Recherche

Charlotte Brontë

Extraits

ActuaLitté

Montagne

Petit Futé Vacances à la montagne en France. Eté/Hiver, Edition 2022-2023

Découvrez la montagne sous toutes ses facettes ! Ce guide vous présentera de nombreux parcours et activités au coeur des massifs français ; idéal pour profiter d'une bouffé d'air frais loin du tumulte quotidien. Alpes du Nord, Alpes du Sud, Pyrénées, mais aussi, massif corse, Massif central, Jura ou les Vosges n'auront plus aucun secret pour vous. Découvrez de magnifiques paysages au fil de vos activités : ski, randonnées, musées. La montagne et son patrimoine exceptionnel vous réservent bien des surprises, en été comme en hiver. C'est la promesse d'un séjour réussi tout au long de l'année !

07/2022

ActuaLitté

Romance sexy

Il était une fois Noël. Tome 6

Une rencontre royale : Eleanor d'Edenland vient en Australie pour raison diplomatique et se doit de représenter son royaume du mieux qu'elle peut, pourtant elle se sent prisonnière de sa couronne et de la charge qui repose sur ses épaules. Tout bascule la nuit où elle tombe du bateau sur lequel se tient une réception en son honneur. Kayla, une serveuse un peu rebelle, se jette immédiatement à l'eau pour lui porter secours, entre elles commence une amitié qui évolue rapidement en quelque chose de plus intime. Avec la magie de Noël et la beauté de l'Australie, la princesse tombe sous le charme de la belle et indépendante Australienne. Wintertime love : Maria, 32 ans, est directrice des finances dans un petit hôpital depuis quelques mois. Sa franchise et sa spontanéité lui attirent parfois des ennuis, mais elle conserve un optimisme à toute épreuve. Dotée d'un esprit tordu qui se met en marche dès qu'elle croise un beau spécimen masculin, elle se languit de rencontrer le véritable amour. Parce qu'elle est nouvelle dans l'établissement hospitalier, elle accepte d'être de garde pour Noël et fait face avec humour à une accumulation de difficultés alors qu'une grande vague de froid paralyse la région. Pour couronner le tout, elle doit accueillir une délégation préfectorale le soir du vingt-quatre décembre, pour une traditionnelle visite du service des urgences. Au coeur de la tourmente, elle ignore qu'une rencontre inattendue va changer son destin à tout jamais. Retrouver la magie de noël : Je n'aime pas Noël. Pour moi, c'est la saison des catastrophes. Je m'appelle Eva Larsson, je suis arrivée première de ma promo à Oxford. Je travaille désormais pour un grand cabinet d'avocats parisien. Lorsque mon employeur m'envoie à Nevers où j'ai grandi pour retrouver un mystérieux artiste, j'y vois un moyen d'échapper aux fêtes de fin d'année. Non, je ne passerai pas Noël, seule, devant la télévision à zapper pour fuir cette ambiance festive qui me révulse. En arrivant sur place, je suis loin d'imaginer que rien ne va se passer comme prévu, et que pour la première fois depuis longtemps, mon coeur va s'ouvrir. Gourmandises de noël : Noël, sa joie, ses guirlandes lumineuses, ses chants et ses sapins décorés, tout autant d'ingrédients qui font de cette période un moment de communion et de bonheur. Mais le plus important pour Charlotte, ses gourmandises. Et cette période, qui aurait pu lui laisser un goût amer un an plus tôt, est l'occasion pour elle de régaler les papilles et réchauffer les coeurs avec ses délices chocolatés. Noël, des décorations criardes, ses courses aux jouets, ses mensonges, tout autant d'arguments qui poussent Adriel à éviter cette période de plus en plus. Mais la collision avec une blonde pulpeuse lors de la réunion des anciens élèves va peut-être lui apporter une tout autre vision des choses. Noël est la saison des miracles, n'est-ce pas ?

12/2021

ActuaLitté

Monographies

A Woman's Voice is Revolution

Coédition Dilecta / Mucem Langues : français / anglais Exposition monographique dans le bâtiment GHR du Mucem du 1er décembre 2022 au 16 avril 2023, expositions dans le même temps à la Vieille Charité et au FRAC, Marseille Co-commissaires et co-directeurs d'ouvrage : Hélia Paukner et Philippe Dagen L'exposition "Ghada Amer" est la première rétrospective de l'artiste en France. Née au Caire en 1963, Ghada Amer emménage à Nice en 1974 avec ses parents. Quelque dix ans plus tard, elle s'y forme à la Villa Arson avant de rejoindre l'Institut des hautes études en arts plastiques à Paris. Révoltée par la difficulté de s'affirmer comme peintre dans les années 1980 et a fortiori comme femme peintre, Ghada Amer élabore une oeuvre de toiles et d'installations brodées ainsi que de sculptures et de jardins, à travers lesquels la peinture s'affirme progressivement. En 1999, elle est invitée par Harald Szeemann à exposer à la Biennale de Venise, où elle reçoit le prix UNESCO. Depuis 1996, elle vit et travaille à New York. Dans trois lieux marseillais, la rétrospective réunit les différents modes d'expression plastique de l'artiste franco-égyptienne, depuis ses débuts jusqu'à ses créations les plus récentes. Au Mucem (fort Saint-Jean, GHR), le parcours transculturel et international de l'artiste sera mis en lumière. L'Orient, sa perception par l'Occident, la traductibilité d'une culture dans une autre, la religion, la condition féminine, l'actualité : autant de thèmes dont Ghada Amer livre une vision personnelle, engagée et nuancée, s'affirmant comme une des grandes voix des débats actuels sur les enjeux postcoloniaux de la création. En regard, une sculpture-jardin sera créée en extérieur, au fort Saint-Jean. Des photographies inédites de l'oeuvre produite seront intégrées à l'ouvrage. Au FRAC PACA La question de la femme transcende pour Ghada Amer celle de l'appartenance culturelle ou religieuse. Résolument féministe, elle s'est emparée en peintre du médium traditionnellement féminin de la broderie. Entre hommage et revendication, ses toiles entrent en dialogue avec les maîtres d'une histoire de l'art trop longtemps dominée par les hommes. Au-delà, elles se développent sous le signe d'une puissance créatrice jubilatoire et d'un intérêt nouveau pour le portrait. A la chapelle de la Vieille Charité Par de passionnants transferts d'une technique à l'autre, les expérimentations picturales de Ghada Amer investissent le champ de la sculpture - à travers installations et sculptures paysagères, mais aussi à travers des oeuvres en céramique et en bronze récemment poussées dans le sens de la monumentalité. Le livre portera un même titre pour les trois lieux (même si les expositions auront trois titres différents).

02/2023

ActuaLitté

Histoire ancienne

Maguelone. Archéologie d'une île de la lagune languedocienne

Dix kilomètres au sud de Montpellier, l'îlot de Maguelone occupe un relief d'origine volcanique récemment rattaché au lido par l'extension des dépôts alluviaux à l'arrière du cordon littoral. Au coeur de la lagune, l'îlot abritait au haut Moyen Age la ciuitas Magalonensis, établissement lié à la diffusion du commerce méditerranéen. Depuis le XIXe siècle, des travaux archéologiques se sont d'abord attachés à éclairer les origines de l'ancien siège épiscopal, érigé à une date incertaine au cours du VIe siècle au sein de la province wisigothique de Septimanie. Cet épisode majeur de l'histoire insulaire, dont témoigne la présence de l'imposante cathédrale romane, masqua longtemps l'ancienneté de l'occupation que de nouvelles recherches mirent au jour à la fin du XXe siècle. Des sondages pratiqués sous l'emplacement du cloître médiéval, au nord de la cathédrale, ainsi que des observations ponctuelles en plusieurs points de l'île permirent de recueillir de nombreux documents attestant d'une occupation ô la période gallo-romaine. Les recherches s'intensifiant, en 1998-1999 une fouille de sauvetage mettait au jour, à l'est de la cathédrale, une grande église de l'Antiquité tardive autour de laquelle se développait une nécropole des VIe-VIIe siècles riche de plusieurs centaines de sépultures. En 1999-2000, la prospection méthodique de l'ensemble de l'île révélait enfin l'ancienneté et l'ampleur de son occupation, marquée par une alternance de temps forts et de phases de déprise. Si la période néolithique relève d'une présence ténue, à l'âge du Bronze final se déploie une première occupation dense sur le rivage occidental de l'île. Les indices restent discrets à l'âge du Fer qui ne semble connaître qu'une fréquentation épisodique. L'occupation est mieux marquée et plus durable à l'époque gallo-romaine qui marque une première mise en valeur agricole sous la forme d'un vaste vignoble, autour d'un établissement rural probablement cantonné au point sommital de l'île. L'activité s'intensifie à la fin de l'Antiquité avec une forte densité des vestiges d'habitat et de stockage, les céramiques témoignant d'intenses échanges commerciaux au cours des V-VIIe siècles. Analysant une abondante documentation, l'ouvrage renouvelle sensiblement l'approche de l'histoire insulaire. Sont étudiés successivement les sources écrites et l'historique des recherches, les étapes de l'occupation du sol à travers les prospections, le vignoble gallo-romain, les églises et la nécropole paléochrétiennes, l'occupation du haut Moyen Age. Le dossier se termine par une synthèse sur le peuplement littoral au Moyen Age, replaçant le siège épiscopal au centre des réseaux socio-économiques.

01/2019

ActuaLitté

Critique littéraire

Revue de littérature comparée N° 354, 2/2015 : Les Littératures du Nord de l'Europe

