Recherche

Suissitude ultra moderniste

Extraits

ActuaLitté

Critique littéraire

Venises mineures. Quatre écrivains italiens entre mythe et modernité (1866-1915)

A travers quatre écrivains italiens méconnus, cette étude explore les liens entre littérature mineure et mythe littéraire. Ils témoignent des mutations de la société vénitienne entre 1866 et la première guerre mondiale et permettent de penser une forme singulière de modernité vénitienne.

05/2019

ActuaLitté

Economie

Les impasses de la modernité. Critique de la marchandisation du monde

Nées du siècle des lumières, les idées de progrès social, de modernité et de développement ont suscité d'immenses espérances. Mais les avatars les plus récents du système mondial dissipent peu à peu l'espoir d'un développement durable au bénéfice de tous. La modernité nous conduit aujourd'hui vers une triple impasse économique, sociale et écologique. Pourquoi ? Les valeurs initiales de la modernité ont été trahies, sa logique dévoyée : au nom de l'efficacité, le néolibéralisme assimile le progrès social à la marchandisation généralisée et prétend gérer la complexité du monde à l'aide d'un critère unique et simpliste : l'accumulation du profit. Une vision aussi réductionniste du monde appelle d'urgence une réflexion critique sur la nature et les limites de la relation marchande, mais aussi sur les principales conséquences de sa domination : incitation à une croissance indéfinie des productions marchandes alors même qu'elle n'est ni généralisable à toute la planète ni soutenable à long terme ; creusement continu des inégalités ; exclusion et marginalisation massives ; polarisation des relations internationales sur la seule exigence de compétitivité ; impuissance des pouvoirs publics à concevoir les dimensions non marchandes de l'intérêt général. Si le monde veut préserver l'ambition légitime du progrès social, il devra refonder la modernité sur des valeurs authentiques et remettre l'économie marchande au service des hommes.

09/2000

ActuaLitté

Sociologie

Pourquoi l'amour fait mal. L'expérience amoureuse dans la modernité

Tout le monde a fait dans sa vie l’expérience de la souffrance amoureuse, s’identifiant parfois aux héros ou héroïnes de la littérature, de madame Bovary aux personnages de Jane Austen. Pourtant, si le mal d’amour a toujours existé, il y a une manière spécifiquement moderne d’aimer et de souffrir de l’amour, que le livre d’Eva Illouz entend comprendre et éclairer. À partir de nombreux témoignages et d’exemples issus de la culture populaire, elle dresse le portrait de l’individu contemporain et de son rapport à l’amour, de son fantasme d’autonomie et d’épanouissement personnel, ainsi que des pathologies qui lui sont associé : narcissisme, incapacité à choisir, refus de s’engager, évaluation permanente de soi et du partenaire, psychologisation à l’extrême des rapports amoureux, tyrannie de l’industrie de la mode et de la beauté, marchandisation de la rencontre (Internet, sites de rencontre), etc. Tout cela dessine une économie émotionnelle et sexuelle propre à la modernité qui laisse l’individu désemparé, pris entre une hyper-émotivité paralysante et un cadre social qui tend à standardiser, dépassionner et rationaliser les relations amoureuses. Un grand livre de sciences sociales sur le destin de l’amour dans les sociétés modernes.

09/2012

ActuaLitté

Sociologie

La société du risque. Sur la voie d'une autre modernité

C'est en 1986, peu de temps après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, que paraissait en Allemagne La Société du risque. Livre pionnier, traduit en plusieurs langues, sa publication en français intervint au lendemain des attentats du 11 septembre 2001 et de l'explosion d'une usine chimique à Toulouse. Alors que l'on s'interroge plus que jamais sur le " risque zéro ", l'assurance, la responsabilité et la prévention, l'ouvrage d'Ulrich Beck fournit des clés pour penser ce que l'auteur diagnostique comme un véritable changement de société. Car si nous ne vivons pas dans un monde plus dangereux qu'auparavant, le risque est désormais beaucoup plus qu'une menace : il est devenu la mesure de notre action. A une logique de la répartition des richesses a succédé une logique de la répartition des risques : contrainte dès lors de poser continuellement la question de ses propres fondements, la " société du risque " fait de l'avenir la question du présent.

09/2008

ActuaLitté

Critique littéraire

Venises mineures. Quatre écrivains italiens entre mythe et modernité (1866-1915)

A travers quatre écrivains italiens méconnus, cette étude explore les liens entre littérature mineure et mythe littéraire. Ils témoignent des mutations de la société vénitienne entre 1866 et la première guerre mondiale et permettent de penser une forme singulière de modernité vénitienne.

05/2019

ActuaLitté

Notions

L'histoire et la question de la modernité chez Antonio Gramsci

Le marxisme ouvert d'Antonio Gramsci esquisse une philosophie de l'histoire nouvelle et non dogmatique. Gramsci pense ainsi le processus historique en accordant un rôle central à l'activité et aux luttes humaines, et étudie la modernité dans toute sa complexité.

