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Fantasmagories londoniennes

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Littérature anglo-saxonne

La coupe d'or

Au début des années 1900, au mois d'août, alors que la chaleur accable Londres, le destin d'un prince italien dépourvu de richesse vient d'être scellé. Son mariage avec Maggie Verver, une riche héritière américaine, aura lieu dans quelques jours. Le prince est satisfait de ses fiançailles et trouve sa fiancée charmante. Naïve, mais absolument charmante, et gentille. Maggie est la fille d'Adam Verver, un riche financier qui parcourt le Vieux Monde à la recherche d'œuvres d'art. Ils ont à présent élu domicile dans la capitale britannique. Charlotte Stant, une Américaine sans fortune qui n'est toujours pas mariée, vient d'arriver à Londres pour assister au mariage de Maggie, son amie. Le prince et Charlotte ont autrefois été amants, mais voyant qu'il n'y avait rien à espérer (autrement dit qu'ils étaient tous deux sans argent), ils ont renoncé l'un à l'autre. Peu après son mariage avec le prince, Maggie persuade son père d'épouser Charlotte. Malgré cette nouvelle union, les anciens amants sortent de plus en plus souvent ensemble dans la société londonienne, délaissés par le père et la fille trop occupés à alimenter leur collection d'art. Maggie finit par avoir des soupçons sur la relation entre son mari et sa belle-mère. C'est alors qu'un jour, elle achète – par hasard – la fameuse coupe d'or. Pris de remords de l'avoir vendue au-delà de sa valeur, le marchand se rend chez elle pour l'informer d'une fêlure dans le cristal. Il aperçoit alors une photographie du prince et de Charlotte et lui raconte qu'ils ont failli acheter la coupe quelque temps plus tôt. Maggie est dès lors convaincue de l'infidélité de son mari. La jeune épouse, douce de caractère, naïve en apparence, va alors se révéler d'un tempérament d'acier et fine diplomate, pour tenter de sauver son mariage et d'éloigner Charlotte. Ce chef-d'œuvre de Henry James sur le mariage et l'adultère explore les relations entre une fille et son père et leurs époux et épouse respectifs.

09/2016

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Littérature érotique et sentim

Snow Crystal Tome 1 : La danse hésitante des flocons de neige

"Réconfortante, sexy et chaleureuse, la série "Snow Crystal" de Sarah Morgan est parfaite ! " Jill Shalvis Noël. Kayla Green redoute cette date et, comme chaque année, elle prévoit de s'enfermer dans son bureau de Manhattan avec une surdose de travail. Mais un gros budget de relations publiques l'envoie en fait dans le Vermont : celui de Snow Crystal, apporté par Jackson O'Neil, qui dirige un groupe de stations de sports d'hiver de luxe. Pour Kayla, ce petit miracle de Noël ne va pas sans inconvénients : primo, la neige, le ski, les snow-boots, tituber sur la glace en talons hauts... , ce n'est vraiment pas son idéal ; secundo, Jackson O'Neil a une famille, une de ces familles aussi unies que les mailles d'un tricot bien serré qui rappellent douloureusement à Kayla qu'elle a toujours dû se débrouiller seule. Mais il y a pire encore pour elle que Noël, la famille et autres calamités : c'est Jackson. Jackson, qui a tous les atouts en main pour faire fondre le coeur de glace qu'elle s'est si difficilement façonné... "Je me suis régalée de cette délicieuse histoire à la douce saveur de Noël, sucrée et saupoudrée de cannelle, exactement comme il le fallait. Une superbe romance que je ne peux que vous recommander pour cet hiver ! " Blog Alice Neverland "Kayla, et Jackson m'ont fait rêver. Du début à la fin c'est juste parfait" Blog La fouinothèque "Cette série est un pur régal que je vous conseille sans hésiter. La famille O'Neil est vraiment attachante, ils forment surtout une famille très unie, qui nous apporte à chaque fois un peu plus le sourire aux lèvres. Bref, que du bonheur ! " Blog Songe d'une nuit d'été A propos de l'autrice : Autrice fréquemment citée par USA Today, la Londonienne Sarah Morgan a conquis ses nombreux fans grâce à ses histoires finement tissées d'humour et d'émotion intemporelle. Elle a vendu plus de 14 millions de livres à travers le monde. Enfant, Sarah rêvait de devenir écrivain, et bien qu'elle ait pris des détours avant d'y parvenir, elle vit à présent son rêve.

