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Hélène Weber

Extraits

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Science-fiction

Le cycle d'Ardalia Tome 3 : Les Flammes de l'Immolé

La grande traque avait commencé, et les hevelens étaient le gibier. Quand se conclurait-elle ? Et comment ? Impossible de le prédire. La conclusion tant attendue de la trilogie Ardalia L'armée de Malia vaincue, les forces de la Destruction font le siège de la Porte des Canyons et se répandent dans les Steppes Venteuses. Pour chaque enfant du vent ou de l'eau capturé et précipité dans la Grande Déchirure, c'est un nylev, un être de feu qui naît. Pelmen, Laneth, Lominan et Elisan-Finella doivent convaincre les krongos de se joindre à leur lutte désespérée. Mais les êtres de pierre ne sont qu'une poignée, et plus rien n'entrave Valshhyk, l'Immolé... Les Flammes de l'Immolé est le troisième et dernier tome du cycle d'Ardalia, roman de science-fantasy. Ce qu'ils en disent "Nous avions oublié que nous avions sous les yeux le meilleur roman de fantasy autopublié de ces dernières années. Personnages on ne peut plus attachants, rythme narratif soutenu, rebondissements à foison, on est (re)conquis dès la cinquantième page, à nouveau embarqué corps et biens dans le monde d'Ardalia. On repart suivre le vent ou reprendre des forces dans les bassins d'eau turquoise, comme dans les précédents opus. En y ajoutant une pincée de magie de la terre". Pentalaimon - Les Chroniques de l'Imaginaire "Beaucoup, beaucoup de péripéties et de retournements de situation inattendus qui ne faiblissent pas tout au long d'un peu plus de cinq cent pages". Hélène - Les Vagabonds du Rêve "Ce que j'ai vraiment aimé dans ce tome, et ce cycle, c'est que nous restons plongés dans l'histoire du début à la fin. Il est très difficile de décrocher avant d'avoir terminé et c'est très plaisant. Et encore une fois, c'est écrit avec une grande simplicité qui n'est pas là pour nous déplaire, bien au contraire ! "Flynn- Flynn SFFF

05/2013

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Ethnologie

Du point de vue de l'ethnicité. Pratiques françaises

Depuis une vingtaine d’années, les discussions tantôt politiques, tantôt scientifiques autour du « modèle républicain français d’intégration » témoignent implicitement d’un malaise face à cette question, tout en l’occultant dans la pratique. Finalement, ce qui pose problème aujourd’hui n’est pas tant le principe d’égalité des droits que la difficulté contemporaine à l’assurer dans la réalité. Crise économique, chômage, ségrégation urbaine associée à une répartition territoriale des inégalités sociales, ou encore la manière dont la xénophobie se banalise dans le discours politique sont quelques-uns des facteurs qui ont fait apparaître des pratiques et discours discriminatoires où « la culture d’origine » est souvent surinvestie et appréhendée de manière négative. Aussi la question de l’« ethnicité » réduite à sa dimension politique étatico-nationale a-t-elle pour effet de limiter la compréhension des réalités quotidiennes associées aux situations hiérarchisées dans lesquelles se jouent des relations interethniques. Plutôt que de s’intéresser aux prétendus « problèmes » que pose l’immigration, anthropologues, géographes, sociologues, mais aussi un juriste, une psychosociologue, un documentariste et un économiste ont choisi dans cet ouvrage d’interroger les enjeux auxquels ceux-ci renvoient. Au fond, il s’agit de considérer que la « différence » des populations nommées « immigrées », « deuxième génération », « gens du voyage », existe peu en tant que telle, qu’elle est le résultat de rapports sociaux sociologiquement et historiquement construits entre différents acteurs, et inscrits à un moment donné. Chantal Crenn est maître de conférences en anthropologie à l’université Michel-de- Montaigne Bordeaux III, IUT Département « Carrières sociales » et chercheure à l’UMI 3189 ESS-CNRS-Bamako / Dakar / Ouagadougou / Marseille. Laurence Kotobi est maître de conférences en anthropologie au Département d’Ethnologie et d’Anthropologie sociale de l’université Bordeaux-Segalen et chercheure à l’UMR 5185-ADES-CNRS / université Bordeaux-Segalen. Avec les contributions d’Hélène Bertheleu, Bernard Chérubini, Henri Courau, Dominique Crozat, Denys Cuche, Angélina Etiemble, Mohamad Fazani, Zahia Kessar, Gaëlla Loiseau, Abdourahmane Ndiaye, Dragoss Ouedraogo, Yves Raibaud, Claire Schiff et Maryse Tripier.

02/2012

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Histoire de France

Savary. Le séide de Napoléon

" Si l'Empereur lui disait de vous tuer, il vous prendrait tendrement la main et vous dirait : je suis au désespoir de vous envoyer dans l'autre monde, l'Empereur le veut ainsi. " Tel est le portrait du général Anne Jean Marie René Savary, duc de Rovigo (1774-1833), qu'a dressé l'un de ses contemporains et que l'intéressé n'a pas vraiment désavoué, se qualifiant lui-même, dans ses Mémoires, de " séide de Napoléon ". Des fossés de Vincennes où il organisa l'exécution du duc d'Enghien aux salons du ministère de la Police où il remplaça Fouché en 1810, en passant par le guet-apens de Bayonne, la répression impitoyable en Espagne ou la détention du pape, il fut en effet associé aux actions les plus controversées du régime napoléonien. La duchesse d'Abrantès, Germaine de Staël, Chateaubriand, Stendhal l'ont sévèrement jugé, sans même parler de la haine que lui vouèrent ses adversaires politiques (Fouché, Pasquier, etc.). Même Napoléon " exécuta ", à Sainte-Hélène, celui qui l'avait si bien servi en jugeant que, si on le laissait faire, il mettrait bientôt le feu à la France. Rares furent ceux qui, comme l'ultra-royaliste Joseph de Maistre, avouèrent avoir décelé en lui un " homme d'esprit et plein d'intelligence ". Si bien qu'ont été négligés les autres aspects de sa carrière : actions d'éclat dans les armées révolutionnaires, capacités exceptionnelles dans ses fonctions d'aide de camp de Napoléon, commandements réussis pendant les campagnes d'Allemagne et de Pologne, missions diplomatiques, réorganisation du ministère et de l'action de la police, sans parler même de ses qualités d'homme privé. Loin de réhabiliter cet homme dur et sans scrupule, qui s'illustra encore à la fin de sa vie par sa cruauté en Algérie, Thierry Lentz le restitue, à la lumière de nombreux documents inédits, dans sa totalité, et notamment en ce qu'il a servi de bouc émissaire commode et de paravent à Napoléon, devant ses contemporains comme devant la postérité.

