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Raphaëlle Giordano

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Ouvrages généraux

20&21. Revue d'histoire 156

Objet de curiosité et parfois de mépris, le graffiti n'a pas été, jusqu'à une date récente, considéré comme un objet d'histoire à part entière. Parfois convoquée de manière illustrative, l'inscription murale est rarement analysée pour elle-même, dans son contexte matériel et collectif, faisant abstraction du geste comme de la trace, oubliant la matérialité de l'écrit comme son emplacement.

10/2023

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USA - New York

New York. Edition 2023-2024

Statue de la Liberté, Empire State Building, Met et MoMA, Central Park, High Line, comédies musicales à Broadway, rooftops vertigineux, friperies et boutiques de créateurs, bagels et burgers, balade au fil de l'eau à Brooklyn ou échappée à Coney Island : suivez le guide ! - Un concept unique : des cartes grand format dépliables par quartier - Les incontournables, visites, restos et sorties localisés sur les cartes- Des idées et des balades pour découvrir la ville autrement.

01/2023

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Documentaires jeunesse

Les animaux du monde

De la minuscule abeille à l'ours polaire, du tigre du Bengale à l'aigle royal, de l'éléphant d'Asie à la majestueuse baleine bleue... Embarque à la découverte des animaux du monde !

10/2020

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Pédagogie

Ma maison, ma planète... et moi ! Un projet pluridisciplinaire pour l'école primaire (cycle 3)

Chaque jour, la population mondiale s'accroît de plus de 200 000 personnes... En 2050, notre planète comptera vraisemblablement plus de neuf milliards de Terriens ! Si nous ne voulons pas que, couplée à l'urbanisation croissante de la population, cette explosion démographique implique un épuisement des ressources naturelles, une accélération du changement climatique et une réduction de la biodiversité, il est aujourd'hui essentiel de revoir notre conception de l'habitat et de la ville. "Ma maison, ma planète... et moi !" vise à sensibiliser enseignants, enfants et parents aux aspects environnementaux, sociaux et sanitaires de l'habitat. Il contient un module d'activités clés en main sur l'éco-habitat ainsi que des éclairages scientifiques et pédagogiques pour le maître. Au cours de ce travail pluridisciplinaire, les élèves étudient comment les sociétés d'hier et d'aujourd'hui ont répondu aux différents besoins liés au logement, prennent conscience des impacts de l'habitat sur l'environnement et comprennent que des pratiques de construction plus écologiques sont possibles. Ils envisagent tous les aspects d'un habitat écologique, travaillant sur la maîtrise de l'énergie, les matériaux, la forme des bâtiments, la gestion de l'eau et le lien entre l'habitat et le quartier. Nous pouvons mieux habiter la Terre !.

10/2010

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Sociologie

Penser l'histoire des médias

Penser l'histoire des médias ... le chemin historiographique et académique qu'elle a parcouru, mais aussi son actualité et ses perspectives, telles sont les ambitions relevées par la cinquantaine de contributions de ce livre. Quatre dimensions ont été placées au coeur de cette réflexion collective : les enjeux d'ordre méthodologique et la diversité des démarches mobilisées par les chercheurs qui ont les médias pour objet d'étude ; les singularités des rapports entretenus par l'historien avec ses sources ; le spectre des objets d'étude ; enfin les finalités et l'utilité sociale du savoir produit par l'historien des médias. Ces dimensions se dévoilent au fil des chapitres de synthèse, des études de cas et de récits d'égo-histoire qui se répondent et prolongent le premier Congrès international de la Société pour l'histoire des médias (SPHM), tenu à l'Université de Versailles Saint-Quentin-en-Yvelines en mai 2016. Au terme de cet ouvrage, le lecteur aura sans doute le sentiment que nous vivons un temps de redéfinition des frontières de l'histoire des médias, fécondée par d'autres approches et disciplines. Il en saisira d'autant mieux les défis en ayant son histoire à l'esprit, en un vaste panorama par médias, mais aussi par notions, thématiques et tendances de la recherche. Les auteurs : Jade Almeida ; Marine Beccarelli ; Delphine Benoit ; Laurent Bihl ; Claire Blandin ; Alexandre Borrell ; Jérôme Bourdon ; Josette Brun ; Virginie Cerdeira ; Delphine Chedaleux ; Jean-Jacques Cheval ; Emmanuelle Chevry Pébayle ; Frédéric Clavert ; Evelyn Cohen ; Ross F. Collins ; Diana Cooper-Richet ; Mario Cuxac ; Etienne Damome ; Simon Dawes ; Simona De Iulio ; Christian Delporte ; Mehdi Derfoufi ; Emmanuelle Fantin ; Adreas Fickers ; Claire-Lise Gaillard ; Isabelle Garcin-Marrou ; Alexie Geers ; Eric George ; Anne-Marie Granet-Abisset ; Pascal Griset ; Guylaine Gueraud-Pinet ; Pierre-Emmanuel Guigo ; Zdravka Konstantinova ; Pascal Laborderie ; Benoit Lafon ; Thibault Le Hégarat ; Fabiola Leone ; Sylvain Lesage ; Cécile Méadel ; Mike Meißner ; Michael Palmer ; Félix Patiès ; Léa Pawelski ; Géraldine Poels ; François Robinet ; Raphaëlle Ruppen Coutaz ; Aranzazu Sarria Buil ; Valérie Schafer ; Claire Sécail ; Michel Sénécal, Philomen Schönhagen ; Céline Ségur ; Mélodie Simard-Houde ; Evan Spritzer ; Beatriz Tadeo Fuica ; Sonia Temimi ; Philippe Tétart ; Marie-Eve Thérenty ; Dominique Trudel ; François Vallotton ; Nelly Valsangiacomo ; Isabelle Veyrat-Masson ; Graziela Mello Vianna ; Anne-Katrin Weber.

06/2019

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Policiers

Alibis : Polar, Noir & Mystère, no 51

Au sommaire des fictions, le texte gagnant du Prix Alibis 2014, "Panne", de Mathieu Croisetière : quand une panne d'essence au fin fond de la campagne québécoise vire au cauchemar votre pire cauchemar. Suit une fiction du très connu Rick Mofina, "Des cercles rouge sang", qui nous offre une plongée dans le quotidien banal d'un flic de patrouille, jusqu'au moment où tout dérape. "Bridgestone 301.0", de Raphaëlle B. Adam, raconte la lente descente d'une femme dans le crime. L'histoire du petit garçon de "Maman fait dodo", de Katy Boyer-Gaboriault, vous serrera le coeur. Et les personnages de "Sale argent sale", de Camille Bouchard continue avec brio le cycle de nouvelles mexicaines de l'auteur : corruption, misère et violence, sans fard, sous le soleil brûlant. Du côté essais, le très fourni volet critique, le tout aussi complet volet cinéma, mais aussi un "Café littéraire avec François Lévesque", un auteur dont la marque de fabrique est le suspense psychologique, et la couleur le noir. Egalement une table-ronde sur le polar au féminin, avec les auteures Sylvie-Catherine de Vailly, Maureen Martineau, Florence Meney, Maryse Rouy, Johanne Seymour et la reine du polar québécois Chrystine Brouillet. Un numéro qui vous donnera quelques sueurs froides, même en plein été ! Alibis, dont le premier numéro a été lancé en novembre 2001, est la première et la seule revue québécoise professionnelle entièrement consacrée à la littérature policière, au mystère, au noir et au thriller. La revue est trimestrielle et essentiellement axée sur des contenus québécois originaux pour ce qui est des fictions. Les articles y sont spécialisés, et variés : on y trouve autant des entrevues originales d'auteurs (québécois et étrangers), des articles sur les divers corps de métiers au sein de la police (profileurs, artistes judiciaires, enquêteurs spécialisés), des essais sur l'histoire du roman policier (au Québec et ailleurs), et des essais sur les liens étroits entre la fiction et la réalité. Ces articles sont représentatifs d'un genre littéraire populaire et moderne, qui ne cesse d'attirer de nouveaux lecteurs.