11/2020

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Philosophie

L'Europe et la Profondeur. Tome 4, Le Voyage des morts

Cet ouvrage se propose d'étudier certains aspects mortifères de notre monde moderne, et cela notamment à partir de l'examen du concept de " monde-tombe" de Ludwig Binswanger, notion utilisée ici, non pas en mode psychique, mais ontologique: appliquée non à un individu mais à une époque entière - la nôtre. Par cette analyse, Pierre Le Coz fait venir ce qui à ses yeux caractérise le monde contemporain: sa rédhibitoire clôture s'étendant à tous les domaines y compris ceux de la vie la plus quotidienne; clôture associée à un cours lui-même très particulier du devenir, et qui se caractérise par un temps s'effondrant en direction d'un unique instant-évènement où est (sera) rassemblée la totalité de l'histoire humaine: ce que certains appellent " la fin du monde " (mais de quel " monde " au juste?) et d'autres " l'Apocalypse ". Ce qui au bout du compte est tenté ici n'est rien moins que la description de ce processus à la fois extrêmement prégnant (puisque personne ne semble pouvoir y échapper) et toujours, après cinq siècles, aussi mystérieux du moderne; et comment notamment les entreprises historiques de ceux-là mêmes qui prétendaient le maîtriser (en mode " progressiste ") voire s'y opposer (en mode " réactionnaire ") n'ont abouti qu'à une seule chose : l'accélérer et le renforcer toujours plus, si bien que ce " moderne " apparaît désormais à nombre de nos contemporains comme un " destin " (dont un nom serait par exemple " mondialisation ", mais il y en a d'autres) contre lequel il n'y aurait qu'à subir. Il n'en est bien sûr rien, et il sera montré dans un prochain ouvrage (Le Secret de la vie) comment ce processus peut être surmonté, et brisée la clôture époquale de ce monde même: " tombe " et " moderne ". Ici encore, comme dans ses précédents essais, l'auteur parvient à réaliser le mariage entre des considérations philosophiques ou théologiques parfois subtiles et d'autres qui, elles, relèvent de la vie la plus " ordinaire ", voire même des débats qui animent l'actualité vulgaire-médiatique: c'est ainsi qu'on trouvera, à côté de l'examen de notions telles que la sainteté, ou " l'aventure poétique ", ou l'accélération du temps, des analyses très approfondies de la " souffrance au travail ", de la "fête„ (de la conception que s'en font nos sociétés), de la " précarité " et du " bruit " (en tant que la nuisance la plus fondamentale de toute cette fantasmagorie), etc. En ce sens, ce Voyage des morts se veut un livre essentiellement pratique, sorte de " manuel de survie aux temps du nihilisme achevé ", et dont l'un des mérites consiste à décrire sans illusion - mais sans désespoir non plus - ces temps: en en dessinant le contour de détresse maximale, mais en en indiquant aussi les chemins qui pourraient nous conduire vers leur sortie et vers un " redressement ".

03/2011

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Littérature étrangère

Le journal de la veuve

La narratrice, une femme d'une soixantaine d'années, a perdu subitement son mari. Elle n'a ni enfants ni famille, et ses rares connaissances ne lui proposent qu'un soutien très élémentaire. Assaillie de témoignages de sympathie qu'elle n'a pas le sentiment de mériter, elle cède à la panique et saute à bord de la Jaguar du défunt pour s'enfuir loin de leur grande demeure londonienne, désormais vide. Elle loue une petite maison de pêcheur dans un village de la côte du Norfolk où elle ne connaît personne. Elle y vit recluse, sans trop savoir si elle va y demeurer définitivement ou n'y séjourner que quelques mois. Encore sous le choc de la perte de son mari, elle dort peu, boit de plus en plus et doit apprendre à découvrir sa vraie personnalité à présent qu'elle n'est plus simplement la femme de quelqu'un. Les longues promenades dans les marais du littoral, les soirées au pub et les heures passées à contempler le feu de cheminée sont propices à cette réflexion qui nous est transmise sous la forme du journal qu'elle tient au quotidien. Mais loin de se complaire dans la noirceur ou l'auto-apitoiement, les réflexions et ruminations de cette femme sont teintées d'humour. Au fil de ce monologue intérieur, elle bouscule avec ironie toutes les idées reçues quant à la conduite qu'il est convenu d'adopter en période de deuil. Ainsi rejette-t-elle la suggestion d'une de ses amies de faire du volontariat pour se sentir utile et moins seule au motif qu'elle n'est pas une délinquante en réinsertion. Elle s'amuse aussi des gens du village bien-pensants, visiblement offusqués par l'installation de cette femme qui vit en dépit de toute convenance et n'a que faire du qu'en-dira-t-on. Elle dit elle-même avoir des problèmes avec la réalité et s'efforce de composer avec elle pour alléger son quotidien, comme en témoigne son sens de la formule. A titre d'exemple, elle rebaptise les ornithologues qu'elle croise régulièrement au cours de ses promenades dans les marais, les qualifiant de " paparazzi ornithologiques " du fait de leur accoutrement. Au fil de son récit empreint de causticité, on découvre que son mariage fut loin d'être parfait, plein de frustrations et de déceptions, marqué par deux gros secrets...

