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Premier centenaire de la mère Thérèse de Saint-Augustin, Madame Louise de France, discours

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Littérature française

La Canne De M. De Balzac. .

"La Canne de M. de Balzac" est une nouvelle écrite par Madame Emile de Girardin, une auteure et journaliste française du XIXe siècle. Voici un aperçu de l'intrigue et des thèmes de cette nouvelle : "La Canne de M. de Balzac" est une oeuvre qui rend hommage à l'écrivain Honoré de Balzac, l'une des figures marquantes de la littérature française. La nouvelle raconte une histoire fictive liée à une canne appartenant à Balzac, une relique précieuse qui suscite l'intérêt de nombreux personnages. L'intrigue tourne autour de la canne de Balzac, un objet chargé d'histoire et de symbolisme. Plusieurs personnages, dont des écrivains et des admirateurs de Balzac, sont captivés par la canne et par la mystique qui l'entoure. Cet objet devient le point de départ de rencontres, de discussions et de réflexions sur la littérature, la création artistique et l'héritage de Balzac. La nouvelle explore les thèmes de l'admiration, de l'influence artistique et de la transmission des idées et de la créativité d'une génération à l'autre. L'amour pour la littérature et l'importance de la préservation de l'héritage culturel sont des éléments centraux de l'histoire. Madame Emile de Girardin utilise "La Canne de M. de Balzac" pour célébrer Balzac en tant que figure littéraire majeure de son époque et pour mettre en évidence son impact durable sur les générations futures. La nouvelle offre également une réflexion sur la manière dont les objets tangibles peuvent évoquer des souvenirs et des émotions liés à des personnalités influentes. En fin de compte, "La Canne de M. de Balzac" est une oeuvre qui combine hommage littéraire, exploration de l'admiration artistique et réflexion sur la transmission de l'héritage culturel à travers les générations.

09/2023

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Littérature française

Notice sur le premier monastère de la Congrégation de Notre-Dame à Paris, Abbaye-aux-Bois

Résumé des leçons données à l'École des ponts et chaussées par M. Navier,... : sur l'application de la mécanique à l'Établissement des constructions et des machines. Tome 1 / par M. Navier,...Date de l'édition originale : 1833-1838Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF.HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces œuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande.Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables.Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique.Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces œuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.Pour plus d'informations, rendez-vous sur www.hachettebnf.fr

10/2014

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Littérature française

Journal pour Mademoiselle de Menou

Le Journal pour Mademoiselle de Menou est la partie principale du manuscrit 3 471 de la bibliothèque de l'Arsenal, qui regroupe des textes inédits de Mme de Murat. Il témoigne des audaces d'une femme de lettres maintenue en marge de la société par le pouvoir royal.

07/2014

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Littérature française

La première année de correspondance entre Mme de Sevigne et Mme de Grignan

Le départ de Mme de Grignan ayant provoqué en Mme de Sévigné le désir d'instaurer un mode de communication irréductible aux pratiques de civilité usuelles, l'épistolière expérimente tout au long de l'année 1671 un style inventif et généreux à la hauteur de ses exigences affectives.

10/2012

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Critique littéraire

Oeuvres complètes, série 1. Oeuvres critiques Tome 2, De la littérature et autres essais littéraires

À qui voudrait réduire la théorie littéraire de Germaine de Staël au retentissant succès du De la littérature en 1800, ce volume oppose le panorama d'une pensée dont le mouvement et l'énergie ne dissocient jamais la réflexion esthétique du combat pour la liberté. En refusant d'assigner à la création post-révolutionnaire les contours normatifs d'une " poétique ", l'oeuvre staëlienne invente une trajectoire singulière, scandée par des valeurs et des principes incompatibles avec la fixité d'un " système ". Magistralement lancée au seuil du nouveau siècle, cette réflexion, enracinée dans les soubresauts de l'histoire et le destin personnel d'une opposante, fait l'objet d'une constante maturation qui croise la rencontre de l'étranger et les stratégies requises par l'exil. De l'Essai sur les fictions, qui l'impose dès 1795 comme l'une des premières femmes à penser le roman de l'après Révolution, à la bataille romantique suscitée en 1817 par son appel au réveil italien, la critique de Staël impose une intensité seule capable de conjuguer la vérité et la liberté. Ce volume, riche de comptes rendus, essais, préfaces et notices biographiques, réunit pour la première fois De la littérature et la fresque des essais littéraires où résonnent l'éloge de la dissidence et l'élan européen.

