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Bertrand Savoye

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Philosophie

Oeuvres complètes. Tome 15, Le Pour et le contre ou Lettres sur la postérité

L'idée de la première édition scientifique et critique des oeuvres complètes de Diderot est née en 1958, lors de l'acquisition par la Bibliothèque nationale du fonds Vandeul. Ce riche ensemble de manuscrits provenant de la fille de Diderot, resté presque inexploité, fut sauvé par Herbert Dieckmann, professeur à l'université de Harvard. Aucun éditeur français n'ayant manifesté d'intérêt pour une entreprise d'une telle envergure, Julien Cain, alors directeur des Bibliothèques de France, fit appel à Pierre Bérès pour créer, en 1964, un Comité national d'édition des oeuvres de Diderot où figuraient André Chastel, Herbert Dieckmann, Jean Fabre, René Pomeau, Jean Pommier, Gaëtan Picon et Jean Seznec. Une équipe internationale fut constituée sous l'impulsion d'Herbert Dieckmann et de Jean Fabre, réunissant plus de soixante spécialistes, chercheurs et universitaires français, américains, italiens, allemands, danois, etc. En 1975 parurent les trois premiers volumes des oeuvres complètes, désignées désormais sous le sigle DPV du nom des membres fondateurs du Comité de publication : Herbert Dieckmann, Jacques Proust et Jean Varloot. Après la publication du tome XX, l'édition connut des années difficiles dues, pour l'essentiel, aux problèmes particulièrement ardus posés par les oeuvres de la dernière période. Leur résolution doit beaucoup à la mise en place d'un nouveau comité réunissant des chercheurs qui ont une responsabilité directe dans les volumes à paraître : Roland Mortier, Bertrand Binoche, Geroges Dulac, Gianluigi Goggi, Sergueï Karp et Didier Kahn. La relance de l'édition se manifeste par la publication, à l'automne 2004, du tome XXIV, prélude à celle des derniers volumes prévus dans toutes les années suivantes. Etablie à partir des manuscrits, des premières éditions et des révisions de l'auteur, l'édition des oeuvres complètes réunit, pour chaque oeuvre, les différentes étapes de la réflexion de Diderot et le meilleur texte. Un important appareil critique de variantes et d'élucidations fournit les données indispensables à l'étude. Le plan général adopté présente l'oeuvre dans son ordre chronologique, au sein duquel sont introduits quelques groupements originaux qui éclairent la continuité des thèmes du philosophe et de l'écrivain : idées, fiction, critique, beaux-arts, encylopédie. Pour faciliter la lecture, l'orthographe a été modernisée. La collection comporte trente-trois volumes, imprimés sur papier vélin en monotype Bembo et reliés en toile sous rhodoïd, avec tranchefile et tête dorée. Le tirage est strictement limité à deux mille exemplaires. Les volumes sont vendus soit sous forme de souscription à la collection complète, soit à l'unité.

10/1986

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Philosophie

Oeuvres complètes. Tome 7, Encyclopédie III (lettres D-L)

L'idée de la première édition scientifique et critique des oeuvres complètes de Diderot est née en 1958, lors de l'acquisition par la Bibliothèque nationale du fonds Vandeul. Ce riche ensemble de manuscrits provenant de la fille de Diderot, resté presque inexploité, fut sauvé par Herbert Dieckmann, professeur à l'université de Harvard. Aucun éditeur français n'ayant manifesté d'intérêt pour une entreprise d'une telle envergure, Julien Cain, alors directeur des Bibliothèques de France, fit appel à Pierre Bérès pour créer, en 1964, un Comité national d'édition des oeuvres de Diderot où figuraient André Chastel, Herbert Dieckmann, Jean Fabre, René Pomeau, Jean Pommier, Gaëtan Picon et Jean Seznec. Une équipe internationale fut constituée sous l'impulsion d'Herbert Dieckmann et de Jean Fabre, réunissant plus de soixante spécialistes, chercheurs et universitaires français, américains, italiens, allemands, danois, etc. En 1975 parurent les trois premiers volumes des oeuvres complètes, désignées désormais sous le sigle DPV du nom des membres fondateurs du Comité de publication : Herbert Dieckmann, Jacques Proust et Jean Varloot. Après la publication du tome XX, l'édition connut des années difficiles dues, pour l'essentiel, aux problèmes particulièrement ardus posés par les oeuvres de la dernière période. Leur résolution doit beaucoup à la mise en place d'un nouveau comité réunissant des chercheurs qui ont une responsabilité directe dans les volumes à paraître : Roland Mortier, Bertrand Binoche, Geroges Dulac, Gianluigi Goggi, Sergueï Karp et Didier Kahn. La relance de l'édition se manifeste par la publication, à l'automne 2004, du tome XXIV, prélude à celle des derniers volumes prévus dans toutes les années suivantes. Etablie à partir des manuscrits, des premières éditions et des révisions de l'auteur, l'édition des oeuvres complètes réunit, pour chaque oeuvre, les différentes étapes de la réflexion de Diderot et le meilleur texte. Un important appareil critique de variantes et d'élucidations fournit les données indispensables à l'étude. Le plan général adopté présente l'oeuvre dans son ordre chronologique, au sein duquel sont introduits quelques groupements originaux qui éclairent la continuité des thèmes du philosophe et de l'écrivain : idées, fiction, critique, beaux-arts, encylopédie. Pour faciliter la lecture, l'orthographe a été modernisée. La collection comporte trente-trois volumes, imprimés sur papier vélin en monotype Bembo et reliés en toile sous rhodoïd, avec tranchefile et tête dorée. Le tirage est strictement limité à deux mille exemplaires. Les volumes sont vendus soit sous forme de souscription à la collection complète, soit à l'unité.

10/1976

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Philosophie

Oeuvres complètes. Tome 6, Encyclopédie II (lettres B-C)

L'idée de la première édition scientifique et critique des oeuvres complètes de Diderot est née en 1958, lors de l'acquisition par la Bibliothèque nationale du fonds Vandeul. Ce riche ensemble de manuscrits provenant de la fille de Diderot, resté presque inexploité, fut sauvé par Herbert Dieckmann, professeur à l'université de Harvard. Aucun éditeur français n'ayant manifesté d'intérêt pour une entreprise d'une telle envergure, Julien Cain, alors directeur des Bibliothèques de France, fit appel à Pierre Bérès pour créer, en 1964, un Comité national d'édition des oeuvres de Diderot où figuraient André Chastel, Herbert Dieckmann, Jean Fabre, René Pomeau, Jean Pommier, Gaëtan Picon et Jean Seznec. Une équipe internationale fut constituée sous l'impulsion d'Herbert Dieckmann et de Jean Fabre, réunissant plus de soixante spécialistes, chercheurs et universitaires français, américains, italiens, allemands, danois, etc. En 1975 parurent les trois premiers volumes des oeuvres complètes, désignées désormais sous le sigle DPV du nom des membres fondateurs du Comité de publication : Herbert Dieckmann, Jacques Proust et Jean Varloot. Après la publication du tome XX, l'édition connut des années difficiles dues, pour l'essentiel, aux problèmes particulièrement ardus posés par les oeuvres de la dernière période. Leur résolution doit beaucoup à la mise en place d'un nouveau comité réunissant des chercheurs qui ont une responsabilité directe dans les volumes à paraître : Roland Mortier, Bertrand Binoche, Geroges Dulac, Gianluigi Goggi, Sergueï Karp et Didier Kahn. La relance de l'édition se manifeste par la publication, à l'automne 2004, du tome XXIV, prélude à celle des derniers volumes prévus dans toutes les années suivantes. Etablie à partir des manuscrits, des premières éditions et des révisions de l'auteur, l'édition des oeuvres complètes réunit, pour chaque oeuvre, les différentes étapes de la réflexion de Diderot et le meilleur texte. Un important appareil critique de variantes et d'élucidations fournit les données indispensables à l'étude. Le plan général adopté présente l'oeuvre dans son ordre chronologique, au sein duquel sont introduits quelques groupements originaux qui éclairent la continuité des thèmes du philosophe et de l'écrivain : idées, fiction, critique, beaux-arts, encylopédie. Pour faciliter la lecture, l'orthographe a été modernisée. La collection comporte trente-trois volumes, imprimés sur papier vélin en monotype Bembo et reliés en toile sous rhodoïd, avec tranchefile et tête dorée. Le tirage est strictement limité à deux mille exemplaires. Les volumes sont vendus soit sous forme de souscription à la collection complète, soit à l'unité.

