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Policiers

Finie la comédie

A la fin des années 1970, l'Amérique est encore traumatisée par le Vietnam et le Watergate. Koo Davis, un comique " de droite " (il fait ses tournées sur les théâtres d'opérations militaires à l'étranger et sympathise avec les gradés) est enlevé par un groupuscule d'allumés d'extrême gauche, aux revendications des plus floues. Retenu prisonnier dans une étrange pièce souterraine donnant sur le fond d'une piscine, Koo perd vite pied : non seulement une femme inquiétante s'y baigne toute nue, mais surtout, privé de ses innombrables médicaments, stimulants et autres anxiolytiques, il est condamné à brève échéance à l'effondrement neuropsychiatrique. Lorsque les flics et le FBI tentent une opération de secours qui échoue lamentablement, la position de Koo devient vraiment inconfortable...

05/2014

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Policiers

Kinds of love, kinds of death

Viré de la police parce qu'il était chez une femme au lieu d'épauler un collègue qui s'est fait descendre, Mitch Tobin se morfond, rongé par la culpabilité. Rembek, un mafioso, lui demande alors de retrouver le meurtrier de sa maîtresse. Celle-ci s'était enfuie en emportant un magot, qui a disparu. Pour mener sa tâche à bien, il devra enquêter dans l'entourage de Rembek et pénétrer dans l'univers secret de la mafia. Un boulot vraiment taillé sur mesure pour Tobin, mais qui ne va pas sans poser quelques problèmes moraux... La série Mitch Tobin est republiée dans des traductions revues et complétées.

01/2013

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Histoire internationale

Où vont les Etats-Unis ? Espoirss et clivages d'une société en crise et d'un Empire déclinant

Au lendemain de la victoire de Barack Obama, la société américaine est plus déchirée que jamais. L'économie ne s'est pas remise de la crise de 2008. Le chômage et le sous-emploi frappent des millions de personnes. Malgré la puissance des appareils policiers et de l'impitoyable système carcéral, où plus de deux millions de personnes, en majorité des Noires, se trouvent confinées, l'insécurité sévit dans les villes. Un peu partout dans le monde, la puissance impériale est mise à mal, tant sur le plan économique que sur le plan symbolique. Sans compter le fait que la " guerre sans fin " déclenchée à la suite des attentats du 11 septembre 2001 s'enlise et grève le budget du pays déjà lourdement endetté. Le rêve américain devient un horizon de plus en plus inaccessible. Devant cela, une partie de la population se tourne vers les sectes religieuses et une culture populiste de droite qui repose sur l'idée du tout-le-monde-contre-tout-le-monde. La fracture politique est profonde entre le Sud et le Nord, entre les Blancs et les non-Blancs, entre les hommes et les femmes, entre les générations. Est-ce la fin de l'American way of life ? Mais les Etats-Unis, c'est aussi la créativité, la résistance, la capacité de dire non dans la lignée des Jefferson, des Lincoln et des Roosevelt. Ce sont les réseaux mis en place pour contester le pouvoir du 1 % de la population, cette élite qui détient la richesse, qui ont su mobiliser, bien qu'avec réticence, pour Obama, un Obama qui en a déçu plusieurs lors de son premier mandat, mais en qui une majorité de gens des couches populaires ainsi que des minorités ethniques ont encore confiance. L'essai de Donald Cuccioletta nous offre les clefs pour comprendre l'Empire déclinant.

02/2013

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Policiers

Six heures plus tard

Quand une amie de sa fille disparaît à Londres, le shérif Cari. Houseman semble tout désigné pour participer à l'enquête. Revendiqué par un étrange mouvement réformiste, le rapt est incompréhensible : ni mobile, ni rançon. Pourquoi cette jeune Américaine ? Qui se cache derrière ce groupuscule de terroristes amateurs ? Loin de tous ses repères, Houseman affronte un ennemi aussi terrifiant qu'inhabituel.