01/2013

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Littérature française

Mémoires de Sophie. Suivi de Amélie et Pauline, Romans d'émigration (1789-1800)

Claire de Kersaint, duchesse de Duras (1777-1828), a connu une grande célébrité de son vivant. Amie de Chateaubriand qui la nommait sa "soeur", elle a tenu, sous la Restauration, le plus important salon de Paris, y réunissant, sur fond de faubourg Saint-Germain, des savants (Cuvier, Humboldt, l'astronome Arago), des écrivains et des hommes politiques (Chateaubriand, Talleyrand, Lamartine, Benjamin Constant). Si madame de Duras, au cœur d'un contexte politiquement agité, a laissé le souvenir d'une grande dame supérieure à l'esprit de parti, elle doit également demeurer comme écrivain majeur. Ses romans lui ont valu une renommée européenne. Ourika et Edouard, publiés en 1824 et 1825, ont connu un immense succès. Son troisième ouvrage, Olivier ou le Secret, a fait scandale avant même de paraître. Abordant le sujet délicat de l'impuissance, il a suscité une intense curiosité, de Stendhal notamment qui y trouva le sujet d'Armance. On a réuni ici sous le titre Romans d'émigration, deux textes inédits : Mémoires de Sophie et Amélie et Pauline, rédigés en 1823 et 1824, et conservés dans des archives privées jusqu'à nos jours. Après la mort dramatique de son père, guillotiné en 1793 pour avoir refusé de voter la mort du Roi, Claire de Duras et les siens doivent quitter la France. L'exil constitua pour elle une tragédie, mais ce fut également une source d'inspiration féconde. Témoignages historiques de première main, ces Mémoires de Sophie sont une interrogation romanesque de l'émigration. Celle-ci fut-elle une erreur, une expiation, une faute ? Comment vivre ce bouleversement produit par la Révolution française et peut-on survivre dans un monde radicalement transformé ? Telles sont quelques-unes des questions posées dans ces romans écrits dans une langue qui tient sa perfection du classicisme et sa trame intime d'un sentiment prématurément romantique : Claire de Duras réunissait, selon Chateaubriand, "la force de la pensée de madame de Staël à la grâce du talent de madame de Lafayette". "Merveilleux compromis" ajoute Sainte-Beuve dans ses Portraits de femmes.

11/2011

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Critique littéraire

Lettres de Madame de Maintenon. Volume 5, 1711-1713

Ce volume, rassemble les lettres datées de Mme de Maintenon au cours des années 1711-1713, en l'attente du volume VII qui comportera un recueil de lettres non datées et de précieux index. " Je suis donc, Madame, seule au milieu du monde ", écrit Mme de Maintenon au seuil de la nouvelle et dernière année de ce volume, le 31 décembre 1712. Les événements politico-militaires et religieux se conjuguent, en effet, pour nourrir dans les lettres de ce nouveau volume à la fois le sentiment de solitude et le regard distancié de l'épistolière sur le monde pendant cette période. Confrontée aux aléas de la guerre de Succession d'Espagne, aux conflits issus du jansénisme et de sa problématique condamnation par l'épiscopat français, impliquée dans les deux domaines par son éminente position auprès du Roi mais aussi par ses liens personnels avec plusieurs des protagonistes, Mme de Maintenon laisse percevoir dans ses lettres, la complexité des enjeux et des positions. L'écriture reflète par sa flexibilité, et en fonction des sujets traités, cet art du stratège que nécessite aussi la vie de Cour. S'adaptant avec souplesse à ses destinataires, réservant aux plus intimes les pointes railleuses et l'art du sous-entendu, adoptant pour d'autres le style " sec " qu'elle peut aussi revendiquer, Mme de Maintenon désormais septuagénaire, traite de tous les sujets, de la bagatelle à l'affaire d'Etat, en recyclant les formes mondaines et galantes de l'écriture dans ce qui constitue un laboratoire épistolaire féminin.