07/1976

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Littérature française

Oeuvres complètes. Tome 12, Le Neveu de Rameau

L'idée de la première édition scientifique et critique des oeuvres complètes de Diderot est née en 1958, lors de l'acquisition par la Bibliothèque nationale du fonds Vandeul. Ce riche ensemble de manuscrits provenant de la fille de Diderot, resté presque inexploité, fut sauvé par Herbert Dieckmann, professeur à l'université de Harvard. Aucun éditeur français n'ayant manifesté d'intérêt pour une entreprise d'une telle envergure, Julien Cain, alors directeur des Bibliothèques de France, fit appel à Pierre Bérès pour créer, en 1964, un Comité national d'édition des oeuvres de Diderot où figuraient André Chastel, Herbert Dieckmann, Jean Fabre, René Pomeau, Jean Pommier, Gaëtan Picon et Jean Seznec. Une équipe internationale fut constituée sous l'impulsion d'Herbert Dieckmann et de Jean Fabre, réunissant plus de soixante spécialistes, chercheurs et universitaires français, américains, italiens, allemands, danois, etc. En 1975 parurent les trois premiers volumes des oeuvres complètes, désignées désormais sous le sigle DPV du nom des membres fondateurs du Comité de publication : Herbert Dieckmann, Jacques Proust et Jean Varloot. Après la publication du tome XX, l'édition connut des années difficiles dues, pour l'essentiel, aux problèmes particulièrement ardus posés par les oeuvres de la dernière période. Leur résolution doit beaucoup à la mise en place d'un nouveau comité réunissant des chercheurs qui ont une responsabilité directe dans les volumes à paraître : Roland Mortier, Bertrand Binoche, Geroges Dulac, Gianluigi Goggi, Sergueï Karp et Didier Kahn. La relance de l'édition se manifeste par la publication, à l'automne 2004, du tome XXIV, prélude à celle des derniers volumes prévus dans toutes les années suivantes. Etablie à partir des manuscrits, des premières éditions et des révisions de l'auteur, l'édition des oeuvres complètes réunit, pour chaque oeuvre, les différentes étapes de la réflexion de Diderot et le meilleur texte. Un important appareil critique de variantes et d'élucidations fournit les données indispensables à l'étude. Le plan général adopté présente l'oeuvre dans son ordre chronologique, au sein duquel sont introduits quelques groupements originaux qui éclairent la continuité des thèmes du philosophe et de l'écrivain : idées, fiction, critique, beaux-arts, encylopédie. Pour faciliter la lecture, l'orthographe a été modernisée. La collection comporte trente-trois volumes, imprimés sur papier vélin en monotype Bembo et reliés en toile sous rhodoïd, avec tranchefile et tête dorée. Le tirage est strictement limité à deux mille exemplaires. Les volumes sont vendus soit sous forme de souscription à la collection complète, soit à l'unité.

04/1989

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Philosophie

Oeuvres complètes. Tome 14, Salon de 1765 ; Essais sur la peinture

L'idée de la première édition scientifique et critique des oeuvres complètes de Diderot est née en 1958, lors de l'acquisition par la Bibliothèque nationale du fonds Vandeul. Ce riche ensemble de manuscrits provenant de la fille de Diderot, resté presque inexploité, fut sauvé par Herbert Dieckmann, professeur à l'université de Harvard. Aucun éditeur français n'ayant manifesté d'intérêt pour une entreprise d'une telle envergure, Julien Cain, alors directeur des Bibliothèques de France, fit appel à Pierre Bérès pour créer, en 1964, un Comité national d'édition des oeuvres de Diderot où figuraient André Chastel, Herbert Dieckmann, Jean Fabre, René Pomeau, Jean Pommier, Gaëtan Picon et Jean Seznec. Une équipe internationale fut constituée sous l'impulsion d'Herbert Dieckmann et de Jean Fabre, réunissant plus de soixante spécialistes, chercheurs et universitaires français, américains, italiens, allemands, danois, etc. En 1975 parurent les trois premiers volumes des oeuvres complètes, désignées désormais sous le sigle DPV du nom des membres fondateurs du Comité de publication : Herbert Dieckmann, Jacques Proust et Jean Varloot. Après la publication du tome XX, l'édition connut des années difficiles dues, pour l'essentiel, aux problèmes particulièrement ardus posés par les oeuvres de la dernière période. Leur résolution doit beaucoup à la mise en place d'un nouveau comité réunissant des chercheurs qui ont une responsabilité directe dans les volumes à paraître : Roland Mortier, Bertrand Binoche, Geroges Dulac, Gianluigi Goggi, Sergueï Karp et Didier Kahn. La relance de l'édition se manifeste par la publication, à l'automne 2004, du tome XXIV, prélude à celle des derniers volumes prévus dans toutes les années suivantes. Etablie à partir des manuscrits, des premières éditions et des révisions de l'auteur, l'édition des oeuvres complètes réunit, pour chaque oeuvre, les différentes étapes de la réflexion de Diderot et le meilleur texte. Un important appareil critique de variantes et d'élucidations fournit les données indispensables à l'étude. Le plan général adopté présente l'oeuvre dans son ordre chronologique, au sein duquel sont introduits quelques groupements originaux qui éclairent la continuité des thèmes du philosophe et de l'écrivain : idées, fiction, critique, beaux-arts, encylopédie. Pour faciliter la lecture, l'orthographe a été modernisée. La collection comporte trente-trois volumes, imprimés sur papier vélin en monotype Bembo et reliés en toile sous rhodoïd, avec tranchefile et tête dorée. Le tirage est strictement limité à deux mille exemplaires. Les volumes sont vendus soit sous forme de souscription à la collection complète, soit à l'unité.

10/1984

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Littérature française

Oeuvres complètes. Tome 3, Les Bijoux indiscrets

L'idée de la première édition scientifique et critique des oeuvres complètes de Diderot est née en 1958, lors de l'acquisition par la Bibliothèque nationale du fonds Vandeul. Ce riche ensemble de manuscrits provenant de la fille de Diderot, resté presque inexploité, fut sauvé par Herbert Dieckmann, professeur à l'université de Harvard. Aucun éditeur français n'ayant manifesté d'intérêt pour une entreprise d'une telle envergure, Julien Cain, alors directeur des Bibliothèques de France, fit appel à Pierre Bérès pour créer, en 1964, un Comité national d'édition des oeuvres de Diderot où figuraient André Chastel, Herbert Dieckmann, Jean Fabre, René Pomeau, Jean Pommier, Gaëtan Picon et Jean Seznec. Une équipe internationale fut constituée sous l'impulsion d'Herbert Dieckmann et de Jean Fabre, réunissant plus de soixante spécialistes, chercheurs et universitaires français, américains, italiens, allemands, danois, etc. En 1975 parurent les trois premiers volumes des oeuvres complètes, désignées désormais sous le sigle DPV du nom des membres fondateurs du Comité de publication : Herbert Dieckmann, Jacques Proust et Jean Varloot. Après la publication du tome XX, l'édition connut des années difficiles dues, pour l'essentiel, aux problèmes particulièrement ardus posés par les oeuvres de la dernière période. Leur résolution doit beaucoup à la mise en place d'un nouveau comité réunissant des chercheurs qui ont une responsabilité directe dans les volumes à paraître : Roland Mortier, Bertrand Binoche, Geroges Dulac, Gianluigi Goggi, Sergueï Karp et Didier Kahn. La relance de l'édition se manifeste par la publication, à l'automne 2004, du tome XXIV, prélude à celle des derniers volumes prévus dans toutes les années suivantes. Etablie à partir des manuscrits, des premières éditions et des révisions de l'auteur, l'édition des oeuvres complètes réunit, pour chaque oeuvre, les différentes étapes de la réflexion de Diderot et le meilleur texte. Un important appareil critique de variantes et d'élucidations fournit les données indispensables à l'étude. Le plan général adopté présente l'oeuvre dans son ordre chronologique, au sein duquel sont introduits quelques groupements originaux qui éclairent la continuité des thèmes du philosophe et de l'écrivain : idées, fiction, critique, beaux-arts, encylopédie. Pour faciliter la lecture, l'orthographe a été modernisée. La collection comporte trente-trois volumes, imprimés sur papier vélin en monotype Bembo et reliés en toile sous rhodoïd, avec tranchefile et tête dorée. Le tirage est strictement limité à deux mille exemplaires. Les volumes sont vendus soit sous forme de souscription à la collection complète, soit à l'unité.

10/1978

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Philosophie

Oeuvres complètes. Tome 4, Le nouveau Socrate

L'idée de la première édition scientifique et critique des oeuvres complètes de Diderot est née en 1958, lors de l'acquisition par la Bibliothèque nationale du fonds Vandeul. Ce riche ensemble de manuscrits provenant de la fille de Diderot, resté presque inexploité, fut sauvé par Herbert Dieckmann, professeur à l'université de Harvard. Aucun éditeur français n'ayant manifesté d'intérêt pour une entreprise d'une telle envergure, Julien Cain, alors directeur des Bibliothèques de France, fit appel à Pierre Bérès pour créer, en 1964, un Comité national d'édition des oeuvres de Diderot où figuraient André Chastel, Herbert Dieckmann, Jean Fabre, René Pomeau, Jean Pommier, Gaëtan Picon et Jean Seznec. Une équipe internationale fut constituée sous l'impulsion d'Herbert Dieckmann et de Jean Fabre, réunissant plus de soixante spécialistes, chercheurs et universitaires français, américains, italiens, allemands, danois, etc. En 1975 parurent les trois premiers volumes des oeuvres complètes, désignées désormais sous le sigle DPV du nom des membres fondateurs du Comité de publication : Herbert Dieckmann, Jacques Proust et Jean Varloot. Après la publication du tome XX, l'édition connut des années difficiles dues, pour l'essentiel, aux problèmes particulièrement ardus posés par les oeuvres de la dernière période. Leur résolution doit beaucoup à la mise en place d'un nouveau comité réunissant des chercheurs qui ont une responsabilité directe dans les volumes à paraître : Roland Mortier, Bertrand Binoche, Geroges Dulac, Gianluigi Goggi, Sergueï Karp et Didier Kahn. La relance de l'édition se manifeste par la publication, à l'automne 2004, du tome XXIV, prélude à celle des derniers volumes prévus dans toutes les années suivantes. Etablie à partir des manuscrits, des premières éditions et des révisions de l'auteur, l'édition des oeuvres complètes réunit, pour chaque oeuvre, les différentes étapes de la réflexion de Diderot et le meilleur texte. Un important appareil critique de variantes et d'élucidations fournit les données indispensables à l'étude. Le plan général adopté présente l'oeuvre dans son ordre chronologique, au sein duquel sont introduits quelques groupements originaux qui éclairent la continuité des thèmes du philosophe et de l'écrivain : idées, fiction, critique, beaux-arts, encylopédie. Pour faciliter la lecture, l'orthographe a été modernisée. La collection comporte trente-trois volumes, imprimés sur papier vélin en monotype Bembo et reliés en toile sous rhodoïd, avec tranchefile et tête dorée. Le tirage est strictement limité à deux mille exemplaires. Les volumes sont vendus soit sous forme de souscription à la collection complète, soit à l'unité.

