C'est parce qu'il avait eu la chance de côtoyer dans les tranchées de la Grande Guerre, un instituteur qui lui avait parlé, entre deux bombardements, de livres et de poésie, de théâtre et de Racine, que Maurice Capel, précédemment Moïshe Kapelouchick quand il était fourreur, comme son père, dans la Russie tsariste qu'il avait fuie après le massacre antisémite de sa famille, a absolument tenu à ce que sa fille, née à Paris, porte le prénom de Bérénice.