07/2013

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Critique littéraire

Lettres de Madame de Maintenon. Volume 3, 1650-1689

Le tome III de la nouvelle édition intégrale et critique de la correspondance de Mme de Maintenon contient 817 lettres, s’adressant à 108 destinataires différents et s’étendant sur les années 1698-1706. L’archevêque de Noailles et son neveu Adrien-Maurice, comte d’Ayen puis duc de Noailles, sont les deux principaux correspondants. Pendant cette période commence aussi une correspondance suivie avec Mme de Caylus, Mme de La Viefville, abbesse de Gomerfontaine, et la princesse des Ursins. L’éducation des Demoiselles de la Maison de Saint-Cyr demeure un thème. Trois sujets importants retiennent plus particulièrement l’attention au cours de cette période. Tout d’abord les suites de la cabale quiétiste, notamment la condamnation de l’Explication des Maximes des Saints de Fénelon et la rupture définitive de ce dernier avec Mme de Maintenon. Puis le réveil de la querelle janséniste et les premiers reproches à l’adresse de l’archevêque Louis-Antoine de Noailles soupçonné de sympathiser avec le parti janséniste et d’être son protecteur. Enfin la mort du roi Charles II en 1700 et la succession d’Espagne. L’acceptation par Louis XIV du testament espagnol et la proclamation royale du duc d’Anjou comme roi d’Espagne, le 16 novembre 1700, ont eu de terribles suites au cours des années suivantes. Cette décision déchirera l’Europe par de longues guerres. En mai 1702, l’Angleterre, les Provinces- Unies et l’Empereur déclarent la guerre à la France et à l’Espagne et ce n’est qu’en 1713, avec le traité d’Utrecht, et après de longues négociations que les possessions espagnoles seront réparties et les conditions de paix arrêtées. Les lettres de Mme de Maintenon, recueillies dans ce tome III, dont un grand nombre n’a jamais été publié, apportent des éléments précieux aux historiens de cette période et témoignent en même temps de son grand talent épistolaire.

03/2011

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Littérature française

Romans et nouvelles

La Princesse de Clèves est l'une de ces oeuvres qui traversent les siècles en conservant un prestige extraordinaire. La critique peut tenter d'analyser cette fabuleuse réussite: chercher dans La Princesse de Clèves un grand roman d'amour qui renvoie à tout l'imaginaire occidental, ou une page d'histoire, «des mémoires de cour», comme disait Madame de Lafayette, ou un conte didactique, dont les analyses et la morale gardent toute leur valeur... Soyons sûrs que La Princesse de Clèves restera fascinante, mais ce roman ne fut pas une oeuvre isolée, il naquit dans un contexte précis. Il n'est pas inutile de préciser ce contexte et, pour cela, de lire d'abord les autres «romans et nouvelles» de Madame de Lafayette. On ne doit pas seulement y chercher des documents qui éclairent La Princesse de Clèves: ces oeuvres moins connues ont leur valeur et leur originalité...

05/2010

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Histoire de France

Lettres parisiennes du vicomte de Launay. Tome 2

De 1836 à 1848, Delphine de Girardin a publié dans la Presse, un quotidien dirigé par son mari Emile de Girardin, un feuilleton hebdomadaire, " Courrier de Paris ", sous le pseudonyme du vicomte de Launay. Célèbre depuis son enfance, elle était la fille de Sophie Gay, elle-même ex-merveilleuse et auteur d'Anatole, qu'aimait Napoléon. Après son mariage, Delphine de Girardin reçut le Tout-Paris des lettres et des arts : Balzac, Dumas, Eugène Sue, Théophile Gautier, etc. On ne pouvait rêver meilleur observateur pour tenir cette chronique du monde à la mode. Ces Lettres, dont le Mercure de France publie le texte intégral, sont un reportage au jour le jour sur la vie parisienne au temps de Louis-Philippe, le pendant idéal aux Mémoires de la comtesse de Boigne.