02/2012

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Littérature étrangère

Ton visage demain. Tome 2, Danse et rêve

" Si seulement personne ne venait nous dire "S'il te plaît" ou "Dis-moi", ce sont les premiers mots qui précèdent les demandes, presque toutes les demandes : "Dis-moi, est-ce que tu sais ?", "Dis-moi, pourrais-tu me dire ?", "Dis-moi, as-tu ?", "Dis-moi, je voudrais te demander : une recommandation, un renseignement, un avis, un coup de main, de l'argent, une intercession, ou une consolation, une grâce, de me garder ce secret ou de changer pour moi et d'être quelqu'un d'autre, ou de trahir pour moi et de mentir et de te taire et ainsi me sauver."" Par ces mots débute Danse et rêve, le deuxième et avant-dernier volume de la trilogie Ton visage demain, l'une des œuvres maîtresses de Javier Marias. Nous y renouons le fil de l'histoire qui, par une nuit de pluie, avait conduit un mystérieux visiteur jusqu'à l'appartement du protagoniste à Londres. Rappelons que ce dernier, Jaime Deza, est doué du pouvoir de deviner à quoi ressemblera demain le visage des gens qu'on rencontre aujourd'hui. C'est grâce à ce don qu'il a été embauché par l'étrange Mr Tupra, chef d'un inquiétant groupe sans nom, espèce d'excroissance souterraine du MI5 ou du MI6, les Services secrets britanniques. Et voilà que nous les découvrons tous deux au cœur de la nuit londonienne, dans une discothèque à la mode où Mr Tupra essaie de gagner la confiance d'un certain Manoia alors que Jaime s'occupe de surveiller - et d'amuser- la femme de celui-ci. Mais le drame -on le dit - ne tient parfoisqu'à une seconde de distraction. Lorsqu'elle disparaîtra soudain dans les bras du jeune attaché culturel espagnol, De la Garza, Jaime sera bien obligé d'aller la chercher partout, et même là où un espion un peu novice de Sa Majesté ne devrait jamais entrer... Comme dans le premier volume, cette intrigue sert de support à une longue méditation sur la nature humaine, en particulier lorsque l'homme est confronté à la violence et à la peur. Avec sa prose ensorcelante, Javier Marias nous invite aussi à faire ce voyage intérieur mais sans oublier la trame de l'histoire qui nous est racontée. Et c'est encore sur un suspense très habilement ménagé que se clôt cette deuxième partie. Et la troisième s'annonce déjà...

04/2007

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Roman d'amour, roman sentiment

Mariage sous les flocons

Epouser celui qu'elle aime le jour de Noël, Rosie ne pouvait pas rêver plus romantique ! Sauf que sa famille ne partage pas son enthousiasme... Maggie est sous le choc. Sa fille cadette a décidé de se marier pour Noël ! A vingt-deux ans, est-on vraiment prêt à s'engager pour la vie ? C'est ce qu'elle-même a fait avec Nick mais, justement, voilà des mois qu'ils sont secrètement séparés. Pour éviter que la nouvelle se répande, Maggie va faire de son mieux pour donner le change. Même si retrouver Nick risque de la perturber plus que de raison... Katie n'a aucune envie de traverser l'Atlantique pour jouer les témoins au mariage de sa soeur. Pourtant, elle n'a pas le choix : elle doit ouvrir les yeux de sa petite soeur avant qu'il ne soit trop tard. Le grand amour, ça n'existe pas, et elle compte bien le lui prouver. Il faudrait juste que Jordan, le témoin du marié, arrête de ruiner tous ses plans. A mesure que son mariage approche, Rosie est de plus en plus stressée. Impatience ou nervosité ? Alors que les invités arrivent et que la réalité la rattrape, elle ne peut plus ignorer la question qui l'obsède depuis qu'elle a fait son annonce à sa famille : fait-elle l'erreur de sa vie en se mariant à un homme qu'elle ne connaît que depuis quelques semaines ? "Des quiproquos, des personnages attachants et une bonne dose d'humour... C'est la lecture idéale pour les fêtes ! " Le Journal des Femmes "Un roman pétillant qui traite avec délicatesse de la difficulté de faire des choix et nous rappelle que Noël est une période propice aux petits et grands miracles". Au Féminin "Un roman doux, drôle aux personnages attachants qui met du baume au coeur". Serieously A propos de l'autrice Autrice fréquemment citée par USA Today, la Londonienne Sarah Morgan a conquis ses nombreux fans grâce à ses histoires finement tissées d'humour et d'émotion intemporelle. Elle a vendu plus de 18 millions de livres à travers le monde. Enfant, Sarah rêvait de devenir écrivain et, bien qu'elle ait pris des détours avant d'y parvenir, elle vit à présent son rêve.