03/2015

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Bibliothéconomie

Penser la mediatheque en situation de crise. enseignements d'une expe rience locale

Une nouvelle médiathèque tournée vers l'innovation et l'inclusion sociale ouvre ses portes. La fréquentation est au rendez-vous mais les situations d'accueil souvent difficiles. Suite à des faits de violence, plus tard, la sécurité est revenue, durablement. Une recherche-intervention, conduite pendant deux ans par une psychosociologue spécialiste des jeunes et des questions urbaines, a été un facteur décisif pour traverser la crise. Initiée pour analyser le rôle social de la médiathèque troisième lieu, ses fonctions et ses limites, dans un contexte de forte mixité sociale, elle s'est prolongée par un collectif de réflexion, formé de deux chercheurs, Joëlle Bordet, psychosociologue, et Christophe Evans, sociologue (Bpi), ainsi que de trois bibliothécaires, Hélène Beunon (ABF), Marion Moulin et Raphaële Gilbert. Ce livre est une invitation à continuer à penser la médiathèque pendant la crise mais aussi à repenser la médiathèque à travers la crise. Comment inventer une nouvelle approche lorsqu'une situation difficile nous porte plutôt vers la sidération ? Comment accepter l'irruption du réel dans nos idéaux sans pour autant renoncer à notre horizon démocratique ? Le processus de traversée de la crise qui est présenté ici a conduit, bien au-delà d'une résolution des difficultés, à porter un nouveau regard sur la médiathèque. Cet ouvrage propose d'interroger les fragilités du monde de la médiathèque troisième lieu et de se réapproprier ses racines systémiques, issues de la sociologie urbaine. Il revient sur le rôle de la médiathèque en tant que lieu public et invite à questionner son ancrage territorial et partenarial à la lumière de l'analyse socio-urbaine. Il incite, enfin, à accorder une place centrale à l'analyse des rapports sociaux dans le projet d'accueil et de médiation de la médiathèque.

11/2022

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Droit pénal des affaires

La confiscation des avoirs criminels. Nouveaux enjeux juridiques

Les saisies et confiscations pénales ont connu depuis quinze ans une succession de réformes fondamentales : le domaine d'application de la peine de confiscation s'en est trouvé considérablement étendu et son contenu diversifié, quand sont dorénavant mises en oeuvre de nouvelles procédures de saisies destinées à en garantir l'exécution. Ces réformes ont immédiatement provoqué l'explosion d'un contentieux particulièrement technique pour les magistrats du siège et du parquet, avocats, enquêteurs, mais aussi pour les notaires, huissiers de justice ou encore établissements bancaires, tant la matière est à la confluence du droit pénal et de la procédure pénale, du droit civil des biens et des régimes matrimoniaux, des procédures civiles d'exécution et collectives. Surtout, ces évolutions ont été porteuses d'enjeux nouveaux pour le droit pénal, la volonté des législateurs interne et européen d'assurer le recouvrement des avoirs criminels pour "garantir que le crime ne paie pas" se heurtant à la nécessité de respecter ces principes fondamentaux que sont la présomption d'innocence, le respect des droits de la défense, la personnalité et l'effectivité de la peine. Ce sont ces enjeux que cet ouvrage collectif examine. Il est le fruit d'un colloque qui s'était tenu le 8 novembre 2019 sous l'égide de la chambre criminelle de la Cour de cassation et du Centre de droit pénal et de criminologie de l'Université Paris Nanterre, et la direction scientifique de Lionel Ascensi, Pascal Beauvais et Raphaële Parizot. Réunissant pour la première fois professeurs de droit, magistrats, avocats et membres de l'Agence de gestion et de recouvrement des avoirs saisis et confisqués (AGRASC), ce colloque, puis cet ouvrage, visent à stimuler une réflexion interdisciplinaire et de droit comparé, théorique et pratique, sur les nouveaux enjeux juridiques du recouvrement des avoirs criminels.

04/2021

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La Réunion

Réunion

Première escale sur l'île Bourbon ? Alternez flâneries dans les villes colorées, visites de distilleries et de conservatoires botaniques et randonnées au coeur des paysages verdoyants des cirques ou des étendues lunaires du Volcan. Et que vous partiez une semaine ou deux, pour ne rien manquer, suivez nos pages "Incontournables" et "Itinéraires". Vous voyagez avec des enfants ? Vous privilégiez l'écotourisme ? Vous rêvez de sensations fortes en kitesurf ou en parapente ? Personnalisez votre séjour grâce à nos pages "En voilà des idées ! " et suivez les bons conseils de l'éditeur. Et entre deux activités ? Piochez dans nos carnets d'adresses pour calmer une petite faim d'un samoussa ou d'un "bonbon-piment", pour acheter du matériel de randonnée ou des huiles essentielles, pour percer les secrets de la vanille, de la fleur à la gousse, pour réserver une table dans une auberge des Hauts ou aller danser le sega à Saint-Pierre. Envie de sortir des sentiers battus ? Des amoureux de la Réunion avec qui nous vous avons donné "Rendez-vous" vous livrent leurs adresses fétiches, à essayer, par exemple, le soir pour déguster le meilleur cari ou au petit matin pour assister au lever du soleil... NOTRE AUTEUR Serge Borchiellini, qui vit à la Réunion depuis plus de vingt années, a arpenté tous les sentiers de randonnée de l'île. Il nous emmène faire le plein d'épices et de fruits ultra frais, admirer les poissons de toutes les couleurs du lagon où l'on a toujours pied, randonner loin du monde à Mafate, admirer les plus beaux couchers de soleil...

10/2023

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Egypte

Égypte

Se sentir tout petit au pied des pyramides ; explorer les temples de Louxor ; voir le soleil se lever sur Abou Simbel ; flâner sous le ciel orangé du Caire ; se perdre dans les souks ; siroter un thé à la menthe sous les palmiers... De la douceur de vivre d'Alexandrie à la beauté du Fayoum, laissez-vous envoûter par les bords du Grand Nil égyptien ! - Les sites et visites incontournables - Des expériences authentiques - Toutes nos adresses coups de coeur - Des itinéraires et des suggestions pour vous laisser guider selon vos envies - Les sélections et conseils des habitants - Des cartes, des plans et des infographies...