02/2022

ActuaLitté

Esotérisme

Le Graal en question. Un mythe pour sortir de la modernité

Où trouver le sacré au XXe siècle, dans un monde désormais marqué du sceau de la sécularisation et de la déchristianisation ? Peut-être faut-il le chercher dans la fiction. Le succès du Graal dans la littérature et le cinéma est un révélateur : ce mythe pourrait bien constituer un langage commun par lequel s'expriment des aspirations spirituelles largement partagées. S'y retrouvent en effet en toute liberté le goût de la transgression et de l'hétérodoxie, le désir de sortir de sentiers religieux qu'on croit battus, la valorisation du relativisme et de la tolérance considérés comme les seules attitudes humaines acceptables devant notre ignorance de l'Absolu, la sacralisation de l'amour humain à travers le modèle d'un couple à refonder sur des bases tout autres. De fait, le Graal lui-même, en tant qu'objet symbolique, représente l'image du sacré, cet inconnu, défini ici comme ce qui toujours échappe, mais qu'on ne se résigne jamais à trouver absent et qu'il faut chercher malgré tout, même sans espoir de l'atteindre. Dirigée vers ce but inaccessible, la quête du Graal est vécue comme une sortie de la modernité, c'est-à-dire du monde occidental tel qu'il s'est pensé depuis Descartes et construit depuis le XIXe siècle. Elle consiste d'abord à quitter ce dernier, à partir pour partir, même sans savoir où l'on va. En définitive, à travers le Graal, ce calice béant et peut-être vide, c'est le simple refus de notre monde qui rayonne et qui se fait sacré...

03/2005

ActuaLitté

Récits de voyage

Sur les routes du nouveau monde. Voyage dans la modernité chinoise

Fasciné par l’espace nouveau qui s’ouvrait en Chine au début des années 2000, Peter Hessler, correspondant du New Yorker à Pékin, décide de prendre la route, avec pour seuls bagages quelques paquets de biscuits et des litres de soda. C’est le début d’une aventure qui durera une dizaine d’années et le mènera du plateau tibétain au sud du pays. Au fil de ses pérégrinations, il découvre un pays qui se transforme à vue d’œil sous l’effet d’un développement capitaliste débridé. Comment les Chinois vivent-ils ce bouleversement ? À quoi ressemble le quotidien dans une société qui se modernise à une vitesse aussi folle ? C’est à ces questions que tente de répondre ce livre qui articule brillamment le reportage et l’analyse. Il raconte le destin de ces « villes champignons » qui poussent en quelques années au bord des autoroutes et celui de ces villages qui dépérissent et où ne restent plus que quelques vieillards et rêveurs gagnés par la fièvre entrepreneuriale. Les autres sont partis, comme ces jeunes filles de la campagne venus à la ville et rêvant d’une vie meilleure, le regard perdu dans les miroirs des salons d’esthéticiennes… Loin des discours alarmistes – ou enthousiastes – sur la montée en puissance de la Chine, Peter Hessler prend le temps, au milieu de l’agitation frénétique qui caractérise cette décennie, de s’attarder au bord de la route, pour regarder vivre les Chinois.

03/2013

ActuaLitté

Ethnologie et anthropologie

L'animal et la mort. Chasses, modernité et crise du sauvage

La modernité a divisé les animaux entre ceux qui sont dignes d'être protégés et aimés et ceux qui servent de matière première à l'industrie. Comment comprendre cette étrange partition entre amour protecteur et exploitation intensive ? Parce qu'elle précède cette alternative et continue de la troubler, la chasse offre un point d'observation exceptionnel pour interroger nos rapports contradictoires au vivant en pleine crise écologique. A partir d'une enquête immersive menée deux années durant, non loin de Paris, aux confins du Perche, de la Beauce et des Yvelines, Charles Stépanoff documente l'érosion accélérée de la biodiversité rurale, l'éthique de ceux qui tuent pour se nourrir, les îlots de résistance aux politiques de modernisation, ainsi que les combats récents opposant militants animalistes et adeptes de la chasse à courre. Explorant les cosmologies populaires anciennes et les rituels néosauvages honorant le gibier, l'anthropologue fait apparaître la figure du " prédateur empathique " et les rapports paradoxaux entre chasse, protection et compassion. Dans une approche comparative de grande ampleur, il convoque préhistoire, histoire, philosophie et ethnologie des peuples chasseurs et dévoile les origines sauvages de la souveraineté politique. Au fil d'une riche traversée, cet ouvrage éclaire d'un jour nouveau les fondements anthropologiques et écologiques de la violence exercée sur le vivant. Et, en questionnant la hiérarchie morale singulière qu'elle engendre aujourd'hui, il donne à notre regard sensible une autre profondeur de champ.