Sylvain BRIENS, La mondialisation du théâtre nordique à la fin du XIXe siècle. Le fonds Prozor de la Bibliothèque nordique de Paris lu au prisme de la sociologie de l'acteur-réseau, RLC LXXXIX, n° 2, avril-juin 2015, p. 137-150. Le fonds Prozor de la bibliothèque nordique de Paris témoigne de la percée du théâtre scandinave en France et en Europe à la fin du XIXe siècle. Par l'analyse du travail du traducteur Prozor, des porte-paroles et intermédiaires agissant comme médiateurs, des points de passage, cet article examine les mécanismes de diffusion internationale du théâtre nordique, il s'articule autour de trois acteursréseaux : Prozor dans sa fonction complexe d'agent littéraire ; Paris et ses chaines de traduction ; le réseau de théâtres libres dans sa fonction de diffusion mondiale du théâtre nordique. Thomas MOHNIKE, "Le Dieu Thor, la plus barbare d'entre les barbares divinités de la Vieille Germanie" . Quelques observations pour une théorie des formes narratives du savoir social en circulation culturelle, RLC LXXXIX, n° 2, avril-juin 2015, p. 151-164. En 1915, l'imprimerie d'Epinal, connue pour ses estampes amusantes, publia un résumé symbolique des événements de la première année de la Première Guerre mondiale. Sur cette gravure, le dieu norrois Thor est présenté comme le dieu du Kaiser allemand, détruisant des cathédrales gothiques et ainsi la civilisation. Thor symbolisait ainsi la nature prétendument barbare des Allemands. Cet article se propose de cartographier les chemins et opérations historiques qui conduisirent le dieu nordique Thor de l'Islande du XIIIe siècle en France du XXe siècle en le transformant en symbole de l'hostilité allemande. Des contextes importants sont l'Anneau de Nibelung de Richard Wagner et tout particulièrement la philologie comparée. Ces observations peuvent servir de point de départ pour une théorie des formes narratives du savoir social en circulation culturelle. Régis BOYER, Méditation sur Rosmersholm, RLC LXXXIX, n° 2, avril-juin 2015, p. 165-173. De l'avis de tous les connaisseurs, Rosmersholm (1886) est le chef-d'oeuvre d'Ibsen, même si ce n'est ni la plus connue ni la plus fréquemment jouée de ses pièces. On peut se demander pourquoi. Cette pièce, extrêmement difficile à jouer, est favorable à toutes les confusions ou erreurs d'interprétation possibles, pièce dont il est permis d'avancer qu'Ibsen n'est jamais allé aussi loin dans sa quête du tragique. Cet article cherche à élucider les modalités et les raisons d'un tel chef-d'oeuvre dans une perspective moderniste. Sans entrer dans la discussion sur le post-tragique, il s'agit de cerner ce qui fait en soi l'originalité moderne de cette étrange pièce. Corinne FRANCOIS-DENEVE, Anne Charlotte Leffler, dans l'ombre portée de Strindberg, RLC LXXXIX, n° 2, avril-juin 2015, p. 175-186. "Auteure" prolifique du "genombrott" suédois, "féministe" affichée, dont les pièces étaient davantage populaires que celles d'August Strindberg, Anne Charlotte Leffler a peu à peu disparu des anthologies de la littérature scandinave. En a-t-elle été chassée par des critiques phallocrates, comme ont pu le clamer les partisans des gender studies dans les années 1970 ? Son oeuvre était-elle trop datée ? La redécouverte récente de son théâtre, en Suède, puis en France, permet de recontextualiser cette "oubliée" qui a sans doute toujours des choses à dire. Harri VEIVO, Cosmopolite en crise. Décentrements de modernité et fractures de subjectivité dans les récits de voyage d'Olavi Paavolainen, RLC LXXXIX, n° 2, avril-juin 2015, p. 187-203. Dans les années 20 et 30, l'écrivain finlandais Olavi Paavolainen (1903-1964) s'est donné la tâche d'interroger et analyser la modernité dans toutes ses manifestations et dans tous les lieux où elle se fait ressentir. Ce projet l'amène à s'intéresser d'abord à la modernité jouissive et émancipatrice des années folles, ensuite à la montée du totalitarisme en Europe et, après ce tournant dysphorique, aux pays de l'Amérique latine, jugés capables de transcender les conflits européens. Les récits de voyage de Paavolainen produisent ainsi un décentrement de la modernité ; en même temps, ils expriment la crise de la subjectivité de l'auteur, fondée sur l'idéal européen du cosmopolitisme. Philippe CHARDIN, Un beau roman d'éducation estonien : Vérité et Justice d'Anton Tammsaare, RLC LXXXIX, n° 2, avril-juin 2015, p. 205-217. Le long chef-d'oeuvre de Tammsaare, écrit durant l'après-guerre et retraçant 50 ans d'histoire de l'Estonie, apparaît comme une synthèse extraordinairement originale de plusieurs genres européens différents parmi lesquels un roman rural dans sa première partie et un roman du Crime et du Châtiment, sorte de tragédie familiale du péché originel ; mais on remarque aussi de fortes analogies avec trois formes de romans d'éducation : un roman pédagogique tragi-comique à l'Ecole de M. Maurus, le roman d'une éducation sentimentale douloureuse et par-dessus tout un roman de la transformation d'un jeune homme qui vient de son village en intellectuel avec son ironie dévastatrice contre toutes les valeurs sociales et religieuses, sa "conscience malheureuse" et ses engagements à demi forcés dans la vie politique ou dans sa vie privée qui rappellent d'autres grands romans contemporains, de Musil, de Proust, de Thomas Mann et de Svevo. Frédérique TOUDOIRE-SURLAPIERRE, Phèdre et la Suède : un "décentrement de modèles" ?, RLC LXXXIX, n° 2, avril-juin 2015, p. 219-230. Cet article examine, à partir de la pièce de l'écrivain suédois, Per Olov Enquist, Till Fedra, les modalités et les enjeux de ce transfert culturel que constitue cette réécriture de la célèbre tragédie de Racine. Utilisant les ressources scientifiques de l'imagologie et de l'ethnocritique, cet article met en évidence les différentes opérations de ce que nous avons appelé un "décentrement de modèles" , par le biais de la déconstruction de la langue française, de l'oedipianisation du mythe, un transfert d'images et un déplacement de concepts. Mickaëlle CEDERGREN et Ylva LINDBERG, Vers un renouvellement du canon de la littérature francophone. Les enjeux de l'enseignement universitaire en Suède, RLC LXXXIX, n° 2, avril-juin 2015, p. 231-243. Même si la circulation de la littérature francophone est aujourd'hui en pleine expansion à travers le monde, sa diffusion et, par conséquent, sa place dans les circuits de canonisation, reste encore inégale. Cet article analyse la place octroyée aux lettres francophones dans l'enseignement universitaire du français langue étrangère en Suède. Proposant une réflexion sur le canon littéraire traditionnel et montrant la nécessité de reconsidérer sa valeur dans un contexte universitaire étranger, la Suède apparaît tantôt comme le pays promoteur de la haute-culture française tantôt comme le bastion des littératures francophones souvent contemporaines et/ou de la littérature couronnée de prix littéraires. Sylvain BRIENS, The globalization of Nordic Theatre. The Prozor collection at the Nordic library in Paris read through the Actor-network Theory, RLC LXXXIX (in French), no. 2, april-june 2015, p. 137-150. The Prozor collection at the Nordic library in Paris demonstrates the breakthrough of Scandinavian theatre in France and Europe at the end of the 19th Century. Through an analysis of Prozor's translations, the work of spokespeople and intermediaries acting as mediators, and points of passage this article will attempt to understand the mechanisms promoting Nordic theatre's international distribution. The study is centred on three actor-networks : Prozor in his complex function as literary agent ; Paris and its translation supply chains ; the network of free theatres in its role in the worldwide distribution of Nordic theatre. Thomas MOHNIKE, "The god Thor, the most barbarous of all barbarous gods of the Old Germany". Some observations for a theory of narrating forms of social knowledge in cultural circulation, RLC LXXXIX (in French), no. 2, apriljune 2015, p. 151-164. In 1915, the Epinal printing company, known for its often amusing illustrated one page prints, published a summary of the first year of the First World War, depicting the Old Norse God Thor as the god of the German Kaiser, destroying gothic cathedrals and thus civilization. Thor thus served as symbol for the supposedly barbarous nature of the Germans. In my article, I try to map some of the ways and historical operations that took the Old Norse god Thor from 13th century Iceland to 20th century France and transformed him to a symbol for German warfare. Major contexts appear to be Richard Wagner's Ring of the Nibelung and particularly comparative philology. These observations, I propose, could serve as a starting point for a theory of narrating forms of social knowledge in cultural circulation. Régis BOYER, Meditation on Rosmerholm, RLC LXXXIX (in French), no. 2, apriljune 2015, p. 165-173. In the opinion of all the experts, Rosmersholm (1886) is the masterpiece of Ibsen, even though it is neither the most famous nor the most frequently performed of his plays. One may wonder why. This piece, extremely difficult to play, supports all the confusions and errors of interpretation possible, and it is permitted to put forward that Ibsen never went as far in his tragedy quest. This article seeks to clarify how and why such a masterpiece in a modernist perspective. Without going into the discussion of the post-tragic, we try to identify what is in itself modern originality of this strange room. Corinne FRANCOIS-DENEVE, Anne Charlotte Leffler, the forgotten one, RLC LXXXIX (in French), no. 2, april-june 2015, p. 175-186. A prolific female writer belonging to the Swedish "genombrott" movement and a staunch feminist, Anne Charlotte Leffler, whose plays were even more successful than Strindberg's, slowly disappeared from Scandinavian literature anthologies. Did male critics expel her from them, as researchers in "gender studies" began to claim in the 1970s ? Or was it that her works were thought to be too old-fashioned ? Her theatre has been recently re-discovered, in Sweden as well as in France : it is high time to put again into perspective this "forgotten one" , who has still many things to say. Harri VEIVO, Cosmopolite in Crisis. Decentring Modernity and Fracturing Subjectivity in Olavi Paavolainen's Travelogues, RLC LXXXIX (in French), no. 2, april-june 2015, p. 187-203. In the 1920s and 30s, the Finnish writer Olavi Paavolainen (1903-1964) took up the task of exploring and analysing modernity in all its manifestations and in all the places where it was felt. This project focalised first on the emancipatory and joyful modernity of the années folles, then on the rising of totalitarism in Europe and, after this dysphoric turn, on Latin America, considered capable of transcending the European conflicts. Paavolainen's travelogues produce thus a decentring of modernity, while leading at the same to the crisis of the author's subjectivity, based on the European ideal of cosmopolitism. Philippe CHARDIN, Truth and Justice, a beautiful Estonian novel of education, RLC LXXXIX (in French), no. 2, april-june 2015, p. 205-217. Tammsaare's long masterpiece, written after the first world war and retracing 50 years of Estonian history, is an extraordinary and original synthesis of several different literary European genres among which in its first part a "Rural Novel" and also a novel of "Crime and Punishment", a kind of Tragedy of Original Sin in a family but there is also a strong analogy between Taamsaare's Justice and Truth and three kinds of Educational Novels : a tragi-comical pedagogical novel in Mr Maurus's College, a painful sentimental apprenticeship and above all the novel of a young man coming from his village who becomes an "Intellectual" with his devastating irony against all social and religious values, his "Unhappy Consciousness" and his half forced bad commitments in political or private life which recall other great contemporary novels by Musil, Proust, Thomas Mann, Svevo. Frédérique TOUDOIRE-SURLAPIERRE, Phaedra and Sweden : a "shift model" ?, RLC LXXXIX (in French), no. 2, april-june 2015, p. 219-230. This paper examines, from the part of the Swedish writer Per Olov Enquist, Till Fedra, terms and issues of this cultural transfer : the rewriting of the famous tragedy of Racine. Using scientific resources of imagology and ethnocritic, this paper shows the various operations of what we called a "shift model" through the deconstruction of the French language, the oedipalization of the myth, the image transfer and the movement concepts. Mickaëlle CEDERGREN - Ylva LINDBERG, Towards a renewal of the Francophone literary canon. The role of higher education in Sweden, RLC LXXXIX (in French), no. 2, april-june 2015, p. 231-243. Even though francophone literature is expanding its territory throughout the world, its status remains ambiguous on the global field and in canonization processes. The analysis is focusing on a re-evaluation of the literary canon in the academic context abroad. Various didactic demands are revealed as essential criteria for a selection divergent from the traditional canon. It is also found that Swedish universities promote both French high-status literature, extra-occidental francophone literature and prize-winning literature, which is often commercial.