11/2010

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Policiers

Monstre sacré

Jack Pine, acteur célèbre et richissime, égocentrique, arriviste et décadent, se réveille un matin dans un tel état qu’il ne parvient même pas à se souvenir de ce qu’il a fait la veille pour en arriver là. Il a forcé sur les substances toxiques, sans aucun doute, mais encore ? Alors qu’il essaye de rassembler ses esprits, un certain Michael O’Connor, du magazine People, débarque pour l’interviewer. Jack ressent l’urgent besoin de se reposer, mais il faut bien ménager ses relations avec la presse, n’est-ce pas ? Heureusement, O’Connor est un type consciencieux, qui parvient avec une grande patience à faire raconter à Jack les grands moments de son existence. Au début, la star s’en tient à sa biographie « autorisée », bien entendu, mais au fur et à mesure que l’habile O’Connor l’interroge, et qu’il renonce à lutter contre les conséquences physiologiques de ses excès, il se laisse aller à des confidences de plus en plus compromettantes, au fil desquelles la figure de son copain d’enfance Buddy Pal prend beaucoup d’importance. Petit à petit apparaît la véritable nature, très malsaine, de leur relation, qui aura eu des conséquences incalculables sur la vie de Jack. Jusqu’à un coup de théâtre final, de ceux dont Westlake a le secret.Construit autour d’une succession de flash-back, ce roman atypique, plein de l’humour noir et de l’ironie qui caractérisent Westlake, est aussi une satire cruelle du monde du spectacle.« Westlake manie merveilleusement l’absurde. »New York Times Book Review« Westlake est toujours original. »Elmore Leonard« Le spécialiste des coups tordus qui vous prennent toujours au dépourvu. »James Grady

06/2011

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Policiers

Motus et bouche cousue

Détenu au Manhattan Correctional Center Francis Xavier Meehan goûte pour la première fois aux joies des prisons fédérales. Ce qu'on lui reproche peut paraître mineur : après tout, il n'a fait que braquer un camion censé contenir du matériel informatique en provenance du Mexique. Comment pouvait-il savoir que ce camion transportait en fait des plis recommandés ? Lorsqu'on lui refuse une libération sous caution, Meehan se dit que, décidément, la malchance le poursuit. Jusqu'au jour où il est convoqué au parloir pour y rencontrer son avocat. Dès qu'il aperçoit le dénommé Jeffords avec sa veste sport à carreaux gris et verts, il sait que le type est un imposteur : aucun avocat ne s'habillerait de la sorte. Pourtant le marché que Jeffords, propose est beaucoup plus alléchant qu'il n'y paraît. Meehan sera -entièrement blanchi à condition qu'il dérobe une cassette vidéo compromettante pour le président en exercice, si compromettante qu'elle lui coûtera avec certitude sa réélection. Francis est d'accord, à condition qu'il puisse profiter du cambriolage pour ... cambrioler, puisque c'est tout de même son métier. C'est ainsi qu'il réunit une équipe de professionnels pas question d'embaucher des amateurs et de risquer un nouveau Watergate) en vue de préparer le coup... Même quand il ne met pas en scène John Dortmunder, notre cambrioleur préféré, Donald Westlake sait s'y prendre pour nous donner envie, l'espace d'un roman, de nous ranger du mauvais côté de la loi. Les aventures tragi-comiques de Francis Xavier Meehan sont un prétexte à l'exercice de sa verve satirique qui prend pour cible le système électoral et les politiciens américains. Dans les cas graves, mieux vaut rire que pleurer, et cela, Westlake le fait à la perfection.

11/2005

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Policiers

Motus et bouche cousue

Détenu au Manhattan correctional center, Francis Xavier Meehan goûte aux joies des prisons fédérales pour avoir braqué un camion. en découvrant son avocat, Meehan se dit que, décidément, la malchance le poursuit : avec son accoutrement de clown, le dénommé Jeffords ne peut être qu'un imposteur. pourtant, cet imposteur lui propose un marché alléchant. Meehan sera entièrement blanchi à condition qu'il dérobe une cassette vidéo si compromettante pour le président en exercice qu'elle pourrait lui coûter sa réélection. Francis est d'accord, mais veut profiter du cambriolage pour... cambrioler, puisque c'est tout de même son métier. il réunit donc une équipe de professionnels (pas question d'embaucher des amateurs et de risquer un nouveau watergate) et commence à préparer son coup. petit cousin du célèbre Dortmunder. Meehan se montre bientôt à la hauteur de son illustre prédécesseur... Ecrivain prolifique et éclectique, Donald Westlake s'en prend avec verve au système politique américain. trois fois lauréat de l'Edgar. il a été élu en 1993 grand master des mystery writers of america. il est décédé le 31 décembre 2008.

