « bons entendeurs » que sont les psychanalystes sauront reconnaître l'expérience acquise au contact des traumas de guerre, et recevoir aussi quelques histoires cliniques qui illustrent la démarche quichottesque, soutenue finalement par un seul principe : trauma, folie, même combat. La perversion, qui s'entend ici de tout lien social, massif ou limité à l'espace singulier, réduisant le sujet à l'état d'un objet, constitue la véritable cible du roman, comme aussi de ce deuxième livre consacré aux combats victorieux du héros cervantin. À bon entendeur, salut !

04/2013

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Sciences historiques

La saga des épaves de la Côte d'Albâtre. Tome 4

Depuis janvier 2000, le GRIEME et ses "Présidents" explorent inlassablement fonds - sous marins, bibliothèques, archives, et musées tout en "flirtant" avec le monde des "gens de mer". Alors que tourne le manège du temps, au fur et à mesure de leur parution, les Sagas redonnent vies aux "personnes ordinaires" qui s'animent au gré des pages tournées. Ce tome 4 est une nouvelle escale dans le long voyage de l'histoire des fortunes de mer... Histoire de bateaux, de marins et de nau- frages... 3 août 1914 - 11 novembre 1918, deux dates qui résument à elles seules la "première guerre totale" que connaîtra l'humanité. Si le théâtre principal de ce conflit fut l'Europe, des combats se déroulèrent également au sein de l'Empire Ottoman, en Afrique noire et aux confins du Pacifique. Une grande partie du monde s'embrasa, la guerre devint mondiale. Les taxis de la Marne, Verdun, la Bataille de la Somme, le Chemin des Dames résonnent comme autant de lieux de mémoire où la terre porte encore les stigmates des violents combats auxquels se livrèrent les belligérants, ennemis sur le front, mais unis dans la souffrance. Si, dans l'imagerie populaire, le "Poilu des tranchées", symbolise la "Der des Ders", il est néanmoins un aspect plus méconnu de ce conflit, à savoir "la guerre sur mer", que le GRIEME vous invite à découvrir dans ce quatrième volet de "La Saga des Epaves de la Côte d'Albâtre". Environ 150 navires seront victimes des sous-marins allemands dans la zone côtière seino-marine, entre Le Havre et Le Tréport. Ainsi, le tome IV de la "Saga" pose un regard d'un siècle à l'autre et vous convie à une incursion dans le passé et vous invite à vivre l'instant décisif où le destin des hommes bascule vers la souffrance et l'infortune ! Dans ce quatrième opuscule, découvrez une mise en page modifiée, une iconographie plus conséquente et toujours de nombreux dessins "originaux". Enfin, ultime nouveauté, la possibilité de poursuivre l'histoire au-delà du livre et d'accéder à des supports multimédias complémentaires et évolutifs tels que vidéos et photographies grâce aux "flash-codes" que vous trouverez sur certaines pages de l'ouvrage. Comme disait Saint Augustin, "La mémoire est le présent du passé". Ce nouvel épisode réveille le regard du présent sur les événements du passé qui hantent encore les familles des victimes de ces tragédies. Au-delà du récit de plongée, le souvenir se mue en un devoir de mémoire, un dernier hommage rendu à ces marins anonymes disparu à cause de la folie meurtrière des hommes.