10/1978

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Philosophie

Oeuvres complètes. Tome 2, Philosophie et mathématique

L'idée de la première édition scientifique et critique des oeuvres complètes de Diderot est née en 1958, lors de l'acquisition par la Bibliothèque nationale du fonds Vandeul. Ce riche ensemble de manuscrits provenant de la fille de Diderot, resté presque inexploité, fut sauvé par Herbert Dieckmann, professeur à l'université de Harvard. Aucun éditeur français n'ayant manifesté d'intérêt pour une entreprise d'une telle envergure, Julien Cain, alors directeur des Bibliothèques de France, fit appel à Pierre Bérès pour créer, en 1964, un Comité national d'édition des oeuvres de Diderot où figuraient André Chastel, Herbert Dieckmann, Jean Fabre, René Pomeau, Jean Pommier, Gaëtan Picon et Jean Seznec. Une équipe internationale fut constituée sous l'impulsion d'Herbert Dieckmann et de Jean Fabre, réunissant plus de soixante spécialistes, chercheurs et universitaires français, américains, italiens, allemands, danois, etc. En 1975 parurent les trois premiers volumes des oeuvres complètes, désignées désormais sous le sigle DPV du nom des membres fondateurs du Comité de publication : Herbert Dieckmann, Jacques Proust et Jean Varloot. Après la publication du tome XX, l'édition connut des années difficiles dues, pour l'essentiel, aux problèmes particulièrement ardus posés par les oeuvres de la dernière période. Leur résolution doit beaucoup à la mise en place d'un nouveau comité réunissant des chercheurs qui ont une responsabilité directe dans les volumes à paraître : Roland Mortier, Bertrand Binoche, Geroges Dulac, Gianluigi Goggi, Sergueï Karp et Didier Kahn. La relance de l'édition se manifeste par la publication, à l'automne 2004, du tome XXIV, prélude à celle des derniers volumes prévus dans toutes les années suivantes. Etablie à partir des manuscrits, des premières éditions et des révisions de l'auteur, l'édition des oeuvres complètes réunit, pour chaque oeuvre, les différentes étapes de la réflexion de Diderot et le meilleur texte. Un important appareil critique de variantes et d'élucidations fournit les données indispensables à l'étude. Le plan général adopté présente l'oeuvre dans son ordre chronologique, au sein duquel sont introduits quelques groupements originaux qui éclairent la continuité des thèmes du philosophe et de l'écrivain : idées, fiction, critique, beaux-arts, encylopédie. Pour faciliter la lecture, l'orthographe a été modernisée. La collection comporte trente-trois volumes, imprimés sur papier vélin en monotype Bembo et reliés en toile sous rhodoïd, avec tranchefile et tête dorée. Le tirage est strictement limité à deux mille exemplaires. Les volumes sont vendus soit sous forme de souscription à la collection complète, soit à l'unité.

04/1975

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Philosophie

Oeuvres complètes. Tome 1, Le modèle anglais

L'idée de la première édition scientifique et critique des oeuvres complètes de Diderot est née en 1958, lors de l'acquisition par la Bibliothèque nationale du fonds Vandeul. Ce riche ensemble de manuscrits provenant de la fille de Diderot, resté presque inexploité, fut sauvé par Herbert Dieckmann, professeur à l'université de Harvard. Aucun éditeur français n'ayant manifesté d'intérêt pour une entreprise d'une telle envergure, Julien Cain, alors directeur des Bibliothèques de France, fit appel à Pierre Bérès pour créer, en 1964, un Comité national d'édition des oeuvres de Diderot où figuraient André Chastel, Herbert Dieckmann, Jean Fabre, René Pomeau, Jean Pommier, Gaëtan Picon et Jean Seznec. Une équipe internationale fut constituée sous l'impulsion d'Herbert Dieckmann et de Jean Fabre, réunissant plus de soixante spécialistes, chercheurs et universitaires français, américains, italiens, allemands, danois, etc. En 1975 parurent les trois premiers volumes des oeuvres complètes, désignées désormais sous le sigle DPV du nom des membres fondateurs du Comité de publication : Herbert Dieckmann, Jacques Proust et Jean Varloot. Après la publication du tome XX, l'édition connut des années difficiles dues, pour l'essentiel, aux problèmes particulièrement ardus posés par les oeuvres de la dernière période. Leur résolution doit beaucoup à la mise en place d'un nouveau comité réunissant des chercheurs qui ont une responsabilité directe dans les volumes à paraître : Roland Mortier, Bertrand Binoche, Geroges Dulac, Gianluigi Goggi, Sergueï Karp et Didier Kahn. La relance de l'édition se manifeste par la publication, à l'automne 2004, du tome XXIV, prélude à celle des derniers volumes prévus dans toutes les années suivantes. Etablie à partir des manuscrits, des premières éditions et des révisions de l'auteur, l'édition des oeuvres complètes réunit, pour chaque oeuvre, les différentes étapes de la réflexion de Diderot et le meilleur texte. Un important appareil critique de variantes et d'élucidations fournit les données indispensables à l'étude. Le plan général adopté présente l'oeuvre dans son ordre chronologique, au sein duquel sont introduits quelques groupements originaux qui éclairent la continuité des thèmes du philosophe et de l'écrivain : idées, fiction, critique, beaux-arts, encylopédie. Pour faciliter la lecture, l'orthographe a été modernisée. La collection comporte trente-trois volumes, imprimés sur papier vélin en monotype Bembo et reliés en toile sous rhodoïd, avec tranchefile et tête dorée. Le tirage est strictement limité à deux mille exemplaires. Les volumes sont vendus soit sous forme de souscription à la collection complète, soit à l'unité.

04/1975

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Philosophie

Oeuvres complètes. Tome 16, Salon de 1767 ; Salon de 1769

L'idée de la première édition scientifique et critique des oeuvres complètes de Diderot est née en 1958, lors de l'acquisition par la Bibliothèque nationale du fonds Vandeul. Ce riche ensemble de manuscrits provenant de la fille de Diderot, resté presque inexploité, fut sauvé par Herbert Dieckmann, professeur à l'université de Harvard. Aucun éditeur français n'ayant manifesté d'intérêt pour une entreprise d'une telle envergure, Julien Cain, alors directeur des Bibliothèques de France, fit appel à Pierre Bérès pour créer, en 1964, un Comité national d'édition des oeuvres de Diderot où figuraient André Chastel, Herbert Dieckmann, Jean Fabre, René Pomeau, Jean Pommier, Gaëtan Picon et Jean Seznec. Une équipe internationale fut constituée sous l'impulsion d'Herbert Dieckmann et de Jean Fabre, réunissant plus de soixante spécialistes, chercheurs et universitaires français, américains, italiens, allemands, danois, etc. En 1975 parurent les trois premiers volumes des oeuvres complètes, désignées désormais sous le sigle DPV du nom des membres fondateurs du Comité de publication : Herbert Dieckmann, Jacques Proust et Jean Varloot. Après la publication du tome XX, l'édition connut des années difficiles dues, pour l'essentiel, aux problèmes particulièrement ardus posés par les oeuvres de la dernière période. Leur résolution doit beaucoup à la mise en place d'un nouveau comité réunissant des chercheurs qui ont une responsabilité directe dans les volumes à paraître : Roland Mortier, Bertrand Binoche, Geroges Dulac, Gianluigi Goggi, Sergueï Karp et Didier Kahn. La relance de l'édition se manifeste par la publication, à l'automne 2004, du tome XXIV, prélude à celle des derniers volumes prévus dans toutes les années suivantes. Etablie à partir des manuscrits, des premières éditions et des révisions de l'auteur, l'édition des oeuvres complètes réunit, pour chaque oeuvre, les différentes étapes de la réflexion de Diderot et le meilleur texte. Un important appareil critique de variantes et d'élucidations fournit les données indispensables à l'étude. Le plan général adopté présente l'oeuvre dans son ordre chronologique, au sein duquel sont introduits quelques groupements originaux qui éclairent la continuité des thèmes du philosophe et de l'écrivain : idées, fiction, critique, beaux-arts, encylopédie. Pour faciliter la lecture, l'orthographe a été modernisée. La collection comporte trente-trois volumes, imprimés sur papier vélin en monotype Bembo et reliés en toile sous rhodoïd, avec tranchefile et tête dorée. Le tirage est strictement limité à deux mille exemplaires. Les volumes sont vendus soit sous forme de souscription à la collection complète, soit à l'unité.