03/2009

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Policiers

Faites-moi confiance

Jeune diplômée de l'école de journalisme, Sara Joslyn vient d'être engagée par le magazine Galaxy-Hebdo, avec un salaire astronomique pour une débutante. Alors qu'elle se rend au journal, elle croise une Buick stationnée au bord de la route. A l'intérieur : un homme tué d'une balle dans le front. Sara est sûre de tenir là son premier article, mais Galaxy-Hebdo se révèle très vite un haut lieu de la mégalomanie et de l'absurde ; le patron règne en tyran sur ses rédacteurs qui, à leur tour, délèguent des missions impossibles à leurs reporters. Happée par cet univers de folie, Sara en oublie presque le cadavre de la Buick, qui d'ailleurs n'intéresse personne... sauf l'assassin. Voici le premier volet des aventures hilarantes de Sara Joslyn, l'héroïne de Moi, mentir ? Au pays du scoop, un monde plein de (faux) bruits et de rumeurs, raconté avec toute la verve d'un Westlake très en forme.

10/1998

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Poches Littérature internation

Canicule

Blakie s'est évadé de l'école pénitentiaire du conté, sa guitare sur le dos. Il a quinze ans. Rentré chez sa mère, dans un de ces quartiers populeux de la ville, avec ses terrains vagues et ses hôtels borgnes, il retrouve son frère cadet, Caleb, sa soeur, ses amis. II va jouer avec eux, danser et boire de la bière. II fait de Mabel sa maîtresse. Mais ces démarches, ces attachements sont privés de sens. Blakie garde au cœur la douleur d'avoir perdu son seul ami, Whitey. C'est pour le rejoindre qu'un jour, comme lui, il se tue. On songe, en lisant le roman de Donald Windham, aux Faux-Monnayeurs d'André Gide, au film de Bunuel, Los Olvidados. Ces garçons de quatorze et quinze ans se flattent de subjuguer un monde, qu'ils sentent faux et implacable, en prenant tous ses vices. Ils boivent, se battent jusqu'à la mort et trouvent dans le suicide la consécration de l'amitié. Avec Canicule. Donald Windham livre un roman sensible sur l'angoisse et l'aliénation tragique de la jeunesse.

04/2008

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Policiers

L'accro

" Assis dans son énorme fauteuil, il regardait les drogués aller et venir. Ils le distrayaient ; même si ce n'était pas leur intention, ils le divertissaient. Quand ils entraient chez lui et le suppliaient de leur faire crédit, il en éprouvait un sentiment de puissance. Avec les femmes, c'était encore plus fort. Dès qu'elles manquaient d'argent, son esprit diabolique, pour se divertir, leur proposait des actes toujours plus inédits et monstrueux. " Récit de la terrible descente aux enfers d'une jeune Black, superbe roman noir dans la lignée de Goodis, L'accroc, en grande partie autobiographique (et quelle vie !), est d'une telle trempe qu'il ne pouvait être l'œuvre que d'un très grand écrivain.

12/2004

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Psychologie, psychanalyse

Conversations ordinaires

Winnicott, dont l'interlocuteur privilégié était l'enfant, se méfiait du langage trop savant des analystes. Il aimait rencontrer ce qu'il appelait des " mères ordinaires " et s'adresser aux auditoires les plus variés pour traiter aussi bien de la dépression que de l'adolescence, de la pilule que de l'état du monde. Derrière cette apparente diversité, le propos - que trois grandes parties organisent : santé et maladie; la famille; réflexions sur la société - vise, non pas à enseigner doctement, mais à converser, et, sans avoir l'air d'y toucher, à jeter le trouble dans les idées reçues par chacun. Rien de plus efficace, dès lors, qu'une pensée complexe exposée dans des mots simples; rien de plus tonique que la fraîcheur d'esprit, le paradoxe et l'humour.