09/2023

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Venise

Venise. Edition 2023-2024

Place Saint-Marc, palais des Doges, galeries de l'Académie, vaporetti sur le Grand Canal, marché du Rialto, bacari et cafés historiques pour un spritz, artisans d'art ou boutiques de créateurs, balade sur les traces du Tintoret ou échappée dans la lagune : suivez le guide ! - Un concept unique : des cartes grand format dépliables par quartier - Les incontournables, visites, restos et sorties localisés sur les cartes- Des idées et des balades pour découvrir la ville autrement.

01/2023

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Cinéma

Scénaristes de cinéma : un autoportrait

Ni cinéaste, ni écrivain, le scénariste de cinéma travaille dans l'ombre, la plupart du temps en collaboration avec les metteurs en scène. Il est le premier témoin de la naissance des films, et les accompagne parfois jusqu'au montage final. Sur la base d'un questionnaire auxquels ont répondu plus d'une soixantaine de professionnels, les scénaristes de cinéma associés décrivent une profession peu connue, mais passionnante. Ils évoquent les difficultés du métier, mais aussi les spécificités de leurs savoir-faire, loin des modèles télévisuels et des formatages en tout genre. Divisé en six chapitres, le livre aborde de nombreuses questions, qui vont du statut social de l'auteur à l'invisibilité publique du scénariste de cinéma. Peut-on vivre du métier de scénariste ? Comment trouve-t-on du travail ? Les scénaristes sont-ils bien lus ? Comment travaille-ton avec un cinéaste ? Que faut-il penser des résidences ? Et tout simplement : A quoi sert un scénariste ? Chaque chapitre a été pris en charge par un ou plusieurs scénaristes de cinéma. Les styles diffèrent, mais témoignent tous du plaisir d'écrire et de transmettre la passion du métier. L'intégration de nombreux témoignages contribue à faire de ce texte un véritable autoportrait de groupe. Le livre s'adresse à tout ceux que le cinéma intéresse : professionnels, enseignants, étudiants, mais également cinéphiles. Pédagogique, documenté, incarné, traversé par un évident plaisir d'écrire, il se lit aisément et met en lumière un métier du cinéma mal connu, même de la profession. Le livre est signé par le SCA - scénaristes de cinéma associés, mais les textes ont été écrits par de nombreux scénaristes de cinéma : Guillaume Laurant, Raphaëlle Desplechin, Gladys Marciano, Nadine Lamari, Maya Haffar, Nathalie Hertzberg, Cyril Brody, Pierre Chosson, Julie Peyr, Cécile Vargaftig, Olivier Gorce, Agnès de Sacy ou Anne-Louise Trividic. Leurs noms ne vous disent peut-être rien, mais ce sont eux qui ont écrit, ou co-écrit, les films de Jean-Pierre Jeunet, Arnaud Desplechin, Anthony Cordier, Stéphane Brizé, Valeria Bruni-Tedeschi, Patrice Chéreau et bien d'autres. Autour d'eux, plus de cinquante autres scénaristes de cinéma les ont soutenus dans ce travail, soit en répondant aux questionnaires, soit plus activement en relisant les textes. Tous écrivent régulièrement pour le cinéma français, certains sont également cinéastes, la plupart enseignent, parallèlement à leur activité, à la Femis, à la Cinéfabrique, dans des universités françaises, ou des écoles à l'étranger.

03/2019

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Littérature étrangère

Orphelins

" Auteur catholique, Charles D'Ambrosio est traduit pour la première fois en France. Deux recueils, Le Musée des poissons morts et Orphelins, révèlent une voix et un talent nouveau. " Bruno de Cessole, Valeurs actuelles. Considéré aux Etats-Unis comme l'un des maîtres contemporains de la nouvelle, Charles D'Ambrosio révèle à travers ces textes, publiés dans la presse américaine, l'ampleur de son talent, exprimant la singularité de son univers et de sa démarche. Enquête journalistique, méditation littéraire, Orphelins pose avant tout un regard sur le monde qui ouvre au lecteur un véritable espace de liberté. De la mort de l'un de ses frères à la visite dantesque d'un orphelinat en Russie en passant par la violence ordinaire aux Etats-Unis, ce sont autant de réflexions passionnantes, où l'intime rejoint l'universel, que nous fait partager Charles D'Ambrosio. "Une écriture à la fois sombre et intense, élégante et complexe". Le Monde. "Charles D'Ambrosio possède la faculté très rare de mettre sous les yeux de son lecteur la banalité telle qu'il ne l'avait jamais vue". Raphaëlle Rérolle, Le Monde des livres. "Une écriture magnifique, un sens du détail d'une justesse exceptionnelle". Marie-Claire. "Drôle, lumineux, joyeux, d'un humour jamais assez noir pour céder le pas au cynisme" A. P. , Chronic'Art. "Derrière la très grande variété des personnages et des lieux - de l'orphelinat russe aux fermes de l'Iowa, de la boutique de Seattle à l'hôpital psychiatrique de Manhattan -, on retrouve chez D'Ambrosio une même densité, un même travail sur la langue propre à atteindre l'autre, une curiosité qui ne croit plus, depuis longtemps, à l'anodin. [... ] Des lambeaux du quotidien naissent des histoires fortes tant le talent de Charles D'ambrosio, loué aussi bien par la critique que par ses pairs Jim Morrisson ou Jay McInnerney, capte l'instant décisif où la vie prend un sens ou le perd. " La Quinzaine littéraire. " Charles D'Ambrosio aura été cette année l'auteur américain le plus encensé par la critique. " Libération. " Voilà, décidément, un accent et un talent nouveaux. " Bruno de Cessole, Valeurs actuelles. " Que ce soit dans la fiction ou dans le témoignage, on retrouve ce même sens du portrait, cette même humanité qui ne se vautre jamais dans la complaisance misérabiliste. " Baptiste Liger, Lire.

05/2007

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Guerre d'Algérie

Mon père, appelé en Algérie. Un boîtier mélancolique

Bertrand Tillier propose une approche à la fois intime et réflexive de la guerre d'Algérie. Il se fonde sur les photos prises par son père, appelé du contingent en Algérie en 1962 et le récit familial. L'historien met en tension la mémoire individuelle et collective - refoulée - de l'expérience de guerre, exprimée ou tue dans la sphère intime. . L'auteur du texte de ce livre est le fils de l'auteur des photographies. Historien des images, Bertrand Tillier propose pour ce nouvel opus de la collection Format passeport une approche à la fois intime (ce sont ses propres archives) et plus réflexive et générale sur la guerre d'Algérie. Il se fonde sur les photographies prises par son père, appelé du contingent en Algérie en 1962 et le récit familial. L'historien met en tension la mémoire individuelle exprimée ou tue dans la sphère intime et la mémoire refoulée de l'expérience de guerre. Les photos envoyées à leurs proches par les jeunes appelés, photographes amateurs pour beaucoup d'entre eux, se conforment à une certaine mise en scène, puisque prises au piège d'un discours précis, national, officiel et médiatique. Elles donnent à voir une réalité choisie, ciblée, lisse, écran à la guerre. Néanmoins, ces photographies, produites dans un contexte de guerre deviennent en quelque sorte témoignage de l'indicible car vecteurs de " moments de glissement et de débordement où les sentiments, les objets, les expressions du visage échappent d'emblée à toute normalisation ". Remplaçant les mots non dits, elles permettent une transmission d'un passé aux générations suivantes : " Chaque groupe porteur d'une mémoire se dirige vers le miroir qui racontera son histoire " (Benjamin Stora). La valeur des photos des appelés du contingent réside dans ce pouvoir de transmission ; elles constituent un support pour un travail de mémoire et de reconstitution, aussi partiel soit-il, tentant de rompre le silence ; regarder ces photos est une " modalité de communication dans les familles " (Raphaëlle Branche). Retrouvant les photos de son père dans une pochette, Bertrand Tillier, historien des images, met ainsi en lumière le rôle des générations postérieures dans la construction de la mémoire familiale. Grâce à la curiosité d'un fils historien pour les photographies de son père, ce texte dévoile comment, derrière l'objet photographique témoin d'une histoire dans l'Histoire, se lisent des souvenirs, un passé, une mémoire personnelle, familiale mais aussi commune et collective.

