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Adib Khorram, Akata

Extraits

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Photographie

Le Liban n'a pas d'âge (1920-2020). Edition bilingue français-anglais

Pour marquer la date du centenaire du Grand Liban en septembre 2020, nous publions un ouvrage qui rassemble une centaine de photographies d'une trentaine d'artistes libanais contemporains Chacun de ces artistes a choisi trois images de "son" Liban, accompagnées d'un court texte : images du siècle écoulé ou à venir, des cèdres millénaires aux camps de réfugiés, des ruines aux couchers de soleil, des folles nuits de Beyrouth aux portraits de famille, de l'exil au retour, de la contestation à l'a?rontement... Chacun de ces photographes pose ici un regard sur son pays des années de la reconstruction (à partir de 1990) à aujourd'hui. Ce livre réunit des photographes de renommée internationale tels Patrick Baz, Roger Moukarzel, Aline Manoukian, Joana Hadjithomas et Khalil Joreige et ceux de la jeune génération telles Myriam Boulos, Cha Gonzales ou Rania Matar. Liste des photographes : Lamia Maria Abillama, Patrick Baz, Myriam Boulos, Grégory Buchakjian, Ghaleb Cabbabé, Roy Dib, Sirine Fattouh, Soha Ghandour, Cha Gonzalez, Joana Hadjithomas et Khalil Joreige, Gilbert Hage, Ayla Hibri, Rasha Kahil, Houda Kassatly, Joe Kesrouani, Dalia Khamissy, Aline Manoukian, Rania Matar, Randa Mirza, Elias Moubarak, Roger Moukarzel, Clara Abi Nader, Serge Najjar, Hady Sy, Stéphanie Saadé, Lara Tabet, Camille Zakharia. Le livre sera accompagné également par un texte du jeune écrivain, Sabyl Ghoussoub (auteur du roman Le Nez juif) ; un texte de Georges Boustany enrichi d'images d'archives qui traverseront le siècle passé et un texte de Tarek Nahas. Un livre exceptionnel, tant par son contenu que par ses acteurs, à destination de tous publics, toutes générations, toutes sensibilités.

11/2020

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Santé, diététique, beauté

Reiki

Le Reiki, ancienne technique de guérison naturelle, fut redécouvert dans un manuscrit vieux de 2 500 ans, à la fin du XIXe siècle, par un prêtre japonais, Mikao Usui. Après de longues recherches, Usui trouva, dans un monastère bouddhiste, des rouleaux (appelés Sutras) contenant des dessins qui décrivaient précisément les méthodes, symboles et formules qu'un disciple de Bouddha avait utilisés pour parvenir à guérir, puis pour transmettre son savoir à d'autres. Cependant, il manquait à Usui la pratique de cette technique si mystérieuse... Après quelques jours de jeûne et de méditation, il reçut la révélation, découvrit les symboles du Reiki et leur mode d'application. Ce fut le début d'une nouvelle existence pour Usui, il consacra sa vie au Reiki afin de soulager tous les nécessiteux. Aujourd'hui, Usui repose dans un temple, à Kyoto. Sur la stèle, sa vie est retracée ainsi que les principes du Reiki. Son premier successeur, le docteur Hayashi, constata que le Reiki trouve automatiquement la source des maladies, traite leurs causes et a porte de nombreux bienfaits au corps et à l'esprit. A sa suite, Hawayo Takata propagea le Reiki à Hawaï et aux Etats-Unis, durant plus de quarante années. Elle forma vingt-deux maîtres de Reiki et mourut en 1980. Entre-temps, le Reiki a fait son apparition en Europe et dans la plupart des pays du monde. Il tient une place de plus en plus visible dans la vie quotidienne des foyers, mais aussi au sein du corps médical. Dans ce B.A.BA du Reiki, si l'auteur (lui-même maître de Reiki) insiste sur le fait que cette technique est un moyen de soulager nos maux physiques et psychiques, il engage à ne pas la considérer comme une panacée. Il avertit que, en aucun cas, nous ne devons tenir éloignée la médecine allopathique : si le Reiki complète un traitement médicamenteux, il ne s'y substitue jamais. Le Reiki est une énergie de vie, de lumière et d'amour.