11/2004

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Littérature française (poches)

Histoire de la princesse de Montpensier. Et autres nouvelles

"M. de Guise ne se mêlait point dans la conversation, et sentant réveiller dans son coeur si vivement tout ce que Mme de Montpensier y avait autrefois fait naître, il pensait en lui-même qu'il pourrait y demeurer aussi bien pris dans les liens de cette belle princesse que le saumon l'était dans les filets du pêcheur." Madame de Lafayette (1634-1693) est l'auteur de l'un des romans les plus connus de la littérature française, La Princesse de Clèves, paru en 1678. Amie de Madame de Sévigné et de quelques grandes figures littéraires de son temps, elle a également écrit des mémoires, des nouvelles historiques et un long roman, Zaïde.

03/2009

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Pléiades

Correspondance. Tome 1

"On ne peut contester à Marie de Rabutin Chantal, marquise de Sévigné (1626-1696), le titre de plus célèbre épistolière de France. Ses lettres écrites d'un ton libre et d'un style inventif nous introduisent dans sa familiarité et dans celle de son siècle. Si les lettres à sa fille, Mme de Grignan, nous la montrent mère passionnément attentive, on ne peut négliger le rôle qu'elle joue de témoin, souvent spirituel et amusé - mais aussi depuis l'affaire Fouquet, parfois inquiet et réprobateur -, des petits et grands événements du règne de Louis XIV". Jacques Prévot.

11/2000

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Littérature française (poches)

Ourika Edouard Olivier ou le secret

Égérie de la Restauration, grande amie de Chateaubriand, la duchesse de Duras (1777-1828) a écrit plusieurs romans qui méritent d'être comparés à René, à Adolphe, au lys dans la vallée. On trouve ici les trois récits qu'elle a achevés en 1822 et dont une partie était inconnue. Dans un style qui doit son élégance et sa concision, son intelligence aussi, au XVIIIe siècle, elle s'intéresse pourtant aux passions modernes, à l'amour impossible, aux barrières sociales. Ourika est noire, Édouard roturier, Olivier impuissant (Stendhal s'en souviendra dans Armance) : Mme de Duras a compris qu'il n'y avait pas de roman sans malheur. Elle consomme celui de ses personnages avec un savoir-faire de magicienne, qui a fait l'admiration de ses contemporains.

07/2007

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Littérature française (poches)

La princesse de Montpensier suivi de La comtesse de Tende

A la fin de la Renaissance, le duc de Guise s'éprend de Mlle de Mézières. Mais bien qu'elle l'aime aussi, la jeune fille est contrainte d'épouser le prince de Montpensier. Trois ans plus tard, un jour qu'il a perdu son chemin près du château de la princesse, le duc la rencontre au bord d'une rivière où elle est venue se reposer : elle rougit à sa vue, et lui-même comprend aussitôt que sa propre passion n'est pas morte.Publié en 1662, le court récit de La Princesse de Montpensier fonde l'art classique de la nouvelle. Plus concise encore, et sans doute écrite la première, La Comtesse de Tende, qui resta inédite jusqu'au xviiie siècle, raconte elle aussi l'histoire d'un amour adultère, mais d'une noirceur plus grande. Car la noblesse et la magnificence des personnages ne doivent pas nous tromper. Mme de Lafayette jette sur la condition humaine un regard sombre et les deux héroïnes sont précipitées à l'abîme : La Princesse de Clèves leur fera bien plus tard écho.Edition de Laurence Plazenet.