11/2001

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Histoire de France

Nouvelle histoire du Premier Empire. Tome 4, Les Cent-Jours 1815

Sous l'angle politique, diplomatique ou militaire, le système napoléonien a cessé de vivre avec l'abdication de 1814 et l'installation aux Tuileries du frère de Louis XVI. Aussi, le long récit historique de Thierry Lentz aurait-il pu se clore sur ces événements, les Cent-Jours n'étant que le bégaiement d'années fécondes, tantôt glorieuses, tantôt décevantes, de la conquête de l'Europe à l'effondrement. La France n'est-elle pas désormais dépouillée de presque toutes ses conquêtes ? Ses institutions ne sont-elles pas en cours d'adaptation à un modèle dont les réminiscences de l'Ancien Régime ne sont pas absentes ? Pourtant, la mémoire de Napoléon ne serait pas la même s'il n'avait pas eu l'audace de vouloir inverser le cours des choses : ce furent le " miracle " du retour de l'île d'Elbe, les Cent-Jours et Waterloo. L'historien doit observer qu'il n'y a rien de commun entre ces trois mois de 1815 et les quinze années précédentes. Le revenant de l'île d'Elbe a perdu la main. Il multiplie les erreurs dans le choix des hommes et les imprudences politiques. Il s'entoure d'un personnel fatigué ou bien de ses pires ennemis, sans compter l'appel à des intellectuels en manque de prestige. Il subit aussi des trahisons que ne compensent pas certains ralliements, tandis qu'à Vienne les puissances poursuivent la reconstruction d'une Europe dans laquelle il n'a plus sa place. Le salut du régime ne tient plus qu'au savoir-faire guerrier du vainqueur d'Austerlitz. Mais l'Empire succombe dans une " morne plaine ", aux portes de Bruxelles, avant de recevoir l'estocade devant les Chambres. La paix signée avec les vainqueurs sera terrible. Il faudra la réécriture de l'histoire à Sainte-Hélène, l'envol de la légende et que, les années passant, " la France s'ennuie ", comme devait dire Lamartine, pour que les Cent-Jours soient oubliés, pardonnés, puis magnifiés.

04/2010

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Décoration

UAM. Union des artistes modernes

En 1929 naquit l'Union des Artistes Modernes qui élevèrent les arts décoratifs au rang d'un art à part entière. Ce livre retrace, l'histoire de ce mouvement. La seconde partie propose 70 biographies illustrées des principaux membres de l'U.A.M : Herbst, Fouquet, Templier, Sonia Delaunay, Jourdain, Mallet Stevens, Puiforcat, Chareau, Cassandre, Pierrand, Prouvé, etc... Dès la fin des années 20, un grand nombre de créateurs – meubliers, architectes, joailliers, orfèvres, graphistes, peintres, designers, - se regroupèrent en une association dont les principes furent clairement énoncés. En effet, en but aux critiques, de tous ceux qui redoutaient leur modernité qui aujourd'hui encore décide de notre environnement, face à l'incohérence des salons officiels, la décision fut prise de former un groupe composé "d'artistes créateurs en sympathie de tendance et d'esprit, non pas chapelle ou cénacle, mais individualités fortes et parmi les meilleurs de notre temps, pratiquant le jeu d'équipe". Ainsi naquit, en 1929, l'Union des Artistes Modernes qui, de 1930 à 1937, élevèrent les arts décoratifs au rang d'un art à part entière. Après la guerre, René Herbst regroupa les membres dispersés de cette association, de nouvelles conceptions guidèrent alors leurs créations exposées au Salon des Arts Ménagers sous le titre "Formes Utiles". Ce livre richement iconographié retrace, pour la première fois l'histoire de ce mouvement, en particulier à travers les expositions auxquelles ils ont participé. La seconde partie de cet ouvrage propose 70 biographies illustrées des principaux membres de l'U.A.M., dont le simple énumération suffit à démontrer sont importance : René Herbst, Gérard Sandoz, Jean Fouquet, Raymond Templier, Hélène Henry, Sonia Delaunay, Francis Jourdain, Bob Mallet Stevens, Jean Puiforcat, Pierre Chareau, Cassandre, Gustave Miklos, Charlotte Pierrand, Jean Prouvé, Louis Sognot, Charlotte Alix, Joseph Casky, etc... En annexe, seront reproduits de nombreux documents d'époque : descriptifs des expositions, compte-rendu de séances, correspondances, etc...

06/2018

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Violence

Violences sexuelles. En finir avec l'impunité

Les violences sexuelles sont un phénomène de très grande ampleur dont la reconnaissance par les pouvoirs publics et la société dans son ensemble n'en est qu'à ses balbutiements. L'écart est encore immense entre les faits de violences sexuelles et les condamnations des agresseurs. Il n'est pas excessif de considérer que cela constitue un système d'impunité pour les agresseurs. L'objectif de ce livre est de mieux comprendre les différentes formes de violences sexuelles (viol et agression sexuelle, prostitution, violences au travail, mutilations sexuelles féminines, inceste) et leur impact sur les victimes afin de promouvoir des pratiques professionnelles protectrices. Pour cela il était nécessaire de faire appel aux professionnels les plus reconnus dans leurs différents champs de compétence. François Molins : procureur de la République près le tribunal de grande instance de Paris. Marie-France Casalis : conseillère technique à la délégation régionale aux droits des femmes et à l'égalité d'Ile-de-France. Emmanuelle Piet : médecin de Protection maternelle et infantile (PMI) en Seine-Saint-Denis, présidente du Collectif féministe contre le viol (CFCV), dont l'action a permis de faire évoluer la loi sur le sujet. Membre du Haut conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes. Marilyn Baldeck : déléguée générale de l'AVFT (Association européenne contre les violences faites aux femmes au travail). Hélène de Rugy : déléguée Générale l'Amicale du Nid. Stéphanie Caradec : directrice du Mouvement du Nid-France. R. Job : psychologue formateur au centre de formation de la Gendarmerie nationale. Anne Soussy : cheffe de service de l'Unité Médico-Judiciaire (UMJ) de l'Hôpital intercommunal de Créteil. Patrick Poirret : 1er avocat général à la Cour de cassation. Christine Gilles : gynécologue, cheffe du service de Gynécologie-Obstétrique (Bruxelles). Olivier Christen : Procureur de la République adjoint au tribunal de grande instance de Paris. Cécile Pudebat : avocate en droit social, membre du Conseil d'administration de l'association FIT, une femme un toit, depuis avril 2017. Linda Tromeleue : psychologue clinicienne.

03/2021

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Guerre d'Algérie

Le silence et le bruit

" Mon père n'était pas croyant. Pourquoi ma mère a-t-elle tenu à cet enterrement religieux ? La réponse, je ne tarde pas à la découvrir. Sur la pierre tombale, à côté du nom de mon père, elle a fait graver ces mots : A la mémoire de Mimoun COHEN son père Yvonne COHEN sa mère Colette COHEN sa soeurJean-Jacques SICSIC son beau-frèredisparus en juin 1962 en AlgérieEt de Régine COHEN sa soeurFigés dans le marbre, ils hurlent comme des nouveau-nés. Et moi, j'ai l'impression de me réveiller d'un long coma. Colette, Yvonne, Mimoun, Jean-Jacques. Yvonne, Mimoun, Jean-Jacques, Colette. J'ignorais que mon père avait une soeur, une soeur qui s'appelait Colette. Jusqu'à ce jour, je n'avais jamais entendu parler de mes grands-parents, ils n'avaient pas de noms, pas de visages. Colette, Yvonne, Mimoun, Jean-Jacques. Yvonne, Mimoun, Jean-Jacques, Colette. J'ai beau répéter ces noms comme un mantra, rien ne se passe, ils ne convoquent aucune image, aucun souvenir. Seulement un incommensurable étonnement. Pourquoi ce secret, pourquoi ce silence ? Disparus en Algérie. Qu'est-ce que ça veut dire, disparus ? Qu'est-il arrivé à mes grands-parents, leur fille et leur gendre, là-bas, en Algérie ? " C'est donc lors de l'enterrement de son père qu'Hélène Cohen découvre l'existence en même temps que la disparition d'une partie de sa famille. Juifs algériens, ils sont quatre à être partis et jamais revenus, quelques jours avant la déclaration d'indépendance. Ramenée à elle-même par cette découverte, l'autrice décide de plonger dans les méandres du secret familial et d'interroger les survivants pour enfin comprendre et connaître les disparus. Une enquête poignante au coeur d'un déni familial qui fait écho à l'un des épisodes les moins connus de la guerre d'Algérie : la disparition de plusieurs centaines d'Européens malgré la signature des accords d'Evian.

