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Eugène Lefebvre

Extraits

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Beaux arts

Dans le vrai, tout est faux ? Patrimoine : nouveaux usages. Actes du 10e colloque interdisciplinaire Icône-Image, 26-27 septembre 2014

L'association Les Trois P. (Plumes, Papiers, Pinceaux) poursuit depuis 2003, une réflexion autour de l'image et a organisé les 26 et 27 septembre 2014, en partenariat avec les Amis de Pontigny, un colloque intitulé Dans le vrai, tout est faux ? Patrimoine : nouveaux usages. Ce colloque s'inscrivait dans le cadre du deuxième Centenaire de la naissance de l'architecte Eugène Viollet-le-Duc, dont l'importante carrière commence dans l'Yonne avec le chantier de la Madeleine de Vézelay (1838-1858), mais se poursuit dans de nombreux autres lieux du département, dont Saint-Père-sous-Vézelay et le Palais synodal à Sens. En partant de cette forte personnalité dont l'action et les écrits ont marqué un siècle de restauration, nous examinons, avec notre regard d'aujourd'hui, les différents problèmes soulevés par la multiplication des monuments historiques. Et le problème numéro un : quand la construction actuelle devient-elle patrimoine ? Quels peuvent être les critères de sélection ? Au nom de quoi délivrer un permis de démolir et faut-il tout conserver ? Car si l'on ne restaure pas, le bâti tombe en ruine. Y a-t-il de belles ruines ? Rodin et Adolphe Guillon, peintre fixé à Vézelay, se sont opposés sur ce sujet à Viollet-le-Duc. Et si l'on restaure, jusqu'où pousser la reconstitution et la fidélité à un passé révolu (ou qui n'a jamais existé) ? Où est le vrai, où est le faux, et peut-il être plus vrai que le vrai ? Construire un château médiéval aujourd'hui, est-ce une leçon, un apprentissage pour nos contemporains ? Ou une opération seulement médiatique ? Quand le bâtiment est remis en état et ouvert au public, quelle peut être son utilité sociale en dehors de la délectation esthétique ? La piscine "art déco" de Roubaix est devenue un musée : est-ce généralisable ? Entre discussion, réflexion, convivialité, notre 10e colloque s'est terminé par une séquence musicale : les instruments anciens sont-ils eux aussi vrais ou faux ? Où se trouve la juste note ?

03/2016

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Littérature française

Le vieux tapis de George Sand

Et si l'une des oeuvres les plus connues du monde de l'art n'était finalement que le fruit d'une plaisanterie organisée par George Sand ? Moyen Age. Elle pense à sa prochaine tapisserie. Elle sait déjà ce qu'elle proposera aux gens du château, l'idée lui est venue en traversant une clairière. Un paysage plein de vie, fourmillant de détails. Une figure féminine, au centre. Et puis son cheval, aussi (mais peut-être est-ce un âne...). Voilà ce qu'elle laissera à la postérité ; cette oeuvre, probablement un autoportrait, appelée Le Portrait au cheval. XIXe siècle. Au château de Boussac, George Sand découvre de vieilles tapisseries qui semblent abandonnées. Parmi elles, l'autoportrait. L'écrivaine décide de les conserver, et donc de les cacher. L'idée est simple : elle compte sceller les oeuvres originales, et les recouvrir par d'autres, monumentales, en allant bien plus loin dans le ridicule et le mystère. Pour cela, elle fait appel à ses amis (Théophile Gautier, Eugène Delacroix et Frédéric Chopin) et, ensemble, ils organisent ce canular improbable. De nos jours. Clara travaille au musée de Cluny. En observant de plus près La Dame à la licorne, elle détecte des anachronismes qui lui font penser qu'une blague se joue sous ses yeux. Cette tapisserie n'a pas pu être tissée au Moyen Age, elle en est certaine ! A la recherche d'informations, elle parcourt rapidement la notice qui accompagne cette oeuvre mondialement connue. Sans comprendre, elle remarque plusieurs fois le nom de George Sand. Se pourrait-il que l'autrice soit liée à ce chef-d'oeuvre ? Mais alors, quelle serait l'origine réelle de cette tapisserie ? Et si, pour éclaircir ce mystère, il fallait remonter 150 ans en arrière... ? Dans cette triple narration parfaitement maîtrisée, Arnaud Donez nous plonge dans une enquête au coeur d'époques passionnantes - médiévale, romantique et contemporaine - sur les traces d'une tapisserie énigmatique, portée par trois héroïnes d'hier et d'aujourd'hui.

04/2022

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Poésie

Journal inédit suivi de Beauté de ce monde (Poèmes 1940-46). 2e édition revue et augmentée

En 1933, Ilarie Voronca, figure phare du constructivisme roumain, poète et théoricien de l'intégralisme, s'installe à Paris. En France, il n'est plus le chantre individuel, son moi s'épanouit dans toutes les voix : "Je veux me mêler à cette foule. Je partage sa vie". Voronca devient le poète anonyme, de la foule et toujours le visionnaire de l'invisible. Mais l'apparente euphorie qui émane de sa création comme de sa personnalité cache bien mal l'angoisse qui le ronge souterrainement. A Paris, au soir du 4 avril 1946 : Ilarie Voronca s'enferme dans la cuisine de son appartement, à Paris. Il calfeutre portes et fenêtres, absorbe un tube de somnifères et arrache le tuyau à gaz. Ilarie Voronca est enterré au cimetière Parisien de Bobigny-Pantin. Bien des mystères demeuraient autour de sa disparition, comme de sa dernière année de vie. Ces mystères sont en grande partie levés, grâce au Journal inédit du poète ; lequel avait été confié en 1946 par sa femme, Colomba, à Sasa Pana, qui, poète, critique et directeur de la revue "Unu", fut l'ami et la plaque tournante de l'avant-garde roumaine. C'est dans les archives de ce dernier que le tapuscrit du journal a été retrouvé en 2016. Sa publication est un évènement considérable, qui éclaire d'un jour nouveau la dernière année de vie d'Ilarie Voronca. Dans la deuxième partie du livre sont rassemblés des témoignages et études de Tristan Tzara, Stéphane Lupasco, Georges Ribemont-Dessaignes, Jean Cassou, Jean Follain, Claude Sernet, Eugène Ionesco, Yves Martin, Alain Simon ou Guy Chambelland : "Je place ILARIE VORONCA, poète de notre contradiction humaine-poétique, poète de l'émotion et de la féerie, tout simplement à côté des plus grands". La troisième partie rassemble, sous le titre "Beauté de ce monde", l'intégrale de l'oeuvre poétique, depuis longtemps épuisée à l'exception d un titre, d'Ilarie Voronca, de "Beauté de ce monde" (1940) aux ultimes "poèmes inédits" de 1946. Christophe DAUPHIN