09/2015

ActuaLitté

Critique

Les Parias

Cette anthologie d'essais des frères Powys emprunte son titre au poème "Le Paria" que William Cowper, leur aïeul par la branche maternelle, écrivit un mois avant sa mort, en 1800 : "Aucune voix divine n'apaisait la tempête, / Aucune lumière ne brillait / Quand, brutalement arra- chés, sans aucune aide / Nous avons péri, chacun seul [... ]". C'est donc sous le signe de la plus inquiétante déréliction que Patrick Reumaux a placé ce volume, dont il est le maître d'oeuvre et le traducteur. Les textes métaphysiques des trois frères s'articulent autour d'une sorte de prêche de Theodore Francis intitulé Le Soliloque de l'ermite. Publié à New York en 1916, cette oeuvre très personnelle - une des plus grandes réussites stylistiques de l'auteur - n'avait encore jamais été traduite en français. Bien qu'il ne fasse aucune allusion à la guerre qui sévit alors en Europe, T. F. Powys semble avoir écrit là une profession de foi contre les valeurs de son temps : à l'ordre de participer à l'épouvantable vie collective, il oppose la nécessité de la solitude, de même qu'à l'impératif de travailler pour vivre il répond par l'affirmation du pur bonheur qu'on ressent à ne rien faire : "Je me demande si l'on comprendra jamais que le monde n'est pas fait pour le travail, mais pour la joie". Requis par la Bible, le seul livre qui vaille à ses yeux, lui qui ressemblait dans sa jeunesse à Nietzsche ne peut s'empêcher de s'interroger sur l'écart, partout constatable, entre le plaisir que les hommes tirent du vice et l'ennui considérable que leur inflige chaque bonne action. L'argumentation qu'il déploie dans son monologue s'appuie sur les ressorts rhétoriques du ser- mon, mais sans visée clairement évangélique. Comme l'écrit Reumaux dans La Table ronde des Powys, la démonstra- tion, toujours ironique, devient, chez Theodore, un délire "de la raison pure" . En sorte qu'on en déduit seulement qu'à la différence de Llewelyn il n'est pas athée. Pour le reste, il est difficile de dire si ce païen est chrétien ou si, comme John Cowper, derrière son christianisme, se cache un fond irréductible de paganisme. Le sûr, c'est qu'il habite la Bible comme un inquisiteur diabolique. Cette confession subversive de Theodore est encadrée par onze plus brefs essais publiés par ses frères dans les mêmes années, le tout constituant une excellente introduction aux thèmes chers aux Powys : l'immersion dans la nature, Dieu, l'art de vivre dans la solitude, la puissance hantée du Dorset ou la malédiction. De Llewelyn, Reumaux a retenu six "vies minuscules" , qui font penser à celles qu'écrira, plus tard, Lytton Strachey ; elles sont consacrées à des maudits ayant vécu entre le seizième et le dix-huitième siècle - à savoir trois poètes au destin tragique : Christopher Marlowe, William Cowper, James Thomson ; un botaniste : Nicholas Culpeper ; un graveur du terroir : Thomas Bewick, et un célèbre dandy, à la Brummel : le Beau Nash. John Cowper complète cette galerie par le portrait flamboyant de trois de ses maîtres : Emily Brontë, Nietzsche et Oscar Wilde à quoi Reumaux a ajouté deux essais de portée plus générale, "L'art du discernement" et "Jugement suspendu" . Aussi différents qu'ils soient les uns des autres, tous les textes rassemblés dans ce volume sont moins des démonstrations rationnelles que des plaidoyers véhéments et passionnés pour un art de vivre opposé aux modes contemporaines. Le dernier mot revient à John Cowper : "Comment pourrions-nous vivre sans les grands anarchistes de l'âme, sereins et méprisants, dont la haute imagination inviolable rafraîchit et recrée perpétuellement le monde ? "

03/2022

ActuaLitté

Littérature française

Les cinq livres. Gargantua ; Pantagruel ; Troisième Livre ; Quatrième Livre ; Cinquième Livre ; Suivis de la Pantagruéline ; Procastination

Au XVIe siècle, l'oeuvre majeure de Rabelais (Gargantua, Pantagruel, Troisième Livre, Quatrième Livre et Cinquième Livre) a été publiée sur une durée d'environ trente ans, de Pantagruel (1532) à l'édition posthume du Cinquième Livre (1564). L'édition Arléa se présente ici sous le titre Les Cinq Livres, auxquels fait suite, un très bref ouvrage, la Pantagruéline Pronostication, almanach humoristique parodiant les très nombreuses prophéties du temps (Nostradamus est un contemporain de Rabelais). Arléa avait publié en 1999 une édition des seuls Gargantua et Pantagruel, "en français moderne", qui n'était qu'un remaniement de l'orthographe. Avec le temps, les lecteurs capables de lire la langue du XVIe siècle (même ainsi aménagée) étant de moins en moins nombreux, Les Cinq Livres présentés ici sont donc, cette fois, purement et simplement traduits (vocabulaire, syntaxe, ponctuation, disposition...), dans une unique et constante exigence : aboutir à un texte respectueux de la grammaire et du dictionnaire de notre temps, tout en respectant également la fidélité au texte original - fidélité qui n'exige en rien la littéralité. Il s'agit donc d'un Rabelais rendu accessible aux non spécialistes, à tout lecteur diligent, qui permet de comprendre, grâce à l'intelligence du texte, pourquoi cette oeuvre a traversé les siècles et s'est répandue dans tous les pays. Rendre Rabelais accessible, c'est d'abord faire litière de tous les lieux communs qui empoisonnent l'image de ce moine, médecin et écrivain. Aujourd'hui, en effet, l'épithète de "rabelaisien" n'évoque le plus souvent que banquets, libations, beuveries, ébriétés triviales, gaudrioles, chansons à boire et goinfreries... Or, une fois la lecture rendue plus fluide, la compréhension du texte devenue plus aisée, on découvre un homme bien loin de l'image qu'il a chez nombre de nos contemporains. On connaît, certes, son érudition encyclopédique, ses talents de médecin qui, partout où il exerça, furent reconnus par ses pairs, sa curiosité universelle, sa haine des hypocrites de tout poil, son indépendance envers les autorités, sa foi "évangélique", rebelle aux dogmes, son humour, voire sa gaieté, mais on découvre en le lisant - et en le comprenant - des qualités autres, des qualités qui sont l'apanage des grands hommes de tous les temps : un pacifisme affirmé, un amour de l'humanité et, surtout, cette bonté sans laquelle, selon Montaigne, toute autre science est inutile à celui qui ne la possède pas. Cette édition étant principalement destinée à des lecteurs peu familiers de la littérature de la Renaissance et de Rabelais en particulier, la traduction ne pouvait suffire ; c'est pourquoi le texte est accompagné de très nombreuses notes infrapaginales, concernant chaque emprunt de Rabelais (citation traduite avec précisions sur l'auteur et l'oeuvre), chaque personnage célèbre (avec courte biographie).

10/2019

ActuaLitté

Littérature française

Confessions, ou la vie de Paul Verlaine

Paul Verlaine est né à Metz, le 30 mars 1844, et a opté pour la nationalité française en 1873. Découvrez dans ce livre l'histoire de sa vie. "Je me rappelle une petite pension où j'allai jusqu'à l'épellation inclusivement, dans une rue aux Ours, chez une demoiselle très gâteau, et c'est tout le souvenir que j'ai d'elle et de mes études sous sa direction. Mon père était capitaine du Génie, et chez mes parents c'était souvent le tour des choses de l'armée, dans les conversations, et des officiers du régiment aux soirées hebdomadaires, whist et thé, qui s'y donnaient. J'étais si fier du bel uniforme paternel : habit à la française au plastron de velours avec ses deux décorations d'Espagne et de France, Alger et Trocadéro, bicorne à plumes tricolores de capitaine-adjudant-major, l'épée, le bien ajusté pantalon bleu foncé à bandes rouges et noires, à sous-pieds ! si fier aussi de son port superbe d'homme de très haute taille, "comme on n'en fait plus" , visage martial et doux, où néanmoins l'habitude du commandement n'avait pas laissé de mettre un pli d'autorité qui m'imposait et faisait bien, car j'étais mauvais comme un diable quand on me tolérait trop d'espièglerie. Ma pauvre mère en savait long là-dessus, que son extrême bonté n'empêchait pas toutefois, si les choses allaient à l'excès de mon côté, d'en venir du sien aux justes extrémités. Plus tard, beaucoup plus tard, quand j'eus grandi, à quoi bon ? vieilli, pourquoi ? elle était coutumière, vaincue à la fin par mon adolescence tumultueuse et ma maturité pire dans l'espèce, de me dire, lors de nos scènes, en forme de menaces auxquelles elle savait bien que je ne croirais pas : "Tu verras, tu en feras tant qu'un jour je m'en irai sans que jamais tu saches où je suis". Non, elle ne devait pas réaliser ces paroles, et la preuve, c'est qu'elle est morte d'un refroidissement contracté en me soignant de la maladie qui me tient encore. Eh bien, je rêve souvent, presque toujours, d'elle : nous nous querellons, je sens que j'ai tort, je vais le lui avouer, implorer la paix, tomber à ses genoux, plein de quelle peine de l'avoir contristée, de quelle affection désormais toute à elle et pour elle... Elle a disparu ! et le reste de mon rêve se perd dans l'angoisse croissante d'une infinie recherche inutile. Au réveil, ô joie ! ma mère ne m'a pas quitté, tout ça n'est pas vrai, mais, coup toujours terrible, la mémoire me revient : ma mère est morte, ça c'est vrai !

11/2023

ActuaLitté

Cuisine végétarienne

Cuisiner cru et vivant

Un guide pour découvrir l'incroyable variété gustative de la " crusine ", une alimentation vivante composée d'aliments crus sous toutes leurs formes : jus de légumes, soupes tièdes, pains, crackers et pâtisseries crus, graines germées, laits végétaux, boissons et bocaux fermentés... Mettre plus de vie dans son assiette permet de réconcilier santé, plaisir et gourmandise.

10/2022

ActuaLitté

BD tout public

La guerre des Sambre : Maxime et Constance. Tome 3, Eté 1794, Le regard de la veuve

Conclusion de l'ultime trilogie de La Guerre des Sambre, le 3e chapitre de Maxime & Constance en est la clé de voute, le chaînon sanglant de la malédiction familiale. Avant l'apothéose de la série culte Sambre, Yslaire conclut tragiquement l'ultime trilogie de La Guerre des Sambre, dans un format exceptionnel de 87 pages. Après la trilogie de Werner & Charlotte, qui conte le secret de la naissance de Maxime de Sambre, et celle de Hugo & Iris, qui expose la passion du fils de Maxime pour la future mère de Julie et le conduit à la folie, Maxime & Constance est la troisième trilogie à paraître, mais la seconde dans l'ordre généalogique. Chaînon sanglant de la malédiction familiale, la conclusion de cet épisode 3, abondamment citée dans les tomes des générations postérieures, est la clé de voute de l'architecture. Juin 1794. Le tome 2 se terminait en Aout 1789 par la fuite de Maxime de Sambre et sa famille après l'incendie de leurs château par une révolte paysanne. Cinq ans après, sa femme Louise-Marguerite Collée Des Vignes, enceinte, attend son sort, à la Prison des oiseaux. Elle sait que que la République n'attend que son accouchement pour lui retirer son bébé et l'envoyer à l'échafaud, elle et son fils François. Dans une dernière lettre écrite à sa mère, elle tente de comprendre comment elle et ses deux jumeaux en sont arrivés là... Le remords de n'avoir pu protéger ses enfants de leur père, et la colère à l'égard de ce mari indigne et sans scrupules, coupable d'abandon familial pour une putain de la République, se mêle au désespoir d'avoir elle-même commis l'irréparable... A travers ses yeux de femme blessée, c'est aussi la traversée de la Révolution d'une aristocrate de province, avec un mélange d'effarement, de candeur, et d'aveuglement face à une machine infernale qui broie ses propres enfants. Au passage, le récit tente de rendre justice aux femmes de l'époque, en rappelant des figures historiques aussi contrastées que Marie-Antoinette, Théroigne de Méricourt, féministe martyre, fondatrice avec d'autres du " club des patriotes de l'un et l'autre sexe "... ou encore les terribles tricoteuses. L'auteur des amours tragiques de Bernard & Julie sonde la noirceur des âmes s'affontant dans une guerre amoureuse, tous victimes de leur passé et de leur époque sanglante. Il interroge les mécanismes de la transmission, de la fatalité engendrée par les secrets familiaux. " Avant la passion funeste des amants , il y a toujours celle de leurs ancêtres. ". . En parfaite osmose, Yslaire et Boidin trouvent là leur collaboration la plus aboutie et signent une mise en scène nerveuse et resserrée, alternant les scènes intimistes et passionnelles, aux larges respirations muettes. Le récit est magnifié par le dessin libéré et fluide de Boidin, la richesse de ses cadrages documentés, et une gamme de couleurs réduite au sépia et rouge, pour mieux peindre la violence et la cruauté des sentiments, dans ce contexte historique.

