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Goscinny Tabary

Extraits

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Aventure

Idéfix et les Irréductibles Tome 6 : La forêt lumière

Idéfix et ses amis reviennent dans La forêt lumière, un 6e tome composé de trois nouvelles histoires rocambolesques, illustrées par Jean Bastide (Boule et Bill) : - La forêt lumière - Des miettes et des jeux - Le retour de Chevrotine (une histoire inédite tirée de la saison 2 ! ) 72 pages d'humour et d'action dans les rues de la capitale gauloise, en compagnie de Padgachix, Turbine, Voldenuix, Baratine, Asmatix et bien d'autres encore. Les Romains n'ont qu'à bien se tenir ! En plus : la couverture de ce nouvel opus est phosphorescente !

06/2024

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Mer

Yes we Cam ! Conversations avec Jean Le Cam

"A soixante-et-un an, Jean Le Cam lors d'un Vendée Globe de légende a fait rêver tout un pays confiné. L'histoire d'un héros malgré lui". On ne présente plus Jean Le Cam, alias "le Roi Jean ", le héros du Vendée Globe, qui nous a tant ému et réjoui tout au long de son tour du monde. Son aura n'a jamais été aussi grande, sauveteur de Kevin Escoffier, navigateur au palmarès légendaire, quatrième de la course en dépit d'un bateau moins performant, Jean Le Cam est le héros que la France entière adore. Gouaille, bon sens, humour, modestie, à soixante-et-un an Jean Le Cam n'a rien perdu de sa superbe. Quoi de mieux que de l'entendre se raconter dans ces entretiens au "long cours " avec l'une des plus fines plumes du sport, son ami Jean-Louis Le Touzet, et tous deux de nous conter une vie digne d'un roman. De son enfance à Châteauneuf du Faou aux premiers bords avec à quatorze ans son père à bord de Mervent, l'Armagnac familial, à La Forêt-Fouesnant, entre le Cap Coz et Concarneau, dans le Finistère Sud. De ses premières victoires locales, à son apprentissage aux chantiers Pichavant à Pont l'Abbé, de la création avec ses amis Hubert Desjoyeaux et Gaëtean Gouerou, le trio fondateur du chantier CDK. De sa rencontre avec Tabarly, en tant que jeune appelé à bord de Pen Duick VI pour un tour du monde en équipage aux premières navigations transatlantiques sur les multicoques Jet Services, Fleury Michon, ces machines qui feront tomber le record de l'Atlantique. De la casse de la route du Rhum en 2002 à son entrée dans "la carrière " de solitaire tourdumondiste tardivement, en 2004 décrochant la deuxième place du Vendée Globe. Mais aussi ses victoires, ses naufrages et ses sauvetages, ses échecs, ses projets architecturaux, ses silences bruyants, l'importance des femmes dans sa vie (sa mère et ses soeurs, sa femme Anne et ses filles), la mort de son père. C'est l'histoire d'un homme immense et humble qui jamais ne retient les larmes quand elles viennent, danse, rit, chante parfois sur son bateau.

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Récits de mer

Mes routes du rhum

Toutes les éditions de la Route du Rhum et les portraits sensibles des protagonistes par le vainqueur de l'édition 2014. Trois transats anglaises, deux Jacques Vabre, des participations à la Coupe de l'America, un record de vitesse autour du monde, un sauvetage extraordinaire, car filmé, de Philippe Poupon lors du premier Vendée Globe... Et une victoire dans la Route du Rhum, un peu sur le tard. Voici le parcours de Loïck Peyron, fils de commandant de pétrolier, membre d'une fratrie tournée vers les mers - ses frères Bruno et Stéphane ont brillé également. En 2022, Loïck n'en sera pas mais sera un observateur privilégié, puisque, depuis l'édition originelle de 1978 jusqu'à celle de 2018, il a toujours, d'une manière ou d'une autre, été présent sur les pontons de la cité corsaire. En 1978, encore inconnu mais déjà viré de la maison familiale, le jeune homme de 18 ans assiste en effet au départ et vit par procuration une course à laquelle il ne participe pas. Le vainqueur, le Canadien Mike Birch deviendra alors l'un de ses deux mentors, le premier restant Eric Tabarly. Quatre ans plus tard, comme il se l'est promis, Loïck se présentera bel et bien au départ, et s'alignera ensuite à toutes les éditions jusqu'en 2002. Occupé sur d'autres fronts, il ne fera son grand retour qu'en 2014. Mais avec quel brio ! Choisi in extremis pour remplacer Armel le Cléac'h blessé, il récupère le gigantesque Banque Populaire, un multicoque de trente mètres, et remporte enfin la plus belle des transats françaises. Quatre ans autres années après, autre choix quasiment philosophique, il disputera l'édition à la barre d'un petit multicoque, copie quasi conforme de l'Olympus victorieux en 1978. Pour une navigation à l'ancienne, comme pour boucler la boucle, quarante ans plus tard... C'est cette vie transatlantique faite de rebondissements, de combats, de déceptions, de coups de bluff, de choix météo et d'aventure finalement victorieuse que " Ti Lock ", le lutin de La Baule, vous fera partager, avec son talent narrateur si particulier, agrémenté de photos, belles, touchantes et spectaculaires dans son livre " Mes routes du Rhum ".