03/2022

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Littérature française

Coeur de rocker

Façonné par les idéaux et la culture des années 1960, le Québécois Luc Plamondon est l'un des plus grands paroliers de l'histoire de la chanson francophone. Après avoir sillonné l'Europe, l'Afrique du Nord et l'Amérique, et s'être forgé une immense culture musicale, cet amoureux de chanson française et de rock'n roll a mis au point un style propre en jetant des ponts entre ces deux genres. Artisan du succès de la révolutionnaire Diane Dufresne, il accède au sommet de sa popularité à la fin des années 1970 en signant les chansons de l'opéra-rock Starmania, sur des compositions de Michel Berger. Le triomphe du spectacle lance la mode des comédies musicales, un genre qui fait la renommée de l'auteur avec par la suite La Légende de Jimmy puis Notre-Dame de Paris avec Garou, Patrick Fiori et Hélène Ségara. La modernité de ses textes lui permet de mettre dans la lumière les interprètes avec lesquels il collabore : Céline Dion, qu'il fait découvrir au public français, Julien Clerc, à qui il permet de devenir un chanteur populaire, et bien d'autres. Loin de proposer une simple rétrospective de sa carrière, Luc Plamondon revient aussi sur les grandes étapes de sa vie. Un livre qui met en avant ses idéaux - la défense des droits d'auteur, la libre circulation des personnes, la possibilité de s'extraire de son milieu -, sa simplicité en dépit de la réussite, le tout ponctué d'anecdotes et d'expériences exceptionnelles inédites tour à tour bouleversantes ou amusantes sur les figures légendaires de la musique et du spectacle : l'érudition et la délicatesse de David Bowie avant même qu'il explose avec Ziggy Stardust, la passion secrète de Johnny Hallyday, alors en plein régime vapeur, pour les hamburgers ou le récit d'une soirée d'anthologie avec des Rolling Stones particulièrement stone...

11/2023

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Romans noirs

La cité en flammes

Etat du Rhode Island, 1986. Danny Ryan, vingt-neuf ans, est docker. Intelligent, loyal et réservé, il n'a jamais vraiment trouvé sa place au sein du clan des Irlandais, qui règne sur une partie de la ville. Son rêve : fuir loin de cet endroit où il n'a pas d'avenir. Mais lorsque Paulie Moretti, mafieux d'une famille italienne jusque-là amie, s'affiche avec sa nouvelle conquête, Hélène de Troie des temps modernes, Danny est mêlé malgré lui à une guerre sans merci à laquelle il ne peut échapper. Il lui faudra s'imposer enfin et affronter un déchaînement de violence sans précédent pour protéger sa famille, ses amis et la seule patrie qu'il ait jamais connue. Don Winslow livre ici le premier tome d'une trilogie magistrale, transposition des épopées de la littérature antique : la ville de Providence est Troie incendiée par les Grecs, Danny Ryan un héros homérique digne d'Enée. Traduction de l'anglais (Etats-Unis) par Jean Esch. Bio auteur : Don Winslow est l'auteur de 21 best-sellers internationaux, dont Corruption, Savages et L'Hiver de Frankie Machine. Sa trilogie de La Griffe du chien, Cartel et La Frontière est en cours d'adaptation série par la chaîne FX. Il vit aujourd'hui entre la Californie et Rhode Island. " Ce polar magistral, porté par un souffle romanesque puissant, s'inscrit sans l'ombre d'un doute dans la lignée du Parrain. " Philippe Blanchet, Le Figaro Magazine " Don Winslow, tel Virgile en Nouvelle-Angleterre. " Le Monde des livres " Winslow reste le maître incontesté de la guerre. " Le Point, Julia Malaure " Très cut, dépouillée, ultraprécise et dénuée de pathos, l'écriture contribue au fatalisme, passe sans ambages d'une banale scène de la vie quotidienne à l'horreur, du faux plat à la poussée d'adrénaline. " Libération " Avec son passionnant nouveau roman, La Cité en flammes, l'écrivain américain confirme qu'il est l'un des rois du polar... " Rolling Stone

05/2023

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Ouvrages généraux et thématiqu

Histoire des cent jours. Mars-novembre 1815

La première histoire totale de cette période exceptionnelle, accoucheuse de la France moderne. L'histoire des Cent-Jours ne cesse de fasciner, à juste titre. Entre mars et juillet 1815, année sans pareille, la France passe de Louis XVIII à... Louis XVIII, après le spectaculaire retour de Napoléon et le bref gouvernement provisoire dirigé par Joseph Fouché, ancien et futur ministre de la Police. La guerre des légitimités entre l'abeille et le lys se double d'une nouvelle guerre européenne, qui se solde par la terrible débâcle de Waterloo, chant du cygne de la domination française en Europe. Incroyable période, formidables acteurs. Outre Napoléon et Louis XVIII, le lecteur voit notamment passer Talleyrand, Fouché, mais aussi Chateaubriand, Benjamin Constant, les maréchaux Ney et Grouchy, Wellington, Blücher, et tant d'autres illustres ou oubliés. Ce moment exceptionnel a attiré les plus grands écrivains, politiques et historiens, chacun porté par sa sympathie ou sa répulsion pour la geste impériale et sa fin tragique. L'originalité du propos de Charles-Eloi Vial consiste à proposer une première histoire totale, à la fois globale et objective. Outre son sens consommé de la synthèse, il y parvient par le dépouillement de sources nouvelles, en particulier les rapports des préfets et les dépêches diplomatiques. Elles éclairent sous un jour neuf l'état de l'opinion et le jeu des puissances. Sa plume, sobre et inspirée, visite l'ensemble des lieux de l'épopée : Paris, Vienne, l'île d'Elbe, l'actuelle route Napoléon, le refuge de la cour royale en exil à Gand et naturellement la Belgique, sans oublier un large tour dans les provinces systématiquement oubliées. Enfin, l'ouvrage revient largement sur le dénouement extraordinaire de ce drame, avec ces seconds Cent-Jours qui voient Napoléon partir vers Sainte-Hélène, tandis que le gouvernement de Louis XVIII peine à contenir la Terreur blanche qui fait rage et condamne à terme la Restauration.