06/2017

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Littérature française

Rosa. Comme une fugitive lueur devant

Dans un Etat totalitaire d'Amérique du Sud sous la coupe d'hommes puissants, de politiques et de mafieux, les rebelles tuent l'épouse de Toria le notable le plus puissant du pays et laissent pour mort son fils de quatre ans. L'homme décide de se venger, retrouve les auteurs dans la jungle et les fait exécuter. Le guérillero auteur de l'attentat est tué et leur petite fille enlevée. Les miliciens promettent de la prostituer avant d'abattre sa compagne, Rosa, qui survit. Toria, privé de sa femme et de son fils reporte son affection sur la petite fille que les miliciens lui ont ramenée. Il l'éduque dans une quête de rédemption. Rosa recherche sa fille dans tout le pays et finit par décider d'enlever Toria et sa fille, et de les tuer. Le petit garçon de l'attentat est recueilli par des Indiens qui le guérissent et, ne pouvant le garder, le déposent dans la favela où vit Rosa qui recueille un enfant qui est peut-être ce petit garçon. Ce petit garçon devient Juan, un mercenaire solitaire qui projette aussi d'enlever Toria et sa fille pour rançon afin d'échapper à sa vie dans ce ghetto. Rosa le découvre. Ils vont faire l'opération ensemble et tous quatre se retrouvent en huis clos dans un refuge isolé. Toria, pour empêcher que sa fille adoptive ne soit exécutée, est obligé de dire à Rosa que c'est sa fille. Ils décident de faire des tests génétiques. Toria part avec Juan. Mais Toria qui a participé à des accords secrets sait trop de choses et sa disparition le fait considérer comme un traître. Toutes les forces armées et milices du pays cherchent à les éliminer. Juan et Toria ont beaucoup de mal à revenir au refuge avec les résultats des tests génétiques. Ces combats les ont tous les quatre rapprochés et Rosa décidé de brûler l'enveloppe où sont les résultats sans l'ouvrir car aucun d'entre eux ne veut savoir et tous souhaitent rester unis. Ensemble, ils vont fuir et n'auront plus comme solution que de provoquer une révolution et de prendre le pouvoir avec l'aide d'un ami de Toria, chef de l'armée de l'air, lui aussi menacé mais suivi et aimé. Que vont-ils faire de cette liberté pour eux et de ce pouvoir pour leur pays ? Quête, rédemption, réappropriation de la destinée, filiation génétique. Amour, droit au bonheur. Humanisme et évolution. Révolution et transition démocratique.

09/2018

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Droit public

La déontologie gouvernementale

Comment expliquer la naissance si tardive de la déontologie au sein du pouvoir exécutif ? Que doit-on entendre par "déontologie gouvernementale" ? Est-elle régie par des textes ou de simples pratiques ? Dans quelle mesure concerne-t-elle à la fois les membres du Gouvernement et les collaborateurs ministériels ? Est-elle une construction juridique achevée ? En quoi participe-t-elle au perfectionnement de la responsabilité politique ou de la démocratie ? C'est à ces questions que les auteurs de cet ouvrage essaient d'apporter des éléments de réponses. Affaires Tapie, Carignon, Gaymard, Guéant, Bettencourt, Cahuzac, de Rugy ou Delevoye : depuis les années 1990, les inconduites gouvernementales ont alimenté la chronique, nourri le sentiment que la corruption présidait au plus haut sommet de l'Etat, abîmé le lien de confiance entre les Français et leurs gouvernants. Paradoxalement, la transparence et la déontologie n'ont jamais autant progressé qu'au cours des trois dernières décennies. La première pierre de la déontologie gouvernementale fut posée en 1992 avec la "jurisprudence" Bérégovoy-Balladur qui exigeait la démission du membre du Gouvernement mis en examen. La deuxième pierre provint de l("affaire Gaymard" de 2005 qui mit en lumière le vide entourant la question du logement de fonction des membres du Gouvernement et qui conduisit à l'adoption par le Secrétariat général du Gouvernement de règles applicables à la fonction de membre du Gouvernement. La troisième pierre fut celle de la charte de déontologie des membres du Gouvernement du 17 mai 2012. Ces pierres ne résistèrent pas à l'épreuve de l'affaire Cahuzac qui démontra que la déontologie gouvernementale nécessitait d'être gravée dans la roche du droit dur. Ce fut chose faite avec les lois du 11 octobre 2013, consolidées par celles du 15 septembre 2017, qui renforcèrent les contraintes déontologiques : création de la HATVP ; publicité des déclarations de patrimoine et d'intérêts ; vérification de la situation fiscale ; interdiction du recrutement des entourages familiaux ; registre de déport en cas de conflits d'intérêts ; encadrement du "pantouflage" ... Au-delà du diagnostic, cet ouvrage se risque à avancer des propositions. Ainsi en va-t-il de l'idée d'instituer un déontologue du Gouvernement, initiée par l'Observatoire de l'éthique publique, soutenue par Jean-Marc Sauvé et René Dosière, lesquels écrivent : "Nous espérons que le Président de la République et le Premier ministre désignés en 2022 auront l'audace d'instituer le déontologue du Gouvernement pour que Droit gouvernemental rime mieux avec Etat de droit".