03/2004

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Psychologie, psychanalyse

Jeu et réalité. L'espace potentiel

Œuvre la plus lue de Winnicott, cet ouvrage a pour point de départ l'article, devenu classique, que l'auteur a consacré aux "objets transitionnels". Puis il dévide son fil conducteur : une conception du jeu, par quoi il faut entendre une capacité de créer un espace intermédiaire entre le dehors et le dedans, capacité qui ne s'accomplit pas dans les jeux réglés, agencés comme des fantasmes ou des rituels, mais qui se situe à l'origine de l'expérience culturelle. Il énonce enfin une théorie des lieux psychiques - une nouvelle topique - dont nous commençons à apercevoir l'originalité, par rapport aussi bien à Freud qu'à Melanie Klein. Chemin faisant, le lecteur découvre comment une théorie psychanalytique - cet objet transitionnel dont nous ne saurions nous passer - s'invente, se cherche et se trouve. Ce n'est pas seulement son intelligence du discours, mais sa perception du réel, de soi-même et de l'autre, qui sont alors renouvelées.

01/2002

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Policiers

Le dernier coup de Kenyatta

Après le massacre d'une grande partie de ses hommes, à Detroit, Kenyatta a trouvé refuge à Los Angeles et reconstitué son organisation. Il travaille avec Elliot Stone, membre d'un organisme fédéral, qui doit lui fournir des documents sur l'identité du gros bonnet du trafic de drogue dans les écoles et les lycées de Watts. Mais Stone est grièvement blessé par des tueurs et les documents brûlent dans l'incendie de son bureau. Kenyatta décide alors d'infiltrer le réseau. L'opération provoque des règlements de comptes qui attirent logiquement l'attention de Benson et Ryan, les deux flics de Detroit qui ont juré de faire tomber le leader noir. Violent, s'inscrivant dans la lutte des Afro-Américains pour le respect de leurs droits civiques et contre la pauvreté pendant les années soixante-dix, Le dernier coup de Kenyatta est un roman brut de décoffrage dans la lignée d'Enfant de putain et de Street Players.

06/2005

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Psychologie, psychanalyse

La crainte de l'effondrement et autres situations cliniques

Ce recueil d'une quarantaine de textes inédits ou dispersés dans des revues montre un Winnicott explorateur et conteur passionné. Nombreux sont en effet les inédits qui sont le résultat d'intuitions et de perceptions déroutantes pour l'auteur lui-même, qui a ainsi éprouvé le besoin de les saisir par l'écrit, en quelques pages vives et ouvertes. Certaines de ces pages sont des notes préparatoires pour un enseignement ou une conférence, et sont enjouées, prêtes à être partagées. Elles ont aussi l'intérêt de révéler un Winnicott moins connu, un analyste d'adultes non conventionnel, capable d'aller dans un restaurant retrouver une patiente, ou d'expliquer comment ses propres rêves lui constituent un " club " où il se rend pour avoir la paix. Après les " Notes sur la pratique et la théorie " viennent quatre " Consultations thérapeutiques ", pour ainsi dire quatre nouvelles brèves, quatre enquêtes racontées en temps réel où, véritablement, le lecteur - psychanalyste ou profane - retient son souffle. La plus brillante, sinon la plus émouvante, celle qui évoque le cas de Mark, décrit une scène extraordinaire, avec des bruits qui viennent d'on ne sait où et une chaise qui bouge toute seule, de sorte que le thérapeute n'a d'autre " choix " que celui de devenir fou et de le dire à l'enfant - et de trouver ainsi la " clé " de l'énigme. Suivent des textes plus classiques, qui sont les compléments de la théorie winnicottienne de la " relation mère-enfant ". Ils précèdent un chapitre de recherches à la fois conceptuelles et cliniques, dont l'article, célèbre, " La crainte de l'effondrement ", publié en 1972 dans la Nouvelle Revue de Psychanalyse et ici retraduit. Le livre se termine par un ensemble de critiques, sévères sans être malveillantes, de l'œuvre de Melanie Klein, à partir de son concept d'" envie ". En guise d'introduction, le texte transcrit d'un exposé : une étonnante petite autobiographie et la seule que nous ayons sur la naissance des idées de l'auteur, " volées comme on dérobe des sous dans le sac de sa mère ". Winnicott s'y explique sur ses deux analyses et leurs avatars, et sur le fait qu'il a eu besoin de travailler sans tenir compte de l'apport de ses collègues, sauf pour les " voler " plus ou moins consciemment. Il y expose comment lui, enfant mal adapté de la psychanalyse, a trouvé sa liberté de pensée en soignant les enfants mal adaptés de la vie. C'est donc le parcours d'une vie de recherche qui est présenté (travaux de 1939 à 1970), mais un parcours parallèle et généralement ignoré. On y découvre les marges de la pensée winnicottienne et, comme c'est une pensée essentiellement paradoxale, les marges sont au centre.