02/2021

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Critique littéraire

Boris Pasternak

Pasternak est, avec Mandelstam, Tsvétaïéva et Akhmatova, l'un des « quatre grands poètes » que nous aura donnés le vingtième siècle russe. C'est aussi l'auteur du mondialement célèbre Docteur Jivago, dont la parution, en Italie, lui a valu d'être banni de l'Union des écrivains et de devoir refuser, en 1958, le prix Nobel de Littérature. Son recueil inaugural, Ma sœur la vie, à l’été 1917, invente une poétique de l’instant, où des « millions de révolutions » intimes font signe à l’histoire. L’époque, que domine bientôt le « démon du temps » Staline, fait de Pasternak, malgré lui, un poète épique. S’il a pensé un instant dire oui au monde soviétique, c’est pour le refuser avec une force accrue dans un vaste roman qui proclame, sous un ciel de guerres et d’insurrections, la prééminence de l’amour et de la poésie sur toute politique. La tragédie collective et celle de l’écrivain – amours passionnées, souffrances familiales, arrestations de proches, morts et séparations, sourd combat avec l’officialité, esquives ou actes de courage – se racontent ensemble, faisant de la vie même de Pasternak, amère et heureuse à la fois, la chronique d’un siècle cruel. Journaliste et très bon investigateur, mais aussi poète et romancier, Dmitri Bykov a utilisé, pour élaborer ce livre, la plupart des sources aujourd’hui disponibles. Son admiration pour Pasternak, la connaissance minutieuse qu’il a du personnage, son impartialité, sa verve font de cette immense enquête un ouvrage qui ranime et rénove tout ce que l’on savait du poète – le contexte littéraire, familial, culturel et politique – et qui invite, au fil des pages, à une relecture active de son œuvre.Personnage marquant de la scène littéraire russe, Dmitri Bykov (né en 1967) est romancier, poète, mais aussi présentateur de télévision et journaliste. Il est l’auteur de plusieurs recueils de poèmes et de nouvelles, ainsi que de cinq romans, dont la Justification, publié aux éditions Denoël en 2002.Traduit du russe et annoté par Hélène Henry

10/2011

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Littérature étrangère

La toison d'or

Pourquoi Jason, petit-fils d'Eole, le Dieu du vent, a-t-il quitté, avec trente compagnons, sa Grèce natale pour aller au fond de la mer Noire voler la Toison d'or ? Que représentait la Toison d'or ? Et pourquoi Médée, princesse de Tauride, a-t-elle accepté de trahir ses voeux de prêtresse et tous les siens pour lui livrer la Toison ? Celui qui raconte cette histoire, de mille ans plus ancienne que l'histoire d'Hélène et de la guerre de Troie, est un poète anglais aussi subtil que le vieil Ulysse. Il vit depuis si longtemps au coeur des mythes grecs qu'il communique au lecteur sa flamme et sa foi. C'est pour l'amour de la Blanche Déesse, mère de toutes choses, que Jason accomplit, avec ses Argonautes, ce long périple, qui est sans doute le premier voyage vers l'Orient dont les hommes d'Occident aient gardé le souvenir confus. Récifs, tempêtes, escales dans les calmes golfes ou dans les eaux ennemies, fuites et batailles, ruses et triomphes, l'immense aventure se détaille en cent épisodes dont chacun révèle un fragment d'univers. Ce mythe du passé a pour caution la réalité du présent, car on peut suivre le périple de Jason sur une carte, et calculer la juste position des étoiles qui ont guidé les navigateurs de la légende. Dans le ciel d'aujourd'hui, entre le Centaure, qui fut le maître de Jason, et le Grand Chien, jadis consacré à la Blanche Déesse, la Constellation des Argonautes a vu apparaître une étoile nouvelle, signe de victoire et de miséricorde : les ombres du berger et des chiens ne viendront plus, des profondeurs de l'Enfer, boire le sang des victimes que Jason sacrifie... Embarquez-vous donc avec les Argonautes. la quête de la Toison d'or, ici neuve et brûlante, est la plus ancienne, la plus mystérieuse aventure de l'Humanité.

09/2010

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Critique littéraire

Les Contes d'Hoffmann. Ou Le reflet retrouvé de Jacques Offenbach

A la suite de la première des Contes d'Hoffmann, Ernest Reyer avouait : "Je doute, ai-je-écrit quelque part il y a bien des années déjà, qu'une oeuvre sérieuse sorte de la plume de qui a écrit les excentricités d'Orphée aux Enfers et de La Belle Hélène. Eh bien, je me suis trompé". Par un de ces pieds de nez dont l'histoire a le secret, Jacques Offenbach est acclamé pour le dernier opéra de sa production, Les Contes d'Hoffmann. Il connaît enfin le succès sur une scène officielle mais, ironie du sort, c'est à titre posthume ! Il gagne de ce fait sa place tant convoitée parmi les grands compositeurs dont les oeuvres brillent au frontispice des grandes salles lyriques. Cette reconnaissance post mortem de la qualité d'Offenbach en tant que compositeur d'opéra rejoignant ses illustres aînés après tant d'échecs, de déconvenues et un mépris toujours vivace, dessine presque une aporie rendant mystérieuse la genèse de la composition des Contes d'Hoffmann : l'artiste méprisé ou le poète maudit, pour rester dans la veine romantique, accouche soudain d'une oeuvre dont la beauté et la puissance ne peuvent rationnellement s'expliquer par une lente mais sûre progression artistique. Dans l'acte final des Contes – l'acte de Venise – Hoffmann paie de son reflet l'amour vénal de la courtisane Giulietta. Image symbolique, s'il en est, d'un homme - Offenbach - perdu et revenu de tout qui, en bradant son reflet, montre qu'il s'est perdu lui-même. Mais qu'a-t-il perdu ? Que va-t-il gagner ? Telles sont les questions auxquelles cet essai cherche à répondre en interrogeant les liens entre la vie personnelle et publique du compositeur et la modification d'un processus créatif - y compris dans l'utilisation du "léger" - qui, pour se changer, va puiser, comme le dit le livret, dans les "cendres de son coeur" le matériau de son inspiration.

10/2020

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Musicologie

La fonction de la couleur dans la musique. Timbre, musique et peinture, Wagner, Strauss et autres essais

Le thème unificateur de ce volume d'écrits de T. W. Adorno - la plupart tardifs - est celui de la couleur dans la musique, le mot Farbe en allemand ayant donné celui de Klangfarbe, qui désigne le timbre. Il faut l'entendre de deux façons : d'une part, Adorno explore, dans plusieurs des textes réunis dans ce volume, les relations qu'entretiennent musique et peinture, réfléchissant aussi bien sur la singularité propre aux deux arts que sur leurs échanges. C'est le cas notamment des cours sur la couleur dans la musique donnés à Darmstadt et inédits en français. D'autre part, dans les essais consacrés à Wagner et Richard Strauss, il s'attache à des musiques dans lesquelles la question du timbre, le caractère évocateur, voire illustratif, de la couleur sonore, est une dimension importante. Elle est liée, chez ces deux compositeurs, aux genres de l'opéra et du poème symphonique. En revenant sur Wagner, auquel il avait consacré un livre extrêmement critique, et en développant une réflexion très approfondie sur la musique de Strauss, qui s'articule à celle, centrale chez lui, sur Schönberg, Berg et Webern, Adorno dévoile de nouveaux aspects de sa pensée. Dans les notes consignées de 1940 à 1969, année de sa mort, il tente de pénétrer l'Idée du phénomène musical dans la fulgurance de fragments apparentés à des aphorismes, ces notes se présentant tel un laboratoire des essais et monographies consacrés à la musique. Ainsi, dans l'Allemagne de l'ouest des années 1960, Adorno fait entendre une voix discordante, refusant de dissocier la destinée de la culture allemande des événements politiques qui se sont succédé, notamment de l'expérience du national-socialisme. Si certains des textes de ce volume ont fait l'objet d'une traduction aujourd'hui introuvable, la plupart sont inédits en français. Une grande partie d'entre eux se trouvent dans le volume 16 des oeuvres complètes publiée en Allemagne. Cet ouvrage fait suite à la publication par Contrechamps de trois autres livres d'Adorno : Introduction à la sociologie de la musique, Figures sonores (Ecrits musicaux I) et Moments musicaux.