09/2003

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Critique littéraire

Ecrits sur la littérature

Née une vingtaine d'années avant la Révolution, disparue peu après la chute de l'Empire, liée par son père, Necker, et son mari, ambassadeur de Suède en France, à toute l'Europe éclairée, Germaine de Staël a, comme Chateaubriand, vécu le passage d'un monde à un autre. Or ce passage, c'est aussi celui des belles-lettres - l'éloquence, la philosophie, l'histoire et la poésie entendue au sens le plus large - à ce que nous appelons de manière plus restreinte la littérature, et où le roman prend une place capitale. Si, en 1800, son livre majeur s'intitule De la littérature dans ses rapports avec les institutions sociales, c'est que Mme de Staël entend ne pas séparer cette littérature de l'Histoire et de la politique, ni de la perfectibilité humaine et des réalités de chaque nation : nouvelle manière de considérer la littérature que cette anthologie, qui accueille également des extraits d'autres livres, permet de découvrir ou de mieux comprendre. " Cette femme apprend à penser à ceux qui ne s'en aviseraient pas ou qui l'auraient oublié ", disait Napoléon, son farouche ennemi : cette théorie de la littérature qu'elle invente et qui demeure la nôtre ne cesse pas d'en donner la preuve.

05/2006

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Littérature française (poches)

Zayde. Histoire espagnole

Dans l'Espagne du Xe siècle aux prises avec les Maures, Consalve, fils de l'un des plus grands comtes de Castille, recueille Zayde, fille d'un prince musulman, à la suite d'un naufrage. Très vite, il s'éprend d'elle - mais les deux jeunes gens ne parlent pas la même langue... Un jour, elle disparaît : désespéré, il se lance à sa recherche. Pourtant, tout les sépare : la guerre, la religion de leurs pères, et une prédiction qu'on a faite à Zayde, qui la destine à un homme dont on ne connaît que le portrait... Dans cette " histoire espagnole ", lettres et récits insérés rythment une intrigue à rebondissements - avec rapts, tempêtes, duels et quiproquos à la clé. Surtout, la psychologie des personnages, bouleversés par les passions et déchirés entre devoir et sentiments, y est décrite avec une finesse inconnue jusqu'alors dans le genre romanesque. Publié en 1670, Zayde fonde le roman d'analyse et annonce le clair-obscur de La Princesse de Clèves.

04/2006

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Littérature française (poches)

DELPHINE. Tome 2

Dans le monde aristocratique que la Révolution s'apprête à balayer, un principe de conduite l'emporte sur tous les autres : le respect des convenances. Pour avoir voulu sauver l'honneur d'une de ses amies, Delphine commet une imprudence qui la perd de réputation auprès de Léonce, l'homme qu'elle aime et dont elle est aimée. Sous le prétexte d'intercéder en sa faveur, sa tante, Sophie de Vernon, achève de compromettre Delphine, et convainc Léonce d'épouser sa propre fille... Roman épistolaire, publié en 1802, Delphine dépeint tous les mouvements de l'âme amoureuse et préfigure le ton et la manière des Romantiques.

03/2000

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Littérature française (poches)

DELPHINE. Tome 1

Dans le monde aristocratique que la Révolution s'apprête à balayer, un principe de conduite l'emporte sur tous les autres : le respect des convenances. Pour avoir voulu sauver l'honneur d'une de ses amies, Delphine commet une imprudence qui la perd de réputation auprès de Léonce, l'homme qu'elle aime et dont elle est aimée. Sous le prétexte d'intercéder en sa faveur, sa tante, Sophie de Vernon, achève de compromettre Delphine, et convainc Léonce d'épouser sa propre fille... Roman épistolaire, publié en 1802, Delphine dépeint tous les mouvements de l'âme amoureuse et préfigure le ton et la manière des Romantiques.

03/2000

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Littérature française (poches)

La Princesse de Clèves, La Princesse de Montpensier et autres romans

La Princesse de Clèves est le grand roman de la passion amoureuse malheureuse. L'auteure introduit pour la première fois l'analyse dans le roman d'amour : l'introspection psychologique . L'héroïne n'est pas passive : elle s'interroge sur ses sentiments. C'est dans ce roman que figure la célèbre scène où l'héroïne avoue à son mari son amour pour un autre homme (M. de Nemours). Il en meurt ; elle entre au couvent. L'héroïne assiste, impuissante, aux ravages de la passion amoureuse, qui déjoue tout raisonnement.

02/2020

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Littérature française (poches)

DE L'ALLEMAGNE. Tome 1

De l'Allemagne fut comme un puissant instrument qui fit la première brèche dans la muraille d'antiques préjugés élevée entre nous et la France.