03/2023

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Ouvrages généraux

Shakespeare et les philosophes

Comment les philosophes ont-ils reçu et lu Shakespeare ? L'ont-ils ignoré? Comment les textes et le théâtre de Shakespeare affectent-ils la philosophie, la transforment-ils ? L'obligent-ils à se déplacer, à se réinventer ? L'altèrent-ils ou l'affolent-ils ? Quels usages des philosophes les textes et le théâtre shakespeariens font-ils ? Qu'arrive-t-il à Platon, Aristote, aux Stoïciens, Thomas d'Aquin, Erasme, Machiavel, Montaigne, Giordano Bruno, mais aussi à Paul dans ce théâtre ? Quels sont les usages, la présence et l'importance de Shakespeare à partir du romantisme chez Hegel, Schelling, Marx, Schopenhauer, Nietzsche, Freud, Heidegger, Wittgenstein, Deleuze, Derrida, Levinas, Lyotard, et d'autres ? Quels sont les philosophes cités dans l'oeuvre de Shakespeare, répétés, déformés, altérés, contredits, récusés, moqués ? Au-delà de la question de l'influence de la philosophie sur Shakespeare, il s'agira de réfléchir à la modalité et au régime de la présence de la philosophie dans le texte et sur la scène shakespearienne. Que produit la philosophie dans ces textes de théâtre ? Comment l'écriture théâtrale de Shakespeare met-elle en scène les philosophes et quels rôles leur fait-elle jouer ? Le présent livre se tiendra loin d'une longue tradition de la philosophie qui a manifesté pour le théâtre un certain mépris. Cette tradition a été sans doute inaugurée par l'expulsion des poètes de la Cité, au livre X de la République de Platon. Occupés à inventer une théorie de l'invisible pour éclairer le monde depuis une outre-scène et à appuyer la trajectoire du monde sur une transcendance, les philosophes ont été nombreux à éprouver et élaborer, par rivalité avec le théâtre, un mépris philosophique pour l'éclat du spectacle, pour le jeu masqué et mensonger des comédiens. Ces philosophes ont subordonné le théâtre à la scène philosophique, en l'assignant à une structure de la représentation limitée, dans laquelle la scène est inféodée, soumise au texte écrit et à son auteur, auteur qui possède le sens et sait ce que parler sur scène veut dire, parce qu'il occupe une position hors scène. Ouvrage collectif sous la direction d'Isabelle Alfandary (Professeur à l'Université Sorbonne Nouvelle) et Marc Goldschmit (Directeur de Programme au Collège International de Philosophie). Avec les contributions d'Isabelle Alfandary, Carlo Cappa, Line Cottegnies, Hélène Garello, Marc Goldschmit, Dominique Goy-Blanquet, Catherine Lisak, Ronan Ludot-Vlasak, Jean Maurel, Anne-Marie Miller-Blaise, Axel Nesme, Daniel Sibony, Gise`le Venet.

02/2023

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Belgique

Bruges et Gand

NOUVELLE EDITION Chefs-d'oeuvre flamands, Grand-Place, canaux et béguinage à Bruges, retable de L'Agneau mystique, place du marché, quai aux Herbes et cathédrale à Gand, gaufres, chocolat et waterzooï, estaminets et brasseries : suivez le guide ! LE GUIDE IDEAL DES COURTS SEJOURS 10 incontournables : tous les lieux à ne pas manquer Bruges et Gand autrement : des activités insolites pour sortir des sentiers battus La ville en 3 jours : nos propositions pour organiser votre séjour Bruges et Gand quartier par quartier : restaurants, bars, cafés, shopping, lieux de visite localisés sur une carte grand format Une balade à vélo des bords des canaux jusqu'au coeur de Gand Les environs : des échappées à 1h de Bruges et de Gand Carnet pratique : toutes les informations indispensables Deux compléments numériques gratuits Retrouvez toutes nos adresses géolocalisées sur l'appli Mapstr Retrouvez sur l'appli Geovelo l'itinéraire en ligne de notre balade à vélo Retrouvez dans ce guide toutes les bonnes adresses d'Aymeric Lehembre. Aymeric est animateur radio et guide touristique.

03/2024

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Histoire de la peinture

La peinture et le cri. De Botticelli à Francis Bacon

La peinture et le cri fait d'abord valoir un stimulant paradoxe, dont aucun livre ne s'est encore emparé. Art du silence, "? chose muette ? ", insurmontablement privée de voix, la peinture qui ne peut représenter le simple discours que par les postures et les gestes, s'est pourtant risquée parfois aux limites d'elle-même jusqu'à figurer le cri, excédant tout discours. Le présent essai scrutant dans l'art européen les rares tableaux, pourtant majeurs, qui représentent un cri, explique les raisons de cette rareté et la portée de ces exceptions. Sous ce jour neuf, ensuite, c'est une histoire nouvelle de la peinture depuis le Quattrocento qui se déploie ici. Car après avoir été congédié de l'immense majorité des oeuvres produites au long des siècles, le cri a fait à l'âge des Lumières l'objet d'une explicite prohibition chez Winckelmann et Lessing, si bien que de sacrifié au silence pictural par la tradition humaniste il est devenu, contre toute censure, à partir du romantisme un sujet délibéré, posant une question à la fois nouvelle et rétrospective. Cette question est au centre de l'essai ? : Toute image n'est-elle pas fondée sur la violence ?? Toute représentation n'est-elle pas "? maçonnée sur un cri ? " (Bonnefoy)? ? De Pollaiolo à Francis Bacon, en passant par un polyptique de Botticelli, le dernier retable de Raphaël, la Méduse de Caravage, le Massacre des Innocents de Poussin et celui de Guido Reni, Apollon et Marsyas de Ribera et Saint-Michel de Giordano, puis Le Cri de Münch, et s'achevant par une sculpture polychrome de Raymond Mason, le développement chronologique élucide au centre de son parcours la pensée de Winckelmann et de Lessing, dont la portée tient à sa prohibition explicite de la figuration du cri. Il s'ensuit, d'une part, une conjecture sur l'origine de la peinture, d'autre part l'esquisse d'une histoire inouïe de cette dernière. La thèse de l'essai peut alors s'énoncer comme suit ? : il n'est de représentation que sacrificielle, l'origine de la peinture gît dans la violence, toute image provient d'un cri. D'abord longtemps absent, mais de loin en loin surgi sous le pinceau de maîtres rares, le cri fut soudain si menaçant pour l'édifice de l'art comme institution idéaliste que sa proscription théorique à l'âge moderne a paradoxalement favorisé son écoute par de nouveaux peintres venus après les dieux. Un Picasso, un Bacon - et bien d'autres - vont faire de la figuration du cri une sorte de spécialité, sinon de lieu commun. Ce retour expressif du cri refoulé fait entendre sa puissance critique au fond de toute image.