10/2021

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Musique, danse

VIENNE UNE HISTOIRE MUSICALE

Nulle ville n'a connu sur une si longue période pareil rayonnement musical ni offert le souvenir de tant de noms illustres, de tant d'oeuvres immortelles, de tant d'événements à jamais inscrits dans l'Histoire. Terre de naissance ou d'adoption d'un nombre impressionnant de compositeurs et d'artistes musiciens parmi les plus grands, ce haut lieu de la musique développa un style qui lui était propre et qui ne s'est encore jamais perdu. A côté de la musique sérieuse illustrée par une extraordinaire suite de génies (Gluck, Haydn, Mozart, Beethoven, Schubert, Brahms, Bruckner, Mahler, Wolf, Berg, Schoenberg, Webern) pour ne citer que les plus célèbres, Vienne, on le sait, a dans le même temps su préserver une tradition de musique légère sur laquelle le temps semble ne pas avoir de prise, où l'élégant balancement de la valse le dispute à l'irrésistible frénésie des polkas, galops et autres quadrilles, ainsi qu'aux charmes mélodiques de l'opérette qu'illustrèrent, entre beaucoup d'autres, la famille Strauss et Franz Lehar. Poumons de cette vie musicale intense : les bals, les cafés, les kiosques à musique, dominés par ces institutions prestigieuses et vénérables que furent et demeurent la Staatsoper (l'Opéra), la Volksoper (opéra populaire), l'Orchestre philharmonique (considéré comme le meilleur orchestre au monde) ou encore l'Orchestre symphonique, qui tous virent défiler les plus illustrissimes baguettes et les chanteurs les plus estimés. Sous l'apparence d'une gloire à peu près continue, cette longue fresque peuplée d'innombrables seconds rôles dévoile une histoire tissée d'intrigues, de querelles et de cabales, pleine de paradoxes et de contradictions dont les effets sur le cours de la musique restent jusqu'à aujourd'hui d'une incommensurable portée. Henry-Louis de La Grange, à la fois musicologue et critique, est reconnu comme un des plus éminents spécialistes de Mahler sur lequel il a donné à travers le monde de très nombreuses conférences. Sa monumentale monographie en trois tomes sur le compositeur plébiscitée dans le monde entier en a fait un des meilleurs connaisseurs de la vie musicale viennoise.

10/1995

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Musique, danse

Guide raisonné et déraisonnable de l'opérette et de la comédie musicale

L'opérette doit son net regain à ceux qui l'avaient éclipsée : le cinéma et la télévision. La chaleur humaine, le divertissement intelligent regagnent les cœurs lassés par les médias froids. Parmi les milliers d'opérettes écrites pendant trois siècles et leurs descendantes nommées comédies musicales, ce guide propose un choix des meilleures de tous les temps et pays, qu'elles soient au répertoire ou méritent de très vite y revenir. Vite composée, vite montée, l'opérette, miroir de la société, reflète aussitôt les grandes évolutions qu'elle aide à accepter par le charme et le rire. Lorsque l'opéra fait mourir ses héroïnes, les femmes de l'opérette s'émancipent et mènent les hommes par le bout du nez. Chaque œuvre présentée ici est replacée dans le contexte d'alors, qui donne la clé des allusions oubliées et en dégage la sagesse. Si la France domine dans l'opérette qu'elle a longtemps modelée et influencée, elle n'est pas le seul pays à y mettre du talent. Ce guide impertinent, à vocation européenne et internationale, accompagnera les voyageurs ouverts à toutes les cultures. Offenbach le Français a essaimé en Autriche et les opérettes viennoises nées de lui et du singspiel populaire nous sont revenues. Les États-Unis, après avoir suivi ces deux modèles, ont fait déferler sur le vieux continent le jazz irremplaçable. Notre choix offre de bonnes surprises : la délicate opérette anglaise, l'opérette soviétique et surtout la zarzuela, la capiteuse opérette à l'espagnole qui renouvelle le répertoire dans le monde entier. La joie ne va pas sans un voile de tristesse : le genre a sa part d'ombre, la grande histoire n'ayant pas épargné les auteurs d'opérettes. Mais le spectacle continue : d'Offenbach à Gershwin, de Franz Lehâr à Maurice Yvain, de Johann Strauss à Webber, l'auteur de Cats, tout ce qui fait rire et pleurer de joie, vous est offert ici dans la plus grande précision : personnages et synopsis, analyse et contexte, avec à chaque fois un clin d'œil pour sourire à l'entracte...

10/2008

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Musique classique

Un musicien en hiver. Essais et entretiens (1956-1996)

Dun caractère fantasque enclin au merveilleux, Niccolò Castiglioni (1932-1996) était un maître du silence et des sons limpides, cristallins et transparents, comme pris dans la glace. Le lyrisme, les bruissements et les nuances infimes de son art paraissent empreints de ses baroqueries, de ses absentements, comme une citadelle d'intériorité, jusqu'aux retraites solitaires dans les paysages alpins et les sentiers du Haut-Adige. Dans le sillage de ses chers romantiques et d'Anton Webern, qu'il commenta avec passion et clairvoyance, Castiglioni manifeste, au regard de l'Histoire, un amour de la nature et d'une harmonie qui gouverne le mouvement des étoiles comme celui de l'atome musical. Niccolò Castiglioni, qui exaltait le petit, le simple, voire l'ingénu, se disait aussi fait pour l'émerveillement et pour la joie, aussi pleins et entiers que ceux de l'enfant. Il en adopta souvent la conduite, choyant son absolue liberté, et en revendiqua le paradis perdu autant que les jeux, de sons et de mots, avant d'user de citations et de pastiches. Comme Robert Schumann, il composa ainsi en poète, magnifia la rêverie et lui donna structure et cohérence. Aussi, dans sa traversée singulière du sérialisme et de son dépassement, vibraient intensément une sensation, un sentiment, la résonance d'une musique d'antan ou le monde fabuleux d'un livre ou d'un conte. C'est à la lecture de ses essais et de ses entretiens, pour la première fois réunis en un volume, qu'invite cet ouvrage. Niccolò Castiglioni y décrit les ordres constants et les équilibres stables du Moyen Age aux débuts de notre ère contemporaine, mais aussi les marges, les bords, ces moments où les normes se fissurent et commencent de se configurer autrement. Une telle réflexion se déploie dans le champ de la musique, de ses théories et de ses pratiques, comme dans la littérature et les grandes catégories de la philosophie occidentale - réalisme, rationalisme, idéalisme, pragmatisme, métaphores des points cardinaux d'une oeuvre que traverse un même et constant souci : une attention subtile au langage, où l'engagement, l'éthique musicale se mesurent à l'aune du son.