06/2020

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Policiers

MotherCloud

Glaçant et actuel, un thriller d'anticipation troublant de crédibilité, plus réaliste encore que 1984 ; le futur classique d'une génération, qui rend hommage aux oeuvres de Ray Bradbury, Margaret Atwood, Ursula K. Le Guin ou Eugène Zamiatine. Cloud n'est pas seulement un lieu de travail. C'est un lieu de vie. Cloud est la solution à tous vos problèmes. Paxton n'aurait jamais pensé se retrouver là, dans ce hall de gare désaffecté, face à cet écran chargé de lui faire passer un entretien pour intégrer le Cloud. Cloud, cette superstructure de la vente en ligne, devenue incontournable depuis que les dernières émeutes ont rendu les magasins infréquentables. Ironie du sort, la planche de salut de Paxton, et de millions d'autres, est aussi la boîte qui a coulé sa petite entreprise. Zinnia, elle aussi, n'aurait jamais pensé mettre les pieds dans une unité MotherCloud. Mais son projet est bien différent ; une révolution est en marche dont elle est le bras armé. Pénétrer les murs du Cloud n'est qu'un premier pas pour infiltrer le système, pour détruire Gibson, son charismatique leader. Et Paxton pourrait l'y aider ; même si cela implique de le sacrifier... Mais comment ébranler la bête ? Dans cet univers où tout est calculé, paramétré, surveillé, guidé, où l'humain et l'individu disparaissent au profit de la rentabilité, de la productivité, il est impossible de dévier, impossible de penser, impossible même de tuer. Rendre le monde meilleur. Et si c'était possible ? Jusqu'où Cloud est-il prêt à aller pour servir sa propre utopie ? Où se logent ses failles ? Dans cet univers où tout est calculé, paramétré, surveillé, où l'humain disparaît au profit de la rentabilité, où l'individu n'est qu'un algorithme, Zinnia et Paxton réalisent bientôt qu'il est impossible de dévier. A moins d'être prêt à se sacrifier ? Car derrière sa façade d'entreprise idéale, MotherCloud est une machine à broyer, impitoyable à l'égard de ceux qui oseraient se rebeller.

03/2020

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Ouvrages généraux et thématiqu

Le canton de Bourbon-Lancy dans la guerre de 1870-1871

Le 19 juillet 1870, le premier secrétaire d'ambassade de France à Berlin remet au ministère des Affaires étrangères de Prusse, la déclaration de guerre de son pays. Le 1er septembre, l'armée impériale est vaincue à Sedan. Napoléon III est prisonnier. Le 4 septembre, la République est proclamée à Paris. Elle poursuit la guerre, mais n'a quasiment plus d'armée. Par deux fois, elle mobilise les hommes qui ont échappé à la conscription. Cette nouvelle armée se nomme la Garde nationale mobilisée. Paris est assiégée. Le gouvernement envisage une manoeuvre par l'est pour dégager Paris. Rien ne va se passer comme prévu. Les Prussiens contrôlent l'est et assiègent Belfort. La guerre se déplace en Bourgogne à la fin de l'année 1870. L'hiver est froid, la variole et le typhus sévissent, les hommes souffrent. L'armée des Vosges de Garibaldi qui y est rassemblée, doit épauler celle de Bourbaki qui traverse la région pour marcher vers l'est. Dans le canton de Bourbon-Lancy, les nouveaux conscrits peu formés et mal équipés, sont envoyés au feu. Ils doivent renforcer les Garibaldiens et soutenir la manoeuvre de Bourbaki. L'armée des Vosges reste sur la défensive. Elle est bloquée dans Dijon par l'ennemi. Du 21 au 23 janvier elle livre une bataille farouche, avec l'aide des Mobilisés de Saône et Loire. Les Prussiens n'arrivent pas à prendre la ville. Les Garibaldiens s'attribuent la victoire. Les Mobilisés sont spoliés de leur conduite héroïque, une trentaine d'hommes sont morts ou disparus. Leurs chefs survivants feront érigés à Bourbon-Lancy, un monument aux morts pour leur rendre hommage. L'ouvrage retrace les grandes phases de la guerre de 1870-1871, qui a fait irruption en Bourgogne. Le canton de Bourbon-Lancy est replacé dans la marche de ces événements. Les hommes qui sont morts durant le conflit, sont tirés de l'oubli. Justice est rendue aux Mobilisés de Saône et Loire et à leur chef, Eugène Alexandre Fornel.

02/2022

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Histoire du cinéma

Midi-Minuit Fantastique. Volume 4, avec 1 DVD

Mai 1962. Les kiosques à journaux affichent la photo saisissante d'un loup-garou aux prises avec une voluptueuse jeune femme. En lettres noires et rouge sang brille pour la première fois un nom appelé à la postérité : Midi-Minuit Fantastique. Tout au long des Sixties, ces trois mots magiques résonnent comme la plus intense des promesses... Fondée par Michel Caen, Alain Le Bris, Jean-Claude Romer et Jean Boullet, la toute première revue européenne consacrée au cinéma de genre ne se contente pas de défricher un domaine alors méconnu et méprisé. En dix ans d'existence, MMF s'impose comme une publication à la fois ludique et exigeante, foisonnante et avant-gardiste. En un mot : culte. Sa rédaction fédère de brillants spécialistes : Gérard Lenne, Jean-Pierre Bouyxou, Raymond Borde... De prestigieuses plumes d'horizons divers s'invitent dans ses colonnes : Ado Kyrou, Eugène Ionesco, Jean Rollin... Le ton est libertaire, les racines populaires, l'inspiration surréaliste. L'iconographie de sexe et de sang, éminemment évocatrice. Un seul credo : le fantastique est l'autre nom de l'érotisme. MMF saisit en temps réel un age d'or du septième art et accouche d'une subversive "politique des horreurs". La Hammer, le gothique italien, l'épouvante américaine sont à l'honneur. Dracula et Peeping Tom deviennent les héros noirs d'une contre-culture qui annonce mai 1968 et la libération sexuelle. Cinéma bis, cinéma d'auteur, underground, littérature et BD s'entremêlent dans un enthousiasmant maelström pop... Cet ultime volume, dirigé par Michel Caen et Nicolas Stanzick, préfacé par John Landis, regroupe les neuf derniers numéros la revue, depuis le 18/19, en 1967, jusqu'au légendaire 25/26, resté inédit en 1973 et publié ici pour la première fois. Enrichi de photos et de textes inédits, il comporte aussi le DVD Les Frissons de Midi-Minuit - une sélection de huit courts métrages introuvables. Manière de fêter comme il se doit la renaissance d'une revue devenue littéralement mythique.

12/2021

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Design

L'Arc en Seine

Ce livre est avant tout un hommage au partenaire, à l'ami et au compagnon de toute une vie. Hommage aussi aux trente-sept années de notre galerie et à tous les merveilleux créateurs des années 1920-1930, dont nous avons eu la chance de croiser les oeuvres. " Le projet de ce livre racontant notre parcours et nos choix artistiques s'est imposé à nous lorsque la galerie a fêté ses trente ans en 2014. Cependant, le désir de partager notre histoire - commencé par un trio, la bienveillante Catherine Boutonnet - a été mis de côté face au tourbillon de la vie, des salons et de la rénovation de la galerie réinstallée sur cour. Quand enfin le temps s'est présenté, hélas, Christian nous avait quitté, privant l'Arc en Seine de son inestimable présence. Ce livre est avant tout un hommage au partenaire, à l'ami et au compagnon de toute une vie. Hommage aussi aux trente-sept années de notre galerie et à tous les merveilleux créateurs des années 1920-1930, dont nous avons eu la chance de croiser les oeuvres. Pierre Chareau et la Maison de verre, pur joyaux d'architecture, Robert Malle-Stevens et la villa Cavrois, René Lalique et sa somptueuse table aux oranges, Jean-Michel Frank, décorateur mythique, Alberto Giacometti créant des objets uniques en plâtre, bronze ou terre cuite, Diego Giacometti, poète du mobilier, Christian Bérard, l'ami des amis, le respectable Paul Dupré-Lafon, Jean Dunand laqueur d'exception, Eugène Printz, amateur de bois rares, Maurice Marinot, l'homme du verre, Georges Jouve et Lucie Rie, céramistes délicats, Eileen Gray la magicienne, sans oublier la Biennale de Paris, Tefaf Maastricht, Tefaf New-York et The salon New-York. " Ce livre retrace l'histoire d'une si belle passion française, celle vécue par Rafael Ortiz et Christian Boutonnet dans la galerie L'Arc en Seine, durant près de 40 années