11/2005

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Ecrits sur l'art

Art absolument N° 108, octobre-novembre-décembre 2023

8 Chroniques Carnets de route. En Suisse, une fondation pour les mots, l'écrit et le texte // L'état des choses. Danses macabres, Tapiès : Muera la muerte ! 13 Actualités Berthe Morisot et l'art du XVIIIe siècle au musée Marmotttan Monet / Une "orgie de tons purs" à la Fondation Gianadda / Modigliani à l'Orangerie : confessions d'un masque / Sophie Taeuber-Arp en sa maison à Clamart / A Caen, la figuration narrative en l 30 Découvrir Van Gogh / De Staël, Sisyphe heureux. Musée d'Orsay, Paris / Musée d'Art moderne de Paris 40 / Mark Rothko. En présence. Fondation Louis Vuitton, Paris 44 / Parvine Curie. Des coffres-corps percés sur l'inconnu. Musée d'Art moderne, Troyes 48 / Art à La Réunion La ravine et la tortue. CCC OD, Tours 56 / Agnès Varda. Encore et toujours là. Cinémathèque française, Paris 62 / Fan Yifu. Sur la légèreté de la couleur. 68 / Claire Borde. Une peinture murmure. Galerie Convergences, Paris 72 / Gastineau Massamba. La salive existentielle. Espace Art Absolument, Paris 78 Collectionner / Foires Paris+ par Art Basel, AKAA, Asia Now... : l'automne parisien / Art Montpellier, foire régionale et ouverte 82 Collectionner / En galeries Du Japon à Paris, la galerie Nichido rejoue ses modernes / Olivier O. Olivier dans ses mondes, galerie de l'Institut / Hammoud Chantout à la galerie Terrain Vagh / Richard Tuttle fait feu de tout bois chez Lelong / Judit Reigl, feux continus chez Dina Vie 86 Débattre Bien commun. Festivals et communautés 88 Débattre / Livres Le banquet barbare de chantalpetit / La songline des Sept Soeurs aborigènes / Le portrait allégorique par Edgar Wind / Wanda Cze ? kowska, dans son contexte et au-delà 94 Chroniques Pages d'art. L'Art faber : le travail à l'oeuvre // Continent-médias. "Musées sur ordonnance"

10/2023

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Critique littéraire

Les espaces intimes féminins dans la littérature maghrébine d'expression française

Le choix de traiter des espaces intimes de la féminité dans la littérature maghrébine de langue française s'est imposé au vu des changements historiques de grande envergure qui se sont produits ces dernières années au sein des sociétés maghrébines, et dans le monde arabe en général, avec l'avènement de ce qu'on a coutume d'appeler maintenant "le printemps arabe". Ces profondes mutations nécessitent une étude du statut de la femme dans ces sociétés, tel qu'il se manifeste dans la production littéraire. Ce volume se propose de faire le point sur le statut de la femme au Maghreb, tel qu'il est métaphorisé dans le système littéraire ; certaines thématiques reviennent comme un leitmotiv dans la majorité des essais, témoignant ainsi de leur centralité et de leur pertinence, chaque contribution apportant un éclairage différent sur la question et oeuvrant à une mise au point susceptible d'élaborer une synthèse des modélisations diverses et plurielles de la femme en tant que sujet et objet narratif, et donc discursif', de cette même littérature. Ce n'est pas pur hasard, mis à part les essais sur Ben Jelloun et Zaoui et quelques références à d'autres écrivains-hommes de renom, comme Dib, Feraoun, Boudjedra, si tout le volume manifeste, principalement, les expressions variées de l'écriture féminine d'origine maghrébine, qui connaît un grand essor ces dernières années, autant au Maghreb que sur le territoire français. Ces romancières oeuvrent, non seulement à la réappropriation de la parole féminine, mais aussi à un redressement historique, puisque la part de la femme dans les mouvements et guerres de libération avait été occultée par les hégémonies installées dans ces pays au lendemain de la colonisation.