10/2021

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Théâtre

Théâtre

Ce livre est la première édition du théâtre complet de Maupassant. Il regroupe les cinq pièces jouées ou publiées du vivant de Maupassant : A la feuille de rose, maison turque (1875), Histoire du vieux temps (1879), Une répétition (1880), Musotte (1891), et La Paix du ménage (1893). En annexe figure La Trahison de la Comtesse de Rhune (1877), jamais jouée et laissée à l'état de manuscrit, et la saynète La Revanche (1886). Volontiers contradictoire, Maupassant disait ne pas aimer se rendre au théâtre, par crainte de l'ennui et du manque de confort, mais était en réalité passionné par la scène, comme en attestent les souvenirs de Charles Lapierre : "Une seule chose pouvait distraire Maupassant du canotage, c'était le théâtre. Il avait pour complice de sa passion Robert P[inchon], avec lequel il fit, en 1873, pour son début, une comédie-libre, en un acte, quelque chose comme une Lysistrata en diminutif. Le sujet était scabreux, si la forme était châtiée. Il nous suffira de dire que l'action se passait dans un harem parisien. Les acteurs étaient Robert Pinchon, Guy de Maupassant qui faisait un rôle de femme, MM. Maurice Leloir, D... et F..., etc." La pièce en question est A la feuille de rose, maison turque, pièce érotique dans laquelle Maupassant tient le rôle de Raphaële, l'almée la plus demandée du bordel parisien. Si ses autres pièces sont plus chastes, et si elles ont été montées dans les théâtres parisiens plutôt que dans le cénacle d'un Maupassant travesti pour l'occasion, toutes ont en commun le souci de dé-jouer l'hypocrisie des moeurs du XIXe siècle finissant : à la manière d'un moraliste plus que d'un boulevardier, il épingle la brutalité des pères et la stupidité des maris, dans une société où l'adultère reste un délit pénal, la possibilité du divorce n'étant rétablie qu'en 1884. Le présent texte a été établi par Noëlle Benhamou, chercheuse et auteur de Filles, prostituées et courtisanes dans l'oeuvre de Guy de Maupassant (Presses du Septentrion, 1997). La publication du Théâtre de Maupassant a reçu le soutien du Centre national du livre.

01/2012

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XVIIe siècle

Les Dauphines de France au temps des Bourbons. 1660-1851

Le destin tragique des cinq " presque reines ". Ecartées de l'histoire, échappées à la narration nationale, les dauphines de France sont les grandes oubliées des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Le temps des Bourbons n'a guère retenu les noms de celles qui, par leur naissance et leur mariage, étaient destinées à devenir reines de France, mais ne le sont jamais devenues. Adulées de leur vivant, elles se sont enfoncées dans l'ombre, faute d'avoir accédé à un trône qui leur était promis, et ont accompagné la fin d'un monde qui s'est englouti avec elles. Première des dauphines de France, Marie-Anne de Bavière (1660-1690), dite la Grande Dauphine, fut un temps l'ornement de la cour de Louis XIV. Le roi a réservé à sa belle-fille les plus grands honneurs et a voulu la traiter en " reine de substitution " après le décès précoce de son épouse, Marie-Thérèse. Mais le destin de cette Allemande à la cour de Versailles à son apogée fut bien triste. Trop sensible, trop " humaine ", elle offre le tableau d'une princesse hors de son temps à qui on aurait distribué un rôle pour lequel elle n'était pas faite et qui finit par en mourir. La deuxième dauphine de France nous mène à la charnière des XVIIe et XVIIIe siècles. Arrivée tout enfant, Marie-Adélaïde de Savoie (1685-1712), titrée duchesse de Bourgogne par son mariage avec l'aîné des petits-fils de Louis XIV, enchante la cour par la vivacité de son esprit et son aisance à gagner les coeurs, avant de sombrer à son tour dans le tragique. Elle meurt en effet de la petite vérole (en fait, la rougeole) en 1712, six jours avant son mari, laissant un fils, le futur Louis XV. Vingt années, c'est ce que vécut la troisième dauphine, Marie-Thérèse Raphaëlle d'Espagne (1726-1746), qui épouse le fils aîné de Louis XV. Seconde à la cour de France après la reine Marie Leszczynska, c'est une petite âme fragile et craintive qui décède après un an et demi de delphinat. Elle n'aura fait que passer, et elle aussi aura beaucoup souffert. Marie-Josèphe de Saxe (1731-1767), seconde épouse de Louis de France, la remplace. Et sa vie, à son tour, est toute d'amertume et de désillusion. La " Triste Pepa ", ainsi qu'elle se surnomme, si elle ne devient pas reine, donne néanmoins naissance à trois futurs rois : Louis XVI, Louis XVIII et Charles X. Enfin, une dernière fois, le destin s'acharne sur Marie-Thérèse de France (1778-1851), dite " Madame Royale ", future duchesse d'Angoulême. Cette " princesse du malheur " voit la fin de Versailles, l'éclatement de Révolution, avant d'être emprisonnée au Temple et de passer la plus grande partie de sa vie en exil. Cinq vies brisées, cinq portraits de femmes qui racontent autrement la grande et petite histoire.

02/2023

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Ouvrages généraux

Viols en temps de guerre

Parce que les victimes étaient majoritairement des civils et des femmes, les viols en temps de guerre furent longtemps relégués au second plan. Ils étaient pensés entre butin et repos du guerrier, sans effet sur le cours de la guerre, marquant l'assouvissement de la pulsion sexuelle masculine. Plusieurs auteurs (dont les historiens John Horne et Norman Naimark) se penchent ici sur les différents conflits du XXe siècle, dans le monde entier. Pour la première fois, ils tracent l'histoire de cette violence particulière, en soulignent la complexité et l'ampleur, présentent la diversité des situations, les conséquences sociales et politiques, mais aussi intimes et émotionnelles.