10/2023

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Décoration

Destins souverains. Joséphine, la Suède et la Russie

Par l'alliance de son fils Eugène de Beauharnais avec la princesse Auguste-Amélie de Bavière, l'impératrice Joséphine est l'aïeule de nombre de familles royales et princières d'Europe, écho heureux aux relations politiques, diplomatiques et militaires tissées en leur temps entre Napoléon 1er, le tsar Alexandre Ier et le maréchal Bernadotte, futur Charles XIV Jean, roi de Suède : en effet, la princesse Joséphine de Leuchtenberg, l'aînée de ses petites-filles, épouse en 1823 le prince héritier Oscar de Suède, fils de Charles XIV Jean, tandis que son frère puîné, Maximilien, s'allie en 1839 avec la grande-duchesse Marie Nicolaevna, fille du tsar Nicolas Ier. Au-delà des alliances dynastiques, c'est l'histoire même des collections de l'impératrice qui est ici abordée. Très attachée à son domaine de Malmaison, Joséphine en avait fait une demeure raffinée et à la mode, connue pour la richesse des oeuvres d'art qu'elle renfermait, et que sa présence auréolait de charme. Ainsi comprend-on mieux, en décryptant ces parentèles, l'extraordinaire destin des objets, de nos jours trésors des collections de ses descendants, notamment de S M Cari XVI Gustaf de Suède, du Nationalmuseum de Stockholm et du musée national de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg. Emouvants souvenirs de famille, reflets des personnalités et témoignages d'une mémoire entretenue jouxtent d'exceptionnelles oeuvres d'art, tel le prestigieux service de porcelaine de la manufacture parisienne Dihl et Guerhard. Ces pièces conservées au musée national de l'Ermitage retrouvent, le temps de l'exposition, celles de Malmaison, entreprise pour la première fois tentée depuis leur départ de la demeure en 1816, au lendemain de la mort de l'Impératrice. En centrant son propos sur les liens de famille, ce catalogue plonge le lecteur dans l'univers de Joséphine et complète l'approche du premier volet de l'exposition, "Destins souverains - Napoléons Ier, tsar et le roi de Suède", qui se déroule simultanément au musée national du palais de Compiègne.

10/2011

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Théâtre

Un théâtre pour Lausanne. Douze ans de combats (1860-1872)

Un théâtre pour Lausanne, douze ans de combats raconte, à l'aide de documents peu exploités et d'une riche illustration, l'histoire de la construction de l'actuel Opéra de Lausanne, inauguré en 1871. Dans cet ouvrage Olivier Robert s'est appuyé sur des sources rares, parce que supposées perdues. Elles lui ont permis de s'intéresser au rapport entre Lausanne et le divertissement au moment où la Ville ferme la salle de spectacle de Martheray pour des raisons de sécurité. Elle cède celle-ci à l'Eglise libre et ne dispose plus dès lors que de l'inconfortable Casino-Théâtre de Derrière-Bourg pour ses manifestations culturelles. Au moment où le chemin de fer pointe le bout de son rail, où le tourisme miroite comme une possible source de revenus, où les projets urbanistiques sont de plus en plus ambitieux, une localité de plus de vingt mille habitants peut-elle faire l'économie d'un lieu de divertissement ? C'est à cette question que la société libérale du milieu du XIXe siècle, engoncée dans un moralisme sévère, doit répondre pour tenter de retenir les hôtes de passage, qui n'ont alors pour troubler leur ennui que des promenades pédestres ou quelques escapades en bateau. Pour pouvoir ouvrir le 12 mai 1871 sa belle salle à l'italienne de Georgette, décorée par Eugène Grasset, que de ténacité il aura fallu aux artisans du projet : convaincre les autorités, combattre les réticences, trouver un emplacement, obtenir un financement. Les périodes de doute succèdent aux blocages. Opposants et partisans dégainent avec autant de mauvaise foi que de conviction les arguments sociaux, politiques, moraux ou spécieux. La machine est en marche et même si le dépassement financier de soixante pour cent fait hurler le Conseil communal, le bien est fait, et la Ville engage, sans en être consciente, un lent processus de développement culturel qui ne s'arrêtera plus.

11/2017

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Actualité et médias

L'abdication

"Après moi, il n'y aura plus de grand Président" avait prophétisé François Mitterrand. Peut-être en effet la prose du réel devait-elle succéder à la poésie des lendemains qui chantent. Mais l'abandon du romantisme révolutionnaire ne nous condamnait pas inexorablement à celui de la volonté politique. Comment en est-on arrivé là ? Pour la première fois, ce n'est pas François Hollande qui distille ses confidences ni un ministre démissionné ses commentaires ou un journaliste ses observations, mais un conseiller de premier plan, dont le bureau, "la chambre d'Eugénie", jouxtait celui du président de la République, qui nous fait voyager au coeur de la machine de l'Etat. Il ne se contente pas de raconter mille et une "choses vues", scènes et dialogues vécus. Il analyse, avec une profondeur historique éclairante, les tendances lourdes comme les traits de caractère qui ont conduit notre monarque républicain à l'abdication. Une abdication qu'il a annoncée aux Français le ler décembre 2016 mais dont on découvrira ici qu'il y avait consenti dès le premier jour de son mandat. A travers ce témoignage prennent vie non seulement un Président demeuré pour beaucoup "une énigme, entourée d'un mystère, cachée dans un secret", mais aussi les figures qui veulent refonder une politique progressiste dans notre pays : qu'ont dit et fait Manuel Valls, Arnaud Montebourg, Emmanuel Macron et les autres lors des grands rendez-vous du quinquennat qui s'achève ? Un livre politique de haute tenue.

01/2017

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Actualité médiatique France

La guerre des idées. Enquête au coeur de l'intelligentsia française

De Saint-Germain-des-Prés aux chaînes d'info en continu, l'intellectuel français est auréolé d'un pouvoir singulier. Défenseur des opprimés ou décrypteur de l'actualité, militant des causes perdues ou expert au discours ciselé, il occupe, au pays de Descartes, où l'on aime à théoriser, une place à part. Crise financière, attentats islamistes, poussée migratoire, montée des populismes, féminismes, épidémie... L'histoire est de retour, les idées gouvernent de nouveau le monde. La vieille opposition entre droite et gauche, périmée, s'est vue évincée par d'autres clivages, dans l'air du temps. Réacs, gauchistes, libéraux : chacun accuse l'autre d'avoir gagné la guerre culturelle. D'Alain Finkielkraut à Edouard Louis, en passant par Michel Onfray, de la Manif pour tous à Nuit debout, sans oublier les Gilets jaunes, qui a vraiment remporté cette bataille idéologique ? A l'heure de la cancel culture, de l'hystérisation de la polémique, de l'immédiateté de l'information et du pouvoir de l'image, quel rôle l'intellectuel peut-il encore jouer ? Le débat est-il seulement toujours possible, en France ? Eugénie Bastié a mené l'enquête : pendant trois ans, elle a rencontré une trentaine de penseurs de tous bords. Elle décrit un paysage intellectuel morcelé, mais plus riche que jamais. Une plongée passionnante au coeur de l'intelligentsia, la France racontée au travers des idées qui l'agitent et des personnages qui les incarnent.