10/2021

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Décoration

Tricia guild: in my view

Tricia Guild, qui est l'une des plus grands designers d'intérieur du monde, croit passionnément que la façon dont nous choisissons de vivre a une incidence importante sur notre bien-être. Les maisons dans lesquelles nous vivons, les choses avec lesquelles nous nous entourons et les choix quotidiens que nous faisons peuvent affecter profondément notre vision et notre positivité. Il n'est donc pas surprenant que Tricia mette en pratique ce qu'elle prêche : il lui est impossible de séparer son travail de designer des autres aspects de sa vie et elle pense que nous devrions rechercher une inspiration créatrice dans chaque expérience, en particulier pour apprécier les choses qui apportent du plaisir à nos vies. Pour Tricia, l'Italie est une passion particulièrement vivace et elle y a une maison depuis de nombreuses années. Lorsque Tricia et sa famille ont commencé la recherche d'une nouvelle propriété, elle a trouvé l'occasion idéale de créer une maison spéciale - une interprétation contemporaine de la langue vernaculaire locale - qui représente son genre de modernité. In my View nous emmène dans une visite guidée de la magnifique propriété ombrienne, depuis les marches de l'entrée et les pièces/espaces de la maison principale jusqu'aux espaces de restauration en plein air, studios, chambres d'hôtes, jardin potager et pool-house. L'architecte Stephen Marshall et le designer de jardins Arne Maynard expliquent leur collaboration avec Tricia en décrivant, entre autres, le choix des matériaux pour la maison et la plantation sur les terrasses autour des pelouses ondulantes du jardin nichées au milieu d'oliviers verdoyants. Tricia présente également sa nouvelle maison londonienne : une maison de ville victorienne, où, avec la même équipe de Stephen et Arne, elle s'est lancée dans la création d'une retraite urbaine comprenant trois zones distinctes pouvant accueillir la vie, les repas et le repos. Tout au long du livre, Tricia partage les moodboards qui l'ont aidée à réaliser les maisons de ses rêves en Italie et à Londres. Pour Tricia, les moodboards sont essentiels dans les premières étapes de tout projet car ils aident à établir la langue, le rythme et le style de chaque espace. Le processus de sélection et de mise en forme soigné est au coeur de la recherche de son propre style. In my View révèle les choix personnels qui ont façonné le mode de vie de Tricia et inciteront le lecteur à développer son propre style et à créer ainsi son propre point de vue.

09/2019

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Histoire internationale

Lady died

Si des fantômes hantent toujours la place de l'Alma, c'est peut-être parce que des secrets enfouis dans la mémoire des vivants peinent encore à trouver le chemin de la lumière. Neuf ans après le très médiatique crash de l'Alma, n'est-il pas temps d'en finir avec l'affrontement stérile : " théorie de l'accident " contre " théorie du complot " ? Et de traiter sérieusement une affaire réduite dès la première heure à la rubrique people et au fait divers ? Si le rôle de l'institution judiciaire est de rétablir l'ordre public, cette mission semble avoir été parfaitement remplie par la France après la mort spectaculaire de la princesse Diana à Paris dans la nuit du 30 au 31 août 1997 : un " banal " accident de la route. Mais la vérité sur cette mort embarrassante demeure fuyante, et les événements qui l'ont précédée, occultés par le glamour, sont restés ignorés du public tenu trop souvent à l'écart des affaires du monde et du monde des affaires. Les sujets de Sa Très Gracieuse Majesté Élisabeth II, toujours perplexes depuis la clôture de l'instruction française, ont obtenu de haute lutte que soit ouverte une enquête criminelle inédite. C'était le 6 janvier 2004, soit six ans et demi après les faits. Devant la complexité tentaculaire du dossier, la police britannique n'a toujours pas rendu ses conclusions. En effet, ni la course-poursuite avec des paparazzi pas plus qu'un excès de vitesse n'ont été retenus. De plus, l'ombre épaisse du doute plane sur les expertises médico-légales. Alors seulement on a commencé à se souvenir que Diana, bête noire de l'establishment anglais, n'était pas seule à avoir trouvé la mort dans cet étrange accident... Outre le décès instantané du chauffeur occasionnel, Henri Paul, la disparition d'Emad Fayed, dit Dodi, le compagnon de la princesse, a endeuillé la famille Fayed. Son père, Mohamed, richissime homme d'affaires égyptien, s'était lui aussi mis à dos une bonne partie de ce que la bonne société londonienne compte de nantis et de businessmen depuis sa réussite spectaculaire et sa mainmise sur les magasins Harrods, fournisseurs de la Couronne. C'est vers les sphères opaques des groupes d'influence du luxe et du pouvoir que s'oriente la présente enquête. Elle propose un éclairage inédit sur la mort de Diana, princesse de Galles, et de Dodi al-Fayed en orientant les recherches vers cet " autre monde " dans lequel évoluaient les amants tragiques.