09/2021

ActuaLitté

Linguistique

Langages du pouvoir au Moyen Age au début de la modernité

Les sociétés traditionnelles sont généralement considérées comme des sociétés de la guerre. Toutefois, au Moyen Age central l'on voit émerger une nouvelle tendance qui fait remplacer les armes par les discours. Le langage, textuel ou iconographique, devient ainsi une forme d'expression du pouvoir.

09/2021

ActuaLitté

Beaux arts

Jacqueline Delubac, le choix de la modernité : Rodin, Lam, Picasso, Bacon

En insistant sur l'audace des choix de Jacqueline Delubac, l'exposition et l'ouvrage qui l'accompagne présentent à la fois la comédienne, la femme "la plus élégante de Paris", mais aussi et surtout l'amatrice d'art qui, en 1997, légua trente-huit oeuvres de première importance au musée des Beaux-Arts de Lyon, sa ville natale. Jacqueline Delubac (1907-1997) gagne Paris dans les années 1920, où sa carrière théâtrale débute en 1931 avec une pièce de Sacha Guitry. Devenue la troisième épouse de l'auteur en 1935, elle emménage dans son hôtel particulier, au milieu des oeuvres de Rodin, Degas, Toulouse-Lautrec, Bonnard, Vuillard... Au fil de ses rôles, les spectateurs sont conquis par cette brune piquante, au jeu moderne "à l'américaine", qui incarne l'élégance à la scène comme à la ville. Séparée de Sacha Guitry en 1939, la comédienne entreprend aussitôt de constituer sa propre collection d'oeuvres d'art. En pleine guerre, elle revend à cette fin les bijoux qu'il lui avait offerts et achète L'Atelier aux raisins, peint par Dufy deux ans auparavant. Après avoir interprété vingt-sept rôles au théâtre et joué dans vingt-cinq films, Jacqueline Delubac interrompt sa carrière au début des années 1950 et devient une figure du Tout- Paris. Avec son nouveau compagnon, le diamantaire arménien Myran Eknayan, propriétaire du fragment central du Déjeuner sur l'herbe de Monet (musée d'Orsay), elle vit désormais pleinement sa passion pour la peinture. Cet ouvrage montre toute la richesse de la ersonnalité de Jacqueline Delubac : le personnage public comme "la part secrète", la femme d'avant-garde qui réunit des tableaux de Lam, Braque, Picasso ou Bacon, aux sujets parfois violents, souvent troublants.

11/2014

ActuaLitté

Littérature classique

Le Figaro hors-série : Charles Baudelaire. Le spleen de la modernité

A l'occasion des 200 ans de la naissance de Charles Baudelaire, le HS se plonge dans l'oeuvre de cet aventurier : - Découvrez l'analyse de ses poèmes, de ses activités de critique d'art, de son rapport à Dieu et à la spiritualité - Plongez dans le récit de sa vie de dandy, de son admiration pour Edgar Poe, de sa relation avec Victor Hugo... .

11/2021

ActuaLitté

Art textile

Hélène Henry. Les tissus de la modernité, Edition bilingue français-anglais

Née en 1891, passionnée par la peinture et la musique, Hélène Henry n'a jamais suivi aucune formation spécifique lorsqu'elle arrive à Paris, à 25 ans. Elle commence par acheter un petit métier à main, s'installe dans un atelier et crée des écharpes qu'elle vend à des couturiers comme Worth ou Nicole Groult. Elle apprend seule à se servir de son métier à tisser et en 1923, elle montre des essais à Francis Jourdain, dont les poteries l'inspirent. Il expose ses créations dans sa boutique et la présente à Pierre Chareau et au cercle de leurs amis "modernes" (Paul Poiret, Pierre Legrain, Jacques-Emile Ruhlmann). La même année, elle s'installe dans un atelier plus grand. H. Henry dessine et peint : bandes, rayures, damiers, motifs géométriques ou dégradés subtils d'une seule teinte. Elle expérimente de nouvelles techniques pour juxtaposer ou opposer des matières ou des points de tissage, en invente de nouveaux. Par le jeu des reliefs et des masses, ses créations semblent être réalisées en trois dimensions. Elle est la première en France à utiliser des fibres artificielles, rayonne ou viscose-fibrane, qu'elle croise avec des fils de coton et de laine. En 1925, elle participe à l'ambassade française du pavillon de la Société des artistes décorateurs (SAD), qui lance le style Arts déco lors de l'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes de Paris, où ses tissus sont exposés dans le bureau-bibliothèque de P. Chareau et dans la salle de repos. Elle quitte la SAD en 1929 pour participer à la fondation de l'Union des artistes modernes (UAM), aux côtés de Mallet-Stevens, Herbst, Jourdain, Templier, Charlotte Perriand, Sonia Delaunay et d'Eileen Gray, entre autres. Elle reçoit des commandes pour la Villa Noailles de Mallet Stevens, à Hyères (1924) ; le palais du maharajah d'Indore (1930) ; le palais de la Société des nations, à Genève ; le paquebot Normandie ; l'Exposition internationale des arts et techniques de Paris en 1937. Après la guerre, elle participe, avec ses anciens amis de l'UAM, aux expositions de la section "Formes utiles" du Salon des arts ménagers où elle décline ses écossais, ses bandes et ses constructions rigoureuses. Mais ses créations, réalisées à la main, en exclusivité pour un client précis, ne trouvent plus preneur : ses remarquables pièces uniques ne peuvent lutter avec les tissus industriels qui arrivent sur le marché européen. Elle supervise cependant le tissage de ses modèles jusqu'à sa mort, en 1965. 20 ans plus tard, son talent est redécouvert grâce à des galeristes spécialisés et à des expositions comme Les Années UAM, au musée des Arts décoratifs de Paris, fin 1988-début 1989, ou Pierre Chareau, au Centre Pompidou à Paris, (1993-1994).