04/1990

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Littérature française

Oeuvres complètes. Tome 23, Jacques le fataliste

L'idée de la première édition scientifique et critique des oeuvres complètes de Diderot est née en 1958, lors de l'acquisition par la Bibliothèque nationale du fonds Vandeul. Ce riche ensemble de manuscrits provenant de la fille de Diderot, resté presque inexploité, fut sauvé par Herbert Dieckmann, professeur à l'université de Harvard. Aucun éditeur français n'ayant manifesté d'intérêt pour une entreprise d'une telle envergure, Julien Cain, alors directeur des Bibliothèques de France, fit appel à Pierre Bérès pour créer, en 1964, un Comité national d'édition des oeuvres de Diderot où figuraient André Chastel, Herbert Dieckmann, Jean Fabre, René Pomeau, Jean Pommier, Gaëtan Picon et Jean Seznec. Une équipe internationale fut constituée sous l'impulsion d'Herbert Dieckmann et de Jean Fabre, réunissant plus de soixante spécialistes, chercheurs et universitaires français, américains, italiens, allemands, danois, etc. En 1975 parurent les trois premiers volumes des oeuvres complètes, désignées désormais sous le sigle DPV du nom des membres fondateurs du Comité de publication : Herbert Dieckmann, Jacques Proust et Jean Varloot. Après la publication du tome XX, l'édition connut des années difficiles dues, pour l'essentiel, aux problèmes particulièrement ardus posés par les oeuvres de la dernière période. Leur résolution doit beaucoup à la mise en place d'un nouveau comité réunissant des chercheurs qui ont une responsabilité directe dans les volumes à paraître : Roland Mortier, Bertrand Binoche, Geroges Dulac, Gianluigi Goggi, Sergueï Karp et Didier Kahn. La relance de l'édition se manifeste par la publication, à l'automne 2004, du tome XXIV, prélude à celle des derniers volumes prévus dans toutes les années suivantes. Etablie à partir des manuscrits, des premières éditions et des révisions de l'auteur, l'édition des oeuvres complètes réunit, pour chaque oeuvre, les différentes étapes de la réflexion de Diderot et le meilleur texte. Un important appareil critique de variantes et d'élucidations fournit les données indispensables à l'étude. Le plan général adopté présente l'oeuvre dans son ordre chronologique, au sein duquel sont introduits quelques groupements originaux qui éclairent la continuité des thèmes du philosophe et de l'écrivain : idées, fiction, critique, beaux-arts, encylopédie. Pour faciliter la lecture, l'orthographe a été modernisée. La collection comporte trente-trois volumes, imprimés sur papier vélin en monotype Bembo et reliés en toile sous rhodoïd, avec tranchefile et tête dorée. Le tirage est strictement limité à deux mille exemplaires. Les volumes sont vendus soit sous forme de souscription à la collection complète, soit à l'unité.

10/1981

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Philosophie

Oeuvres complètes. Tome 13, Arts et lettres (1739-1766)

L'idée de la première édition scientifique et critique des oeuvres complètes de Diderot est née en 1958, lors de l'acquisition par la Bibliothèque nationale du fonds Vandeul. Ce riche ensemble de manuscrits provenant de la fille de Diderot, resté presque inexploité, fut sauvé par Herbert Dieckmann, professeur à l'université de Harvard. Aucun éditeur français n'ayant manifesté d'intérêt pour une entreprise d'une telle envergure, Julien Cain, alors directeur des Bibliothèques de France, fit appel à Pierre Bérès pour créer, en 1964, un Comité national d'édition des oeuvres de Diderot où figuraient André Chastel, Herbert Dieckmann, Jean Fabre, René Pomeau, Jean Pommier, Gaëtan Picon et Jean Seznec. Une équipe internationale fut constituée sous l'impulsion d'Herbert Dieckmann et de Jean Fabre, réunissant plus de soixante spécialistes, chercheurs et universitaires français, américains, italiens, allemands, danois, etc. En 1975 parurent les trois premiers volumes des oeuvres complètes, désignées désormais sous le sigle DPV du nom des membres fondateurs du Comité de publication : Herbert Dieckmann, Jacques Proust et Jean Varloot. Après la publication du tome XX, l'édition connut des années difficiles dues, pour l'essentiel, aux problèmes particulièrement ardus posés par les oeuvres de la dernière période. Leur résolution doit beaucoup à la mise en place d'un nouveau comité réunissant des chercheurs qui ont une responsabilité directe dans les volumes à paraître : Roland Mortier, Bertrand Binoche, Geroges Dulac, Gianluigi Goggi, Sergueï Karp et Didier Kahn. La relance de l'édition se manifeste par la publication, à l'automne 2004, du tome XXIV, prélude à celle des derniers volumes prévus dans toutes les années suivantes. Etablie à partir des manuscrits, des premières éditions et des révisions de l'auteur, l'édition des oeuvres complètes réunit, pour chaque oeuvre, les différentes étapes de la réflexion de Diderot et le meilleur texte. Un important appareil critique de variantes et d'élucidations fournit les données indispensables à l'étude. Le plan général adopté présente l'oeuvre dans son ordre chronologique, au sein duquel sont introduits quelques groupements originaux qui éclairent la continuité des thèmes du philosophe et de l'écrivain : idées, fiction, critique, beaux-arts, encylopédie. Pour faciliter la lecture, l'orthographe a été modernisée. La collection comporte trente-trois volumes, imprimés sur papier vélin en monotype Bembo et reliés en toile sous rhodoïd, avec tranchefile et tête dorée. Le tirage est strictement limité à deux mille exemplaires. Les volumes sont vendus soit sous forme de souscription à la collection complète, soit à l'unité.

01/1980

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Littérature française

Oeuvres complètes. Tome 10, Le drame bourgeois

L'idée de la première édition scientifique et critique des oeuvres complètes de Diderot est née en 1958, lors de l'acquisition par la Bibliothèque nationale du fonds Vandeul. Ce riche ensemble de manuscrits provenant de la fille de Diderot, resté presque inexploité, fut sauvé par Herbert Dieckmann, professeur à l'université de Harvard. Aucun éditeur français n'ayant manifesté d'intérêt pour une entreprise d'une telle envergure, Julien Cain, alors directeur des Bibliothèques de France, fit appel à Pierre Bérès pour créer, en 1964, un Comité national d'édition des oeuvres de Diderot où figuraient André Chastel, Herbert Dieckmann, Jean Fabre, René Pomeau, Jean Pommier, Gaëtan Picon et Jean Seznec. Une équipe internationale fut constituée sous l'impulsion d'Herbert Dieckmann et de Jean Fabre, réunissant plus de soixante spécialistes, chercheurs et universitaires français, américains, italiens, allemands, danois, etc. En 1975 parurent les trois premiers volumes des oeuvres complètes, désignées désormais sous le sigle DPV du nom des membres fondateurs du Comité de publication : Herbert Dieckmann, Jacques Proust et Jean Varloot. Après la publication du tome XX, l'édition connut des années difficiles dues, pour l'essentiel, aux problèmes particulièrement ardus posés par les oeuvres de la dernière période. Leur résolution doit beaucoup à la mise en place d'un nouveau comité réunissant des chercheurs qui ont une responsabilité directe dans les volumes à paraître : Roland Mortier, Bertrand Binoche, Geroges Dulac, Gianluigi Goggi, Sergueï Karp et Didier Kahn. La relance de l'édition se manifeste par la publication, à l'automne 2004, du tome XXIV, prélude à celle des derniers volumes prévus dans toutes les années suivantes. Etablie à partir des manuscrits, des premières éditions et des révisions de l'auteur, l'édition des oeuvres complètes réunit, pour chaque oeuvre, les différentes étapes de la réflexion de Diderot et le meilleur texte. Un important appareil critique de variantes et d'élucidations fournit les données indispensables à l'étude. Le plan général adopté présente l'oeuvre dans son ordre chronologique, au sein duquel sont introduits quelques groupements originaux qui éclairent la continuité des thèmes du philosophe et de l'écrivain : idées, fiction, critique, beaux-arts, encylopédie. Pour faciliter la lecture, l'orthographe a été modernisée. La collection comporte trente-trois volumes, imprimés sur papier vélin en monotype Bembo et reliés en toile sous rhodoïd, avec tranchefile et tête dorée. Le tirage est strictement limité à deux mille exemplaires. Les volumes sont vendus soit sous forme de souscription à la collection complète, soit à l'unité.