04/2022

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Aquitaine

L'aiguière brisée

A la fin du XVIIIe siècle, le destin d'une femme en avance sur son temps grâce à ses connaissances en botanique et en médecine, pionnière flamboyante, incarnation des Lumières face à l'Ancien Monde. En 1788, Anthéa, jeune femme d'une vingtaine d'années, partage son existence entre le domaine de Saint-Sagne où vit son père Jean-Baptiste Montguyon et l'hôtel particulier de ses grands-parents maternels, les Blaignac, grands négociants fortunés de Bordeaux. Initiée aux sciences par son père membre de l'académie royale de Bordeaux, Anthéa est passionnée de botanique. Elle mène des recherches qu'elle ne peut signer de son nom, l'accès aux institutions savantes étant refusé aux femmes. Une lettre arrive à Saint-Sagne qui bouleverse le père d'Anthéa. Un vieil ami, Hugues de Corcieux, qui jadis au cours de la guerre de succession d'Autriche lui a sauvé la vie, lui demande de venir en sa demeure située en Haute-Auvergne. Malgré la lassitude qui l'a gagné et le chagrin d'avoir perdu son épouse, Jean-Baptiste Montguyon estime qu'il ne peut refuser ce service ; il s'agit de concevoir la plantation de forêts sur des terres nouvellement acquises. Anthéa et son père accomplissent le trajet, escortés par Etienne, le fils qu'Hugues de Corcieux a envoyé à leur rencontre. Ils arrivent enfin au château des Corcieux. Ceux-ci, appartenant à la noblesse de verre, sont autorisés à exercer la profession de verriers tout en conservant leurs privilèges. Anthéa et Etienne, très différents l'un de l'autre - elle enfant du siècle des Lumières, lui conservateur attaché aux traditions - sont attirés l'un par l'autre. Au cours de la visite de son atelier de verrerie, au coeur de la forêt, Etienne remet à Anthéa une aiguière soufflée pour elle. Les deux jeunes gens se déclarent mais Etienne est engagé auprès d'une autre jeune fille appartenant à une famille de verriers. Et finalement, Anthéa, meurtrie, repart avec son père au domaine de Saint-Sagne. Dix ans plus tard, Etienne et Anthéa se retrouvent par hasard à Bordeaux. Marié, le jeune homme est le propriétaire d'une verrerie prospère fonctionnant au charbon. Ils échangent des banalités jusqu'au moment où Anthéa fait comprendre de manière allusive à Etienne que sa réussite doit tout à l'héritière de l'empire Blaignac. Sans jamais apparaître ans les montages financiers, la jeune femme a fait d'Etienne de Corcieux, l'amour de sa vie, un notable de l'industrie moderne du verre.

09/2023

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Sciences historiques

Pupilles de l'Assistance. Destins croisés de pupilles de l'Assistance publique des Côtes-du-Nord (1871-1914)