08/2021

ActuaLitté

Sociologie

L'autre moitié de la modernité. Conversations avec Joseph Yvon Thériault

L'oeuvre sociologique de Joseph Yvon Thériault fournit une aide aussi rare que précieuse pour penser les défis des sociétés modernes. Elle porte plus de quarante ans de réflexions sur le Québec, l'Acadie, la francophonie canadienne et les "petites nations" . A l'instar de celles d'autres grands penseurs, elle fournit un "monde commun" suffisamment riche et partagé pour penser avec acuité et diversité les enjeux sociopolitiques d'hier et d'aujourd'hui. C'est à l'explicitation de cette oeuvre originale au service de l'intelligence du contemporain que portent ces conversations tenues entre deux jeunes universitaires, l'un historien, l'autre sociologue, et Joseph Yvon Thériault. Elles retracent le chemin parcouru par le prolifique sociologue, en suggérant ce que son oeuvre doit à son terreau acadien comme à ses études parisiennes, en autant de thèmes qui relèvent l'importance, pour la quête intellectuelle comme pour la constitution des sociétés, de cette "autre moitié de la modernité" , ce monde social, historique et culturel qui donne chair aux grands principes et processus modernes.

08/2021

ActuaLitté

Histoire rurale

La modernité est dans le pré. La campagne française après 1945

Depuis la fin du XXe siècle, habiter la campagne française est devenu un fantasme partagé à l'échelle mondiale, mais aussi une réalité. Dans un contexte d'urbanisation et de mondialisation, on ne compte plus les best-sellers qui décrivent l'installation dans une fermette rénovée, ni la floraison de résidences secondaires dans les contrées les plus reculées du territoire. Pourtant, loin de rendre compte d'une simple nostalgie de retour à un âge d'or des campagnes, ces phénomènes témoignent d'une redéfinition de la ruralité au sein de sociétés post-agraires. La modernité est dans le pré retrace cette mutation sans précédent, tout en replaçant les itinéraires des femmes et des hommes au coeur des transformations du paysage français. Sarah Farmer analyse notamment la place et le rôle des néoruraux, le bouleversement des terroirs comme en témoigne le travail du grand photographe Raymond Depardon, mais aussi l'immense nostalgie qu'a provoquée le départ de milliers de Français lors de l'exode rural. Entre les utopies de retour à la terre, le succès des mémoires de paysans ou la naissance du mouvement écologiste, c'est une nouvelle France qui se réinvente, contribuant ainsi à redéfinir la place des villes et à interroger les chemins de l'avenir.

10/2023

ActuaLitté

Sociologie

Confiance et violence. Essai sur une configuration particulière de la modernité

Cet ouvrage est une exploration de la modernité occidentale hors de nos cartographies habituelles. Sans pareil, il déroutera d’aucuns, comme peuvent dérouter Masse et Puissance d’Élias Canetti ou Création littéraire et connaissance d’Hermann Broch. Pour traiter son sujet, en effet, il ne recourt pas à une méthodologie propre à une discipline établie, mais à une technique descriptive. De vastes survols alternent avec une concentration sur des détails, afin de compenser ce que la vue d’ensemble a inévitablement de trop schématique. Les approches sociologiques ou historiographiques, autant que les développements empruntés aux philosophies politique et morale, alternent avec des analyses philologiques et le traitement de matériaux extraits de la littérature, de la poésie et du théâtre. Il n’en fallait pas moins pour aborder de front le paradoxe essentiel de la modernité : celui des rapports que nos sociétés contemporaines nouent entre confiance et violence. Trois questions sont tramées. Premièrement : comment en est-on arrivé à cette spécificité de la modernité, européenne et transatlantique, issue des crises des XVIe et XVIIe siècles, qui la distingue apparemment de toutes les autres configurations culturelles, à savoir son besoin spécifique de légitimer le recours à la violence ? Deuxièmement : comment cette modernité parvient-elle à concilier ce besoin de légitimation et la confiance qu’elle nourrit d’aller vers un avenir où la violence serait la plus réduite possible, avec la violence effective qu’elle exerce ? Troisièmement : pourquoi les excès de violence du XXe siècle, s’ils ont certes gravement entamé la confiance que la modernité a en elle-même, ne l’ont, pour le moment, pas amenée à se détourner de sa voie spécifique ? Cette étude sur la confiance au fondement de tout pacte social, sur la violence corporelle, ou encore les rapports entre pouvoir et violence, est de ces travaux qui changent notre éclairage, ils braquent en quelque sorte les projecteurs sur un terrain connu mais d’une façon nouvelle, et veulent ainsi faire ressortir des zones restées dans l’obscurité, modifiant et les ombres portées et plus en profondeur nos perspectives communes. Elle ne concurrence pas d’autres regards sur la modernité, elle les complète. À condition que l’on en accepte le dépaysement premier.