01/1980

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Philosophie

Oeuvres complètes. Tome 18, Arts et lettres (1767-1770)

L'idée de la première édition scientifique et critique des oeuvres complètes de Diderot est née en 1958, lors de l'acquisition par la Bibliothèque nationale du fonds Vandeul. Ce riche ensemble de manuscrits provenant de la fille de Diderot, resté presque inexploité, fut sauvé par Herbert Dieckmann, professeur à l'université de Harvard. Aucun éditeur français n'ayant manifesté d'intérêt pour une entreprise d'une telle envergure, Julien Cain, alors directeur des Bibliothèques de France, fit appel à Pierre Bérès pour créer, en 1964, un Comité national d'édition des oeuvres de Diderot où figuraient André Chastel, Herbert Dieckmann, Jean Fabre, René Pomeau, Jean Pommier, Gaëtan Picon et Jean Seznec. Une équipe internationale fut constituée sous l'impulsion d'Herbert Dieckmann et de Jean Fabre, réunissant plus de soixante spécialistes, chercheurs et universitaires français, américains, italiens, allemands, danois, etc. En 1975 parurent les trois premiers volumes des oeuvres complètes, désignées désormais sous le sigle DPV du nom des membres fondateurs du Comité de publication : Herbert Dieckmann, Jacques Proust et Jean Varloot. Après la publication du tome XX, l'édition connut des années difficiles dues, pour l'essentiel, aux problèmes particulièrement ardus posés par les oeuvres de la dernière période. Leur résolution doit beaucoup à la mise en place d'un nouveau comité réunissant des chercheurs qui ont une responsabilité directe dans les volumes à paraître : Roland Mortier, Bertrand Binoche, Geroges Dulac, Gianluigi Goggi, Sergueï Karp et Didier Kahn. La relance de l'édition se manifeste par la publication, à l'automne 2004, du tome XXIV, prélude à celle des derniers volumes prévus dans toutes les années suivantes. Etablie à partir des manuscrits, des premières éditions et des révisions de l'auteur, l'édition des oeuvres complètes réunit, pour chaque oeuvre, les différentes étapes de la réflexion de Diderot et le meilleur texte. Un important appareil critique de variantes et d'élucidations fournit les données indispensables à l'étude. Le plan général adopté présente l'oeuvre dans son ordre chronologique, au sein duquel sont introduits quelques groupements originaux qui éclairent la continuité des thèmes du philosophe et de l'écrivain : idées, fiction, critique, beaux-arts, encylopédie. Pour faciliter la lecture, l'orthographe a été modernisée. La collection comporte trente-trois volumes, imprimés sur papier vélin en monotype Bembo et reliés en toile sous rhodoïd, avec tranchefile et tête dorée. Le tirage est strictement limité à deux mille exemplaires. Les volumes sont vendus soit sous forme de souscription à la collection complète, soit à l'unité.

10/1984

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Littérature française

Oeuvres complètes. Tome 11, La Religieuse

L'idée de la première édition scientifique et critique des oeuvres complètes de Diderot est née en 1958, lors de l'acquisition par la Bibliothèque nationale du fonds Vandeul. Ce riche ensemble de manuscrits provenant de la fille de Diderot, resté presque inexploité, fut sauvé par Herbert Dieckmann, professeur à l'université de Harvard. Aucun éditeur français n'ayant manifesté d'intérêt pour une entreprise d'une telle envergure, Julien Cain, alors directeur des Bibliothèques de France, fit appel à Pierre Bérès pour créer, en 1964, un Comité national d'édition des oeuvres de Diderot où figuraient André Chastel, Herbert Dieckmann, Jean Fabre, René Pomeau, Jean Pommier, Gaëtan Picon et Jean Seznec. Une équipe internationale fut constituée sous l'impulsion d'Herbert Dieckmann et de Jean Fabre, réunissant plus de soixante spécialistes, chercheurs et universitaires français, américains, italiens, allemands, danois, etc. En 1975 parurent les trois premiers volumes des oeuvres complètes, désignées désormais sous le sigle DPV du nom des membres fondateurs du Comité de publication : Herbert Dieckmann, Jacques Proust et Jean Varloot. Après la publication du tome XX, l'édition connut des années difficiles dues, pour l'essentiel, aux problèmes particulièrement ardus posés par les oeuvres de la dernière période. Leur résolution doit beaucoup à la mise en place d'un nouveau comité réunissant des chercheurs qui ont une responsabilité directe dans les volumes à paraître : Roland Mortier, Bertrand Binoche, Geroges Dulac, Gianluigi Goggi, Sergueï Karp et Didier Kahn. La relance de l'édition se manifeste par la publication, à l'automne 2004, du tome XXIV, prélude à celle des derniers volumes prévus dans toutes les années suivantes. Etablie à partir des manuscrits, des premières éditions et des révisions de l'auteur, l'édition des oeuvres complètes réunit, pour chaque oeuvre, les différentes étapes de la réflexion de Diderot et le meilleur texte. Un important appareil critique de variantes et d'élucidations fournit les données indispensables à l'étude. Le plan général adopté présente l'oeuvre dans son ordre chronologique, au sein duquel sont introduits quelques groupements originaux qui éclairent la continuité des thèmes du philosophe et de l'écrivain : idées, fiction, critique, beaux-arts, encylopédie. Pour faciliter la lecture, l'orthographe a été modernisée. La collection comporte trente-trois volumes, imprimés sur papier vélin en monotype Bembo et reliés en toile sous rhodoïd, avec tranchefile et tête dorée. Le tirage est strictement limité à deux mille exemplaires. Les volumes sont vendus soit sous forme de souscription à la collection complète, soit à l'unité.

04/1975

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Actualité et médias

Zadig N° 7 : Changer de vie

Tout plaquer : maison, boulot, famille, et recommencer à zéro. Beaucoup en rêvent, notamment depuis la crise sanitaire. Quelles sont les aspirations des français et quelles réalités derrière ces désirs ? Zadig, le trimestriel qui raconte la France, rassemble dans ce 7ème numéro : Florence Aubenas, Pablo Servigne, M. Pastoureau, L. Slimani, Miguel Bonnefoy, Bernard Chambaz, et tant d'autres ZADIG, LE TRIMESTRIEL QUI RACONTE LA FRANCE Après Le 1 et America, Zadig est le magazine lancé par Eric Fottorino en mars 2019. Chaque trimestre, Zadig raconte la France à travers un récit de 196 pages tissé par écrivains et reporters, historiens, photographes, sociologues, illustrateurs ou géographes. LE NUMERO 7 : CHANGER DE VIE Tout plaquer : maison, boulot, famille, et recommencer à zéro. Beaucoup en rêvent, notamment depuis la crise sanitaire. Quelles sont les aspirations des français et quelles réalités derrière ces désirs ? Zadig, le trimestriel qui raconte la France, rassemble notamment dans ce 7ème numéro : Pablo Servigne, Florence Aubenas, M. Pastoureau, L. Slimani, Miguel Bonnefoy, Bernard Chambaz SOMMAIRE DETAILLE DE ZADIG 7 Grand entretien : Florence Aubenas (12p) Chroniques trimestrielles : " Y'a d'la joie " par Leïla Slimani " Faire ensemble " par Marie Desplechin La couleur de l'automne avec Michel Pastoureau La Macronie en BD par Mathieu Sapin Les micro-fictions de Régis Jauffret Chronique musicale de Bertrand Dicale Michelle Perrot relit pour nous " Surveiller et Punir " de Michel Foucault Récits et écrivains La Dordogne de Bernard Chambaz La nouvelle inédite de Florence Seyvos Pourquoi j'ai choisi la France de Miguel Bonnefoy Le portrait de famille par Ondine Debré Reportages, portraits et enquêtes du dossier " Changer de vie " La sociologue Catherine Negroni sur les changements de vie voulus, l'accélération de ces évolutions Le collapsologue et scientifique Pablo Servigné Les cartes d'Hervé Le Bras (migrations en France) Enquête sur les changements de vie avec Hélène Seingier Récit graphique d'un départ à la campagne : Les aventures dessinées de Arthus de Lavilléon avec Jessica Témoignage de Florence Robert, calligraphe devenue bergère dans les Corbières (livre paru chez José Corti) Portrait de nouveaux nomades qui ont fait rentrer leur vie dans une maison qui roule (Tiny house) entre Angers et Orléans. Reportage dans l'éco-village de Pourgues (Ariège) Reportage sur l'île d'Ouessant dont les habitants sont triés sur le volet Enquête dans les territoires (Creuse, ouest de la France) qui cherchent à attirer des citadins Reportage de Julie Gacon sur des anciens Zadistes repliés à Morogues en compagnie d'autres militants et activistes qui ont fondé des collectifs de socialisation communarde

09/2020

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Littérature érotique et sentim

Le Sextineméron. Contes et récits sadarnapalesques, grivois et lestes de l'Aquitaine médiévale