01/1993

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Littérature française

Contes

Mme de Murat fait partie de ces conteuses éclipsées par l'immense succès de leur contemporain, Charles Perrault. Or la pratique littéraire de ces femmes, à la fin du XVIIe siècle en France, constitue un véritable phénomène social, fédérant le public mondain des salons autour du conte de fées. Mais la comtesse de Murat avertit ses amies écrivains : elles doivent être des "fées modernes", ne s'occupant que de "grandes choses" et habitant des "palais enchantés". Elle-même écrit une quinzaine de contes, au moment où la mode du genre bat son plein, dans les années 1698-1699. N'hésitant pas à varier ses sources d'inspiration afin de renouveler le merveilleux, la conteuse puise dans les grandes épopées et les romans à succès de son époque. Et s'il lui arrive d'évoquer des thèmes folkloriques, qu'elle emprunte à l'Italien Straparole, c'est pour mieux s'en éloigner. Les contes de Mme de Murat offrent en effet une certaine vision du "Grand Siècle", en lien avec l'actualité et la féerie de Versailles. Ils sont également l'occasion pour la comtesse, qui fut stigmatisée en raison des "désordres" de sa vie, de distiller ici ou là, en guise de morale, ses réflexions sur l'amour. C'est à la lecture de ces histoires, qui constituent un véritable traité des passions, qu'invite le présent ouvrage qui réunit pour la première fois l'ensemble des contes de Mme de Murat.

03/2006

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Littérature française (poches)

Avis d'une mère à sa fille. Suivi des Réflexions sur les femmes ; Réflexions sur le goût ; Discours sur la délicatesse d'esprit et de sentiment et Lettres sur l'éducation

"Apprenez que la plus grande science est de savoir être à soi. J'ai appris, disait un Ancien, à être mon ami : ainsi je ne serai jamais seul. II faut vous ménager des ressources contre les chagrins de la vie, et des équivalents aux biens sur lesquels vous aviez compté. Assurez-vous une retraite, un asile en vous-même ; vous pourrez toujours revenir vous, et vous retrouver. Le monde, vous étant moins nécessaire, aura moins de prise sur vous." Madame de Lambert

01/2018

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Pléiades

Correspondace. Tome 3

"On ne peut contester à Marie de Rabutin Chantal, marquise de Sévigné (1626-1696), le titre de plus célèbre épistolière de France. Ses lettres écrites d'un ton libre et d'un style inventif nous introduisent dans sa familiarité et dans celle de son siècle. Si les lettres à sa fille, Mme de Grignan, nous la montrent mère passionnément attentive, on ne peut négliger le rôle qu'elle joue de témoin, souvent spirituel et amusé - mais aussi depuis l'affaire Fouquet, parfois inquiet et réprobateur -, des petits et grands événements du règne de Louis XIV". Jacques Prévot.

01/1978

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Littérature française

Oeuvres de jeunesse

Tel un prisme réfractant sa pensée et sa production ultérieures, les œuvres de jeunesse de madame de Staël présentent à la fois des essais théoriques et de brefs romans. Parmi les premiers, les lettres sur les ouvrages et le caractère de Jean-Jacques Rousseau révèlent ses opinions philosophiques. Admiratrice du penseur genevois, elle établit avec lui un dialogue critique d'un genre nouveau, soumettant une à une les œuvres du romancier-philosophe, et au premier chef les confessions, à une analyse pénétrante. L'essai sur les fictions résume quant à lui ses conceptions esthétiques en matière littéraire : elle privilégie " la seule peinture des mouvements du cœur ", à l'instar de Rousseau, Fielding et Richardson. Loin de s'en tenir à ses théories, la fille de Necker les applique : elle n'avait pas vingt ans qu'elle avait déjà écrit ses nouvelles. Les principales se déroulent dans le cadre pré-romantique de lointains exotiques. Partout, dans ces récits tragiques d'aventure, de passion et de sacrifice, les héroïnes tombent, innocentes victimes d'un monde d'hommes qu'elles surmontent cependant grâce à leur grandeur d'âme. Dans ces premières œuvres, c'est tout l'art et la pensée de l'inspiratrice de romantisme français qui déjà se révèle.