10/2011

ActuaLitté

Economie

L'Afrique dans la modernité néolibérale. Responsabilités éthiques des multinationales capitalistes

Les Sociétés multinationales capitalistes oeuvrant en Afrique, peut-on espérer quelles deviennent un jour des entreprises citoyennes, travaillant pour une révolution technologique et éthique en offrant ainsi plus à l'humanité qu'une simple valorisation de leur capital ? L'objectif premier de notre publication se veut triple : d'abord, alerter l'opinion tant nationale qu'internationale que l'Afrique est victime de ses propres richesses pillées par une élite autocratique et oligarchique au service des Sociétés multinationales capitalistes et de leur "mangeocratie". Les conséquences sont tragiques depuis la traite atlantique, la colonisation, la post colonie, la mondialisation accumulant crimes de guerres, crimes contre l'humanité, viols et génocides. Est-il possible de mettre fin au capitalisme sauvage et désastreux qui exsangue l'Afrique et la maintient dans l'expropriation et la sujétion pendant des siècles ? N'est-il pas grand temps que l'exploitation des richesses du continent soit menée en vue de l'industrialisation de l'Afrique en toute transparence et dans le respect de la raison éthique au bénéfice des peuples africains ? En plus, les hommes politiques africains peuvent-ils se libérer du nombrilisme asservissant en vue de permettre à leurs nations de se hisser à la hauteur des enjeux économiques de la mondialisation ? Enfin, si les Sociétés capitalistes multinationales se comportaient comme des entreprises citoyennes, elles assumeraient leur responsabilité économique, sociétale et environnementale en s'impliquant davantage dans le développement durable des milieux dans lesquels elles agissent. Une éthique des Sociétés capitalistes multinationales serait, en toute conséquence, pertinente et urgente en vue de bien réguler leurs activités pour veiller à l'imputabilité et déterminer la responsabilité de chacun, dans le but de démanteler les circuits mafieux sur le continent, de ce fait en participant ainsi à la Renaissance de l'Afrique.

01/2014

ActuaLitté

Histoire internationale

L'Afrique des cultures et la mondialisation. Entre tradition et modernité

Le choix délibéré de se défaire entièrement de nos traditions et de s'engager sans retour sur la voie de la mondialisation n'est pas sans conséquence sur notre devenir. Cela nous coupe de nos anciennes racines et nous oriente vers une destination inconnue et incertaine. Cependant, un adage le reconnaît volontiers : " Il n'y a point de bon vent pour celui qui ne sait où il va ". Ce qui est en vogue, c'est ce concept de mondialisation. Si nous ne nous regardons pas dans la glace, si nous ne nous remettons pas en cause, pour savoir d'où nous venons, nous mourrons sous peu dans l'inertie culturelle, incapables d'imaginer le moindre horizon.

10/2020

ActuaLitté

Religion

L'islam entre religion et idéologie. Essai sur la modernité musulmane

Le constat semble faire chaque jour l'unanimité : l'une des pires menaces qui pèserait sur l'Occident d'aujourd'hui résiderait dans l'islam politique. Le phénomène dicterait l'avenir des sociétés musulmanes, déstabiliserait l'ordre mondial et ruinerait les valeurs attachées à l'expérience historique occidentale - comme hier, au tournant des XIXe et XXe siècles, le panislamisme avait convaincu les chancelleries d'une inéluctable confrontation entre islam et civilisation. Pour comprendre l'islam politique contemporain, il convient de revenir à ce que Nadine Picaudou définit comme le moment moderne de l'islam. Entre les années 1860 et 1930, l'islam devient un régime de croyances et de pratiques qui s'objectivent dans les univers politique et social : loin de s'accompagner d'un désenchantement du monde, la modernité musulmane rationalise le message révélé et l'émancipe de la scolastique du savoir établi. Référence disputée dans le débat public, l'islam entre dans de nouveaux dispositifs de gouvernement à l'heure où les pouvoirs sont confrontés à la nécessaire redéfinition des formes de la souveraineté, de la législation et de la légitimité. Enrôlé dans toutes les mobilisations politiques contre la domination étrangère, l'islam nourrit dans le même temps de nouveaux répertoires de l'action collective. Le moment moderne de l'islam est ainsi celui de la transformation du religieux en idéologie, préalable à toutes les politisations contemporaines.