Trois personnages, deux clercs et une moniale, se retrouvent reclus dans une maison du quartier Saint-Gilles à Orthez, lors de l'épidémie de peste noire en 1348. Durant six jours et six nuits, ils doivent attendre, cloîtrés, le délai d'incubation de la terrifiante maladie pour être certains de ne pas en subir la contamination et de pouvoir revenir dans la société. Afin de s'occuper et à tour de rôle, chacun raconte aux autres des récits et des historiettes impliquant les relations humaines dans ce qu'elles ont de plus intimes, et qui se déroulèrent sur les terres du duché d'Aquitaine, du comté d'Armagnac, de la vicomté de Béarn et des fiefs de leurs vassaux. Animés par le Credo et la superstition, deux fois dans la journée, ils prennent la parole comme pour, à la fin de la semaine, parodier le poème des troubadours, la sextine composée de six sizains et d'un tercet. En se promettant, s'ils en réchappent, de former lors de leur délivrance l'ultime strophe par l'évocation d'une anecdote personnelle. Hélas, en suscitant six fois le chiffre six, nombre duquel résulte la maturation de la Bête dans l'Apocalypse de Saint-Jean, ils réveillent le Démon qui rôdait à proximité dans ces temps de grands malheurs ; celui-ci leur inspire une érotisation de leurs contes de sorte, qu'à la fin, tous trois tombent dans la plus perverse sensualité et se livrent à ses oeuvres… La Divine Providence qui possède le pouvoir de modifier les destins, cependant, veille... Bien évidemment, la vie extraordinaire de Bertrand, Guilhem et Eléonore fut rapidement effacée de la mémoire des hommes, on détruisit les textes qui en faisaient référence, l'Eglise veillant à ce que personne n'entachât sa réputation. Les pensées, réflexions, faits et gestes des trois jeunes gens heurtaient la piété dans laquelle on voulait cantonner le peuple, même si ces desservants de Dieu désiraient à toute force percer les mystères de la vie et de l'amour, pour la gloire du Tout-Puissant. Ouvrage érudit mais accessible au plus grand nombre, où, dans un style à la fois précis, suave et enjoué, l'on peut revivre les aventures picaresques d'hommes et de femmes des temps jadis qui, malgré leur évidente culture et leur désir d'atteindre aux plus hauts niveaux de la spiritualité, confrontés aux mystères de la vie, de l'amour et de la mort, se montraient francs ripailleurs et gaies luronnes. Eternelle lutte du Démon contre les oeuvres de Dieu...

10/2017

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Philosophie

Oeuvres complètes. Tome 25, Essai sur les règnes de Claude et de Néron

L'idée de la première édition scientifique et critique des oeuvres complètes de Diderot est née en 1958, lors de l'acquisition par la Bibliothèque nationale du fonds Vandeul. Ce riche ensemble de manuscrits provenant de la fille de Diderot, resté presque inexploité, fut sauvé par Herbert Dieckmann, professeur à l'université de Harvard. Aucun éditeur français n'ayant manifesté d'intérêt pour une entreprise d'une telle envergure, Julien Cain, alors directeur des Bibliothèques de France, fit appel à Pierre Bérès pour créer, en 1964, un Comité national d'édition des oeuvres de Diderot où figuraient André Chastel, Herbert Dieckmann, Jean Fabre, René Pomeau, Jean Pommier, Gaëtan Picon et Jean Seznec. Une équipe internationale fut constituée sous l'impulsion d'Herbert Dieckmann et de Jean Fabre, réunissant plus de soixante spécialistes, chercheurs et universitaires français, américains, italiens, allemands, danois, etc. En 1975 parurent les trois premiers volumes des oeuvres complètes, désignées désormais sous le sigle DPV du nom des membres fondateurs du Comité de publication : Herbert Dieckmann, Jacques Proust et Jean Varloot. Après la publication du tome XX, l'édition connut des années difficiles dues, pour l'essentiel, aux problèmes particulièrement ardus posés par les oeuvres de la dernière période. Leur résolution doit beaucoup à la mise en place d'un nouveau comité réunissant des chercheurs qui ont une responsabilité directe dans les volumes à paraître : Roland Mortier, Bertrand Binoche, Geroges Dulac, Gianluigi Goggi, Sergueï Karp et Didier Kahn. La relance de l'édition se manifeste par la publication, à l'automne 2004, du tome XXIV, prélude à celle des derniers volumes prévus dans toutes les années suivantes. Etablie à partir des manuscrits, des premières éditions et des révisions de l'auteur, l'édition des oeuvres complètes réunit, pour chaque oeuvre, les différentes étapes de la réflexion de Diderot et le meilleur texte. Un important appareil critique de variantes et d'élucidations fournit les données indispensables à l'étude. Le plan général adopté présente l'oeuvre dans son ordre chronologique, au sein duquel sont introduits quelques groupements originaux qui éclairent la continuité des thèmes du philosophe et de l'écrivain : idées, fiction, critique, beaux-arts, encylopédie. Pour faciliter la lecture, l'orthographe a été modernisée. La collection comporte trente-trois volumes, imprimés sur papier vélin en monotype Bembo et reliés en toile sous rhodoïd, avec tranchefile et tête dorée. Le tirage est strictement limité à deux mille exemplaires. Les volumes sont vendus soit sous forme de souscription à la collection complète, soit à l'unité.

10/1986

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Histoire de France

Ici Radio France. Tome 1, Allocutions radiophoniques (1942)

Né le 7 janvier 1889 à Reims, Philippe Henriot est professeur, puis homme politique, député de Bordeaux à partir de 1932. Membre de la Fédération nationale catholique, puis vice-président du Parti national popu­laire, futur Parti national populaire et social, il mène campagne contre les scan­dales de l'affaire Stavisky. Pacifiste, il s'insurge contre le déclenchement des hostilités, puis rejoint en 1940 le maréchal Pétain. Orateur de la Révolution Nationale, il collabore à Gringoire. Très actif dans la Collaboration, engagé au sein de la Milice française, Philippe Henriot prend la parole chaque jours à l'antenne de Radio Paris pour défendre la politique de collaboration avec l'Allemagne. Orateur virulent, il participe à une guerre des ondes qui se déroule entre Radio Londres et Radio Paris. Il se bat particulièrement contre Pierre Dac et Maurice Schumann. Il acquiert rapidement la réputation de pouvoir présenter les sujets les plus complexes d'une façon claire et directe et arrive ainsi à défendre la Collaboration mieux que Philippe Pétain lui-même, ou encore Pierre Laval. Pour convaincre, il n'hésite pas à se rendre en Haute-Savoie pour interviewer des maquisards qu'on venait d'y capturer et fustiger leurs actions. A en croire le préfet du Vaucluse, l'intervention de Philippe Henriot aurait eu un effet important : si deux mois plus tôt les gens avaient été massivement du côté de la Résistance, Henriot avait réussi à les faire changer d'avis. Il devient, le 6 janvier 1944, secrétaire d'Etat de l'Information et de la Propagande du gouvernement de Vichy, en même temps que Joseph Darnand est nommé ministre chargé du maintien de l'ordre. Philippe Henriot est assassiné le 28 juin 1944 à son domicile par un commando de Résistants. Il eut droit à des obsèques nationales, organisées par le régime de Vichy, à la cathédrale Notre-Dame de Paris, en présence du cardinal Suhard et d'une foule importante. Ici Radio France rassemble les allocutions de Philippe Henriot au cours de l'année 1942. Il est l'auteur de plusieurs livres.

10/2019

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Histoire de France

Et s’ils débarquaient ? Allocutions radiophoniques, tome 2 : 1943

Né le 7 janvier 1889 à Reims, Philippe Henriot est professeur, puis homme politique, député de Bordeaux à partir de 1932. Membre de la Fédération nationale catholique, puis vice-président du Parti national populaire, futur Parti national populaire et social, il mène campagne contre les scan­dales de l'affaire Stavisky. Pacifiste, il s'insurge contre le déclenchement des hostilités, puis rejoint en 1940 le maréchal Pétain. Orateur de la Révolution Nationale, il collabore à Gringoire. Très actif dans la Collaboration, engagé au sein de la Milice française, Philippe Henriot prend la parole chaque jours à l'antenne de Radio Paris pour défendre la politique de collaboration avec l'Allemagne. Orateur virulent, il participe à une guerre des ondes qui se déroule entre Radio Londres et Radio Paris. Il se bat particulièrement contre Pierre Dac et Maurice Schumann. Il acquiert rapidement la réputation de pouvoir présenter les sujets les plus complexes d'une façon claire et directe et arrive ainsi à défendre la Collaboration mieux que Philippe Pétain lui-même, ou encore Pierre Laval. Pour convaincre, il n'hésite pas à se rendre en Haute-Savoie pour interviewer des maquisards qu'on venait d'y capturer et fustiger leurs actions. A en croire le préfet du Vaucluse, l'intervention de Philippe Henriot aurait eu un effet important : si deux mois plus tôt les gens avaient été massivement du côté de la Résistance, Henriot avait réussi à les faire changer d'avis. Il devient, le 6 janvier 1944, secrétaire d'Etat de l'Information et de la Propagande du gouvernement de Vichy, en même temps que Joseph Darnand est nommé ministre chargé du maintien de l'ordre. Philippe Henriot est assassiné le 28 juin 1944 à son domicile par un commando de Résistants. Il eut droit à des obsèques nationales, organisées par le régime de Vichy, à la cathédrale Notre-Dame de Paris, en présence du cardinal Suhard et d'une foule importante. Et s'ils dé? barquaient ? rassemble les allocutions de Philippe Hen­riot au cours de l'année 1943. Il est l'auteur de plusieurs livres.