03/2021

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Indépendants

Un beau voyage

" Ah les voyages ! Aux rivages lointains, aux rêves incertains, que c'est beau les voyages ! " chantait Barbara. Mais il faut bien le dire, durant cette année 2020, les voyageurs, ceux qui se ressourcent auprès de paysages, de senteurs, de saveurs inconnues, ont été bien malmenés. Heureusement, en 2021 " Un beau voyage ", de Delphine Panique, arrive pour leur venir en aide ! Comment faire pour voyager lorsqu'on est bloqués ? Imaginons-nous, en mer, pendant un calme plat : pas de vent, pas de courant. Le navire, telle une souche morte, est immobilisé. Que faire, à part imaginer les îles qu'on pourrait accoster, les terres qu'on souhaiterait aborder ? Que faire, à part évoquer diverses légendes marines et autres monstres aquatiques ? Que faire, à part se raconter des aventures passées, et, pourquoi pas, futures ? Tant que vous resterez calme, tant qu'il vous restera des vivres, tout ira bien... Et après ? Après Orlando, fausse adaptation littéraire, et En temps de guerre, chronique historique douteuse, Delphine Panique revient chez Misma, son éditeur originel, pour s'attaquer au genre du récit de voyage en mer, et, comme à son habitude, le détourner. Son voyage sera donc immobile. Les protagonistes ont beau être sur un bateau à voile, ou quelque chose qui y ressemble, ils sont bloqués. Ils ne peuvent qu'imaginer. Dès lors, Delphine Panique, au travers d'une longue discussion entre le Capitaine et son mousse Béber, développe tout un imaginaire traditionnel et référencé sur le voyage en mer : îles inconnues, naufrages, tempêtes, pêche à la baleine, monstres marins et autres créatures des profondeurs. Mais petit à petit, malgré leurs joyeuses rêveries, les deux protagonistes vont faire face à l'angoisse de la solitude, de l'inconnu, et laisser apparaître leurs faiblesses et leurs peurs devant la force des éléments qui les entourent, devant l'immense et secrète monstruosité de l'océan... Pour ce nouvel album, Delphine Panique accentue brutalement le minimalisme de son dessin et de sa mise en scène. Horizon plat, dessins géométriques tirant vers l'abstraction, pour un récit dénué d'actions mais ponctué de dialogues truculents et de curieux paysages imaginaires qui invitent le lecteur à la rêverie, à la divagation, au voyage.

04/2021

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Guides étrangers

Jérusalem et Tel-Aviv en quelques jours

Un guide tout en couleurs, concis et ultrapratique pour découvrir une des plus belles parties d'Israël en quelques jours. Deux villes aux personnalités bien distinctes, où l'on cultive l'art de bien vivre. Jérusalem, lieu de rencontre des cultures et des religions, accueille nombre de pèlerins et visiteurs curieux de voir des sites antiques. A l'ouest de la vieille ville sont rassemblés des sites de renommée mondiale comme le musée d'Israël et le mémorial Yad Vashem, tandis que le centre-ville concentre bars et restaurants. Tel-Aviv, moderne, branchée et cosmopolite, est un tourbillon de gratte-ciel, d'architecture Bauhaus, de musées, de pistes cyclables, de charmants bistrots et restaurants, avec ses plages au coeur de la cité. Jérusalem et ses quartiers : Jérusalem-Est, le centre, la Colonie allemande et le sud, avec les sites religieux et archéologiques incontournables (et des itinéraires découverte : la Via Dolorosa, Yad Vashem, musée d'Israël...) L'exploration de la vibrante Tel-Aviv via le vieux Jaffa, le centre et ses nombreux musées (Tel Aviv Museum of Art, Helena Rubinstein Pavilion for Contemporary Art...) et édifice Bauhaus, le quartier de Neve Tzedek, les plages (Gordon Beach)... Une escapade à la mer Morte. Des sections ciblées pour découvrir ces villes selon ses envies : gastronomie, avec des enfants, scène LGBT, art et architecture... Des plans des différents quartiers et un plan détachable d'ensemble pour les deux villes.

09/2019

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Théosophie

Les lois fondamentales de la théosophie

C'est en rédigeant un compte-rendu de la Doctrine Secrète d'Helena Blavatsky, fondatrice de la Société théosophique, qu'Annie Besant avait trouvé la réponse à toutes ses interrogations métaphysiques et spirituelles qui la taraudaient depuis l'enfance. La Théosophie remonte à l'Antiquité et s'inspire des sagesses orientales. Elle considère que toutes les religions ne sont que des variations d'une Sagesse universelle première. Elle sembla à Annie Besant être la Vérité qu'elle avait toujours cherchée. Elle rencontra Madame Blavatsky, se déclara théosophe et devint membre puis directrice à son tour de la Société théosophique. Pour elle, l'Inde védique était la source de toute sagesse et spiritualité, elle s'installa en Inde définitivement et adopta le mode de vie traditionnel et le sari. Ce livre rassemble six conférences données par Annie Besant à Adyar (Inde) dans lesquelles elle explique les idées fondamentales de la Divine Sagesse, car selon elle, seule, la Théosophie, est en mesure d'enrayer la course à l'abîme vers lequel se précipite le monde. Cette Sagesse nous enseigne une connaissance naturelle et surnaturelle de Dieu, qu'il existe des Echelles de Vie, que la Réincarnation est une nécessité et que nous vivons dans trois mondes que nous pouvons tous appréhender. Mais pour y parvenir cela suppose un cheminent et une Illumination intérieure. La Théosophie a rassemblé et rassemble encore aujourd'hui des adeptes. Ghandi avait deux photos dans son bureau celle du Christ et celle d'Annie Besant.

02/2021

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Mode

Plumes & Dentelles. Autour des parures de Chantal Thomass

" Si, pour moi, la lingerie est un accessoire indispensable de mode, au même titre que les chaussures, je suis DÉ-SES-PÉ-RÉE !!! de constater, après la lecture de ces talentueuses nouvelles, que dans la tête de beaucoup de gens dont celle de nos auteurs, la lingerie a bien de la peine à exister au-delà de l'érotisme !!!!! Est-ce un mal ? Non, bien sûr. Les hommes se persuadent que les dessous ne sont créés que pour les provoquer, les séduire et attiser leur désir. Je vous l'accorde, il y a de ça... Mais par-delà le cliché, qui ne sait que pour la plupart d'entre nous, femmes, porter ces parures, c'est la volonté de se sentir belles, bien avec nous-mêmes, de prendre plaisir à mettre en valeur notre féminité assumée ?!.. Avec impertinence, humour et fantaisie !!! Je reconnais que jeu narcissique et jeu de séduction se mêlent... Jeux à jouer avec la légèreté d'une lingerie ! " Chantal Thomass. Huit écrivains ont reçu chacun une parure différente de Chantal Thomass dans une boîte en forme de coeur rose et noir. Thomas Bouvatier, Geneviève Brisac, David Foenkinos, Serge Joncour, Jessica L. Nelson, Gonzague Saint Bris, Yves Simon, Hélèna Villovitch se sont prêtés au jeu et ont déployé tout leur talent dans l'écriture d'une nouvelle. Ces huit nouvelles inédites sont illustrées par les photographies d'Ellen Von Unwerth qui livra ici des clichés sophistiqués, glamour et indiscrets.