10/2022

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BD tout public

L'intégrale Uderzo 1941-1951

En plus de 70 ans de carrière, Uderzo aura tout dessiné, dans tous les styles, tous les registres, avec un génie que lui reconnaissent des dessinateurs aussi variés que Petillon, Moebius, Zep ou Gotlib, et le succès public planétaire de la série Astérix avec son complice Goscinny. A 4 ans, sa maîtresse de maternelle repère son talent pour le dessin. A 7 ans, il découvre sa vocation avec le Journal de Mickey. A 14 ans, il publie son premier dessin, à 18 ans, c'est le premier album de 12 pages Publier l'intégrale d'une œuvre aussi vaste et variée est un défi de taille. Alain Duchêne et Philippe Cauvin, deux spécialistes passionnés, ont parcouru toute l'Europe  pour retrouver, rassembler, restaurer les milliers de dessins, planches originales, journaux, albums, nés du crayon magique d'Uderzo au fil du temps. Ce premier volume, exhaustif, réunit tous les dessins, séries et albums des années 1941 à 1951, en version intégrale : - Ses dessins d'enfance, ses débuts pendant la guerre, sa rencontre avec Calvo, les dessins du service militaire,.. - Les premières séries de presse pour la jeunesse : Flamberge, gentilhomme gascon, Clopinard, le dernier des grognards, vagabond espiègle et son acolyte Grogui, à l'allure déjà « enveloppée », Les aventures de Clodo et son Oie, strip cocasse à la française publié dans un quotidien, Zidore l'homme-macaque, version burlesque de Tarzan,… - Les séries d'aventure dans le magazine OK, de 1946 à 1949 : Arys Buck et son épée magique, Le Prince Rollin, Belloy l'invulnérable, des comics signés Al Uderzo pour faire américain, qui regorgent d'action et d'humour, avec scènes de bagarres, duos de héros contrastés et jolies princesses à délivrer… - En 1950, c'est la série Capitaine Marvel Junior pour le journal Bravo, et Superatomic Z. - les dessins de presse, époustouflants de ligne claire réaliste pour France Dimanche et France Soir de la grande époque, où il illustre les faits divers et le Tour de France. Au fil des dessins s'afffirme très tôt le « style Uderzo », avec le sens du gag visuel, de l'expression gestuelle, une maîtrise époustouflante de styles différents de dessin, du cosmique au western en passant par le réalisme. Le secret de son génie ? Le talent, le travail acharné, l'amour du dessin… et la modestie. « Les institutions dans la BD, ça n'existe pas. Ce sont les lecteurs qui font le succès. C'est aussi simple que ça ! » Albert Uderzo ( introduction à l'Intégrale 1941-1951).