03/2021

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Histoire de la peinture

A la source, découverte d'un paysage inédit de Gustave Courbet : la Source du Lison. Correspondances entre le Siècle d'or de la peinture espagnole et l'oeuvre de Gustave Courbet - Les passeports de Gustave Courbet

Une Source du Lison de Gustave Courbet, oubliée dans les réserves de l'Université de Pennsylvanie à Philadelphie, a été découverte à l'occasion de travaux de rénovation. Cette Source du Lison appartenait à Thomas W. Evans, un dentiste et diplomate de Philadelphie, ayant exercé à Paris à partir de 1847. Il devint le dentiste des grandes fortunes et des notables du Second Empire ; il eut notamment pour patients Napoléon III et l'impératrice Eugénie. De retour aux Etats-Unis, il fit don de l'ensemble de son importante collection d'art et de ce tableau de Gustave Courbet pour créer en 1915 le Thomas W. Evans Museum. Sa fortune permit aussi de fonder une école dentaire. Avec l'accord des commissaires de l'exposition At the Source : A Courbet Landscapes Rediscovered qui s'est tenue à Philadelphie en 2023 et des auteurs des essais du catalogue, nous publions pour la première fois en français une sélection de textes d'historiens de l'art américains autour de cette découverte. Le second chapitre de ce cahier est consacré à une étude approfondie concernant l'influence de l'Age d'or de la peinture espagnole sur l'art de Gustave Courbet. Enfin, ce Cahier publie des passeports de Gustave Courbet inédits décrivant la physionomie de l'artiste et révélant que, dès 1839, année de son premier passeport, il avait déjà l'ambition d'être peintre.

02/2024

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Droit des affaires

Traite d'analyse financière. Tomes 1 et 2

DROIT BELGE Ce Traité d'analyse financière introduit aux différents aspects de l'analyse et de l'interprétation des états financiers individuels et consolidés de sociétés, établis selon le droit belge des sociétés ou selon les normes internationales d'information financière IAS/IFRS, et présente les résultats d'analyses empiriques des états financiers publiés. Après un chapitre introductif, la partie 1 s'attache au contenu des comptes annuels individuels (non conso-lidés) établis selon le modèle complet, abrégé ou micro et au tableau de flux de trésorerie. La partie 2 traite l'analyse des comptes annuels individuels par la méthode des ratios et son interprétation. La partie 3 sonde les comptes consolidés et le tableau de flux de trésorerie consolidé des sociétés non cotées en bourse, établis selon le droit des sociétés. La partie 4 analyse les comptes consolidés des sociétés cotées en bourse établis selon les normes internationales IAS/IFRS. Enfin, la partie 5 aborde la question de la défail-lance d'entreprise et propose des modèles quantitatifs de diagnostic financier visant sa détection précoce. Pour faciliter la consultation, un second tome séparé contient les données chiffrées et les résultats de l'analyse appliquée à trois cas d'entreprises : SA Crisp&Croc (comptes annuels individuels selon le droit des sociétés), Groupe Crisp&Croc (comptes consolidés selon le droit des sociétés) et Groupe Taste-for-Food coté en bourse (comptes consolidés selon les normes IAS/IFRS). Chaque cas se déroule sur plusieurs exercices et présente des variations importantes du résultat et de la structure bilantaire. Cette présenta-tion permet de se concentrer, pour chaque cadre normatif, sur une application complète des différentes méthodes d'analyse et d'en comparer les résultats. La nouvelle édition a été profondément remaniée pour tenir compte notamment des modifications récentes du droit comptable et du droit des sociétés (nouveau Code des sociétés et des associations, modifica-tions du Code de droit économique, en particulier du droit de l'insolvabilité), ainsi que du développement des normes IAS/IFRS. L'ouvrage inclut aussi les statistiques les plus récentes publiées par la Centrale des Bilans de la Banque Nationale de Belgique, ainsi que celles publiées par la société Graydon concer-nant l'ampleur et les caractéristiques des faillites en Belgique. Enfin, les mini-cas de réflexion à la fin des chapitres ont été actualisés et leur nombre augmenté. Par son approche progressive et très concrète, ce livre s'adresse à une large gamme d'utilisateurs d'informa-tion financière : chercheurs utilisant des données de comptes annuels, administrateurs et commissaires de sociétés, directeurs financiers, trésoriers, membres de conseils d'entreprise, experts-comptables, conseils fiscaux, analystes financiers, analystes de crédit, conseillers d'entreprises, magistrats des tribunaux de l'entreprise, juristes d'entreprise, ainsi qu'aux étudiants de l'enseignement supérieur. Cet ouvrage est également publié en néerlandais sous l'intitulé Financiële analyse van de vennootschap aux éditions Intersentia (Lefebvre-Sarrut Belgium).

02/2022

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Philosophie

To metron. Sur la notion de mesure dans la philosophie d'Aristote

La notion de mesure traverse les traités du corpus d'Aristote en connexion des problèmes qui sont d'une importance centrale. Au-delà de son utilisation dans l'éthique, où to metron est d'abord la juste mesure, impliquant des vertus éthiques (cf. Tomas Calvo), et ensuite, par exemple, la mesure des plaisirs (cf. Pierre-Marie Morel), la mesure est une notion qui envahit toute la philosophie aristotélicienne. Dans la Physique, par exemple, to metron devient une notion clé pour la définition du temps (cf. Fernando Rey Puente et de Sylvain Delcomminette), et elle joue également un rôle fondamental dans les passages difficiles à interpréter, comme celui de Phys. V 3, dans lequel Aristote caractérise un concept décisif de sa philosophie de la nature, c'est-à-dire celui de continu (cf. Marco Panza), ou celui de Phys. VI 7, dans lequel to metron, tout en correspondant largement à la notion de partie, est plus spécifiquement ce qu'impose la limite au continu, lequel se présente comme mesurable et donc fini (cf Giovanna R. Giardina). Mais si dans la Physique, Aristote finit par identifier la translation circulaire avec la mesure de tous les mouvements, dans la Métaphysique, la notion de mesure atteint un degré d'absolue généralisation, en tant que l'Un est dit mesure de toutes les choses (I 1, 1053a18-19), affirmation à partir de laquelle Lambros Couloubaritsis examine l'ampleur des outils hénologiques d'Aristote afin de trouver de nouvelles voies de recherches. La Métaphysique est aussi l'objet de l'enquête de Laura Castelli, qui s'occupe de lota 2, où elle relève une manière spécifique de la mensuration comme méthode d'analyse ontologique et fait place à l'idée qu'Aristote aurait établi, à l'intérieur de sa métaphysique, des outils pythagoriciens plutôt que platoniciens pour approcher l'être. Entre la Métaphysique et l'Ethique se situe l'étude de Loredana Cardullo, qui examine l'interprétation aristotélicienne de la formule de Protagoras de l'homme mesure, pour vérifier quel est pour Aristote la mesure de la morale humaine. Le domaine des mathématiques, auquel la notion de mesure appartient plus proprement, est analysé par Antonio Pedro Mesquita, qui a consacré son étude à la mesure dans le traité pseudo-aristotélicien De liaeis insecabilibus. D'autre part, le rôle central de la notion de mesure a été mis en évidence par David Lefebvre en biologie qui discerne dans la summetria l'état optimal de la relation entre la chaleur spermatique du mâle et la matière menstruelle de la femelle dans la génération des animaux. Le recueil ne néglige pas non plus l'élaboration de la notion de mesure avant Aristote, grâce à l'étude de Paolo Crivelli sur Platon, qui examine la théorie de la mesure de la grandeur et de la petitesse dans le Politique, théorie qu'il ne considère pas comme une digression mais, au contraire, comme étant le coeur du dialogue.