Les 438 livrets individuels des pupilles conservés aux archives départementales des Côtes-d'Armor mettent en lumière la destinée de ces enfants malmenés par la vie. La plupart s'intègrent parfaitement à la société rurale environnante, demeurant domestiques de ferme. Ils s'organisent une vie morose, conforme au modèle inculqué par l'Assistance publique et qu'ils connaissent depuis leur plus jeune âge, sans espoir d'un avenir meilleur. En l'absence de soutien familial, de patrimoine et de diplômes, leur enfance marginalisée les écarte de toute ambition sociale et les cantonne à une vie modeste. A l'évidence, l'Inspection les engage dans cette voie, répondant aux impératifs économiques, dans une vision peu progressiste. En même temps pèse sur une partie d'entre eux le poids du secret de leurs origines et son traumatisme irrésolu qui perdure et s'enracine au fil du temps. corrélé à toute une conjonction de considérations psychologiques, aussi longtemps que l'abandon demeure un drame "impensé". Autant dire qu'ils n'ont aucune chance de se sentir pleinement heureux. Néanmoins, à la fin du XIXe siècle. les pupilles acceptent de moins en moins l'injustice, la violence subie ou l'humiliation. Placés face à l'iniquité dans leur vie quotidienne, une partie utilisent le langage pour évacuer les querelles, usent de stratagèmes, entre espiègleries et délits et, en dernier ressort, commettent des actes malveillants, signe d'une colère à expurger. Punis par un internement dans une colonie agricole pour les garçons et dans une maison de correction pour les filles, la grande majorité se plie, à sa sortie, aux exigences de l'institution, affichant un repentir plus ou moins spontané. D'autres choisissent de quitter subitement l'assistance publique, exprimant de cette manière radicale un mal-être profond, qu'ils ne sont pas en mesure d'identifier eux-mêmes. De son côté, pour d'évidentes raisons de prestige, l'Assistance publique est soucieuse de réfuter l'idée selon laquelle les enfants abandonnés sont prédestinés à une vie d'exclusion. Au contraire, elle met en avant ses réussites et reporte le faible pourcentage d'échecs sur les origines des enfants dont elle assure l'éducation. Ainsi, par le prisme du devenir des pupilles de l'Assistance publique avant la Première Guerre mondiale, émerge toute une panoplie des malheurs de l'adolescence. Adolescences chaotiques qui oscillent entre soumission et arrogance, espoir et désillusions, volonté de s'intégrer à la société environnante et sentiment d'être, malgré eux, constamment différents. Adolescences trop souvent bafouées et histoires tristement plurielles.

02/2013

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Musique, danse

British Rock. Tome 1, 1956-1964 : Le temps des pionniers

Le premier tome d'une monumentale histoire du rock britannique L'Angleterre n'a pas inventé le rock'n'roll et son premier héros n'a jamais approché la carrure d'un Elvis Presley. Rien ne laissait prévoir durant les années 1950 qu'un pays aussi éprouvé moralement puisse rivaliser musicalement avec les Etats-Unis et célébrer les turbulences d'une nouvelle génération. Egarés dans un monde d'austérité, les gamins anglais ont créé dans la liesse un terreau paradisiaque qui va révolutionner la musique sur tous les continents. Après le déclic instauré par Cliff Richard, les Shadows et les Tornados, l'ascension foudroyante des Beatles met fin à l'hégémonie américaine et révèle un élan national soutenu par des centaines d'orchestres aux prétentions innovantes. Une guerre effrénée s'engage. L'encouragement du ministère de l'Education permet de réorienter les jeunes en mal de résultats scolaires vers un cycle universitaire de quatre années consacrées aux arts. C'est ainsi, par exemple, que John Lennon obtient l'autorisation de faire répéter les Quarrymen dans la cantine de son établissement. D'autres (comme Eric Clapton, David Bowie, Pete Townshend, Nick Mason, Roger Waters, Jeff Beck, Eric Burdon, Rick Wright, Keith Richards, Ron Wood, Ray Davies et son frère) font cette même expérience d'un dilettantisme financé par l'Etat. Tandis que les initiateurs disparaissent tragiquement (Buddy Holly, Ritchie Valens, Eddie Cochran.) ou connaissent des destins mouvementés (Chuck Berry, Jerry Lee Lewis, Gene Vincent, Elvis Presley.), le rhythm'n'blues émigre en Angleterre telle une valeur stimulante. L'industrie du show-biz a trop longtemps méprisé le potentiel fantastique des artistes noirs issus du gospel, du blues et du doo-wop. Et ce sont ces disques exportés comme de vulgaires surplus qui vont susciter l'éclosion spontanée d'un style britannique aussi singulier que révolutionnaire : la Beat Music. Les groupes porteurs de cette révolution se nomment les Beatles, les Rolling Stones ou les Who. Le jeune public s'identifie aussitôt à ceux qui apparaissent comme les nouveaux héros d'une contre-culture. Les industriels anglais ne passent pas à côté du phénomène et vont follement amplifier la percée de ces groupes. Cette ascension débute en 1957 et est vite relayée par les médias britanniques. L'explosion du rock anglais (due aussi à des producteurs de génie (George Martin, Giorgio Gomelsky Shel Tamy, Andrew Oldham.) se mue en véritable invasion aux Etats-Unis et partout dans le monde. Christophe Delbrouck retrace avec brio cette fabuleuse aventure, à la fois culturelle, sociale et politique. Une aventure qui enthousiasmera et marquera profondément plusieurs générations. A NOTER Un second tome paraîtra courant 2013, consacré aux années 1965-1970, Psychedelia L'AUTEUR CHRISTOPHE DELBROUCK, musicien et compositeur, est notamment l'auteur de Frank Zappa / Chronique discographique (EditionsParallèles), Weather Report (Paréiasaure ; rééd. Le Mot et le Reste, 2007), Carlos Santana & la danse des solstices (Editions Larivière /Rock & Folk), la trilogie Frank Zappa & les mères de l'invention, Frank Zappa & la dînette de chrome et Frank Zappa et l'Amérique parfaite (Le Castor Astral, 2003, 2005 et 2006), The Who (Le CastorAstral, 2007), Live : une histoire du rock en public (Le Mot et Le Reste, 2009), Crosby, Stills, Nash & Young (Le Castor Astral, 2009) et Live, une histoire du rock en public (collectif, Le Mot et le Reste, 2011).