05/2000

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Policiers

Le Couperet

Cadre dans une papeterie depuis vingt ans, Burke Devore, la quarantaine, est un père de famille heureux. Mais un jour il est licencié, atteint de plein fouet par la vague de compressions et de restructurations qui touche l'Amérique des années 1990. Cet employé modèle voit alors sa vie basculer. Bien décidé à retrouver son bonheur perdu, il est prêt à tout, même au pire ! Le dossier de l'édition permet d'approfondir l'étude du roman noir, en proposant les textes de trois maîtres du genre (Dashiell Hammett, Léo Malet et James Ellroy) ; il analyse les différentes formes qu'emprunte la littérature engagée et revient sur l'adaptation cinématographique du Couperet par Costa-Gavras en 2005.

01/2007

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Policiers

Onze jours

Onze jours, c'est le temps qu'il faudra au shérif Carl Houseman et à son unité pour résoudre une enquête particulièrement troublante et éprouvante. Tout commence par la découverte, dans deux fermes isolées de l'Iowa, de plusieurs corps atrocement mutilés. Les victimes semblent avoir été l'objet de meurtres rituels... Donald Harstad, policier dans l'Iowa depuis plus de vingt-cinq ans, s'inspire d'une enquête qu'il a réellement menée pour nous conter cette terrible histoire. Vérifiant l'adage selon lequel " la réalité dépasse la fiction ", on découvrira dans ce voyage au bout de l'horreur que les habitants des campagnes américaines n'ont rien à envier à ceux des mégapoles en matière de secrets, de déviances et de perversités. Un polar noir, captivant et diablement efficace.

08/2005

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Documentaires jeunesse

Mes images de New York

Bienvenue chez Steve à Brooklyn, New York City !Sur le modèle des précédents titres, l'ouvrage raconte de multiples anecdotes sur le quotidien d’un enfant d’aujourd’hui. Le narrateur nous présente sa famille, sa passion (le base-ball), son école, sa ville. Dans les rues de cette métropole mondiale où fourmillent piétons, bus, taxis jaunes, voitures de police et camions de pompiers aux sirènes hurlantes, nous respirons enfin à Central Park, bulle d'oxygène au milieu des gratte-ciel. Bien sûr, nous visitons aussi les célèbres musées Metropolitan et Guggenheim, la 5e avenue, et du haut du Rockerfeller Center, nous admirons toute la ville!Quand arrivent les vacances, c'est le grand voyage vers la côte ouest pour rendre visite aux grands-parents, et la découverte magique du Grand Canyon et des parcs nationaux. En fin d'année, Steve nous raconte les traditions américaines des fêtes d'Halloween, de Thanksgiving, de Hanoucca et de Noël.

05/2011

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Poches Littérature internation

Le roi

Barthelme décale le monde périmé et merveilleux des chevaliers de la table ronde en pleine Seconde Guerre mondiale. A quoi peuvent servir les belles montures des chevaliers face aux tanks allemands ? A rien. Le monde s'effondre et le roi Arthur, Lancelot, Gauvain et les autres, impuissants, vaquent à leurs occupations chevaleresques ordinaires.