11/2014

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Histoire de la philosophie

La vie facile. Une lecture du cynisme ancien

Le cynisme est un mouvement philosophique qui s'est développé en Grèce à partir du IVe siècle av. J. -C. , principalement autour de la figure de Diogène de Sinope, le cynique par antonomase. Souvent perçu comme l'expression d'un naturalisme foncier, ce mouvement a même été défini comme un courant antiprométhéen qui a vu dans le feu civilisateur l'origine des malheurs et des vices des hommes. Forts de ce constat, les cyniques auraient donc proposé un retour à la nature ou une vie selon la nature - une vie kata phusin, pour le dire en grec -, inspirée par le modus vivendi de l'homme primitif et par l'exemple des animaux. Le présent ouvrage soumet à l'épreuve des textes antiques cette interprétation d'ensemble largement répandue du cynisme. Contre l'idée d'une vie selon la nature, il avance l'hypothèse d'une vie selon la facilité comme axe majeur de la pensée cynique : plutôt qu'un naturalisme, la voie cynique constituerait au fond une forme radicale de pragmatisme au sein duquel les dichotomies constitutives de notre pensée - nomos-phusis au premier chef - tendent à se dissoudre en faveur d'une adaptation active aux circonstances. A l'appui de sa démonstration et en amont des textes normalement utilisés dans les études sur le cynisme, notamment les Vies de Diogène Laërce et les Lettres pseudépigraphes des cyniques, cette étude met à profit deux titres de la littérature antique que l'on ne prend pas toujours en considération dans les approches philosophiques de cette " école ", à savoir le Discours VI de Dion Chrysostome et le petit dialogue Le cynique attribué à Lucien de Samosate. Le lecteur trouvera dans ces pages une nouvelle fenêtre entrouverte sur ce phénomène complexe et paradoxal qu'a été le cynisme ancien, à travers laquelle il pourra découvrir que les cyniques, en déjouant les étiquettes d'un système binaire et au-delà de tout dogmatisme, ont appris à vivre une vie facile.

#CultureAntique

11/2021

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Histoire de France

Rencontres avec Violette Maurice. En hommage de Denise Vernay et avec l'aide de Laurence Thibault

L'idée d'un ouvrage sur Violette Maurice est née d'une rencontre avec Miarka (Denise Vernay) qui souhaitait faire connaître cette personnalité extraordinaire, cette femme d'exception. Violette, personnalité double : femme d'action et poète. Femme d'action entrée dans la Résistance dès l'automne 1940, alors qu'elle n'a que vingt et un ans. Elle crée le mouvement et le journal 93. Arrêtée avec son père, Robert Maurice, en octobre 1943, elle est déportée à Ravensbrück où elle parvient à résister à l'enfer du camp, grâce à l'amitié et à la poésie (pour Violette Maurice, la poésie est un acte de résistance). Elle refuse d'y travailler pour l'ennemi. Au retour, après la convalescence d'une diphtérie contractée au camp et une lente réadaptation à la vie, Violette retrouve Léon Boquin (revenu du camp de Rawa Ruska, en Ukraine), rencontré avant la guerre aux Eclaireurs de France : elle l'épouse en 1947. En réalité, témoigner est un acte difficile, pour Violette Maurice comme pour tous les déportés. Le récit des horreurs du camp reflète en négatif la vie de ceux qui ont profité de l'Occupation, qui ont suivi Pétain, et qui ne voulaient pas entendre les déportés pour ne pas se voir eux-mêmes. Il est aussi très pénible de raconter des expériences douloureuses et terribles que le commun des mortels ne peut que très imparfaitement comprendre. Après la guerre, Violette Maurice se consacre aussi à la protection de l'enfance malheureuse, appuie le désir d'indépendance des Algériens, donne des cours de promotion sociale auprès d'adultes... Par la suite, après avoir été membre de l'Association des Droits de l'Homme, après avoir adhéré et participé au travail de la LICA (Ligue internationale contre l'Antisémitisme, créée en 1928), elle devient présidente régionale de la LICRA (Ligue contre le Racisme et l'Antisémitisme) de 1977 à 1983. Parallèlement, toujours fidèle à ses amis de Résistance et de Déportation, elle collabore à l'ADIR (Association nationale des anciennes déportées et internées de la Résistance), vice-présidente de l'UNADIF (Union Nationale des Associations de Déportés, Internés et Familles de Disparus) dans le département... A partir de 1984, outre son témoignage de résistante déportée, Violette Maurice se consacre à l'écriture de la poésie...