10/2019

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Desserts, pâtisseries

La France des pâtisseries

Un tour de France avec 50 pâtissiers incontourables et 100 recettes Après le succès du " Paris des pâtisseries ", François Blanc ouvre des perspectives en nous offrant un tour de France des pâtissiers qu'il estime être les meilleurs. Les 100 recettes de gâteaux, tartes, entremets, cakes et autres délices sont classées par région puis par ville afin que les gourmands retrouvent rapidement les bonnes adresses et les portraits des pâtissiers qui font parler d'eux partout en France. Un véritable périple pour découvrir 50 pâtissiers incontournables de Bordeaux à Lille en passant par Marseille, Lyon, Nantes, Strasbourg mais aussi Courchevel, Cherbourg, Versailles et St Jean Cap Ferrat Parmi les 100 recettes présentées (dont une dizaine en pas à pas de 12 photos), le lecteur a le plaisir de découvrir des créations pâtissières mais aussi des spécialités régionales réinterprétées avec talent. Gâteau basque, canelé, brioche bressane, bugnes, biscuit de Savoie, tropézienne, kouign Amann, gâteau nantais, gaufre du nord, tarte aux myrtilles ou kouglof ont trouvé de nouveaux auteurs de qualité. Pour ce qui est des créations pâtissières, le panorama est aussi large que celui des personnalités de la France sucrée dont elles sont l'image. Parmi les 50 pâtissiers, il y a les pâtissiers reconnus comme Christophe Felder à Mutzig, Nicolas Bernardé à La Garenne Colombe, Sébastien Bouillet à Lyon ou Vincent Guerlais à Nantes, mais aussi de jeunes talents à découvrir comme les frères Dorner à Lyon, Patrice Ibarboure à Bidart, Valentin Brault à Bordeaux, Mickael Ligey à Annecy ou Jérôme Raffaelli à Marseille. Certaines recettes sont inspirées par des rivages lointains (le Mexique chez Diego Cervantes ou le Japon chez Satomi et Stanley Chan à Bordeaux), d'autres sont portées par des maisons historiques (Meert à Lille, la pâtisserie Lac à Nice et Thierry Bamas à Anglet). D'autres gâteaux encore sont imaginés par des chefs pâtissiers de restaurants étoilés comme Julien Dugourd à Eze ou Sébastien Vauxion à Courchevel (2 étoiles chacun). En tout, 50 adresses et 100 recettes pour ne plus savoir qui du Nord au Sud de la France nous fera le plus saliver.

10/2021

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Thrillers

Crash à Seyssel

Haute-Savoie, 1943 ! Un bombardier anglais survole Annecy de nuit et entre en collision avec 2 mystérieux engins venus "d’ailleurs". Le premier s’abîme dans le lac, quant au second, après une course désordonnée, il s’enfonce dans le Rhône à l’embouchure des Usses, juste avant Seyssel. Très rapidement, Allemands et Italiens bouclent totalement la région et en repartent, quelques jours plus tard, avec de bien étranges chargements. Paris, de nos jours ! Jean-Philippe Destivelles, le conseiller spécial du président de la République empêtré dans des affaires d’écoutes illégales et de fuites au plus haut niveau de son gouvernement de cohabitation bien fragile, hérite d’un terrifiant dossier déterré dans les archives de la Stasi, par un certain Vauclair. Il est si explosif qu’il pourrait rebattre toutes les cartes énergétiques mondiales. Mais qui, d’Henri Beauregard, le premier Ministre qui ne rêve que de prendre la place du président, de Michel Vandeuil, le chef de cabinet de celui-ci, corrompu et prêt à tout, ou du pouvoir en place a intérêt à ce que ce dossier soit rendu public ? S’agit-il d’une manipulation d’envergure ? Commence alors pour le commandant Paul Farrell, installé à Corbonod et patron du SSERPI, organisme très confidentiel, un marathon qui l’emportera aux portes de l’impossible. Sur fond de sordides manœuvres politiques, qui tire réellement les ficelles derrière cette énigmatique affaire ? Que cherchent Vauclair et ses 3 amis ? Qui a les moyens de disposer en toute impunité d’un satellite pour espionner Farrell ? Mais surtout, que vient faire "Pétrovorace", patron indiscuté de la Capt-Oil Aquitaine International, puissant groupe pétrolier, dans cet imbroglio ? Que détient Coraly Vauclair pour que tout le monde se focalise sur elle ? Pourquoi devient-elle la cible de tueurs professionnels ? Que recèle l’épave du France, au fond du lac d’Annecy ? Dans cette partie de poker menteur, Farrell devra se protéger de tous côtés, mais ce qu’il découvrira au sommet du Mont des Princes, risque d’anéantir les machinations les plus pernicieuses, car il ne peut y avoir qu’un seul vainqueur… la Mort !

09/2023

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Télétravail

Menaces et opportunités du télétravail

De nombreux ouvrages vont paraître pour traiter du télétravail. Toutefois, l'objectif de ce colloque est de donner la parole aux dirigeants, managers et collaborateurs qui ont vécu cette expérience du travail à distance lors de la crise récente. Cet ouvrage ouvre de nouvelles réflexions afin de mettre en valeur les expériences concrètes en vue de développer des propositions managériales socialement durables et économiquement supportables. Elles mettent en lumière les compétences, les pratiques innovantes et les impacts du management socioéconomique innovant. Cet ouvrage permet d'aborder les défis posés par le télétravail au sens large (droit du travail, les conditions de travail, productivité, cohésion...) dans les entreprises et les organisations. La 34e édition du Colloque d'Automne de l'ISEOR rassemble un large éventail d'acteurs concernés par les enjeux de la prospérité et du management comme source de création de valeur socio-économique et de développement humain : CNAM-Paris, CNRS, EM Lyon, European Institute for Advanced Studies in Management (IEASM) (Belgique), Fondation " Henri Savall-ISEOR ", IaelyonUniversité Jean Moulin, Institut international de l'Audit Social et Académie de l'Ethique, Université de Balamand (Liban), Université de Caen, Université Paul Valéry Montpellier 3, Université Saint-Joseph de Beyrouth (Liban), ainsi que Algoé, CHU Clermont-Ferrand, Hôpital Avicienne, Hôpital de Fourvière, IFBTP Rhône-Alpes, LE Lyon Entreprises, Mairie de Carcassonne, Office de Tourisme Communautaire Cèze-Cévennes, Oxalis. L'ouvrage met aussi en évidence, par de nombreux témoignages internationaux de dirigeants, cadres d'entreprises industrielles, tertiaires et d'organisations de service public, l'efficacité et l'efficience du management socioéconomique, implanté avec succès depuis plus de 46 ans. Les témoins de ces actions innovantes sont représentés par : Ad'minima, Amgen France, Artenchères, Assemblée Nationale, BOVAMISI, Centre Hospitalier " Le Vinatier ", CETAF, CFE-CGC, Comité de Gestion des Œuvres Sociales (C.G.O.S.), E. Leclerc Belfort, E. Leclerc Luçon, E. Leclerc Saint-Gilles-Croix-de-Vie, Fondation Aigues-Vertes (Suisse), Groupe Boubet, Groupe Ninkasi, PDE Provider SARL (Liban), Plages Arrière Architectes, SAS Cap 02, Savoie Volailles, SLB Médical, Streamline Consultancy (Liban). Le concept de management socio-économique, né en Europe, est largement publié aux Etats-Unis, où son originalité a été reconnue par l'Academy of Management.

01/2022

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Religion

Lettres missives et épîtres dédicatoires

Les lettres rassemblées ici sont de différentes natures, et ne constituent pas toutes, à proprement parler, la correspondance de Jean Lemaire de Belges. Cette définition ne peut s'appliquer qu'aux lettres missives, qui témoignent du rôle de l'écrivain au service de Marguerite d'Autriche. Veuve du duc de Savoie Philibert le Beau, celle-ci veut faire construire, aux portes de Bourg-en-Bresse, une église pour accueillir le tombeau du défunt ; absorbée par le gouvernement des Pays-Bas bourguignons, elle charge Jean Lemaire de superviser les travaux de Brou, qui font l'objet principal, mais certes pas unique, des lettres échangées avec la princesse et avec ses hauts fonctionnaires. Tout autre est le registre des lettres imprimées. Insérées, avec le titre d'" épîtres ", dans les éditions des oeuvres qu'elles accompagnent, elles " illustrent " à la fois le texte et son dédicataire, et elles font partie intégrante de l'ample paratexte qui caractérise les imprimés du début de la Renaissance. Mais s'il importe de distinguer les " lettres missives " des " épîtres dédicatoires ", la pratique des formes épistolaires à la Renaissance ne se réduit pas, loin s'en faut, à une telle dichotomie. Pour s'en tenir aux formes épistolaires en prose adressées à des contemporains (nous n'envisageons pas ici les épîtres fictives versifiées), la frontière entre circulation manuscrite et diffusion imprimée se révèle bien floue : la correspondance, imprimée, en latin, de Cornelius Agrippa (1486-1535), compte huit lettres échangées en 1509 avec un ami anonyme qu'il y a lieu d'identifier avec Jean Lemaire. Enfin, tout autres sont encore deux lettres que l'humaniste Jean de Pins (vers 1470-1537) adresse à un certain Maior, peut-être Jean Lemaire : ce sont des officia, éloges d'humanistes se célébrant les uns les autres. Les lettres publiées ici témoignent donc des enjeux très différents des formes épistolaires pour l'écrivain " indiciaire " de Bourgogne. Lire dans cette optique les relations de Jean Lemaire de Belges avec son entourage, c'est aussi découvrir comment la pratique épistolaire, avec un correspondant ou avec un public, entre manuscrit et imprimé, touche directement la question du statut de l'auteur.