06/2013

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Histoire de France

Les avions de l'ennemi. Dessins top secret de la seconde Guerre Mondiale

Ce livre présente une collection de dessins top secret d'avions de la Seconde Guerre mondiale, en particulier des "éclatés", ainsi que des manuels d'entraînement et des affiches très colorées. Ils ont été réalisés à partir d'avions abattus, ou, le plus souvent, d'après les témoignages des pilotes. La plupart de ces dessins étaient classifiés "top secret" et n'avaient encore jamais été publiés. Les éclatés sont nombreux et permettaient aux pilotes de savoir facilement où se trouvaient les organes vitaux des avions ennemis, tels que moteurs, poste de pilotage, réservoirs d'essence, soute à munitions et à bombes, poste de mitrailleur, etc. Les artistes qui ont réalisé ses superbes dessins sont restés anonymes, mais ce livre permet de connaître leur travail remarquable et leur rend hommage.

12/2019

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Policiers

Le couperet

" Il fut une époque où c'était considéré comme malhonnête, l'idée que la fin justifie les moyens. Mais cette époque est révolue. Non seulement nous y croyons, mais nous le disons. " Tel est le constat que fait Burke Devore. Cadre supérieur dans une usine de papier pendant vingt-cinq ans, il vient d'être licencié. Pas pour faute professionnelle. Il a toujours été compétent dans son travail, il a toujours joué le jeu. Non, il est tout simplement victime des compressions, dégraissages, fusions, restructurations. Avec la perte de son emploi, c'est toute l'existence de Burke qui s'écroule : son couple, l'avenir de ses enfants, sa place dans la société. Pour retrouver ce bonheur qu'il croit avoir mérité par son labeur, il est prêt à tout. Même franchir les barrières de la morale. Quelle morale au fait ? Que la société ne s'avise pas de lui demander des comptes. C'est elle qui a dicté ces nouvelles règles du jeu, cyniques et inhumaines. Il n'y a plus qu'à pousser jusqu'au bout la terrifiante logique d'un système absurde. Bien connu pour son humour, Donald Westlake a choisi de faire le procès d'un monde uniquement tourné vers le profit. Dans ce roman très noir et parfaitement d'actualité, il s'attaque au problème du chômage sous un angle pour le moins inattendu. Le Couperet a été salué par la critique américaine comme un chef-d'œuvre. " Si notre sinistre société avait une autre échelle de valeurs, Westlake aurait reçu le prix Pulitzer... et il y aurait sa statue dans les jardins publics. " Washington Post Book World.

10/1998

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Poches Littérature internation

La ville est triste

Cette série de nouvelles, extraites de deux recueils de Donald Barthelme, traite de la vie citadine, son rythme chaotique, ses terreurs et ses merveilles : un jeune homme est accablé par la double vision de son père pleurant dans son lit et se faisant écraser sous les roues d'un carrosse ; au " Musée Tolstoï ", l'auteur s'ébahit devant l'iconographie délirante consacrée au comte Tolstoï et, habité d'une curieuse tristesse, comprend que ce qu'il a de mieux à faire, c'est de le relire ; un personnage tente l'escalade de la " Montagne de verre " qui se dresse au coin de la 13e Rue et de la Huitième Avenue... Dans nos villes tristes, tout, de l'architecture à la culture, en passant par les médias et les mentalités, contribue au cauchemar kafkaïen, et cette angoisse qui suinte de la cité moderne ronge les rapports humains. Donald Barthelme est l'homme des détours, des surprises, des dérapages, et ses textes portés par un esprit caustique, une moquerie hautaine et légère, une tendresse ironique et un peu amère, laissent pantelants. Car la forme est aussi importante que le fond pour Donald Barthelme, et son style, d'une extraordinaire richesse, aborde des registres très différents, du dialogue au monologue intérieur, en passant par la description d'un pays imaginaire et l'écriture automatique des surréalistes.