04/2012

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Critique littéraire

Les langues iraniennes. Manuel de linguistique et de philologie iraniennes [Malphi

L'importance et la richesse des langues iraniennes sont peu connues du grand public occidental. Elles forment pourtant une vaste famille qui couvre un immense espace : une partie importante du Caucase, l'est de la Turquie, le nord de la Syrie et de l'Iraq, l'Iran, l'Afghanistan, le Tadjikistan et la partie occidentale du Pakistan. Le persan est certes bien connu. Cette langue sert de moyen d'expression à une vaste littérature, aussi riche et originale que ses voisins arabes et indiens. Ferdowsi, Omar Khayam, Sa'adi, Nezâmi, Hâfez sont des poètes qui ont gagné une reconnaissance universelle. Le persan fut aussi langue administrative et culturelle, en Inde, à l'époque moghole, avant d'être remplacée par l'ourdou, puis l'anglais. D'autres langues, comme le kurde, le pashto, le baloutchi élaborent une littérature prometteuse. L'ossète du Caucase est la langue des anciens Scythes sédentarisés et il a conservé des récits qui remontent à la plus haute antiquité. Cet ouvrage a été professé pendant de nombreuses armées. On lui a laissé son caractère de manuel. On y trouvera donc une brève introduction à la phonétique et un exposé sur les principes qui gouvernent l'évolution des langues. Il est sans doute superflu de préciser que ces chapitres sont élémentaires, mais on espère que le lecteur profane y trouvera quelque profit, d'autant plus que l'exposé sur les langues iraniennes est résolument orienté vers la diachronie. Les langues iraniennes font partie d'une grande famille : celles des langues indo-européennes. Le chapitre sur les langues indo-européennes a été conçu, comme c'est l'usage, dans une perspective proprement historique, mais il fait également place aux données de la philologie. On y trouvera, en outre, un exposé sur la culture des Indo-Européens, dont la connaissance, même superficielle, permet d'apprécier maints faits culturels de la civilisation iranienne avant l'Islam. Ce chapitre est lui aussi fort succinct, mais on espère qu'il servira d'introduction à des ouvrages plus élaborés, difficiles d'accès pour les débutants.

01/2020

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Essais

Penser la perception

Ce nouvel ouvrage de Jean Daive, recueillant essais mais surtout entretiens avec des artistes et écrivains réalisés pour France Culture, est le troisième volet d'un polyptique composé de : L'Exclusion (éditions Jean Fournier, 2015), Pas encore une image (L'Atelier contemporain, 2019) (A paraître en 2023 : Le Dernier mur, L'Atelier contemporain.). Le premier livre posait et étudiait le constat : ce que je regarde n'est pas ce que je vois ; le second : l'image n'est plus à regarder, mais à lire et l'écriture n'est plus à lire mais fait image. Penser la perception aborde la question du film, de la photographie et de l'écriture. Ce livre, je l'ai conçu (construit) comme un roman où les épisodes interviennent, se suivent dans une dramatisation qui transforme la parole de chaque artiste selon un programme et ses intentions. Montrer des artistes à des moments différents, montrer des artistes en des endroits différents, poser presque les mêmes questions ou poser des questions différentes, montrer ce qui existe et montrer ce qui change comme par exemple une manière de montrer un transitoire malgré l'invariant des questions posées qui n'exclut pas une discipline – tel est l'enjeu du livre : il raconte les vies du mouvement. Ces réflexions, souvenirs, entretiens, écoutes et paroles, ces silences et ces rires, sont aussi le symptôme d'une animation magique de l'image et de l'écriture qui se nourrit des énergies parmi les plus farouches et les plus obscures. La parole est mystérieuse et obscure. L'écoute est mystérieuse et obscure. Un homme, une femme ou bien deux hommes, l'un parle l'autre écoute, se trouvent dans cette situation de l'échange et de l'attente, ils émettent une succession d'ondes permanentes, ils apaisent la peur, ils s'aident à parler des énigmes de l'univers, ils s'aident à l'injonction. Ils excédent toujours la pensée et la signification. Entretiens avec : Jean-Marie Straub et Daniel Huillet, Jean-Luc Godard, Roberto Matta et Alain Jouffroy, Betty Goodwin, Patrick Tosani, Georg Baselitz, Chantal Akerman, Gérard Garouste, Nathalie Sarraute, Jana Sterbak, Gisèle Freund, Francis Ponge, Marguerite Duras, Jean-Luc Moulène, Jean-Michel Alberola, Niki de Saint-Phalle et Jean Tinguely, Joris Ivens, Antoine d'Agata, Pierre Tal Coat, André du Bouchet, Pipilotti Rist, Jean-Pierre Bertrand, Helmut Newton et Alice Springs, Raoul de Kayser...