09/1997

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Religion

Quelques anges

Comme cet enfant lumineux qui conduisit une nuit sainte Catherine Labouré à la chapelle de la rue du Bac, où la Vierge Marie la convoquait, les Anges nous conduisent toujours à Dieu. Comme le rappelle le Père Jean Daniélou dans son livre : les Anges et leur Mission, ils apportent la paix aux esprits inquiets, le repentir et le pardon aux coupables, la prière et la grâce à un monde matérialisé. Bien opportunément, vous nous apprenez à nous ouvrir toujours davantage à ces rayons pacifiants et consolateurs ; en préparant nos âmes, vous rendez leur action plus pénétrante et plus féconde.

04/1997

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Critique littéraire

Lettres choisies

Epouse secrète de Louis XIV, éducatrice de la Maison de Saint-Cyr et "Mère de l'Eglise de France"", Mme de Maintenon (1635-1719) fut en même temps une épistolière exceptionnelle et impressionnante du Grand Siècle. Sa correspondance active compte quelque 4 500 lettres dont nous présentons ici 250 lettres et extraits de lettres. Ce choix a été établi selon deux critères : il doit permettre aux lecteurs de suivre le cours de la vie de la marquise, tandis que l'originalité de l'information et la vivacité et le piquant de son style constituent l'autre critère. L'ensemble de ces textes est présenté en dix sections. Elles mettent en relief les étapes de sa vie et les grands thèmes qui ont toujours préoccupé Mme de Maintenon : l'éducation des Demoiselles de Saint-Cyr, les affaires de l'Eglise — quiétisme et jansénisme —, les affaires politico-militaires, son penchant pacifiste et ses rapports avec sa famille et ses ami(e)s intimes. Une occasion excellente pour mieux connaître ce personnage qui ne cesse d'intriguer trois siècles après sa mort.

03/2019

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Critique littéraire

Correspondance générale. Tome 9, Derniers combats, 12 mai 1814-14 juillet 1817

Germaine de Staël arrive à Paris le 12 mai 1814, dix jours après Louis XVIII. Face aux intrigues d'une noblesse en pleine Restauration, elle s'affirme fidèle à l'idéal de liberté de 1789. Le sort de la France l'émeut et ses lettres de patriote française au tsar Alexandre, au duc de Wellington, aux grands lords anglais réclament avec force une monarchie constitutionnelle et le départ des Cosaques. Mais sa correspondance est celle aussi d'un chef de famille. Ses enfants ont grandi et prennent la plume. Au-delà des Cent-Jours, Auguste s'investit dans la stratégie du mariage, célébré en Toscane, de sa soeur Albertine avec Victor de Broglie. Enfin de superbes lettres (inédites) au comte de Blacas montrent la fille de Jacques Necker fidèle jusqu'au bout à l'héritage et au modèle paternels.

05/2017

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Littérature française

La passion de la liberté

La vie et l'oeuvre de Germaine de Staël se situent sous le double signe de l'empire du coeur et du pouvoir de la raison, à la jointure de la philosophie des Lumières et du romantisme naissant. Toutes deux convergent vers une passion raisonnée, celle de la liberté. C'est à la conquérir que Mme de Staël a employé une énergie débordante, une intelligence acérée et un immense talent d'expression. Elle n'a cessé de travailler, en faveur des peuples et des individus, à l'avènement de toutes les libertés, publiques et individuelles, notamment celles des femmes. Combat incessant dont elle fut l'une des pionnières en France et dans l'Europe éclairée, au point d'apparaître comme la principale "rivale" de Napoléon. Depuis la publication en 1820 de ses Oeuvres complètes, en partie tronquées, ses ouvrages n'ont plus été regroupés dans un ensemble cohérent et accessible au grand public. Publiés entre 1796 et 1817, ils témoignent de l'engagement de leur auteur dans des débats dont les termes demeurent actuels : comment l'homme peut-il trouver les voies du bonheur au sein de la société ? Existe-t-il un équilibre entre violence et justice, entre expression de la volonté populaire et gouvernement des meilleurs ? Jusqu'où peut conduire une révolution ? La réflexion philosophique et l'analyse de situations concrètes se mêlent ici à un art de la description et du portrait qui laisse transparaître le bouillonnement des sentiments. Ce volume contient : De l'influence des passions sur le bonheur, Des circonstances actuelles qui peuvent terminer la Révolution, Considérations sur la Révolution française, Dix années d'exil.