05/2010

ActuaLitté

Cinéma

Cinéma et sculpture. Un aspect de la modernité des années soixante

Ce livre se propose d'interroger le rapport entre sculpture et modernité cinématographique. La Jetée de Chris Marker, Une Femme mariée ou Le Mépris de Jean-Luc Godard, Shadows de John Cassavetes, Hiroshima mon amour ou L'Année dernière à Marienbad d'Alain Resnais, Sandra (Vaghe stelle dell'orsa) de Luchino Visconti, Voyage en Italie de Roberto Rossellini, Méditerranée de Jean-Daniel Pollet : pendant une dizaine d'années, entre 1954 et 1965 notamment, cette petite constellation de films réalisés par divers cinéastes de tout premier plan fait une place remarquable à la sculpture et, plus singulièrement encore, à la visite d'un musée. Dès lors, se fait jour une séquence fondée sur " l'universalité d'un problème " où la relation de la sculpture et du cinéma sert de révélateur et crée un événement relevant de l'histoire du cinéma. C'est dans ce tournant des années soixante que l'on voit émerger une certaine modernité du cinéma.

09/2002

ActuaLitté

Histoire et Philosophiesophie

Histoire des sciences et des savoirs. Tome 2, Modernité et globalisation

Se donnant comme "la Modernité", les années 1770 à 1914 sont le temps de l'industrialisation et de l'expansion impériale et coloniale. La science est victorieuse, la technique est reine, la Terre est quadrillée et mesurée, les populations sont mises en nombres, les races sont cartographiées. Laboratoires, universités et musées se répandent à l'échelle planétaire. Réunissant les contributions de spécialistes des quatre coins du monde, ce deuxième tome de l'Histoire des sciences et des savoirs nous parle des sciences physiques et mathématiques, des sciences et savoirs en Inde, de la révolution Meiji et du "provincialisme" colonial des sciences américaines. Il raconte aussi l'avènement des microbes et leur impact sur les sociétés, l'engouement populaire pour les expositions universelles et, déjà, les inquiétudes des contemporains au sujet de la détérioration du climat. Un livre concret qui brosse un XIXe siècle fascinant et inquiétant.

10/2015

ActuaLitté

Beaux arts

Considérations sur l'état des Beaux-Arts. Critique de la modernité

Cet ouvrage, paru en 1983, est très vite devenu un classique contemporain, tant après lui nombre se sont engagés dans la brèche de cette première vraie critique de la modernité artistique. Le constat demeure aujourd'hui encore lucide : depuis les années 1950 se sont multipliés aussi bien les musées d'art moderne que les écrits qui lui sont consacrés. Mais jamais on a aussi peu peint, jamais on a aussi mal peint. La pullulation d'objets hétéroclites qui ne ressortissent à l' "art" que par l'artifice du lieu qui les expose et du verbe qui les commente amène à poser la question : vivons-nous le temps d'un moderne tardif, au sens où l'on parle d'un gothique tardif ? Quelles sont les causes de ce déclin ? En transposant dans le domaine des formes le propos millénariste des Révolutions, la théorie de l'avant-garde a peu à peu fait entrer la création dans la terreur de l'Histoire. De ce point de vue, le primat de l'abstraction imposé après 1945 aux pays occidentaux n'est que la figure inverse de l'art d'Etat que le réalisme socialiste a imposé aux pays soviétiques. Elle a entraîné une crise des modèles : inverse de celle du néo-classicisme qui rejetait la perfection de l'art dans le passé, elle a projeté dans le futur une perfection désormais inaccessible dans le temps. Elle a aussi entraîné une perte du métier : le n'importe-quoi, le presque-rien, l'informe et le monstrueux comme variétés de l'hybris moderne redonnent à la querelle de l'art comme savoir-faire ou comme vouloir-faire une singulière actualité.

06/2015

ActuaLitté

Critique littéraire

Tradition et modernite de l'aphorisme. Cioran, Reverdy, Scutenaire, Jourdan, Chazal

L'écriture aphoristique de ce siècle se situe dans le prolongement d'un ensemble de traditions gnomiques et sentencieuses que l'on peut faire remonter jusqu'à l'antiquité la plus haute. La première partie est ainsi consacrée à l'histoire des genres sentencieux et de l'écriture discontinue. et en particulier à l'avènement de la maxime classique. C'est dans la descendance directe de la maxime. dans son infléchissement vers la contingence et la subjectivité, qu'il convient de cerner l'émergence d'un genre moderne de l'aphorisme, où la question de la vérité dans le discours discontinu, notamment au travers de la "révolution" surréaliste, prend un tour radicalement problématique. Dans la seconde partie du livre, l'hypothèse d'une spécificité relative de l'aphorisme moderne comme ressaisissement de la tradition est mise à l'épreuve dans des études monographiques consacrées à cinq auteurs de première importance pour le genre: Cioran. Reverdy. Scutellaire. Jourdan et Chazal.