08/2006

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Roman d'amour, roman sentiment

Un Noël romantique en Laponie. La dernière romance de Noël de Sarah Morgan en poche !

Noël est plus beau sous les aurores boréales La neige à perte de vue, les rennes, les balades en chiens de traîneau : Christy se faisait une joie de passer les vacances de Noël chez sa tante qui tient un Snow Spa en Laponie. Mais, à l'approche du grand départ, Seb, son mari, se montre distant et anormalement stressé. Christy sent que si elle veut réparer leur couple à la dérive elle doit passer, avant le réveillon, quelques jours seule avec lui. C'est décidé : elle va confier leur fille à Alix, sa meilleure amie, pour les premiers jours. Et si tout va bien, à Noël, ils seront tous réunis dans ce décor de rêve, plus soudés que jamais. Alix est terrorisée. S'occuper d'une fillette de quatre ans représente un vrai défi pour une phobique de l'engagement comme elle. Mais pour rendre service à Christy elle est prête à tout. Sauf que son amie ne lui a pas tout dit, et elle comprend très vite qu'elle ne va pas être la seule nounou de la petite Holly : Zac, l'ami de Seb, est venu en renfort. Zac, ce globe-trotter aussi irrésistible qu'agaçant, qu'elle a pris soin d'éviter pendant cinq ans... Voilà qu'ils vont devoir partager un chalet romantique à souhait ! Heureusement que Holly sera là pour les occuper nuit et jour, sinon, elle serait en grand danger de céder à la plus dangereuse des tentations... A propos de l'autrice Autrice fréquemment citée par USA Today, la Londonienne Sarah Morgan a conquis ses nombreux fans grâce à ses histoires finement tissées d'humour et d'émotion intemporelle. Elle a vendu plus de 21 millions de livres à travers le monde. Enfant, Sarah rêvait de devenir écrivain et, bien qu'elle ait pris des détours avant d'y parvenir, elle vit à présent son rêve. " Petit coup de coeur pour ce magnifique roman. Comme toujours avec moi, Sarah Morgan fait mouche ! Elle m'emporte, me fait fondre d'amour et me ramène à ma propre vie, à mes relations, à mon couple, à ma famille. " Kimysmile " Plus qu'une romance de Noël, nous sommes ici en présence d'une histoire de secrets de famille et de faux-semblants mais surtout d'une histoire pleine de beaux sentiments et de belles valeurs humaines. " lisez_en_moi " Les personnages très attachants ayant tous leurs forces et faiblesses sont les atouts de cette histoire. Sans oublier une romance et Noël. " Veronic68

10/2023

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Policiers

Romans d'espionnage de la Grande Guerre

Le roman d'espionnage, dont François Rivière raconte la genèse dans sa préface, est né pendant (et de) la Première Guerre mondiale. Les auteurs réunis dans ce volume ont en commun non seulement d'avoir vécu ce conflit, mais aussi d'y avoir participé. C'est notamment le cas de George Valentine Williams, qui fut le collaborateur de Lord Northcliff, chargé des relations avec la presse au sein du cabinet de guerre britannique, de Phillips Oppenheim, qui a nourri ses livres de sa fréquentation assidue des chancelleries londoniennes, ou de Marthe McKenna, une infirmière belge qui oeuvra pour les services secrets anglais tout en feignant de travailler pour les Allemands sous les ordres desquels elle se trouvait. Si un romancier français, Jean Bommart, s'est illustré comme un des pionniers du genre, avec les exploits du " Poisson chinois " - un espion qui doit beaucoup à Rouletabille -, les maîtres incontestés en ce domaine sont les Anglais, présents dans ce volume, outre Phillips Oppenheim et Valentine Williams, avec Kipling et Conan Doyle dont deux nouvelles décrivent l'atmosphère de la guerre sur le sol britannique. Auteur d'une centaine de romans, Oppenheim a consacré une partie de son oeuvre aux récits d'espionnage. Ses héros, séduisants agents secrets, aventurières sans scrupules et malfrats de haut vol, évoluent dans l'univers des casinos, des hôtels de luxe et des salons d'ambassade. Dans L'Imposteur, le suspense tient à l'identité du héros, dont le lecteur se demande jusqu'au bout s'il s'agit d'un aristocrate anglais fréquentant les milieux diplomatiques londoniens et berlinois ou d'un agent secret allemand jouant ce rôle pour mieux renseigner le Kaiser sur les préparatifs du conflit. Dans L'Homme au pied bot de George Valentine Williams, le héros, Desmond Oakwood, un jeune agent secret britannique, affronte le chef du service de renseignement allemand, âme damnée du Kaiser et mystérieux comploteur. Le personnage principal du Train blindé n° 4 de Jean Bommart est un agent des services français, Georges Sauvin, alias " le Poisson chinois ", dont la mission consiste à lancer un train blindé, bourré de munitions, à l'assaut des lignes ennemies. Le livre de Marthe McKenna, Les Espions que j'ai connus, est le " roman vrai " d'une jeune infirmière accréditée auprès de l'envahisseur allemand qui prend le risque de renseigner les Anglais et de faire évader des prisonniers belges et britanniques. Elle raconte au fil d'épisodes très romanesques les missions extrêmement périlleuses qui furent les siennes. Dans sa nouvelle " Mary Postgate ", Rudyard Kipling évoque la nuit hallucinante d'une villageoise qui a décidé d'achever un parachutiste allemand tombé à sa merci. Et dans celle d'Arthur Conan Doyle " Plaidoirie pour un homme seul ", un soldat dépositaire d'un secret militaire se voit contraint de supprimer la femme dont il est amoureux après avoir découvert qu'il s'agissait d'une espionne.