11/2005

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Histoire ancienne

Juba II. Roi, savant et mécène

En -25 avant JC, le Royaume de Numidie (approximativement le Maroc actuel), est dirigé par un roi, Juba II, devenu une légende. Intellectuel, il écrivit de nombreux livres d’histoire, savant, il réalisa des explorations, dont celle des Canaries, qui sont restées dans les mémoires, érudit, il reçut à Athènes (il écrivait en grec) les honneurs pour son savoir encyclopédique, prince fastueux et grand collectionneur, il vivait entouré d’artistes. Bâtisseur et mécène, c’était aussi un homme de paix qui sut faire régner la paix et la prospérité dans son royaume. Esprit curieux et inventif, il remit en marche d’anciens ateliers monétaires, créa une industrie de la salaison à Lixus, installa des ateliers de pourpre gétule au large d’Essaouira, mena des études sur l’euphorbe de l’Atlas et développa la culture de la canne à sucre, des hévéas, et de l’huile d’olive dans un pays qu’il tint, autant que faire se peut, à l’abri des intrigues et des appétits romains. Son fils, Ptolémée, né de son mariage avec Séléné, fille de la grande Cléopâtre et de Marc Antoine, n’aura pas cette chance : il sera assassiné par son neveu jaloux, Caligula, et le Maroc tombera alors sous la férule romaine. Juba II est donc un moment exceptionnel de l’histoire riche et méconnue du Maroc pré-islamique. Il méritait un ouvrage qui restitue sa mémoire.

05/2014

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Littérature érotique et sentim

Regarde-moi

Un hymne noir à la différence et à la liberté de choix ! Héléna a vécu un deuil terrible. L'amour de sa vie, avec qui elle formait le groupe de dark erotic ambiant Crushing Steel, est mort dans un accident d'automobile. Adam a la jeune vingtaine et le rythme dans la peau. Danseur nu au Hard & On - ce genre d'exhibitionnisme lui va à ravir -, il possède un appétit insatiable pour la vie en général et le sexe en particulier. Rachel pilote un taxi disponible jour et nuit, sa rutilante Lincoln Continental 1973, pour laquelle elle éprouve une passion fétiche, est son véritable chez soi. Irrésistible bombe sexuelle, Rachel se considère comme une femme libre, maîtresse de son destin, qu'elle soit derrière le volant ou en plein ébat sur la banquette de cuir de sa Lincoln. John est méticuleux, précis, solitaire, et il déteste déroger aux codes qui régissent sa vie. Pour lui, l'amour se résume à la masturbation, fréquente, qui lui permet de laisser sa trace dans la société. Quant à son amour des armes, quoi de plus normal lorsqu'on travaille comme tueur à gages ? Ces quatre personnages n'ont rien en commun, si ce n'est leur conception différente - déviante ? - de l'amour. Pourtant, leurs existences s'entrelacent bientôt de façon inextricable. Et pendant que chacun cherche le sens profond que l'amour revêt pour lui, c'est la mort qui s'apprête à frapper !

05/2013

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Récits de voyage

Reliefs N° 15 : Marais

DOSSIER "MARAIS" : approche transversale par des articles au long cours : histoire des marais et des hommes par Jean-Michel Derex (historien) ; biodiversité et fonctionnement écologique des marais par Delphine Gramond (géographe) ; les mangroves du monde par François Fromard (botaniste et écologue) ; entretien - Extraits littéraires illustrés - Infographies sur les différents types de marais et les espèces menacées - Conseils de lecture, de films, de musique... HORS DOSSIER : Correspondance - Atlas - Cartes géographiques anciennes : Robert J. Hackman et Arnold C. Mason, Divisions physiographiques de la Lune. Etudes géologiques diverses (1961) ; Ignazio Villa, Hypothèses relatives à l'origine et à l'évolution de la création selon la théorie des fluides électro-magnétiques (1858) ; Levi Walter Yaggy, Définitions géographiques illustrées (1893) - Héros hier - Héroïnes aujourd'hui : Hindou Oumarou Ibrahim (géographe et militante tchadienne), Helena Gualinga (militante), Alexandra Morton (biologiste marine), Ou Hongyi (militante écologiste chinoise), Patrícia Medici (biologiste brésilienne), Michele Koppes (géologue, géomorphologue et glaciologue) - Entretien - Portfolios - Aparté - Altitude/Longitude : les migrations climatiques par François Gemenne (chercheur en sciences politiques et spécialiste de la gouvernance du climat et des migrations) et une petite histoire du soja par Eric Birlouez (ingénieur agronome et sociologue de l'alimentation) - Naturaliste : planches de Fleurs, fruits et feuillages choisis de l'île de Java par Berthe Hoola van Nooten (illustratrice botanique) - Trésors photographiques des canyons de l'ouest americain par William H. Bell (photographe) - Rubrique Roche - Portrait de Ernest Thomson Seton par Valérie Chansigaud (historienne des sciences et de l'environnement) - Récit illustré - Agenda culturel - Poème illustré

05/2022

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Ecrits sur l'art

Histoires sans paroles. Les Romans en gravures de Frans Masereel

En 1918, après avoir illustré une presse hostile aux marchands de canons, Fans Masereel (1889-1972) publie 25 Images de la passion d'un homme. Si l'on y trouve déjà les thèmes de prédilection de l'artiste belge -? la ville dévoreuse d'hommes ou la lutte des classes ? -, son originalité réside dans sa forme ? : un récit uniquement constitué de gravures. Le roman sans paroles vient de naître. De la Grande guerre à la Guerre froide, Masereel en réalise une quinzaine, stigmatisant le capital et ses croupiers, la roue de l'infortune qui touche le prolétariat et cet instinct de mort qui a conduit l'Europe vers le chaos. Leur diffusion est principalement assurée par l'éditeur Kurt Wolff, dans des éditions populaires préfacées par des écrivains de la Mitteleuropa (Max Brod, Hermann Hesse, Thomas Mann). D'autres artistes graveurs de l'entre-deux-guerres se sont emparés de ce mode de narration séquentielle à forte connotation politique et sociale ? : les Allemands Carl Meffert et Otto Nückel, l'Espagnol Helios Gómez, la Tchèque Helena Bochoráková-Dittrichová, les Américains Lynd Ward et Giacomo Patri... Les romans en gravures de Masereel sont sans paroles mais pas sans histoire. Cet ouvrage vous en livrera les différents chapitres, avec pour théâtre le renouveau de la gravure sur bois, la renaissance du livre xylographique et l'influence des événements sur le destin d'un artiste engagé dans les luttes de son temps.