01/2018

ActuaLitté

Animaux, nature

Le couteau et le poignard de combat. Des origines à nos jours

Le couteau et le poignard ont, de très longue date, accompagné l'homme dans son évolution ; que ce soit dans une forme utilitaire ou une autre plus agressive destinée spécifiquement au combat. Les premiers " couteaux poignards " remontent à 500 000 ans avant J. -C. , mais il s'agit d'outils plus que d'armes. Ils ont été conçus comme des accessoires permettant de survivre dans un environnement souvent extrême, principalement pour couper et tailler des outils et des armes de bois, tanner les peaux pour en faire des vêtements ou des tentes et enfin préparer la nourriture. Les véritables "couteaux poignards" de combat n'apparaissent que vers la fin de la préhistoire, époque où les affrontements interhumains deviennent une réalité, et durant laquelle le perfectionnement des modes de taille du silex rend possible la réalisation d'armes réellement efficaces. L'apparition du métal vers 3000 avant J. -C. permet un bond technologique qui rend possible la réalisation de véritables poignards de combat. Cette évolution va s'accentuer avec le passage du cuivre au bronze, puis du fer à l'acier au carbone trempé, et enfin aux aciers alliés ; une dernière technologie dans laquelle nous vivons encore. Durant ses 5 000 ans d'existence, le couteau métallique n'a cessé de gagner en efficacité ; surtout, il s'est adapté, en complément des critères civilisationnels et des effets de mode, aux façons de combattre, notamment dans des finalités militaires. Après l'invention des armes à feu, il a évolué vers une forme mixte, la baïonnette, qui permettait de transformer le fusil en une véritable pique. Cette arme est restée primordiale durant plus de deux siècles, une époque durable durant laquelle les armes à feu étaient lentes à recharger et d'une portée limitée. Si l'usage du couteau de combat n'a jamais cessé dans le domaine civil, il a été redécouvert lors des deux derniers conflits mondiaux. De nos jours, à l'ère de l'atome, le couteau de combat est loin d'avoir disparu et il est probable que son usage perdurera encore des siècles, sinon des millénaires. Cet ouvrage a été conçu dans l'idée de remplir un vide sur un sujet très peu traité de façon complète, en l'occurrence sous un angle historique, descriptif, mais aussi technique ; il représente un répertoire complet de l'évolution du couteau et du poignard de combat au travers de toutes les périodes de l'histoire. Dans la conception de ce livre, l'auteur s'est efforcé de vulgariser l'ensemble des éléments permettant de comprendre l'histoire du couteau de combat, mais aussi du poignard et de la dague ; il vise à aborder l'évolution de ces armes en les replaçant à chaque fois dans le contexte des époques qui les ont vu naître et évoluer. L'importante illustration présente permet de visualiser cette évolution au travers de pièces d'époque et de répliques exactes réalisées par les meilleurs artisans couteliers.

12/2019

ActuaLitté

Littérature française

Les plus belles histoires vraies de Noël

Des histoires de Noël, belles, insolites, incroyables (souvent inconnues) ayant pour héros des anonymes, des célébrités contemporaines ou des personnages historiques. Le lecteur est plongé dans une ambiance magique, celle de la plus belle fête de l'année. Durant cette courte parenthèse enchantée, surgissent de belles et incroyables histoires... - 1818. Afin d'attirer du monde dans la petite église d'Obendorf, en Autriche, où il est second pasteur, Josef Mohr écrit "Douce nuit". Il est soutenu par l'instituteur, organiste et compositeur, Franz Gruber. - 1843. Charles Dickens publie le premier de ses livres de Noël qui va devenir une tradition contribuant à faire de Noël, en Angleterre, la principale fête de l'année. - 1742. Au matin de Noël, Mme de la Tournelle se fait déposer dans sa chaise à porteurs au milieu de la Cour des Ministres du château de Versailles. Elle veut attirer l'attention de Louis XV. Et ça marchera puisqu'elle va devenir sa favorite... - 1847. En quelques heures, un inconnu, Placide Coppeau, de Roquemaure, sur les bords du Rhône, écrit "Minuit chrétiens" pour la collégiale. Une cantatrice tombe sur le texte et le donne à Adolphe Adam, célèbre musicien qui a notamment signé le ballet "Gisèle". Il en compose la partition. Création le 24 décembre à Roquemaure. - 1925. La première aventure de Winnie l'Ourson paraît sous la plume d'Alan Alexander Milne le 24 décembre 1925 dans un quotidien britannique avec un tel retentissement que la BBC fait lire le texte le lendemain sur son antenne ! Derrière ce Winnie imaginaire, se cache une émouvante histoire vraie... - 1797. A peine cinq mois après leur rencontre coup de foudre, Walter Scott épouse Charlotte le 24 décembre. - 1898. Louis Renault part réveillonner dans une voiturette de son invention. Ses amis le voyant arriver sont séduits. Il repart avec douze commandes pour le même véhicule ! - 1642. Naissance le 25 décembre d'Isaac Newton. L'enfant est tellement chétif que deux sages-femmes affirment qu'il ne passera pas la journée. Il vivra 85 ans... - 1914. Dans la précipitation la plus totale (elle enfile une robe banale même pas neuve !), Agatha Christie épouse Archibal, son premier mari. - 1959. Le 24 décembre, Joséphine Baker adopte un bébé trouvé un peu plus tôt enroulé dans un chiffon à côté des poubelles de la gare Saint-Lazare. - 1954. Le 24 décembre en début de soirée, une inconnue décidée à devenir chanteuse arrive d'Egypte à Paris sous la neige. C'est Dalida. - 1956. Jean Nohain anime la soirée du réveillon à la RTF en direct. Soudain, le feu se déclare sur le plateau alors qu'il raconte un conte de Noël intitulé "Le briquet"... Tout se terminera bien ! - 1946. Quelques mois avant Noël, Tino Rossi tourne "Destin", un film de Richard Pottier. Au cours des prises de vue, on se rend compte qu'il manque une chanson pour Tino. En vitesse, Raymond Vinci et Henri Martinet écrivent "Petit papa Noël" dont la carrière discographique démarre à Noël. Le début d'un triomphe. Le film, lui, n'est pas passé à la postérité. - 1967. A Paris, réveillé en sursaut, un homme reçoit un coup de poing sur la figure. Son plus merveilleux Noël commence ! - 1985. Un businessman anglais rate son train. Il erre dans une gare jusqu'à ce qu'il soit attiré par un clochard très différent des autres... - 1990. Un gamin de sept ans parcourt trente kilomètres seul pour offrir à sa famille le plus beau des cadeaux.

11/2014

ActuaLitté

Art contemporain

À mains nues. Parcours de la collection du MAC VAL

A mains nues Parcours de la collection du MAC VAL 192 pages 160 reproductions Format : 21 x 17 cm Broché, dos toilé pailleté, cahiers à la japonaise Textes : Marie Darrieussecq, Romina de Novellis, Alexia Fabre, Agnès Gayraud, Caroline Honorien, Philippe Liotard, Mélanie Meffrer Rondeau, Claire Moulène, Mathieu Potte-Bonneville, Fabienne Radi, Anne-Lou Vicente, Marion Zilio Graphisme : Lisa Sturacci Editions du MAC VAL ISBN : 978-2-900450-13-0 Parution : 8 avril 2022 15 euros Après "Le vent se lève" , exposition de la collection incarnant les relations que l'humanité entretient avec la Terre, le MAC VAL poursuit son exploration de l'humain en se recentrant sur le corps, son langage, son pouvoir et sa puissance de réinvention, avec cette nouvelle exposition "A mains nues" . Inédites ou plus anciennes, les oeuvres évoquent la réinvention de soi, le futur qu'il nous appartient de créer, à mains nues. En cette expérience partagée de la pandémie, d'empêchement de l'autre, de son contact, du violent constat de notre fragilité corporelle et de notre statut de corps vivant, nous avons eu envie de nous projeter dans le futur et de l'envisager avec désir, élan et espoir. Les oeuvres ici réunies racontent d'une part la corporéité et son langage, les fluides vitaux, les membres, dont les mains, qui incarnent la question de la réinvention de soi contre la réalité, la fatalité ou les déterminismes sociaux. La fiction, le récit, la mise en scène, le travestissement sont autant de stratégies mises en oeuvre par les artistes pour engager cette réinvention, douce, déterminée ou plus guerrière. Ont ainsi été composés des ensembles d'artistes particulièrement chers au musée et qui incarnent ces sujets : Annette Messager, Jena-Luc Blanc, Esther Ferrer, Gaëlle Choisne, Jean-Luc Verna, Nina Childress, Kapwani Kiwanga, Edi Dubien, Romina de Novellis, parmi d'autres... L'adresse à l'autre, à son regard comme à son corps, est au coeur des oeuvres, à travers la fabrication de sa propre image, portraits ou autoportraits qui résonnent ainsi avec les phénomènes historiques et contemporains de l'invention de soi, questionnant la distance au réel. Un réel souvent contredit, transformé par des artifices, maquillage, chorégraphie, tatouages, mises en scène... Il est avant tout question des langages des corps, de ce qu'ils peuvent dire, faire, enveloppe fragile, unique (? ), malléable, signifiante de l'âme qu'ils habillent et qui les habitent. Pour nous accompagner dans cet ouvrage, exclusivement illustré de photographies de ce nouvel accro- chage, nous avons invité des auteur. e. s et des artistes pour leur engagement, leur partage d'expériences positives, singulières et combatives, afin de l'ouvrir à des regards extérieurs, à d'autres voix. Exposition au MAC VAL à partir du 12 mars 2022. Avec les oeuvres de Boris Achour, Pierre Ardouvin, Bianca Argimón, Kader Attia, Elisabeth Ballet, Eric Baudart, Jean-Luc Blanc, Nina Childress, Gaëlle Choisne, Clément Cogitore, Mathilde Denize, Romina de Novellis, Angela Detanico ? /? Rafael Lain, Mario d'Souza, Edi Dubien, Mimosa Echard, Eléonore False, Sylvie Fanchon, Valérie Favre, Esther Ferrer, Nicolas Floc'h, Mark Geffriaud, Shilpa Gupta, Kapwani Kiwanga, Thierry Kuntzel, Emmanuel Lagarrigue, Ange Leccia, Natacha Lesueur, Annette Messager, Marlène Mocquet, Charlotte Moth, Frédéric Nauczyciel, Melik Ohanian, Bruno Perramant, Françoise Pétrovitch, Abraham Poincheval, Laure Prouvost, Judit Reigl, Jean-Luc Verna, Catherine Viollet, We Are The Painters...

04/2022

ActuaLitté

Ingénierie

BIM computationnel, des données vers l'IA. Ingénierie & architecture, enseignement & recherche