02/2022

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Religion

Au point du jour. Les Prabhâtiyâm de Narasimha Mahetâ, poète et saint vishnouite du Gujarât (XVe siècle)

Le Gujarat vénère en Narasimha Maheta son plus grand poète, son adi kavi. Narasimha ne fut pas, de fait, le premier. Les découvertes de la fin du XIXe et du début du XXe siècle dans les Bhamdara jaina ont révélé toute une littérature oubliée datant du XIIe siècle. Mais il reste vrai que Narasimha est le premier poète dont l'oeuvre a été transmise de génération en génération et garde de nos jours encore la faveur des Gujarati... Table des matières Avant-propos Note sur les règles de transcription adoptées Liste des sigles Bibliographie Introduction Chapitre I. - Vie de Narasimha Maheta ou l'histoire d'une hagiographie Autobiographie de Narasimha Maheta Vie légendaire de Narasimha Maheta Témoignages personnels de Narasimha Hagiographies littéraires de Narasimha Maheta Le Narasimha Mahetano coro à Junagadha Controverses à propos de la bibliographie de Narasimha Maheta Narasimha et la secte de Vallabhacarya Témoignages historiques contemporains de Narasimha Maheta au Saurastra Narasimha Maheta en dehors du Gujarat Conclusion Chapitre II. - L'oeuvre de Narasimha Maheta et les Prabhatiyam Transmission de l'oeuvre de Narasimha Maheta Editions de l'oeuvre de Narasimha Maheta Les Prabhatiyam Définition d'un prabhatiyum Sur quelle base assembler un corpus de prabhatiyam Chapitre III. - Bhakta Narasi Le monisme védantin de Narasimha Narasimha et Krsna-Gopala Narasimha et la bhakti des Sant Conclusion Chapitre IV. - Notes préliminaires aux textes édités Classement des textes Edition des textes Prabhatiyam I. Mise en garde contre le sommeil de l'esprit II. Appel à la grâce divine III. Grandeur du nom divin IV. Louange des saints V. Eloge du kirtana VI. Contre le savoir inutile et les fausses pratiques VII. Adoration de Krsna-Visnu VIII. Méditation de l'Absolu Appendice I. Exemples de pada en mètre jhulana ayant pour thème la "Méditation de l'Absolu" , inédit dans KS Appendice II. Exemples de pada non en mètre jhulana, considérés comme prabhatiyam par la tradition orale Liste des errata dans l'édition des textes gujarati. Table des incipit gujarati. Index des noms communs, des noms propres, des noms de lieux et des titres d'ouvrages. Index des mots ou expressions rares, insolites ou traditionnels cités en notes dans les traductions des prabhatiyam. Table des matières