08/2020

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Critique littéraire

Guidargus du livre politique pendant l'Occupation (1940-1944)

Francis BERGERON (Agathon), spécialiste de la droite française, et Vulfran MORY, collectionneur érudit, ont publié, en 1990, un Guidargus Le livre politique sous l'occupation (1940-1944), rapidement épuisé, tentative, sans aucun précédent, de dresser une liste des écrits politiques au sens le plus large de l'expression parus en langue française, entre juillet 1940 et août 1944. Charles-Antoine CARDOT s'est employé, depuis 1991, à réviser, et surtout à compléter ce répertoire, considérablement augmenté puisque de quelques huit cents titres, pour la première édition, on passe aujourd'hui à plus de cinq mille dans un ouvrage qui a pris la forme d'un dictionnaire, pourvu de nombreux renvois thématiques. L'auteur de ce nouveau Cruidargus est né en 1930 ; c'est dire qu'il a connu l'occupation autrement que par ouï-dire, ou au travers des livres : il a assisté, le cœur serré, à l'entrée de l'armée allemande en Bretagne, le 18 juin 1940 et il a échappé de peu, quatre ans plus tard, aux bombes anglo-américaines ; entre-temps, vivant dans un milieu familial et relationnel plus sensible aux appels de Londres qu'à ceux de Vichy (et complètement sourd à ceux de Berlin ou de Paris), il a souvent tracé des croix de Lorraine sur le tableau noir de sa classe ; il se souvient d'avoir assisté à une manifestation anti-allemande le 14 juillet 1941 avant d'entrer, peu après, dans le mouvement Scout de France, alors clandestin ; il a lu, à l'époque, quelques-uns des auteurs cités : le colonel Alerme, René Benjamin, Serge Dalens, Roger Lefèvre et son inoubliable Raz de marée, Pierre Mariage et sa Passion des équipages et d'autres encore sans oublier le Maréchal et ses Maximes et Principes. Universitaire. Auteur d'une thèse sur le Parlement de Bretagne à la fin du XVIème siècle et de divers travaux consacrés à l'histoire du droit français public et privé, Ch.-A. CARDOT a consacré les premières années de sa retraite à l'élaboration d'un ouvrage conçu comme un instrument de travail pour les historiens et pour les libraires mais qui est aussi destiné à tous ceux qui, par delà les partis pris, veulent découvrir, dans toute sa complexité, le visage de la France pendant l'Occupation.

09/2001

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Art de l'Asie du sud-est

Arts Asiatiques N° 75/2020

Arts Asiatiques a repris la tâche assurée par la Revue des Arts Asiatiques, fondée en 1924 par les musées de France et placée à partir de 1933 sous la direction de Georges Salles, qui deviendra directeur du musée national des arts asiatiques (Guimet) puis des musées de France. En 1959, Jean Filliozat alors directeur de l'Ecole française d'Extrême-Orient (EFEO) prend la direction d'Arts Asiatiques. Depuis 1962 la revue est placée sous la responsabilité institutionnelle et scientifique de l'Ecole en partenariat avec le musée national des arts asiatiques - Guimet et le musée Cernuschi et avec le concours de la Direction générale des patrimoines, Service des musées de France. Depuis 2010, Arts Asiatiques est dotée d'un conseil scientifique sanctionnant une ouverture internationale également présente au travers de textes en anglais, en chinois et en japonais. Arts Asiatiques vise à faire progresser la connaissance des civilisations asiatiques en faisant dialoguer archéologie, histoire de l'art, recherche et histoire muséale, en France où elle constitue la revue des principaux centres français d'étude et de présentation des arts de l'Asie, et à l'étranger. Ses aspects sont multiples : archéologie de terrain, historio-graphie, édition de documents iconographiques et d'inscriptions, restitution du contexte culturel et technique d'une oeuvre d'art, expositions d'importance et nouvelles acquisitions des musées d'arts asiatiques sont toujours, pour la revue, l'occasion de donner accès aux sources orientales les plus authentiques. Arts Asiatiques présente chaque année, sous forme d'articles de fond, de chroniques, de notes et de comptes rendus, des études richement illustrées sur les arts de l'Asie et les progrès de la recherche archéologique en Orient. Sommaire / Contents Articles VIRGINIE OLIVIER Les "Brahma-Siva" de la région de Tanjore : un syncrétisme singulier aux origines inexpliquées ROLF HEINRICH KOCH Late 19th Century Jataka Murals at the Buddhist Monastery in Batuvantudava, Sri Lanka LOUISE ROCHE Le sanctuaire de Banteay Samrae à Angkor : une fondation bouddhique du règne de Tribhuvanadityavarman SHI-YEE LIU Retrieving the Dragon into the Vase : The Core of Shitao's Sixteen Luohans Scroll and a Symbol of His Retreat Activités des musées Musée national des arts asiatiques - Guimet Musée Cernuschi Notes LUCIE CHOPARD, CLAIRE DELERY & ROBERTO GARDELLIN Nouvelles découvertes sur le meiping Yuan de la collection Grandidier Chronique VINCENT LEFEVRE & COLINE LEFRANCQ Vingt-huit ans de fouilles franco-bangladaises à Mahasthangarh Comptes rendus

02/2021

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Indépendants

"C'est le Québec qui est né dans mon pays !". Carnet de rencontre d'Ani Kuni à Kiuna