Les défis auxquels l'environnement bâti doit répondre sont de plus en plus nombreux. Entre contextes sociaux complexes, programmes économiques sous pression et nécessité de construire et d'habiter de manière performante et durable, les attentes qui reposent sur l'AECO (Architecture, Ingénierie, Construction et Opération) sont cruciales. Le BIM, ses processus et ses outils visent depuis de nombreuses années à soutenir ces pratiques exigeantes. Aujourd'hui, la multiplication des données accumulées et les avancées technologiques permettent des pratiques computationnelles de plus en plus avancées. Récemment, le succès rencontré par certains algorithmes d'Intelligence Artificielle comme ChatGPT ou MidJourney a démontré comment ces approches computationnelles pouvaient présenter des potentialités multiples sur des champs d'application toujours plus larges. Rarement interrogées de façon transversale, les évolutions du BIM et du computationnel portent pourtant de fortes potentialités pour l'industrie. Elles entraînent avec elles de multiples changements et répercussions du point de vue des pratiques, des organisations, des acteurs et de leurs missions, mais aussi : de la gouvernance des données, du green IT, des algorithmes et des biais de données. Les nouveaux rôles et nouvelles compétences, les nouveaux rapports à la simulation, à l'optimisation, à la conception en général, à l'automatisation, à l'industrialisation et à l'open source, sont autant d'enjeux à discuter dans l'évolution de ces pratiques BIM computationnelles. Sous un angle ouvert et multidisciplinaire, les textes rassemblés ici exposent diverses perspectives sur les pratiques actuelles du BIM. Les pratiques informationnelles de l'industrie de la construction y sont interrogées, chaque texte amenant une nouvelle perspective propre à ses auteurs sur le sujet. Thématiques de l'ouvrage Cette édition inclut les thématiques suivantes (sans y être restreinte) : BIM et pratiques computationnelles : design génératif, optimisation, form finding, intelligence artificielle, pratiques data-driven, BIM et sciences des données ; BIM et collaboration, BIM et interopérabilité, données liées, dictionnaires de données ; Transition numérique, processus d'adoption, maturités BIM, nouvelles compétences et nouveaux rôles, nouvelles pratiques de projet, nouvelles organisations ; BIM et durabilité : efficacité énergétique, empreinte carbone, Analyse du Cycle de Vie, économie circulaire ; BIM et open source ; Intégration du BIM dans le contexte urbain et dans le territoire : CIM, smart cities, interopérabilité avec les SIG ; Jumeau numérique, BIM et exploitation maintenance, IoT, Heritage BIM ; BIM et construction industrialisée, BIM sur chantier, BIM et préfabrication. Cet ouvrage interroge la grande diversité des recherches et points de vue autour du BIM et des outils numériques, au regard notamment des enjeux posés par ces nouvelles pratiques computationnelles. Ont contribué à l'ouvrage : - Nihel ALLOUCHE (Université de Carthage) - Joseph AZAR (Université de Franche-Comté) - Samia BEN RAJEB (ULB Bruxelles) - Selsebil BENELHAJ SGHAIER (Université de Bourgogne) - Aurélie de BOISSIEU (Université de Liège) - David CAMARAZO (Université de Bourgogne) - Charlotte DAUTREMONT (Université de Liège) - Sana DEBBECH (IRT Railenium) - Mohamed-Anis GALLAS (Université de Mons) - Annabelle GILLET (Université de Bourgogne) - Thibaud HULIN (Université de Franche-Comté) - Ahmed ISMAIL (ENSA de Grenoble, EPFL) - Vasilina IVANOVA (Université de Mons) - Mihaela JUGANARU (Mines Saint-Etienne - IMT) - Sesil KOUTRA (Université de Mons) - Younes LAMSAOUGAR (Université de Franche-Comté) - Eric LECLERCQ (Université de Bourgogne) - Maxime LEFRANCOIS (Mines Saint-Etienne - IMT) - Philippe MARIN (ENSA de Grenoble) - Thamer MECHARNIA (Mines Saint-Etienne - IMT) - Ana ROXIN (Université de Bourgogne) - Léa SATTLER (ENSA de Paris la Villette) - Gregorio SAURA LORENTE (Université de Mons) - Aida SIALA (ENSA de Nancy) - Federico TAJARIOL (Université de Franche-Comté) - Antoine ZIMMERMANN (Mines Saint-Etienne - IMT)

02/2024

ActuaLitté

Pêche

Vadémécum pour les pêcheurs de saumons à la mouche

Robert MENQUET est bien connu dans le "monde de la pêche" , il est né à Toulouse en mai 1944 sur les bords de la Garonne, attiré dès son enfance par les berges de ce fleuve qui jouxtait la maison de ses parents et inévitablement aussi bien sûr par la pêche. Initié par son père et par son frère à la pêche au coup, formé ensuite par des "Grands Maîtres" tels Léon Foch et Henri SOUEIX les "Tocqueurs, Louis CARRERE et Charles LAFORGUES les "Moucheurs" , Michel DUBORGEL et Benoît SARTHOU les "Saumoniers" et bien d'autres des Pyrénées et d'ailleurs. Il s'est même plus tard spécialisé en pêche en mer et en pêche exotique, il a participé à plusieurs compétitions tant en mer bord et bateau, qu'en eau douce dont en 2016 la Coupe du Monde de la pêche de la Truite aux Appâts naturels en Italie. La pratique de la plongée (sportive et professionnelle), de la pêche sous-marine y compris en compétitions ainsi que le sauvetage en mer durant près de trente ans lui ont donné l'occasion d'approcher et de voir dans leur milieu les poissons et de comprendre un peu leur mode de vie. Il a été un des premiers diplômé en France du Brevet d'Etat de Moniteur Guide de Pêche BPJEPS et de l'U. C. C. Maritime, titulaire entre autres des Médailles d'Argent et de Bronze de la Jeunesse et des Sports, de la Médaille d'Or avec Palme d'Or du Courage et de la Médaille du Sauvetage en Mer. Membre de l'Association Nationale de Protection de l'Eau et des Rivières (ANPER / TOS) depuis de très nombreuses années il milite pour la défense et la protection de tous les cours d'eau ; ses "coups de gueule" pour cela sont célèbres. Ses "ballades" sous d'autres cieux lui ont ouvert les yeux sur ce qui se fait de bien ou de mal dans la gestion des rivières et dans les règlements de pêche. Des rivières et des Gaves pyrénéens aux rivières bretonnes et picardes, des eaux glauques du delta du Danube aux fleuves écumants de la Scandinavie, de la Manche et de l'Atlantique à la Méditerranée en passant par la mer du Nord, des rivages enchanteurs du Pacifique Sud aux îles et aux côtes africaines, il a parcouru des milliers de kilomètres en gardant toujours un oeil sur et sous l'eau. Sa passion pour la Pêche l'a conduit sur les berges de très nombreuses rivières et Gaves des Pyrénées en passant par les cours d'eau à saumons et à truites de mer de France et aussi vers ceux de d'autres pays. Sa faculté d'adaptation lui a permis de très vite assimiler les différences techniques qui influent sur les techniques et "qui font les résultats" dans tous ces cours d'eau ou ces mers. Il nous délivre ici, dans cet opus, ce qu'il a découvert et surtout ce qu'il faut en tirer pour devenir performant dans la Pêche du Saumon à la Mouche sa grande passion. Un ouvrage que tout débutant ou passionné du saumon se doit de posséder.

06/2021

ActuaLitté

Andersen

Miniconte princesse petit pois

L'originalité du style d'Andersen repose sur son art de dessiner des variations nouvelles à partir de sources populaires - fabliaux, légendes, ouvrages de colportage et en bon héritier de la tradition des anciennes sagas de bien faire chanter ses contes, délicieusement illustrés par Edmond Dulac. En Chine, tu ne le sais peut-être pas, l'empereur est aussi un chinois, et tous les gens de sa cour sont aussi des chinois. Il s'y est passé une histoire, il y a de cela bien des années. Raison de plus que je me hâte de te conter avant qu'on ne l'oublie ! Le palais de l'empereur était tout ce qu'on peut au monde imaginer de plus magnifique (Le Rossignol).

11/2022

ActuaLitté

12 ans et +

Fleurs d'Oko

Laëtitia Danaë revient fort avec la nouvelle série " Fleurs d'Oko ", après la saga à succès " Lune pourpre " ! Une nouvelle galaxie de personnages, un esprit Fantasy avec du souffle mêlant chamanisme et roman d'apprentissage pour la jeune Oko issue de la tribu Cendrée. Combats, amour et formation... le premier tome dévoile un univers onirique fantastique ! L'histoire prend place au royaume de Sangaré, une société matriarcale subdivisée en plusieurs tribus, aussi appelées " terres ". La capitale (terres d'Ivoire) en est le noyau central. Plus les terres sont proches de la capitale, plus elles bénéficient de privilèges. Ex : Oko la Cendrée vient de la tribu Cendrée, qui fait elle-même partie du Lointain. Aux yeux de la royauté, ces terres ne présentent qu'un intérêt limité. Dans cette société, la religion est omniprésente. On prie une grande Déesse, mère de toute chose, reconnue pour sa sagesse et sa bonté. On dit qu'elle a attribué les pleins pouvoirs aux femmes, et que, depuis, il leur incombe de diriger pour prendre soin du monde qu'elle a créé. Ainsi, les femmes sont les grandes décisionnaires de cette société, ce sont elles qui mènent le monde. Les hommes, eux, sont chargés de réaliser les travaux les plus pénibles et de faire la guerre pour elles, tout en leur obéissant aveuglément. Une infime partie de la population masculine est dotée de pouvoirs magiques. Il est extrêmement rare qu'une femme bénéficie de ce don. Oko est une jeune fille qui a grandi auprès d'un père aimant et d'une mère souvent absente. A l'âge de 16 ans, son père, ainsi que tous les hommes de son village, a fait l'objet d'une cueillette afin d'aller mener une guerre de conquête pour la reine. Son père n'en est jamais revenu. Sa mère, Diango, dirige le village avec les autres sages depuis longtemps. Ses stratégies et ses bons conseils sont respectés par tous. Après la mort de son époux, elle fuit ses responsabilités de mère en embrassant sa carrière de dirigeante. Tant et si bien qu'elle est recrutée par une autre tribu, plus proche de la Capitale que la tribu Cendrée. Depuis plusieurs années maintenant, elle néglige sa fille et ne vient plus la voir... Oko a 22 ans le jour où elle apprend que Shomari l'Amaranthe recherche un aspirant pour lui succéder. Reconnu comme le plus grand envoûteur du monde, il a oeuvré aux côtés de la reine d'Ivoire, de sa mère avant elle et même de sa grand-mère. Après de bons et loyaux services, Shomari désire passer la main. Pour cela il voyage dans tout Sangaré, à la recherche d'un apprenti à la hauteur. N'ayant plus de points d'accroche dans son village, Oko décide de se présenter à Shomari. Elle sait que ses chances sont limitées, car il est connu que les pouvoirs magiques, lorsqu'ils sont maniés par une femme, ne sont pas aussi étendues et puissants que ceux d'un homme. De fait, elle sera fatalement désavantagée face aux autres.

01/2021

ActuaLitté

Beaux arts

Narcisse et Echo. Discours, essais et poèmes (1961-2019)

Dès les commencements, l'écrit a occupé chez Markus Lüpertz une place décisive. Dans les années 1960, c'est sous l'égide des Dithyrambes de Nietzsche qu'il réalise ses premières grandes séries de toiles ; il intitule Hölderlin son exposition de 1982 à Endhoven, Bleiben Sie sitzen Heinrich Heine un bronze de 1984, Heine-Hölderlin une toile de 1985 ; et il initiera encore d'autres compagnonnages, avec les oeuvres de Michel-Ange, Nikolaus Lenau, Theodor Fontane, Stefan George ou Stéphane Mallarmé. Parallèlement, il présente ses propres poèmes. Certains, d'une teneur polémique, figurent déjà dans les catalogues des grandes expositions de Baden-Baden (1973) et de Cologne (1979), et semblent servir avant tout la promotion de l'oeuvre peint ; d'autres, d'inspiration lyrique, voire élégiaque, assimilent résolument l'artiste à la figure d'Orphée, poète des poètes, au début des années 1980 ; de plus en plus souvent, par la suite, Lüpertz conçoit parallèlement, mais sans visée illustrative, les images et les textes de ses catalogues ; plus tard, ces deux supports dialoguent à nouveau dans les livres d'artistes. Au-delà des poèmes, enfin, les articles et les discours se multiplient lorsque Lüpertz accède à une existence et à des responsabilités publiques. En 1981, il monte pour la première à la tribune à la Royal Academy de Londres ; en 1988, il est nommé à la tête de la Düsseldorfer Akademie ; il prend bientôt la parole dans des musées, au salon du livre de Francfort ; il est publié dans le Spiegel et le Frankfurter Zeitung... - La suite de sa carrière ne démentira jamais cette volonté d'exister conjointement sur la scène artistique, littéraire et publique. C'est à l'éditeur allemand Siegfried Gohr et à la maison BuchKunst Kleinheinrich que l'on doit, en 2007, la parution en un seul volume de plus de quarante ans de textes, poèmes et discours de Markus Lüpertz. Intitulé Narziß und Echo. Texte, Reden, Gedichte. 1961-2004, cet ouvrage de poids (600 pages) rétablit un certain équilibre entre le plastique et l'écrit, et permet d'apprécier, par un regard d'ensemble, l'intégrité et la complexité de cette figure d'artiste. Le choix de l'ordre chronologique, dans la présentation des textes, met en évidence la germination et la ramification de grands thèmes sous des formes très diverses. L'art et les artistes occupent, évidemment, une place de choix : du manifeste "dithyrambique" des années 1960 aux grands discours d'hommage du début des années 2000, en passant par les poèmes provocateurs de Baden-Baden et de Cologne, les journaux de résidence et de création, les textes d'accompagnement performés lors du dévoilement de grandes sculptures, les conférences, les articles et les interventions sur des thèmes multiples ("Thema und Kunst" , "Das Geld - die Kunst" , "Frauen und Kunst" , "Kunst und Kommerz" ...), cette thématique est abordée dans une impressionnante variété de genres. Mais tout aussi remarquable est la constance avec laquelle Markus Lüpertz s'adonne à une poésie beaucoup plus proche de la tradition et s'autorise, sans jamais tout à fait se départir d'une ironie sûre de ses forces et d'un sens poussé du burlesque, à puiser dans les thèmes communs (l'amour, la déception amoureuse, la déception, le deuil, la peur, la mort...) pour en offrir une déclinaison fort personnelle. Le contraste avec un "professionnalisme" et une "grandeur" dénués de pathos, tels que le revendique l'oeuvre peint, est ici total, et le recueil provoque à cet égard un véritable dévoilement : car cette inspiration, loin d'être marginale, représente plus d'un tiers du volume.