06/2022

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Littérature française

Exposée

Par Raphaëlle Pia Le titre à plusieurs sens, " Exposée ", annonce une histoire qui se déroule sur plus d'un registre. L'argument principal ne manque pas d'originalité. Au cours d'un dîner mondain un marchand d'art connu prend la parole et se pare de l'importance fantasmée par le personnage principal, femme et peintre. Une rencontre entre eux finit par se produire. Le galeriste apprécie les oeuvres de cette artiste et lui programme une exposition.
Eblouie par le projet, elle se met à travailler comme jamais. L'exposition a lieu, ne se passe pas très bien et même de façon plutôt bizarre... Les épisodes se truffent de souvenirs, scénettes, petites choses du quotidien, complications et coups de théâtre. Le rythme nous tient en haleine. Le moins qu'on puisse dire de Béatrice, est qu'elle sait écouter. De là, sa sensibilité au rythme formel de l'oeuvre écrite ou peinte, de là aussi la cadence du livre, structuré comme un poème ou un essai, à la façon du " discours amoureux " de Roland Barthes.
Il s'ordonne en douze strophes, chacune annoncées par un titre long comme un vers ou une sentence ou un proverbe, résumant non sans humour le contenu du chapitre, comme le fait la " morale " des fables. La relation des faits, toujours concise comme un scénario de film, s'anime de nombreuses remarques graves, pour ainsi dire rejetées sur les côtés - rasant les murs - pour passer inaperçues. La plupart du temps, elles trébuchent dans des jeux de mots : dérapages sur les deux sens d'un même vocable, dérives sur un élément secondaire, associations d'idées pour déboucher en poésie.
La décision de ne surtout pas se prendre au sérieux, domine. Pour y parvenir l'auteure se dédouble et invente un " autre " qui lui parle et la semonce. Ce " surmoi " prend l'aspect d'un courant d'air, des murs de la galerie ou de l'ami Edouard. Chaque fois le dialogue pose des questions importantes mais aussitôt il s'allège, se tourne en dérision et évite de conclure. Le passage vers l'imaginaire se fait d'une manière quasi rationnelle.
Basé sur des locutions à plusieurs sens, celui qui est choisi se trouve, d'une part, raccordé logiquement au contexte, d'autre part, le plus propre à développer le rêve. Le passage du réel à l'irréel ainsi se justifie ce qui surprend et amuse. Une grande liberté de ton traverse la langue. Des manières du langage parlé ou de l'argot côtoient les termes les plus châtiés et provoquent le même effet de drôlerie.
Le déroulement verbal ressemble au déroulement de la ligne dans les peintures de l'auteure (celles de sa dernière exposition). Le dessin se déploie sans idée préconçue, après de nombreuses esquisses pas tout-à-fait recouvertes, il reste, un profil, un corps à l'envers, des jambes en pleine course, s'enchaînant avec un autre profil tout aussi agité, qui s'avère être la tête d'un personnage, invisible d'abord, puis peu à peu révélé.
Une nécessité autre que la raison enchaîne les éléments. Extraits de la masse par trituration ils finissent par se fi

06/2013

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Livres 3 ans et +

Raiponce

Il était une fois une sorcière qui avait un jardin extraordinaire. Elle y faisait pousser de succulentes fleurs ensorcelées appelées raiponces. Pour pouvoir continuer à en manger, ses voisins, mis en appétit par quelques plantes volées, lui promirent en échange leur bébé. C'est ainsi que la petite Raiponce fut privée de ses parents et enfermée dans une tour. Plus tard, grâce à sa longue tresse, elle reçoit la visite d'un prince qui tombe follement amoureux d'elle. Tous deux échafaudent des plans pour s'échapper mais se font malheureusement démasquer. Pour se venger, la sorcière envoie Raiponce en plein désert et crève les yeux du prince. Cela n'empêche pas ce dernier de vouloir retrouver à tout prix sa bien-aimée...

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Archéologie

Archéologie médiévale N° 51/2022

Delphine Cense-Bacquet avec la collaboration de Murielle Meurisse-Fort, Tarek Oueslati, Didier Pousset et Sabrina Save L'habitat alto-médiéval du Chemin de Visemarais à La Calotterie (Pas-de-Calais) : approches de l'occupation d'un quartier du portus de Quentovic 7 Edward Impey Une image sur pierre d'un château en bois : un graffiti médiéval au château de Caen 55 Astrid A. Noterman, Alison Klevnäs, Edeltraud Aspöck, avec la collaboration de Martine van Haperen et Stephanie Zintl La perturbation des sépultures mérovingiennes est-elle " élémentaire " en archéologie ? Nouveaux regards sur les réouvertures de tombes au haut Moyen Age en Europe 69 Mélinda Bizri, Quentin Borderie, Gaëtan Jouanin, Yannick Mazeau, Coline Lejault, Guillaume Saint-Didier, Sabrina Save, Alys Vaughan-Williams, avec la collaboration de Magali Labille, Amélie Laurent-Dehecq, Jean-Michel Morin, Dany Souchet Vivre aux ixe-xie siècles sur le promontoire de Gien (Loiret) : architecture, activités et environnement d'un habitat privilégié 93 Chronique des fouilles médiévales en France en 2020 Répartition régionale des chantiers de fouilles médiévales 167 I - Constructions et habitats civils - environnements rural et urbain 171 II - Constructions et habitats ecclésiastiques 215 III - Constructions et habitats fortifiés 241 IV - Sépultures et nécropoles 279 V - Installations artisanales 289 VI - Archéologie subaquatique, épaves et installations portuaires 299 VII - Diverses chroniques 307 Bulletin critique Patrice Beck et Benjamin Saint-Jean Vitus (dir.), Le couvent des Cordeliers du Mont Beuvray. Histoire et archéologie (Panayota Volti) 311 Aurélia Bully, Sébastien Bully et Alain Dubreucq (dir.), Colomban et son influence. Moines et monastères du haut Moyen Age en Europe (Pascale Chevalier) 313 Emmanuelle Boube, Alexis Corrochano et Jérôme Hernandez (dir.), Du royaume Goth au Midi Mérovingien, Actes des 34es Journées d'archéologie mérovingienne (Toulouse, novembre 2013) (Claude Raynaud) 314 Marie-Cécile Truc (dir.), Saint-Dizier " La Tuilerie " (Haute-Marne). Trois sépultures d'élite du vie siècle (Florence Carré) 316 Anne Baud et Christian Sapin (dir.), Cluny. Les origines du monastère et de ses églises (Pierre Martin) 319 Pierre Gillon et Christian Sapin (dir.), Cryptes médiévales et culte des saints en Ile-de-France et en Picardie (Christian Gensbeitel) 321 Marie-Christine Bailly-Maître (dir.), L'entreprise minière de Brandes, xie-xive siècles (Danielle Arribet-Deroin) 323 Michael Lewis et Ian Richardson, Inscribed Vervels. A Corpus and Discussion of Late Medieval and Renaissance. Hawking Rings found in Britain (Baudouin Van den Abeele) 324 Marion Foucher, Annie Dumont, Lukas Werther et Doris Wollenberg (dir.), Inland Harbours in Central Europe : Nodes between Northern Europe and the Mediterranean Sea (Camille Gorin) 328 Claudine Munier et Inès Pactat (dir.), Le verre du viiie au xvie siècle en Europe occidentale (Elisabetta Neri) 332 Giovanna Bianchi et Richard Hodges (dir.), The nEU-Med project : Vetricella, an Early Medieval Royal Property on Tuscany's Mediterranean (Luc Bourgeois) 333 Marianne Senn et Jürg Tauber, Eisenverhüttung im Dürsteltal. Ein Hochofen des 13. Jahrhunderts in Langenbruck (Alexandre Dissier) 337 Marie-Hélène Corbiau, Baudouin Van Den Abeele, Jean-Marie Yante et Anne-Marie Bultot-Verleysen, La route au Moyen Age. Réalité et représentations (Sandrine Robert) 338 Etienne Hamon, Mathieu Béghin et Raphaële Skupien (dir.), Formes de la maison. Entre Touraine et Flandre, du Moyen Age aux Temps modernes (Florence Journot) 340 Yves Henigfeld, Philippe Husi et Fabienne Ravoire (dir.), L'objet au Moyen Age et à l'époque moderne. Fabriquer, échanger, consommer et recycler (Julie Renou) 342 Alice Vanetti, Archéologie du bâti, Histoire et épistémologie des origines à nos jours (France, Italie, Suisse) (Bastien Lefebvre) 345 Morimond 1117-2017. Approches pluridisciplinaires d'un réseau monastique, Benoît Rouzeau et Hubert Flammarion (dir.) (Denis Cailleaux) 347 Livres et périodiques reçus 349