"La vérité, c'est que je suis Québécoise, que ma famille habite leur territoire traditionnel depuis plus de 200 ans et, pourtant, je ne connais pratiquement rien d'eux et je n'en connais aucun. La vérité, c'est que j'ai honte de moi. Honte de nous". C'est au contact des Maoris de la Nouvelle-Zélande qu'Emanuelle Dufour réalise l'ampleur de son ignorance à l'égard des Premiers Peuples du Québec. A son retour, elle entreprend un long cheminement pour aller à la rencontre des réalités autochtones et entamer un dialogue plus que jamais nécessaire. Que révèlent le silence sur les pensionnats autochtones dans les manuels d'histoire et les clichés sur les "? Indiens ? " dans la culture populaire ? Comment a été vécue la crise d'Oka par les Autochtones ? Racontée à partir de sa propre expérience mais aussi celle de nombreux Autochtones et Allochtones, cette oeuvre polyphonique explore les legs de notre inconscient colonial et fait surgir des histoires trop longtemps restées dans l'ombre. "C'est le Québec qui est né dans mon pays ! " nous dit Anna Mapachee, afin de renverser le miroir de notre histoire coloniale. Si le racisme systémique façonne toujours la condition autochtone, ce carnet de rencontres témoigne aussi du travail entamé par les communautés pour se réapproprier leurs langues, leurs savoirs ancestraux et leurs identités, entre autres à l'Institution Kiuna d'Odanak, "une école faite pour nous autres" . Et vous, êtes-vous prêt. e. s à explorer votre partie de l'histoire ? Avec les témoignages et citations autorisés de Kim Angatookalook et Tristan André-Angatookalook, Michèle Audette, Terry Awashish, Eve Bastien, Lise Bastien, Louis-Xavier Bérubé, Marie-Eve Bordeleau, Jimmy-Angel Bossum, Marie-Pierre Bousquet, Sébastien Brodeur-Girard, Diane Cantin, Mikayla Cartwright, Kakwiranó : ron Cook, Emma Cuchio Antonio, Guillaume Dufour, Ellen Gabriel, Julie Gauthier, Claude Hamelin, Prudence Hannis, Sarah Hornblow, Paige Isaac, Institut Tshakapesh, Jacques Kurtness, Marcel Lalo, Léa Lefevre-Radelli, Pierre Lepage, Monica Lopez, Anna Mapachee, Lucie Martin, Pierre Martineau, Rita Mestokosho, Uapukun Mestokosho, Melissa Mollen Dupuis, Caroline Nepton Hotte, Jennifer O'Bomsawin, Annick Ottawa, Ghislain Picard, Murrray Sinclair, Geneviève Sioui, Louis-Karl Sioui-Picard, Lou Maïka Strauss et Martin Strauss, Jean-Yves Sylvestre, Myriam Thirnish, Pamela Rose Toulouse, Jacques Viens, Florent Vollant, Stanley Vollant et Xavier Vollant, Jesse Wente et plusieurs autres.

10/2021

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BD religieuses

Les grands saints en BD

Ce titre de 176 pages est séquencé en cinq chapitres : Les premiers saints, les curieux, les actifs, les aventuriers et les courageux. Il offre au jeune lecteur de découvrir treize personnalités exceptionnelles et inspirantes, aux caractères bien distincts : saint Pierre, saint Etienne, saint Augustin, saint Bernard, saint Jean de La Croix, sainte Jeanne Jugan, sainte Louise de Marillac, sainte Elisabeth de Hongrie, sainte Hildegarde de Bingen, saint Jean XXIII, sainte Marie Guyart, sainte Jeanne d'Arc et sainte Bakhita. 7 de ces BD ne sont encore jamais parues en édition.

02/2021

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Economie générale

Culture économique juridique et managériale BTS 2ème année. (Manuel CEJM) Livre + licence élève, Edition 2023

Ce manuel, dans la collection Réflexe en Culture Economique, Juridique et Managériale pour la 2eme année, prend appui sur des situations professionnelles et sur des documents de nature économique, juridique et managériale. Cet ouvrage est proposé au choix en livre papier + licence numérique i-Manuel ou en 100% numérique i-Manuel. En version imprimée, cet ouvrage propose en complément une licence numérique i-Manuel 2. 0, la solution pour mettre les élèves en activité sur ordinateur ou sur tablette. >> Les infos pratiques sur le i-Manuel 2. 0 à découvrir ci-dessous Principales mises à jour : - Un contenu allégé pour tenir compte de l'hétérogénéité des classes. - Une aide lexicale (lexique et vocabulaire). - Une synthèse audio et un quiz à la fin de chaque chapitre. - Une nouvelle rubrique : une préparation à l'examen enrichie avec un nouveau type d'entraînement intermédiaire (cas de 4 pages) compatible avec la dotation horaire de la matière. - De nouveaux documents tirés de l'actualité politique, économique et sociale récente.

04/2023

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Guides de France

Landes. Edition 2021

Les Landes sont l'un des plus vastes départements français. On s'y balade à pied, à vélo ou à cheval dans les forêts de pins à n'en plus finir du parc naturel régional des Landes de Gascogne, avant de se rendre sur des plages balayées par un océan plein de mouvements et de passer par des dunes qui sentent bon l'air du large. La Côte d'Argent est un paradis pour les surfeurs qui apprécient les principaux spots que sont la plage de la Gravière à Hossegor, Biscarosse, Seignosse ou bien encore Capbreton pour prendre la vague. Les Landes sont aussi un lieu de villégiature pour les vacanciers en été, avec des stations balnéaires animées telles Mimizan-Plage et Vieux-Boucau-les-Bains. Besoin de décompresser et de prendre soin de sa santé ? Alors il faut à tout prix rejoindre l'une des cinq stations thermales qui utilisent les bienfaits des eaux locales. Premier département thermal de France, rendez-vous dans des communes telles que Préchacq-les-Bains, Eugénie-les-Bains ou Dax pour profiter des établissements qui ne jurent que par le bien-être. Un séjour dans les Landes est aussi une occasion d'embarquer sur une galupe à la découverte de la réserve naturelle du courant d'Huchet, de vivre l'ambiance survoltée des féries landaises et de se mettre à table autour des bons produits du terroir : poulets fermiers, asperges, canards gras, le tout arrosé par un verre de vin de Tursan ou d'Armagnac en digestif.

01/2021

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Philosophie

Cent millions d'orgasmes. Essai sur la pornographie

La pornographie constituera l'un des objets les plus invasifs des réglementations morales du futur. C'est un objet anomique. Aux positions naïves (Michela Marzano) et aux reconstructions puristes (Rae Langton, Catharine MacKinnon) et relativistes (Marcha C. Nusshaum, Ruwen Ogien, Linda Williams), il faut donc opposer le sens le plus authentique de la relation pornographique, à savoir : le sens d'un corps opprimé qui, pourtant, écrit (Alessia J. Magliacane) et, de quelque façon, se resymbolise dans un cri (Patrick Pat" Califia) ou se desymbolise dans un fantasme (Eugénie Lcmoine-Luccioni). Le corps opprimé, donc, pornographiquement écrit, et crie. Le corps, il écrit son nom sur le Moi-peau, en condensant les relations techniques de savoir qui relient les déterminations du Dasein dans le-monde-de-la-vie. La pornographie est donc la technique herméneutique du corps... à l'âge de sa reproductibilité technique. A savoir : à l'époque de la génitalité. Le rapport sexuel n'est pas forcement pornographique. (orgasme n'est pas pornographique. La jouissance n'est certainement pas pornographique. (érotisme est la maladie infantile de la pornographie, alors que la sociologie de la vie sexuelle en est la religion (un panthéon portatif, dirons-nous). L'acte (déontologique, éthique) de/du baiser, pour être ou devenir pornographique, doit révéler une dimension pratique, un faire de l'amour, à l'amour, et avec. Au statut scientifique-éthique de la psychanalyse la pornographie ajoute une dimension essentiellement pratique, un savoir-faire, une déontologie : il faut faire l'amour, il faut le faire bien !