10/2012

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Ecrits sur l'art

L'art, c'est la vérité absolue. Notes et aphorismes

Les propos, aphorismes, et phrases éparses du sculpteur Constantin Brancusi se trouvent pour la première fois rassemblés dans ce volume. Qui est, de ce fait, d'une importance essentielle pour la recherche en histoire de l'art, mais aussi pour quiconque souhaite approfondir la connaissance de cette oeuvre qui fut à la pointe du modernisme, dans la première moitié du XXe siècle. Le sculpteur roumain naturalisé français n'a cessé d'écrire, dans sa langue maternelle mais aussi en français, d'une plume concise et vibrante ? : sur des pages de carnets, des bouts d'enveloppes, des papiers volants. Ce sont ces notes d'atelier que nous donne à lire l'édition érudite de Doïna Lemny, historienne de l'art et conservatrice au Centre Georges Pompidou. Cela s'inscrit dans le sillage d'une recherche et d'une passion de longue date, dont témoignent plusieurs ouvrages : entre autres, avec Marielle Tabart, Brancusi, L'Atelier - la collection, Paris, aux éditions du Centre Pompidou en 1997, et La Dation Brancusi - Dessins et archives, aux mêmes éditions, en 2003. Si divers "? propos ? " de Constantin Brancusi avaient été publiés de son vivant, notamment dans les catalogues des deux expositions que Marcel Duchamp organisa pour son ami à la Brummer Gallery de New York en 1926 et en 1933, ses écrits se trouvent ici rassemblés pour la première fois de manière rigoureuse, et exhaustive, autant qu'il est possible de l'être. Après avoir parcouru les archives conservées dans le Fonds Brancusi à la Bibliothèque Kandinsky du Centre Georges Pompidou, Doïna Lemny a pris la décision de les reclasser selon leur contenu ? : écrits autobiographiques, aphorismes, écrits sur l'art, réflexions sur la vie, historiettes, écrits divers, dont un scénario de film, écrits en roumain... C'est ce classement qui dicte les noms des différents chapitres de ce livre, dont certains reprennent des formules de l'artiste lui-même ? : "? Aphorismes ? ", "? Essais d'autobiographie ? ", "? Ecrits sur l'art ? ", "? Ecrits sur la vie ? ", "? Ecrits divers ? ", "? Essais littéraires ? ". Ainsi les Ecrits sur l'art de Constantin Brancusi seront-ils une excellente initiation à son univers esthétique, éthique, voire ésotérique, alors qu'une grande exposition lui sera consacrée au Centre Georges Pompidou au printemps 2024. Sa langue maternelle étant le roumain, Constantin Brancusi n'avait certes pas la même aisance à manier le français que ses amis français Marcel Duchamp ou Henri-Pierre Roché, et cette édition est d'ailleurs fidèle à ses maladresses et à ses ratures, qui participent de la dimension incisive et sauvage de sa pensée. Mais il s'était constitué un univers philosophique cohérent et fascinant, fondé sur son expérience singulière de la vie et de la création. Comme le note Doïna Lemny dans son éclairante introduction, "? tous ceux qui ont rencontré Brancusi témoignent de leur admiration pour ses réflexions, parfois résumées sous forme d'aphorismes, sur la vie, sur l'art, sur la création, qu'il énonçait et qui prenaient une charge émotionnelle lorsqu'elles résonnaient dans l'ambiance mystérieuse de son atelier. ? " Ces notes d'atelier témoignent aussi bien de considérations morales que de considérations esthétiques, notamment à propos de la forme des pyramides égyptiennes, dont l'enseignement était pour lui inépuisable ? : "? Dans mon monde, il n'y a plus de lutte pour un place plus haute - la pyramide est démolie, et le champ est infini. Ici chacun est avec ce qu'il est venu : à sa place, il n'est ni plus grand, ni plus petit ; il n'a ni plus de mérite, ni plus de défaut, il est ce qu'il est, ce n'est pas lui qui s'est fait. ? " Qui plus est, ces notes témoignent non seulement d'une exigeante quête personnelle, mais aussi de l'atmosphère artistique parisienne qui a vu naître le courant moderniste. L'atelier de Constantin Brancusi était un lieu de rencontre, dans les années 1920, pour Marcel Duchamp, Francis Picabia, Tristan Tzara, Erik Satie, "? qui improvisaient là de vrais débats sur l'art, la vie culturelle, la musique, Dada ? ", comme le rappelle Doïna Lemny. La plupart ont laissé des notes rapportant les propos du sculpteur, qui furent publiées plus tard, dans des magazines de l'époque ou des livres de souvenirs. C'est pourquoi à cette présente édition des écrits de l'artiste s'ajoutent quelques textes historiques importants, publiés de son vivant par des amis, écrivains, artistes et journalistes, qui l'ont bien connu, qui ont pu s'entretenir avec lui, et qui déjà s'étaient fait les passeurs de sa parole ? : Paul Morand, Roger Vitrac, Dorothy Dudley, Irène Codréano, Marcel Mihalovici, Beatrice Wood.

04/2024