03/2013

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Non classé

U-172_ AVEC CARL EMMERMANN DANS LES CARAÏBES, AU CAP ET A RIO

Quand l'U-172, commandé par Carl Emmermann, quitte le port de Kiel le 22 avril 1942, la seconde période faste de l'arme sous-marine allemande se termine avec la mise en place des convois par les Américains le long de leurs côtes. Depuis le début du conflit, les moyens de lutte anti-sousmarine, mis en place par les Alliés, se sont considérablement accrus : développement du radar embarqué, multiplication des escorteurs et des avions, décryptage des messages radios des sous-marins... De ce fait, les conditions de combat se sont sérieusement dégradées côté allemand... Pourtant, en seulement quatre patrouilles de combat, de mai 1942 à septembre 1943, l'U-172 de Carl Emmermann va couler 26 navires et ainsi dépasser le chiffre de 150 000 tonnes de bateaux alliés détruits. L'U-172 se place ainsi au 15e rang des U-Boote ayant obtenu le plus de résultats, un bilan exceptionnel à cette époque du conflit. En premier lieu parce que ce sous-marin va rejoindre des secteurs particulièrement lointains où des succès sont encore possibles : les Caraïbes pour la première mission ; Le Cap en Afrique du Sud pour la seconde, où il participe à une attaque surprise dans une zone où aucun U-Boot ne s'était aventuré jusqu'alors ; le centre de l'Atlantique pour sa troisième mission où deux convois sont pourchassés en meute jusqu'aux côtes africaines ; les côtes du Brésil pour la quatrième, d'où il sera le seul à revenir sur 7 U-Boote engagés... Ensuite, parce que le commandant est efficace et très aimé de ses hommes : des membres d'équipage soudés autour de leur chef qui les garde précieusement avec lui d'une mission à l'autre. A l'issue de sa 4e mission de combat, Carl Emmermann est le 25e commandant de l'arme sous-marine décoré de la Croix de Chevalier avec feuilles de chêne. Il accepte un poste à terre et devient chef de la 6e flottille à Saint-Nazaire début novembre 1943. L'U-172, qui a déjà survécu à 12 attaques aériennes ou maritimes, repart pour sa 6e et dernière patrouille. Sans son commandant charismatique et dans des conditions de combat encore plus difficiles, il est coulé 21 jours après son départ... L'accès de l'auteur, spécialiste des U-Boote, aux photos du commandant Emmermann conservées au U-Boot-Archiv et à plusieurs photos prises par le correspondant de guerre Helmut Berndt, permet d'illustrer le parcours étonnant de cecommandant avec 250 photos exceptionnelles et inédites. Grâce à la traduction de son livre de bord, au témoignage laissé par le commandant Emmermann et aux croquis des patrouilles, suivez l'U-172 en mission dans les océans lointains...