05/2009

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Poches Littérature internation

Pris dans la glu

"Moi, un pacifiste, un non-violent, j'ai usé de la violence. Moi, un idéaliste que traquent les sbires et les bourres du F.B.I., la fatalité a voulu que je me mue en une créature du F.B.I. Moi, qui méprise, qui abhorre les espions et contre-espions, il a fallu que j'en devienne un. Eh bien, croyez-moi, pour expier cette faute, j'ai du pain sur la planche. Ils n'ont pas fini de m'arrêter pour manifestation non autorisée, les flics !".

11/1987

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Poches Littérature internation

Festival de crêpe

Au sein d'une troupe de jeunes comédiens rassemblés pour un festival, dans une petite station climatique, les meurtres se succèdent, tous plus terrifiants les uns que les autres. La police locale enquête : le coupable ne peut être qu'un membre de la troupe et un dément. Or, dans ce cercle restreint, tout le monde paraît parfaitement sain d'esprit. Le capitaine Sondgard s'arrache les cheveux ; puis, de guerre lasse, se risque à tenter un bluff monumental...

10/1987

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Psychologie, psychanalyse

Lettres vives

Après les Conversations ordinaires avec les uns et les autres, voici les Lettres vives, près de cent cinquante, adressées à quelques-uns : Mme Klein, Mlle Freud, le docteur Lacan, Bion et Balint, Jones et Strachey, mais aussi une fabricante de poupées, le rédacteur en chef du Times ou encore, en 1938, Mrs Neville Chamberlain pour qu'elle demande à son Premier ministre de mari s'il n'est pas secrètement antisémite. On y découvre un Winnicott bien différent de l'image que certains ont de lui en le croyant tout occupé de "maternage" : un Winnicott qui ne ménage pas ses interlocuteurs, qui sait être à la fois intransigeant et chaleureux, luttant bec et ongles contre les dogmes et les clans, un homme foncièrement droit qui prend toujours parti - et avec quelle vigueur, quelle spontanéité ! - pour ce qu'il y a de vivant et de créatif en chacun. Lettres vives où alternent l'humour et la colère, la tendresse et la fermeté, toutes d'une surprenante fraîcheur. Chaque lecteur pourra s'en sentir le destinataire. Nous sommes tous des correspondants de Winnicott.

02/1989

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Policiers

Les traqueurs

«Ma mission était très simple : descendre un chef rebelle qui commençait à devenir trop populaire et risquait de prendre le pouvoir au Costa Verde. Le bonhomme exécuté, j'en ai profité pour ramener un de nos agents prisonniers des rebelles, une belle rousse qui avait subi tous les sévices imaginables et qui piquait une crise de nerf toutes les fois qu'un homme l'approchait. Croyez-vous qu'on m'aurait remercié ? Pensez-vous ! Je me fais engueuler par Washington pour avoir laissé sur place une fusée russe planquée dans la jungle. La politique, je vous jure, c'est quelque chose !»

04/1965

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Livres 3 ans et +

Menace sur notre planète

Le climat de la Terre permet à des milliards d'êtres, y compris les hommes, de vivre à sa surface. Mais son équilibre est menacé. "Nanook, une aventure dans l'Arctique", "Toco, la forêt blessée" et "Sathu, un paradis englouti" : ces trois récits mettent en scène les problèmes écologiques dus au réchauffement de la planète.- Au pôle Nord, Nanook, le jeune ours blanc, explore le monde de la banquise, merveilleux mais fragile. Au fond de la forêt amazonienne, le domaine de Toco le toucan se trouve soudain envahi par les bulldozers. Les hommes arrachent plantes et arbres, détruisant ainsi les habitations et l'environnement des animaux de la jungle. La merveilleuse île de l'océan Indien ou vit Sathu, fille de pêcheur, s'abrite derrière les récifs de corail. Les hommes ont largement exploité ces précieuses richesses naturelles, entraînant de terribles conséquences lors des cyclones. Sathu voit son école disparaître sous l'eau.

