Personne n’oublie les paroles de Jean Rostand : « On tue un homme, on est un assassin. On tue des millions d’hommes, on est un conquérant. On les tue tous, on est un dieu. » Mais si l’on en tue à peine quelques centaines, quelle place occupe-t-on ? Celle du pauvre bougre qui, au Brésil, a choisi la carrière d’assassin, pour vivre. Tueur à gages, un métier qui faisait recette.