02/2014

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Policiers

Munitions

Tout fout le camp. Ed McBain, le seul écrivain (et sans doute le seul être humain) à trouver grâce aux yeux du sergent Brant, vient de mourir. Alors que Brant accuse le coup en vidant quelques verres dans un pub, un apprenti tueur à gages débarque et lui tire dans le dos. La nouvelle provoque une vague d'allégresse dans tout le South-East, mais l'ambiance est vite refroidie : il faut plus qu'une balle de Browning pour démonter notre héros. Porter Nash, le policier homo qui a le mieux réussi à "dompter" la boule de haine qu'est Brant, est chargé de l'enquête. Mais s'il fallait coffrer tous ceux qui ont envie de dessouder le sergent, on irait plus vite en construisant un mur autour de Londres. Le suspect le plus intéressant reste Rodney Lewis, trader à la City et frère du "violeur de Clapham" - qui est malencontreusement tombé sur son propre couteau lors de son interpellation par Brant. Nash attire les types ingérables : il doit en même temps jouer la nounou avec L M Wallace, un Yankee fraîchement débarqué pour aider la police londonienne dans la lutte anti-terroriste. Wallace met aussitôt en application son credo ("Shoot the motherfuckers") et n'hésite pas à menacer Nash pour s'assurer de son silence. A part ça, quoi de neuf ? Falls, promue sergent grâce à une magouille, se "brantifie" de plus en plus, et use de méthodes personnelles pour mettre fin à la mode du happy slapping (agressions filmées sur téléphone portable) qui se développe dans le quartier. Elle va également devoir affronter son passé, resurgi en la personne d'Angie, psychopathe fascinante avec qui elle a passé une nuit avant de l'arrêter ; et qui vient de sortir de prison, bien décidée à renouer le contact… Quant à McDonald, ex lèche-bottes du Superintendant, il fait maintenant des patrouilles minables en ville et oublie sa déchéance dans la drogue. Il trouve une occasion inespérée de se prendre pour Clint Eastwood, en devenant chef d'une milice de septuagénaires qui veulent virer les gangs pakistanais de leur rue. Bien entendu, tout ce petit monde va finir par s'entrechoquer dans un jeu de massacre où violence gratuite, conscience morale et justice expéditive créent des réactions en chaîne. Ken Bruen nous offre un nouveau cocktail explosif, à grands coups de shaker incisifs. Son mélange d'humour acide et de noirceur conserve la capacité, dans une même page, de faire hurler de rire et de glacer le sang. De quoi garantir quelques heures de lecture haletante, au coeur d'un monde violent et absurde, en compagnie d'une joyeuse bande d'antihéros tordus.