06/2020

ActuaLitté

Sciences historiques

La fin du village. Une histoire française

À travers la description et l’analyse de la vie quotidienne d’une ancienne collectivité villageoise provençale, ce livre s’attache à décrire la mentalité et le style de vie de ses habitants en soulignant les mutations et les bouleversements que cette collectivité a subis depuis la dernière guerre jusqu’aux années 2000. L’urbanisation et la modernisation ne signifient pas seulement la fin d’un monde clos et de son « chauvinisme de clocher » ; elles se paient d’une dissolution du lien collectif, entraînant l’individualisme vers une « postmodernité » problématique. De la « communauté villageoise » et du « peuple ancien » au « nouveau monde », les différentes parties du livre sont ordonnées autour de cette mutation : le développement de la consommation, du loisir et du tourisme ont érodé les anciennes traditions provençales ; les « néo ruraux » formés de couches moyennes urbaines et de catégories fortunées se sont substitués aux anciennes couches populaires touchées par le chômage et la fin de leur « petite patrie » qu’était la collectivité villageoise. La fracture est à la fois sociale et culturelle et met en jeu des conceptions et des rapports différents à la vie individuelle et collective. À rebours d’une vision idéalisée de la Provence, La fin du village montre une autre réalité où les populations locales ont le sentiment d’être « envahies » dans la période estivale – la Provence étant devenue, selon une expression largement usitée dans la région, le « bronze-cul de l’Europe ». Tandis qu’affluent touristes et nouveaux habitants fortunés en mal de soleil et de ciel bleu, les Provençaux se vivent comme les derniers témoins d’un patrimoine qui ne leur appartient plus, ou pire encore, les gardiens d’un décor de théâtre ou une « espèce en voie de disparition ». Aux anciens rapports villageois a succédé un individualisme désaffilié dont le rapport à la collectivité est devenu problématique. Sans nostalgie pour un supposé « bon vieux temps », l’auteur passe au crible de l’analyse critique les dérives du « nouveau monde ». Sur fond de chômage et de « village dortoir », il souligne l’importance prise par les fêtes en tout genre, l’« animation sociale et culturelle » et ce qu’il nomme d’un sobriquet les « cultureux » dont l’« ouverture » et les « pratiques artistiques » constituent un curieux mélange de pédanterie et de militantisme revisité ; il rend compte de formes nouvelles d’éducation et d’animation de la jeunesse qui tentent de façonner des individualités nouvelles avec un angélisme des droits de l’homme et une écologie qui verse dans le moralisme et les bons sentiments ; il s’interroge sur la façon dont la collectivité envisage aujourd’hui son rapport à la nature, à la vieillesse et la mort. Ces conceptions et ces comportements coexistent avec des formes nouvelles de misère et de désaffiliation (la « déglingue ») liées à la combinaison du chômage et à la déstructuration familiale. Le « village bariolé » qui succède à l’ancienne collectivité villageoise fait coexister des catégories sociales et des mondes séparés à l’intérieur d’un même espace géographique vide de projet commun. En ce sens, la « fin du village » constitue une sorte de « groupe témoin » d’une France morcelée et d’une évolution problématique des sociétés démocratiques, que les responsables politiques et les citoyens se doivent d’affronter au plus près des réalités.

09/2012

ActuaLitté

Philosophie du droit

Le droit saisi par l'art. Regards de juristes sur des oeuvres d'art

Un regard neuf sur le droit à travers 32 oeuvres d'art majeures. Et si notre formation juridique influençait nos émotions artistiques ? L'art peut, sans doute, interpeller de manière spécifique le coeur comme l'esprit du juriste. Chacun des contributeurs à l'ouvrage a choisi librement une oeuvre pour nous livrer ses émotions et ses réflexions de juriste, les partager avec le lecteur afin de mieux éveiller les siennes, favorisant un dialogue trop rare entre art et droit... Une reproduction de chaque oeuvre d'art illustre les propos des auteurs afin de favoriser cet échange. Table des matières Avant-propos, par Rémy Cabrillac Le Contrat de mariage de Mariano Alonso-Perez, par Christophe Blanchard / Droit civil / Régimes matrimoniaux Le Juriste de Giuseppe Arcimboldo : par Claire Bouglé-Le Roux / Culture juridique / Justice De Bach de Carl Seffner à Gould de Ruth Abernethy : par Yves Mayaud / Méthodologie / Raisonnement juridique Graffiti is a crime de Banksy : par Jean-Baptiste Seube / Droit pénal / Propriété intellectuelle La Nature se dévoilant d'Ernest Barrias : par Bénédicte Fauvarque-Cosson / Philosophie juridique / Nouvelles technologies Le Soir sur les terrasses (Maroc) de Jean-Joseph Benjamin-Constant : par Elise Charpentier et Simonne Pichette / Libertés fondamentales / Egalité homme-femme La Justice de l'empereur Otton III de Thierry Bouts : par Laurent Pfister / Histoire du droit / Droit à un procès équitable Le Sacrifice d'Isaac du Caravage : par François Ost / Philosophie du droit / Tiers La Nona Ora de Maurizio Cattelan : par Agnès Robin / Droit d'auteur / Liberté d'expression Statue équestre du Maréchal Lyautey de François-Victor Cogné : par Fouzzi Rehrousse / Droit comparé / Histoire du droit L'Origine du Monde de Gustave Courbet : par Valérie Malabat / Liberté d'expression / Nudité Homme-requin de Sossa Dede : par Christine Ferrari-Breeur / Droit international public / Restitution des prises de guerre Etude d'un noeud de ruban d'Edgar Degas : par Patricia Partyka / Droit de la propriété intellectuelle / Ouvre de l'esprit David de Donatello : par Anthony Crestini / Droit constitutionnel / Histoire du droit La Fée électricité de Raoul Dufy : par Charles-Edouard Bucher / Nouvelles technologies / Droit des biens Cheval sortant de l'écurie de Théodore Géricault : par Marine Ranouil / Enseignement juridique / Méthodologie Bonaparte visitant les pestiférés de Jaffa d'Antoine-Jean Gros : par Emmanuel Terrier / Droit de la santé / Gouvernance Sous la vague au large de Kanagawa d'Hokusai : par Blanche Sousi-Roubi / Nouvelles technologies / Droit de la propriété intellectuelle Dans l'arbre d'Alexandre Hollan : par Xavier Thunis / Droit des biens / Droit de l'environnement Jaune-Rouge-Bleu de Wassily Kandinsky : par Marie-Sophie Bondon / Justice / Déontologie Le Prêteur et sa Femme de Quentin Metsys : par Michel Vivant / Philosophie du droit / Droit de la propriété intellectuelle Deux femmes courant sur la plage de Pablo Picasso : par Camille Broyelle / Liberté d'expression / Nudité La Cueillette des pois de Camille Pissarro : par Laurence Mauger-Vielpeau / Spoliations de la Deuxième Guerre mondiale / Restitution d'oeuvre d'art Les Vertus cardinales et théologales de Raphaël : par Barbara Pozzo-Stanza / Introduction au droit / Sources du droit Le Boeuf écorché de Rembrandt : par Thierry Vignal / Statut de l'animal / Philosophie du droit Loth et ses filles de Pierre-Paul Rubens : par Laurent Saenko et Hervé Temime / Droit pénal / Inceste Carrefour à Sannois de Maurice Utrillo : par Gérard Sousi / Spoliations de la Deuxième Guerre mondiale / Restitution d'oeuvre d'art La Ronde des prisonniers de Vincent Van Gogh : par Rémy Cabrillac / Droit pénitentiaire / Histoire du droit La Femme à la balance de Johannes Vermeer : par Pauline Marcou / Droit des personnes / Liberté de conscience L'Intérieur du port de Marseille, vu du Pavillon de l'Horloge du Parc de Joseph Vernet : par Charlotte Broussy / Droit maritime / Dignité de la personne humaine Grande coiffe en plumes : par Marie Malaurie-Vignal / Droit de la propriété intellectuelle / Appropriation culturelle Agnus Dei de Francisco de Zurbarán : par Yolanda Bergel Sainz de Baranda / Bien culturel / Droit international public Index des notions juridiques Table des illustrations

10/2023

ActuaLitté

Théâtre

La différence ; Le tueur de Venise ; Pôkomeu ; Paroles d'hommes ; Destins de rues

Croix-rouge du Coeur, Restos de l'Ame, Secours cathodique, Sécurité Bancaire, autant d'organismes absents d'une société déboussolée. Vivre, aimer sans tricher n'est pas à la portée de tous. Le combat entre l'idéal et nos réalités est sans relâche, comme s'ils ne pourraient jamais s'entendre. La société a des maladies incurables. Que choisir : le réel, le possible, la perfection ? Pouvoir, savoir, espoir ? Il ne suffit pas d'écrire, il faut écrire vrai. La différence de Claire Lise Charbonnier. Ces scènes de la vie quotidienne veulent présenter, sur un mode ludique, et en associant le public à la représentation à travers l'introduction de chansons dont l'air est connu de tous, un certain nombre de situations où la façon de traiter les individus n'est malheureusement pas la même, que ce soit suivant leur couleur de peau, leur provenance, leur handicap physique, etc. Réagissons, en théâtre et en chansons! Le tueur de Venise de Jean Manuel Florensa est une comédie dramatique où le drame côtoie l'humour et où le trivial surgit dans les situations les plus délicates. Sous le soleil de la Côte d'Azur, avec sa femme Hortensia, Toni tient une gargote au nom racoleur de " Venise ". Brice, jeune homme au chômage, accepte de travailler au noir. Ostensoire, un transsexuel aux biceps de poids lourds, en tombe follement amoureux(se). Sous le clinquant d'une comédie à la Pagnol, se cache un réquisitoire impitoyable contre les sociétés d'abondance. Tout tourne au drame car " le coeur des fils des hommes est bourré de méchanceté. " La comédie se termine sur la tuerie des " hypocrites, faussaires, détourneurs de fonds, traîtres, corrompus, courtisans lécheurs de bottes et de cul, couards et les tièdes ". Humour acide, rage, émotion et poésie. " Aux armes, citoyens ! ". "Ce soir, avec Sirèna ", l'émission de la générosité et du don de soi, nous fait découvrir dans pôkomeu de Michel Gendarme un monde inconnu dans lequel des êtres souvent mal aimés tentent de survivre. Des êtres extraordinaires qui, malgré leurs différences, recèlent des trésors de bonté et de tolérance. Et pourtant, ces femmes et ces hommes voudraient, Mesdames et Messieurs, vivre simplement comme vous et moi. Paroles d'hommes de Marwil Huguet: trois monologues croisés qui fonctionnent de la même manière que ceux de la pièce Un amour de femmes (l'Embarcadère éditions). Ils sont en quelque sorte la réponse du "berger à la bergère", mais il n'est cependant pas nécessaire d'avoir lu ou vu l'autre pièce car ces monologues fonctionnent de façon parfaitement autonome.Trois hommes de trois générations différentes s'expriment à propos de leur vie amoureuse dans un contexte particulier à chacun : les années 1940 pour le premier, la période 68 pour le deuxième, les années 1980 pour le troisième. Destins de rue de Philippe Vintejoux se demande que peut, que doit faire un écrivain face aux drames de la vie sociale et sentimentale d'inconnus qu'il croise ? Ce chômeur qui perd jusqu'à son identité, ces deux femmes qui s'aiment jusqu'à la tragédie, ces deux amis dont la galère abolit la couleur de peau ? Leur offrir l'impossible : qu'ils s'emparent de la scène et jouent de leur propre destin. Ces personnages portent en eux les mythes de l'humanité derrière le fait divers.