12/2014

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Régionalisme

Les vénérables mères lyonnaises. Guy, Brigousse, la Mélie, Fillioux, Bourgeois, Bizolon

Avant la dernière vague des Mères Lyonnaises de l'entre-deux-guerres et des Trente Glorieuses, il y eut six vénérables Mères lyonnaises d'exception. Six prestigieuses femmes qui ont brillé de par leur renommée, laissant une trace indélébile dans le coeur des Lyonnais. Leur notoriété, en leur temps, était considérable : " des mythes vivants". Tout commence au milieu du XVIII siècle par La Mère Guy " La mère des Mères" dont l'établissement accueillit par la suite l'impératrice Eugénie. Cette antique Mère lyonnaise sera suivie dans la célébrité au mi­lieu du XIX siècle par La Mère Brigousse " La Mère des amoureux" avec ses" Tétons de Vénus". La fin du XIX siècle voit apparaitre l'excentrique Mère Amélie alias" La Mélie " aux comportements exubérants. Viendra par la suite la renaissance des Mères lyonnaises avec l'illustre Mère Fillioux " L'.lmpératrice des Mères lyon­naises" suivie de près par La Mère Bourgeois N°1 au " Club des Cents" et dont la notoriété vit passer, dans son établissement, d'illustres personnalités. Enfin, nous terminerons par cette femme patriotique au grand coeur, La Mère Bizolon, " La Madelon " qui s'illustrera pendant la première guerre mondiale, la rendant interna­tionalement célèbre auprès des soldats. Elle est" décorée de la Légion d'honneur pour service rendu à la Na­tion". Six femmes qui sont les Grandes Mères lyonnaises, chacune dans sa spécificité, de la simple buvette au restaurant gastronomique." Le Club des six vénérables" a marqué l'histoire des premières Mères lyonnaises, ouvrant ainsi la porte, de par leur prestige, a toute une dernière génération des temps modernes.

11/2018

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Littérature érotique et sentim

Une mélodie qui n'en finit jamais

Ne faites pas votre promo sur Internet sans envisager toutes les conséquences ! Alexandre, antiquaire, héritier d'une vieille lignée aristocratique, veut faire connaître son activité. Il crée un site et y ajoute quelques pages d'histoire sur sa famille, son château, son village. Et voici que surgissent des êtres inconnus : Marc, Héléna, Rachel et d'autres. Ils sont les oubliés de la famille, ceux que, par le passé, on qualifiait de bâtards, d'enfants cachés, en quête de leur paternité biologique ! Ne cherchez pas non plus à arranger de belles unions pour vos enfants ou petits-enfants ! C'est à la mode dans la famille d'Alexandre. Mais lui préfère Christophe. Bruno et Agathe, ses cousins, vont de leur côté envoyer paître les usages et s'offrir de magnifiques histoires d'amour. Et surtout, de grâce ! ne vous obstinez pas comme le fait, avec une rare persistance, Eugénie, leur insupportable grand-mère, comtesse autoritaire et acariâtre, à cacher les secrets de famille. Ils réapparaîtront toujours... en chair, en os, en livres, en musique. Ce livre raconte l'histoire d'une famille qui solde son passé, d'un village niché quelque part dans nos mémoires, dont la chronique n'est pas faite que de drames et de non-dits. Elle s'épanche aussi en récits sulfureux ou moqueurs, elle n'oublie pas la fête, s'exprime au fil de jours heureux... "Une mélodie comme la vie qui n'en finit jamais. ". . dit Valentina, à la veille de son mariage avec Bruno.

04/2020

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Romans de terroir

L'or des pins

Le bruit d'une déflagration ébranle le silence de la forêt et se répand jusqu'au coeur de Callune. Dans ce village, à l'écart du monde, qui voit sa jeunesse s'exiler vers les lumières des cités, le progrès s'annonce à coup d'explosions à la dynamite. Et si le pétrole tant attendu jaillissait du ventre de cette lande réputée inhospitalière ? Et si cet or noir réussissait non seulement à modifier sa physionomie, niais également à l'enrichir, constituant une manne providentielle pour les habitants ? Abel et Eugénie Marensin oscillent entre espoir et doute. Ils savent que le progrès s'impose aujourd'hui comme une nécessité. Mais cette forêt, la plus vaste et la plus belle d'Europe, va être sacrifiée pour des profits hasardeux alors que les pins représentent encore une source de revenus. La fièvre s'empare de tous les villageois. Même le curé incite ses fidèles, lors de la messe des Rameaux, à acheter des actions de la société pétrolière ! Au pays de l'or jaune, suintant sous l'écorce des résineux, et de l'or noir, puisé dans les strates de la terre, deux mondes apprendront à se côtoyer sans pour autant s'affronter. Sur fond de coutumes locales, une galerie de personnages authentiques souffrent et s'aiment au rythme des drames qui se jouent sous les conifères et de l'histoire d'amour d'Emilie Marensin qui provoquera un séisme aussi violent que celui engendré par l'extraction du pétrole. Après avoir bercé tant de rêves, la forêt saura-t-elle consoler les chagrins ?

05/2013

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Pléiades

Oeuvres

Beaumarchais ou le génie des contrastes. ou l'art de décourager toute définition. D'une part, l'auteur en liberté d'un théâtre dit « de société », où l'obscénité s'ajoute à la fantaisie verbale la plus débridée. D'autre part, l'héritier de Diderot, l'auteur contraint de drames « sérieux » et bourgeois dont nous retenons aujourd'hui des préfaces-manifestes reprenant avec une rigueur plus grande, les idées de l'illustre devancier. D'une part, ce discours de l'insolence : Figaro. D'autre part, cette douloureuse expression de la difficulté d'être dans un ordre moral : Eugénie ou Rosine la mère coupable. Et pour nous, pour la critique, la volonté d'associer ces contraires, la nécessité d'affirmer que drame et comédie sont les deux faces d'un même talent, que la personnalité de cet homme est toute d'oppositions, que sa vie est paradoxe, que ses noms eux-mêmes - le bourgeois Caron et l'aristocratique Beaumarchais - semblent vouloir concilier l'inconciliable. En écho à l'étonnante diversité de l'ouvre dramatique, on lira (pour la première fois dans une édition annotée) les mémoires judiciaires. Un commun dénominateur : l'absence de complaisance. Ici et là, un même bonheur d'écriture, une même sensibilité, un même esprit. Il faut désormais admettre que Beaumarchais n'est pas seulement Figaro, parce qu'il faut garder présents à l'esprit ses mots, qui expliquent l'étrange entreprise que fut sa vie : « Vivre, c'est combattre. Je m'en désolerais peut-être, si je ne sentais en revanche que combattre, c'est vivre. »