04/2017

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Littérature française (poches)

La Princesse de Montpensier

Dans Folioplus classiques, le texte intégral, enrichi d'une lecture d'image, écho pictural de l'oeuvre, est suivi de sa mise en perspective organisée en six points : MOUVEMENT LITTERAIRE : Le classicisme, de l'éthique à l'esthétique ; GENRE ET REGISTRE : La nouvelle historique : vers un art de la rigueur ; L'ECRIVAIN A SA TABLE DE TRAVAIL : L'invention d'un genre ; GROUPEMENT DE TEXTES : La femme et l'amour ; CHRONOLOGIE : Mme de Lafayette et son temps ; FICHE : Des pistes pour rendre compte de sa lecture. Recommandé pour les classes de lycée.

04/2015

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Pléiades

Oeuvres

Germaine de Staël a pour père Jacques Necker, ministre de Louis XVI, et pour mère Suzanne Curchod, qui tient un salon dont Diderot et Buffon sont les habitués. Elle accède dès son plus jeune âge au monde des Lettres, à celui des idées, au "monde" tout court. "Condamnée à la célébrité sans pouvoir être connue", elle entend être jugée sur ses écrits. Son premier ouvrage significatif est consacré à Rousseau. Elle est d'une certaine manière la fille des Lumières et de la Révolution. Elle deviendra, de son vivant, la femme la plus célèbre d'Europe. La destinée des femmes - en particulier la question de leur liberté - est au coeur de son oeuvre. Au tournant du siècle (1800), on lit dans De la littérature que l'ordre social est "tout entier armé contre une femme qui veut s'élever à la hauteur de la réputation des hommes". Cela se vérifiera. Le livre, ambitieux, se propose de "caractériser l'esprit général de chaque littérature dans ses rapports avec la religion, les moeurs et le gouvernement". La seconde partie est consacrée à "l'état actuel des Lumières en France". Le Premier Consul préfère entendre parler du siècle de Louis XIV. Il n'aura de cesse d'éloigner Staël et de l'empêcher de (lui) nuire. Elle met en pratique ses idées sur le roman avec Delphine (1802), que l'on citera, avec La Nouvelle Héloïse et Werther, parmi les modèles du roman moderne. La forme épistolaire rassure le public, mais le texte est un véritable terrain d'exploration psychologique. L'héroïne appartient à la même génération que l'auteur, partage ses espérances, doit comme elle faire son deuil de la société idéale à laquelle elle aspirait. L'amour est peut-être le "seul sentiment qui puisse dédommager les femmes des peines que la nature et la société leur impose" , mais que valent les sentiments face à l'opinion publique ? Comme Staël, comme bientôt Corinne, Delphine détonne dans une société qui préfère l'hypocrisie à l'enthousiasme. Le livre connaît un immense succès. La manière dont il aborde les questions politiques et sociales - émigration, religion, divorce - n'a rien pour plaire en haut lieu. Trop anticatholique, trop anglophile, trop révolutionnaire : Germaine de Staël devra désormais se tenir à plus de quarante lieues de Paris. Elle va se consoler en Allemagne, découvre l'appel de l'Italie, publie en 1807 son second roman, Corinne ou l'Italie. Corinne, une poétesse anglo-italienne, ne se conforme pas au modèle féminin en vigueur dans la société. Eperdument amoureuse d'Oswald, un Ecossais mélancolique assujetti aux lois patriarcales, elle lui sacrifie ses talents littéraires. D'aucuns verront dans cette tragédie d'une artiste géniale et insoumise, mais victime de l'amour, une autobiographie déguisée de la romancière, dont Benjamin Constant, qui savait de quoi il parlait, disait qu'elle avait un "esprit d'homme, avec le désir d'être aimée comme une femme".

04/2017