06/2019

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Littérature française

Mes yeux a travers monde. Ce confinement nous a perdus

Là, à cet instant, je suis devant mon miroir, je le regarde. Je me regarde. Mes crises d'angoisse, derrière moi. Cette dépersonnalisation oubliée, du passé. Ce cancer, un ange déçu, un démon disparu. Pourtant, je vois ces yeux noirs, d'un noir bizarre venu d'autre part. Une tête dépravée n'appartenant plus à mon être, où suis-je donc passé? Je m'écroule, j'espère que cette fois, ma vie n'est pas terminée... S'il te plaît, laisse moi une chance d'espérer... C'est la fin ? Non, J'ai faim, je suis affamé. Affamé de vivre, au loin il y a cette lumière qui brille, elle, elle vit. Je me lève d'un pas assuré, je la suis on verra bien, en tout cas ce sera mieux qu'ici. L'espoir renaît de ces cendres créées. Je suis décidé, le choix est fait... La vie, je la choisis. Alors, je prends un stylo et débute ce récit : A partir de ce jour, je veux commencer à vivre. Ce soir je suis là, devant toi, insomniaque dû à une grosse peine de coeur, je n'arrive pas à dormir, mes rêves sont lointains. J'ai le coeur lourd, tout stagne. Je commence ces quelques lignes... Puis vint le matin, il fait si beau... La mer est lisse, le soleil brille. Nous sommes sur les iles Saintes, sur une plage. Quelle belle plage ! On est seul au monde, au paradis. Oui, on est au paradis. J'ai envie d'écrire, alors écrivons. Tant de choses à raconter. A te raconter. Je crois en la vie, ayant toujours été quelqu'un de très optimiste, plutôt sensé malgré de très nombreuses dérives et de moments d'égarements, qui sont, d'ailleurs, loin, très loin d'être finis. Ils me suivront surement toute ma vie. Mais avec l'âge, la sagesse, les rencontres, mes amis, ma famille, j'espère trouver ce bonheur. Ce bonheur que l'on recherche tous et qui caractérise tout simplement la vie. J'ai bien dit le bonheur et non le plaisir. Ce plaisir qui m'a toujours dominé, enchaîné, emmené dans les bas-fonds de l'existence, de cet univers immense, imperceptible. Toutes ces péripéties m'ont amené à rencontrer des gens formidables, hors du commun, marqués, étiquetés par cette vie, qui se doit à travers les médias et codes culturels, d'être lisse et sans vague. Cette expérience qui est la mienne, je vous la conte à travers ces quelques lignes. Les différentes étapes qui m'ont forgées, et fait de moi ce que je suis. J'en ai besoin, c'est primordial, je dirai même vital. Je l'ai vécu, je la revis en écrivant ces mots. Un moment très spécial et inédit pour la personne que je suis. Ce moment que j'ai tant attendu, tant reporté...

06/2023

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Littérature érotique et sentim

La Saga des Wingleton - Tome 1. James

Elle est étudiante et gogo danseuse. Il est professeur et héritier d'une dynastie... Nina, jeune étudiante de 20 ans, a une vie peu conventionnelle : étudiante le jour, gogo danseuse la nuit. Difficile de garder sa vie nocturne secrète... Et, comme si la situation n'était pas suffisamment compliquée, il fallait que son professeur, James Wingleton, soit cet être aussi intrigant que sexy... qui ne lui semble pas si indifférent. Arrivera-t-elle à résister à la tentation ? Saura-t-elle protéger ses secrets ? Pourra-t-elle combiner son travail de gogo danseuse avec une relation ? Plongez au coeur d'une saga sulfureuse aux accents aussi torrides qu'attachants, où secrets et faux-semblants sont au rendez-vous ! EXTRAIT - Pourquoi est-ce qu'un prof d'université s'intéresse à ce que je fais ?? James continue à lui sourire. Il avale son café d'une traite, se lève, laisse l'argent sur la table et regarde Nina. Il se penche vers son oreille. - Je dois vous avouer que je ne sais pas, mais je ne conçois pas qu'une jeune femme avec votre talent soit obligée de travailler comme ça ? ! Ha, oui... et je dois avouer, également, que vos yeux sont magnifiques ? ! Bonne soirée et bonne nuit, mademoiselle Fallen. James sort du café et Nina reste bouche bée. Elle n'arrive même plus à bouger. James repart à sa voiture et, une fois derrière le volant, se passe la main dans ses cheveux. - Pourquoi je lui ai dit ça ?? Elle est belle, intelligente, mais en même temps, je ne peux pas réagir comme n'importe qui avec elle. Je suis son professeur, je ne dois pas laisser mes émotions prendre le dessus. Avec elle, j'ai l'impression de revivre. J'ai envie de l'aider, de la protéger et d'être près d'elle, mais c'est interdit. Non, je dois agir en professionnel, mais... Au même moment, James arrête de penser et voit Nina sortir du café. Cette dernière se dépêche de rejoindre son appartement, car la pluie commence à tomber. Elle ne peut s'empêcher de remarquer que la voiture de James se trouve toujours dans la ruelle. Son regard croise celui de l'homme et elle reste là, sans rien dire, pendant une bonne minute. Elle secoue la tête et entre chez elle. Une fois la porte fermée, elle entend le moteur de la voiture démarrer. CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE J'ai plutôt apprécié la construction des personnages, la force de caractère de Nina et les doutes de James. - clotildebore180691, Babelio L'auteur a une belle plume qui se lit vite et bien, on a beaucoup d'émotions, on se prend vite dans son histoire et on reste captivé jusqu'à la fin, on veut savoir ce qui va leur arriver et comment ils vont s'en sortir. - Momominouche, Booknode A PROPOS DE L'AUTEURE Originaire de Gironde, Lola Blood est mère et belle-mère de cinq enfants. L'écriture a toujours fait partie de sa vie. Avec La Saga des Wingleton, c'est un véritable défi qu'elle se lance : dépasser le stade des fanfictions publiées sur Wattpad pour écrire sa propre série !