07/2007

ActuaLitté

Histoires à écouter

9 histoires pour mes 9 ans. Avec 1 CD audio MP3

9 histoires pour rêver et frissonner et un CD pour chanter, danser et faire la fête !

03/2023

ActuaLitté

Manga

Collection Yaoi Pack N° 24. 5 mangas

Ce pack manga contient : Days of Mimura et Katagiri (160 pages - Volume : 2 / 2) : En couple depuis quinze ans, Mimura et Katagiri vivent comme un vieux couple marié et leur amour et leur activité sexuelle ne s'étaient pas aussi bien portés depuis longtemps.Une fois passé le cap de la treintaine, toutes leurs connaissances se hâtent pour se trouver quelqu'un et se marier. D'ailleurs aujourd'hui encore, un ami vient de les appeler pour les inviter à son mariage. Comme d'habitude, ils décident de s'y rendre tous les deux, mais... Katagiri est un peu étrange. Il demande de la poitrine de dinde et du tofu froid pour le repas, fait de l'exercice tous les soirs, et finit même par dire " j'avais envie d'être un peu plus classe ".... Il n'aurait quand même pas l'intention de maigrir pour avoir du succès et se trouver une femme à marier... ! ? Touch and Love (176 pages - Volume : One Shot) : " Je suis amoureux... de ta nuque ! "Hidé est un fétichiste des nuques, et plus particulièrement de celle de Kôki, qu'il connaît depuis le lycée. Lorsque Kôki, amoureux de Hidé, découvre les penchants de son ami, il accepte de s'y prêter, persuadé que ça vaut mieux que rien , mais la situation ne tarde pas à se compliquer, et Kôki réalise petit à petit que ce n'était pas forcément la meilleure solution pour se rapprocher de lui...Lunch with You (160 pages - Volume : One Shot) : Eisuke, qui est à la fois mon ami d'enfance et mon petit ami, aime prendre soin de moi et me prépare un bentô tous les jours. J'apprécie beaucoup l'attention, mais tout ça est finalement devenu si ordinaire pour moi que je n'arrive plus à lui exprimer sincèrement mes sentiments. Pourtant un jour, je l'ai vu donner un bentô à une fille, alors qu'il avait dit " mes bentô sont réservés à Ryô-chan ". En plus, il ne répond même plus au téléphone. Qu'attend-il de moi... ? Le premier amour du Bad Boy ! (176 pages - Volume : One Shot) : Futaba, qui a trente-six ans mais qui est loin de les paraître, assiste à un repas d'anciens élèves de son lycée, où il espère revoir Ono, un camarade de classe qu'il admirait en secret à l'époque, et qui a depuis connu le succès et la richesse à Tôkyô. Alors, lorsqu'Ono apparaît et lui adresse la parole, il n'ose déjà pas le croire , mais quand, par-dessus le marché, Ono lui demande de lui rendre un petit service en acceptant de le loger, lui et son fils, pendant deux semaines, Futaba a l'impression de vivre un rêve éveillé. Mais les intentions d'Ono ne sont peut-être pas aussi pures que Futaba ne l'imagine... Et s'il cherchait simplement à profiter de la gentillesse et de la candeur de son ancien camarade de classe...? How do you like cherry Boy ? (176 pages - Volume : One Shot) : Kentarô, qui travaille dans la société de construction créée par son père, fait la rencontre de Kawada, un salary-man envoyé par son entreprise sur le lieu des travaux afin d'en superviser l'avancement. Le nouvel arrivant s'attire très tôt l'antipathie de ses nouveaux collègues par son côté froid et ses remarques désagréables, mais un jour, Kentarô découvre par hasard que Kawada, malgré ses grands airs, est encore puceau ! Dans un élan de bonté, il décide de l'aider à passer à l'étape supérieure en lui présentant des filles, mais Kawada semble plus intéressé par Kentarô lui-même...

03/2015

ActuaLitté

Littérature française

Idées de la nuit. Suivi de L'Homme-Balai

Idées de la nuit poursuit, dans sa forme quasi nietzschéenne, faite de courts chapitres qui sont autant de poèmes en prose, le chemin ouvert par Traité des sirènes, paru il y a deux ans au Bruit du temps. Mais, si la musique n'est pas absente du présent livre, avec des chapitres comme "Le chant dehors" , ou "La cigale" , la réflexion porte ici, de manière plus générale, sur la poésie, le fait poétique de la lumière : comment cette "autre clarté" qui, chez Hölderlin est donnée au poète mais qui, pour Philippe Beck semble dans le tunnel de l'époque sans cesse rejetée, et devant donc être tout aussi inlassablement cherchée, gagnée sur l'obscurité. Tout le livre peut apparaître comme une suite de variations sur ce thème des relations du clair et de l'obscur, de la poésie et de la nuit ; en même temps qu'il propose une sorte de panorama de ce thème poético-philosophique, de Platon ("La fin de la caverne") aux romantiques ("Le goût pour la nuit, une bizarrerie") et jusqu'à Mandelstam ("Projet de suppression de la lune"). Mais il y a surtout, dans ces pages, une tentative de créer une sorte de nouvelle cosmogonie, une "phénoménologie spéculative frottée de réel" , pour reprendre les mots que lui-même utilise pour définir l'oeuvre de Merleau-Ponty. Et cela afin de décrire de manière absolument inédite le monde, l'homme, l'origine de la pensée, en n'hésitant pas à convoquer les "tournoiements intuitifs" de l'étonnant Jean-Pierre Brisset (dont on doit la redécouverte à l'Anthologie de l'humour noir d'André Breton). Philippe Beck affirme ici une fois de plus son refus de la nuit pure de l'idéalisme platonicien, sa volonté de décrire notre condition d'hommes reliés par les paroles et les pensées, et plaide pour le poète chercheur qui fait danser les idées ou joue le rôle de l'éclaireur, sachant que ce monde-ci détient tous les secrets qu'il exprime. L'homme-balai, le deuxième livre de ce recueil est comme une mise en application pratique de cette ambition proclamée. Dans ce Journal de "non confinement" (parce qu'il ne s'agit en rien d'un journal intime mais de paroles non-cloisonnées, toujours adressées à un autre que soi) tenu quotidiennement en 2020, Philippe Beck tente de comprendre le sens de l'expérience que fut ce "moment de césure évidente" et de contrainte sédentaire. Il analyse en philosophe et en poète les éléments qui ont été le propre de ces journées - les applaudissements aux soignants ("La parole des mains"), le masque ("La rareté masquée"), etc. Un tel regard, sans cesse nourri de citations merveilleusement appropriées, se révèle particulièrement réjouissant et éclairant lorsque, au coeur du livre, Beck pousse à son terme l'idée de Swift voyant dans ses contemporains affublés de perruque des hommes-balais et montre que l'homme pollueur d'aujourd'hui, soulevant lui-même une poussière qu'il peine à effacer, est en réalité à l'inverse du sympathique balai "rendant propre en étant sale lui-même et aidant à nourrir le feu" . Ou lorsque, moderne La Fontaine, il convoque pour décrire le monde dans lequel nous vivons "des animaux respectés et réels (non idéalisés), exactement comme aux fables" . Philippe Beck, tout au long de ces pages, ne cesse de mobiliser une armée de métaphores, seules armes selon lui capables de former "une santé, une force de découpe dans les douleurs, pour aider à montrer les yeux différents qui regardent des choses prochaines" . En réponse aux "extrêmophiles" , il ose opposer la bonté profonde du poète qui "crée de nouvelles images actives" .

03/2023

ActuaLitté

Histoire internationale

Palestine-Israël et les violations du droit international

Depuis huit siècles, un personnage fascine quantité de chrétiens, d'athées et d'agnostiques, voire même de quelques musulmans non fanatiques : Jean-François Bernardone, plus connu sous l'appellation de François d'Assise. L'on a tenté de replacer cette vie exceptionnelle dans son contexte historique et théologique. François a vécu 44 années, situées à la jonction des XII° et XI IIe siècles, dans l'Italie du centre, ravagée par les guerres entre cités rivales et le conflit de très longue durée opposant papes et empereurs pour la domination territoriale du pays. En cette époque d'enrichissement indéniable de la société urbaine, grâce à la mise en chantier de multiples bâtiments, grâce à l'artisanat textile et au négoce en Europe occidentale, les meilleurs des chrétiens aspirent à un genre de vie austère, proche de cette pauvreté évangélique dont on parle tant, alors. C'est aussi la grande époque des illuminés qui annoncent l'imminence de la manifestation de l'Antichrist tant attendu, car il doit précéder le retour glorieux du Fils de Dieu, cette Parousie que tous les chrétiens attendent depuis la mort de Jésus de Nazareth (et, en tant que prédécesseur, l'Antichrist est aussi l'Antéchrist). C'est enfin la période des 3e, 4e et 5e Croisades, François participant à sa façon, pleine de noblesse et de bonté, à la 5e. S'il ne reçoit pas "la palme du martyre", qu'il cherchait peut-être, il contracte, en Egypte ou en Terre Sainte, la maladie qui hâtera sa mort. L'on propose une explication médicale inédite aux "stigmates", qui s'intègrent si bien aux manifestations pathologiques multi-viscérales de l'implacable mal de François. Durant les six dernières années de sa vie, François a joyeusement enduré les tourments de la maladie et la tristesse de voir l'Ordre qu'il avait fondé s'éloigner petit-à-petit de l'idéal de pauvreté, d'humilité, de foi naïve et de pratique de la charité, un idéal jugé inaccessible au commun des mortels par des souverains pontifes à la fois admiratifs du personnage et sceptiques quant aux possibilités de descendance spirituelle, sauf à modifier, en l'adoucissant, le Règle de vie instaurée par François. Il demeurera, aussi longtemps qu'il existera des êtres humains, le poète lyrique de l'agapè, cet amour de l'homme pour son créateur supposé et pour l'ensemble du monde animal. "L'humanité n'a pas d'avenir si un Etat, quel qu'il soit, parce qu'il dispose de la puissance militaire, peut en toute impunité commettre des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité et dénier les droits fondamentaux d'un peuple souverain. C'est pour ces raisons qu'une commission internationale d'urgence lancée par l'ONU doit pouvoir enquêter sur d'éventuels crimes de guerre commis par l'armée israélienne, avec pour objet principal de répondre à cette question fondamentale : le gouvernement israélien a-t-il commis des crimes de guerre et des crimes contre l'humanité contre la population civile palestinienne ? Et de la même manière, répondre à la question suivante : le Hamas a-t-il commis des crimes de guerre contre la population civile israélienne ?" Par-delà les images et discours médiatiques, Nasser Zammit dissèque dans cet essai la manière dont l'Etat d'Israël agit sur la bande de Gaza et sa population. Une analyse qui passe par la description des opérations militaires dévastatrices qui s'y déroulent, mais aussi, plus largement, par l'observation de la politique israélienne de blocus, de colonisation et d'oppression exercée contre les Palestiniens. Et le constat de s'avérer accablant, amenant à s'interroger sur la légalité et, nécessairement, sur la criminalité de ces actions, sur la disproportion des moyens employés, sur les véritables objectifs du gouvernement israélien... Situé au plus près de l'actualité, ce texte est un vibrant plaidoyer pour la paix, tout en affirmant que la seule solution de long terme ne saurait être strictement sécuritaire et militaire, mais politique. Cet ouvrage est un cri d'alarme et une invitation à agir adressés à chacun de nous.