01/1986

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Critique littéraire

Les héros et la mort dans les traditions épiques

Le présent recueil propose un long voyage à travers les récits épiques du monde, que l'on peut suivre à travers deux perspectives, africaine et antillaise d'une part, européenne et asiatique d'autre part. Les contributions montrent la pertinence du récit épique dans ces différentes aires culturelles et donnent une idée assez précise de sa richesse indéniable sur tous les continents et à toutes les époques. Entre Afrique et Amérique, entre Asie et Europe, ces textes permettent de jeter plus d'un pont littéraire. Homère et le Mah-abh-arata, Soundjata et les épopées de l'Ouest africain et d'Afrique centrale, les chansons de geste françaises du Moyen Age et les épopées irlandaises médiévales, les poéticiens français classiques et les poètes arabes sont tous au rendez-vous devant ce " tribunal " de l'histoire et de la critique pour livrer leurs secrets sur le héros et la mort. Le récit épique est traditionnellement lié au genre de l'épopée, mais il ne s'y résume guère. Il est porté aussi bien par le poème ou le conte que par le roman contemporain de langue française (Tierno Monénembo ou Edouard Glissant). Si le sujet de la mort est de ceux que la critique a longtemps traités dans les littératures européennes, il apparaît aussi comme l'un des épisodes obligés dans d'autres récits épiques (ou à valeur épique) du monde. Ce sont ces deux leçons, diversité du genre et pertinence du sujet, qui se dégagent d'emblée de la mise en commun de tous ces textes. Les articles qui sont donnés à lire ici proviennent d'une sélection des travaux du sixième Congrès du REARE (Réseau euro-africain de recherches sur les épopées) organisé à l'Université de Strasbourg du 27 au 29 novembre 2012, avec le soutien de l'Agence universitaire de la Francophonie, du Conseil scientifique de l'Université de Strasbourg, de la Faculté des Lettres, des Equipes d'Accueil 1337 (Strasbourg) et 3013 (Grenoble 3) ainsi que de la mairie de Strasbourg. Romuald Fonkoua, professeur des Universités, enseigne les littératures francophones à l'université Paris-Sorbonne (Paris IV) où il dirige depuis 2012 le Centre international d'études francophones (CIEF). Il a été successivement maître de conférences de Littérature générale et comparée à l'Université de Cergy-Pontoise, puis professeur de Littérature française et francophone à l'Université de Strasbourg. Muriel Ott, professeure de Littérature française du Moyen Age à l'Université de Strasbourg, est présidente de la Société internationale Rencesvals pour l'étude des épopées romanes.

10/2018

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Manga

Peuple invisible

Les histoires réunies dans ce volume complètent La promesse, achevant de rendre disponible l'intégralité des récits composés par Shohei Kusunoki. Elles ont pour la plupart été publiées dans Garo la légendaire revue d'avant-garde fondée en 1964 qui a révélé des auteurs aussi incontournables que Yoshiharu Tsuge Yoshihiro Tatsumi (édités tous deux chez Cornelius), accompagnant pendant les décennies 1960 et 1970 une jeunesse réfractaire au conservatisme de la classe dirigeante. Shohei Kusunoki a imaginé ces histoires entre 1968 et 1974 dans un Japon qui cherchait à se réinventer par une course à la modernité peu soucieuse du sort des classes populaires. Comme son ami Susumu Katsumata (Neige rouge, Cornelius), il fut marqué par l'apparition de Yoshiharu Tsuge, qu'il fréquenta à cette époque et dont l'influence se retrouve dans plusieurs des récits regroupés ici. Délaissant le registre contemporain sans renoncer à parier de son époque, Shohei Kusunoki s'attache à décrire avec justesse la vie du peuple, tout en lui insufflant une dimension épique. Au travers de genres aussi codés que le conte traditionnel ou le récit de samouraï, il décortique l'ambiguïté des rapports humains. Mettant à nu les sentiments qui unissent les êtres, les raisons pour lesquelles ils s'attirent et les malentendus qui les séparent, Shohei Kusunoki parvient, à travers un style limpide, à exprimer ce qui ne l'est pas. Un auteur immense qu'il est urgent de redécouvrir et de célébrer. Shohei Kusunoki est né le 17 janvier 1944 à Tokyo. souffre très jeune de graves problèmes cardiaques qui l'éloignent de l'école et le contraignent à rester le plus souvent inactif. C'est pendant : ces longues journées d'école buissonnière forcée que le jeune Shohei développe son intérêt pour les mangas, qu'il loue dans les librairies de prêt de son quartier. Il fonde un fanzine avec quelques ara qui aspirent comme lui à devenir mangakas. Ses auteurs favoris sont alors Tokao Saitô (Golgo 13, Glénat) ou Hiroshi Hirata (L'Ame de Kuydo, Akato). Mais son admiration se concentre plus particulièrement sur le grand Sanpei Shirato (Kamui-den, Kana), dont Shohei Kusunoki deviendra l'assistant en 1961, à dix-sept ans. Il publie ses propres histoires en tant qu'auteur à partir de 1964, notamment dans la revue Garo où il portage ne saine émulation auprès de Shin'ichi Abe (Un Gentil Garçon, Cornelius), Yoshiharu Tsuge (anthologie en sept volumes chez Cornelius) et Susumu Katsumata (Poissons en eaux troubles, Le Lézard noir), avec lequel il partagera un véritable compagnonnage. Cette carrière prometteuse est malheureusement interrompue par la maladie, qui le rattrape pendant l'été 1973.Il décédera l'année suivante à l'âge de 30 ans, avant que ne soient publiés les recueils qui lui valent le souvenir ému de ses admirateurs, dont nous espérons que cette traduction accroîtra le nombre.