10/2019

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Littérature étrangère

Et les hippopotames ont bouilli vifs dans leurs piscines

Manhattan, été 1944. Autour de Will, la trentaine, serveur dans un bar, et de Mike, 19 ans, les deux narrateurs du roman, gravite toute une constellation d’amis sans le sou, qui errent dans la chaleur de la ville et font le va-et-vient incessant entre les appartements des uns et des autres, où s’improvisent des soirées improbables. Parmi eux il y a surtout Phil, un gamin de 17 ans à la beauté insolente, qui essaie désespérément d’échapper aux assiduités de Ramsay Allen, dit Al, la quarantaine un peu pathétique, éperdument amoureux de lui depuis ses 13 ans. Partout où va Phil, Al le suit comme son ombre, jamais découragé par les refus du garçon. Pour lui échapper, et par goût de l’aventure, Phil accepte la proposition de son ami Mike : s’embarquer, dès que possible, sur un navire de la marine marchande. L’objectif est d’arriver en France, et de filer vers Paris, la ville des poètes et des artistes qui aura sûrement été libérée d’ici là. Mais le départ tant attendu est chaque jour reporté pour des retards et tracasseries administratives ; et le roman suit la longue attente des deux garçons, leurs errances nocturnes toujours renouvelées, et la tension qui monte avec Al, constamment pendu aux basques de Phil. Alors qu’ils ont un jour enfin trouvé un bateau, ils en sont congédiés au dernier moment. Dépités, ils retrouvent la terre ferme, mais, au petit matin, Phil est introuvable. Il raconte alors à Will puis à Mike que, la veille au soir, excédé par l’insistance d’Al, dans un accès de folie, il l’a tué d’un coup de hachette, avant de jeter son corps au bas d’un immeuble. Le roman se conclut sur la dernière beuverie de Mike et de Phil, qui s’apprête à solliciter l’aide de son oncle haut placé, pour qu’il l’aide à échapper à la justice. Et les hippopotames ont bouilli vifs dans leurs piscines est le premier roman de William Burroughs et Jack Kerouac. Ecrit en collaboration, il se base sur l’histoire vraie d’un de leurs jeunes amis qui, comme Phil, a tué son prétendant. Kerouac et Burroughs, dans la peau de leurs avatars Will Dennison et Mike Ryko, semblent y peaufiner chacun leur style, leur ton, leurs thèmes de prédilection. Burroughs en figure paternelle désabusée, s’occupant de ces jeunes gens irresponsables tout en s’adonnant à ses penchants pour la morphine, Kerouac en jeune homme épris d’aventure, au style faussement familier, en réalité très précis, très écrit. Le charme du roman tient surtout à l’atmosphère légère et grave à la fois de ce New York de l’été 44, peuplé de marins, de soldats en transit, de jeunes gens désoeuvrés, où le temps est suspendu à la fin de la guerre. Dans ces personnages encore indéterminés, animés du désir vague de faire quelque chose, s’embarquer dans une aventure ou écrire un livre – dans ce goût des beuveries et de la marginalité, on retrouve la matrice des oeuvres des deux romanciers de la Beat Generation. Il s’agit d’un document passionnant, qui montre deux écrivains en devenir et évoque un entre-deux qui est à la fois la fin d’un monde et le début d’un autre.