09/2012

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Sports de glisse

Alexis Pinturault. Le globe de ma vie

Il est le skieur alpin le plus titré de France. Retour sur le parcours de celui qui a remporté la Coupe du monde 2020-2021, soit le gros globe de cristal, la récompense suprême. Athlète complet, il est à ce jour le seul skieur à avoir remporté des titres de Coupe du monde dans six disciplines différentes. Entré dans le gotha du ski mondial très jeune, il a également remporté les Championnats du monde en combiné et est monté trois fois sur un podium olympique. Originaire de Courchevel en Savoie, Alexis Pinturault est né avec des fixations aux pieds et deux bâtons dans les mains. Sportif doué sur divers terrains de jeu (il aurait pu être footballeur), il est repéré pour son aisance naturelle sur les pistes. Alexis choisit d'entrer au Pôle France du lycée d'Albertville et sa vie en sera à tout jamais bouleversée. Homme réservé et tenace, il est devenu le plus grand skieur français, mais surtout le plus polyvalent qui soit. De l'or au cristal retrace le parcours d'un champion perfectionniste attaché à l'éthique du sport, au respect des codes et de ses adversaires. Dans ce témoignage rare, on découvre un personnage attachant qui se livre sur les hauts et les bas de sa carrière dans laquelle il s'est investi pleinement. Son choix de s'aligner en slalom, slalom géant, super-G et combiné témoigne de son exigence supérieure à l'instar de son ami et rival Marcel Hirscher. Mélange d'instinct et d'excellence technique, Alexis Pinturault dévoile avec une grande sincérité et humanité combien la quête du gros globe de cristal est un véritable parcours du combattant. " Au départ, il ne faut plus se poser de questions, il s'agit d'oublier ses émotions, les enjeux. Je suis seul avec moi-même. Je suis dans l'instant présent, uniquement dans l'instant présent. Le bourdonnement de la foule que l'on entend distinctement avant de s'élancer se transforme en bruit de fond. Il n'y a plus d'avant, plus d'après, rien que le frottement des lames sur la glace. "

10/2022

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Faits de société

L'Affaire Flactif. Enquête sur la tuerie du Grand-Bornand

Le 11 avril 2003, une famille entière disparaît : Xavier Flactif, quarante ans, sa compagne, Graziella, trente-six ans, et leurs trois enfants, Sarah, dix ans, Laetitia, neuf ans, et Grégory, sept ans. Leur magnifique chalet du Grand-Bornand, trop bien rangé, semble inhabité, mais on y trouve un repas prêt à être servi et le réfrigérateur plein de vivres. Xavier Flactif est un promoteur immobilier qui s'est fait à la force du poignet. Belles maisons, belles voitures, vacances de rêve : sa réussite est réelle, mais elle dérange. On parle de factures impayées et de maisons mal construites. Nombreux sont ceux qui accablent les disparus. Les voisins des Flactif, un certain David Hotyat et sa compagne, Alexandra Lefèvre, sont particulièrement virulents devant les caméras de télévision et affichent leur certitude que la famille a pris la fuite. Les médias abondent dans ce sens, et c'est également cette piste que semblent privilégier les enquêteurs. Mais dans le chalet, les indices commencent à parler: des traces de sang et des éclats de dents sont découverts. Le 4 x 4 de la famille est retrouvé... Surprise le 16 septembre : David Hotyat, Alexandra Lefèvre et deux de leurs amis sont arrêtés. La thèse de l'assassinat apparaît au grand jour. Ce livre, le fruit de deux ans d'enquête, apporte des éléments de réponse concrets pour comprendre pourquoi et comment une famille entière a été assassinée dans des circonstances aussi macabres, sans qu'aucun corps ne soit retrouvé. Originaires l'un et l'autre de familles modestes du nord de la France, Xavier Flactif et David Hotyat, sans se connaître, étaient partis dans la vie avec sensiblement le même bagage, tous deux mus par une forte ambition. Leurs trajectoires parallèles allaient curieusement se croiser en Haute-Savoie : le premier s'était donné les moyens de réaliser ses rêves, alors que le second, cumulant les échecs professionnels, régressait socialement dans la rancune et l'amertume. Christine Kelly signe ici une enquête rigoureuse, riche en révélations, sur une des affaires les plus choquantes et les plus mystérieuses de ces dernières années.

05/2006

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Scolaire lycée général et tech

Sciences Numériques et Technologie 2de. Edition 2019

Un manuel conçu par une équipe pluridisciplinaire, des auteurs experts dans leurs domaines (enseignants de lycée, ingénieurs, informaticiens, sociologues, chercheurs) Un ouvrage complet et accessible, véritable outil de formation adapté à la diversité des profils des élèves - Une organisation claire : 7 chapitres correspondant aux 7 thèmes du programme, couvrant tous les contenus et capacités du programme - Une entrée dans le chapitre stimulante : une bande dessinée pour permettre aux élèves de découvrir de manière ludique une des problématiques du thème - Des doubles pages Activités : des documents et des activités variés proches du quotidien des élèves, pour faciliter l'acquisition des notions de manière progressive - Des pages " Controverse " et " Le monde de demain " pour amener les élèves à s'interroger et à débattre sur des questions liées aux thèmes des chapitres - Un bilan du chapitre : une synthèse pour retenir l'essentiel, des exercices pour tester ses connaissances et pour s'entraîner - " La page du codeur " pour travailler avec le langage Python - Le " Fab Lab " pour aider à la mise en oeuvre de projets - Une rubrique " Hygiène numérique " pour amener les élèves à adopter les bons réflexes dans leur pratique du numérique au quotidienRetrouvez sur la page dédiée à votre manuel de Sciences numériques et technologie 2de : - l'intégralité de l'ouvrage à feuilleter - un extrait du manuel numérique - toutes les ressources en un clic - vos offres gratuites " SPECIAL REFORME LYCEE 2019 " et " OFFRE ENSEIGNANT ".

05/2019

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Monographies

René Perrot, mon pauvre coeur est un hibou. Dessins, tapisseries, peintures, céramiques

René Perrot (1912-1979) a été un artiste prolifique, expérimentant sans cesse de nouveaux styles et de nouvelles techniques. Cet ouvrage propose ainsi de redécouvrir l'étendue, la richesse et la sensibilité de son travail. Particulièrement connu pour ses tapisseries, fruit de commandes publiques destinées à orner des bâtiments officiels à travers le monde, il réalise aussi de très nombreuses peintures et gravures, dont près de quatre-cents sont conservées au Mucem, qui documentent des thématiques variées, de l'architecture au paysage, de l'artisanat à l'agriculture, des réalités de la vie quotidienne au spectacle des fêtes. Son travail est marqué à la fois par sa formation et sa sensibilité d'artiste, le sens de sa mission d'enquêteur pour le musée des Arts et Traditions populaires, et le contexte politique et social de la Seconde Guerre mondiale, dressant par touche un portrait interrogatif et songeur d'une France en pleine transformation. Il en ressort une image à la fois précise, presque scientifique, et idéalisée, presque utopique, de la France rurale. Après cette expérience sur le terrain, il consacre l'essentiel de son travail à la tapisserie et à l'enseignement. René Perrot est profondément attaché à la nature et aux animaux, qui finissent par remplacer presque complètement dans sa production artistique les humains, qui peut-être l'ont déçu. Dès 1945, il contribue à la relance des ateliers creusois de basse-lice, auxquels il restera fidèle. Il réalise plus de quatre cents cartons à partir desquels sont exécutées des tapisseries par les Manufactures de Felletin, d'Aubusson ou des Gobelins, participant aux côtés de son aîné Jean Lurçat au renouveau de cet art mural.

07/2023

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DCG9 Introduction à la comptab

Comptabilite dcg

L'édition 2023 est actualisée en profondeur : - 3 chapitres sont complètement nouveaux (chapitres 5, 6 et 9). - Les fiches ressources (sur les savoirs associés) sont remaniées. - De nouvelles applications sont proposées. - Les règles fiscales relatives à la TVA introduites par la loi de finances 2023 sont intégrées.

06/2023

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Ecrits sur l'art

En jeu ! Les artistes et le sport (1870-1930)

Comment l'essor du sport, ses pratiques individuelles et collectives, ont-ils cristallisé des enjeux sociaux et culturels à une période où les Jeux olympiques symbolisaient la volonté de ranimer l'esprit de l'Antiquité ? De l'époque impressionniste aux avant-gardes du premier quart du XXe siècle, l'ouvrage En jeu ! Les artistes et le sport (1870-1930) met en lumière peintres, sculpteurs, graveurs et photographes qui médiatisèrent les mutations du sport dans leurs oeuvres, la presse ou les affiches illustrées, en y voyant une expression de la modernité. Honoré Daumier, Edgar Degas, Gustave Caillebotte, Thomas Eakins, Ferdinand Gueldry, Paul Signac, Henri de Toulouse-Lautrec, Aristide Maillol ou Robert Delaunay sont quelques-uns des artistes, parfois eux-mêmes sportifs, attentifs à la course, l'équitation, la lutte, l'aviron, la boxe, au cyclisme, au football ou au rugby, qui observèrent les corps en mouvement, traduisirent l'expressivité des attitudes et des gestes et interrogèrent les sportifs en nouveaux héros lancés à la conquête de performances.

04/2024