03/2022

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Contes de toujours

Raiponce

Une adorable collection pour faire découvrir aux plus jeunes les contes traditionnels. Le format et les textes sont adaptés aux plus petits. Les enfants vont pouvoir s'imprégner de l'univers de Raiponce, cette jolie princesse aux longs et magnifiques cheveux. A la fin du livre, des questions sont posées à l'enfant pour vérifier qu'il a bien compris l'histoire. Les petites filles peuvent coller leur photo et devenir Raiponce.

06/2022

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Beaux arts

Les Cahiers de l'Agart N° 2 : Machine

Avant-Propos au seuil du visible ses propres dispositifs discontinus : montage, déplacement, épinglage, techniques mixtes etc. : le brouillon et la bouillie. La technique s'installe dans la forme : forme et technique s'assemblent en une "bouillie" où Deleuze voyait l'action propre au dispositif. Je d irai p lutôt u ne "émulsion" : u ne p art résiduelle de la forme, proprement technique et fonctionnelle qui n'accède pas au visible, poursuit sa course au coeur de la durée processuelle : elle a une vie propre et peut donc déployer ainsi un mode d'exposition autonome, en soi. En ce sens dispositifs et machines occupent la place de "l'esquisse" à ceci près que leur destination n'est pas d'être simplement au service du projet mais de créer un lieu nouveau de l'oeuvre, entre l'oeuvre elle-même et les conditions de sa réalisation. Ils sont ainsi une "nouvelle expression artistique" , ni dessin, ni peinture, ni sculpture, ni photo, ni cinéma, mais un lieu commun à toutes ses disciplines : à la fois "machine à comprendre" (expériences de Brunelleschi) et "machine à voir" (le Modulateur spatial de Moholy-Nagy). La mémoire, par sa nature même est le modèle intégrécomplexe de tout dispositif. Sa mécanique s'exerce depuis la plus ancienne antiquité, depuis Simonide de Céos jusqu'à Giordano Bruno, dans l'art de la rhétorique. Au Moyen- Age la Machina Memorialis e st un outil e ssentiel pour la pensée théologique ou philosophique, pour l'histoire, l'art et la poésie. Elle est sans doute la raison, en grande partie perdue aujourd'hui, de ce qui dans l'enluminure trame la lettre à l'image. Le collage adopte un grand nombre de ses fonctions, articulations, découpages, ainsi que sa structure faite de couches superposées. Il est aussi contemporain de l'invention de la psychanalyse et de La Recherche du temps perdu, deux modes de réactualisation de l'ar t de la mémoire. Le collage serait un troisième mode : l'inscription de la Machina Memorialis d ans le corps d e peinture. "Méditatif : Il est (tisonne-t-on), un art, l'unique ou pur . . ". . Mallarmé, "Crayonné au théâtre" . "Le mouchage de torche est la trace charbonneuse laissée par l'homme préhistorique après avoir frotté la torche sur les parois pour enlever la partie carbonisée qui asphyxiait la f lamme et la raviver". Si le dispositif est selon Deleuze "l'unité artificielle... d'un ensemble multilinéaire" , i. e. au minimum le lien construit (imposé par décision ou s'imposant de lui-même, par sa nature) entre au moins deux effets diffractés à partir d'une source commune, ne faudrait-il pas voir dans le "mouchage" le paradigme du dispositif pictural : une marque laissée sur une paroi de grotte avec la seule intention de ranimer le tison, et perçue dans un second temps comme trace, c'est-à-dire comme déjà du dessin ? Et si le dessin, tout au long de l'histoire, éclaire à sa manière, par la distinction des formes, c'est qu'il conserve en lui à travers son outil, le fusain et sa trace charbonneuse à la surface de la paroi, la mémoire du feu dont il est une mutation. A l'autre bout de l'histoire Matisse renouvelle la scène primitive dans une chambre, qui est une sorte de grotte, où, alité, on le voit tracer au plafond les figures de ses petits-enfants à l'aide d'un fusain attaché à une perche. On voit un même phénomène inaugural, la terre et l'eau pour médium cette fois, avec les traces de doigts creusant l'argile molle des parois de la grotte : d'abord une empreinte de la main posée accidentellement puis par insistance et répétition, par plaisir, le glissement de l'index dans l'épaisseur de la matière molle, poussant en avant et abandonnant sur ses bords le léger relief qui comme un talus ou les rives d'un ruisseau encadre sa marche en avant au but indécis. On retrouve ce doigt errant avec Miss Froy dessinant son nom dans la buée d'une vitre de wagon-restaurant. Ce nom -fantôme, apparaissant ou disparaissant selon le degré d'humidité ou de ventilation de la pièce est l'objet énigmatique de Lady vanishes d'Hitchcock. Le dispositif minimum conserve la "multilinéarité" qui a présidé à sa construction : il est maintenant le pivot de récits multiples que seule la résolution de l'énigme va réunir en un seul. Sans doute aussi la parole a erré longtemps dans le labyrinthe des sons purs et des onomatopées, jusqu'au Livre de Mallarmé. Face à ces dispositifs minimums fondamentaux et quasi originaires, à portée de mains, le collage introduit, historiquement et stratégiquement, une complexité maximale qui pulvérise la traditionnelle et antique unité et homogénéité du geste pictural en laissant affleurer

06/2019

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Livres 3 ans et +

La belle au bois dormant

Il était une fois un roi et une reine qui rêvaient d'avoir un enfant. Lorsque la reine mit au monde une fille, une grande fête fut organisée en son honneur. Mais une méchante fée lui jeta un mauvais sort et lui prédit qu'elle mourrait en se piquant le doigt sur un rouet. Heureusement, une bonne fée changea le sortilège : "La jeune princesse ne mourra pas mais s'endormira pour cent ans". Bien des années plus tard, la prophétie se réalisa, et la princesse plongea dans un profond sommeil. Mais quand, au bout de cent ans, un prince se présenta au château, il découvrit la jeune princesse aux yeux clos. Il la trouva si belle qu'il lui donna un baiser. La belle se réveilla, le prince l'épousa, et ils vécurent heureux...