11/2000

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Cinéma

Sur les traces de Mario Ruspoli. En Lozère ; Retour sur les Inconnus de la terre

Qui ne rêve des pays d'en haut ? La Lozère est de ceux-là. Haut plateau à la géographie difficile, aux paysages qu'on dit parfois lunaires en été et, en hiver, sibériens, elle sut attirer au début des années 60 un cinéaste italien, le prince Ruspoli. Fleuron du cinéma direct, un film inoubliable s'ensuivit : Les Inconnus de la terre, dédié à la pauvreté des paysans de montagne et à l'isolement en général. Une manière d'hommage et de respect, le même respect qu'il montra pour les malades dans Regard sur la folie, tourné la même année, qui, lui aussi, fit événement. Cinquante ans après Ruspoli, le réalisateur Jean-Christophe Monferran et l'auteur, flanqués d'une comparse sociologue, Françoise-Eugénie Petit, partent sur les traces des Inconnus. Loin de toute nostalgie, ils veulent mesurer avec les acteurs de 1961 le chemin parcouru. Histoires de vie, donc, histoires de lieux aussi : Aubrac, Margeride, Cévennes. Ce sera Traces, produit en 2012 par le CNRS. Saison après saison, participant à cette enquête cinématographique, l'auteur n'en demeure pas moins ethnologue et, à partir de son journal de terrain, il tenait à faire partager les rencontres, les ambiances villageoises, et surtout le souvenir que Les Inconnus a laissé localement. Pas strictement récit de tournage, au fil des portraits, l'ouvrage n'en dévoile pas moins les surprises, les déceptions aussi mais les petits bonheurs - les petits secrets de fabrication donc - et propose plus largement une réflexion sur la réception des films en milieu rural.

09/2013

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Romans historiques

Les moissons perdues

Juillet 1914. Dans une ambiance assombrie par la guerre qui se profile, Julien de Saint quitte Saint-Cyr avec le grade de lieutenant. En attendant son affectation, il rentre à Coulmiers, petit village proche d'Orléans et y retrouve son père, Henri, agriculteur, son grand-père, André et son frère cadet, Louis, souffrant d'un retard mental. Les retrouvailles avec Alexandre, son meilleur ami, ainsi qu'avec Eugénie et Camille, ses amies d'enfance, seront entachées de plusieurs drames qui pousseront Julien à mener une enquête parallèle. Quand la guerre éclate, Julien n'a pas le temps d'épouser Camille. Il est envoyé à Marseille au sein d'un régiment de la Légion Etrangère afin de rejoindre plus tard le front de l'Est. L'horreur des combats, le quotidien dans les tranchées, la mort qui s'invite à chaque instant, rien n'épargnera le jeune homme. Lors d'un assaut il est grièvement blessé et reste sur le champ de bataille. Soigné par les Allemands, il se retrouve sur un domaine agricole en Haute Bavière où il devra se plier aux ordres de la belle Liese et de son frère officier, Friedrich von Baumgartner. Julien de Saint sera la proie d'un destin tragique contre lequel il ne cessera de lutter et ne s'avouera jamais vaincu. Cette magnifique saga nous emporte dans des histoires d'amour, d'héroïsme, de trahison, ainsi qu'au sein d'une sombre enquête. C'est aussi un roman qui célèbre la terre, et l'attachement que lui vouent les hommes qui s'y enracinent.

11/2016

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Cinéastes, réalisateurs

Mario Soldati. Cinéaste malgré lui

Destiné à devenir enseignant ou critique littéraire, Mario Soldati se tourne vers le cinéma à son retour des Etats-unis où il espérait émigrer. Pendant les années 1930, il collabore d'abord à l'écriture de scénarios et assiste des cinéastes réputés comme Mario Camerini ou Alesandro Blasetti. Il réalise son premier film en 1939 et ne va plus s'éloigner de la caméra pendant vingt ans. Au début des années 1940, il signe deux chefs-d'oeuvre, Le Mariage de minuit et Malombra. Après la guerre, Les Ennuis de monsieur Travet, Eugénie Grandet ou Fuite en France confirment son talent et son inventivité. Il tourne ensuite une série d'oeuvres appartenant aux genres populaires, films burlesques (/ suis de la revue, O.K. Néron ! ), films de cape et d'épée (Fra Diavolo, L'Héritier de Zorro), films de corsaires (Les Trois Corsaires, La Fille du corsaire noir), mélodrames (La Fille du fleuve avec Sophia Loren). Il retrouve une main très sûre pour diriger Gina Lollobrigida dans La Marchande d'amour ou Alida Valli dans Rapt d Venise, sans oublier Renato Rascel dans Polycarpe, maître calligraphe, primé au festival de Cannes. Mario Soldati jouera aussi un grand rôle dans la naissance de la télévision italienne en dirigeant des enquêtes documentaires sur l'alimentation et sur la lecture. Le livre est complété par un long entretien réalisé à l'occasion de deux rencontres en 1976 et 1979, l'occasion d'entrer dans l'intimité d'un homme à l'esprit constamment en éveil et á l'imagination sans limites.

06/2022

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Esotérisme

La science secrète. Edition revue et augmentée

Pour qui étudie l'ésotérisme, la magie, le symbolisme et leurs liens avec l'Histoire, la fin du XIXe siècle est une période pour le moins intéressante, tant sur le plan politique, économique ou social, que sur celui des sciences occultes. On le sait, ce moment de l'Histoire européenne pose l'apogée de ce que l'on a coutume d'appeler la "Belle époque" , une période d'insouciance, mais aussi de progrès scientifiques et de magie qui durera de 1871 à 1914. C'était le temps de la démesure en toutes choses. Bien évidemment, on le sait, ce qui enrichit l'esprit enrichit l'âme et, parmi les porteurs de culture, on retrouve les philosophes, mais aussi les mages, ésotéristes, occultistes plus ou moins connus, plus ou moins célèbres, plus ou moins craints. En fait, c'est à cette époque que se développe l'admiration envers les chercheurs de Vérité et la méfiance envers ceux qui la trouvent. La version de ce recueil, proposée ici, est tel qu'il vit le jour à l'automne 1890 mais augmenté de l'article manquant. Il est bon, 125 ans après, que cette grande volonté d'incitation à l'étude du symbolisme et des "sciences" occultes puisse être renouvelée. Aujourd'hui, l'ouvrage augmenté de l'article manquant qui nous est proposé n'est autre qu'un encouragement à la quête symboliste dans l'esprit de Stanislas de Guaita pour ce qu'il insiste, au chapitre VI, sur le fait qu'un initié ne saurait être un véritable Maître s'il n'enseigne pas, s'il ne transmet pas... En effet, la transmission est la clef de la connaissance.

01/2019

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Histoire du droit

Affaire des syndics de la faillite de m. boulay contre m. charles guerrier, plaidoirie et replique

Affaire des syndics de la faillite de M. Boulay (ancien notaire), contre M. Charles Guerrier (ancien notaire) : plaidoirie et réplique de Me Jules Favre, défenseur des syndics / Tribunal de commerce de Mamers Date de l'édition originale : 1853 Le présent ouvrage s'inscrit dans une politique de conservation patrimoniale des ouvrages de la littérature Française mise en place avec la BNF. HACHETTE LIVRE et la BNF proposent ainsi un catalogue de titres indisponibles, la BNF ayant numérisé ces oeuvres et HACHETTE LIVRE les imprimant à la demande. Certains de ces ouvrages reflètent des courants de pensée caractéristiques de leur époque, mais qui seraient aujourd'hui jugés condamnables. Ils n'en appartiennent pas moins à l'histoire des idées en France et sont susceptibles de présenter un intérêt scientifique ou historique. Le sens de notre démarche éditoriale consiste ainsi à permettre l'accès à ces oeuvres sans pour autant que nous en cautionnions en aucune façon le contenu.

12/2021