04/1997

ActuaLitté

Philosophie

HISTOIRE DE LA PHILOSOPHIE POLITIQUE. Tome 2, Naissances de la modernité

La décomposition de l'univers ancien fait émerger, aux XVIe-XVIIe siècles, les valeurs de la liberté et de l'égalité. Or, ce bouleversement s'effectue dans le cadre même de ce qui avait illustré au mieux le régime antérieur de la tradition : la composante religieuse, plus particulièrement chrétienne (Augustin, Guillaume d'Ockham ou Vitoria), qui a ainsi joué un rôle essentiel, trop souvent oublié, dans la formation de l'individualisme politique. Sur cette lancée, l'homme de l'humanisme moderne s'affirme comme celui qui n'entend plus recevoir ses lois ni de la nature des choses ni de Dieu, mais prétend les fonder à partir de lui-même. C'est la mise en œuvre de cette affirmation de l'homme que ce volume entreprend d'explorer en montrant sur la base de quelles options la révolution jusnaturaliste s'est opérée et a pris pour norme le droit " subjectif ". Il s'attache à faire ressortir la façon dont les sociétés se sont conçues comme auto-instituées, selon l'emblème du contrat social que, de Hobbes à Montesquieu, de Machiavel à Spinoza, de Suarez à Locke, la plupart des philosophies politiques se sont employées à approfondir ou à discuter.

10/1999

ActuaLitté

Beaux arts

Le voyage architectural en France (XVe-XVIIe siècles). Antiquité et modernité

L'ouvrage est consacré à la réception de l'architecture antique, médiévale et moderne à travers les témoignages textuels et graphiques laissés par les voyageurs français et étrangers, depuis le XVe?siècle où apparaissent les premiers témoignages significatifs, jusqu'au chantier de Versailles qui focalise durablement l'attention des visiteurs. Les descriptions les plus connues, citées souvent à partir d'extraits publiés à la fin du XIXe ou dans la première moitié du XXe siècle, sont envisagées dans leur ensemble et mises en parallèle. Les autres, souvent inédites, sont prises en compte pour les témoignages qu'elles apportent aussi bien sur les antiquités gallo-romaines que sur les édifices civils et religieux plus récents ou strictement contemporains. Les bâtiments sont donc étudiés à un moment de leur histoire mais aussi analysés et contextualisés en fonction des intérêts et des goûts manifestés par les divers voyageurs, selon l'époque, l'itinéraire, la durée du séjour, éventuellement la nationalité. L'étude de la réception de ces édifices vus dans le long terme et dans tous leurs états, en chantier, restructurés, agrandis, modernisés sous des propriétaires différents, en constante mutation et devenir dans leurs dedans comme dans leurs dehors, permet d'écrire une histoire du goût et de la curiosité comme de l'art d'habiter en France à l'époque moderne.

10/2018

ActuaLitté

Religion

La fin de la modernité juive. Histoire d'un tournant conservateur

La modernité juive s'est déployée entre les Lumières et la Seconde Guerre mondiale, entre les débats qui ont préparé l'Emancipation et le génocide nazi. Pendant ces deux siècles, l'Europe en a été le coeur ; sa richesse intellectuelle, littéraire, scientifique et artistique s'est révélée exceptionnelle. Mais la modernité juive a épuisé sa trajectoire. Après avoir été un foyer de la pensée critique du monde occidental, les juifs se sont retrouvés, par une sorte de renversement paradoxal, du côté de la domination. Les intellectuels ont été rappelés à l'ordre et les subversifs se sont assagis, en devenant souvent des conservateurs. L'antisémitisme a cessé de modeler les cultures occidentales, en laissant la place à l'islamophobie, la forme dominante du racisme en ce début du XXIe siècle. Transformée en "religion civile" de nos démocraties libérales, la mémoire de l'Holocauste a fait de l'ancien "peuple paria" une minorité respectable, distinguée, héritière d'une histoire à l'aune de laquelle l'Occident démocratique mesure ses vertus morales. Dans cet essai novateur, Enzo Traverso analyse cette métamorphose historique. Son bilan ne vise pas à condamner ou à absoudre, mais à réfléchir sur une expérience achevée, afin d'en sauver le legs, menacé tant par sa canonisation stérile que par sa confiscation conservatrice.