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Etudes de lettres

Agrégation de Lettres. Tout le programme du Moyen Age au XXe siècle en un volume, Edition 2022

Ce manuel propose un cours complet sur chacune des oeuvres de littérature française inscrites au programme de l'agrégation de Lettres modernes 2022, du Moyen Age au XXe siècle. Les cours, entièrement rédigés par des spécialistes, offrent tous les éléments utiles à la connaissance de la genèse des oeuvres, à leur analyse factuelle, ainsi qu'à la compréhension des enjeux littéraires propres à chacune d'entre elles. Chaque partie est suivie d'une bibliographie sélective de référence et de sujets de dissertation. Par la richesse et le sérieux de son contenu, cet ouvrage constitue une aide indispensable pour la préparation à l'agrégation de Lettres modernes.

08/2021

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Autres éditeurs (P à T)

Les lettres du rêve

Les lettres du rêve explorent la racine Ha-L-M, une très jolie racine en arabe ! Qui nous a parue évidente pour ouvrir joyeusement la nouvelle collection "Racines" du Port a jauni. Elle rassemble dans une même famille les mots rêve - holm, apaisement, bonté - hilm, puberté - ihtilâm, papilles gustatives - halama et téton du sein - houlayma. A l'inverse de Layla Zarqa (qui a écrit l'autre titre de cette nouvelle collection, Les Lettres du jardin), Raphaële Frier a aimé l'idée d'explorer le sens de ces mots mis ensemble, creuser le lien qui les unit dans la sensation du corps de l'enfant qui tête, dans le souvenir éveillé du rêve. Kam a choisi de relier le thème du rêve au surréalisme, dont on retrouve l'inspiration dans son graphisme. Dans cette série de mots, il a ressenti un frottement entre sensation de l'enfance et monde des adultes, entre nature et culture, entre ville et campagne. Autour de ces thèmes, il a dessiné une série d'images dont les motifs, les gestes, les couleurs se répondent et se transforment. ---------------------- Les Lettres du rêve est le second titre de cette nouvelle collection (Les lettres de...) inspirée par la structure linguistique des langues sémitiques : en arabe (comme en hébreu), la plupart des mots ont pour origine trois sons, une racine qui se retrouve dans tous les mots d'une même famille. A partir de cette racine se fabriquent des mots selon des schèmes, en rajoutant des lettres avant, après, au milieu, de nouveaux sons. Comme un motif musical autour duquel on brode. Comme une formule qui se complexifie. Parfois, la racine est très claire, très simple : par exemple, la racine K-T-B rassemble dans une même famille tous les noms et verbe liés à l'écriture et l'on voit bien le lien entre un livre - kitâb, un écrivain - kâtib, un bureau - maktab, le destin (ce qui est écrit) - maktoub et le verbe d'écrire - kataba. Mais d'autres fois, on se demande ce qui peut bien avoir fait pousser ces mots dans le même champ, dans la même famille, à partir de la même racine tant leur sens semble à prime écoute éloigné. Par exemple : Comme l'indique "Les lettres du jardin", la racine J-N-N rassemble dans une même famille les mots jardin - junayna, paradis - janna, fou - majnoun, djinn ou esprit malin - djinn et le bébé dans la ventre de sa mère - janine. La racine CH-'-R rassemble dans une même famille les mots sentiments - chou'our, les 5 sens - macha'ir, cheveux - cha'r, poésie - chi'r et petites pâtes en cheveux d'ange - cha'riya. Certaines racines sont moins "drôles", mais tout aussi poétiques. Par exemple, la racine H-D-D rassemble dans une même famille les mots frontières - houdoud, forgeron - haddad, fer - hadid, amertume - hidda et deuil - hidad. Le jeu est infini... Le jeu et l'enjeu de la collection Racines est d'explorer celles qui nous surprennent, en proposant un champ de mots linguistiquement de la même famille, sémantiquement étrangement ensemble, comme point de départ d'une écriture poétique et graphique. ------------------- En pratique, nous donnons une liste de mots d'une même famille à un. e poète : il. elle écrit deux poèmes en utilisant, autant que possible, les mots de cette famille. Le poème peut jouer sur les mots, chercher la truculence linguistique et le rythme, se rapprocher de la comptine. Ou au contraire, explorer le fonds et le sens, questionner le lien sémantique entre ces mots. Nous donnons cette même liste à un. e illustrateur. trice : il. elle propose huit illustrations + trois motifs pour la couverture en cherchant un principe graphique ludique faisant écho aux mots. Cette nouvelle collection est donc basée sur le jeu et l'apprentissage linguistique. Chaque livre est composé de : - une couverture avec rabat, à l'intérieur de laquelle on retrouve l'alphabet arabe et des consignes prononciation / l'alphabet français et des consignes de prononciation (à compléter dans la maquette présentée ici) / la racine et son champ de mots, placés dans le rabat, qu'on peut garder ouvert pendant qu'on lit le livre afin de se rappeler du champ de mots. - deux pages de poèmes, qui ouvrent le livre de chaque côté et accueillent le lecteur, dans l'une et l'autre langue. - huit pages d'illustration : deux accompagnent les poèmes, six sont pensées comme des cartes de jeu (ou de Tarot) et associent une illustration et un mot (avec sa prononciation dans les deux langues). - une affiche centrale : attachée au centre du livre (avec deux points métal), elle peut facilement être détachée et accrochée au mur d'une chambre ou d'une classe pour garder en mémoire les mots et leur prononciation. Chaque livre sera accompagné d'un jeu de cartes (vendu séparément) composé de cartes reprenant les mots illustrations du livre + cartes de jeu d'écriture et de calligraphie. Nous réaliserons la version sonore du livre, gratuite en libre accès sur notre site, pour accompagner la sortie de chaque titre.

03/2023

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Perrault

La Belle au bois dormant

Il était une fois un roi et une reine qui rêvaient d'avoir un enfant. Lorsque la reine mit au monde une fille, une grande fête fut organisée en son honneur. Mais une méchante fée lui jeta un mauvais sort et lui prédit qu'elle mourrait en se piquant le doigt sur un rouet. Heureusement, une bonne fée changea le sortilège : "La jeune princesse ne mourra pas mais s'endormira pour cent ans". Un conte intemporel "La Belle au bois dormant" est une histoire indémodable, connue de tous les parents. Une collection avec une fabrication solide qui résistera aux manipulations de l'enfant, avec un papier indéchirable. Une collection à petit prix Des histoires d'hier et d'aujourd'hui à petit prix. Une collection à lire et à relire pour une première découverte des contes classiques.

11/2023

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Perrault

Miniconte la belle bois dorman

Il était une fois un roi et une reine qui avaient longtemps espéré la venue d'un enfant. Lorsqu'une fille naquit enfin, ils organisèrent une fête grandiose et y convièrent toutes les fées du royaume. Hélas ils en oublièrent une, vieille et redoutable. Furieuse, la cruelle prédit à la princesse que lors de ses quinze ans, elle se piquera le doigt avec un fuseau et en mourra...