04/2024

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Beaux arts

Flanders Architectural Review N° 14 : When Attitudes Take Form

L'intérêt du public pour l'architecture et les questions spatiales n'a jamais été aussi élevé. Le numéro 14 de la Revue d'architecture de Flandre présente une architecture remarquable de Flandre et de Bruxelles. Elle rassemble un large éventail de projets architecturaux récemment réalisés et les situe dans l'évolution du domaine socioculturel dans lequel ils sont nés. Le concept clé pour la sélection de ces projets est résumé dans le titre : Quand les attitudes prennent forme. Les rédacteurs ont choisi une architecture qui fait preuve d'un engagement social convaincant tout en remettant en question et en question sa propre discipline. Ces cinquante projets illustrent les multiples facettes de l'architecture qui en résulte. Chacun des douze essais examine un sujet d'actualité. Les auteurs examinent les conditions de production de l'architecture contemporaine, telles que le projet d'expansion urbaine à grande échelle, le paysage (post-) reconstruction du coin sud-ouest de la Flandre et la construction d'écoles dans la région. Mais ils explorent également les différentes positions adoptées par les architectes : celle de concepteur et aussi de chercheur ou de citoyen engagé dans le secteur civil. Les auteurs : Sofie De Caigny, Isabelle Blancke, Michiel De Cleene, Petrus Kemme, Petra Pferdmenges, Eireen Schreurs, Bart Tritsmans, Maarten Van Den Driessche, Luce Beeckmans, Arnaud Hendrickx, Katrien Laenen, Maarten Liefooghe, Stichting Mevrouw Meijer, Helen Thomas, Jürgen Vandewalle

01/2021

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Littérature étrangère

Vol humain

Parfois, dans la vie, il est temps de faire un bilan, se dit Stephan, un peu avant son cinquante-deuxième anniversaire. A première vue, tout semble aller au mieux pour lui. Certes, sa carrière universitaire ronronne, mais il est heureux avec sa femme Helen, psychanalyste, qui va même jusqu'à l'encourager lorsqu'il exprime le désir de prendre un peu de distance avec la vie de famille. C'est donc en vivant seul dans un petit appartement sous les toits qu'il ressent pour la première fois le besoin de se pencher sur l'histoire de ses parents. A partir de quelques papiers et menues affaires laissés par son père, il interroge cette existence, marquée par la disparition d'un petit garçon - son frère aîné - pendant la débâcle allemande, devant l'avancée des troupes soviétiques à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Mais très vite, une autre obsession prend toute la place : s'il devait mourir à cinquante-quatre ans d'une crise cardiaque, comme son père? Hans-Ulrich Treichel nous offre ici une réjouissante variation sur le thème de la crise de la cinquantaine, et ce voyage romanesque, qui n'hésite pas à aborder des questions graves telles que la filiation et la mort, avec humour et légèreté, a été considéré par la critique allemande comme un des meilleurs romans de ces dernières années.

05/2007

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Littérature française

Tu te souviens

1942. Singapour. Le dernier bateau rapatriant les ressortissants anglais vers l'Australie va appareiller, séparant un couple. Le mari, français, doit régler ses affaires en Malaisie avant de rejoindre sa femme et ses deux enfants. Sur le pont, Helen, le cœur déchiré, regarde ses malles qu'on hisse vers elle. Soudain, un filin cède engloutissant dans les flots ce sur quoi elle comptait pour survivre dans l'attente des retrouvailles. Sur la mer, la guerre fait rage et le capitaine ayant dû dévier sa route vers l'Inde, c'est à Bombay qu'elle débarque, sans argent, sans amis. Ce sera l'expérience de la solitude, de l'exil et d'une liberté certaine. Ce sera pour son fils Stanislas trois années de découvertes et d'éveils. De Londres à Bordeaux, Hong-Kong, Tokyo, la vie ne va cesser de leur réserver des surprises et, profitant des circonstances, l'enfant va œuvrer pour récupérer à son profit l'amour de sa mère. Aventures exotiques, grâce des paysages, enchantements, Tu te souviens est l'histoire d'une passion filiale exubérante et une réflexion dense sur l'oubli, le souvenir, l'attente, l'amour, la mort. On y retrouve la vitalité poétique, la singularité d'une expérience narrative qui est la matière même du talent de Marie-Josèphe Guers.

09/2006

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Littérature anglo-saxonne

Le grand barrage

Une société britannique s'implante dans le sud de l'Inde récemment indépendante, avec pour mandat de construire un barrage en plein jungle. Dans la ville éphémère bâtie sur le site se côtoient techniciens anglais, ingénieurs dépêchés de Dehli et ouvriers indigènes, sous la supervision de Clinton, à la tête du projet. Certaines femmes sont aussi présentes, celles des hauts cadres, et bien sûr Helen, l'épouse de Clinton, plus intéressée par les conditions de vies des tribus locales que par l'ambition dévorante de son mari : malgré les recommandations des Indiens, ce dernier a décidé que le barrage serait achevé dans les trois ans. Sur le papier, le plan est solide, mais au fil des travaux, Clinton se heurte aux imprévus humains, aux accidents techniques et à la nature implacable. Jusqu'à ce que la mousson arrive. . . Dans ce roman visionnaire, Kamala Markandaya émerveille par son habileté à décrire le fonctionnement du chantier, la capture des oiseaux exotiques ou la fourmilière sociale à l'oeuvre. Née à Madras, Kamala Markandaya (1924-2004) étudie et travaille comme journaliste en Inde, puis s'installe à Londres en 1948. Son premier roman, Nectar in Sieve (1954), lui vaut un succès mondial. Notamment en France, où plusieurs de ses titres ont été traduits et son épuisés. Elle est aujourd'hui considérée dans le monde anglo-saxon comme une figure de la littérature postcoloniale.

03/2022

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Rock

The Beatles. One, two, three, four

Bob Dylan leur a fait découvrir les drogues. La duchesse de Windsor les a adorés. J. R. R. Tolkien les a snobés. Les Rolling Stones les ont copiés. Leonard Bernstein les admirait. Muhammad Ali les a traités de "petites mauviettes". Les Premiers ministres successifs leur ont fait de la lèche. Personne n'est resté insensible à la musique des Beatles. Mélange kaléidoscopique d'histoire, d'étymologie, de journaux intimes, d'autobiographie, de lettres de fans, d'essais, de vies parallèles, de listes de fêtes, de tableaux, d'interviews, d'annonces et d'histoires, One Two Three Four retrace la fusion fortuite des quatre éléments clés qui composaient les Beatles : le feu (John), l'eau (Paul), l'air (George) et la terre (Ringo). Il raconte également les histoires étranges et souvent malheureuses des personnes disparates et colorées qui se trouvaient dans leur orbite, parmi lesquelles Fred Lennon, Yoko Ono, le Maharishi, Tante Mimi, Helen Shapiro, l'escroc Magic Alex, Phil Spector, leur dentiste psychédélique John Riley et leur ennemi juré, le sergent Norman Pilcher. Lauréat du Baillie Gifford Prize 2020 dans la catégorie Non-Fiction " J'ai adoré chaque mot de ce livre. " The Sunday Times " One Two Three Four est de loin le meilleur livre que l'on ait écrit sur les Beatles et le plus proche de la vérité. " The Literary Review " Un chef-d'oeuvre. " Alexander Armstrong, BBC

06/2022