06/2006

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Policiers

Bonne conduite

Le couvent de Sainte Philomène est bien le dernier endroit où Dortmunder souhaiterait se retrouver. Mais les faits sont là, terrifiants de réalité : il est suspendu à une poutre maîtresse de la chapelle sous les yeux écarquillés d'un essaim de nonnes, tout ça parce qu'il a la police aux trousses. L'apparition d'un être de sexe masculin est une chose totalement inédite pour les religieuses de cette congrégation mais, pleines de ressources, elles voient en Dortmunder un sauveur envoyé par le ciel. Celui qui pourra ramener au bercail sœur Marie de la Grâce, kidnappée par son propre père afin de la soustraire à l'influence pernicieuse de la religion. La jeune novice est séquestrée en haut d'un gratte-ciel carrément inexpugnable, et comme le fait observer Andy Kelp, ça pose un problème. Si seulement ça n'en posait qu'un... Rivages poursuit la réédition des romans de Westlake avec un chef-d'œuvre de drôlerie. C'est l'occasion de réentendre l'extraordinaire voix comique du créateur de Dortmunder, récemment disparu : un bonheur dont on ne peut pas se priver.

03/2009

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Psychologie, psychanalyse

La mère suffisament bonne

L'amour qu'une mère donne à son enfant est-il mesurable ? Pourquoi une mère devrait-elle être " suffisamment " bonne ? Trop d'amour est-il nuisible ? Trois textes du célèbre pédiatre et psychanalyste anglais - " La préoccupation maternelle primaire " (1956), et " La capacité d'être seul " (1958) - pour évoquer la curieuse folie qui prend toute mère enceinte lorsqu'elle fusionne avec son bébé ; la nécessité, pour que l'enfant devienne autonome, de ne pas le combler totalement ; et les bienfaits qu'il peut retirer d'un peu de solitude.

09/2006

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Policiers

Mort de trouille

" Ensemble, on était lumineux. Depuis le premier jour de notre rencontre, nous étions devenus des gens formidables. On avait un côté glamour et on le savait, on le sentait, on le vivait... On aspirait à une seule chose : vivre une vie de rêve, fascinante, au-dessus du lot, à jamais. Cette vie-là, on se l'imaginait facilement puisqu'on la méritait, pour la seule raison qu'ensemble, on existait. Mais cette raison-là n'était pas suffisante. " Barry et Lola se disaient qu'ensemble, l'avenir leur appartenait, lui l'Américain moyen et elle, la Sud-Américaine pauvre venue étudier aux USA. Ils ont tout essayé pour grimper en haut de cette fameuse échelle sociale, mais ne sont arrivés à rien, à part continuer à s'aimer et à tirer le diable par la queue. Ils n'ont plus qu'un atout : un plan d'assurance-vie qui garantit un versement de trois cent mille dollars au survivant en cas de décès du conjoint, la somme étant doublée en cas de mort accidentelle. Encore faut-il que l'un ou l'autre meure... Pour cela, il existe une solution : retourner au Guerrera, le pays d'origine de Lola, où l'on n'est pas trop regardant sur les disparitions, et simuler la mort de Barry. Qui ressuscitera opportunément sous l'identité de Felicio, un frère de Lola. Après quoi, il suffira que le " frère " et la sœur reviennent aux Etats-Unis, pour y toucher la manne de six cent mille dollars... Ce stratagème parfait n'a qu'une faille : la famille de Lola, qui se dit qu'un mort fictif, c'est bien, mais qu'un vrai cadavre, c'est encore mieux ! Mort de trouille, c'est l'histoire d'un vrai faux mort qui ne sait plus qui il est dans un pays dont il ne parle pas la langue. C'est surtout une histoire à la Westlake, pleine de rebondissements et d'humour, qui s'achève par un formidable dénouement.

05/2006

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Policiers

Tous les Mayas sont bons

Kirby, un Américain installé au Belize - minuscule Etat d'Amérique centrale -, a acquis un terrain dans la jungle sur lequel il a édifié un faux temple maya avec la complicité de villageois locaux. Ces derniers fabriquent pour lui des "antiquités" qu'il entend vendre à des clients américains. Son but est quand même de s'enrichir le plus possible, on ne va pas se le cacher. Mais lorsque lesdits clients arrivent au Belize en même temps qu'une archéologue idéaliste, certaines complications se font jour. Car l'archéologue est une vraie spécialiste qui sait distinguer le vrai du faux. Comme dit Kirby, "une fichue peste".

11/2018