10/2012

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Romance historique

Recueil des 4 nouvelles M. Winterbourne

M. Winterbourne : Lysander Winterbourne semble mener une vie facile. Beau, aimable et sportif de renom, il est le chouchou de la société londonienne. En ce qui concerne Adam Freeman, Lysander n'est qu'un aristocrate gâté. Riche propriétaire de manufactures, Adam n'a pas de temps pour le monde frivole de la bonne société, mais lorsque son frère cadet se fiance avec Althea Winterbourne, il accepte à contrecoeur d'y être présenté - avec l'enfant chéri du clan de Winterbourne comme guide. Se résignant à quelques jours d'ennui, Adam est surpris de découvrir qu'il y a beaucoup plus chez Lysander que son extérieur parfait. Mais Adam aura-t-il le courage de présenter à Lysander Winterbourne son "moi" secret ? Le noël de M. Winterbourne : Lysander Winterbourne et Adam Freeman vivent heureux à Edgeley Park depuis dix-huit mois. Le jour, Lysander est le gérant de la propriété d'Adam, la nuit, il est son amant, mais aucun d'eux n'a parlé de leurs sentiments les plus profonds. S'agit-il d'un "ils vécurent heureux. ". . ou d'un arrangement pratique ? Lorsque les deux hommes sont invités à l'abbaye de Winterbourne pour un Noël en famille, l'affaire se complique rapidement. Trouvant une maison pleine d'invités, ils doivent faire face à des révélations choquantes, des secrets gardés depuis longtemps et à un choix que Lysander n'avait jamais prévu de faire... Lord Cavendish : Lord Perry Cavendish sait qu'il est considéré comme un homme pas très brillant, du genre aimable et sportif. Un homme qui peut se défendre sur un ring de boxe, être le dernier à tenir debout après avoir bu, et offrir un avis utile sur un morceau de viande de cheval - mais pas grand-chose d'autre. Lorsque Perry rend visite à son ami, Lysander Winterbourne, il est présenté à l'Honorable Jonny Mainwaring, un artiste libre-penseur qui est tout ce que Perry n'est pas : non conventionnel, émotionnel... et très bavard. Au début, Perry est dépassé par la vivacité et l'esprit de Jonny Mainwairing, mais lorsqu'il accepte de poser pour lui, il découvre l'homme véritable sous les fioritures dramatiques, et l'indéniable attirance physique qu'il ressent pour Jonny commence à se transformer. Les premières neiges de l'hiver : 1814 : Le capitaine Sam Aldertonrevient du continent en Angleterre avec une vie en lambeaux. Mutilé et sansrepères, la dernière chose qu'il souhaite faire est de passer Noël avec safamille et leurs amis proches, les Huxley - en particulier Jasper Huxley, qu'il a presque embrassé cinq ans auparavant. Sam prévoit d'éviter lesfestivités, mais lorsque les premières neiges de l'hiver arrivent et que Jasperet lui se retrouvent seuls à Alderton Hall, ils se retrouvent à revisiterensemble de vieilles traditions et des souvenirs douloureux - etdécouvrent que les choses ne se sont peut-être pas déroulées comme ils lepensaient cinq ans plus tôt.

12/2022

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Romance historique

A la conquête de sa liberté

Le roman-événement de la duchesse d'York Londres, 1865. Dans un mariage, les sentiments n'ont pas leur place. Fille de duc, Lady Margaret a toujours su qu'elle devait faire honneur à sa famille avec une alliance aussi somptueuse qu'avantageuse. Lord Rufus est le candidat idéal aux yeux de toute l'aristocratie londonienne, mais elle ne voit en lui qu'un homme impassible et froid auprès duquel elle ne pourra jamais être heureuse. En dépit de toutes les convenances, et juste avant l'annonce de ses fiançailles, elle fuit la salle de bal bondée, abandonnant derrière elle ses parents furieux et des convives scandalisés. Bannie mais libre, la jeune femme au tempérament rebelle et spontané décide alors de partir à la découverte d'elle-même. Car, depuis qu'elle n'est plus soumise aux responsabilités de son rang, elle ne souhaite qu'une chose : se défaire du carcan de la société qui ne lui laisse aucune place en tant que femme. De son Ecosse natale aux Etats-Unis, Lady Margaret va arpenter le monde à la conquête de sa liberté. Traduit de l'anglais (Royaume-Uni) par Axelle Demoulin et Nicolas Ancion. A propos de l'autrice Ex-femme du prince Andrew, duc d'York, et ex-belle-fille de la reine Elizabeth II, Sarah Ferguson est duchesse d'York. Autrice de mémoires et de livres pour enfants, elle est aussi productrice de documentaires et de films historiques sur la période victorienne. En parallèle, elle oeuvre au sein de l'organisation à but non lucratif Children in Crisis, qui vient en aide aux enfants et femmes du tiers-monde. Mère de deux filles, les princesses Beatrice et Eugenie, Sarah Ferguson vit à Windsor avec neuf norfolk-terriers turbulents. A la conquête de sa liberté a été coécrit avec Marguerite Kaye, autrice de cinquante romances historiques. " Une histoire d'audace et de détermination, avec pour toile de fond les sommets du glamour et les dures restrictions de la société aristocratique britannique du milieu du XIXe siècle". Julian Fellowes, scénariste de Downton Abbey "Une épopée typiquement british, pas si loin des soubresauts romantiques de Jane Austen". Marion Galy-Ramounot, Madame Figaro "Un roman d'histoire avec un grand H, et d'amour avec un grand A". Europe 1, Historiquement vôtre "Dans la lignée de la saga des Bridgerton". I Newspaper " Une saga de près de 600 pages qui prend place à l'époque victorienne et emmène le lecteur de l'Angleterre à l'Ecosse, en passant par l'Irlande et les Etats-Unis. " Le Point magazine " Un roman historique consacré à Lady Margaret Montagu Douglas Scott, une arrière-grand-tante de l'autrice à la chevelure rousse, rebelle face aux injonctions de son temps et cible privilégiée de la presse people à l'époque. Cent cinquante ans après l'intrigue, toute ressemblance avec une personne réelle n'est pas purement fortuite. " Damien Cottin, Libération