05/2012

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Littérature française

Les plus belles histoires vraies de Noël

Des histoires de Noël, belles, insolites, incroyables (souvent inconnues) ayant pour héros des anonymes, des célébrités contemporaines ou des personnages historiques. Le lecteur est plongé dans une ambiance magique, celle de la plus belle fête de l'année. Durant cette courte parenthèse enchantée, surgissent de belles et incroyables histoires... - 1818. Afin d'attirer du monde dans la petite église d'Obendorf, en Autriche, où il est second pasteur, Josef Mohr écrit "Douce nuit". Il est soutenu par l'instituteur, organiste et compositeur, Franz Gruber. - 1843. Charles Dickens publie le premier de ses livres de Noël qui va devenir une tradition contribuant à faire de Noël, en Angleterre, la principale fête de l'année. - 1742. Au matin de Noël, Mme de la Tournelle se fait déposer dans sa chaise à porteurs au milieu de la Cour des Ministres du château de Versailles. Elle veut attirer l'attention de Louis XV. Et ça marchera puisqu'elle va devenir sa favorite... - 1847. En quelques heures, un inconnu, Placide Coppeau, de Roquemaure, sur les bords du Rhône, écrit "Minuit chrétiens" pour la collégiale. Une cantatrice tombe sur le texte et le donne à Adolphe Adam, célèbre musicien qui a notamment signé le ballet "Gisèle". Il en compose la partition. Création le 24 décembre à Roquemaure. - 1925. La première aventure de Winnie l'Ourson paraît sous la plume d'Alan Alexander Milne le 24 décembre 1925 dans un quotidien britannique avec un tel retentissement que la BBC fait lire le texte le lendemain sur son antenne ! Derrière ce Winnie imaginaire, se cache une émouvante histoire vraie... - 1797. A peine cinq mois après leur rencontre coup de foudre, Walter Scott épouse Charlotte le 24 décembre. - 1898. Louis Renault part réveillonner dans une voiturette de son invention. Ses amis le voyant arriver sont séduits. Il repart avec douze commandes pour le même véhicule ! - 1642. Naissance le 25 décembre d'Isaac Newton. L'enfant est tellement chétif que deux sages-femmes affirment qu'il ne passera pas la journée. Il vivra 85 ans... - 1914. Dans la précipitation la plus totale (elle enfile une robe banale même pas neuve !), Agatha Christie épouse Archibal, son premier mari. - 1959. Le 24 décembre, Joséphine Baker adopte un bébé trouvé un peu plus tôt enroulé dans un chiffon à côté des poubelles de la gare Saint-Lazare. - 1954. Le 24 décembre en début de soirée, une inconnue décidée à devenir chanteuse arrive d'Egypte à Paris sous la neige. C'est Dalida. - 1956. Jean Nohain anime la soirée du réveillon à la RTF en direct. Soudain, le feu se déclare sur le plateau alors qu'il raconte un conte de Noël intitulé "Le briquet"... Tout se terminera bien ! - 1946. Quelques mois avant Noël, Tino Rossi tourne "Destin", un film de Richard Pottier. Au cours des prises de vue, on se rend compte qu'il manque une chanson pour Tino. En vitesse, Raymond Vinci et Henri Martinet écrivent "Petit papa Noël" dont la carrière discographique démarre à Noël. Le début d'un triomphe. Le film, lui, n'est pas passé à la postérité. - 1967. A Paris, réveillé en sursaut, un homme reçoit un coup de poing sur la figure. Son plus merveilleux Noël commence ! - 1985. Un businessman anglais rate son train. Il erre dans une gare jusqu'à ce qu'il soit attiré par un clochard très différent des autres... - 1990. Un gamin de sept ans parcourt trente kilomètres seul pour offrir à sa famille le plus beau des cadeaux.

11/2014