12/2014

ActuaLitté

Livres 3 ans et +

La belle au bois dormant

Il était une fois un roi et une reine qui rêvaient d'avoir un enfant. Lorsque la reine mit au monde une fille, une grande fête fut organisée en son honneur. Mais une méchante fée lui jeta un mauvais sort et lui prédit qu'elle mourrait en se piquant le doigt sur un rouet. Heureusement, une bonne fée changea le sortilège : "La jeune princesse ne mourra pas mais s'endormira pour cent ans". Bien des années plus tard, la prophétie se réalisa, et la princesse plongea dans un profond sommeil. Mais quand, au bout de cent ans, un prince se présenta au château, il découvrit la jeune princesse aux yeux clos. Il la trouva si belle qu'il lui donna un baiser. La belle se réveilla, le prince l'épousa, et ils vécurent heureux...

ActuaLitté

Non classé

Runes Améthyste - lot de 25 dans pochette suédine

L'Améthyste, qui est un Quartz violet, est une pierre qui était très utilisée dans la magie ancienne. Mais elle est peut être aussi populaire aujourd'hui qu'elle ne l'était il y a deux milles ans. Placée sous l'oreiller ou portée sur soi pendant la nuit, l'Améthyste chasse l'insomnie et les cauchemars. Elle produit un sommeil paisible, ainsi que des rêves agréables, guérisseurs voire même parfois prophétiques, mais elle permet aussi à celui qui la porte de ne pas trop dormir non plus. L'Améthyste est une pierre spirituelle, sans effets négatifs, c'est d'ailleurs la pierre de la paix. Lorsque le stress de la vie de tous les jours vous assaille, serrez une Améthyste dans votre main gauche (si vous êtes droitier, droite si vous êtes gaucher), et laissez ses vibrations destressantes, calmantes et apaisantes pénétrer en vous. Ou mieux encore, portez de l'Améthyste de telle façon qu'elle touche votre peau, et cela vous permettra d'éviter d'entrer dans des états de stress trop violents. L'Améthyste calme les peurs, augmente l'espoir, élève l'esprit et facilite les pensées spirituelles dans la vie de tous les jours. Portée sur soi, elle protège de la culpabilité et de l'auto-dépréciation, elle aide à surmonter les addictions comme l'alcoolisme, à freiner la trop grande indulgence et améliore le bon jugement. De façon générale l'Améthyste calme tous types "d'orages" émotionnels. L'Améthyste confère aussi du courage à celui qui la porte, et c'est une amulette puissante pour les voyageurs. Portée sur soi elle protège des voleurs, des coups, de la maladie et du danger. Dans la magie de la Renaissance, les améthystes sur lesquelles était gravée l'image d'un ours étaient portées comme amulettes de protection. A l'époque Gréco-romaine des anneaux d'améthystes sertis dans du bronze étaient portés en tant que charmes contre le mal, et des coupes magiques taillées dans de l'améthyste étaient censées bannir la tristesse et le mal de tous ceux qui buvaient dedans. Du fait que c'est une pierre hautement spirituelle, l'Améthyste est souvent portée durant la méditation, ou placée sur de simples autels de contemplation. D'ailleurs quelques Améthystes placées devant une chandelle blanche et un encensoir dans lequel brûle un encens de haute vibration (comme le bois de santal), aide aux pratiques de méditation. L'Améthyste est aussi utilisée pour amplifier l'éveil psychique et pour aiguiser le 6ème sens. Certains placent une Améthyste avec leurs cartes de tarot, leurs pièces ou leurs bâtons de I Ching, ou leurs runes pour accroître leurs énergies internes. Elle est aussi , naturellement, portée lors d'actions psychiques ou divinatoires. L'Améthyste étant aussi une pierre de sagesse, elle permet à l'information reçue à travers le moi psychique d'être utilisée de façon adéquate. Cette pierre aiguise aussi l'esprit conscient, accélère les capacités de réflexion et développe les pouvoirs psychiques. Elle est utilisée pour améliorer la mémoire, pour soigner les maux de tête, et pour maintenir ses pensées dans l'axe des buts que nous nous sommes fixés dans notre vie. L'Améthyste est aussi une pierre d'amour pur, et elle est souvent échangée entre amants pour renforcer leur couple. C'est aussi une pierre que les hommes peuvent utiliser pour attirer à eux les femmes. Bien que l'on pense souvent que c'est une pierre de chasteté, cela n'est qu'une conception récente issue des siècles passés où l'amour idéal était platonique. Aujourd'hui de plus en plus de gens voient le sexe comme quelque chose de naturel, et cette conception tombe en désuétude. L'Améthyste est aussi utilisée par ceux qui sont en procès, afin de s'assurer que le bon droit sera respecté. Enfin, elle est utilisée en magie de prospérité, et on a longtemps cru qu'elle apportait le succès en affaires, peut être à cause de sa correspondance Jupitérienne. Interprétation divinatoire : Dans un tirage divinatoire par les pierres, l'Améthyste désigne une personne très portée sur la spiritualité, une personne qui se tourne vers la spiritualité, ou une personne très pieuse qui montre sa foi sous forme d'altruisme profond. Il peut s'agir d'un membre du clergé, d'un enseignant ou d'un guérisseur. Elle peut aussi signifier la perte de repères dans la réalité, la fuite en avant, l'usage de drogues, les excès, l'isolement, le despotisme et le manque de discernement.

03/2005

ActuaLitté

Autres collections (9 à 12 ans

Le livre de la jungle

Mowgli, la "grenouille" , un bébé perdu dans la jungle lors d'une attaque du lâche Shere Khan, est recueilli par une meute de loups. Passant son enfance parmi les animaux, il apprend la loi de la jungle avec l'ours Baloo, la panthère Bagheera et sa mère-louve Rashka qui l'a arraché aux griffes de Shere Khan. Dans ce milieu hostile, la vie est une lutte, et il doit affronter de nombreux ennemis. Le peuple des singes, d'abord, qui le kidnappe par les airs après une dispute avec Baloo, et dont il sera sauvé grâce à une alliance avec le grand serpent Kaa... Et surtout, le vieux tigre boiteux et revanchard qui a juré sa perte, depuis son humiliation par les loups. Mais Mowgli saura, avec ses amis, faire preuve d'ingéniosité !

ActuaLitté

Poésie

Les lettres du jardin

"Les Lettres du jardin" est le premier titre d'une nouvelle collection (Les lettres de...) inspirée par la structure linguistique des langues sémitiques : en arabe (comme en hébreu), la plupart des mots ont pour origine trois sons, une racine qui se retrouve dans tous les mots d'une même famille. A partir de cette racine se fabriquent des mots selon des schèmes, en rajoutant des lettres avant, après, au milieu, de nouveaux sons. Comme un motif musical autour duquel on brode. Comme une formule qui se complexifie. Parfois, la racine est très claire, très simple : par exemple, la racine K-T-B rassemble dans une même famille tous les noms et verbe liés à l'écriture et l'on voit bien le lien entre un livre - kitâb, un écrivain - kâtib, un bureau - maktab, le destin (ce qui est écrit) - maktoub et le verbe d'écrire - kataba. Mais d'autres fois, on se demande ce qui peut bien avoir fait pousser ces mots dans le même champ, dans la même famille, à partir de la même racine tant leur sens semble à prime écoute éloigné. Par exemple : La racine Ha-L-M rassemble dans une même famille les mots rêve - holm, apaisement, bonté - hilm, puberté - ihtilâm, papilles gustatives - halama et téton du sein - houlayma. La racine CH-'-R rassemble dans une même famille les mots sentiments - chou'our, les 5 sens - macha'ir, cheveux - cha'r, poésie - chi'r et petites pâtes en cheveux d'ange - cha'riya. Certaines racines sont moins drôles, mais tout aussi poétiques. Par exemple, la racine H-D-D rassemble dans une même famille les mots frontières - houdoud, forgeron - haddad, fer - hadid, amertume - hidda et deuil - hidad. Le jeu est infini... Le jeu et l'enjeu de la collection Racines est d'explorer celles qui nous surprennent, en proposant un champ de mots linguistiquement de la même famille, sémantiquement étrangement ensemble, comme point de départ d'une écriture poétique et graphique. ------------------- En pratique, nous donnons une liste de mots d'une même famille à un. e poète : il. elle écrit deux poèmes en utilisant, autant que possible, les mots de cette famille. Le poème peut jouer sur les mots, chercher la truculence linguistique et le rythme, se rapprocher de la comptine. Ou au contraire, explorer le fonds et le sens, questionner le lien sémantique entre ces mots. Nous donnons cette même liste à un. e illustrateur. trice : il. elle propose huit illustrations + trois motifs pour la couverture en cherchant un principe graphique ludique faisant écho aux mots. Cette nouvelle collection est donc basée sur le jeu et l'apprentissage linguistique. Chaque livre est composé de : - une couverture avec rabat, à l'intérieur de laquelle on retrouve l'alphabet arabe et des consignes prononciation / l'alphabet français et des consignes de prononciation (à compléter dans la maquette présentée ici) / la racine et son champ de mots, placés dans le rabat, qu'on peut garder ouvert pendant qu'on lit le livre afin de se rappeler du champ de mots. - deux pages de poèmes, qui ouvrent le livre de chaque côté et accueillent le lecteur, dans l'une et l'autre langue. - huit pages d'illustration : deux accompagnent les poèmes, six sont pensées comme des cartes de jeu (ou de Tarot) et associent une illustration et un mot (avec sa prononciation dans les deux langues). - une affiche centrale : attachée au centre du livre (avec deux points métal), elle peut facilement être détachée et accrochée au mur d'une chambre ou d'une classe pour garder en mémoire les mots et leur prononciation. Chaque livre sera accompagné d'un jeu de cartes (vendu séparément) composé de cartes reprenant les mots illustrations du livre + cartes de jeu d'écriture et de calligraphie. Nous réaliserons la version sonore du livre, gratuite en libre accès sur notre site, pour accompagner la sortie de chaque titre. ------------------- Les lettres du jardin explorent la racine J-N-N, l'une des plus jolies ! Qui nous a parue évidente pour ouvrir joyeusement la collection. Elle rassemble dans une même famille les mots jardin - junayna, paradis - janna, fou - majnoun, djinn ou esprit malin - djinn et le bébé dans la ventre de sa mère - janine. Layla Zarqa s'est emparée des mots de façon très ludique. Son principe d'écriture était de créer des étiquettes pour chaque mot et de les assembler, les combiner, les déplacer à souhait jusqu'à entendre sonner le poème. Clothilde Staës a créé des tampons, des formes en linogravure et comme Layla Zarqa avec les mots, elle joué et cherché le sens de chaque mot en image.

03/2023

ActuaLitté

Littérature française

Le livre de la jungle

Un petit d'homme est retrouvé dans la forêt par les loups, qui se réunissent et décident d'élever celui qu'ils appelleront Mowgli. Mais un jour, sous l'influence du tigre Shere Khan qui cherche à le tuer, les animaux somment l'enfant de retourner parmi les humains. Heureusement, Mowgli pourra compter sur l'amitié et la sagesse de l'ours Baloo et de la panthère Bagheera, qui vont l'aider à survivre et à s'affirmer. Avec ses illustrations poétiques réalisées au crayon de couleur et au pastel, Andrea Serio propose une réinterprétation magistrale de ce classique de la littérature britannique.

11/2023