10/2022

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Littérature comparée

Revue de littérature comparée N° 375, juillet-septembre 2020

Neus ROTGER : Le roman comme théorie de l'histoire : théories de l'écriture historique en France au XVIIe siècle (en anglais) Cet article traite de la relation entre l'historiographie et le roman dans la France moderne. Il remet en cause la vision établie qui minore le rôle du roman dans le débat historiographique du dix-septième siècle et avance au contraire que la fiction en prose a joué un rôle important dans la configuration des paramètres théoriques de l'histoire (de la même manière que nous savons comment l'écriture de l'histoire détermine les origines du roman). L'examen d'une série de traités d'épistémologie de l'histoire, allant de Sorel à La Mothe Le Vayer, à Le Moyne, Saint-Réal, Saint-Evremond et Rapin permet de montrer comment le roman participe au processus de réhabilitation d'une discipline en crise. François GENTON : Gellert en France : une bibliographie et quelques réflexions Que reste-t-il de l'oeuvre de Christian Fürchtegott Gellert en France et en français ? Aucun des livres de cet auteur n'est disponible sur le marché du livre en France. Aucune traduction n'a été publiée en France depuis la moitié du XIXe siècle. Ce texte tente de faire le bilan des traductions françaises d'oeuvres intégrales de Gellert ou d'extraits tirés de ses oeuvres et esquisse une description de l'importance en français et en France de cet auteur et de son oeuvre. Ignacio RAMOS-GAY : "An Ingrained Antipathy" : Traduire et adapter le théâtre français en Angleterre, du pillage à la suprématie culturelle (1843-1886) L'objectif de cet article est d'analyser la pratique de la traduction et de l'adaptation d'oeuvres françaises pour la scène londonienne pendant près d'un demi-siècle de la période victorienne (1843-1886). A partir des témoignages de dramaturges, de critiques, d'acteurs et de chroniques journalistiques, il est possible d'observer comment le recours au matériel étranger est conçu, dans un premier temps, comme un exemple de pillage intellectuel qui affaiblit la construction de l'identité nationale autour de l'art dramatique. Dans un deuxième temps, au fil du siècle, ce "vol" ou "pillage" sera conçu en termes positifs, laissant place à une "renaissance" de l'art dramatique britannique. Dans les deux cas, le fondement de l'activité créatrice dans les oeuvres créées en France confirmera ce que certains critiques ont appelé la suprématie culturelle française au XIXe siècle. Aurore TURBIAU : Traversées québécoises en littérature féministe : influences états-uniennes et françaises. Cet article propose d'étudier la manière dont la littérature féministe québécoise s'est constituée, dans les années 1970, en relation avec les productions théoriques et littéraires françaises et américaines. Les Québécoises voyagent aux Etats-Unis et se nourrissent de ce qu'elles y apprennent ; les essais militants les intéressent, ceux de K. Millett, S. Firestone, B. Friedan ; mais le rapport d'influence avec les Etats-uniennes est unilatéral, les Etats-uniennes se souciant assez peu de ce qui se passe au Québec. En revanche, on peut parler de vrais échanges entre féministes françaises et québécoises ; elles partagent essais historiques et féministes, textes psychanalytiques ou littéraires ; elles participent aux mêmes revues et se retrouvent dans des congrès internationaux. Ainsi, au moment des années 1970, on peut parler de "traversées québécoises" : même si la littérature féministe québécoise ne s'est jamais placée en situation de dépendance par rapport aux créations états-uniennes et françaises, elle les a visitées pour en tirer de quoi se construire elle-même, avec ou sans leur participation active. Victor TOUBERT : La bibliothèque inquiète : représentation des bibliothèques chez W. G. Sebald et Pierre Michon Cet article propose de revenir sur la notion de "fantastique de bibliothèque" avancée par Michel Foucault pour étudier les rapports entre savoirs et littérature. Les représentations des bibliothèques chez W. G. Sebald et Pierre Michon semblent en effet ne pas pleinement correspondre au rapport fantastique avec le savoir dont Flaubert était, pour Foucault, le principal représentant. L'étude de ces représentations permet alors de comprendre certaines évolutions des rapports entre les écrivains et les savoirs : construits sur des usages originaux de l'intertextualité, ces représentations comportent une charge ironique et critique, et illustrent un rapport inquiet au savoir.

02/2021