02/2013

ActuaLitté

Ethnologie

Voyage dans l'autre de la modernité. Essais d'anthropologie philosophique

Notre mythe le plus puissant reste sans doute l'idée de modernité, selon laquelle une rupture historique inédite a créé une dynamique et un monde radicalement différents de tout ce qui le précède. La force d'une telle vision vient bien sûr des avancées de la technique qui transforment toujours plus rapidement nos vies. Mais l'idée de modernité se nourrit surtout d'une certaine conception de l'autonomie individuelle et de l'égalité. Ces valeurs désormais cardinales nous rendent de plus en plus inacceptable tout ce qui semble y contrevenir et de plus en plus étranges les sociétés du passé. La modernité semble bel et bien devenue la référence ultime et la mesure de toute chose. Le monde occidental actuel ne se résume toutefois pas à ses valeurs emblématiques et à la dynamique qui l'emporte. Il continue en effet d'abriter toute une série de réalités qui ne sont pas proprement modernes : religions, traditions, communautés, institutions, etc. Ressaisie dans sa réalité effective et non plus seulement dans l'image idéalisée qu'elle se donne d'elle-même, la modernité apparaît ainsi comme un fait complexe qui abrite sa propre altérité. Fruit d'une collaboration entre chercheurs québécois et français, cet ouvrage croise des perspectives venues des sciences sociales, de la philosophie, du droit et de l'histoire avec l'ambition d'esquisser une anthropologie philosophique à la hauteur de cette complexité. Il constitue en quelque sorte un voyage dans l'Autre de la modernité, une exploration libre de quelques-unes des réalités "autres" qui font la richesse déconcertante du monde moderne.

02/2012

ActuaLitté

Sports

Petit guide à l'usage du marathon des sables. & autres ultras sablonneux

J'ai commencé à écrire pour deux choses importantes à mes yeux : la première, convaincre les amateurs comme moi, et encore plus les femmes qui ont souvent tendance à s'empêcher de rêver que ces courses sont beaucoup plus accessibles qu'on ne veut bien le dire. Je ne peux pas m'empêcher de sourire lorsque je vois des termes du style "la course la plus dure du monde", comme si l'auteur de ces mots avait testé toutes les courses du monde pour se faire un avis. Même moi aujourd'hui avec une bonne vingtaine d'ultras à l'autre bout du monde, je suis bien incapable de vous dire laquelle a été la plus dure. Tout dépend de sa forme du moment, morale et physique… Un 100 km peut se révéler nettement plus compliqué à finir qu'un 250 en fonction du jour et de pleins d'éléments que l'on ne maîtrise pas forcément. Et surtout je refuse d'évoquer la dureté, moi ma classification je la fais au bonheur ! J'ai adoré voir le soleil se coucher dans le désert, courir avec le Sphinx en fond d'écran, me baigner dans une mare d'eau blanche de sel en Atacama, courir avec les manchots… Les ampoules, les pleurs, les douleurs, tout cela n'existe plus et je l'oublie très vite. Je ne garde que le positif, un peu comme pour mes enfants que je ne résume pas à mes accouchements ! L'autre raison qui m'a donné envie d'écrire, c'est que cela me permet de garder une certaine distance. Mon crayon est comme l'appareil photo du photographe, je suis là, j'immortalise avec mes mots, ce que d'autres font si bien avec leurs images mais je ne fais pas vraiment partie du décor. Cela me protège énormément et me permet la plupart du temps de passer à ma vie de tous les jours à ces moments-là sans trop de casse. J'avoue parfois que j'ai même du mal à réaliser en relisant ces textes que c'est bien moi, la nulle en sport au collège, qui des années après, on ne sait trop pourquoi se retrouve à traverser des déserts avec un sac sur le dos. Ce livre avec ces récits et mes petits conseils n'a pas d'autre prétention que de vous donner envie de vous lancer dans l'aventure en rendant tout cela un peu plus "accessible". Je ne suis et ne serai jamais une championne, je reste une mère de famille ordinaire qui aura fait dans sa vie des trucs qui sortent un peu de l'ordinaire. Alors si vous en rêvez vraiment, qu'attendez-vous ? Le monde de l'ultratrail vous appartient, à vous d'aller le découvrir et j'espère que cet ouvrage va vous y aider.

04/2019

ActuaLitté

Calendriers et agendas

Frigobloc. Le calendrier ultra simple pour une famille organisée ! De Sept 2019 à Déc 2020, Edition 2019-2020

Plus simple, ça n'existe pas ! Une version sans frou-frou de calendrier familial pour organiser toute son année, mois par mois, dans un format à accrocher ou aimanter. Chaque mois est présenté sur 2 pages avec un espace pour noter les grandes priorités, un espace mémo pour les parents et un espace d'expression dédié aux enfants ! Avec trombones, autocollants, listes de courses, critérium, aimants et pochette de rangement. 16 mois d'organisation, de septembre 2019 à décembre 2020.

08/2019

ActuaLitté

Littérature française

Le cri d'un ultra, ou le 'vade-mecum' de l'électeur honnête homme ; suivi de quelques mots

Le comte de Chambord étudié dans ses voyages et sa correspondanceDate de l'édition originale : 1880Sujet de l'ouvrage : Chambord, Henri de Bourbon (1820-1883 ; comte de)France -- 1870-1940 (3e République)Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur le site HachetteBnF.

08/2013