06/2020

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Accessoire de mode

The Adidas Archive. The Footwear Collection, Edition français-anglais-allemand

Il y a plus de 100 ans, les frères Dassler, Adolf ("Adi") et Rudolf Dassler créaient leur première paire de chaussures. Des centaines de modèles révolutionnaires, de moments épiques et de collaborations prestigieuses plus tard, ce livre présente un bilan en images des chaussures Adidas, à travers presque 200 modèles. Pour poursuivre leur développement et adapter ses produits aux besoins spécifiques des athlètes, Dassler leur a demandé de lui retourner leurs chaussures après les avoir utilisées, et toutes les chaussures ont finalement terminé dans son grenier (aujourd'hui encore, de nombreux athlètes retournent leurs chaussures à Adidas, en guise de remerciement après avoir gagné un titre ou battu un record). Cette collection constitue désormais les Adidas archive, l'une des plus grandes, si ce n'est la plus grande collection de tous les fabricants d'équipements de sport-que les photographes Christian Habermeier et Sebastian Jäger ont documenté dans les moindres détails pendant des années. Utilisant les meilleures techniques de reproduction, ces images révèlent les plus fins détails autant que les taches, les déchirures, les réparations, les traces d'herbe, les autographes estompés par le temps. Tout est là, immuable et photographié en très haute résolution-et, à travers les images, ce sont les histoires personnelles de chacune des personnes qui ont porté ces chaussures qui sont mises en lumière. On rencontre les chaussures portées par l'équipe de football d'Allemagne de l'Ouest durant la "miraculeuse" coupe du monde de 1954 et celles portées par Kathrine Switzer lors du marathon de Boston en 1967, avant que les femmes ne soient officiellement autorisées à y participer ; des collaborations avec des stars comme Madonna, Raf Simons, Stella McCartney ou Yohji Yamamoto ; de même que des techniques et matériaux innovants de la marque. Accompagnée de textes d'experts, chaque image nous explique le pourquoi et le comment, mais exprime aussi la puissance d'Adidas. Ce que l'on découvre va plus loin que le pur design-au final, ce sont juste des chaussures portées par ceux qui les ont aimées-, elles sont aussi les premiers témoins de nos sports, du design et de notre histoire culturelle, des débuts des frères Dassler et la création d'Adidas à nos jours. A propos de la collection TASCHEN fête ses 40 ans ? ! Depuis ses débuts en 1980 comme dénicheur de trésors culturels, TASCHEN a toujours été synonyme d'éditeur accessible permettant aux dévoreurs de livres du monde entier d'imaginer leur propre bibliothèque dédiée à l'art, à l'anthropologie et à l'érotisme pour un prix imbattable. Nous fêtons aujourd'hui 40 ans de livres incroyables en restant fidèles au credo de la maison. La collection 40th Anniversary Edition présente de nouvelles éditions de quelques-unes des stars de notre catalogue : plus compacte, à petit prix, mais toujours réalisée avec la même garantie d'une qualité irréprochable.

05/2023